Nouvelle expérience
Récit érotique écrit par Petite futée [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-10-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Nouvelle expérience
NOUVELLE EXPERIENCE
Je m’appelle Johannie, j’ai 23 ans, j’ai quitté mon Auvergne natale pour la région parisienne. Je suis aide à domicile pour une association, et vais de maison en maison pour aider des personnes plus ou moins âgées dans leur vie quotidienne, et vu mon budget hyper serré les fins de mois, j’ai quelques personnes pour qui je bosse comme on dit au noir.
Certains clients sont exécrables, d’autres adorables.
Aujourd’hui c’est mon jour de repos, mais uniquement pour l’organisme qui m’emploie, pour moi c’est ma journée hebdomadaire chez Monsieur Vallois, à soixante ans, il est veuf depuis quelques années et les tâches ménagères ce n’est pas son truc.
- Bonjour Monsieur Vallois, comment allez-vous ce matin ?
- Je vais vraiment très, déjà parce que c’est le jour où je vous vois et deuxièmement parce que dans un mois je suis en retraite.
- Oh ! c’est super ça, vous l’avez bien mérité.
- Et vous, comment ça va ? Vous avez une petite mine.
- Ah ! vous trouvez ? Faut dire que ça fait un bout de temps que je travaille sept jours sur sept pour pouvoir payer mon loyer et mon crédit auto, on est pas cher payé dans ma branche.
- C’est si dur que ça pour vous, j’en suis désolé et moi qui vous fais travailler vos jours de repos, je me sens coupable.
- Mais vous n’y êtes pour rien, en plus j’aime bien travailler chez vous.
- Vous êtes mignonne…
La journée touche à sa fin, je m’apprête à partir quand Monsieur Vallois me demande de m’asseoir au salon avec lui si j’ai un peu de temps à lui accorder.
- J’ai réfléchit, à notre petite discussion de ce matin, comme je vous l’ai dit, je suis en retraite bientôt, ce qui implique que je serai beaucoup plus à la maison par rapport à maintenant. Je suis nul en cuisine, nul aux tâches ménagères… Quand à vous, vous allez finir vieille avant l’âge si vous ne vous ménagez pas un peu…
- Oui, mais je n’ai pas le choix.
- Moi, je vous le donne, si vous le voulez, je vous embauche à temps complet, je vous loge et vous nourrit, enfin c’est vous qui cuisinerez… - Quoi ? Vous me faites une blague ?
- Je n’ai jamais été aussi sérieux et tout travail méritant salaire, je vous donnerai mille cinq cents euros nets par mois. Vous en dites quoi ?
- Je suis sous le choc, mais je dois dire que je serai folle de refuser.
- Parfait, on commence notre alliance dans tout juste un mois, le temps pour vous de rendre votre logement et de démissionner.
Le mois me parut durer une éternité, mais le jour J, je fus surexcitée, je fis mes bagages, sortit de ma minuscule chambre de bonne meublée et rendit les clés à ma logeuse. Je chargeais ma voiture et prit la direction de ma nouvelle vie…
Monsieur Vallois m’attendait impatiemment.
- Bienvenue chez vous, Johannie. Je vous laisse vous installer dans votre chambre.
Mon nouveau job se passait à merveille, je me sentais bien ici, et mon patron était un homme charmant, malgré ses cotés exhibitionniste, mais ça ne me choquait pas le moins du monde, et pour son âge ,je le trouvais pas mal du tout, il faisait du sport tous les jours, son teint était plutôt bronzé, il avait je dois dire un beau petit cul qui je m’étonnais n’avais aucune trace de bronzage, il était peut être naturiste , mais je faisais comme si je ne voyais rien.
Un matin où je prenais ma douche, il entra sans gêne pour venir se brosser les dents aussi nu qu’un ver, je ne pouvais pas fermer à clé, il n’y avait pas de verrou à la porte, j’étais très mal à l’aise surtout qu’il attendit que je termine pour me donner ma serviette.
