Nouvelle expérience
Récit érotique écrit par Queuedusexe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Nouvelle expérience
Mon mari et moi, sommes au début de la trentaine. On a vraiment profité pleinement de notre début de vie active, partagée entre nos boulots et des voyages, sorties…
Avant de rencontrer Paul, j’ai eu quelques garçons dans mon lit, une ou deux filles aussi. Cette partie de ma sexualité a été pour Paul une source d’excitation maximale et, dans les bonnes circonstances et avec les bonnes personnes, je lui ai offert une fois un spectacle lesbien qu’il a adoré. L’autre fois, la fille était très attirée par un plan a trois et j’ai accepté. Si le début a été un peu à contre-cœur, j’ai finalement été ravie par l’expérience. Paul est un bon amant, vraiment endurant, et malgré l’excitation, il a réussi à nous donner beaucoup de plaisir. La fille était très jolie et mélange des corps était très jouissif.
Ce sont pour nous des souvenirs exceptionnels par leur intensité et surtout leur rareté car même si on est très ouvert sexuellement, on ne ressent pas le besoin que ça arrive souvent.
Voir Paul avec Marie n’avait pas été facile les première minutes mais la différence d’attitude de Paul envers elle ou moi était flagrante et m’avait rassurée.
De plus en plus, on pensait à se poser et faire un enfant.
Mon mari part 1 fois par an pendant 3 semaines dans la société mère de sa boîte aux Etats-Unis. D’habitude, il a un planning surchargé quand il va là-bas et en dehors d’une ou deux soirées et des dimanches, il bosse comme un fou donc aucun intérêt à me proposer de l’accompagner.
Cette fois, c’était un peu différent. Les projets étaient moins urgents et pour le récompenser de ses efforts, ils lui avaient promis que ce ne serait pas trop chargé. Quand il m’en a parlé, j’ai sauté sur l’occasion car n’ayant jamais été là-bas, j’avais vraiment envie de découvrir au moins une partie de cet immense pays.
L’hôtel était installé dans une partie assez touristique de Los Angeles et j’avais déjà hâte d’y être.
La première semaine a été cool. J’ai beaucoup profité de la piscine de l’hôtel pour parfaire mon bronzage et le soir, on profitait de la ville tous les deux.
Malheureusement, la semaine suivante, qui devait être encore plus calme pour Paul a été totalement chamboulée par un projet à 1000km de Los Angeles. Ses patrons voulaient absolument qu’il profite d’être sur place pour aider autant que possible et pour voir comment ils traitaient ici les situations de crise. Il ne pouvait pas refuser.
La semaine a commencé tranquillement. Je rencontrais au bord de la piscine des gens du monde entier. Paul me manquait mais ça allait quand même. C’est le mercredi que j’ai rencontré un groupe de 5 américains en vacances. Même âge, même train de vie, ni à dépenser sans compter, ni fauchés.
Etant seule, ils m’ont invité à les accompagner une fois ou deux et à partager leur dîner.
C’était le melting pot américain dans toute sa splendeur. Il y avait un couple entre une asiatique et un blanc, un couple entre une latino et un rouquin. Le cinquième membre de leur groupe d’amis était black, récemment célibataire.
Paul était ravi que j’ai rencontré du monde et que je sois moins seule. D’autant plus qu’il avait vraiment l’impression que son retour n’était pas pour tout de suite.
A plusieurs reprise, j’ai appelé Paul ou il m’a appelé alors que j’étais avec mes nouveaux amis. On se mettait en visio et comme ça il se sentait moins seul aussi.
Un soir, il m’a appelé alors que j’étais seule dans ma chambre, peu de temps avant de dormir.
- Tes amis ont l’air d’être vraiment très sympas.
- Oui, j’avoue que c’est agréable de les avoirs rencontrés. Heureusement que je parle anglais couramment, même si ça ne les empêches pas de se moquer de mes erreurs de langage assez souvent.
- Je suis content que tu ne t’ennuies pas de trop.
- Non, ça va… Même si tu me manque !
- Je sais, ça avait bien débuté et j’aimais vraiment beaucoup profiter de cet énorme lit avec toi.
- Moi aussi.
- Tu sais, n’importe quel mec sensé aimerait beaucoup prendre ma place… Tu es seule, entourée de mecs toute la journée au bord de la piscine, à leur montrer ton corps splendide…
- Arrête ! je ne ferais jamais ça et tu le sais ! D’ailleurs personne ne m’a dragué depuis au moins trois jours !
Paul a éclaté de rire.
- Quoi, ce n’est pas drôle ! Ce n’est pas parce que je ne répondrais pas à leur jeu de séduction que je n’ai pas un peu envie de me sentir désirée.
- Oh je m’en doute !
- Alors pourquoi tu ris ?
- Parce que il y a une bonne raison pour que tu ne sois pas abordée. Il ne t’est même pas venu à l’idée que les autres mecs te croient en couple avec Tyron ???
- Hein ???
J’ai réfléchis une seconde et des images ont défilé dans ma tête. Il était naturel que Tyron et moi soyons souvent côte à côte puisque les autres étaient en couple. Maintenant qu’il le disait, Tyron, ou moi d’ailleurs, avions une ou de fois passé notre bras autour de l’autre. C’était innocent de ma part mais était-ce vrai dans l’autre sens.
- Tu n’es pas jaloux de Tyron quand même ?
- Ce n’est pas ce que j’ai dit. J’ai dit qu’on pouvait vous croire en couple. Et je sais ce que j’ai vu dans ses yeux pendant les appels en visio quand il ne pensait pas être dans le champ de vision. Il y a du désir.
- Waow ! Je ne m’en suis pas aperçu ! Enfin, peut-être une fois ou deux mais je t’assure qu’il se comporte en gentleman.
- J’ai l’impression. Un gentleman bâti comme un top model. Tu as bien choisi ton chevalier servant.
- C’est vrai qu’il est pas mal !
- Attend, juste pas mal ?
- Peut-être un peu plus que pas mal, d’accord !
- Profite ma chérie, ce n’est pas tous les jours que je te laisse t’amuser avec un si beau mec en mon absence. Et regarde bien, tu verras l’attraction qu’il a pour toi.
- Oh ! Je ne sais pas si je vais voir de l’attraction mais fais attention, il y a plein de façon de s’amuser avec un mec comme Tyron !
- Je ne vois pas comment je pourrais t’en vouloir. Je te laisse toute seule je m’en veux beaucoup pour ça alors tu peux bien au moins te rincer l’œil non ?
On a rigolé un peu. Tyron était bien plus que pas mal. Tyron était même un spécimen masculin très agréable à regarder. Tout chez lui dégageait charme et virilité. Il était clair que son corps était sculpté par des heures et des heures de sport et en 5 jours, je ne l’avais jamais vu avec un verre d’alcool à la main ou en train de manger des trucs trop gras. Sa voix était grave et chaude et pour un américain, sans un accent trop fort, presque distingué.
Mais peu importe ses atouts indéniables, Tyron n’avait aucune chance. Paul est mon homme et je l’aime. Le tromper n’est même pas envisageable et je n’y ai d’ailleurs même pas pensé.
La journée suivante, j’ai fait des magasins avec les filles le matin et j’ai déjeuné avec elle en ville avec elles. Quand on est rentrés à l’hôtel, elles avaient prévues des activités avec leurs chéris respectifs donc je suis allée me baigner et bouquiner au bord de la piscine.
Au bout d’un moment, Tyron est arrivé.
- Bonjour, Noémie, Je peux me joindre à toi ?
Tyron arrivait de mieux en mieux à prononcer mon prénom mais ce n’était pas parfait et ça m’a fait sourire.
- Oui, bien sûr ! C’est vrai que tu as été abandonné aussi !
- Il y a pire que de passer l’après-midi en ta compagnie tu sais ?
On a parlé, lu, parlé encore, nagé…
Paul avait raison, j’avais dû être aveugle pour ne pas voir que je lui plaisais plus que pour une simple amitié. D’un autre côté, des filles toutes plus belles les unes que les autres lui faisaient les yeux doux. Pourquoi s’intéresser à moi ?
J’avais peut-être une petite idée. Je suis loin d’être moche ! Et j’ai plus d’esprit que la plupart des bimbos de cet hôtel ! Sans compter que le charme à la française rentrait sans doute en ligne de compte.
C’était discret et respectueux mais si ce n’est une volonté de séduire, il y avait au moins une volonté de me plaire. Plusieurs fois au cours de la journée, j’ai admiré son corps. Pas un poil de graisse, une peau lisse et un peu brillante, des épaules de déménageur, des bras qui auraient sans doute pu me casser en deux… Et pourtant son corps était harmonieux, musclé sans excès. Paul m’avait dit de me rincer l’œil et je n’ai pas refusé l’invitation.
J’avoue avoir laissé mes yeux s’attarder sur ses abdos en béton, sur ses pectoraux, sur ses cuisses puissante. Il est sorti de l’eau une et son short s’est collé à sa peau. J’ai rougi en voyant la bosse formée par son sexe. Il semblait puissant et viril là aussi. Plus tard, c’est son regard que j’ai senti parcourir mon corps alors que je m’étirais doucement sur mon bain de soleil. Son changement immédiat de position m’a confirmé qu’il appréciait ce qu’il voyait.
Le coup de fil avec Paul le soir même a beaucoup été axé sur mon après-midi avec Tyron. Paul me charriait gentiment, me posait beaucoup de question sur lui et sur mon état d’esprit. Est-ce qu’il me plaisait ? Est-ce qu’il était attiré ? Cherchait-il à me séduire ?
J’ai été honnête et j’ai dit que Tyron était vraiment bien foutu et charmant. Je voyais qu’il voulait me plaire mais c’était subtil.
- Ma chérie, je suis désolé mais j’ai encore 3 jours à passer ici.
- 3 jours !
- Oui, je sais que ce n’était pas prévu et mes patrons ont conscience que ce n’est pas génial du tout pour toi. Je vais sans doute toucher une prime pour les avoirs autant aidés.
- Tant mieux…
- Et si…
- Et si quoi ?
- Et si on en profitait pour réaliser quelque chose d’un peu coquin ?
- Coquin comment ? Tu es à 1000 km d’ici !
- Moi oui. Tyron non !
- Hein ?
- On a vécu des choses sympa pas tous les deux, et à trois quand tu as invité d’autres filles à nous rejoindre. C’était des moments magiques pour moi, la réalisation d’un fantasme ultime !
