Nouvelle expérience
Récit érotique écrit par Pcai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2005 dans la catégorie Plus on est
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Nouvelle expérience
Il y a quelques mois je vous avais raconté notre première expérience de triolisme avec notre ami Bernard. Depuis cette expérience, il nous arrivait Marie-Laure et moi de regarder le film de cette soirée mémorable. A chaque fois, nous finissions par faire l’amour dans un état d’excitation terrible. Aussi, lorsque Bernard occasionnellement sur Paris, nous téléphona pour nous proposer une sortie au restaurant j’acceptais cette invitation pour le lendemain sans hésitation. Le soir venu je l’annonçais triomphalement à ma femme qui tempéra immédiatement mon enthousiasme me déclarant ne pas souhaiter renouveler cette expérience. Je téléphonais donc à Bernard pour annuler notre rencontre. Bernard, nous indiqua alors être très déçus car il ne devait par revenir avant plusieurs mois sur Paris et aurait aimé nous revoir en tout bien tout honneur. Devant son insistance, Marie-Laure fini pas céder non sans m’avertir qu’elle ne comptait pas accepter les dérapages de notre dernière rencontre.
Le lendemain, nous nous préparions donc à aller chercher Bernard à son domicile pour ensuite aller ensemble dîner dans un bon restaurant de la capitale.
Comme à son habitude Marie-Laure apporta un soin tout particulier à sa tenue, élégante et sexy. Un chemisier de soie bleu de la couleur de ses yeux sous un tailleur léger blanc bas, chaussures à hauts talons et sac assortis. Ses cheveux blonds en cascade faisait de mon épouse une femme de 45 ans sexy et inaccessible à la fois. Marie-Laure ne portant que très rarement un soutien-gorge, je devinais ses seins nus lourds et fermes à la fois danser sous la soie. Pour ma part j’avais opté pour un costume bleu ciel en alpaga léger.
Nous voici donc en route pour cette soirée, Marie-Laure semblait un peu crispée et tout en roulant, je la rassurais sur cette soirée qui n’avait pour but que de partager un bon repas.
Arrivés chez Bernard nous sonnons à sa porte, il nous ouvre alors tout sourire fait la bise à Marie-Laure, me sert la main puis nous invite à entrer dans son salon. Là à notre surprise nous constatons qu’une table est dressée avec cinq couverts. Bernard nous explique alors que son frère et un ami doivent nous rejoindre et que si cela ne nous dérange pas ne sachant pas à quelle heure ils doivent arriver, il a fait livrer un repas froid par un traiteur. Nous sommes bien évidemment très déçus mais ne pouvons alors qu’accepter. Bernard nous propose alors d’ouvrir une bouteille de champagne à nos retrouvailles. Nous trinquons donc et parlons de choses et d’autres. Mon épouse voyant que Bernard ne fait aucune allusion à notre précédente soirée commence à se détendre et à partager notre discussion. Deux heures et trois bouteilles de champagne plus tard nous entendons enfin la sonnette sonner. Deux hommes entrent alors Alain le Frère de Bernard et Félix son camarade. Alain est un homme de 40 ans petit et relativement gros environ 100 kg pour 1,70 mètres, Félix est un camerounais de 35 ans assez grand environ 1,80 et sportif. Alain nous demande d’excuser leur retard et nous explique que lui et Félix qui sont collègue dans une grande entreprise en province sont actuellement en stage informatique de l’autre côté de la banlieue parisienne. Bernard propose alors d’ouvrir une dernière bouteille de champagne puis de passer à table. Il était temps car l’alcool commençait à nous tourner la tête. Pendant, tout le repas chacun essaya d’animer les discussions et les plaisanteries. L’alcool le repas se termina dans la bonne humeur. Bernard nous proposa de passer au salon, mis de la musique et nous proposa un digestif. Alain et Félix prirent place dans les fauteuils Bernard, Marie-Laure et moi dans le canapé. Il faut avouer que nous étions tous bien chauds et tout naturellement la discussion s’orienta vers le sexe. D’abord des plaisanteries puis Bernard tout naturellement déclara que ma femme suçait à merveille tout en posant sa main gauche sur sa cuisse dans une attitude possessive. Il y eut un blanc dans la conversation. Marie-Laure me regarda, affolée et rougissante, Alain et Félix regardaient tour à tour