Nuit initiatique
Récit érotique écrit par Damien jeidi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-11-2006 dans la catégorie Pour la première fois
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Nuit initiatique
J’avais 18ans. Mon parrain, il en avait 30, me proposa un soir de m’emmener dans une soirée de son club chez des amis à lui histoire de me changer un peu les idées. Ma situation de famille fait que durant plusieurs années je n’ai pas pu le voir. Le hasard fait qu’il m’a rencontré un soir en rentrant du travail. Ma mère m’obligea d’attendre mes 18ans pour de nouveau le fréquenter. Il a donc entreprit de « commencer ma formation ». Depuis plusieurs mois, il me fait visiter Paris, les coins sympas de la capitale n’ont pas l’air d’avoir trop de secret pour lui. Il aime dire « le jour où je me poserai je pourrai dire, j’ai bien vécu ».
Depuis plusieurs mois j’ai un peu vidé mon sac grâce à lui. Je me suis confié. Il a été l’adulte qui sait écouté et comprendre sans jamais juger.
Un soir de mois de juin, me voilà donc embarqué dans une soirée où je ne connais personne. Il vient me chercher à coté de chez moi, il m’a demandé d’indiquer à ma mère que ce soir je ne dormirai par chez moi. La seule indication que j’ai eu « prend un maillot de bain, il y aura une piscine, de quoi te changer si tu vas à l’eau et affaires de toilettes ». Nous roulons déjà depuis ¾ heures, la discutions porte sur un peu de tout. Une fois de plus il me demande si j’ai des nouvelles de mon père. Mais pour la première fois il me parle de lui, de ces aventures féminines, il dit qu’il y a des choses qui sont racontables et d’autres non. « Tu verras un jour tu parleras comme moi ». Mon expérience sexuelle est à peu pré égal à zéro. Quelques petites copines au collège, mais ma timidité me bloque régulièrement. Il me charrie souvent sur le fait que je sois célibataire. Mais je laisse dire, il a raison à 18ans il serait peut être temps mais bon…..Nous arrivons enfin. Avant de descendre il me choppe par le bras et me dit « Tiens c’est pour toi, ce soir il y aura plein de personnes, environ 200. La force est en toi jeune padawan, en cas de besoin n’hésite pas » et il me tend 5 capotes. Je suis rouge de confusion, je ne sais pas quoi dire. Il me regarde et me dit « on se sait jamais, rien n’est véritablement écrit ».
Nous sortons nos affaires, tout est superbement prévu. Ambiance de fête, il y a de l’alcool, on dort sur place, en effet je remarque qu’il y a plein de monde. Thierry, mon parrain, fait de tour de la soirée en saluant, déconnant avec une multitude de personnes. Assez timide, je reste un peu dans mon coin. Il vient me chercher à un moment pour rejoindre la fête. Dans ce parc il y a une piscine où déjà pas mal de monde se baigne. Je serai bien tenté mais où se changer ? L’heure tourne et les vers d’alcool s’enchaînent au rythme des plats , je commence réellement à me faire chier. Thierry m’a un peu laissé tomber pour aller avec ses potes de son club. De mon coté je décide d’aller faire un tour dans le parc qui borde cette grande maison.
Je me balade la chemise ouverte, l’air décontracté avec un verre à la main. Je regarde autour de moi tous ces gens que je ne connais pas et qui vont et viennent d’un endroit à un autre. Mon regard se pose tout à coup sur une jolie demoiselle que j’ai vu embrassé mon parrain sur les joues tout à l’heure. D’ailleurs Thierry revient à la charge, je commence à m’apercevoir qu’il est l’un des responsables du club et en plus c’est lui qui a organisé la fête. Il parle, commente les résultats de la saison etc.… je ne l’écoute pas, mais je aperçois de nouveau cette jolie fille. Après son mini discours je vais vers lui et lui demande de m’indiquer qui est cette personne que je trouve charmante. D’un coup sec il ma prend par le bras et se dirige avec moi vers elle.
« Alexandra, je te présente Thomas mon jeune filleul »
« Thomas voici Alexandra un combattante du club qui a fait les championnat de France cette année. Elle a 20 ans et elle représente un atout pour notre club. »
Après les présentations, il me laisse en plan avec en face cette fille qui me fait quasiment rougir. Déjà je sens popaul s’exciter ce qui n’est réellement pas de bon goût.
« Tout à l’heure je t’ai vu dans le parc, toi aussi tu n’as pas l’air d’aimer trop danser ».
« Ba en fait, je ne connais personne sauf Thierry donc je me baladai pour passer le temps. »
« On continue la balade » me proposa-t-elle ? Je répondis par l’affirmatif et nous partîmes dans le parc loin de la fête et du bruit.
Elle commença à me parler d’elle, elle avait un frère de 15 ans qui était, selon ses propres dires, « dans l’âge con », elle pratiquait ce sport depuis 12 ans. Coté étude elle rentrait en 2ème année de BTS compta où elle se faisait bien chier. Nous avançâmes durant ¾ heures pour nous retrouver au fond du parc. Elle connaissait les lieux. Je le suivait et je commençais à m’imaginer comment elle était sans son pantalon blanc ample et se tee-shirt qui par ailleurs lui allait à merveille. On s’arrêta et on s’assit. Elle continuait de me parler et moi à l’écouter. Elle pris ma main tout en continuant à me parler. J’étais un peu gêné de ce geste car finalement je ne la connaissais pas. Elle voulu s’allonger et me demanda de poser sa tête sur mes jambes. J’acceptai, elle se coucha et sa tête vient se poser sur mes cuises. Jamais je m’étais trouvé dans une telle situation. Machinalement main commença à caresser sa tête, elle se tu, le silence régnait et nous étions bien. De mon côté je sentais une légère excitation montée en moi. Mon sexe devenait un peu moins mou. Je continuai à caresser ses cheveux. C’était pour moi quasiment magique. Elle se laisse aller je la sent qui se détend, je commence à me dire que c’est peut-être un moment où je pourrai tenter quelque chose. Thierry est loin, si elle me gifle personne n’en saura rien. Rien que d’y penser, ma verge commence à se tendre un peu plus. Je ne voudrai pas qu’elle s’aperçoive de mon état. Cet instant aurait pu durer bien plus longtemps si la pluie n’était venue troubler notre tranquillité. En l’espace d’un instant un orage violent nous tira de notre léthargie. Elle m’attrapa la main, m’entraîna dans une direction inconnue. Nous avons couru jusqu’à un bâtiment qui se trouvait à proximité de l’endroit où nous nous étions arrêtes. Elle ouvrit la porte et me fit rentrer.