- Pardon, je ne savais pas que vous étiez là, mais je ne suis pas déçue, vous êtes vraiment très belle, regardez un peu dans quel état vous me mettez.
- Monsieur Vallois, vous êtes un vieux cochon.
Je m’enroulais dans ma serviette et je sortis de la salle de bain aussi vite que je pu, mon cœur battait la chamade, mais bizarrement, je me sentais excitée par la situation, je commençais sérieusement à être en manque de sexe, mais pas si désespérée. Pendant la journée, ni lui, ni moi n’évoquions la scène du matin, après tout il s’était excusé.
Le lendemain, matin il recommença son numéro, mais cette fois ci entra dans la douche avec moi.
- Tu m’as rendu fou hier, et ce matin il fallait que je revienne…
Incapable de dire quoi que ce soit, je m’étais adossée sur le mur du fond, mais il s’approcha encore plus près de moi, son sexe était tendu vers moi, l’eau coulait sur nous, cette fois ci il se colla tout contre moi, il m’embrassa, mon cœur cognait dans ma poitrine mais je lui rendis son baiser, qui devint tout de suite très fougueux. Nos langues se mêlèrent, ses mains caressaient mes cheveux mouillés, il s’écarta et prit mes seins à pleines mains, puis se mit à les téter chacun leur tour, tout en les malaxant. Je m’abandonnais totalement à ses tendresse, mon sexe brulait de désir, j’avais envie d’une queue et j’allais en avoir une.
Soudain il s’arrêta et me demanda de le sucer, je me mis à genou devant lui et avala goulument son sexe, ses mains sur ma tête, il m’aidait au va et vient de ma bouche sur sa verge. Je mordillais, léchais, aspirais, tapotais sur ma langue, il gémissait, j’étais fière de lui faire du bien, et puis vint pour lui le plaisir ultime que j’avalais de bon cœur. Il repoussa mon visage et m’aida à me relever. Il m’embrassa tendrement puis sortit en attrapant sa serviette, me donna la mienne et s’assit et continua à me contempler.
J’avais la chatte en feu, tant j’avais envie qu’il me prenne, mais son outil n’avait plus la même vigueur.
- Tu es merveilleuse, et je suis désolée de ne pas t’avoir satisfaite, mais je te promets de me rattraper très vite.
Pendant qu’il me parlait je me séchais tranquillement, commençant un jeu de séduction volontaire sur lui.
- Je dois aller à Paris, je serai de retour ce soir pour le dîner, tu n’as qu’à prendre ta journée et te reposer, je ramènerai de quoi manger, t’inquiète pas du repas. Je vais me préparer pour partir le plus vite, à ce soir ma belle.
- A ce soir, Monsieur Vallois, merci pour la journée de repos.
Je me rendis dans ma chambre et m’allongeât sur mon lit, je fus prise d’une terrible envie de me branler, ce que je fis, en calant mes pieds bien à plat sur le lit, mon doigt s’activait dans mon intimité, je ne tardais pas à jouir, mais j’en voulais encore et encore. Epuisée je dû m’assoupir un bon moment, car lorsque j’ouvris les yeux, il était déjà midi. Me levant, je repris une douche rapide, enfila mon peignoir et me fit un café. Les évènements du matin me trottaient encore dans la tête, je me demandais si je ne faisais pas une erreur de me laisser entreprendre par mon patron. Pourtant après réflexion je fis le point et en déduisis que j’aimais mon travail, la maison, le jardin et mon employeur. Après tout ça durerait le temps que ça durerait, mais je voulais prendre du bon temps, et j’avais trouvé un amant expérimenté qui allait me faire découvrir bien des choses que je n’avais jamais connus.
Le soleil était radieux dehors, il faisait chaud, je décidais donc de faire un peu le lézard sur la terrasse, j’allais enfiler mon maillot de bain et m’installa sur le bain de soleil. Au bout d’un bon moment, je sentis une main sur mes fesses, je criais et sursautais.
