Nuit éprouvante.
Récit érotique écrit par Ffgbear [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-03-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Nuit éprouvante.
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Le Maître de la fessée ( voir " Rêve de fessée "), sans doute puis-je le nommer ainsi ,m'a convoqué à nouveau sans plus de précision. Le protocole devait être le même, se déshabiller et mettre un bandeau et un bonnet empêchant de voir quoique ce soit. Mes fesses avaient retrouvé leur souplesse après l'expérience précédente et je me demandais si elle pourrait jamais se " tanner " au fil des séances. Très franchement je n'y croyais guère, et m'apprêtais à un début aussi douloureux que la fois dernière.
J'entendais un bruit de conversations et les tintements de verres lorsqu'ils sont reposés sur une table de pierre dure.
Il vint me chercher, l'odeur de tabac hollandais traduisait encore sa présence, et me conduisit
me tenant la main et la caressant.
Lorsque nous arrivâmes dans le salon, je reconnus le tapis, tiède, sous mes pieds. Il me poussa en avant, les conversations cessèrent.avant de reprendre à voix basse. Peut-être trois ou quatre personnes parlaient doucement, en allemand. Le Maître qu'ils ont appelé Werner leur répondit dans cette même langue Malheureusement je ne comprend que très mal, mais j'en aime les sonorités et leurs voix graves et posées étaient agréables à entendre.
Il me semble que Werner leur fit une proposition et j'entendis un des hommes se lever.
Ils me prirent chacun par une main et me firent allonger le dos sur une table étroite couverte d'une couverture un peu rêche.. Mes poignets et mes chevilles furent immobilisés par des velcros de bondage et des liens sous la table. De plus, deux sangles de cuir me maintenaient au niveau de la poitrine et du bassin, bien appuyés sur le bois. Je les entendais bavarder au dessus de moi, rire parfois, sans comprendre même le sujet de leurs échanges.
Ils retournèrent à leurs drinks en discutant, là, de manière plus animée, sans doute au sujet du scénario de mes tortures. L'attente dans une incertitude totale, m'effrayait sourdement car mon inexpérience BDSM me faisait imaginer les pires supplices.
Enfin l'un des hommes s'approcha, me caressa légèrement les tétons , les enduisit de gel et leur adapta une pompe. je reconnus la sensation des " Zaspi-venin " que j'utilisais moi même pour que les mamelons bien dilatés soient faciles à saisir. Un autre était occupé par mes testicules et grâce à des ligatures les pressait, tels deux gros oeufs au fond des bourses tendant la peau élastique sur les boules. Cela aussi je savais de quoi il retournait, car même seul je le pratiquais pour bien saisir les deux couilles sans leur permettre une fuite douloureuse.
Ce qui m'inquiéta un peu fut un bruit un peu mécanique de visserie, et je sentis de suite mes couilles posées entre deux plaques, les vis permettaient de resserrer les planchettes et d'écraser mes testicules.
Le serrage s'arrêta avant la douleur et je me tins coi bien que très inquiet, mais mon sexe était lui dressé, rigide et dur comme si cette inquiétude ne le concernait pas.
Je sentis un peu de mouvement autour de moi. Ils étaient nu car je sentait leur peau tiède et douce parfois le long de mes bras ou de mes doigts. Des mains me caressèrent de l'intérieur des genoux vers les bourses distendues et je sentis que l'on vissait les plaques. La pression sur mes couilles lentement devint plus forte mais supportable encore. Puis plus encore, je me mis à gémir doucement. Puis plus encore et encore. Je ne voulais pas crier mais mon visage devait exprimer ce que le cri ne faisait pas.... Comment définir cette douleur, elle est puissante, continue, mais sourde et irradiante de manière quand même supportable. Chaque tour de vis amplifie encore cette souffrance diffuse, diffuse de plus en plus loin de son origine. Comme si mes couilles avait enflées pour emplir tout mon bassin et mon abdomen tendu. Je retiens mon souffle et mes pleurs. L'un d'eux, peut être me prenant en pitié ou pour me permettre d'aller un peu plus loin encore, prit doucement dans sa bouche mon sexe rigide, récompense délicieuse qui tempérait la douleur. Puis rien ne se passe, sauf un allemand je crois, qui mon sexe en bouche, reste presque immobile, la langue juste collée, douce et fraîche à mon gland. Puis le serre-testicule est ôté et bien qu'elles soient encore prisonnières mes couilles me procurent une sensation délicieuse, comme celle que l'on a, au repos après un effort intense.
