Noviciat à l'abbaye

- Par l'auteur HDS Eudes -
Récit érotique écrit par Eudes [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Noviciat à l'abbaye Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Noviciat à l'abbaye
Noviciat à l'abbaye :

Il y a quelques années, après une rupture j'avais eu envie de faire une retraite au sein d'un monastère pour me reposer tant physiquement que moralement.
J'avais fait une sélection de quelques uns d'entre-eux pour effectuer une réservation pour une quinzaine de jours. La période ne devait pas être la bonne ayant quelques difficultés pour le choix. J'ai trouvé enfin de la place à l'hôtellerie d'un monastère au cœur de l'Auvergne.
Après une longue route, je découvre un splendide site architectural qu'était ce monastère qui allait m'héberger pour ce séjour de mise en forme.
Je fus chaleureusement accueilli par le frère tourier qui m'indiqua la réception de l'hôtellerie, légèrement séparée de la partie centrale où les moines y étaient cloîtrés.
Par-contre pour assister aux divers offices les pensionnaires de l'hôtellerie pouvaient s'y rendre. Pour ces offices les moines s'installent dans le chœur de la splendide chapelle romane, dans la nef uniquement les hommes pensionnaires de l'hôtellerie et les femmes sont entre-elles à la tribune afin qu'elles ne soient pas vues ou aperçues par les moines.
Au fur et à mesure de mon séjour, je reprenais des forces et me sentais bien dans cette ambiance apaisante.
J'avais déjà fait connaissance de pensionnaires hommes, pensionnaires femmes ou de couples. Mais à la fin de cette première semaine, un des Frères qui est parmi nous pour tous les repas m'interpella.
Eudes, depuis votre arrivée le Père Prieur a observé votre assiduité et votre régularité à tous les offices et vos activités correspondent à la règle de notre monastère? Comme vous êtes seul mais surtout célibataire, le Père Prieur souhaite vous faire une proposition pour terminer votre séjour. Après le déjeuner, il peut vous recevoir.
Durant tout le repas du frugal déjeuner, je rumine cette proposition assez rarissime, d'être parmi les Pères et Frères cloîtrés.
Après le repas je fais signe au Frère Bertrand, pour qu'il me mène vers le Père Prieur. Tous les deux, nous parcourons de longs couloirs voûtés pour arriver devant une splendide porte. Frère Bertrand, toque à cette porte qu'il m'ouvre et me fait pénétrer dans cette immense pièce qui était le bureau de Rêvèrent Père Géraud. Ce père avait une petite cinquantaine d'année, les cheveux légèrement grisonnants, avec un visage régulier splendidement lisse sans rides, illuminé par un sourire apaisant et réconfortant. Il est assis derrière son bureau qui devait dater presque de la construction du monastère.
Après un échange très cordial, me félicitant sur ma régularité, assiduité et ferveur durant cette première partie de séjour. Il me propose de vivre parmi eux avec les-us-et-coutumes des religieux cloîtrés. Mais aussi pour me fondre à sa Communauté, je ne dormirai plus à l'hôtellerie, mais dans une des cellules à l'étage des Frères. Je devrai revêtir la cuculle et le scapulaire (habit et chasuble en lin léger blanc-cassé des moines) durant ces quelques jours. Il y a sur le lit un mode d'emploi pour le port de l'habit monacal Ensuite il appela le Frère Bertrand pour m'accompagner jusqu'à ma cellule.
Nous voilà à l'étage, dans un couloir avec une succession de portes, qui sont l'entrée de chaque cellule personnelle des Frères. Frère Bertrand en ouvre une et me demande d'y entrer et que je dois être dans une demi-heure à la chapelle complètement changé pour l'office des Vêpres.
Sur lit fait à la manière militaire, est déposé le vêtement plié de ces moines. Une feuille, style mode d'emploi était déposée sur la cuculle. Les explications sont simples mais complétées par de petits croquis pour porter correctement cette bure. Il était stipulé en caractères gras que les, que la cuculle devait être enfilée uniquement sur un corps complètement nu, pour le symbole de pauvreté. En lisant ces quelques phrases, je suis un peu interloqué. Je ne me doutais absolument leur manière d'être vêtu. Maintenant que j'ai eu ce privilège d'être accepté à la vie des moines, je ne peux plus regretter, ni me récuser.