- Oh n’est pas peur, c’est moi, je suis content que tu prennes du bon temps, mais tu es vraiment trop pudique, qu’est-ce que tu fais avec un maillot de bain, au lieu d’être nue ? Allez hop je te retire ça !
Il joignit le geste à la parole, détachant mon haut, puis saisissant le bas qu’il fit descendre le long de mes jambes.
- Voilà qui est beaucoup mieux, quel dommage de cacher un si beau corps sous un bout de tissu. Par contre il faut protéger ta peau, je vais te mettre de la crème.
Il commença en haut du dos, mes bras, mes épaules, puis descendit petit à petit, passant à mes cuisses et mes mollets, revint à mes fesses, je sentis qu’il les embrassât amoureusement, se lovât contre elles, et repris ses massages de crème, mais ses doigts se firent aventureux et vinrent taquiner ma rosace, sa langue se mêla à ses gestes. Je gémissais malgré moi. Puis sa main tentât de glisser entre mes jambes, mais ma position n’était pas évidente, il me demanda de me retourner,et recommença par le cou, le torse, le ventre, mes seins sur lesquels il s’attarda longuement, caressant, tâtant, soupesant, malaxant, pinçant et les tétant aussi. Je sentais ma cyprine couler entre mes cuisses.L’ exploration de ma poitrine terminée, il étala la lotion sur mes jambes commençant tout en bas remontant petit à petit. Plus il montait, plus le touché se faisait sensible et quand et effleura ma toison, un frisson me parcouru tout le corps.
- J’ai quelques petites surprises pour toi, et voici la première, fait-moi confiance, fermes les yeux et laisse toi faire.
J’exécutais ses souhaits et m’abandonna à lui. Je sentis une très douce caresse sur ma cuisse, quelle délicatesse et tellement délicieuse. Ce petit chatouillement se promenait d’un côté à l’autre, sur mon ventre, mes seins, puis redescendait. Effleurant mes poils pubiens. J’adorais ça mais j’en voulais encore plus, mais il prenait tout son temps. Au bout d’un moment, il replia mes jambes afin d’avoir pleine vu sur mon intimité, totale découverte pour lui et comptait bien en profiter. Il recommença à taquiner gentiment ma toison. Je trichais un instant, intrigué par ses mouvements exquis et vit une grande plume, quelle surprise, je n’aurais jamais imaginé. Je refermais les yeux, me détendant encore plus. Il s’attaqua à ma vulve, oh, je vous dis pas, c’était délicieux, il unit ses doigts au duvet, je me déhanchais doucement, et gémissait toujours plus fort, il me découvrait vraiment de partout, très soigneusement, tel un puceau qui voit une chatte pour la première fois, mais il n’avait rien d’un innocent.
- Je vais de faire découvrir ma deuxième surprise, tu vas adorer…
Je sentais un doigt, puis deux, ma mouille faisait des petits bruits dû aux mouvements dans mon antre. Puis je sentis quelque chose de froid à l’entrée de ma grotte, puis du bruit suivit de vibration, un gode, oh le coquin. Mon euphorie, l’encouragea à continuer plus en profondeur, doucement et pour finir plus violement, je criais encore plus, oubliant les voisins, puis laissa ma jouissance prendre le dessus, chaque centimètres de ma peau était hyper sensible. Même son tendre baiser sur mon ventre me fit frissonner.
- Tu es à fleur de peau, tellement réceptive, que j’ai plein de défis à réaliser avec toi.
Il s’éloignât vers la maison, me laissant redescendre de mon nuage tranquillement.
Si j’avais eu un doute sur nos actes, je n’en avais plus aucun, je n’aurais jamais cru un jour, me laisser toucher par un vieux, ça m’écœurais, mais que j’avais tort et comme il me l’a dit, je n’étais qu’au début de mes découvertes…
Je m’appelle Johannie, j’ai 23 ans, j’ai quitté mon Auvergne natale pour la région parisienne. Je suis aide à domicile pour une association, et vais de maison en maison pour aider des personnes plus ou moins âgées dans leur vie quotidienne, et vu mon budget hyper serré les fins de mois, j’ai quelques personnes pour qui je bosse comme on dit au noir.