A mon regard elle vu que j’étais étonné de l’endroit où désormais nous étions. Elle me répondit :
« C’est moi qui reçoit ce soir, ici c’est la maison de campagne de mes parents ».
Bien que notre course poursuite n’a duré que quelques minutes , nous étions trempés, elle avait froid, il faisait nuit depuis pas mal de temps et malgré la météo clémente de la journée passée, la nuit était fraîche.
« J’ai froid me dit-elle je suis trempée, aide moi on va faire un peu de feu il y a du bois ici »
En deux temps trois mouvements elle trouve tous les accessoires pour faire du feu , la flambée part rapidement, je commence à découvrir les lieux : une grande pièce avec au fond un lit, deux chaises et un table.
« C’est en fait une chambre d’amis, quand de la famille vient nous rejoindre quelques jours, ils dorment ici comme cela ils sont indépendant de nous ».
« Ha ok » dis-je.
« Va dans l’armoire là bas sur ta gauche il doit y avoir de quoi se sécher je suis trempée j’ai pas envie de choper la crève avant de partir en vacances. »
Je m’exécuta et pris une serviette que je lui tendis ,
« On va faire sécher nos vêtements et si cela se calme on rentrera au bâtiment principal » ,
Elle commença a se défaire de son tee-shirt blanc qui laissait transparaître ces sous vêtement et en me tournant le dos elle défit son pantalon qui la collait. Elle se retrouva rapidement en sous vêtement. Pris en se retournant elle me dit :
« Hé bien, enlève moi tout cela, tu a chopper la mort, allez ne soit pas si pudique on en fait rien de mal ».
Sur son injonction j’enlevai ma chemise, qui effectivement était trempée, et mon pantalon et je lui tendis. Je me rapprochai du feu qui commença à nous réchauffer.
Je me sentais gêné, j’étais en boxer dans une pièce éclairée à la seule lueur du feu de la cheminée. De son coté alexandra était elle aussi en sous vêtement, recroquevillé sur elle-même, elle avait froid. Mes yeux se dirigèrent sur elle et je la vis là à demie nue. Cette vision provoqua un léger gonflement de mon membre. Elle se dirigea sur le lit, s’assis et contempla le feu.
« Vient t’asseoir me dit-elle, nous serions mieux sur le lit. »
Je m’exécutait, assis sur le lit je contemplai le feu, un lourd silence régnait, j’espérais qu’avec le peu de lumière qui régnait dans la pièce elle ne s’apercevrait pas de mon état. Je ne voulais pas me taper la honte en passant pour un gros obsédé. Au bout de quelques minutes elle posa de nouveau sa tête sur mes genoux et je commençai alors à caresser ces cheveux. La tension montait, je le sentais , je concentrais mon esprit sur d’autres préoccupations, le prochain devoir de maths à rendre. Elle se laissait aller puis elle pris ma main et me caressa de nouveau. J’étais bien, serein et je n’aurai voulu pour rien au monde échangeait ma situation.
D’un seul coup nos yeux se croisaient et je vis un changement dans son regard. Elle commença à se redresser en avança sa bouche ver la mienne, je me laissait faire, elle posa tendrement un baiser sur mes lèvres. Elle se retourna pour être plus à l’aise et recommença, je me laissais guider par une vague de chaleur qui montait de plus en plus en mois.
Maintenant la tension au niveau du boxer était à son maximum. Alexandra pris l’initiative de glisser sa langue dans ma bouche je fit de même, elle se mis contre mois et nous nous allongeâmes sur le lit l’un à coté de l’autre. Maintenant mon sexe était droit comme un piquet, je pris l’initiative de caresser un peu le bas de son dos. Je me rapprochais d’elle, mais pas suffisamment pour qu e mon sexe frôle son corps. Elle commença à me caresser le torse, alors imberbe cela faisait un peu drôle. De mon coté pour ne pas être en reste je lui caressais les cheveux, la fougue de ma jeunesse et de mon inexpérience augmenta mon ardeur. Je prenais de plus en plus confiance en moi. D’un seul coup elle s’arrêta et défit son soutien gorge et jeta un regard sur moi et ses yeux tombèrent sur mon membre qui dressé comme un tronc d’arbre déformait mon boxer. Je me sentais gène, à première vue je n’étais pas le premier mec avec qui elle ferait cela, qu’allait-elle penser ? Allait-elle se rendre compte de ma gaucherie et de état de méconnaissance si nous devions aller plus loin ? Et puis j’ai jamais fait de plan avec des potes, je n’ai jamais compare mon sexe en érection avec d’autres potes, si cela se trouve elle me trouverait pas assez membré ?
« Après, alors Thomas, ça va bien, tu as l’air tout pâle ».
Je trouvai la force de bredouiller un « oui, pas de problème » Ma réponse ne fut certainement pas convaincante car elle lâcha.
« Tu as quel âge ? 18ans ? «
« Oui » ai-je répondu
Elle regarda sur mon ventre et dit « joli morceau » elle commença avec sa main à caresser les contours de ce membre gonflé à bloc. Puis elle glissa deux doigts qui soulevèrent l’élastique. Sa deuxième main vient au secours de la première, je sentait que j’allais de me retrouvai nu, que pour la première fois une personne autre que moi allait me voir en train de bander. Je fus pris d’un tremblement.
« Apprenti, compagnon ou maître ? » lâcha-t-elle
Un silence lui fit comprendre que je n’avais rien compris à ces propose.
« Je pensai que Thierry ne tenait le langage qu’il nous tient, car j’ai l’impression que tu es un jeune padawan sans aucune expérience ».
De honte, je baissais les yeux. Qu’aurais je pu dire ?
« T’inquiète pas tu vas effectuer les trois voyages ce soir ».
Je ne comprenais rien à son discours, mais elle continua à jouer avec les contours de mon boxer et tout doucement mon membre se découvrit à la lueur de la cheminée. Elle descendit mon caleçon sur les jambes puis finit par me l’ôter.
Le 1er voyage.