Bernard, mon épouse et moi-même quant à moi je regardais tout le monde. Seul Bernard semblait trouver tout cela naturel. Afin, de détendre l’atmosphère j’éclatais de rire et confirmais les qualités buccales de ma femme. Marie-Laure rougit encore plus et protesta tout en essayant de retirer la main de Bernard de sa cuisse. Je me penchais lui murmurais de se laisser faire puis lui glissais ma langue dans l’oreille. Je sais qu’elle adore cette caresse. Je pris alors sa main qui essayait de se défaire de l’emprise de Bernard et délicatement, mais fermement la déposais sur mon sex. Alain et Félix ne disaient plus rien et nous regardaient fixement. Bernard avait profité de la libération de sa main pour remonter la jupe de Marie-Laure dévoilant une grande partie de ses cuisses, la lisière de ses bas et une partie du porte-jarretelles. Je prie alors le visage de Marie-Laure dans mes mains et l’embrassais tendrement. Des larmes coulaient sur ses joues. Je les léchais et doucement je lui demandais si elle voulait que l’on parte. Elle me regarda et me dit seulement « tu veux que je reste ». A mon regard elle compris mon choix. Elle me dit alors « Que vas-tu penser de moi… après ». Mes seuls mots furent alors « que l’on s’aime ». Marie-Laure m’embrassa à son tour avec tendresse, puis posa sa tête dans le creux de mon épaule et ferma les yeux. Bernard avait suivi notre conversation et suspendu sa progression se contentant de caresser la bande de chair au-dessus de la lisère des bas de ma femme. De ma main gauche, je déboutonnais alors la veste de Marie-Laure et aidé de Bernard en débarrassais Marie-Laure. A travers son chemiser blanc, les auréoles de ses seins se dessinaient au milieu desquels pointaient ses mamelons. Alain et Félix ne parlaient plus, ne bougeaient plus mais n’en perdaient pas une miette vu l’état de leur pantalon. Je défis alors un à un les boutons du chemisier, puis écartant chaque pan je libérais les seins de mon épouse. Bernard les soupesa délicatement, puis les caressa pour finir par les sucer. Je libérais alors mon sexe et posais délicatement la main gauche de Marie-Laure dessus. Les yeux toujours fermés elle commença à me caresser. Je fis alors signe à Alain et Félix de nous rejoindre. Il se levèrent et déplacèrent la table basse. Je redressais alors Marie-Laure sur le canapé. Bernard se libéra à son tour et déposa à son tour la main droite de Marie-Laure sur son sexe. Ma femme était merveilleusement belle ainsi la tête posée sur le dossier du canapé les yeux fermés, le chemisier ouvert, les seins caressés par Bernard et moi-même, la jupe relevée à la lisière de son string les jambes légèrement écartées. Je regrettais alors de n’avoir emporté mon appareil photos tans j’aurais aimé immortaliser ce moment. Alain et Félix n’avaient pas perdu leur temps et ils arrivèrent nus comme des vers. Je fus impressionné par le sexe de Félix, qui faisait honneur à la réputation de sa race. J’avoue que j’étais heureux que Marie-Laure reste les yeux fermés. Alain s’attaqua alors aux boutons de la jupe et tira dessus. Marie-Laure se souleva pour l’aider à la faire glisser le long de ses jambes. Bernard et moi de notre côté la débarrassions de son chemisier. Marie-Laure était alors juste vêtue de ses escarpins, ses bas son porte-jarretelles et son string blancs. Alain lui ôta immédiatement ce dernier rempart. Là nous sommes restés tous les quatre à la regarder nue. Sa petite chatte blonde semblait nous sourire. Alain écarta alors les cuisses de Marie-Laure qu’il déposa sur chacune de ses épaules offrant à nous tous une vue imprenable sur son trésor. Puis, il plongea sa langue au plus profond de son intimité. On ne voyait plus que le corps d’Alain dont les amas de graisse étaient entourés des deux jambes fluettes de Marie-Laure. Toutefois, sa langue devait être plus agile que le reste de son anatomie car j’entendais le souffle de mon épouse déjà s’accélérer. Des yeux, Félix me demanda l’autorisation d’approcher. Je lui fis signe qu’il pouvait. Alors, il « escalada » le canapé et le sexe à la main l’approcha de la bouche de Marie-Laure. J’étais fasciné et regardais cette bite s’approcher délicatement des lèvres de mon épouse. Lorsqu’elle toucha la bouche Marie-Laure ouvrit les yeux et eu un geste de recule. Félix posa gentiment sa