Un peu hésitant, progressivement j'enlève mon pull, ma chemise et mon pantalon pour me retrouver en sous-vêtement. J'ai le cœur qui bat et me décide à les ôter et me voilà nu comme un nouveau né. Je me sens rougir et déplie la robe de bure dont l'étoffe est assez agréable au toucher. Me voilà avec cette cuculle par-dessus laquelle je passe le scapulaire et me ceins de la ceinture en cuir. Je suis en moine. Je ferme ma porte de la cellule puis je parcours, sans me perdre, les longs couloirs sombres, pour rejoindre la chapelle comme me l'a demandé le Frère Bertrand. Durant mon trajet parfois j'aperçois des groupes de deux ou trois moines stationnés dans des angles de ces couloirs dans la pénombre. Deux dans un recoin sont en train de s'embrasser. Je suis assez étonnéAprès quelques minutes j'entre dans la chapelle où la chaleur est très agréable grâce à la source thermale qui circule dans le sol.
Les moines sont debout. J'aperçois le Frère Bertrand qui me fait signe de la tête me placer debout entre deux moines qu'il m'indique.
Après moi, entrent encore trois moines qui prennent dans le silence leur place. A dernier coup de la cloche tous les moines dans le silence s'assoient dans leur stalle.
Quelques minutes passent et le Père Prieur Géraud qui est dans l'embrasure de la porte, avance très lentement dans l'allée centrale de la chapelle. Avec la lumière du soleil filtrée par les vitraux, son corps est à contre jour et nous pouvons voir et admirer les formes de son corps bien dessiné à travers son habit monacal en lin. Au fur et à mesure qu'il avance les moines se lèvent en baissant la tête Je peux constater la forme de ses longues jambes, dû à ce contre-jour mais surtout son sexe qui ballotte de droite à gauche à chacun de ses pas. A mon avis son membre est flasque malgré une longueur assez généreuse. Il se place devant une chaise plus haute, comme une cathèdre située au fond. Le Père Prieur s'assoit, et place correctement sa robe de bure de lin. Il me semble même que sa main gauche saisi et positionne son membre entre ses jambes. Nous sommes encore tous debout. De l'autre côté de l'allée en face moi un magnifique moine d'environ quarante ans. Sa robe a une drôle de forme. Au moment de prendre son missel; cette forme est seulement due à son sexe en érection qui pousse l'étoffe. J'en suis complètement troublé. Moi qui croyais que la sexualité était bannie de ces lieux de silence. Pendant que je réfléchis sur ce sujet le Père Géraud fait résonner son claquoir et en un moment tous les moines s'assoient dans leur stalle dans un silence impressionnant. Toutes les têtes sont tournées vers le Père Prieur comme pour surveiller ses moindres gestes.
Dans ce silence, un grincement de porte et ce sont deux moines qui franchissent le seuil de la chapelle. Il y a le Frère Benoît, petite cinquantaine d'année, pas très grand d'un mètre soixante-dix, cheveux courts bruns, le faisceau de lumière laisse deviner des jambes assez charnues et poilues, une figure ronde avec quelques ombres de barbe, des yeux pétillants agrémenté d'un doux sourire. Il est assez tentant. A côté de lui, le frère Julien un peu plus jeune, d'un mètre soixante seize, svelte, les tempes joliment grisonnantes, un très beau port de tête il est rayonnant et attirant. A ce moment j'entends un OH ! sourdCes deux moines avancent pour rejoindre leur stalle mais au milieu de leur traversée, le Père Prieur les interpelle et demande qu'ils avancent vers lui. Les deux s'inclinent, puis le Père Géraud fait signe à celui de gauche de rester à côté de lui, quant à celui de droite de la main, lui montre de s'agenouiller. Alors j'entends un Hum ! Hum ! venu des stalles. Le Père Prieur lance à haute voix : " Mes Frères pour votre retard, vous devez pénitence; à commencer par vous Frère Benoît et ensuite ce sera à votre compagnon-Frère Julien. Le frère à côté de moi me dit : "vous allez voir"! !
Père Géraud fait relever la tête de Frère Benoît, vous savez ce qui vous attends ! Alors commencez s'il vous plaît ! ! De nouveau j'entends des Hum Hummm venus de l'ensemble des moines.