- …
- Je ne suis pas là mais je crois que t’autoriser à profiter du désir de Tyron pour toi serait « mon » cadeau ultime pour toi.
- Paul je…
- J’aurai dû te donner au minimum 2 orgasmes en moyenne par jour pendant ces « presque » vacances. Je crois que je peux bien t’offrir de manière détournée des moments de plaisir et d’excitation pour ces prochains jours non ?
On se connaît par cœur et on s’aime. On ne se cache rien. Même par le biais des écrans, je pouvais voir qu’il était très sérieux et en même temps détendu, les yeux rieurs. L’idée lui plaisait, l’excitait. Je reconnaissais les émotions par lesquelles il était passé alors que se mettaient en place les trios qu’on avait vécu.
- Après ce que tu m‘as dit hier, je l’ai plus observé et je ne peux pas nier qu’il est très désirable. Je sais que ce serait très fun ! Tu es vraiment sûr de toi ?
- Complètement. J’y pense depuis plusieurs jours et je t’assure que je suis totalement cool avec ça. Tu auras juste l’obligation de tout me raconter plus tard.
- Je n’imagine même pas garder ça pour moi mon chéri…
Quand on s’est dit au revoir et je t’aime, il a fait basculé volontairement la caméra de son PC et m’a montré son sexe en érection avant d’éteindre. Il était clairement excité par la situation et la possibilité de coucher avec un étalon comme Tyron me tentait de plus en plus. J’allais bien voir comment allait évoluer la journée du lendemain car on partait à 6 pour une journée au bord de la mer et une sortie en jet ski.
A mon réveil, ma décision était prise. Si Tyron voulait de moi, il m’aurait. Je m’étais réveillée une fois dans la nuit, en sueur et en proie à un désir très fort. Le rêve était torride et Tyron en était l’acteur principal.
J’ai mis mon bikini préféré. Il mettait magnifiquement ma poitrine en valeur car il n’a pas de soutien et on peut donc voir que ma poitrine est bien haute et ferme. Le bas laissait voir une bonne partie de mes fesses sans être vulgaire.
L’expression du visage de Tyron en me voyant arriver m’a conforté dans mon choix. On a été côte à côte toute la journée. Les quelques fois où on s’est touché, il n’y avait rien de provocateur mais la tension montait. J’étais aussi un peu plus ouverte, peut-être un peu plus de flirt de ma part.
C’est sur les jet ski doubles que tout a changé. Tout naturellement, les couples se sont mis ensembles et moi, j’ai été avec Tyron. J’ai dû m’accrocher à lui, sentir sa peau et ses muscles sous mes doigts. On a alterné le pilote. Lui aussi s’est un peu accroché à moi.
A un moment, alors que je pilotais, on était un peu à l’écart des autres et j’ai navigué au ralenti. Tyron avait les mains sur ma taille et était collé à moi. La bosse dure contre mes fesses était explicite sur son désir. Il a caressé mes cuisses lentement, presque timidement, s’attendant à une réaction de rejet mais c’est un soupir de désir qui est sorti de ma gorge.
- Noémie, je suis désolé.
- Attends, les autres seront bientôt là et on va rentrer au port. On n’a pas beaucoup de temps et je voudrais te dire quelque chose.
- D’accord, vas-y !
- Je sais que je t’attire mais je suis mariée.
- Noémie, je…
- Mais tu vas me laisser finir oui ??? Je t’ai dit qu’on n’avait plus beaucoup de temps !
- Excuse-moi !
- Bon… Paul sait que je te plais. C’est lui qui me l’a fait remarquer. On n’est pas particulièrement un couple libertin mais il est déjà arrivé qu’on « ouvre » notre couple. C’étaient des filles les autres fois…
- …
- J’ai aussi ressenti quelque chose pour toi. J’aime Paul, il n’est pas question d’amour là. Il est tout pour moi. Mais je suis ici sans lui… Et il est totalement pour me laisser « m’amuser » sans lui.
Ses mains ont recommencé à me caresser.
- Il rentre quand, dans deux ou trois jours, c’est ça ?
- C’est ça !
- Alors on a 2 ou trois jours très agréables qui nous attendent.
- Attends ! J’ai une condition… Personne d’autre que toi, moi ou Paul ne doit être au courant. Paul n’est pas un cocu ou un truc comme ça. C’est juste pour le fun… Et le plaisir. Mais je ne veux aucune répercussion pour Paul. En présence des autres tu dois faire comme s’il ne se passait rien.
- Je comprends et ça me va complètement.
Les autres arrivaient. Il est repassé devant pour piloter le jet ski jusqu’au port. En passant devant moi, il a fait exprès que son érection soit contre moi.
- Noémie, l’attente jusqu’à ce soir va être un supplice.
Apéro, rigolade, dîner. La soirée était géniale et Tyron tenait promesse, gentleman comme avant, plein d’attention pour moi mais rien de révélateur de notre discussion privée. Comme presque tous les soirs, on a dansé un peu et seulement l’espace de 30 secondes alors que les autres étaient absorbés par un spectacle de danse, on s’est laissé aller à quelques effleurements.
Je suis allée aux toilettes et j’ai regardé mon portable. Un texto de Paul « Je t’aime ! Quoi qu’il arrive, tu as mon soutien. Lâches toi et profite ! » J’ai juste répondu « Si quelque chose arrive, tu sauras tout. Je t’aime et à demain ! »
Oui, j’avais envie de Tyron. Et le texto de Paul me libérait. Je suis allée voir les autres et Tyron n’était pas avec eux mais je me doutais qu’il ferait le nécessaire pour me rejoindre. Bien qu’il ne soit que 22h00, j’ai dit que j’allais dans ma chambre en espérant faire une bonne nuit. Je n’avais pas l’impression de leur mentir.
A mi-chemin de ma chambre, au coin d’un mur, Tyron m’attendait.
- Tyron, les autres vont se douter…
- Stop ! Ils ne vont se douter de rien. Je leur ai fait croire que j’avais rencontré une fille hier à la piscine et qu’elle m’avait invité à aller la rejoindre en boîte ce soir. Ils pensent que je ne suis même pas dans l’hôtel.
J’ai souri et pris sa main. Son histoire était plus que plausible puisque j’avais déjà été témoin d’un truc comme ça presque chaque jour depuis que je le connaissais. La porte de ma chambre ( et de celle de Paul) s’est refermée derrière moi et la stature imposante de Tyron me dominait totalement, très, très proche de moi. Mes tétons juste couvert par le tissu de ma robe frôlaient son torse.
Tyron a pris mon visage dans ses mains et m’a embrassé. La tension était forte et le baiser m’a fait fondre, m’a libéré. J’ai passé les bras autour de sa taille et le baiser s’est prolongé, nos langues se mêlant. J’ai tiré sur son teeshirt pour le monter et il s’est écarté quelques secondes pour le retirer.
J’ai pu poser mes mains sur ses épaules et descendre sur ses pectoraux, ses côtes et ses abdos. La seule imperfection de son torse le rendait encore plus parfait, une cicatrice sur un des pectoraux que je n’ai pu m’empêcher d’embrasser.
Toujours debout tous les deux mais au bord du lit, nos vêtements tombaient. Tyron s’est attardé longtemps sur mes seins aux tétons sensibles avant de m’allonger sur le lit. La pression douce de son corps sur le mien était très excitante. Mon sexe était presque douloureux tant le désir était fort. J’étais déjà trempée depuis la balade en jet ski et encore plus après les quelques caresses sur la piste de danse.
Il s’est redressé le temps d’enlever son caleçon et m’a laissé l’admirer quelques instants.
Tyron ne me décevait pas du tout. Son sexe était dur comme la pierre, dressé avec une très légère courbure vers le haut. Il n’était pas exagérément long mais devait quand même faire 4 ou 5 cm de plus. Par contre, il était vraiment large, avec un gland qui me donnait des frissons de désir rien qu’à le regarder. La veine qui courrait sur le côté de la verge me faisait saliver d’envie.
- J’ai envie de toi depuis des jours Noémie… Et je ne pensais pas pouvoir obtenir mieux que te voir en bikini… Mais là… Magnifique !!!
C’était les premiers mots prononcé depuis qu’on avait passé la porte et ils étaient parfaits. En appui sur ses avant-bras, son bassin entre mes cuisses, j’ai passé mais mains dans son dos et sur ses flancs. Il n’était que muscles mais pourtant très doux. Sa peau si sombre contre la mienne m’excitait beaucoup.
Ses baisers étaient doux mais plein de passion refoulée depuis trop longtemps.
Par de petits mouvements de bassin, son gland frottait mon clitoris, ouvrait mes lèvres avant de se retirer, puis de revenir. Des soupirs de désir s’échappaient de ma bouche.
- J’ai beaucoup de chance Noémie… Si sensuelle…
- Viens en moi !
Lentement, il est entré. Bon sang ! Je sentais sa progression en moi ! Chaque poussée m’ouvrait pour lui. Un petit cri ! Un autre ! Le gland énorme contre l’endroit si sensible de mon vagin créait des sensations très forte alors qu’il était à peine en moi.
Je l’ai regardé et il avait un petit sourire. Le salaud savait très bien ce qu’il faisait. Un coup plus profond et un cri rauque sortait de ma gorge, puis des va et vient.
Il s’est redressé un peu et j’ai pu admirer son corps dans l’effort, encore plus beau, encore plus désirable. Je me pâmais sous lui, jouissais de plus en plus fort.
Tyron me jouait comme un virtuose d’un instrument de musique. Les orgasmes sont arrivés par vagues. C’était fort et bon ! FUN !
Tyron m’a mise en levrette et mon excitation a grimpé d’un cran. Ses mains puissantes ont saisi mes hanches et sa queue est entrée loin en moi, me faisant feuler de plaisir.
- Great ! Even french wifes like BBC!
J’ai crié de plaisir, crié le nom de Tyron. Je l’encourageais en français, en anglais… L’orgasme final a été grandiose. Mon corps tremblait, je peinais à reprendre ma respiration. Je l’ai entendu grogner et je l’ai senti se retirer, proche du plaisir.
Je me suis tournée et j’ai saisi sa hampe pour la branler. Les jets de sperme ont couvert mon ventre et mes seins. MMMMHHHHH ! J’allais avoir des chose à raconter à mon chéri.
