Nuit avec Gladys

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Nuit avec Gladys Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-06-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Nuit avec Gladys
- Tu aimes embrasser les filles ?
- Voici ce qu’elle me dit quand elle est étalée sur le dos, les jambes ouvertes. Elle est excitante avec ses longs cheveux bruns sa petite touffe de poils sur le pubis et ses seins. Ah ses seins ! A les prendre dans la main pour ne plus les lâcher, avec leurs pointes sombres surmontées de mamelons aussi beaux à voir qu’à sucer.
- Nous nous sommes rencontrés dans un bistro, un soir assez tard : je cherchais moi à boire et à bavarder, elle un homme. Nous nous sommes vite mis ensemble, même si elle était un peu petite. Nous nous sommes embrassés à la sortie du bar. Ses lèvres étaient plus qu’accueillantes. Nos langues ont vite fait connaissance. Je n’avais pas besoin de la forcer pour me suivre dans ma chambre. Je savais ce qu’elle cherchait, j’étais prêt à lui donner ma queue.
- Dans ma chambre d’hôtel de luxe je pouvais lui faire tout, encore plus que je prévoyais. Sacrée Gladys. J’allais l’embrasser encore et la caresser comme j’en avais envie. Elle voulait baiser simplement, vite fait, bien fait. C’était pour moi une première de trouver une fille si chaude, si, empressée. Elle s’est vite déshabillée, est venue contre moi pour encore un baiser, cette fois plus longue que les premiers. Sa langue fouillait ma bouche. J’en bandais.
Mes bras l’entouraient, mes mains caressaient son dos. Je les mettais sur ses fesses. Elle se serrait contre moi, son pubis contre mes cuisses. J’avais la bite bandée contre son ventre. Mon envie d’elle était des plus fortes.
Je l’ai poussé sur l’autre lit, je suis venu sur elle. Elle écartait les jambes pour m’inviter à la prendre. J’étais dur comme rarement. Je sentais ma queue s’allonger. Il semblait que mes couilles remontaient dans mon ventre. Elle passe un bras sur ma taille, l’autre sur les épaules. Je ne la tiens pas, sauf peut être son cou. Gladys passe ses jambes sur les miennes. Je sens ses cuisses s’ouvrir encore un peu. Sa vulve n’est pas loin de ma pine. Elle va pour me guider, je refuse sa main. Elle le pose sur mes fesses, et moi doucement je glisse en elle.
Gladys est chaude à l’intérieur. Ma queue coulisse en elle facilement tellement elle est humide. Le gland accompagne en éclaireur la bite. Elle est très agréable à baiser. Nos pubis se séparent pour mieux se retrouver. Je la lui mets à fond. Elle gémit doucement en murmurant des merci de me baiser, j’en avais envie. C’est moi qui devrais le lui dire tellement elle baise bien.
Elle se laisse aller vers l’orgasme. Je la sens jouir. Je vais moi lui donner ma sauce quand elle s’arrange pour que je sorte d’elle. Si je me relève un peu étonné, c’est là qu’elle me demande si j’aime embrasser les filles. Je le lui ai montré pourtant quand nos lèvres étaient jointes.
Non pour elle embrasser veut dire simplement sucer. Bien sur que j’aime sucer une file dans ce qu’elle a de plus secret. J’aime avoir cette sensation de douceur d’un bouton sur ma langue comme, le gout de la cyprine. Elle s’offre ainsi. Je ne vais pas me gêner. Je suis à plat ventre entre ses jambes. Je prends les cuisses pour les mettre sur mes épaules. Gladys se laisse manipuler.
J’embrasse d’abord les lèvres douces sous les quelques poils. Je dévie un peu vers l’entrée de son vagin. Qu’elle bonne odeur entre dans mes narines. J’en bande toujours. Mon bas ventre commence se frotter contre les draps. Mon nez se bloque contre le haut de sa chatte. Enfin ma langue commence le travail de sape pour lui donner ce qu’elle veut. Je la lèche lentement, longuement. Son bas ventre suit son rythme de jouissance en allant et venant vers ma bouche.
Elle murmure des choses incompréhensibles sans doute des oui, encore, je n’en sais plus rien. Elle pousse un cri en partant vers l’infini des amantes. Il ne faut pas qu’elle me fasse trop trainer, j’ai envie moi aussi de me laisser aller vers l’orgasme. Je patiente encore un peu, juste le temps pour elle de jouir encore une fois.
J’allais me mettre sur elle à nouveau quand elle se retourne sur le ventre. Elle m’entraine à sa suite. Je suis sur le dos, elle sur moi. Elle se penche sur ma queue. Gladys me branle un peu, manière de me tenir dans sa main agile. Elle sait bien branler. Sa main s’agite autour de ma pine. Le prépuce monte et descend. Le gland se découvre pour se recouvrir encore. Je vais lui donner mon jus dans la main si elle continue.
Gladys fais parti de ses femmes qui savent ce que baiser veut dire tant pour elle que pour le partenaire. Elle se tourne en 69 sa bouche avec ma queue et son con sur ma bouche. Il me semble qu’elle a une meilleure odeur, sans doute sa jouissance. Sa langue lèche le fût de ma colonne avec ardeur, à croire que je suis une friandise. Elle sait que je vais jouir. Elle me lâche en pleine ascension : j’allais lui fournir mon sperme. Elle m’oublie le temps de se retourner. Elle vient me donner ses fesses. Je suis un peu étonné de voir avec quelle vitesse elle me donne son cul, oui son cul !
Elle aime se faire enculer, comme moi j’aime enculer les filles. C’est beau à la voir, ses fesses, sa raie sur ma queue, ses mouvements lents pour que j’entre. Je vois ma queue pénétrer doucement selon ses vœux Quand je suis bien au fond, elle passe sa main sur son clitoris. Ses mouvements de mains sont rapides. De temps en temps elle entre un ou deux doigts dans son intimité.
Gladys continue ses murmures sans que je sache ce qu’elle dit : des insanités sans doute. Elle accentue ses aller et venues autour de ma queue et là je gicle au fond de ses reins. Je la sens elle aussi jouir longuement.
Elle se relève lentement, se tourne encore pour prendre ma bite dans la bouche. Je m’étonne un peu qu’ellle me suce après que je l’ai enculée. Si elle aime ça, pourquoi l’en priver.
Nous nous endormons rompus par ce que nous venons de faire, surtout Gladys. Au petit matin j’entends un drôle de bruit, elle est étendue sur le lit : elle se branle. Je l’ai aidé en léchant le cul encore une dernière fois.
Je ne l’ai plus jamais revu.

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