Elle pris l’initiative, de toute façon j’étais un peu tétanisé par ce qu’il se passait. Allongé sur le dos j’allais subir, sans le savoir, les assauts d’Alexandra. Déjà une petite goûte de liquide s’échappait de mon membre. Alexandra commença par me caresser les cheveux, elle me couvrait de petits baisers sur mes lèvres, mes joues, mon coup, puis sa bouche descendit sur mes tétons, elle en lécha un, puis le deuxième. J’étais enfoncé dans le lit, je ne bougeai plus, je m’abandonnai à elle de plus en plus. Elle se colla à moi, mon sexe sentit la chaleur de sa peau l’envelopper. Elle ne bougeait pas elle restait parfois immobile, elle ne disait rien. Un moment j’eu peur qu’elle voulu tout arrêter en me disant « Sorry les puceaux c’est pas pour moi », je n’osai imaginais telle fin. Elle se mit à coté de moi, me pris dans ses bras, me fit un câlin, comme les mères font à leurs enfants. Mais qu’allait-il se passer. Elle attendait peut-être de moi que je pris, enfin, une initiative. De toute façon j’en était incapable, j’avais beau avoir vu quelques films X ma seule expérience s’arrêtait à l’agitation de ma main droite régulièrement le soir, de préférence, quand l’envie était trop forte. Les petites copines que j’avais eues au lycée ne m’avaient jamais laissé le temps d’aller plus loin, de plus elles n’étaient pas nombreuses.
« Il faut un peu te calmer, sinon j’ai bien peur que tu lâche la sauce un peu trop rapidement » me dit-elle.
Nous restâmes dans cette position quelques instants, en effet l’excitation en moi commençait à se stabiliser, elle commença progressivement à de nouveau me caresser le dos, puis le haut des reins. Elle se retourna vers moi et me roula une superbe pelle qui eut pour effet de redonner de la vigueur à mon excitation. Non pas que j’eu commencé à débander mais l’intensité en moi était un peu plus calme. Je sentis une vigueur en elle de plus en plus forte. De nouveau je me retrouvai sur le dos. Nos poitrines l’une sur l’autre, je commençais à sentir ses seins devenir de plus en plus ferme. Un copain m’avait raconté que l’excitation des femmes se manifestait de cette manière. Nous nous continuâmes à nous embrasser, c’était divin. J’étais eu ange.
Progressivement Alexandra, commença à m’embrasser sur d’autres parties du corps comme elle l’avait fait quelques minutes auparavant. Sa bouche ouverte descendit le long de mon visage, elle s’attarda un peu sur ma poitrine, comme je suis assez musclé je pense qu’elle apprécia mon corps certes encore un peu juvénile mais bien formé par ailleurs. Son visage descendait encore vers le bas, d’un seul coup je compris où s’arrêterait cette course poursuite. Mon objectif fut de résister, je me mis à réciter mes tables de multiplications. Lorsque je fus à la table de 3, une main, pris mon membre, doucement délicatement, avec deux doigts elle découvrit le gland.
Une onde de fraîcheur vient du bas de mon peni jusqu’à son extrémité. Sa langue remontait ma tige. C’était merveilleux.
Puis d’un coup je sentis ses lèvres se refermer sur mon membre. J’étais en train du subir ma première fellation. Alexandra était désormais entres mes jambes, je pris le courage d’ouvrir les yeux et je la vit en train de me sucer. Elle me caressait les testicules et remontait jusqu’à mon anus. J’étais en supplice , supplice de bonheur absolu. Avec sa langue elle me léchait par petit à-coup mon frein, chaque coup de langue provoquait une jouissance terrible. Je sentais ma bite se raidir de plus en plus, elle était sur le point d’éclater.
Une sensation de vide commençait à venir au plus profond de moi, je compris que j’allais bientôt atteindre l’orgasme et surtout que j’allais éjaculer. Alexandra toujours attelé à sa tache me suçait et en plus une main effectuait des va et viens sur ma tige. La sauce montait, j’allais lâcher ma semence.
« Alexandra, attention je vais….. » je ne put finir ma phrase qu’un long jet avec d’innombrables spasmes vient me foudroyer.
Elle referma mon prépuce sur mon gland et d’une main experte pris un mouchoir en papier et déversa mon sperme dedans. J’étais allongé, j’avais l’impression que je n’avais plus de force. Elle se leva enleva sa culotte et me dit.
« Hé Thomas ne t’endort pas, il te reste encore deux voyages à faire… »
Le 2ème Voyage
A peine remis de ce je venais de vivre. Alexandra entrepris de réveiller en moi mon courage et mon ardeur. Elle aussi avait envie de prendre son pied. Mais une question me traversa l’esprit « Comment fait-t-on ? »
Mon sexe était devenu mou. Il pendait sur mes testicules et je me demandais si un jour il arriverait de nouveau à bander après ce qu’il venait de subir.
Elle s’allongea sur le dos et avec un bras m’entraîna sur elle. C’était la première fois de ma vie que je me retrouvai dans cette position. Les mains dans ces cheveux je commençais à lui caresser la tête. J’entrepris, timidement, de lui faire, comme je l’avais subit avant dans la soirée, quelques bisous dans le coup. Je ne sais pas trop quoi faire, je suis un peu gauche. Encore un fois Alexandra va me guider. Elle prend mes mains et les dirige sur elle. Je commence à la caresser. D’abord les épaules puis je descend sur ces flancs. Je sens le début du globe de ses seins. Elle se repositionne de telle sorte que je me retrouve entre ses jambes. Jamais dans mes rêves les plus fou je n’aurai imaginer une telle chose. Timidement je commence à lui caresser un sein. Puis je descends ma bouche à la rencontre de mes doigts. Je commence à lécher avec ma langue la pointe de son téton. Ses seins sont fermes quasiment aussi dur que ma bite tout à l’heure. Elle prend ma tête dans ses mains et la dirige sur l’autre, je me laisse guider. Ne suis-je pas l’apprenti comme elle me l’indiquait avant son premier voyage ? Son corps commence à onduler légèrement. Elle a les yeux fermés. Elle attrape une de mes mains et la dirige vers son intimité. Je commence à être saisi de peur. En effet on m’a raconté qu’il fallait faire cela avec douceur sinon on risquait de faire mal à sa partenaire. J’entreprends donc doucement de faire glisser mes doigts ver l’endroit où elle désire qu’ils se rendent. Je commence à toucher sa toison. Drôle de sensation, je caresse avec ma main ses poils. Je frotte avec ma main cette intimité que je n’ose pas pour l’instant explorer. Mais l’envie devient de plus en plus forte. D’ailleurs je m’aperçois que mon sexe commence de nouveau à s’agrandir. Je caresse avec mon majeur cette fente. La leur de la cheminée me fait entrevoir un peu où mes doigts s’aventurent. Je la caresse, j’essaie de trouver ce chemin que je n’ai jamais emprunté.