main derrière la tête de Marie-Laure et rapprocha ses lèvres de son sexe. Les yeux de Marie-Laure allaient de ce sexe de belle taille noir à mes yeux. Je souriais et regardais cette lente progression. Puis le gland vint au contact des lèvres. Félix continua à faire pression sur la nuque de ma femme. Je vis ses lèvres alors s’entrouvrir et inexorablement cette bite noire ébène s’enfoncer dans la bouche de Marie-Laure. C’était d’un érotisme fou. Félix abandonna la nuque de Marie-Laure pour lui caresser les seins que Bernard et moi avions abandonnés tout à notre contemplation. Marie-Laure délassa aussi nos bites pour attraper celle de Félix et commença un lent mouvement de va et vient. C’était merveilleux de voir cette bite noire glisser entre les lèvres de Marie-Laure qui maintenant l’engloutissait presque aux trois quarts pour ressortir mouillée de salive puis replonger. De temps à autre je voyais alors la langue de ma femme danser sur le gland de Félix, pour descendre le long de sa colonne de chaire et venir aspirer ses couilles pour reprendre le chemin inverse et engloutir à nouveau cette énorme bite. J’entendis alors Félix déclarer tout haut « c’est vrai cette salope qu’elle suce bien ». Cette déclaration me choqua pour le qualificatif employé devant mes « amis », mais m’excita alors au plus haut point. Ma femme aussi semblait avoir entendu et au lieu de s’offusquer, ferma à nouveau les yeux et redoubla d’ardeur. Alain de son côté continuait à brouter le minou de Marie-Laure. Peu de temps après Marie-Laure se crispa, délaissa la bite de Félix et eu un formidable orgasme. Elle ouvrit les yeux et se pencha pour m’embrasser. Je demandais alors à Marie-Laure de s’agenouiller devant moi et de ma sucer. Elle glissa le long de mes cuisses et se positionna entre elles. Elle m’aida à me libérer complètement et me commença à me sucer. Sa langue allait de mon gland, à mes couilles essayant parfois de me pénétrer. Sa main vint me caresser les fesses. Bientôt elle glissa un doigt puis deux au fond de mon anus. Les trois autres nous regardaient, puis Alain s’approcha le sexe couvert à la main. Il semblait si petit sous cet énorme ventre qu’il disparue de ma vue lorsqu’il se mit à genoux derrière Marie-Laure et l’approcha de sa chatte. Je de doutais qu’il venait de la pénétrer car ma femme eue un moment d’hésitation avant de reprendre sa pipe. Alain allait et venait dans ma femme, son ventre posé sur ses petites fesses. Très rapidement, il haleta puis se retira, ôta sa capote et jouit sur les fesses de Marie-Laure. Bernard s’approcha à son tout et embrocha Marie-Laure d’une seule poussée. Marie-Laure arrêta à nouveau de me sucer, me regarda et crispa ses mains sur mes cuisses. Bernard sortait sa bite presque entièrement de Marie-Laure pour la faire pénétrer encore plus profond. A chaque pénétration mon épouse ouvrait la bouche mais ne laissait échapper aucun son. Bernard, approcha sa main droite de sa bouche, me regarda, lécha un de ses doigts et le présenta devant l’anus de Marie-Laure. Je vis son doigt toucher l’anus de ma chérie puis tout naturellement le pénétrer. Marie-Laure essaya de se soustraire, mais Bernard l’en empêcha. De mon côté j’appuyais doucement sur sa tête pour lui faire comprendre de reprendre sa fellation. Marie-Laure, repris donc ma bite dans sa bouche et avalais mon sexe en entier à chaque pénétration de Bernard. Marie-Laure n’essayant plus de se soustraire c’est un second, puis un troisième doigt qui s’enfoncèrent dans son anus. Marie-Laure eue alors un second orgasme. Je jouis à mon tour dans sa bouche et ma femme avala l’ensemble de ma semence qui pourtant était abondante. Bernard ne tarda pas non plus a extraire sa bite de la chatte de Marie-Laure et de sa capote pour à son tour éjaculer de longs jets sur le dos de mon épouse allant jusqu’à se répandre sur ses longs cheveux blonds. Bientôt Félix se présenta à son tour et avec toujours la même délicatesse présenta son sexe à l’entrée plus si secrète que ça de ma femme. Je demandais à Félix d’attendre et me dégageais de mon épouse afin de pouvoir contempler cette pénétration. Alain se proposa de prendre ma place. Alain était donc assis sur le canapé son ventre posé sur ses cuisses. Il demanda à Marie-Laure de s’approcher. Je vis alors mon épouse extraire le