Je les entends bavarder et boire encore. Un allemand m'apporte de l'eau en soutenant ma tête et me propose (à ce que je comprends), un whisky. Il s'appelle Hans et est celui qui m'a sucé, me fait-il comprendre. Je me relaxe tous muscles relâchés, je pourrais même m'endormir.
Werner n'en a pas fini avec moi. Ils reviennent l'un me tient les couilles serrées, dressées, et commence à me donner de toutes petites tapes, je me rétracte aussitôt, la presque-douleur me surprend.. Les frappes régulières deviennent plus appuyées et je me contorsionne pour y échapper mais les lanières me maintiennent fermement. Chaque frappe occasionne une douleur aigüe qui reflue rapidement si le rythme reste modéré mais qui devient insupportable sous les coups vite recommencés. Je me contorsionne, je crie, je pleure de douleur et pourtant si le coup suivant ne vient pas c'est comme une absence, un manque, comme si cette douleur violente était la manifestation de ma vie, et son absence une chute angoissante.
Pause... Les conversations interrompues par mes gémissements et mes cris reprennent. J'ai de nouveau droit à un verre d'eau, un long baiser rafraîchissant de Hans et un whisky bien servi.
Je suis couvert de sueur et j'ai un peu froid. On me recouvre d'un drap et l'on m'enlève masque et bonnet. Il sont bien bandant tous, là bas, nus, au salon. Ils se présentent. Hans, je l'aurais reconnu, petit, musclé, et au sourire amical. Les deux autres, belles bêtes velus et barraquées, Ralf et Uwe, sont souriants aussi. Werner nettement plus vieux sourit narquoisement.
Heureusement, la succion de mes tétons s'est un peu détendue, un peu d'air sûrement a filtré. Les mamelons doivent être violacés, turgescents et hypersensibles.
De nouveau ils m'entourent. L'un me caresse les tétons et je sens mon sexe redevenir d'acier pendant que je gémis de bonheur, las, cela ne dure pas et il me pose des pinces à téton japonaises réglées très dur, je crie pour qu'il les desserre un peu, ce qu'il fait.
Les autres s'affairent sur mon sexe et mes couilles. Avant de le voir, j'entends le bip-bip d'un appareil électrique.... je crains le pire, l'électro stimulation je ne connais pas. Une main s'empare de mon sexe et introduit, une sonde métallique. Elle est assez grosse, du moins pour moi, 8, me dit Werner. Elle bloque un peu après le méat et il faut varier les angles pour qu'elle passe le S de l'urêtre dans le gland. Ensuite elle s'enfonce toute seule par son propre poids jusqu'à être presque entièrement masquée. Une pince crocodile vient mordre le bout qui reste. Werner ligature les couilles avec un bracelet silicone conducteur.
Ils se concertent et Werner me traduit : " on va essayer de te faire jouir comme ça "
Je suis très inquiet. Je ne connais rien à l'appareillage. C'est Uwe qui est aux manettes. Ralf me vaporise les couilles d'eau pour améliorer les contacts. Heureusement Uwe est très progressif et bientôt je sens des secousses pas désagréables, qui sans doute pourraient me faire bander si je ne l'étais déjà...Mais il augmente l'intensité avec le rhéostat et là, ça devient vraiment douloureux. Je ne peux m'empêcher de crier. La conduite de l'appareil paraît complexe, il cherche d'autres réglages mais seule, une douleur vive accompagne les intensités élevées qui me font hurler.
Werner et Hans se branlent en me regardant souffrir. Uwe et Ralf sûrement le ferait aussi s'il n'étaient pas occupés.
On décide de me mettre un électrode dans le cul à la place de la sonde et de recommencer. Même douleur sans orgasme. …. je suis épuisé, vidé
Dernière tentative avec un lien conducteur autour du sillon sous le gland et la boucle des couilles. Là, progressivement je sens monter l'excitation et les petites augmentations de puissance du courant qui me parcoure semblent enfin entrer en phase avec mes sensations. Oui, étrange sensation que de sentir venir, lentement un orgasme de bien plus profond qu'habituellement, comme si toute la zone inférieure du bassin, de l'anus , aux couilles, au pénis, coopéraient pour faire jaillir enfin ce jus chaud et libérateur de mon corps rompu.
Hans et Werner avaient joui, sur moi, bien avant moi..... Excités, Ralf et Uwe se sont rattrapé sur mes lèvres entrouvertes avant même que mes spasmes eussent cessé.
Ces tortionnaires impitoyables avec délicatesse m'ont détaché, nettoyé, frictionné avec des gestes très doux, très tendres. M'ont amené, moi flageolant, sur le canapé au milieu d'eux et porté un toast à ma prestation. J'appris quelques mots supplémentaires d'allemand, assez pour demander qu'au cours de la nuit et du matin, ils veuillent bien, tous, venir me baiser.