Toujours à genoux, frère Benoît roule de ses deux mains le bas de la robe monacale pour découvrir progressivement les longues jambes du Prieur et menez ce rouleau de tissu jusqu'à l'aine du religieux. De la tête le Père Prieur fait signe que oui, et le Frère Benoît commence comme pénitence une fellation sur le sexe du Supérieur qui a pris des dimensions assez alléchantes. D'où je suis, je crois apercevoir que tout son pubis est démuni de poils ce qui met en valeur ce beau membre maintenant en pleine érection car à vue d'œil il y a au moins vingt quatre centimètres à mettre en bouche avec un diamètre d'au moins cinq. Un sacré morceau. ! ! ! ! la tête de frère Benoît fait de longs va-et-vient tout au long de ce beau membre qui devient de plus en plus luisant par la salive déposée. Les joues du Père Prieur rougissent au fur et à mesure. A un moment celui-ci fait ralentir le rythme de cette pipe magistrale devant tous les moines. Certains de ces moines ont les yeux écarquillés et la bouche ouverte comme s'ils étaient en osmose avec le frère suceur. Un des moines non loin de moi semble se caresser à travers sa robe, mais plus surprenant encore dans une des stalles en face de moi, un frère très âgé a posé sa main sur l'entre-jambe de son voisin nettement plus jeune et ses doigts s'agitent. Je connaissais l'existence de communautés de religieux cloîtrés, et me posais toujours la question sur leur épanouissement.
Le frère Benoît pompait toujours son Prieur lorsque ce dernier toujours les jambes écartées se penche sur le côté pour tendre au frère Benoît une coupe. Le Père prieur cramoisi émet un petit gémissement, tira en arrière la tête de frère Benoît par les cheveux pour dégager sa bouche goulue de son membre de vingt-quatre centimètres bien gonflé et d'une raideur incroyable. La queue a un soubresaut et elle dégorge dans la coupe plus de cinq abondantes giclées d'un épais liquide blanchâtre qui rempli le récipient. En voyant cette quantité éjaculée de sperme un ohhhh retentit des stalles. Le frère Benoît avec ses deux mains tend la coupe au Prieur; puis Benoît redressant la robe du Père jusqu'à ses sandales et le Père Prieur porte la coupe à ses lèvres pour boire sa suprême substance encore chaude en quelques gorgées. Au moment où le Père repose la coupe, les moines remettent leurs mains correctement sur les prie-Dieu, il me semble que robes de certains frères ont une auréole ou une tache sur le devant de leur bure. Le Frère Benoît honteux les joues rouges, se dirige vers sa place la tête basse.
Le Père prieur se tourne alors vers le Frère Julien et lui fait signe de se diriger vers le petit autel, le Prieur fait un geste de sa main que le frère doit se pencher sur le plateau de l'autel. De ce fait Frère Julien a le bord de l'autel au nouveau de la taille et tout son torse à plat dessus et sa tête en appui sur ses mains.