On a pris une douche à deux mais même si on s’est savonné et que son érection est revenue, j’ai préféré mettre fin à notre nuit. Tyron est parti peu apprès, me laissant encore sur mon petit nuage.
Le lendemain, Tyron est ses amis faisaient une excursion qu’ils avaient prévu bien avant d’avoir fait ma connaissance. J’étais pour ma part très contente d’être seule. Vers 18h00, j’ai eu une longue conversation avec Paul et j’ai expliqué ce qui s’était passé, avec quand même pas mal d’appréhension. Paul m’a tout de suite rassuré. Je ne sentais pas de jalousie dans ses propos. Je ne lui ai rien caché, même pas que Tyron était plus « viril » en dessous de la ceinture.
J’ai bien senti par contre qu’il était plutôt content que je sois restée seule pour la fin de la nuit. Bien plus que le sexe, c’est l’intimité qui semblait lui faire peur et je le comprenais tout à fait.
Rassuré, il m’a dit de continuer à profiter et qu’il avait passé la nuit en étant très excité, se faisant des scénarios très érotiques.
Au cours de la journée, Tyron m’avait envoyé des photos de leur excursion et on s’était envoyé des textos de plus en plus axés sexe.
Vers 19h30, j’ai retrouvé Tyron dans le hall de l’hôtel.
- Où sont les autres ?
- Partis voir un spectacle.
- Oh !
- Et je me suis dit que j’allais te tenir compagnie si tu le voulais.
- J’ai été seule toute la journée donc je veux bien oui !
On a mangé ensemble et on a parlé de notre journée. On évitait soigneusement de parler de la veille.
- Noémie, je ne veux pas paraître trop curieux mais je voulais savoir si ton mari est au courant pour hier soir ?
- Oui, je lui ai tout raconté ce soir au téléphone.
- Vraiment ?
- Oui, tu ne pensais pas que je l’avais trompé quand même ?
- Honnêtement, je ne savais pas trop, même si j’avais l’impression que tu m’avais dit la vérité.
- Je t’ai dit la vérité Tyron. J’aime Paul et il est au courant de tout.
- D’accord, excuse-moi. Et il a réagi comment ?
- Bien ! Tu sais c’est quand même une suggestion de sa part. Je n’aurai rien fait sans ça.
- D’accord, tant mieux !
- …
- Noémie, si je demandais, c’est parce que j’ai pensé à toi toute la journée et que j’espérais qu’on pourrait peut-être coucher à nouveau ensemble. J’ai pris beaucoup de plaisir. Tu es la plus belle femme que j’ai rencontré et une amante incroyable
- Tu n’exagère pas un peu là ?
- Tu n’as pas idée du charme et de la sensualité que tu dégages !
- … Merci.
Ouah ! Il savait comment parler à une femme. D’abord, il s’inquiète de mon couple et ensuite me fait de très beaux compliments.
- Et si on allait quelque part et voir où nous emmène cette soirée ?
- Ça marche, j’ai l’endroit idéal pour ça.
A 10 minutes à peine en taxi, on entrait dans une sorte de bar branché. La musique style latino était un peu forte mais très entraînante et Tyron m’a tiré sur la piste de danse.
Ma robe légère s’adaptait très bien aux danses et compte tenu de la chaleur, Tyron avait ouvert sa chemise. On dansait, on rigolait. Les danses devenaient de plus en plus chaudes et comme on n’était pas à l’hôtel, je ne craignais pas qu’on me reconnaisse au bras d’un autre que Paul.
Sa peau luisait d’une fine couche de sueur. Ses muscles roulaient sous sa peau et on se touchait sans cesse. Nos lèvres étaient très proches. On a dansé pendant plus d’une heure avant que je ne prenne sa main pour rentrer à l‘hôtel. Tyron souriait et se pressait contre moi en attendant notre taxi.
Son désir ne faisait aucun doute si j’en croyais la bosse que je sentais contre moi. Durant le court trajet en taxi, on est resté sage mais la tension était forte. Toujours aussi respectueux de ma volonté de discrétion, on est rentré dans l’hôtel séparément et il est venu à ma chambre par un chemin différent du mien. En sueur tous les deux et empestant la cigarette ou autres trucs qu’ils fumaient, on a pris une douche rapide, gardant les caresses pour plus tard.
J’ai fait assoir Tyron au bord du lit et je me suis agenouillée devant lui. On avait beau ne pas s’être caressés, son sexe était déjà en train de durcir. J’ai passé mes mains sur ses cuisses et me rapprochant toujours plus de son sexe mais en l’évitant. J’ai caressé son torse puissant, excitée par le contraste de mes petites mains blanches sur sa peau noire.
Sa queue était maintenant totalement dressée, le gland décalotté. J’ai d’abord frotté ma joue contre son membre avant de faire des petits bisous à sa base. J’ai saisi son sexe à une main, puis deux, émerveillée par ce qui dépassait encore et par la puissance qu’il dégageait. Est-ce qu’il était vraiment entré en moi la veille ?
Un baiser sous le gland, un autre, un coup de langue. Tyron a levé les yeux au ciel en grognant de plaisir. J’ai souri de voir cet étalon à ma merci. Il attendait mes caresses, ma bouche. J’ai fait durer l’attente mais c’était aussi dur pour moi que pour lui. Mes coups de langue se faisaient plus longs, plus prononcés.
Enfin, j’ai embouché le gland, doux et énorme. Les gémissements de plaisirs et les mots d’encouragements se multipliaient. Il était dur comme du bois. Son goût était enivrant alors que le pré sperme coulait sur ma langue.
Autoritairement, Tyron a échangé les places et sa langue large et chaude est entrée en moi, m’a lapé, bu. Son majeur s’est insinué en moi alors que ses lèvres suçaient mon clito gorgé de désir. Mais rapidement, son majeur bien lubrifié a caressé mon anus, l’a assoupli avant de le pénétrer.
Paul est un artiste pour me donner du plaisir grâce à cette caresse et même si je ne trouvais pas Tyron aussi doué que Paul, mon excitation était à son comble et j’ai joui très fort.
J’ai attiré Tyron sur le lit pour qu’il s’allonge. Mains croisées derrière sa nuque, il attendait que je m’occupe de lui et il était magnifique comme ça. Biceps, épaules, pectoraux et abdos étaient superbement mis en valeur et son sexe se dressait fièrement. Après qu’il m’ait donné son accord d’un simple regard, j’ai pris une photo avec mon téléphone pour immortaliser le moment. Et sur une impulsion je l’ai transmise à Paul.
J’ai passé mon téléphone à Tyron et j’ai sucé encore un peu cette belle queue. Je savais que Tyron prenait des photos et rapidement, j’ai entendu mon téléphone vibrer.
Je suis passée sur lui et je me suis empalée lentement, par petits mouvements de bassin. Bon sang qu’il était épais ! J’ai eu une petite jouissance quand son gland était au plus profond de moi.
J’ai regardé Tyron qui souriait. Il m’a tendu mon téléphone et j’ai vu une série de photo envoyée à Paul. Sur les photos, on me voyait clairement prendre appui sur ses pectoraux. Et plus son sexe me pénétrait, plus mes doigts étaient crispés, plus mes ongles marquaient sa chair.
Le dernier message envoyé à Paul était une très courte vidéo de ma jouissance. Des gémissements de plaisir étaient audibles qui m’ont fait rougir.
Paul avait répondu aussitôt « Magnifique ! Splendide ! Tu es trop belle comme ça ! Profite !»
J’ai posé le téléphone et bougé mes hanches. Tyron me caressait, ou m’empalait en tenant fermement ma taille dans ses grandes mains. J’ai fermé les yeux pour profiter de la sensation. Pas d’amour, peu de tendresse mais un plaisir brut intense. Sa queue était bonne en moi.
J’ai joui fort et longtemps, 2 fois, avant que Tyron ne me prenne en levrette et qu’il me fasse hurler de plaisir. C’était viril, bestial, mais trop bon en même temps. Pendant peut-être 5 minutes, les orgasmes venaient, repartaient.
J’ai tourné la tête et presque poussé un cri de surprise. Mon téléphone était posé sur une petite étagère à la tête de lit et Paul était en visio sur WhatsApp, fasciné et clairement en train de se masturber.
Tyron jouait avec mon anus, rajoutant à l’excitation du moment. J’ai joui une nouvelle fois en voyant Paul éjaculer à l’écran. Tyron n’en pouvait plus et est sorti de moi, branlant son sexe pour arroser mes fesses et mon dos de son foutre.
Tyron s’est affalé sur le lit, essoufflé. Et je n’étais pas beaucoup mieux. J’ai réalisé que Paul m’avait vu sans filtre. Ne sachant pas que nous étions en visio, je n’avais pas eu à avoir peur de blesser l’homme que j’aime. Avait-il supporté de me voir jouir si fort ?
J’ai pris le téléphone.
- Coucou Paul !
- Coucou ma chérie !
- … Est-ce que… Ça va ?
- Oui Noémie, ne t’inquiètes pas. C’était voulu. Quand j’ai appelé, c’était pour vous voir ensemble et c’est moi qui ai fait comprendre à Tyron de pas te prévenir que j’étais spectateur.
- Donc tu es sûr, tu ne m’en veux pas ?
- Bien sûr que non, c’était très excitant.
Tyron était en train de se rhabiller et m’a envoyé un baiser avec sa main en passant la porte de la chambre d’hôtel.
- Vraiment ? Tu ne me mens pas ? Tu as vraiment trouvé ça excitant ?
- Je t’assure que oui ! Tu étais belle et j’ai adoré te voir prendre du plaisir. Et je n’ai pas besoin que tu me le dises pour savoir que c’était un plaisir très fort.
- Oui, c’était… Puissant !
- Comme ton amant…
- Oui ! Mais j’espère que tu sais que je t’aime et que c’est toi que je veux pour la vie dans mon lit.
- Je le sais ! Et je t’aime aussi ! Je rentre demain dans l’après-midi. On a réussi à boucler tout aujourd’hui finalement. Je viens d’avoir l’info qu’il allaient se débrouiller avec le reste.
J’ai sauté de joie. J’avais hâte de retrouver Paul.
- Tu n’es pas déçue que je rentre ? Ca va écourter tes ébats avec Tyron !
- Arrêtes de dire des bêtises !
- J’ai hâte que tu sois là.