D’un seul coup je sens un vide sous mes doigts, je décide de continue sur ce chemin. Au moment où mon doigt rencontre la fente tant désirée je m’aperçois que s’est surtout une fontaine que j’ai rencontrée. Alexandra mouille comme une folle. J’entreprend d’y mettre un doigt et je commence un léger va et vient. Ma main collé sur son sexe et commence à remonter dessus. Je suis entre ses jambes le sexe de nouveau tendu sur son ventre et une main qui va et viens dans ce sexe humide. Mon doigt est au chaud, je ne pensais pas que j’aurais eu autant de place. Je prends le risque et l’initiative de faire venir à sa rencontre un deuxième doigt. A l’instant où mon index vient à la rencontre de mon majeur le corps d’Alexandra se raidit. Un frisson sembla traverser son corps.
« Ca va bien » lui demandai-je ?
Elle me sourit. Je commençais donc à la masturber avec deux doigts , elle avait l’air d’apprécier. Sa tête était en arrière et le désir semblait la posséder. J’entrepris à ce moment là de lui rouler une pelle. Mais alors que nos langues s’entremêlaient elle attrapa ma tête et appuya sur celle-ci pour me faire descendre le visage. Dans cette descente je m’arrêtai un moment sur ses seins. Je pensai qu’elle voulait que je luis suce de nouveau les tétons. Mais elle insista et je compris qu’après avoir subit ma première fellation j’allais devoir effectuer mon premier cuni. J’ôtai mes doigts de l’endroit où ils se trouvaient. Ma langue lécha son nombril puis rencontra ses premiers poils. J’eu le souvenir d’un film x que j’avais vu quelques semaines auparavant. Délicatement j’écartai la fente. Je commençai à glisser tout doucement ma langue. Elle me cola mon visage avec ses mains sur cet endroit magique. Je sentis un petit bouton tout gonflé. J’entrepris de le sucer comme une glace à la vanille. Ma langue donnait de petits coups. Je sentais son corps de plus en plus se crisper. Ses mains attrapaient de plus en plus fort mes cheveux. Je mis de plus en plus de l’ardeur à mon ouvrage. Un râle commença à jaillir de sa bouche. J’accélérai le mouvement sentant que j’allais à mon tour délivrer Alexandra de son désir. D’un seul coup elle poussa un cri plus violent que les autres et je sentis une fontaine jaillir en elle. Son corps retomba aussi brutalement qu’il s’était cambré au moment où elle avait joui.
Je restai là allonger ma tête entre ces jambes. Elle passa ses mains dans mes cheveux me les caressa un long moment. Puis elle me fit comprendre de monter vers elle. Mon visage était humide, mon sexe était tendu contre son ventre. Moi aussi j’étais calme bien qu’une érection de plus en plus forte se faisait sentir.
Elle ne dit rien. Elle ne fit rien. Je n’avais pas du tout envie de dormir. Je me disais que le moment que j’attendais depuis toutes ces années était peut-être sur le point de se réaliser.
Elle rompu le silence :
« Thomas, je peut te donner ce que tu envie et ce qu’on ton corps réclame. Mais as-tu l’équipement nécessaire pour cela. Car je n’ai pas de contraception. »
Je répondis par l’affirmatif de la tête.
Je me décollai d’elle, me dirigeai vers mon pantalon et sortir les capotes que mon parrain m’avaient donné au début de soirée.
Dans ma tête je me disais que je garderai un souvenir mémorable de cette soirée.
3ème Voyage.
Debout dans la peine ombre je cherchai l’objet qui me permettrait d’arriver au désir tant espérer. Incliné en train de fouiller dans les poches de mon jean, le sexe en érection, le tout dans la lumière d’une cheminée qui perdait petit à petit de sa vaillance, la vision que je donnai à ce moment là à Alexandra ne devait être anachronique. Jamais je ne m’étais balader nu devant une femme depuis que mon corps avait entreprise sa transformation du à l’adolescence.
Ça y est j’ai extrait de la poche de mon jean les capotes que j’avais. Je me rapproche du lit. Je commence à prendre l’initiative d’ouvrir un paquet. Mes gestes sont maladroits. Je n’ai jamais mis une capote sur ma bite , j’y ai souvent pensé mais le manque d’occasion ne m’a pas permis de m’exercer. Je pense que j’ai exprimé avec mon visage une angoisse. Alexandra pris, une fois de plus, l’initiative. Elle me dit :
« Donne j’ai l’habitude »,
Je lui tends le paquet elle déchire la séparation entre deux préservatifs. Tout doucement elle ouvre la poche qui le renferme, l’extrait et me regarde. Je suis confus, je ne sais pas quoi faire. Dans un geste tendre Alexandra me rapproche d’elle, elle prend mon sexe délicatement dans sa main, me guide, me faits asseoir sur le lit. J’observe tous ces gestes. Elle commence par me caresser le sexe puis elle posa le plus délicatement le préservatif qu’elle fit dérouler sur ma tige. Drôle de vision de voir sa bite recouverte d’un capuchon avec un réservoir qui flotte au dessus. Elle me regarde, me sourit et me dit :
« Te voilà équipé pour le plus beau des voyages, viens t’allonger ».