A ce moment le Père Prieur demande aux frères Joseph et Alphonse qui sont les plus vieux de la communauté avec leurs soixante quinze et quatre-vingts années de venir de chaque côté du Frère Julien. Les deux religieux rejoignent l'autel et se positionnent comme demandé. Mis en place, un Ah Ah résonne des stalles; les vieux Frères relèvent la robe monacale de Julien pour découvrir ses jambes, ses fesses et son dos en déposant toute l'étoffe sur son corps positionné sur l'autel. Le Prieur lance un "Allez-y" Et en un seul mouvement les deux vieux chacun de leur côté écartent les deux lobes du fessier si bien dessinés du frère Julien. Et ils font découvrir à toute la Communauté le petit orifice de ce frère qu'une quarantaine d'année. Je suppose que les vieux frères Joseph et Alphonse peuvent admirer cette rosette plissée toute proche de leurs yeux. Après quelques moments le Père Prieur prononce quatre chiffres en latin et après cette énoncée quatre frères s'avancent lentement et se positionnent de chaque côté des vieux Frères. Je suis très étonné de toute cette mise en scène pour une si petite faute de retard. Le Père Géraud s'adresse à ces quatre Frères d'un ton un peu autoritaire : "Action, et bien en ordre". Ils se mettent l'un derrière l'autre. Le premier se penche lentement pour mettre sa t^te entre les deux lobes écartés pour lécher le petit trou de frère julien. Dans cet impressionnant silence, nous entendons les bruits de léchage et de lapage de ce petit anneau. Les deux vieux Frères maintiennent toujours écarté ces jolies fesses bien bombées pour faciliter ce travail de langue. Parfois nous apercevons la tête de Frère Julien qui se lève pour pousser un petit murmure (probablement de plaisir). Au bout de cinq minutes du travail de langue habile de ce Frère, le Frère Joseph fait s'écarter le Frère lécheur pour faire venir le second. Arrivé devant le trou à explorer, celui-ci regarde l'anus à sa disposition et immédiatement regarde le Père Prieur. Le Père lance : "Quoi ? il y en a ?" de la tête le Frère approuve. Le Frère va vers le Père et prend un petit pot. Il me semble que ce soit du miel. Le Frère avec ses doigts en extrait une quantité et en oint toute la raie. Il en étale et tape sur cette substance. Après quelques minutes d'un coup sec le moine tire la pellicule de cette cire de miel. Le frère Julien pousse un cri de douleur, mais cela n'émeut pas et de nouveau le moine tire deux fois successives de ce qui reste de collé près du trou. Le moine reprend sa place et le trou bien net en évidence bien visible de tous les moines. Et c'est au tour du troisième à s'approcher et pour mieux profiter du joli trou lisse il se met à genoux et essaie d'y introduire un doigt sans même avoir pris la précaution de le préparer avec du gel ou seulement de sa salive, ce qui fait crier le frère Julien. Il lui introduit d'un coup son index et commence à faire des mouvements rapide de va et vient qui continue à couiner. Après un moment de ce traitement lors d'une poussée il en profite pour mettre un second doigt, le majeur. Maintenant les va et vient sont remplacés par un mouvement circulaire qu'il essaie d'agrandir à chaque fois. La petite rondelle de frère Julien doit s'habiter car nous ne l'entendons plus. Ces exercices émoustillent un peu certains moines qui regardent assez avidement et certains se touchent l'entre-jambe. Le temps alloué à cette pénitence terminé, c'est le quatrième qui vient remplacer son confrère pour terminer la sanction. Les deux vieux frères Joseph et Alphonse lâchent le fessier du Frère Julien pour soulever la robe du dernier moine ce qui fait apparaître son membre sexuel déjà très raide. Ce n'est pas une queue de concours pour film porno car elle doit faire une petite quinzaine de centimètres, mais sa circonférence est phénoménale. Au moins neuf de diamètre. Un vrai rouleau à pâtisserie. Il s'avance et ajuste son gourdin face au trou qui a été bien travaillé et toujours sans salive, il essaie de le rentrer sans même le tenir et pousse au début assez doucement puis donne un grand coup de rein qui fait hurler le Frère Julien, mais aussi une grande partie des Frères qui s'imaginent avec envie probablement d'être pris. Maintenant le moine pilonne Julien qui pousse des non ! non ! stop! Stop. Le Père Prieur de son siège crie " surtout ne cédez pas, n'arrêtez pas, il faut qu'il endure encore cinq minutes pour sa punition". Le moine continue le travail qu'on lui demande toujours avec le même rythme. Le moine est en sueur, malgré le rythme il accélère encore le forage et au temps requis il pousse un ouiiiii profond. Le troisième frère vient vers lui et lui lèche le sexe des dernières gouttes de sperme. Un des deux vieux frère, Alphonse, se met difficilement à genoux et tend sa langue pour lécher le trou de Frère Julien rempli de nectar. Le vieux frère Alphonse a l'air de se délecter de cette gelée sexuelle. En prenant appui le vieux se relève avec autant de mal. Les deux Joseph et Alphonse redescendent la robe de frère Julien et vont clopinant regagner leur place. Quant au Frère Julien il se remet sur ses jambes et assez chancelant va lentement s'asseoir dans sa stalle assez secoué par cette séance pénitentielle. Après cet incident de retard, la célébration pouvait enfin commencer, ce qui devrait faire retomber la tension de certains moines. Les mains se remettent en place laissant apercevoir des robes avec des petites et grandes tâches; pour quelques moines leurs tâches sont le résultat de forts écoulements séminal ou même pour d'autres d'une éjaculation sans qu'ils se touchent.