- A demain ma puce.
Je me suis couchée avec l’excitation de revoir mon chéri et les restes des orgasmes terribles que m’avait donné Tyron. J’avais encore l’impression de sentir son gland buter au fond de moi et ses mains puissante tenir mes hanches.
J’ai envoyé un texto à Tyron. « Merci pour les moments de plaisir qu’on a partagé ensemble. Tu as été un amant parfait, autant du point de vue physique que pour le respect que tu nous as montré. Je suis désolé de te l’annoncer comme ça mais Paul sera de retour demain dans la journée donc notre petite escapade est finie. A demain ! »
Il m’a seulement répondu « Aucun problème, c’est normal et ça a été un plaisir ! »
J’ai profité des jours suivants avec Paul mais nous avons croisé mes nouveaux amis de temps en temps et mangé avec eux un midi.
La veille de notre départ, Paul est descendu chercher une bouteille de champagne au bar et je me suis hâtée de me préparer pour son retour. J’ai mis ma plus belle lingerie, une magnifique nuisette en soie et dentelles.
Paul est entré dans la chambre et je l’attendais dans l’un des fauteuils crapaud de la chambre dans une position que je voulais plutôt érotique. Paul a souri, m’a dévoré des yeux et a posé les verres sur la table basse.
J’ai mis un moment à réaliser qu’il y en avait trois. Paul souriait et m’a fait un clin d’œil avant de m’indiquer la porte. Tyron était dans l’embrasure du petit couloir entre la chambre et l’entrée de notre suite.
J’ai tout de suite compris que la soirée allait être exceptionnelle.
De manière irréelle, j’ai écouté les deux hommes parler de sport tout en me regardant. Puis, la conversation a dévié vers la situation personnelle de Tyron, son célibat récent, puis sur le fait que j’étais de loin la plus belle femme dont il ait pu profiter. Paul a réussi a lui faire avouer qu’il avait aimé plus que jamais auparavant le sexe avec moi, me faire jouir, lécher mes superbes seins.
Je coulais à les écouter, me demandant quand la soirée allait déraper. J’ai fait passer mes mains sur mes jambes douces, enlevé le chouchou qui retenait ma chevelure blonde, longue et bouclée.
Paul et Tyron étaient dans un petit canapé et me regardaient croiser et décroiser les jambes, mon abricot juteux offert à leur regards.
Paul m’a tendu la main et je suis allée sur ses genoux. On s’est embrassé et il senti à quel point j’avais envie que ça aille plus loin. Il était dur comme la pierre contre mon sexe.
Tyron caressait déjà ma cuisse du dos de ses doigts.
J’ai fait glisser les bretelles de ma nuisette pour exposer mes seins. Mes tétons étaient gonflés, durs. D’ordinaire déjà sensibles, je voulais qu’ils s’en occupent. J’ai souri quand j’ai vu qu’ils ne regardaient que mes seins.
- Tyron : Splendides !
- Paul : Plus que ça encore !
J’ai embrassé Paul avant de lui présenter un sein à téter. Puis j’ai tourné la tête vers Tyron je l’ai attiré à moi par la nuque pour lui rouler un patin et lui présenter ensuite le sein libre.
Je me sentais forte, maître de la situation. Leurs langues et leurs lèvres ! MMMMHHH ! Trop bon ! Ils avaient chacun une fesse dans la main aussi.
- Moi : tous les deux, ce soir, toute la nuit…
- Paul : Oui ! Juste pour toi !
Paul s’est levé et je me suis retrouvée entre les deux hommes. Paul devant moi, a embrassé le creux de mon cou, alors que Tyron embrassait mon épaule et ma nuque. Mon corps s’est couvert de frissons de désir. 4 mains chaudes se baladaient sur mon corps nu et bronzé maintenant que ma nuisette était en boule à mes pieds.
- Moi : Je veux vous sentir nus contre moi !
L’un et l’autre se sont déshabillés avec mon aide. J’aime le corps de mon mari, fin et musclé, une toison soignée sur le torse, douce et virile. Tyron, bien que sans un poil sur le corps, était tout aussi viril, large d’épaule, divinement musclé.
Ils se sont à nouveau collés à moi et Paul était dur contre mon ventre. Je sentais la belle queue de Tyron le long de ma colonne vertébrale. Je me suis mise à genoux et je les ai caressé, léchés. Je connais mon mari par cœur et pouvais l’emmener au bord de l’orgasme juste avant de stopper.
Je me tournais alors pour sucer Tyron. Ma main blanche, toute petite à la base de son sexe. Paul regardait en souriant alors que je prenais en bouche le gland gonflé.
Je me suis relevée et j’ai poussé Paul sur le lit pour glisser son sexe dans le mien. Dur comme la pierre, son sexe stimulait parfaitement l’endroit si sensible en moi. Tyron caressait mon dos et mes fesses, me dévorait la nuque. J’ai joui sur mon mari avant de me retirer et de m’allonger à côté de lui. Tyron est venu entre mes jambes et est entré en moi alors que Paul m’embrassait. J’ai gémi en sentant la queue de Tyron prendre possession de ma chatte.
- Paul : Depuis l’autre nuit, je voulais voir ça !
- Moi : MMMMMHHHH ! C’est bon mon amour !
- Paul : Sa grosse queue ?
- Moi : Oui ! Et que tu sois là ! J’aime… OOOOHHHH ! OUII !
Tyron allait loin, était gros en moi. Il a affermi sa prise sur mes hanches alors que Paul se reculait un peu pour regarder. Tyron souriait et profitait. Un coup de queue lent et profond et je me mordais la lèvre inférieure. Un autre et je gémissais. Un autre et un cri de plaisir sortait de ma gorge.
Paul s’était installé autrement et j’avais 4 mains sur mon corps. La queue de Tyron allait et venait en moi, déclenchant des ondes de plaisir intenses. Combiné avec les caresses de deux amants attentionnés, j’étais au paradis. J’ai joui fort et longtemps.
En levrette, Tyron m’a à nouveau fait jouir comme une folle alors que je donnais du plaisir à mon mari qui encourageais Tyron à bien me baiser. Pas de souci de ce point de vue-là !!!
Tyron était à bout et Paul également. J’ai accentué ma fellation, ravie d’entendre Paul prendre autant de plaisir. J’ai bien senti le sexe de mon mari se tendre encore dans ma bouche et ses jets de sperme tapisser mon palais. Presque simultanément, Tyron jouissait une nouvelle fois sur mes fesses et mon dos.
Après une douche bien méritée, on discutait autour d’une 2ème flute de champagne. On était debout et on rigolait bien, toujours nu. J’étais collée à Paul qui avait une main sur ma taille mais Tyron était proche de moi. Ma poitrine le fascinait.
Tyron a complimenté mon physique, et on a parlé fitness. Paul est plus du type course et endurance alors que Tyron et moi sommes plutôt cardio et salle de gym.
J’ai admiré son corps et passé la main sur son torse parfait. Son sexe a repris vie, magnifique.
J’ai embrassé Paul qui bandait à nouveau aussi.
- Paul : Profite mon amour, on part bientôt !
A deux mains, j’ai branlé doucement Tyron jusqu’à ce qu’il soit au maximum de sa taille et je l’ai fait coucher sur le lit. J’ai profité un peu de son corps avant de m’empaler lentement et délicieusement tout en ne quittant pas du regard mon mari.
Chaque coup de bassin me faisait voir les étoiles !
- Moi : Viens aussi mon amour ! J’ai envie !
Paul ne s’est pas fait prier. En deux minutes, mon anus était plus que prêt. Il s’est placé et est entré doucement alors que Tyron attendait pour bouger.
Un fois bien calés en moi, j’ai donné le signal et pour la première fois de ma vie, j’avais deux hommes en moi. Mon mari m’enculait et mon amant comblait mon sexe. En quelques minutes, j’étais méconnaissable, une boule de jouissance, incontrôlable. Ils ont tous les deux joui en moi, me laissant tremblante de l’orgasme phénoménal que je venais de vivre.
Ils me cajolaient tous les deux en rigolant doucement.
- Moi : Merci mon amour ! C’était incroyable.
- Paul : J’ai vu ! Et j’ai adoré.
- Tyron : Je n’ai pas de mots. C’est la première fois pour moi ave un couple. Je ne sais pas si ce serait pareil avec d’autres ou si c’est à cause de vous mais c’était très excitant et parfait.
- Paul : Si tu te comporte comme ça avec d’autres couples, tu n’auras pas de mal à renouveler l’expérience. Tes « performances » seraient très appréciées parmi les amateurs de libertinage.
- Tyron : Je regrette que vous partiez demain en tous cas…
- Paul : Je ne crois pas m’avancer beaucoup en disant que si tu viens en France, il faut absolument que tu nous contactes.
- Tyron : Aucune chance que j’oublie !
On est reparti en France avec des souvenirs inoubliables et en prime, une promotion pour Paul.
Environ 3 mois plus tard, nous avons reçu un texto. Tyron nous annonçait qu’il était en couple et qu’il n’était pas prévu qu’il puisse venir en France. Par contre il nous disait que son frère s’installait pour 6 mois à Paris et cherchait un logement disponible d’ici 2mois. Nous avons tout de suite proposé de le loger puisque notre appartement s’y prêtait.
Un deuxième message était envoyé peu après. « Je ne sais pas comment a évolué votre couple depuis notre rencontre mais Bryan est quelqu’un de respectueux et a la même façon de voir les choses que moi. Vous pourriez apprécier ses qualités lors de sa présence car Noémie essentiellement, lui trouvera au moins le mêmes atouts dont elle a profité avec moi. Je n’ai rien dit à Bryan sur ce qui s’est passé entre nous mais, plus jeune que moi et célibataire, je sais qu’il serait plus que ravi de profiter de ce séjour avec vous en France. Avec affection. Tyron » Une photo de Bryan était jointe. Il riait, totalement décontracté au bord d’une piscine et son physique n’avait rien à envier à Tyron.
J’ai regardé Paul qui souriait en me regardant.
- Paul : on se demandait quand se représenterait une occasion de revivre ce qu’on avait vécu là-bas. Il me semble que 2 mois, c’est un délai acceptable non ?
J’ai embrassé Paul en le tirant par a braguette vers la chambre. Quelle meilleure réponse à sa question ?