Je m’exécute, je me mets sur le dos, la tête bien collée sur l’oreiller. Alexandre s’allonge sur moi, mon sexe est contre son ventre. Elle m’embrasse avec fureur, mon envie commence à monter, j’ai envie de la prendre, j’ai envie de la posséder. Tout doucement ses jambes viennent se coller sur mes cotes de part et d’autres de mon corps. Elle commence à poser son basin sur mon sexe. Est-moi qui va être posséder ou l’inverse. J’aimerai bien prendre un peu d’initiative, certes je suis puceau mais il y a des limites. Elle se redresse, je vois ses seins devant mon visage, deux globes que je commence à caresser avec mes mains. Mes pouces s’attardent sur ces tétons, je les caresse de plus ne plus fort. D’ailleurs mon érection est elle aussi de plus en plus forte. La main droite d’Alexandre caresse mon ventre. Elle commence à descendre sur mon engin qui est gonflé à bloc. Elle le saisis de sa main experte et commence à le faire glisser sous elle. Je sens mon sexe longer sa fente, elle s’arrête sur ses lèvres et le frottes à elles. Puis doucement, je sens mon sexe s’enfoncer dans un tunnel. Il est pris entre les parois d’une caverne qui me semble sans fond. Alexandra s’empale doucement le long de ma bite. Je regarde à la jonction de nos deux corps, ma vite a disparu, elle semble avoir été engloutie. Je réalise que pour la première fois de ma vie je commence à posséder une femme. J’ai envie d’hurler ma joie et ma satisfaction. Alexandra se positionne sur ma bite. Elle prend une position qui lui convient de plus en plus. Je commence un va et vient, j’ai du mal à me concentrer que ce qui a pour effet de faire sortir ma bite de son vagin. Elle se penche sur moi
« Doucement mon jeune étalon, il faut que je m’habitue car la nature t’a doté d’une bel engin, et puis il faut quasiment pas bouger le bassin. »
Elle s’empale de nouveau sur moi, je sens que la situation m’échappe un peu, elle a pris les commandes d’acte, je subis, je suis un peu déçu. Elle positionne ses mains sur mon ventre, puis m’attrape avec l’une d’elle la tête qu’elle plaque sur sens seins. Je passe ma langue sur le premier téton qui passe. Elle tient ma tête entre ses mains. Elle me commande, je suis tout à elle. Doucement elle m’allonge de nouveau puis commence avec son basin un petit mouvement d’ondulation. Je sens sa respiration prend un autre rythme. Elle a de nouveau un regard qui change. Son visage change de forme en fonction de la puissance des ondulations de son corps. Elle prend une de mes mains et la dirige vers le bas de ma tige , à l’entrée de son vagin. Je commence à faire glisser le long de ma bite un doigt pour lui caresser les poils pubiens de son sexe. Celui-ci est tout mouillé. Alexandra ondule de plus en plus sur mon ventre. J’essaie de temps en temps de donner un petit coup de rein pour prendre un peu d’initiative car j’ai peu l’impression que je ne faits rien. Elle se couche sur moi, ses seins sont collés à ma poitrine. J’ai envie de la retourner. Doucement j’allonge ses jambes à l’aide de mes mains. Elle est maintenant allongée tout contre moi. Je la serre dans mes bras et la renverse sur le coté. Durant l’opération ma bite s’est une fois de plus enlevée de son vagin. Je commence à prendre les choses en main. Dans ma tête il n’est pas concevable que pour mon premier rapport sexuel je ne sois pas actif. Maintenant elle est sur le dos. Je suis à genoux face à elle. Je prend ma tige dans une main et la dirige doucement vers sa grotte vaginale tout humide. Ca y est j’y suis enfin. Les genoux collés au sol, en appuis sur mes mains je contemple ma position. Je commence à faire des va-et-vient avec mon bassin. A mon tour je donne le rythme de notre rapport sexuel. Ses jambes sont relevées, ses genoux touchent mes épaules. Je suis en extase dans cette position. Je continue mon rythme. Elle grimace de temps en temps. Je donne, sans m’en rendre compte, des coups de reins de plus en plus forts. J’entends des petits cris qui s’échappent de sa bouche. Serais-ce du plaisir ? Elle m’attrapa la tête et me couva de baiser je me concentrai sur mon coït. Je voulais être au moins à la hauteur sur cet aspect de la soirée. Son vagin commençait à se resserrer. De mon coté un vide commença à partir au plus profond de moi. Ma jouissance était en train de se mettre en place. Je me surpris à gémir un peu. La sauce commençait à monter. Je n’arrivai plus à me contrôler. De son coté Alexandra avait fermé les yeux. J’accélérai de plus en plus. Je sentais le vide envahir mon corps. Le moment de la délivrance était tout proche. Un spasme d’une rare violence vient me secouer les reins de telle sorte que je sentis mon corps bougé de lui-même , j’avais des crampes. Voyant cela Alexandra avait descendu une main le long de mon anus. Je sentit ma bite envoyé plusieurs jets de sperme dans la capote , au même moment elle effleurait avec son doigt mon anus.
Je retombai sur elle après avoir éjaculé. J’étais anéanti. Elles mis une base sur la base de mon membre pour retenir la capote. Et me dit tout doucement.
« Thomas il faut te retirer maintenant. »
Je m’exécutai, elle tenait mon membre je sortait ma bite de son vagin. Tout comme pour la fellation elle pris un mouchoir et y déposa la capote pleine. Elle se lova dans mes bras, nous recouvrit avec le drap.
J’étais au ange pour la première fois de ma vie je venait de faire l’amour. Je ne réalisai pas encore. Elle posa un petit baiser sur mes lèvres et me dit.
« Bonne nuit mon petit homme, tu as été super »
Cette phrase m’envoya doucement rejoindre d’autres bras : ceux de Morphée.
Je me demandai quand même comment j’allais expliquer à mon parrain mon absence de toute cette soirée.
Un rayon de soleil vient éclairer mon visage. Ceci me réveilla. La pièce était à demi éclairée par le jour qui était déjà levé depuis un bon moment. Je fouillais dans mon pantalon pour prendre mon portable. Je vis l’heure, il était 09h00 passé. Deux SMS m’avaient été envoyé. Les deux venait de Thierry. Dans le premier il été écrit : « Où es tu viens me rejoindre la fête bat on plein », dans le deuxième une simple « Et alors ?? » était écrit.
Je tournai la tête en direction du lit, j’apercevais Alexandra qui dormait, son corps étalé dans le lit était quasiment-nu. Le drap ne recouvrant que le bas de ses jambes. De mon coté j’étais à poil. Je ne savais que faire. Devais-je partir maintenant, ce qui faisait « j’ai bien tiré mon coup tchao ma belle » ou bien devais je attendre qu’elle se réveille et bonjour l’explication que je devrais donné lorsque tout le monde nous verrait arriver ensemble.
Comme ci des ondes avaient transpercées son esprit je la vit s’étirer en se réveillant. Elle me cherchait du regard. Machinalement je mis mes mains devant mon sexe et me dépêchait de remettre mon boxer sur mes fesses. Elle me sourit et me dit :
« Alors bien dormi jeune apprenti ? Tu n’as pas trop rêvé à la soirée d’hier soir ?? Viens on va se laver et se rendre au petit déjeuner car j’ai un faim de loup, pas toi ?»
Je répondis par l’affirmatif.
Elle se leva se dirigea vers la salle d’eau qui jouxtait cette unique pièce. Elle s’y rendit nu et je vis la courbe de ces hanches ce qui me provoqua une petite envie. Elle rentra dans la pièce et j’entendis le jet de la douche. Je m’assis sur le lit, j’attendrai patiemment qu’Alexandra eu finis sa toilette. Au bout de quelques minutes elle m’appelle.
« Thomas, tu ne vient pas te laver, après ce genre de nuit cela fait du bien ».
« Si, si j’attends que tu ai fini »
« Allez ne soit pas si timide, tu ne l’étais pas cette nuit ».
A ses paroles je me sentis rougir.
Je me dirigeai vers le cabinet de toilettes. Alexandra était nue sous la douche.
