Nouvelles découvertes pour Karine 3 - histoire érotique

Marc se retire du ventre brûlant, remonte son pantalon, il regarde sa femme, le bougre semble ailleurs, il l'embrasse et monte dans sa chambre, Mathilde le suit de près. Sa fille est toujours étendue sur le lit de ses parents. Mais elle est réveillée, elle s'étire en souriant à son papa, elle ne cherche même pas cacher sa nudité. Les yeux de son papa sont braqués sur sa très fine toison duveteuse. Il s'avance et s'assied sur le bord du lit, il dit avec un peu d'émotion dans la voix, sans quitter des yeux le fruit encore vert :

-Ta maman m'a tout raconté, tu es une petite cochonne quand même !


Mathilde entre à son tour sans intervenir, elle reste debout près du lit, sur ses cuisses s'écoule le surplus de sperme que son mari a si généreusement offert à sa chatte. Karine se redresse, tend son bras et passe sa main sur le liquide blanchâtre. Sa maman a un geste de recul. Karine porte sa main à son nez, hume le liquide et dit en souriant :

-Vous avez baisé mes cochons, ça ne peut être que du sperme ce truc visqueux, je me trompe !


Sa maman fait un signe de tête pour dire oui, Karine dit :

-Papa, moi aussi, je veux ton sperme dans mon ventre, prends-moi, prends-moi, je veux être une femme, dépucelle-moi !


Marc regarde sa femme, qui hausse les épaules avec un petit sourire en disant :

-Eh bien mon chéri, c'est le moment de lui montrer ce que c'est qu'un mâle à ta fille, tu en meurs d'envie, ne la fais pas languir !


Ce n'est plus le mental qui commande Marc, c'est sa queue. Rapidement, il retire ses vêtements, sa verge encore engluée de sperme. Mathilde intervient :

-Donne mon chéri, je vais te nettoyer !



Elle décalotte le gland, et avec des coups de langue efficaces, elle lape le jus visqueux. Elle pose sa bouche sur l'engin, et sous les yeux écarquillés de sa fille commence une fellation monstrueuse. Karine, instinctivement, pose une main sur sa fente qui rapidement s'humidifie. Elle ne peut s'empêcher de la caresser, en regardant sa maman sucer la bite de son papa. Marc grogne, il souffle comme un taureau. Karine impatiente dit :

-Maman, maman, à mon tour maintenant !


C'est avec regret que sa maman délaisse l'engin gonflé au maximum. La main de Karine s'en saisit et commence un doux branlage, à chaque descente de son poignet, elle regarde, émerveillée, le gland qu'elle découvre totalement. Enfin, elle imite sa maman, donne des coups de langue sur le chapeau de chair, avant de le prendre en bouche pour le sucer. La jeunette s'évertue de faire de son mieux, au fur et à mesure, elle devient plus audacieuse, surtout plus experte. Pendant qu'elle tète, sa maman caresse les bourses velues pleines de bon jus. Marc se raidit et criant :

-Oh putain, je vais décharger !



Karine semble ne pas l'écouter, elle s'acharne sur le nœud prêt à exploser. Son papa se cabre et envoie une puissante décharge de sperme dans la bouche de sa fille qui repousse violemment son papa, elle pince les lèvres en regardant sa maman qui lui conseille :

-Avale, ma chérie, avale !



Les yeux de Karine sont remplis de buée, elle grimace et dans un effort suprême, avale la totalité de la décharge. Elle bombe le torse fièrement en regardant sa maman, qui lui dit :

-C'est bien ma chérie, il est si précieux le sperme de ton papa, qu'il ne faut pas le gâcher !



Pendant que le papa reprend ses esprits, la maman bascule sa fille sur le lit, et place sa tête entre ses cuisses, et lui dévore la chatte comme une vorace. Karine s'ouvre au maximum, elle geint si fort que son papa s'approche plus près, pour mieux voir. La bouche de sa maman est très gourmande, sa langue pénètre profondément dans son vagin et le fouille pour l'amener au plus près de la jouissance. Son clito n'est pas épargné, Mathilde le fait gonfler le plus qu'elle peut. Karine croit mourir de plaisir, elle geint comme un animal blessé. La maman sait que sa fille ne va pas tarder à jouir, elle lui aspire le clito et le tète férocement pour amener sa fille au bord du gouffre. C'est dans un long gémissement que Karine jouit. Sa chatte gicle comme un petit geyser, sa maman avale le plus de liquide possible.