Avant de rencontrer Paul, j’ai eu quelques garçons dans mon lit, une ou deux filles aussi. Cette partie de ma sexualité a été pour Paul une source d’excitation maximale et, dans les bonnes circonstances et avec les bonnes personnes, je lui ai offert une fois un spectacle lesbien qu’il a adoré. L’autre fois, la fille était très attirée par un plan a trois et j’ai accepté. Si le début a été un peu à contre-cœur, j’ai finalement été ravie par l’expérience. Paul est un bon amant, vraiment endurant, et malgré l’excitation, il a réussi à nous donner beaucoup de plaisir. La fille était très jolie et mélange des corps était très jouissif.
Ce sont pour nous des souvenirs exceptionnels par leur intensité et surtout leur rareté car même si on est très ouvert sexuellement, on ne ressent pas le besoin que ça arrive souvent.
Voir Paul avec Marie n’avait pas été facile les première minutes mais la différence d’attitude de Paul envers elle ou moi était flagrante et m’avait rassurée.
De plus en plus, on pensait à se poser et faire un enfant.
Mon mari part 1 fois par an pendant 3 semaines dans la société mère de sa boîte aux Etats-Unis. D’habitude, il a un planning surchargé quand il va là-bas et en dehors d’une ou deux soirées et des dimanches, il bosse comme un fou donc aucun intérêt à me proposer de l’accompagner.
Cette fois, c’était un peu différent. Les projets étaient moins urgents et pour le récompenser de ses efforts, ils lui avaient promis que ce ne serait pas trop chargé. Quand il m’en a parlé, j’ai sauté sur l’occasion car n’ayant jamais été là-bas, j’avais vraiment envie de découvrir au moins une partie de cet immense pays.
L’hôtel était installé dans une partie assez touristique de Los Angeles et j’avais déjà hâte d’y être.
La première semaine a été cool. J’ai beaucoup profité de la piscine de l’hôtel pour parfaire mon bronzage et le soir, on profitait de la ville tous les deux.
Malheureusement, la semaine suivante, qui devait être encore plus calme pour Paul a été totalement chamboulée par un projet à 1000km de Los Angeles. Ses patrons voulaient absolument qu’il profite d’être sur place pour aider autant que possible et pour voir comment ils traitaient ici les situations de crise. Il ne pouvait pas refuser.
La semaine a commencé tranquillement. Je rencontrais au bord de la piscine des gens du monde entier. Paul me manquait mais ça allait quand même. C’est le mercredi que j’ai rencontré un groupe de 5 américains en vacances. Même âge, même train de vie, ni à dépenser sans compter, ni fauchés.
Etant seule, ils m’ont invité à les accompagner une fois ou deux et à partager leur dîner.
C’était le melting pot américain dans toute sa splendeur. Il y avait un couple entre une asiatique et un blanc, un couple entre une latino et un rouquin. Le cinquième membre de leur groupe d’amis était black, récemment célibataire.
Paul était ravi que j’ai rencontré du monde et que je sois moins seule. D’autant plus qu’il avait vraiment l’impression que son retour n’était pas pour tout de suite.
A plusieurs reprise, j’ai appelé Paul ou il m’a appelé alors que j’étais avec mes nouveaux amis. On se mettait en visio et comme ça il se sentait moins seul aussi.
Un soir, il m’a appelé alors que j’étais seule dans ma chambre, peu de temps avant de dormir.
- Tes amis ont l’air d’être vraiment très sympas.
- Oui, j’avoue que c’est agréable de les avoirs rencontrés. Heureusement que je parle anglais couramment, même si ça ne les empêches pas de se moquer de mes erreurs de langage assez souvent.
- Je suis content que tu ne t’ennuies pas de trop.
- Non, ça va… Même si tu me manque !
- Je sais, ça avait bien débuté et j’aimais vraiment beaucoup profiter de cet énorme lit avec toi.
- Moi aussi.
- Tu sais, n’importe quel mec sensé aimerait beaucoup prendre ma place… Tu es seule, entourée de mecs toute la journée au bord de la piscine, à leur montrer ton corps splendide…
- Arrête ! je ne ferais jamais ça et tu le sais ! D’ailleurs personne ne m’a dragué depuis au moins trois jours !
Paul a éclaté de rire.
- Quoi, ce n’est pas drôle ! Ce n’est pas parce que je ne répondrais pas à leur jeu de séduction que je n’ai pas un peu envie de me sentir désirée.
- Oh je m’en doute !
- Alors pourquoi tu ris ?
- Parce que il y a une bonne raison pour que tu ne sois pas abordée. Il ne t’est même pas venu à l’idée que les autres mecs te croient en couple avec Tyron ???
- Hein ???
J’ai réfléchis une seconde et des images ont défilé dans ma tête. Il était naturel que Tyron et moi soyons souvent côte à côte puisque les autres étaient en couple. Maintenant qu’il le disait, Tyron, ou moi d’ailleurs, avions une ou de fois passé notre bras autour de l’autre. C’était innocent de ma part mais était-ce vrai dans l’autre sens.
- Tu n’es pas jaloux de Tyron quand même ?
- Ce n’est pas ce que j’ai dit. J’ai dit qu’on pouvait vous croire en couple. Et je sais ce que j’ai vu dans ses yeux pendant les appels en visio quand il ne pensait pas être dans le champ de vision. Il y a du désir.
- Waow ! Je ne m’en suis pas aperçu ! Enfin, peut-être une fois ou deux mais je t’assure qu’il se comporte en gentleman.
- J’ai l’impression. Un gentleman bâti comme un top model. Tu as bien choisi ton chevalier servant.
- C’est vrai qu’il est pas mal !
- Attend, juste pas mal ?
- Peut-être un peu plus que pas mal, d’accord !
- Profite ma chérie, ce n’est pas tous les jours que je te laisse t’amuser avec un si beau mec en mon absence. Et regarde bien, tu verras l’attraction qu’il a pour toi.
- Oh ! Je ne sais pas si je vais voir de l’attraction mais fais attention, il y a plein de façon de s’amuser avec un mec comme Tyron !
- Je ne vois pas comment je pourrais t’en vouloir. Je te laisse toute seule je m’en veux beaucoup pour ça alors tu peux bien au moins te rincer l’œil non ?
On a rigolé un peu. Tyron était bien plus que pas mal. Tyron était même un spécimen masculin très agréable à regarder. Tout chez lui dégageait charme et virilité. Il était clair que son corps était sculpté par des heures et des heures de sport et en 5 jours, je ne l’avais jamais vu avec un verre d’alcool à la main ou en train de manger des trucs trop gras. Sa voix était grave et chaude et pour un américain, sans un accent trop fort, presque distingué.
Mais peu importe ses atouts indéniables, Tyron n’avait aucune chance. Paul est mon homme et je l’aime. Le tromper n’est même pas envisageable et je n’y ai d’ailleurs même pas pensé.
La journée suivante, j’ai fait des magasins avec les filles le matin et j’ai déjeuné avec elle en ville avec elles. Quand on est rentrés à l’hôtel, elles avaient prévues des activités avec leurs chéris respectifs donc je suis allée me baigner et bouquiner au bord de la piscine.
Au bout d’un moment, Tyron est arrivé.
- Bonjour, Noémie, Je peux me joindre à toi ?
Tyron arrivait de mieux en mieux à prononcer mon prénom mais ce n’était pas parfait et ça m’a fait sourire.
- Oui, bien sûr ! C’est vrai que tu as été abandonné aussi !
- Il y a pire que de passer l’après-midi en ta compagnie tu sais ?
On a parlé, lu, parlé encore, nagé…
Paul avait raison, j’avais dû être aveugle pour ne pas voir que je lui plaisais plus que pour une simple amitié. D’un autre côté, des filles toutes plus belles les unes que les autres lui faisaient les yeux doux. Pourquoi s’intéresser à moi ?
J’avais peut-être une petite idée. Je suis loin d’être moche ! Et j’ai plus d’esprit que la plupart des bimbos de cet hôtel ! Sans compter que le charme à la française rentrait sans doute en ligne de compte.
C’était discret et respectueux mais si ce n’est une volonté de séduire, il y avait au moins une volonté de me plaire. Plusieurs fois au cours de la journée, j’ai admiré son corps. Pas un poil de graisse, une peau lisse et un peu brillante, des épaules de déménageur, des bras qui auraient sans doute pu me casser en deux… Et pourtant son corps était harmonieux, musclé sans excès. Paul m’avait dit de me rincer l’œil et je n’ai pas refusé l’invitation.
J’avoue avoir laissé mes yeux s’attarder sur ses abdos en béton, sur ses pectoraux, sur ses cuisses puissante. Il est sorti de l’eau une et son short s’est collé à sa peau. J’ai rougi en voyant la bosse formée par son sexe. Il semblait puissant et viril là aussi. Plus tard, c’est son regard que j’ai senti parcourir mon corps alors que je m’étirais doucement sur mon bain de soleil. Son changement immédiat de position m’a confirmé qu’il appréciait ce qu’il voyait.
Le coup de fil avec Paul le soir même a beaucoup été axé sur mon après-midi avec Tyron. Paul me charriait gentiment, me posait beaucoup de question sur lui et sur mon état d’esprit. Est-ce qu’il me plaisait ? Est-ce qu’il était attiré ? Cherchait-il à me séduire ?
J’ai été honnête et j’ai dit que Tyron était vraiment bien foutu et charmant. Je voyais qu’il voulait me plaire mais c’était subtil.
- Ma chérie, je suis désolé mais j’ai encore 3 jours à passer ici.
- 3 jours !
- Oui, je sais que ce n’était pas prévu et mes patrons ont conscience que ce n’est pas génial du tout pour toi. Je vais sans doute toucher une prime pour les avoirs autant aidés.
- Tant mieux…
- Et si…
- Et si quoi ?
- Et si on en profitait pour réaliser quelque chose d’un peu coquin ?
- Coquin comment ? Tu es à 1000 km d’ici !
- Moi oui. Tyron non !
- Hein ?
- On a vécu des choses sympa pas tous les deux, et à trois quand tu as invité d’autres filles à nous rejoindre. C’était des moments magiques pour moi, la réalisation d’un fantasme ultime !
- …
- Je ne suis pas là mais je crois que t’autoriser à profiter du désir de Tyron pour toi serait « mon » cadeau ultime pour toi.