Je la regardai elle me fit signe de venir. Je décidai de m’exécuter. Je me retournai et me défit de mon boxer. Les mains devant mon sexe je me dirigeai vers la douche, j’ouvris la porte et rentra dans la cabine. Celle-ci était assez grande et on avait de la place pour deux. En me voyant avec mes deux mains elle me sourit. Elle les pris et y mit le gel de douche, elle se retourna et me demanda de lui frotter le dos. Dans ma tête je me demandai si j’allais pas me réveiller chez moi bien au sec. Je pris le gel en versa dans mes mains et commença à lui masser le dos avec les mains. A ma grande surprise je ne fut pas pris, à ce moment là, d’une quelconque excitation. Mais Alexandra commença un léger mouvement avec le bassin, je lui massai le bas du dos. Elle se retourna et me dit.
« Toi tu es un petit malin, tu es bien plus fort que tu ne crois, tu n’es pas le filleul de Thierry pour rien. »
A ces mots je ne comprenait pas ce qu’elle voulait me dire, quel message avait-elle envie de me faire passer ? Elle me pris le gel des mains et commença également à me frotter le torse, me fit signe de me tourner –ce que je fit-, puis me massa le dos avec douceur et profondeur. Ses mains allaient sur mon corps, ceci me redonne une petite excitation mais qui ne se manifestait pas encore sur mon pénis. Les mains d’Alexandra commençaient à faire des mouvements sur l’avant de mon corps, et je compris assez vite où elle voulait en venir. Une des ses mains alla attraper mon pénis qui pendait entre mes jambes.
Cette douce sensation eu vite fait de mettre mon membre dans son état érectile. Doucement Alexandra commença à me masturber. Je me tournai vers elle et je l’embrassais. Doucement je commençais à lui caresser le dos. Puis mes mains allaient vers son sexe. Je mis ma main sur sa toison et je commençai à lui caresser les lèvres. Je sentis sa tête tomber sur moi !!! Je sentit sa fente et y introduisit un doigt. A ce moment là surgit de sa bouche un petit gémissement. J’introduisis un deuxième puis un troisième doigt. Alexandra avait les yeux fermés, son corps était pris dans un mouvement aléatoire. Le plaisir semblait l’envahir. De mon coté mon sexe était tendu et gonflé à son maximum. Je pris l’initiative de faire un léger va et viens avec un doigt. Puis un deuxième vint rejoindre le premier. Alexandra était pendu à mon coup, je sentais son corps vibrer au rythme de mes allers-retours. Dans l’élan elle commença à passer ses jambes autour de mon buste. Mon sexe tout dressé commençait à trouver le chemin qui mène au plaisir et mon gland chatouillait un peu le clitoris de ma partenaire. Je pris l’initiative de lui demander :
-« dois je aller chercher un préservatif ?
Elle me répondit par l’affirmatif avec la tête.
Le temps d’aller chercher dans mon jean le préservatif, je reviens vers Alexandra qui m’attend sous la douche.
Depuis hier soir j’ai pris de l’assurance, j’ouvre le sachet et je déroule le capuchon sur mon membre. D’un pas vif je rentre dans la douche. Alexandra m’attend, je prends d’une main sa jambe droite. Et je me mets en position prêt à la pénétrer. Doucement je m’introduis en elle, elle passe ses bras autour de mon coup. Sous le jet de la douche je commence à bouger en elle. Elle me caresse le dos, puis les fesses. Je sens ses mains qui parcourent mon corps. Elle commence, comme hier soir, caresse mon anus. Je ne prête aucune attention à cela. Elle prend mes mains et les disposes sur ses propres fesses. Alors moi aussi je descends mes mains sur ses fesses. Mais je ne sais pas pourquoi je glisse une main dans la raie de ses fesses. Elle en prend une et la fait glisser de telle manière qu’un de mes doigts se trouve désormais sur son anus. Alors que nous sommes en plein étreint. Elle commence à me chatouiller avec son majeur mon anus. Je ressens l’impression qu’elle essaie de me doigté. Je la regarde et à travers mon regard elle devine mon interrogation. Elle me glisse tout doucement dans l’oreille.
« J’ai trop envie de ton corps, tu me fait kiffer…. Toi aussi vas-y !!! »
Doucement je commence à m’aventurer sur son anus. A ce moment là Alexandra commença à me doigter en enfonçant son majeur dans mon anus.
Je me demande où tout cela va nous mener.
Tout en continuant mon va et viens avec force et vigueur et application je commençais moi aussi à lui effleurer avec de plus en plus d’insistance son anus. Je suis concentré pour me retenir , je n’ai pas envie de partir trop vite. Dans ma tête tout va très vite. Je me demande si Alexandra n’a pas envie d’aller plus loin ? Prenant de plus en plus d’assurance je commence à lui introduire un doigt dans l’anus. Au moment où mon majeur force sa rondelle un soupir sort de sa bouche. Son visage change d’aspect. Elle semble avoir, avec ce petit geste si simple, avoir augmenté son degré de désir. La scène, vu de loin, pouvait paraître assez irréaliste. Deux personnes faisaient l’amour dans une douche-là rien d’extraordinaire – mais là en plus elles étaient en train de se doigter. Je me rappelle d’un seul coup que certaines femmes aiment aussi la sodomie. Je pense qu’il est préférable d’essayer d’assurer pleinement par l’endroit avant de ma lancer à l’assaut de l’arrière….
Alexandra semblait avoir une idée précise derrière la tête. Alors que j’étais en pleine action, elle me glissa ces quelques mots dans l’oreille « Prend moi les fesses Thomas, j’ai trop envie ». Ne voulant pas passer pour un peureux- alors que j’ai super la trouille- je sortis de son vagin. Elle se retourna. J’avais à présent devant moi ses fesses. Mon sexe est gorgé comme jamais. Je ne sais pas trop comment m’y prendre. Je me souviens que dans l’un des films X que j’ai eu l’occasion de visionner avec l’un de mes potes , lors d’une scène de sodomie il m’avait expliqué qu’il fallait lubrifié l’anus soit avec du gel ou alors avec de la salive. Je me surprends à demander à Alexandra si elle a quelque chose pour son anus. Elle me répond que ma salive fera l’affaire. Je crache alors dans ma main et pose le résidu de mon crachat sur son anus. Alexandra a les mains posées sur le mur. Son bassin est légèrement en arrière. Je me rapproche d’elle. Ma bite est dressée. Elle touche ses fesses. Je la prends de ma main droite et la fait glisser dans la raie des fesses d’Alexandra. Naturellement je m’arrête sur sa rondelle. Je commence à forcer le passage dans ses entrailles. Alexandra grimace un peu, elle me dit :’
« Vas-y doucement Thomas, j’ai beau l’avoir déjà fait tu es bien monté ».