Certains clients sont exécrables, d’autres adorables.
Aujourd’hui c’est mon jour de repos, mais uniquement pour l’organisme qui m’emploie, pour moi c’est ma journée hebdomadaire chez Monsieur Vallois, à soixante ans, il est veuf depuis quelques années et les tâches ménagères ce n’est pas son truc.
- Bonjour Monsieur Vallois, comment allez-vous ce matin ?
- Je vais vraiment très, déjà parce que c’est le jour où je vous vois et deuxièmement parce que dans un mois je suis en retraite.
- Oh ! c’est super ça, vous l’avez bien mérité.
- Et vous, comment ça va ? Vous avez une petite mine.
- Ah ! vous trouvez ? Faut dire que ça fait un bout de temps que je travaille sept jours sur sept pour pouvoir payer mon loyer et mon crédit auto, on est pas cher payé dans ma branche.
- C’est si dur que ça pour vous, j’en suis désolé et moi qui vous fais travailler vos jours de repos, je me sens coupable.
- Mais vous n’y êtes pour rien, en plus j’aime bien travailler chez vous.
- Vous êtes mignonne…
La journée touche à sa fin, je m’apprête à partir quand Monsieur Vallois me demande de m’asseoir au salon avec lui si j’ai un peu de temps à lui accorder.
- J’ai réfléchit, à notre petite discussion de ce matin, comme je vous l’ai dit, je suis en retraite bientôt, ce qui implique que je serai beaucoup plus à la maison par rapport à maintenant. Je suis nul en cuisine, nul aux tâches ménagères… Quand à vous, vous allez finir vieille avant l’âge si vous ne vous ménagez pas un peu…
- Oui, mais je n’ai pas le choix.
- Moi, je vous le donne, si vous le voulez, je vous embauche à temps complet, je vous loge et vous nourrit, enfin c’est vous qui cuisinerez… - Quoi ? Vous me faites une blague ?
- Je n’ai jamais été aussi sérieux et tout travail méritant salaire, je vous donnerai mille cinq cents euros nets par mois. Vous en dites quoi ?
- Je suis sous le choc, mais je dois dire que je serai folle de refuser.
- Parfait, on commence notre alliance dans tout juste un mois, le temps pour vous de rendre votre logement et de démissionner.
Le mois me parut durer une éternité, mais le jour J, je fus surexcitée, je fis mes bagages, sortit de ma minuscule chambre de bonne meublée et rendit les clés à ma logeuse. Je chargeais ma voiture et prit la direction de ma nouvelle vie…
Monsieur Vallois m’attendait impatiemment.
- Bienvenue chez vous, Johannie. Je vous laisse vous installer dans votre chambre.
Mon nouveau job se passait à merveille, je me sentais bien ici, et mon patron était un homme charmant, malgré ses cotés exhibitionniste, mais ça ne me choquait pas le moins du monde, et pour son âge ,je le trouvais pas mal du tout, il faisait du sport tous les jours, son teint était plutôt bronzé, il avait je dois dire un beau petit cul qui je m’étonnais n’avais aucune trace de bronzage, il était peut être naturiste , mais je faisais comme si je ne voyais rien.
Un matin où je prenais ma douche, il entra sans gêne pour venir se brosser les dents aussi nu qu’un ver, je ne pouvais pas fermer à clé, il n’y avait pas de verrou à la porte, j’étais très mal à l’aise surtout qu’il attendit que je termine pour me donner ma serviette.
- Pardon, je ne savais pas que vous étiez là, mais je ne suis pas déçue, vous êtes vraiment très belle, regardez un peu dans quel état vous me mettez.
- Monsieur Vallois, vous êtes un vieux cochon.