- Paul je…
- J’aurai dû te donner au minimum 2 orgasmes en moyenne par jour pendant ces « presque » vacances. Je crois que je peux bien t’offrir de manière détournée des moments de plaisir et d’excitation pour ces prochains jours non ?
On se connaît par cœur et on s’aime. On ne se cache rien. Même par le biais des écrans, je pouvais voir qu’il était très sérieux et en même temps détendu, les yeux rieurs. L’idée lui plaisait, l’excitait. Je reconnaissais les émotions par lesquelles il était passé alors que se mettaient en place les trios qu’on avait vécu.
- Après ce que tu m‘as dit hier, je l’ai plus observé et je ne peux pas nier qu’il est très désirable. Je sais que ce serait très fun ! Tu es vraiment sûr de toi ?
- Complètement. J’y pense depuis plusieurs jours et je t’assure que je suis totalement cool avec ça. Tu auras juste l’obligation de tout me raconter plus tard.
- Je n’imagine même pas garder ça pour moi mon chéri…
Quand on s’est dit au revoir et je t’aime, il a fait basculé volontairement la caméra de son PC et m’a montré son sexe en érection avant d’éteindre. Il était clairement excité par la situation et la possibilité de coucher avec un étalon comme Tyron me tentait de plus en plus. J’allais bien voir comment allait évoluer la journée du lendemain car on partait à 6 pour une journée au bord de la mer et une sortie en jet ski.
A mon réveil, ma décision était prise. Si Tyron voulait de moi, il m’aurait. Je m’étais réveillée une fois dans la nuit, en sueur et en proie à un désir très fort. Le rêve était torride et Tyron en était l’acteur principal.
J’ai mis mon bikini préféré. Il mettait magnifiquement ma poitrine en valeur car il n’a pas de soutien et on peut donc voir que ma poitrine est bien haute et ferme. Le bas laissait voir une bonne partie de mes fesses sans être vulgaire.
L’expression du visage de Tyron en me voyant arriver m’a conforté dans mon choix. On a été côte à côte toute la journée. Les quelques fois où on s’est touché, il n’y avait rien de provocateur mais la tension montait. J’étais aussi un peu plus ouverte, peut-être un peu plus de flirt de ma part.
C’est sur les jet ski doubles que tout a changé. Tout naturellement, les couples se sont mis ensembles et moi, j’ai été avec Tyron. J’ai dû m’accrocher à lui, sentir sa peau et ses muscles sous mes doigts. On a alterné le pilote. Lui aussi s’est un peu accroché à moi.
A un moment, alors que je pilotais, on était un peu à l’écart des autres et j’ai navigué au ralenti. Tyron avait les mains sur ma taille et était collé à moi. La bosse dure contre mes fesses était explicite sur son désir. Il a caressé mes cuisses lentement, presque timidement, s’attendant à une réaction de rejet mais c’est un soupir de désir qui est sorti de ma gorge.
- Noémie, je suis désolé.
- Attends, les autres seront bientôt là et on va rentrer au port. On n’a pas beaucoup de temps et je voudrais te dire quelque chose.
- D’accord, vas-y !
- Je sais que je t’attire mais je suis mariée.
- Noémie, je…
- Mais tu vas me laisser finir oui ??? Je t’ai dit qu’on n’avait plus beaucoup de temps !
- Excuse-moi !
- Bon… Paul sait que je te plais. C’est lui qui me l’a fait remarquer. On n’est pas particulièrement un couple libertin mais il est déjà arrivé qu’on « ouvre » notre couple. C’étaient des filles les autres fois…
- …
- J’ai aussi ressenti quelque chose pour toi. J’aime Paul, il n’est pas question d’amour là. Il est tout pour moi. Mais je suis ici sans lui… Et il est totalement pour me laisser « m’amuser » sans lui.
Ses mains ont recommencé à me caresser.
- Il rentre quand, dans deux ou trois jours, c’est ça ?
- C’est ça !
- Alors on a 2 ou trois jours très agréables qui nous attendent.
- Attends ! J’ai une condition… Personne d’autre que toi, moi ou Paul ne doit être au courant. Paul n’est pas un cocu ou un truc comme ça. C’est juste pour le fun… Et le plaisir. Mais je ne veux aucune répercussion pour Paul. En présence des autres tu dois faire comme s’il ne se passait rien.
- Je comprends et ça me va complètement.
Les autres arrivaient. Il est repassé devant pour piloter le jet ski jusqu’au port. En passant devant moi, il a fait exprès que son érection soit contre moi.
- Noémie, l’attente jusqu’à ce soir va être un supplice.
Apéro, rigolade, dîner. La soirée était géniale et Tyron tenait promesse, gentleman comme avant, plein d’attention pour moi mais rien de révélateur de notre discussion privée. Comme presque tous les soirs, on a dansé un peu et seulement l’espace de 30 secondes alors que les autres étaient absorbés par un spectacle de danse, on s’est laissé aller à quelques effleurements.
Je suis allée aux toilettes et j’ai regardé mon portable. Un texto de Paul « Je t’aime ! Quoi qu’il arrive, tu as mon soutien. Lâches toi et profite ! » J’ai juste répondu « Si quelque chose arrive, tu sauras tout. Je t’aime et à demain ! »
Oui, j’avais envie de Tyron. Et le texto de Paul me libérait. Je suis allée voir les autres et Tyron n’était pas avec eux mais je me doutais qu’il ferait le nécessaire pour me rejoindre. Bien qu’il ne soit que 22h00, j’ai dit que j’allais dans ma chambre en espérant faire une bonne nuit. Je n’avais pas l’impression de leur mentir.
A mi-chemin de ma chambre, au coin d’un mur, Tyron m’attendait.
- Tyron, les autres vont se douter…
- Stop ! Ils ne vont se douter de rien. Je leur ai fait croire que j’avais rencontré une fille hier à la piscine et qu’elle m’avait invité à aller la rejoindre en boîte ce soir. Ils pensent que je ne suis même pas dans l’hôtel.
J’ai souri et pris sa main. Son histoire était plus que plausible puisque j’avais déjà été témoin d’un truc comme ça presque chaque jour depuis que je le connaissais. La porte de ma chambre ( et de celle de Paul) s’est refermée derrière moi et la stature imposante de Tyron me dominait totalement, très, très proche de moi. Mes tétons juste couvert par le tissu de ma robe frôlaient son torse.
Tyron a pris mon visage dans ses mains et m’a embrassé. La tension était forte et le baiser m’a fait fondre, m’a libéré. J’ai passé les bras autour de sa taille et le baiser s’est prolongé, nos langues se mêlant. J’ai tiré sur son teeshirt pour le monter et il s’est écarté quelques secondes pour le retirer.
J’ai pu poser mes mains sur ses épaules et descendre sur ses pectoraux, ses côtes et ses abdos. La seule imperfection de son torse le rendait encore plus parfait, une cicatrice sur un des pectoraux que je n’ai pu m’empêcher d’embrasser.
Toujours debout tous les deux mais au bord du lit, nos vêtements tombaient. Tyron s’est attardé longtemps sur mes seins aux tétons sensibles avant de m’allonger sur le lit. La pression douce de son corps sur le mien était très excitante. Mon sexe était presque douloureux tant le désir était fort. J’étais déjà trempée depuis la balade en jet ski et encore plus après les quelques caresses sur la piste de danse.
Il s’est redressé le temps d’enlever son caleçon et m’a laissé l’admirer quelques instants.
Tyron ne me décevait pas du tout. Son sexe était dur comme la pierre, dressé avec une très légère courbure vers le haut. Il n’était pas exagérément long mais devait quand même faire 4 ou 5 cm de plus. Par contre, il était vraiment large, avec un gland qui me donnait des frissons de désir rien qu’à le regarder. La veine qui courrait sur le côté de la verge me faisait saliver d’envie.
- J’ai envie de toi depuis des jours Noémie… Et je ne pensais pas pouvoir obtenir mieux que te voir en bikini… Mais là… Magnifique !!!
C’était les premiers mots prononcé depuis qu’on avait passé la porte et ils étaient parfaits. En appui sur ses avant-bras, son bassin entre mes cuisses, j’ai passé mais mains dans son dos et sur ses flancs. Il n’était que muscles mais pourtant très doux. Sa peau si sombre contre la mienne m’excitait beaucoup.
Ses baisers étaient doux mais plein de passion refoulée depuis trop longtemps.
Par de petits mouvements de bassin, son gland frottait mon clitoris, ouvrait mes lèvres avant de se retirer, puis de revenir. Des soupirs de désir s’échappaient de ma bouche.
- J’ai beaucoup de chance Noémie… Si sensuelle…
- Viens en moi !
Lentement, il est entré. Bon sang ! Je sentais sa progression en moi ! Chaque poussée m’ouvrait pour lui. Un petit cri ! Un autre ! Le gland énorme contre l’endroit si sensible de mon vagin créait des sensations très forte alors qu’il était à peine en moi.
Je l’ai regardé et il avait un petit sourire. Le salaud savait très bien ce qu’il faisait. Un coup plus profond et un cri rauque sortait de ma gorge, puis des va et vient.
Il s’est redressé un peu et j’ai pu admirer son corps dans l’effort, encore plus beau, encore plus désirable. Je me pâmais sous lui, jouissais de plus en plus fort.
Tyron me jouait comme un virtuose d’un instrument de musique. Les orgasmes sont arrivés par vagues. C’était fort et bon ! FUN !
Tyron m’a mise en levrette et mon excitation a grimpé d’un cran. Ses mains puissantes ont saisi mes hanches et sa queue est entrée loin en moi, me faisant feuler de plaisir.
- Great ! Even french wifes like BBC!
J’ai crié de plaisir, crié le nom de Tyron. Je l’encourageais en français, en anglais… L’orgasme final a été grandiose. Mon corps tremblait, je peinais à reprendre ma respiration. Je l’ai entendu grogner et je l’ai senti se retirer, proche du plaisir.
Je me suis tournée et j’ai saisi sa hampe pour la branler. Les jets de sperme ont couvert mon ventre et mes seins. MMMMHHHHH ! J’allais avoir des chose à raconter à mon chéri.
On a pris une douche à deux mais même si on s’est savonné et que son érection est revenue, j’ai préféré mettre fin à notre nuit. Tyron est parti peu apprès, me laissant encore sur mon petit nuage.