Suivant ses conseils je m’introduis doucement. D’un seul coup je sens une barrière s’ouvrir. Je ressens s’ouvrir à moi un nouveau monde. Mon sexe s’introduit en elle. Elle semble prendre son pied. Avant d’aller plus loin je commence à faire quelque petit vas et viens sans beaucoup d’ampleur. Le liquide du vagin de ma partenaire semble faire aussi office de lubrifiant. Je commence à bouger avec un peu plus d’insistance. Je comprends bien que l’étroitesse des lieux ne me permettra pas d’introduire mon sexe dans son entier. Je suis en elle. Je suis bien et je ressens bien qu’elle a besoin d’autre chose. Laissant une main sur son corps pour tandis que l’autre main glissé vers son sexe. Sans trop de précaution j’introduis un doigt puis deux et je joue avec mon pouce avec ce que je crois être un bouton et qui est en fait son clitoris. Alexandra est toute humide. Je la regarde, sa tête sur ses mains qui elles mêmes sont sur le murs. Elle semble ailleurs. Sa jouissance semble totale. Elle gémit. Je m’essaye à introduire en elle un troisième doigt. Elle bouge de plus en plus. De mon coté je commence à ressentir les signes de jouissance qui commencent à faire leur apparition. Debout dans la douche mes jambes commencent à se durcir. Le vide commence à s’installer également depuis mon bas ventre. De son coté je sent les cloisons du vagin commencent à se contracter. Je devine- comme hier soir- qu’Alexandra ne va pas tarder à jouir. Mon excitation ne fait que redoubler. Je redouble de ce fait mes vas et viens et mon sexe aller de plus en plus loin dans l’anus de ma partenaire. Le vide se fait de plus en plus présent. Alexandra remue de plus en plus fort. Nous sommes sur le point de jouir. L’excitation est sur le point d’éclater. Ma jouissance est là, je la sens. N’en pouvant plus j’accélère de nouveau mon coït et l’agitation des mes mains. La délivrance arrive à son terme et un spasme –encore plus violent peut-être que celui de la veille- de son coté Alexandra lâchait son orgasme. Au moment où mon sperme allait s’écraser dans la capote je m’accrochais à elle avec mes deux mains sur ses épaules. Je semble chavirer. J’ai l’impression que le sol de la douche se dérobe sous mes jambes. Je mets ma main à la base de mon pénis pour éviter que la capote reste dans les entrailles de celle qui vient -une fois de plus – me faire grimper au 7ème ciel. Délicatement je pose un baiser sur les épaules d’Alexandra. Je sorts de la douche et vais poser la capote dans un mouchoir pour ensuite la mettre à la poubelle. Lorsque je reviens Alexandra se lave ses parties les plus intimes. Je retourne la rejoindre sous la douche et je faits de même. Je mets du gel de douche dans ma main et me lave le sexe qui n’a pas encore complètement débandé. Je ne ressens contrairement à ce que j’avais pu craindre- plus aucune pudeur à être nu dans la même douche qu’une fille.
En sortant de la douche je dit à Alexandra qui est en train de se sécher avec les serviettes. Je me surprends à lui dire :
« Avec tout ça j’ai super faim et toi ? »
« Moi aussi » me répond Alexandra
Elle poursuit en me disant « on y va ensemble au petit déj ou séparément ? »
« Ensemble » ai-je répondu avec affirmation.
Nous rassemblons nos affaires éparpillées un peu partout dans la chambre. Nous nous rhabillons et nous nous rendons vers la maison où nous avons quitté le reste de la troupe hier soir.
Durant le trajet j’aperçois au loin mon parrain déjà attablé avec des copains à lui en train de manger à pleine dent des brioches. Je commence à me demander comment vais-je répondre à ses questions concernant mon absence et mon retour avec Alexandra.
Nous arrivons avec alexandra au petit déjeuner. Contrairement à ce que je pensai personne ne fait attention au fait que nous soyons ensemble. Enfin presque personne. Je croise le regard de Thierry, il me sourit, aurait-il compris ?
Le buffet du petit déjeuner est copieux. Je prends une tasse de café, quelques brioches et je viens m’asseoir sur l’une des tables.
Depuis plusieurs mois j’ai un peu vidé mon sac grâce à lui. Je me suis confié. Il a été l’adulte qui sait écouté et comprendre sans jamais juger.
Un soir de mois de juin, me voilà donc embarqué dans une soirée où je ne connais personne. Il vient me chercher à coté de chez moi, il m’a demandé d’indiquer à ma mère que ce soir je ne dormirai par chez moi. La seule indication que j’ai eu « prend un maillot de bain, il y aura une piscine, de quoi te changer si tu vas à l’eau et affaires de toilettes ». Nous roulons déjà depuis ¾ heures, la discutions porte sur un peu de tout. Une fois de plus il me demande si j’ai des nouvelles de mon père. Mais pour la première fois il me parle de lui, de ces aventures féminines, il dit qu’il y a des choses qui sont racontables et d’autres non. « Tu verras un jour tu parleras comme moi ». Mon expérience sexuelle est à peu pré égal à zéro. Quelques petites copines au collège, mais ma timidité me bloque régulièrement. Il me charrie souvent sur le fait que je sois célibataire. Mais je laisse dire, il a raison à 18ans il serait peut être temps mais bon…..Nous arrivons enfin. Avant de descendre il me choppe par le bras et me dit « Tiens c’est pour toi, ce soir il y aura plein de personnes, environ 200. La force est en toi jeune padawan, en cas de besoin n’hésite pas » et il me tend 5 capotes. Je suis rouge de confusion, je ne sais pas quoi dire. Il me regarde et me dit « on se sait jamais, rien n’est véritablement écrit ».
Nous sortons nos affaires, tout est superbement prévu. Ambiance de fête, il y a de l’alcool, on dort sur place, en effet je remarque qu’il y a plein de monde. Thierry, mon parrain, fait de tour de la soirée en saluant, déconnant avec une multitude de personnes. Assez timide, je reste un peu dans mon coin. Il vient me chercher à un moment pour rejoindre la fête. Dans ce parc il y a une piscine où déjà pas mal de monde se baigne. Je serai bien tenté mais où se changer ? L’heure tourne et les vers d’alcool s’enchaînent au rythme des plats , je commence réellement à me faire chier. Thierry m’a un peu laissé tomber pour aller avec ses potes de son club. De mon coté je décide d’aller faire un tour dans le parc qui borde cette grande maison.