Je m’enroulais dans ma serviette et je sortis de la salle de bain aussi vite que je pu, mon cœur battait la chamade, mais bizarrement, je me sentais excitée par la situation, je commençais sérieusement à être en manque de sexe, mais pas si désespérée. Pendant la journée, ni lui, ni moi n’évoquions la scène du matin, après tout il s’était excusé.
Le lendemain, matin il recommença son numéro, mais cette fois ci entra dans la douche avec moi.
- Tu m’as rendu fou hier, et ce matin il fallait que je revienne…
Incapable de dire quoi que ce soit, je m’étais adossée sur le mur du fond, mais il s’approcha encore plus près de moi, son sexe était tendu vers moi, l’eau coulait sur nous, cette fois ci il se colla tout contre moi, il m’embrassa, mon cœur cognait dans ma poitrine mais je lui rendis son baiser, qui devint tout de suite très fougueux. Nos langues se mêlèrent, ses mains caressaient mes cheveux mouillés, il s’écarta et prit mes seins à pleines mains, puis se mit à les téter chacun leur tour, tout en les malaxant. Je m’abandonnais totalement à ses tendresse, mon sexe brulait de désir, j’avais envie d’une queue et j’allais en avoir une.
Soudain il s’arrêta et me demanda de le sucer, je me mis à genou devant lui et avala goulument son sexe, ses mains sur ma tête, il m’aidait au va et vient de ma bouche sur sa verge. Je mordillais, léchais, aspirais, tapotais sur ma langue, il gémissait, j’étais fière de lui faire du bien, et puis vint pour lui le plaisir ultime que j’avalais de bon cœur. Il repoussa mon visage et m’aida à me relever. Il m’embrassa tendrement puis sortit en attrapant sa serviette, me donna la mienne et s’assit et continua à me contempler.
J’avais la chatte en feu, tant j’avais envie qu’il me prenne, mais son outil n’avait plus la même vigueur.
- Tu es merveilleuse, et je suis désolée de ne pas t’avoir satisfaite, mais je te promets de me rattraper très vite.
Pendant qu’il me parlait je me séchais tranquillement, commençant un jeu de séduction volontaire sur lui.
- Je dois aller à Paris, je serai de retour ce soir pour le dîner, tu n’as qu’à prendre ta journée et te reposer, je ramènerai de quoi manger, t’inquiète pas du repas. Je vais me préparer pour partir le plus vite, à ce soir ma belle.
- A ce soir, Monsieur Vallois, merci pour la journée de repos.
Je me rendis dans ma chambre et m’allongeât sur mon lit, je fus prise d’une terrible envie de me branler, ce que je fis, en calant mes pieds bien à plat sur le lit, mon doigt s’activait dans mon intimité, je ne tardais pas à jouir, mais j’en voulais encore et encore. Epuisée je dû m’assoupir un bon moment, car lorsque j’ouvris les yeux, il était déjà midi. Me levant, je repris une douche rapide, enfila mon peignoir et me fit un café. Les évènements du matin me trottaient encore dans la tête, je me demandais si je ne faisais pas une erreur de me laisser entreprendre par mon patron. Pourtant après réflexion je fis le point et en déduisis que j’aimais mon travail, la maison, le jardin et mon employeur. Après tout ça durerait le temps que ça durerait, mais je voulais prendre du bon temps, et j’avais trouvé un amant expérimenté qui allait me faire découvrir bien des choses que je n’avais jamais connus.
Le soleil était radieux dehors, il faisait chaud, je décidais donc de faire un peu le lézard sur la terrasse, j’allais enfiler mon maillot de bain et m’installa sur le bain de soleil. Au bout d’un bon moment, je sentis une main sur mes fesses, je criais et sursautais.
- Oh n’est pas peur, c’est moi, je suis content que tu prennes du bon temps, mais tu es vraiment trop pudique, qu’est-ce que tu fais avec un maillot de bain, au lieu d’être nue ? Allez hop je te retire ça !