Il y a eu encore un moment de silence. Le Père-Prieur se lève et prend la parole; " je suis navré, mais vous savez que je suis intraitable sur la ponctualité aux offices, je pense que ces deux pénitences vous feront réfléchir. Nos frères par leur pénitence terminée nous permettent de reprendre l'ordre normal de notre célébration."Nous allons comme il était convenu, faire entrer ce nouveau novice dans notre communauté par son baptême dans notre rite. "Nous allons nous diriger vers le baptistère". Tous mes moines se mette l'un derrière l'autre. Le soleil étant toujours aussi éclatant nous pouvons voir en ombre les jambes des Frères mais aussi leur sexe, dont certains pour l'étoffe de leur robe monacale, d'autres ont une robe tâchée. Nous parcourons l'allée centrale pour trouver sur la gauche d'un déambulatoire. Et là dans un immense renfoncement, un splendide baptistère en pierre taillée de forme Clovis (c'est-à-dire que l'adulte peut être immergé). Je n'ai pas pu évaluer le diamètre de cet immense bassin. Tous les Frères sont autour de cette cuve au ras du sol. Le Père-Prieur me fait signe de m'approcher auprès de lui. Je m'avance et et il pose sa main sur une de mes épaules. Eudes, vous allez faire partie de notre Communauté par ce geste. Vous allez pénétrer dans ce bassin. Je descends les trois marches pour m'immerger jusqu'à mi-toise dans cette eau thermale très agréable pas sa chaleur. L'eau m'arrive à mi-torse.
Je suis au milieu de ce bassin avec les trois Frères désignés par le Prieur descendent aussi dans cette cuve de pierre.
Ils me font lever les bras pour ôter ma bure. N'ayant rien dessous comme demandé, je suis partiellement nu devant toute cette Communauté grâce à la hauteur de l'eau. Je baisse la tête très intimidé. Et là, le niveau de cette eau baisse jusqu'à mi-mollet. Tout le monde voit mon fessier et mon sexe devenu de honte très flasque.
Le prieur reprend la parole pour dire : "Pour recevoir ce cérémonial il faut Eudes que vous soyez pur tant de l'esprit que du corps. Puis il ajoute, "mes chers frères - rendez notre nouveau compagnon "pur" pour qu'il devienne des-nôtres".
Les t rois Frères prennent de cette eau dans leurs mains et me la font couler sur la tête à plusieurs reprises. Chacun, ensuite, ont en main une petite éponge d'une matière très douce et comment à les passer de la nuque pour descendre centimètre par centimètre le long de mon corps. Arrivé près de mes tétons, ils tournent lentement sur toute leur périphérie et arriver sur la pointe. Les mouvements rotatifs sur ceux-ci les excitent et commencent à durcir. Puis le nettoyage du corps reprend. Un frère s'occupe du dos, le second de la face et le troisième les parties latérales de mon corps. Le premier le voilà au niveau de mon fessier en passant très doucement cette éponge dans la raie qu'il écarte un peu afin que la petit éponge masse mon trou qui trouve cela très agréable. L'autre arrive à mon pubis en nettoyant mes poils de cette zone puis masse les couilles doucement en prenant bien soin de faire méticuleusement chaque partie des mes bourses pour arriver à mon membre qu'il décalotte lentement même avec quelques mouvements de va et vient ce qui fait changer le volume de ma queue; le troisième mas de chaque coté le niveau de ma taille. Tout cela me donne des frisons et me fait bander progressivement. Ils restent tellement longtemps sur ces espaces, que je me mords les lèvres pour ne pas bouger et gémir de ce plaisir. J'ai l'impression d'avoir une érection magistrale avec ce traitement. Mes yeux parcourent les Frères entourant le bassin. Un grand nombre des sexe doivent être en érection en voyant leur robe avec une forme proéminente sur le devant; Quelques-uns même se touche leur membre. Sur le côté gauche, que vois-je deux Frères en train de s'embrasser profondément. Et un autre ) m^me soulevé sa robe pour prendre son mandrin en main qu'il agite violemment. Je ne sais pas, si dans ces monastères cloîtrés c'est fréquemment que les Frères peuvent s'abandonner à ce péché de chair. Si Si c'est le cas ils doivent avec des réserves de cette substance du plaisir.