sexe d’Alain de sous son ventre et commencer à le caresser pour lui redonner vie avant de commencer à le sucer. Ma femme était à genoux en train de sucer Alain et Bernard, lui caressaient les seins qui pendaient sous elle. Félix releva les fesses de Marie-Laure, puis lui écarta bien les cuisses libérant sa vulve qui luisait de mouille. Je vis son gland s’approcher des lèvres intimes de ma femme, celles-ci s’écartèrent pour l’avaler puis la colonne de chair noire tout entière pénétra Marie-Laure. Je manquais de jouir à cette vue. Les fesses blanches de Marie-Laure venaient maintenant au contact de ce ventre noir. Lorsque Félix se retirait, je voyais les poils blonds de la chatte de Marie-Laure se détacher des poils noirs de Félix, puis le gland apparaître pour replonger au plus profond de la caverne humide de mon épouse. Marie-Laure gémissait sans discontinuer tout en continuant de sucer Alain. Après quelques minutes et alors qu’une nouvelle fois son gland ressortait de la vulve de Marie-Laure, Félix le redressa légèrement et le présenta devant l’anus de Marie-Laure et avant que mon épouse n’ait eu le temps de réaliser son gland avait déjà complètement pénétré. Marie-Laure poussa un petit cri, mais déjà Félix continuait sa pénétration. Ma femme ne bougeait plus, la bouche ouverte elle semblait comme moi suivre la lente pénétration de la bite de Félix au fond de ses entrailles. Puis la bite noire tout entière fut engloutie entre les fesses blanches de Marie-Laure. Félix ne bougeait plus il se contenta de lui démander « ma salope tu aime que je t’éclate ton cul serré » Marie-Laure ne répondant pas il crut bon de renouveler sa demande « tu aimes te faire enculer, salope », j’allais intervenir quand j’entendis dans un souffle ma femme lui répondre « oui, c’est bon, mais va doucement » . Bernard en profita pour se glisser sous mon épouse et pesant sur ses reins parvint à la pénétrer et à son tour il lui lança « et une bite dans ta chatte de cochonne tu aimes ? » et ma femme lui répondit aussi « oui, baisez-moi à fond ». J’étais sidéré, jamais je n’aurais pensé entendre mon épouse employer ces termes en dehors de notre intimité…. Mais n’en faisaient-ils pas parti maintenant ?. C’est Bernard qui donna le top de départ et bientôt je vis le corps de Marie-Laure recommencer à bouger de plus en plus vite rythmé par les mouvements de Bernard. La bite d’Alain dans la bouche, celle de Bernard dans la chatte et celle de Félix dans le cul Marie-Laure eu un dernier et énorme orgasme qui dura plusieurs minutes. Félix se retira et demanda à Marie-Laure de s’allonger sur le dos. Ce quelle fit. Félix se mis sur elle les jambes de chaque côté de ses hanches, puis il présenta son sexe entre les seins de Marie-Laure. Mon épouse pris la bite de Félix entre ses seins et ce dernier continua à la baiser ainsi. A chaque aller, la bite de Félix pénétrait la bouche de Marie-Laure et je l’entendais lui dire « vas-y salope branles-moi bien que je t’asperge ». Bernard, Alain et moi étions à nouveau très exités et nous avons alors entouré le visage de ma femme et commencé à nous branler en la traitant à notre tour de salope. Marie-Laure après m’avoir jeté un dernier regard, sourit et ferma à nouveau les yeux. C’est Alain que le premier jouit. Son sperme vint se poser sur la joue droite et les cheveux de ma femme. Félix vint en second, de longs jets blancs s’écrasèrent sur le front, le nez, les yeux, la bouche et les seins de mon épouse. A mon tour, je me déversais sur le front et le visage de ma chère et tendre. Bernard ferma la marche en inondant le côté gauche joue, et cou. Je regardais ainsi le visage de mon amour dégoulinant de sperme, elle était belle. Mes mains vinrent à sa rencontre et j’étalais sur tout son visage et ses seins notre semence. Félix se dégagea, je relevais Marie-Laure, la pris dans mes bras et l’emmenais dans la salle de bain. Là, je fis couler une douche et nous nous sommes nettoyés mutuellement sans un mot entre deux baisers. Bernard nous apporta nos affaires. Après nous être rhabillés, nous avons pris congés de nos amis. Dans la voiture j’ai encore embrassé Marie-Laure, je lui ai dis que je l’aimais et je l’ai remercié pour cette soirée. Elle m’a alors embrassé et ma simplement dit « merci, j’ai jouis comme jamais, je t’aime ».