Il joignit le geste à la parole, détachant mon haut, puis saisissant le bas qu’il fit descendre le long de mes jambes.
- Voilà qui est beaucoup mieux, quel dommage de cacher un si beau corps sous un bout de tissu. Par contre il faut protéger ta peau, je vais te mettre de la crème.
Il commença en haut du dos, mes bras, mes épaules, puis descendit petit à petit, passant à mes cuisses et mes mollets, revint à mes fesses, je sentis qu’il les embrassât amoureusement, se lovât contre elles, et repris ses massages de crème, mais ses doigts se firent aventureux et vinrent taquiner ma rosace, sa langue se mêla à ses gestes. Je gémissais malgré moi. Puis sa main tentât de glisser entre mes jambes, mais ma position n’était pas évidente, il me demanda de me retourner,et recommença par le cou, le torse, le ventre, mes seins sur lesquels il s’attarda longuement, caressant, tâtant, soupesant, malaxant, pinçant et les tétant aussi. Je sentais ma cyprine couler entre mes cuisses.L’ exploration de ma poitrine terminée, il étala la lotion sur mes jambes commençant tout en bas remontant petit à petit. Plus il montait, plus le touché se faisait sensible et quand et effleura ma toison, un frisson me parcouru tout le corps.
- J’ai quelques petites surprises pour toi, et voici la première, fait-moi confiance, fermes les yeux et laisse toi faire.
J’exécutais ses souhaits et m’abandonna à lui. Je sentis une très douce caresse sur ma cuisse, quelle délicatesse et tellement délicieuse. Ce petit chatouillement se promenait d’un côté à l’autre, sur mon ventre, mes seins, puis redescendait. Effleurant mes poils pubiens. J’adorais ça mais j’en voulais encore plus, mais il prenait tout son temps. Au bout d’un moment, il replia mes jambes afin d’avoir pleine vu sur mon intimité, totale découverte pour lui et comptait bien en profiter. Il recommença à taquiner gentiment ma toison. Je trichais un instant, intrigué par ses mouvements exquis et vit une grande plume, quelle surprise, je n’aurais jamais imaginé. Je refermais les yeux, me détendant encore plus. Il s’attaqua à ma vulve, oh, je vous dis pas, c’était délicieux, il unit ses doigts au duvet, je me déhanchais doucement, et gémissait toujours plus fort, il me découvrait vraiment de partout, très soigneusement, tel un puceau qui voit une chatte pour la première fois, mais il n’avait rien d’un innocent.
- Je vais de faire découvrir ma deuxième surprise, tu vas adorer…
Je sentais un doigt, puis deux, ma mouille faisait des petits bruits dû aux mouvements dans mon antre. Puis je sentis quelque chose de froid à l’entrée de ma grotte, puis du bruit suivit de vibration, un gode, oh le coquin. Mon euphorie, l’encouragea à continuer plus en profondeur, doucement et pour finir plus violement, je criais encore plus, oubliant les voisins, puis laissa ma jouissance prendre le dessus, chaque centimètres de ma peau était hyper sensible. Même son tendre baiser sur mon ventre me fit frissonner.
- Tu es à fleur de peau, tellement réceptive, que j’ai plein de défis à réaliser avec toi.
Il s’éloignât vers la maison, me laissant redescendre de mon nuage tranquillement.
Si j’avais eu un doute sur nos actes, je n’en avais plus aucun, je n’aurais jamais cru un jour, me laisser toucher par un vieux, ça m’écœurais, mais que j’avais tort et comme il me l’a dit, je n’étais qu’au début de mes découvertes…
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'ai raconté cette histoire à mon popaul... il a très apprécié, à en pleurer de joie, de grosses larmes blanches... merci pour lui.
Histoire très excitante, merci...
Moa aussi je l'ai fait avec un vieux. c très exitant
Comme quoi l'expérience ça compte !
Belle histoire qui ne fait que commencer, vite la suite! Z