Le lendemain, Tyron est ses amis faisaient une excursion qu’ils avaient prévu bien avant d’avoir fait ma connaissance. J’étais pour ma part très contente d’être seule. Vers 18h00, j’ai eu une longue conversation avec Paul et j’ai expliqué ce qui s’était passé, avec quand même pas mal d’appréhension. Paul m’a tout de suite rassuré. Je ne sentais pas de jalousie dans ses propos. Je ne lui ai rien caché, même pas que Tyron était plus « viril » en dessous de la ceinture.
J’ai bien senti par contre qu’il était plutôt content que je sois restée seule pour la fin de la nuit. Bien plus que le sexe, c’est l’intimité qui semblait lui faire peur et je le comprenais tout à fait.
Rassuré, il m’a dit de continuer à profiter et qu’il avait passé la nuit en étant très excité, se faisant des scénarios très érotiques.
Au cours de la journée, Tyron m’avait envoyé des photos de leur excursion et on s’était envoyé des textos de plus en plus axés sexe.
Vers 19h30, j’ai retrouvé Tyron dans le hall de l’hôtel.
- Où sont les autres ?
- Partis voir un spectacle.
- Oh !
- Et je me suis dit que j’allais te tenir compagnie si tu le voulais.
- J’ai été seule toute la journée donc je veux bien oui !
On a mangé ensemble et on a parlé de notre journée. On évitait soigneusement de parler de la veille.
- Noémie, je ne veux pas paraître trop curieux mais je voulais savoir si ton mari est au courant pour hier soir ?
- Oui, je lui ai tout raconté ce soir au téléphone.
- Vraiment ?
- Oui, tu ne pensais pas que je l’avais trompé quand même ?
- Honnêtement, je ne savais pas trop, même si j’avais l’impression que tu m’avais dit la vérité.
- Je t’ai dit la vérité Tyron. J’aime Paul et il est au courant de tout.
- D’accord, excuse-moi. Et il a réagi comment ?
- Bien ! Tu sais c’est quand même une suggestion de sa part. Je n’aurai rien fait sans ça.
- D’accord, tant mieux !
- …
- Noémie, si je demandais, c’est parce que j’ai pensé à toi toute la journée et que j’espérais qu’on pourrait peut-être coucher à nouveau ensemble. J’ai pris beaucoup de plaisir. Tu es la plus belle femme que j’ai rencontré et une amante incroyable
- Tu n’exagère pas un peu là ?
- Tu n’as pas idée du charme et de la sensualité que tu dégages !
- … Merci.
Ouah ! Il savait comment parler à une femme. D’abord, il s’inquiète de mon couple et ensuite me fait de très beaux compliments.
- Et si on allait quelque part et voir où nous emmène cette soirée ?
- Ça marche, j’ai l’endroit idéal pour ça.
A 10 minutes à peine en taxi, on entrait dans une sorte de bar branché. La musique style latino était un peu forte mais très entraînante et Tyron m’a tiré sur la piste de danse.
Ma robe légère s’adaptait très bien aux danses et compte tenu de la chaleur, Tyron avait ouvert sa chemise. On dansait, on rigolait. Les danses devenaient de plus en plus chaudes et comme on n’était pas à l’hôtel, je ne craignais pas qu’on me reconnaisse au bras d’un autre que Paul.
Sa peau luisait d’une fine couche de sueur. Ses muscles roulaient sous sa peau et on se touchait sans cesse. Nos lèvres étaient très proches. On a dansé pendant plus d’une heure avant que je ne prenne sa main pour rentrer à l‘hôtel. Tyron souriait et se pressait contre moi en attendant notre taxi.
Son désir ne faisait aucun doute si j’en croyais la bosse que je sentais contre moi. Durant le court trajet en taxi, on est resté sage mais la tension était forte. Toujours aussi respectueux de ma volonté de discrétion, on est rentré dans l’hôtel séparément et il est venu à ma chambre par un chemin différent du mien. En sueur tous les deux et empestant la cigarette ou autres trucs qu’ils fumaient, on a pris une douche rapide, gardant les caresses pour plus tard.
J’ai fait assoir Tyron au bord du lit et je me suis agenouillée devant lui. On avait beau ne pas s’être caressés, son sexe était déjà en train de durcir. J’ai passé mes mains sur ses cuisses et me rapprochant toujours plus de son sexe mais en l’évitant. J’ai caressé son torse puissant, excitée par le contraste de mes petites mains blanches sur sa peau noire.
Sa queue était maintenant totalement dressée, le gland décalotté. J’ai d’abord frotté ma joue contre son membre avant de faire des petits bisous à sa base. J’ai saisi son sexe à une main, puis deux, émerveillée par ce qui dépassait encore et par la puissance qu’il dégageait. Est-ce qu’il était vraiment entré en moi la veille ?
Un baiser sous le gland, un autre, un coup de langue. Tyron a levé les yeux au ciel en grognant de plaisir. J’ai souri de voir cet étalon à ma merci. Il attendait mes caresses, ma bouche. J’ai fait durer l’attente mais c’était aussi dur pour moi que pour lui. Mes coups de langue se faisaient plus longs, plus prononcés.
Enfin, j’ai embouché le gland, doux et énorme. Les gémissements de plaisirs et les mots d’encouragements se multipliaient. Il était dur comme du bois. Son goût était enivrant alors que le pré sperme coulait sur ma langue.
Autoritairement, Tyron a échangé les places et sa langue large et chaude est entrée en moi, m’a lapé, bu. Son majeur s’est insinué en moi alors que ses lèvres suçaient mon clito gorgé de désir. Mais rapidement, son majeur bien lubrifié a caressé mon anus, l’a assoupli avant de le pénétrer.
Paul est un artiste pour me donner du plaisir grâce à cette caresse et même si je ne trouvais pas Tyron aussi doué que Paul, mon excitation était à son comble et j’ai joui très fort.
J’ai attiré Tyron sur le lit pour qu’il s’allonge. Mains croisées derrière sa nuque, il attendait que je m’occupe de lui et il était magnifique comme ça. Biceps, épaules, pectoraux et abdos étaient superbement mis en valeur et son sexe se dressait fièrement. Après qu’il m’ait donné son accord d’un simple regard, j’ai pris une photo avec mon téléphone pour immortaliser le moment. Et sur une impulsion je l’ai transmise à Paul.
J’ai passé mon téléphone à Tyron et j’ai sucé encore un peu cette belle queue. Je savais que Tyron prenait des photos et rapidement, j’ai entendu mon téléphone vibrer.
Je suis passée sur lui et je me suis empalée lentement, par petits mouvements de bassin. Bon sang qu’il était épais ! J’ai eu une petite jouissance quand son gland était au plus profond de moi.
J’ai regardé Tyron qui souriait. Il m’a tendu mon téléphone et j’ai vu une série de photo envoyée à Paul. Sur les photos, on me voyait clairement prendre appui sur ses pectoraux. Et plus son sexe me pénétrait, plus mes doigts étaient crispés, plus mes ongles marquaient sa chair.
Le dernier message envoyé à Paul était une très courte vidéo de ma jouissance. Des gémissements de plaisir étaient audibles qui m’ont fait rougir.
Paul avait répondu aussitôt « Magnifique ! Splendide ! Tu es trop belle comme ça ! Profite !»
J’ai posé le téléphone et bougé mes hanches. Tyron me caressait, ou m’empalait en tenant fermement ma taille dans ses grandes mains. J’ai fermé les yeux pour profiter de la sensation. Pas d’amour, peu de tendresse mais un plaisir brut intense. Sa queue était bonne en moi.
J’ai joui fort et longtemps, 2 fois, avant que Tyron ne me prenne en levrette et qu’il me fasse hurler de plaisir. C’était viril, bestial, mais trop bon en même temps. Pendant peut-être 5 minutes, les orgasmes venaient, repartaient.
J’ai tourné la tête et presque poussé un cri de surprise. Mon téléphone était posé sur une petite étagère à la tête de lit et Paul était en visio sur WhatsApp, fasciné et clairement en train de se masturber.
Tyron jouait avec mon anus, rajoutant à l’excitation du moment. J’ai joui une nouvelle fois en voyant Paul éjaculer à l’écran. Tyron n’en pouvait plus et est sorti de moi, branlant son sexe pour arroser mes fesses et mon dos de son foutre.
Tyron s’est affalé sur le lit, essoufflé. Et je n’étais pas beaucoup mieux. J’ai réalisé que Paul m’avait vu sans filtre. Ne sachant pas que nous étions en visio, je n’avais pas eu à avoir peur de blesser l’homme que j’aime. Avait-il supporté de me voir jouir si fort ?
J’ai pris le téléphone.
- Coucou Paul !
- Coucou ma chérie !
- … Est-ce que… Ça va ?
- Oui Noémie, ne t’inquiètes pas. C’était voulu. Quand j’ai appelé, c’était pour vous voir ensemble et c’est moi qui ai fait comprendre à Tyron de pas te prévenir que j’étais spectateur.
- Donc tu es sûr, tu ne m’en veux pas ?
- Bien sûr que non, c’était très excitant.
Tyron était en train de se rhabiller et m’a envoyé un baiser avec sa main en passant la porte de la chambre d’hôtel.
- Vraiment ? Tu ne me mens pas ? Tu as vraiment trouvé ça excitant ?
- Je t’assure que oui ! Tu étais belle et j’ai adoré te voir prendre du plaisir. Et je n’ai pas besoin que tu me le dises pour savoir que c’était un plaisir très fort.
- Oui, c’était… Puissant !
- Comme ton amant…
- Oui ! Mais j’espère que tu sais que je t’aime et que c’est toi que je veux pour la vie dans mon lit.
- Je le sais ! Et je t’aime aussi ! Je rentre demain dans l’après-midi. On a réussi à boucler tout aujourd’hui finalement. Je viens d’avoir l’info qu’il allaient se débrouiller avec le reste.
J’ai sauté de joie. J’avais hâte de retrouver Paul.
- Tu n’es pas déçue que je rentre ? Ca va écourter tes ébats avec Tyron !
- Arrêtes de dire des bêtises !
- J’ai hâte que tu sois là.
- A demain ma puce.
Je me suis couchée avec l’excitation de revoir mon chéri et les restes des orgasmes terribles que m’avait donné Tyron. J’avais encore l’impression de sentir son gland buter au fond de moi et ses mains puissante tenir mes hanches.