Mes trois Frères continuent mon nettoyage pour arriver à mes chevilles. Une fois cette opération terminée, ils regardent le Père Prieur.
"Maintenant que notre novice est bien nettoyé et propre il va falloir le purifier." Je le regarde droit dans les yeux croyant que cette célébration était finie. " Eudes, oui, vous êtes propre mais pour l'intronisation il faut être pur, c'est-à-dire lisse." Je commence un peu à avoir peur de la suite des choses. "Nous allons nous diriger tous vers la salle du Chapitre pour le dernier cérémonial. Le Père Prieur ouvre la marche suivi de la Communauté qui a stoppé leurs caresses, leurs baisers ou leur masturbation. Certaines robes sont maculées et tâchées de leur mouille mais aussi de leur jus, quant à d'autres leur robe est encore déformée. Moi, je ferme ce cortège avec les trois Frères nettoyeurs. Ils ont ôté leur robe trempée par leur immersion. Nous sommes donc tous les quatre nusà l'arrière.
Ces trois Frères effectivement sont complètement glabres. Leur âge doit se situer entre trente cinq et quarante cinq ans maximum. Le corps aux belles formes. Sans ventre, ni bedaine, sûrement à cause de leur régime alimentaire simple. Mais ils tout de m^me un peu de muscles pour deux.
Ils ont chacun un cul différent, mais aussi attirant pour l'un ou l'autre.Ah ! je ne vous ai pas dit, il mesure un petit mètre quatre-vingts. Il pourrait l'un comme l'autre se présenter à un casting de mannequinat tellement ils correspondent aux canons de référence. En sortant du bassin leurs formes faisaient penser à la statuaire grecque. Et pour le principal, des sexes bien que mous et flasques pendent bien faisant deviner au repos pas mois de seize centimètres.
Nous arrivons à la salle du Chapitre contigue au baptistère. La traditionnelle table monacale est au milieu de cette vaste pièce aux splendides fresques aux scènes parfois un peu douteuses. Comme dans l'autre pièce la communauté se positionne tout autour de cette immense table? Puis aidé par les trois Frères nettoyeurs je monte sur cette table et me positionne sur un immense linge sur le ventre. Deux autres Frères sont désignés par le Prieur pour rejoindre les nettoyeurs. Immédiatement ils enlèvent leur bure pour découvrir des corps un peu vieillis mais toujours aussi glabres. Ces Frères approcheraient plus d'une bonne soixantaine d'années mais bien conservés encore.
Le premier pose un liquide agréable sur mon fessier; il l'étale puis écarte chaque lobe. Oh surprise il s'intéresse à mon anus avec ses quelques poils. Et la technique pour les enlever est un peu barbare, car il a en main une pince à épier, et c'est un à un qu'il les enlève ce qui me fait sursauter à chaque fois. Certains piquetements se font ressentir au cours de cette opération. Cette extraction me semble assez longue. J'ai encore droit à une rincade de ce liquide pilepoil sur ma petite rosette devenue sensible mais excitée. Le second s'approche et de ses doigts massent délicatement ma rosette qui s'ouvre progressivement sous ce massage. Mon œillet tout lisse et rose se déplisse. Puis, à ma grande surprise, je sens quelque chose s'introduire dans mon orifice devenu accueillant. Oui, une sorte de goupillon à tête ronde me pénètre en tournant pour me récurer l'intérieur de ce conduit parfois tant convoité. Puis le Frère fait des mouvements circulaires puis des va et vient pour que je devienne pur. Cet exercice m'envahit de grands frissons à presque devenir très agréable avec ces franges qui massent mes muqueuses intérieures; Je commence à pousser certains gloussements et même des cris de plaisir. Le Frère refait couler du liquide et les mouvements deviennent sublimes de plaisir et d'abandon, j'en arrive même à crier. Je relève la tête pour constater qu'encore des Frères que l'ont dit chastes, certains caressent leur entre-jambe pour stimuler davantage leur bâton peu sollicité ou employé, d'autres n'hésitent pas à masser et empoigner le membre de leur voisin.