Le lendemain, nous nous préparions donc à aller chercher Bernard à son domicile pour ensuite aller ensemble dîner dans un bon restaurant de la capitale.
Comme à son habitude Marie-Laure apporta un soin tout particulier à sa tenue, élégante et sexy. Un chemisier de soie bleu de la couleur de ses yeux sous un tailleur léger blanc bas, chaussures à hauts talons et sac assortis. Ses cheveux blonds en cascade faisait de mon épouse une femme de 45 ans sexy et inaccessible à la fois. Marie-Laure ne portant que très rarement un soutien-gorge, je devinais ses seins nus lourds et fermes à la fois danser sous la soie. Pour ma part j’avais opté pour un costume bleu ciel en alpaga léger.
Nous voici donc en route pour cette soirée, Marie-Laure semblait un peu crispée et tout en roulant, je la rassurais sur cette soirée qui n’avait pour but que de partager un bon repas.
Arrivés chez Bernard nous sonnons à sa porte, il nous ouvre alors tout sourire fait la bise à Marie-Laure, me sert la main puis nous invite à entrer dans son salon. Là à notre surprise nous constatons qu’une table est dressée avec cinq couverts. Bernard nous explique alors que son frère et un ami doivent nous rejoindre et que si cela ne nous dérange pas ne sachant pas à quelle heure ils doivent arriver, il a fait livrer un repas froid par un traiteur. Nous sommes bien évidemment très déçus mais ne pouvons alors qu’accepter. Bernard nous propose alors d’ouvrir une bouteille de champagne à nos retrouvailles. Nous trinquons donc et parlons de choses et d’autres. Mon épouse voyant que Bernard ne fait aucune allusion à notre précédente soirée commence à se détendre et à partager notre discussion. Deux heures et trois bouteilles de champagne plus tard nous entendons enfin la sonnette sonner. Deux hommes entrent alors Alain le Frère de Bernard et Félix son camarade. Alain est un homme de 40 ans petit et relativement gros environ 100 kg pour 1,70 mètres, Félix est un camerounais de 35 ans assez grand environ 1,80 et sportif. Alain nous demande d’excuser leur retard et nous explique que lui et Félix qui sont collègue dans une grande entreprise en province sont actuellement en stage informatique de l’autre côté de la banlieue parisienne. Bernard propose alors d’ouvrir une dernière bouteille de champagne puis de passer à table. Il était temps car l’alcool commençait à nous tourner la tête. Pendant, tout le repas chacun essaya d’animer les discussions et les plaisanteries. L’alcool le repas se termina dans la bonne humeur. Bernard nous proposa de passer au salon, mis de la musique et nous proposa un digestif. Alain et Félix prirent place dans les fauteuils Bernard, Marie-Laure et moi dans le canapé. Il faut avouer que nous étions tous bien chauds et tout naturellement la discussion s’orienta vers le sexe. D’abord des plaisanteries puis Bernard tout naturellement déclara que ma femme suçait à merveille tout en posant sa main gauche sur sa cuisse dans une attitude possessive. Il y eut un blanc dans la conversation. Marie-Laure me regarda, affolée et rougissante, Alain et Félix regardaient tour à tour Bernard, mon épouse et moi-même quant à moi je regardais tout le monde. Seul Bernard semblait trouver tout cela naturel. Afin, de détendre l’atmosphère j’éclatais de rire et confirmais les qualités buccales de ma femme. Marie-Laure rougit encore plus et protesta tout en essayant de retirer la main de Bernard de sa cuisse. Je me penchais lui murmurais de se laisser faire puis lui glissais ma langue dans l’oreille. Je sais qu’elle adore cette caresse. Je pris alors sa main qui essayait de se défaire de l’emprise de Bernard et délicatement, mais fermement la déposais sur mon sex. Alain et Félix ne disaient plus rien et nous regardaient fixement. Bernard avait profité de la libération de sa main pour remonter la jupe de Marie-Laure dévoilant une grande partie de ses cuisses, la lisière de ses bas et une partie du porte-jarretelles. Je prie alors le visage de Marie-Laure dans mes mains et l’embrassais