J’ai envoyé un texto à Tyron. « Merci pour les moments de plaisir qu’on a partagé ensemble. Tu as été un amant parfait, autant du point de vue physique que pour le respect que tu nous as montré. Je suis désolé de te l’annoncer comme ça mais Paul sera de retour demain dans la journée donc notre petite escapade est finie. A demain ! »
Il m’a seulement répondu « Aucun problème, c’est normal et ça a été un plaisir ! »
J’ai profité des jours suivants avec Paul mais nous avons croisé mes nouveaux amis de temps en temps et mangé avec eux un midi.
La veille de notre départ, Paul est descendu chercher une bouteille de champagne au bar et je me suis hâtée de me préparer pour son retour. J’ai mis ma plus belle lingerie, une magnifique nuisette en soie et dentelles.
Paul est entré dans la chambre et je l’attendais dans l’un des fauteuils crapaud de la chambre dans une position que je voulais plutôt érotique. Paul a souri, m’a dévoré des yeux et a posé les verres sur la table basse.
J’ai mis un moment à réaliser qu’il y en avait trois. Paul souriait et m’a fait un clin d’œil avant de m’indiquer la porte. Tyron était dans l’embrasure du petit couloir entre la chambre et l’entrée de notre suite.
J’ai tout de suite compris que la soirée allait être exceptionnelle.
De manière irréelle, j’ai écouté les deux hommes parler de sport tout en me regardant. Puis, la conversation a dévié vers la situation personnelle de Tyron, son célibat récent, puis sur le fait que j’étais de loin la plus belle femme dont il ait pu profiter. Paul a réussi a lui faire avouer qu’il avait aimé plus que jamais auparavant le sexe avec moi, me faire jouir, lécher mes superbes seins.
Je coulais à les écouter, me demandant quand la soirée allait déraper. J’ai fait passer mes mains sur mes jambes douces, enlevé le chouchou qui retenait ma chevelure blonde, longue et bouclée.
Paul et Tyron étaient dans un petit canapé et me regardaient croiser et décroiser les jambes, mon abricot juteux offert à leur regards.
Paul m’a tendu la main et je suis allée sur ses genoux. On s’est embrassé et il senti à quel point j’avais envie que ça aille plus loin. Il était dur comme la pierre contre mon sexe.
Tyron caressait déjà ma cuisse du dos de ses doigts.
J’ai fait glisser les bretelles de ma nuisette pour exposer mes seins. Mes tétons étaient gonflés, durs. D’ordinaire déjà sensibles, je voulais qu’ils s’en occupent. J’ai souri quand j’ai vu qu’ils ne regardaient que mes seins.
- Tyron : Splendides !
- Paul : Plus que ça encore !
J’ai embrassé Paul avant de lui présenter un sein à téter. Puis j’ai tourné la tête vers Tyron je l’ai attiré à moi par la nuque pour lui rouler un patin et lui présenter ensuite le sein libre.
Je me sentais forte, maître de la situation. Leurs langues et leurs lèvres ! MMMMHHH ! Trop bon ! Ils avaient chacun une fesse dans la main aussi.
- Moi : tous les deux, ce soir, toute la nuit…
- Paul : Oui ! Juste pour toi !
Paul s’est levé et je me suis retrouvée entre les deux hommes. Paul devant moi, a embrassé le creux de mon cou, alors que Tyron embrassait mon épaule et ma nuque. Mon corps s’est couvert de frissons de désir. 4 mains chaudes se baladaient sur mon corps nu et bronzé maintenant que ma nuisette était en boule à mes pieds.
- Moi : Je veux vous sentir nus contre moi !
L’un et l’autre se sont déshabillés avec mon aide. J’aime le corps de mon mari, fin et musclé, une toison soignée sur le torse, douce et virile. Tyron, bien que sans un poil sur le corps, était tout aussi viril, large d’épaule, divinement musclé.
Ils se sont à nouveau collés à moi et Paul était dur contre mon ventre. Je sentais la belle queue de Tyron le long de ma colonne vertébrale. Je me suis mise à genoux et je les ai caressé, léchés. Je connais mon mari par cœur et pouvais l’emmener au bord de l’orgasme juste avant de stopper.
Je me tournais alors pour sucer Tyron. Ma main blanche, toute petite à la base de son sexe. Paul regardait en souriant alors que je prenais en bouche le gland gonflé.
Je me suis relevée et j’ai poussé Paul sur le lit pour glisser son sexe dans le mien. Dur comme la pierre, son sexe stimulait parfaitement l’endroit si sensible en moi. Tyron caressait mon dos et mes fesses, me dévorait la nuque. J’ai joui sur mon mari avant de me retirer et de m’allonger à côté de lui. Tyron est venu entre mes jambes et est entré en moi alors que Paul m’embrassait. J’ai gémi en sentant la queue de Tyron prendre possession de ma chatte.
- Paul : Depuis l’autre nuit, je voulais voir ça !
- Moi : MMMMMHHHH ! C’est bon mon amour !
- Paul : Sa grosse queue ?
- Moi : Oui ! Et que tu sois là ! J’aime… OOOOHHHH ! OUII !
Tyron allait loin, était gros en moi. Il a affermi sa prise sur mes hanches alors que Paul se reculait un peu pour regarder. Tyron souriait et profitait. Un coup de queue lent et profond et je me mordais la lèvre inférieure. Un autre et je gémissais. Un autre et un cri de plaisir sortait de ma gorge.
Paul s’était installé autrement et j’avais 4 mains sur mon corps. La queue de Tyron allait et venait en moi, déclenchant des ondes de plaisir intenses. Combiné avec les caresses de deux amants attentionnés, j’étais au paradis. J’ai joui fort et longtemps.
En levrette, Tyron m’a à nouveau fait jouir comme une folle alors que je donnais du plaisir à mon mari qui encourageais Tyron à bien me baiser. Pas de souci de ce point de vue-là !!!
Tyron était à bout et Paul également. J’ai accentué ma fellation, ravie d’entendre Paul prendre autant de plaisir. J’ai bien senti le sexe de mon mari se tendre encore dans ma bouche et ses jets de sperme tapisser mon palais. Presque simultanément, Tyron jouissait une nouvelle fois sur mes fesses et mon dos.
Après une douche bien méritée, on discutait autour d’une 2ème flute de champagne. On était debout et on rigolait bien, toujours nu. J’étais collée à Paul qui avait une main sur ma taille mais Tyron était proche de moi. Ma poitrine le fascinait.
Tyron a complimenté mon physique, et on a parlé fitness. Paul est plus du type course et endurance alors que Tyron et moi sommes plutôt cardio et salle de gym.
J’ai admiré son corps et passé la main sur son torse parfait. Son sexe a repris vie, magnifique.
J’ai embrassé Paul qui bandait à nouveau aussi.
- Paul : Profite mon amour, on part bientôt !
A deux mains, j’ai branlé doucement Tyron jusqu’à ce qu’il soit au maximum de sa taille et je l’ai fait coucher sur le lit. J’ai profité un peu de son corps avant de m’empaler lentement et délicieusement tout en ne quittant pas du regard mon mari.
Chaque coup de bassin me faisait voir les étoiles !
- Moi : Viens aussi mon amour ! J’ai envie !
Paul ne s’est pas fait prier. En deux minutes, mon anus était plus que prêt. Il s’est placé et est entré doucement alors que Tyron attendait pour bouger.
Un fois bien calés en moi, j’ai donné le signal et pour la première fois de ma vie, j’avais deux hommes en moi. Mon mari m’enculait et mon amant comblait mon sexe. En quelques minutes, j’étais méconnaissable, une boule de jouissance, incontrôlable. Ils ont tous les deux joui en moi, me laissant tremblante de l’orgasme phénoménal que je venais de vivre.
Ils me cajolaient tous les deux en rigolant doucement.
- Moi : Merci mon amour ! C’était incroyable.
- Paul : J’ai vu ! Et j’ai adoré.
- Tyron : Je n’ai pas de mots. C’est la première fois pour moi ave un couple. Je ne sais pas si ce serait pareil avec d’autres ou si c’est à cause de vous mais c’était très excitant et parfait.
- Paul : Si tu te comporte comme ça avec d’autres couples, tu n’auras pas de mal à renouveler l’expérience. Tes « performances » seraient très appréciées parmi les amateurs de libertinage.
- Tyron : Je regrette que vous partiez demain en tous cas…
- Paul : Je ne crois pas m’avancer beaucoup en disant que si tu viens en France, il faut absolument que tu nous contactes.
- Tyron : Aucune chance que j’oublie !
On est reparti en France avec des souvenirs inoubliables et en prime, une promotion pour Paul.
Environ 3 mois plus tard, nous avons reçu un texto. Tyron nous annonçait qu’il était en couple et qu’il n’était pas prévu qu’il puisse venir en France. Par contre il nous disait que son frère s’installait pour 6 mois à Paris et cherchait un logement disponible d’ici 2mois. Nous avons tout de suite proposé de le loger puisque notre appartement s’y prêtait.
Un deuxième message était envoyé peu après. « Je ne sais pas comment a évolué votre couple depuis notre rencontre mais Bryan est quelqu’un de respectueux et a la même façon de voir les choses que moi. Vous pourriez apprécier ses qualités lors de sa présence car Noémie essentiellement, lui trouvera au moins le mêmes atouts dont elle a profité avec moi. Je n’ai rien dit à Bryan sur ce qui s’est passé entre nous mais, plus jeune que moi et célibataire, je sais qu’il serait plus que ravi de profiter de ce séjour avec vous en France. Avec affection. Tyron » Une photo de Bryan était jointe. Il riait, totalement décontracté au bord d’une piscine et son physique n’avait rien à envier à Tyron.
J’ai regardé Paul qui souriait en me regardant.
- Paul : on se demandait quand se représenterait une occasion de revivre ce qu’on avait vécu là-bas. Il me semble que 2 mois, c’est un délai acceptable non ?
J’ai embrassé Paul en le tirant par a braguette vers la chambre. Quelle meilleure réponse à sa question ?
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aime beaucoup la manière avec laquelle vous nous emmenez dans un univers erotique mêlant sensualité et transgression.
J’attendais avec impatience d’autres histoires de votre part.
J’ai été déçue du je prends 1 amant et je nique sans capotes.
Sinon le reste c’est excellent comme d’hab.
J’ai été déçue du je prends 1 amant et je nique sans capotes.
Sinon le reste c’est excellent comme d’hab.