Le Maître de la fessée ( voir " Rêve de fessée "), sans doute puis-je le nommer ainsi ,m'a convoqué à nouveau sans plus de précision. Le protocole devait être le même, se déshabiller et mettre un bandeau et un bonnet empêchant de voir quoique ce soit. Mes fesses avaient retrouvé leur souplesse après l'expérience précédente et je me demandais si elle pourrait jamais se " tanner " au fil des séances. Très franchement je n'y croyais guère, et m'apprêtais à un début aussi douloureux que la fois dernière.
J'entendais un bruit de conversations et les tintements de verres lorsqu'ils sont reposés sur une table de pierre dure.
Il vint me chercher, l'odeur de tabac hollandais traduisait encore sa présence, et me conduisit
me tenant la main et la caressant.
Lorsque nous arrivâmes dans le salon, je reconnus le tapis, tiède, sous mes pieds. Il me poussa en avant, les conversations cessèrent.avant de reprendre à voix basse. Peut-être trois ou quatre personnes parlaient doucement, en allemand. Le Maître qu'ils ont appelé Werner leur répondit dans cette même langue Malheureusement je ne comprend que très mal, mais j'en aime les sonorités et leurs voix graves et posées étaient agréables à entendre.
Il me semble que Werner leur fit une proposition et j'entendis un des hommes se lever.
Ils me prirent chacun par une main et me firent allonger le dos sur une table étroite couverte d'une couverture un peu rêche.. Mes poignets et mes chevilles furent immobilisés par des velcros de bondage et des liens sous la table. De plus, deux sangles de cuir me maintenaient au niveau de la poitrine et du bassin, bien appuyés sur le bois. Je les entendais bavarder au dessus de moi, rire parfois, sans comprendre même le sujet de leurs échanges.
Ils retournèrent à leurs drinks en discutant, là, de manière plus animée, sans doute au sujet du scénario de mes tortures. L'attente dans une incertitude totale, m'effrayait sourdement car mon inexpérience BDSM me faisait imaginer les pires supplices.
Enfin l'un des hommes s'approcha, me caressa légèrement les tétons , les enduisit de gel et leur adapta une pompe. je reconnus la sensation des " Zaspi-venin " que j'utilisais moi même pour que les mamelons bien dilatés soient faciles à saisir. Un autre était occupé par mes testicules et grâce à des ligatures les pressait, tels deux gros oeufs au fond des bourses tendant la peau élastique sur les boules. Cela aussi je savais de quoi il retournait, car même seul je le pratiquais pour bien saisir les deux couilles sans leur permettre une fuite douloureuse.
Ce qui m'inquiéta un peu fut un bruit un peu mécanique de visserie, et je sentis de suite mes couilles posées entre deux plaques, les vis permettaient de resserrer les planchettes et d'écraser mes testicules.
Le serrage s'arrêta avant la douleur et je me tins coi bien que très inquiet, mais mon sexe était lui dressé, rigide et dur comme si cette inquiétude ne le concernait pas.
Je sentis un peu de mouvement autour de moi. Ils étaient nu car je sentait leur peau tiède et douce parfois le long de mes bras ou de mes doigts. Des mains me caressèrent de l'intérieur des genoux vers les bourses distendues et je sentis que l'on vissait les plaques. La pression sur mes couilles lentement devint plus forte mais supportable encore. Puis plus encore, je me mis à gémir doucement. Puis plus encore et encore. Je ne voulais pas crier mais mon visage devait exprimer ce que le cri ne faisait pas.... Comment définir cette douleur, elle est puissante, continue, mais sourde et irradiante de manière quand même supportable. Chaque tour de vis amplifie encore cette souffrance diffuse, diffuse de plus en plus loin de son origine. Comme si mes couilles avait enflées pour emplir tout mon bassin et mon abdomen tendu. Je retiens mon souffle et mes pleurs. L'un d'eux, peut être me prenant en pitié ou pour me permettre d'aller un peu plus loin encore, prit doucement dans sa bouche mon sexe rigide, récompense délicieuse qui tempérait la douleur. Puis rien ne se passe, sauf un allemand je crois, qui mon sexe en bouche, reste presque immobile, la langue juste collée, douce et fraîche à mon gland. Puis le serre-testicule est ôté et bien qu'elles soient encore prisonnières mes couilles me procurent une sensation délicieuse, comme celle que l'on a, au repos après un effort intense.
Je les entends bavarder et boire encore. Un allemand m'apporte de l'eau en soutenant ma tête et me propose (à ce que je comprends), un whisky. Il s'appelle Hans et est celui qui m'a sucé, me fait-il comprendre. Je me relaxe tous muscles relâchés, je pourrais même m'endormir.