tendrement. Des larmes coulaient sur ses joues. Je les léchais et doucement je lui demandais si elle voulait que l’on parte. Elle me regarda et me dit seulement « tu veux que je reste ». A mon regard elle compris mon choix. Elle me dit alors « Que vas-tu penser de moi… après ». Mes seuls mots furent alors « que l’on s’aime ». Marie-Laure m’embrassa à son tour avec tendresse, puis posa sa tête dans le creux de mon épaule et ferma les yeux. Bernard avait suivi notre conversation et suspendu sa progression se contentant de caresser la bande de chair au-dessus de la lisère des bas de ma femme. De ma main gauche, je déboutonnais alors la veste de Marie-Laure et aidé de Bernard en débarrassais Marie-Laure. A travers son chemiser blanc, les auréoles de ses seins se dessinaient au milieu desquels pointaient ses mamelons. Alain et Félix ne parlaient plus, ne bougeaient plus mais n’en perdaient pas une miette vu l’état de leur pantalon. Je défis alors un à un les boutons du chemisier, puis écartant chaque pan je libérais les seins de mon épouse. Bernard les soupesa délicatement, puis les caressa pour finir par les sucer. Je libérais alors mon sexe et posais délicatement la main gauche de Marie-Laure dessus. Les yeux toujours fermés elle commença à me caresser. Je fis alors signe à Alain et Félix de nous rejoindre. Il se levèrent et déplacèrent la table basse. Je redressais alors Marie-Laure sur le canapé. Bernard se libéra à son tour et déposa à son tour la main droite de Marie-Laure sur son sexe. Ma femme était merveilleusement belle ainsi la tête posée sur le dossier du canapé les yeux fermés, le chemisier ouvert, les seins caressés par Bernard et moi-même, la jupe relevée à la lisière de son string les jambes légèrement écartées. Je regrettais alors de n’avoir emporté mon appareil photos tans j’aurais aimé immortaliser ce moment. Alain et Félix n’avaient pas perdu leur temps et ils arrivèrent nus comme des vers. Je fus impressionné par le sexe de Félix, qui faisait honneur à la réputation de sa race. J’avoue que j’étais heureux que Marie-Laure reste les yeux fermés. Alain s’attaqua alors aux boutons de la jupe et tira dessus. Marie-Laure se souleva pour l’aider à la faire glisser le long de ses jambes. Bernard et moi de notre côté la débarrassions de son chemisier. Marie-Laure était alors juste vêtue de ses escarpins, ses bas son porte-jarretelles et son string blancs. Alain lui ôta immédiatement ce dernier rempart. Là nous sommes restés tous les quatre à la regarder nue. Sa petite chatte blonde semblait nous sourire. Alain écarta alors les cuisses de Marie-Laure qu’il déposa sur chacune de ses épaules offrant à nous tous une vue imprenable sur son trésor. Puis, il plongea sa langue au plus profond de son intimité. On ne voyait plus que le corps d’Alain dont les amas de graisse étaient entourés des deux jambes fluettes de Marie-Laure. Toutefois, sa langue devait être plus agile que le reste de son anatomie car j’entendais le souffle de mon épouse déjà s’accélérer. Des yeux, Félix me demanda l’autorisation d’approcher. Je lui fis signe qu’il pouvait. Alors, il « escalada » le canapé et le sexe à la main l’approcha de la bouche de Marie-Laure. J’étais fasciné et regardais cette bite s’approcher délicatement des lèvres de mon épouse. Lorsqu’elle toucha la bouche Marie-Laure ouvrit les yeux et eu un geste de recule. Félix posa gentiment sa main derrière la tête de Marie-Laure et rapprocha ses lèvres de son sexe. Les yeux de Marie-Laure allaient de ce sexe de belle taille noir à mes yeux. Je souriais et regardais cette lente progression. Puis le gland vint au contact des lèvres. Félix continua à faire pression sur la nuque de ma femme. Je vis ses lèvres alors s’entrouvrir et inexorablement cette bite noire ébène s’enfoncer dans la bouche de Marie-Laure. C’était d’un érotisme fou. Félix abandonna la nuque de Marie-Laure pour lui caresser les seins que Bernard et moi avions abandonnés tout à notre contemplation. Marie-Laure délassa aussi nos bites pour attraper