Mathilde est surexcitée, elle enjambe sa fille et se place en 69. Elle descend son bassin pour offrir à sa fille sa chatte en feu. Karine comprend, elle s'accroche aux fesses de sa maman et commence à reproduire ce que vient de lui faire subir sa maman. Mathilde geint fortement. Marc ne peut rester sans réagir. Il se place derrière sa femme, il lui crache sur l'anus et place son gland contre la porte de service. Il tire sur les hanches de sa femme qui pousse un long râle. La queue de son mari s'enfonce sans interruption jusqu'aux couilles dans le fondement, qui n'est pas à sa première sodomie.



Prise entre deux feux, Mathilde défaille, elle agite sa croupe en gémissant comme une bête. La bouche de sa fille qui lui dévore la chatte, plus la bite de son mari qui lui laboure le cul, c'est le summum du plaisir. Elle pousse un cri presque inhumain et jouit fortement. Karine se régale du jus que sa maman lui envoie sans limites dans la bouche. Marc retire sa bite du rectum, et l'enfonce dans la chatte de sa femme que sa fille dévore sans aucune retenue. De temps en temps, Karine donne un coup de langue sur la verge qui voyage dans le ventre de sa maman. Marc souffle comme un dragon, il retire sa bite de la chatte en folie et la replante dans le cul. Il grince les dents et envoie dans le rectum, accueillant un flot de sperme brûlant.



Il retire son mandrin, les deux femmes insatiables continuent de se brouter. Les deux cochonnes jouissent encore une fois. Mathilde ne se reconnait plus, elle est si moraliste, couche avec sa fille, et depuis peu, cela ne l'offusque plus, au contraire. Elle lui agresse même l'anus, elle sait alterner les assauts sur l'un ou l'autre orifice. Mathilde et devenue une chienne immorale, comme son mari d'ailleurs qui mate sa fille, tout en reprenant des forces.



Mathilde mouille un doigt et appuie sur la pastille ridée de Karine, la jeunette se cabre lorsque la première phalange s'enfonce dans son rectum. Une seconde pression fait disparaitre entièrement le visiteur. Karine agite doucement sa croupe, l'attouchement anal est très efficace, Karine commence à geindre sous le petit ramonage de pratique sa maman. Le papa regarde la petite sodomie digitale que subit sa fille, il grommèle en se caressant la verge. Un deuxième doigt vient en renfort, Karine se cabre comme un cheval sous la pression qu'exercent les intrus sur la paroi anale. Le ramonage devient de plus en plus rapide. Sa maman serre les dents en augmentant encore le rythme, Karine défaille :


-Oh maman, maman, mon Dieu, qu'est-ce que tu me fais, c'est merveilleux !


La tension dans le corps de sa fille est au maximum, un troisième doigt est nécessaire pour préparer le passe au papa impatient. Les râles de Karine sont bruyants. Enfin La maman retire ses doigts, elle juge que la gaine est assez dilatée. Maintenant, elle lui enfonce que quelques centimètres de ses doigts dans le vagin, elle ne veut pas la déflorer avec ses doigts, elle laisse ce privilège au papa. Les trois visiteurs tournent dans le puits intarissable, le ramonent doucement en s'enfonçant jusqu'à l'hymen. Karine ne peut retenir une nouvelle jouissance. Enfin la voila prête à recevoir la verge puissante de son papa au plus profond de ses entrailles.


Mathilde se redresse, elle est devenue en quelques instants une chienne lubrique, elle se jette sur la queue de son mari et la suce comme une sauvage, elle lui triture les couilles en le faisant grogner de douleur, elle aspire si fort le gland, que son mari pousse un cri de supplicié. Elle tire sur ses fesses de Marc, pour avaler son membre jusqu'aux couilles dans sa bouche. Mathilde bave sur les couilles de son mari, la gorge profonde est infernale, Marc geint, il est au bord de l'explosion. Brutalement, il repousse sa femme en disant :


-Ma chérie, tu es trop gourmande, je ne te reconnais plus, laisse-moi des forces pour défoncer notre petite chérie !

Les yeux de Mathilde sont exorbités, elle dit en aboyant comme un animal :


-Je veux que tu me défonces, que tu me fasses mal, je ne sais pas ce que j'ai, je ne suis plus moi-même !

Marc lui relève le menton avec deux doigts et lui dit :

-Je vais faire de notre fille une vraie femme, après, je te ferais subir les pires outrages, et avec l'aide de Karine, tu deviendras notre salope, une vraie machine à jouir !





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