Werner n'en a pas fini avec moi. Ils reviennent l'un me tient les couilles serrées, dressées, et commence à me donner de toutes petites tapes, je me rétracte aussitôt, la presque-douleur me surprend.. Les frappes régulières deviennent plus appuyées et je me contorsionne pour y échapper mais les lanières me maintiennent fermement. Chaque frappe occasionne une douleur aigüe qui reflue rapidement si le rythme reste modéré mais qui devient insupportable sous les coups vite recommencés. Je me contorsionne, je crie, je pleure de douleur et pourtant si le coup suivant ne vient pas c'est comme une absence, un manque, comme si cette douleur violente était la manifestation de ma vie, et son absence une chute angoissante.
Pause... Les conversations interrompues par mes gémissements et mes cris reprennent. J'ai de nouveau droit à un verre d'eau, un long baiser rafraîchissant de Hans et un whisky bien servi.
Je suis couvert de sueur et j'ai un peu froid. On me recouvre d'un drap et l'on m'enlève masque et bonnet. Il sont bien bandant tous, là bas, nus, au salon. Ils se présentent. Hans, je l'aurais reconnu, petit, musclé, et au sourire amical. Les deux autres, belles bêtes velus et barraquées, Ralf et Uwe, sont souriants aussi. Werner nettement plus vieux sourit narquoisement.
Heureusement, la succion de mes tétons s'est un peu détendue, un peu d'air sûrement a filtré. Les mamelons doivent être violacés, turgescents et hypersensibles.
De nouveau ils m'entourent. L'un me caresse les tétons et je sens mon sexe redevenir d'acier pendant que je gémis de bonheur, las, cela ne dure pas et il me pose des pinces à téton japonaises réglées très dur, je crie pour qu'il les desserre un peu, ce qu'il fait.
Les autres s'affairent sur mon sexe et mes couilles. Avant de le voir, j'entends le bip-bip d'un appareil électrique.... je crains le pire, l'électro stimulation je ne connais pas. Une main s'empare de mon sexe et introduit, une sonde métallique. Elle est assez grosse, du moins pour moi, 8, me dit Werner. Elle bloque un peu après le méat et il faut varier les angles pour qu'elle passe le S de l'urêtre dans le gland. Ensuite elle s'enfonce toute seule par son propre poids jusqu'à être presque entièrement masquée. Une pince crocodile vient mordre le bout qui reste. Werner ligature les couilles avec un bracelet silicone conducteur.
Ils se concertent et Werner me traduit : " on va essayer de te faire jouir comme ça "
Je suis très inquiet. Je ne connais rien à l'appareillage. C'est Uwe qui est aux manettes. Ralf me vaporise les couilles d'eau pour améliorer les contacts. Heureusement Uwe est très progressif et bientôt je sens des secousses pas désagréables, qui sans doute pourraient me faire bander si je ne l'étais déjà...Mais il augmente l'intensité avec le rhéostat et là, ça devient vraiment douloureux. Je ne peux m'empêcher de crier. La conduite de l'appareil paraît complexe, il cherche d'autres réglages mais seule, une douleur vive accompagne les intensités élevées qui me font hurler.
Werner et Hans se branlent en me regardant souffrir. Uwe et Ralf sûrement le ferait aussi s'il n'étaient pas occupés.
On décide de me mettre un électrode dans le cul à la place de la sonde et de recommencer. Même douleur sans orgasme. …. je suis épuisé, vidé
Dernière tentative avec un lien conducteur autour du sillon sous le gland et la boucle des couilles. Là, progressivement je sens monter l'excitation et les petites augmentations de puissance du courant qui me parcoure semblent enfin entrer en phase avec mes sensations. Oui, étrange sensation que de sentir venir, lentement un orgasme de bien plus profond qu'habituellement, comme si toute la zone inférieure du bassin, de l'anus , aux couilles, au pénis, coopéraient pour faire jaillir enfin ce jus chaud et libérateur de mon corps rompu.
Hans et Werner avaient joui, sur moi, bien avant moi..... Excités, Ralf et Uwe se sont rattrapé sur mes lèvres entrouvertes avant même que mes spasmes eussent cessé.
Ces tortionnaires impitoyables avec délicatesse m'ont détaché, nettoyé, frictionné avec des gestes très doux, très tendres. M'ont amené, moi flageolant, sur le canapé au milieu d'eux et porté un toast à ma prestation. J'appris quelques mots supplémentaires d'allemand, assez pour demander qu'au cours de la nuit et du matin, ils veuillent bien, tous, venir me baiser.
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