celle de Félix et commença un lent mouvement de va et vient. C’était merveilleux de voir cette bite noire glisser entre les lèvres de Marie-Laure qui maintenant l’engloutissait presque aux trois quarts pour ressortir mouillée de salive puis replonger. De temps à autre je voyais alors la langue de ma femme danser sur le gland de Félix, pour descendre le long de sa colonne de chaire et venir aspirer ses couilles pour reprendre le chemin inverse et engloutir à nouveau cette énorme bite. J’entendis alors Félix déclarer tout haut « c’est vrai cette salope qu’elle suce bien ». Cette déclaration me choqua pour le qualificatif employé devant mes « amis », mais m’excita alors au plus haut point. Ma femme aussi semblait avoir entendu et au lieu de s’offusquer, ferma à nouveau les yeux et redoubla d’ardeur. Alain de son côté continuait à brouter le minou de Marie-Laure. Peu de temps après Marie-Laure se crispa, délaissa la bite de Félix et eu un formidable orgasme. Elle ouvrit les yeux et se pencha pour m’embrasser. Je demandais alors à Marie-Laure de s’agenouiller devant moi et de ma sucer. Elle glissa le long de mes cuisses et se positionna entre elles. Elle m’aida à me libérer complètement et me commença à me sucer. Sa langue allait de mon gland, à mes couilles essayant parfois de me pénétrer. Sa main vint me caresser les fesses. Bientôt elle glissa un doigt puis deux au fond de mon anus. Les trois autres nous regardaient, puis Alain s’approcha le sexe couvert à la main. Il semblait si petit sous cet énorme ventre qu’il disparue de ma vue lorsqu’il se mit à genoux derrière Marie-Laure et l’approcha de sa chatte. Je de doutais qu’il venait de la pénétrer car ma femme eue un moment d’hésitation avant de reprendre sa pipe. Alain allait et venait dans ma femme, son ventre posé sur ses petites fesses. Très rapidement, il haleta puis se retira, ôta sa capote et jouit sur les fesses de Marie-Laure. Bernard s’approcha à son tout et embrocha Marie-Laure d’une seule poussée. Marie-Laure arrêta à nouveau de me sucer, me regarda et crispa ses mains sur mes cuisses. Bernard sortait sa bite presque entièrement de Marie-Laure pour la faire pénétrer encore plus profond. A chaque pénétration mon épouse ouvrait la bouche mais ne laissait échapper aucun son. Bernard, approcha sa main droite de sa bouche, me regarda, lécha un de ses doigts et le présenta devant l’anus de Marie-Laure. Je vis son doigt toucher l’anus de ma chérie puis tout naturellement le pénétrer. Marie-Laure essaya de se soustraire, mais Bernard l’en empêcha. De mon côté j’appuyais doucement sur sa tête pour lui faire comprendre de reprendre sa fellation. Marie-Laure, repris donc ma bite dans sa bouche et avalais mon sexe en entier à chaque pénétration de Bernard. Marie-Laure n’essayant plus de se soustraire c’est un second, puis un troisième doigt qui s’enfoncèrent dans son anus. Marie-Laure eue alors un second orgasme. Je jouis à mon tour dans sa bouche et ma femme avala l’ensemble de ma semence qui pourtant était abondante. Bernard ne tarda pas non plus a extraire sa bite de la chatte de Marie-Laure et de sa capote pour à son tour éjaculer de longs jets sur le dos de mon épouse allant jusqu’à se répandre sur ses longs cheveux blonds. Bientôt Félix se présenta à son tour et avec toujours la même délicatesse présenta son sexe à l’entrée plus si secrète que ça de ma femme. Je demandais à Félix d’attendre et me dégageais de mon épouse afin de pouvoir contempler cette pénétration. Alain se proposa de prendre ma place. Alain était donc assis sur le canapé son ventre posé sur ses cuisses. Il demanda à Marie-Laure de s’approcher. Je vis alors mon épouse extraire le sexe d’Alain de sous son ventre et commencer à le caresser pour lui redonner vie avant de commencer à le sucer. Ma femme était à genoux en train de sucer Alain et Bernard, lui caressaient les seins qui pendaient sous elle. Félix releva les fesses de Marie-Laure, puis lui écarta bien les cuisses libérant sa vulve qui luisait de mouille. Je