Une fois mon nettoyage intérieur terminé, ce qui m'a bien chauffé, une pâte est étalée et étendue sur tout mon dos. Des feuilles sont placées, et d'un coup sec le frère arrache celles-ci sous mes cris de douleurs pour enlever mes poils et duvet de cette zone. Puis c'est sur mes cuisses et mollets que cette opération s'effectue. Bien que je sois sur le ventre je sens tous les yeux vicieux de ces Frères se fixer sur mon corps offert.
Le Père-Prieur me demande de me retourner. J'ai vraiment honte de m'offrir comme cela à tous ces regards, mais obéissance est une des règles du monastère. J'appréhende cette nouvelle phase er fin de célébration. Comme un grand nombre d'hommes, je ne suis pas ce que l'on appelle un velu, mais j'ai des poils sous les aisselles, sur le torse et poitrine, les jambes et bien évidemment une touffe soignée du pubis. Et depuis tout à l'heure j'ai compris ce que j'allais subir. C'est tout à fait cela. Un des deux Frères me fait lever les bras et comme pour mon joli petit trou, j'ai la torture de l'arrachage à la pince des quelques poils des aisselles. Puis la pâte est étendue sur tout mon thorax. Les bandes sont ensuite déposées. Les deux Frères de chaque côté commencent à enlever ces bandes qui ont adhérées sur cette pâte. A chaque arrachage de bande je sursaute mais crie sous la couleur de cette opération d'arrachage de ces poils lorsque leur bulbe franchit l'épiderme et pourtant, ils ne sont pas très importants. Mon torse devenu glabre et lisse les deux Frères effectuent l'autre face de mes jambes : cuisses et mollets. Pour cette partie cette extraction est nettement plus supportable. Je commence vraiment à appréhender ce qui reste à faire : mon pubis. Le premier Frère coupe aux ciseaux les poils de mon triangle pubien puis étale me semble-t-il de la cire chaude à deux reprises pour déposer des bandes par-dessus. Et tout deux les tapotent pour tire d'un coup sec et énergique ces bandes. Aie! ! Aie! Aieeee ! Arrêtez c'est horribleeee. Je me tortille presque cette douleur est devenue tellement intense. Autour de moi les moines ricanent presque pour mes gémissements de souffrance. Après presque un quart d'heure de ce dénuement je suis frictionné d'une huile parfumée. Enfin c'est terminé !!. "Le voilà pur" lance le Père Prieur. Puis il me tire gentiment vers le côté de la table pour positionner mon fessier au raz et me prend les jambes pour les relever. Les deux frères me les tiennent. Le Père-Prieur écarte mes fesses et regarde mon petit trou devenu net et lisse. Je relève légèrement ma tête et constate qu'il se dévêt de sa robe monacale. Le voilà nu avec son sexe en pleine érection.
J'avais bien imaginé il est réellement gigantesque avec ses vingt-quatre centimètres mais surtout son impressionnant diamètre de cinq. Oh là là, je ne m'attendais pas à cela. Moi qui ne me suis fait mettre que rarement. Je vais déguster ! ! J'entends autour de moi un brouhaha et des murmures. L'assemblée bouge et s'agite un peu. Et si je vois bien ce sont les frères qui passent par la tête leur robe. Ils sont debout entièrement nus. Tous les pubis sont hyper entretenus. Aucun poil ou seulement une ombre légère de repousse pour certains. Le plus grand nombre des verges sont érection plus ou moins intenses et pour les plus vieux des queues demie-molles ou flasques tombant sur des bourses distendues. Le père Prieur tient sa matraque pour la positionner face à mon orifice qu'il vient d'enduire de crème. Doucement il essaie de faire pénétrer cet énorme phallus. Il sait s'y prendre par une progression délicate et millimétrée. Je sens ma rosette s'ouvrir et se déplisser progressivement. Je serre les dents. Il vient encore de mettre de l'huile sur la longueur cette magnifique queue veinée, ce qui lui permet une pénétration presque agréable afin de permettre déjà au gland de franchir l'anneau délicat. Je ferme les yeux et les centimètres s'enfoncent, s'enfoncent. J'apprécie la délicatesse, la douceur de ce Père-Prieur qui me sourit gentiment de son visage rayonnant pendant cette subtile sodomie qui m'élargit complètement. Grâce à la longueur de sa queue ce religieux de son gland atteint sans