vis son gland s’approcher des lèvres intimes de ma femme, celles-ci s’écartèrent pour l’avaler puis la colonne de chair noire tout entière pénétra Marie-Laure. Je manquais de jouir à cette vue. Les fesses blanches de Marie-Laure venaient maintenant au contact de ce ventre noir. Lorsque Félix se retirait, je voyais les poils blonds de la chatte de Marie-Laure se détacher des poils noirs de Félix, puis le gland apparaître pour replonger au plus profond de la caverne humide de mon épouse. Marie-Laure gémissait sans discontinuer tout en continuant de sucer Alain. Après quelques minutes et alors qu’une nouvelle fois son gland ressortait de la vulve de Marie-Laure, Félix le redressa légèrement et le présenta devant l’anus de Marie-Laure et avant que mon épouse n’ait eu le temps de réaliser son gland avait déjà complètement pénétré. Marie-Laure poussa un petit cri, mais déjà Félix continuait sa pénétration. Ma femme ne bougeait plus, la bouche ouverte elle semblait comme moi suivre la lente pénétration de la bite de Félix au fond de ses entrailles. Puis la bite noire tout entière fut engloutie entre les fesses blanches de Marie-Laure. Félix ne bougeait plus il se contenta de lui démander « ma salope tu aime que je t’éclate ton cul serré » Marie-Laure ne répondant pas il crut bon de renouveler sa demande « tu aimes te faire enculer, salope », j’allais intervenir quand j’entendis dans un souffle ma femme lui répondre « oui, c’est bon, mais va doucement » . Bernard en profita pour se glisser sous mon épouse et pesant sur ses reins parvint à la pénétrer et à son tour il lui lança « et une bite dans ta chatte de cochonne tu aimes ? » et ma femme lui répondit aussi « oui, baisez-moi à fond ». J’étais sidéré, jamais je n’aurais pensé entendre mon épouse employer ces termes en dehors de notre intimité…. Mais n’en faisaient-ils pas parti maintenant ?. C’est Bernard qui donna le top de départ et bientôt je vis le corps de Marie-Laure recommencer à bouger de plus en plus vite rythmé par les mouvements de Bernard. La bite d’Alain dans la bouche, celle de Bernard dans la chatte et celle de Félix dans le cul Marie-Laure eu un dernier et énorme orgasme qui dura plusieurs minutes. Félix se retira et demanda à Marie-Laure de s’allonger sur le dos. Ce quelle fit. Félix se mis sur elle les jambes de chaque côté de ses hanches, puis il présenta son sexe entre les seins de Marie-Laure. Mon épouse pris la bite de Félix entre ses seins et ce dernier continua à la baiser ainsi. A chaque aller, la bite de Félix pénétrait la bouche de Marie-Laure et je l’entendais lui dire « vas-y salope branles-moi bien que je t’asperge ». Bernard, Alain et moi étions à nouveau très exités et nous avons alors entouré le visage de ma femme et commencé à nous branler en la traitant à notre tour de salope. Marie-Laure après m’avoir jeté un dernier regard, sourit et ferma à nouveau les yeux. C’est Alain que le premier jouit. Son sperme vint se poser sur la joue droite et les cheveux de ma femme. Félix vint en second, de longs jets blancs s’écrasèrent sur le front, le nez, les yeux, la bouche et les seins de mon épouse. A mon tour, je me déversais sur le front et le visage de ma chère et tendre. Bernard ferma la marche en inondant le côté gauche joue, et cou. Je regardais ainsi le visage de mon amour dégoulinant de sperme, elle était belle. Mes mains vinrent à sa rencontre et j’étalais sur tout son visage et ses seins notre semence. Félix se dégagea, je relevais Marie-Laure, la pris dans mes bras et l’emmenais dans la salle de bain. Là, je fis couler une douche et nous nous sommes nettoyés mutuellement sans un mot entre deux baisers. Bernard nous apporta nos affaires. Après nous être rhabillés, nous avons pris congés de nos amis. Dans la voiture j’ai encore embrassé Marie-Laure, je lui ai dis que je l’aimais et je l’ai remercié pour cette soirée. Elle m’a alors embrassé et ma simplement dit « merci, j’ai jouis comme jamais, je t’aime ».
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