difficulté ma prostate. Je me détends tellement un certain plaisir s'installe en moi. Je n'avais jamais connu un tel plaisir avec une pénétration. Pendant celle-ci un des deux Frères me caresse et me masse les couilles se qui augmente mon plaisir. Tous les Frères qui sont autour se caressent et se masturbent lentement. Les queues se développent avec là aussi de très beaux spécimens. Quelques Frères en arrivent même à se caresser et pincer leurs tétons tendus. Maintenant le Père Prieur entame son lent mouvement d'enculage. Ses yeux pétillent de cette situation et aussi du plaisir qu'il est en train de prendre. Ses délicats de butoir stimule à chaque poussée ma prostate qui me mette sur un nuage de plaisir. Je me sens complètement enveloppé et presque soulevé par le bien-être donné. Inconsciemment sans contrôle j'émets des couinements qui se transforment assez rapidement en des onomatopées. Ouiii Ouii, c'est bonnn ouiiii. Je suis complètement porté car mon corps commence à manifester des secousses comme des spasmes. Les Frères de la Communauté ont accéléré leur masturbation sur ces queues veinées hyper gonfflées. Quelques Ahh ! Ahh résonnent dans cette grande salle, puis quelques Ouiii ! Ouiii! Le Père-Prieur a changé sa cadence de bourrage, je sens sens couilles de nouveau remplies buter contre mes fesses. Je sens mon orgasme principalement prostatique augmenter; Tellement il est excité il me saisi les jambes pour accentuer ses coups devenus presque violents par l'excitation et l'envie de donner du plaisir. Du groupe des Frères, j'entends un "Je jouiiisss ! je jouiiisss ! Ouiii ! " Presque au même moment le Père-Prieur pousse un hurlement rauque et il se vide en moi de toute sa suprême jute chaude. Et c'est cinq giclées qui me remplissent le fondement. Là; c'est moi qui suis pris de convulsions et de spasmes. Mon corps d'un bon se soulève à plusieurs reprises de la table comme si tout mon corps est électrifié. J'hurle un Oh oui en éjaculant sans me toucher la bite, et ma substance opaque mais très liquide s'écoule comme un torrentEt durant l'orgasme éjaculatoire du Père-Prieur et mon un comparable plaisir prostatique qui n'est plus un légende, je sens sur mon visage et sur mon ventre les giclées des Frères qui se vident les couilles pleines de plusieurs semaines accompagnées de leurs cris de soulagement. Comme la Communauté est très économe, les deux frères à mes côtés qui ont relâché mes jambes approchent leur tête de mon ventre et de ma figure pour laper ce bon jus concentré des moines? Les langues me chatouillent un peu mais me détendent après ce moment incomparable de jouissance cérébrale et physique. "Maintenant Eudes, vous êtes adoubé dans notre Communauté et à chacun de vos prochains séjours vous pourrez venir immédiatement en clôture parmi nous" lance à pleine voix le Père GérardNous remettons tous notre robe monacale pour aller rejoindre nos cellules réciproques.
Sur le parcours du cloître le Père Géraud me confie, il y a longtemps qu'il n'y a pas eu de célébration pour accepté de novice. Vous savez, pour toute la Communauté ce fut un bon et agréable moment C'est seulement en cette circonstance que nous pouvons nous donner du plaisir, et comme tous les travaux cela se fait ensemble. Le reste du temps nous sommes des moines sérieux et nous nous n'abandonnons pas à ce plaisir en commun ou seul, et comme vous avez pu le constaté la tension et l'excitation étaient à leurs extrêmes et apogées ce qui s'est traduit pas les grandes quantités de sperme éjaculées même par nos vieux Frères.
Je lui réponds immédiatement "Si cela vous a fait plaisir je pourrai revenir assez rapidement" "Vous pourrez revenir cher Eudes, mais il ne se passera rien, nous devons respecter notre règle monacale". Par politesse, je ne lui ai rien répondu, mais cela m'étonnerai beaucoup qu'ils ne se fassent pas plaisir de temps en temps seul ou ensemble, avec ce que j'ai vu parfois dans les recoins de l'abbaye. Je me souviendrai longtemps de cette retraite qui m'a remise en forme.

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Texte coquin : Noviciat à l'abbaye
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