Je me balade la chemise ouverte, l’air décontracté avec un verre à la main. Je regarde autour de moi tous ces gens que je ne connais pas et qui vont et viennent d’un endroit à un autre. Mon regard se pose tout à coup sur une jolie demoiselle que j’ai vu embrassé mon parrain sur les joues tout à l’heure. D’ailleurs Thierry revient à la charge, je commence à m’apercevoir qu’il est l’un des responsables du club et en plus c’est lui qui a organisé la fête. Il parle, commente les résultats de la saison etc.… je ne l’écoute pas, mais je aperçois de nouveau cette jolie fille. Après son mini discours je vais vers lui et lui demande de m’indiquer qui est cette personne que je trouve charmante. D’un coup sec il ma prend par le bras et se dirige avec moi vers elle.
« Alexandra, je te présente Thomas mon jeune filleul »
« Thomas voici Alexandra un combattante du club qui a fait les championnat de France cette année. Elle a 20 ans et elle représente un atout pour notre club. »
Après les présentations, il me laisse en plan avec en face cette fille qui me fait quasiment rougir. Déjà je sens popaul s’exciter ce qui n’est réellement pas de bon goût.
« Tout à l’heure je t’ai vu dans le parc, toi aussi tu n’as pas l’air d’aimer trop danser ».
« Ba en fait, je ne connais personne sauf Thierry donc je me baladai pour passer le temps. »
« On continue la balade » me proposa-t-elle ? Je répondis par l’affirmatif et nous partîmes dans le parc loin de la fête et du bruit.
Elle commença à me parler d’elle, elle avait un frère de 15 ans qui était, selon ses propres dires, « dans l’âge con », elle pratiquait ce sport depuis 12 ans. Coté étude elle rentrait en 2ème année de BTS compta où elle se faisait bien chier. Nous avançâmes durant ¾ heures pour nous retrouver au fond du parc. Elle connaissait les lieux. Je le suivait et je commençais à m’imaginer comment elle était sans son pantalon blanc ample et se tee-shirt qui par ailleurs lui allait à merveille. On s’arrêta et on s’assit. Elle continuait de me parler et moi à l’écouter. Elle pris ma main tout en continuant à me parler. J’étais un peu gêné de ce geste car finalement je ne la connaissais pas. Elle voulu s’allonger et me demanda de poser sa tête sur mes jambes. J’acceptai, elle se coucha et sa tête vient se poser sur mes cuises. Jamais je m’étais trouvé dans une telle situation. Machinalement main commença à caresser sa tête, elle se tu, le silence régnait et nous étions bien. De mon côté je sentais une légère excitation montée en moi. Mon sexe devenait un peu moins mou. Je continuai à caresser ses cheveux. C’était pour moi quasiment magique. Elle se laisse aller je la sent qui se détend, je commence à me dire que c’est peut-être un moment où je pourrai tenter quelque chose. Thierry est loin, si elle me gifle personne n’en saura rien. Rien que d’y penser, ma verge commence à se tendre un peu plus. Je ne voudrai pas qu’elle s’aperçoive de mon état. Cet instant aurait pu durer bien plus longtemps si la pluie n’était venue troubler notre tranquillité. En l’espace d’un instant un orage violent nous tira de notre léthargie. Elle m’attrapa la main, m’entraîna dans une direction inconnue. Nous avons couru jusqu’à un bâtiment qui se trouvait à proximité de l’endroit où nous nous étions arrêtes. Elle ouvrit la porte et me fit rentrer.
A mon regard elle vu que j’étais étonné de l’endroit où désormais nous étions. Elle me répondit :
« C’est moi qui reçoit ce soir, ici c’est la maison de campagne de mes parents ».
Bien que notre course poursuite n’a duré que quelques minutes , nous étions trempés, elle avait froid, il faisait nuit depuis pas mal de temps et malgré la météo clémente de la journée passée, la nuit était fraîche.
« J’ai froid me dit-elle je suis trempée, aide moi on va faire un peu de feu il y a du bois ici »
En deux temps trois mouvements elle trouve tous les accessoires pour faire du feu , la flambée part rapidement, je commence à découvrir les lieux : une grande pièce avec au fond un lit, deux chaises et un table.
« C’est en fait une chambre d’amis, quand de la famille vient nous rejoindre quelques jours, ils dorment ici comme cela ils sont indépendant de nous ».
« Ha ok » dis-je.
« Va dans l’armoire là bas sur ta gauche il doit y avoir de quoi se sécher je suis trempée j’ai pas envie de choper la crève avant de partir en vacances. »
Je m’exécuta et pris une serviette que je lui tendis ,
« On va faire sécher nos vêtements et si cela se calme on rentrera au bâtiment principal » ,
Elle commença a se défaire de son tee-shirt blanc qui laissait transparaître ces sous vêtement et en me tournant le dos elle défit son pantalon qui la collait. Elle se retrouva rapidement en sous vêtement. Pris en se retournant elle me dit :
« Hé bien, enlève moi tout cela, tu a chopper la mort, allez ne soit pas si pudique on en fait rien de mal ».
Sur son injonction j’enlevai ma chemise, qui effectivement était trempée, et mon pantalon et je lui tendis. Je me rapprochai du feu qui commença à nous réchauffer.
Je me sentais gêné, j’étais en boxer dans une pièce éclairée à la seule lueur du feu de la cheminée. De son coté alexandra était elle aussi en sous vêtement, recroquevillé sur elle-même, elle avait froid. Mes yeux se dirigèrent sur elle et je la vis là à demie nue. Cette vision provoqua un léger gonflement de mon membre. Elle se dirigea sur le lit, s’assis et contempla le feu.
« Vient t’asseoir me dit-elle, nous serions mieux sur le lit. »
Je m’exécutait, assis sur le lit je contemplai le feu, un lourd silence régnait, j’espérais qu’avec le peu de lumière qui régnait dans la pièce elle ne s’apercevrait pas de mon état. Je ne voulais pas me taper la honte en passant pour un gros obsédé. Au bout de quelques minutes elle posa de nouveau sa tête sur mes genoux et je commençai alors à caresser ces cheveux. La tension montait, je le sentais , je concentrais mon esprit sur d’autres préoccupations, le prochain devoir de maths à rendre. Elle se laissait aller puis elle pris ma main et me caressa de nouveau. J’étais bien, serein et je n’aurai voulu pour rien au monde échangeait ma situation.
D’un seul coup nos yeux se croisaient et je vis un changement dans son regard. Elle commença à se redresser en avança sa bouche ver la mienne, je me laissait faire, elle posa tendrement un baiser sur mes lèvres. Elle se retourna pour être plus à l’aise et recommença, je me laissais guider par une vague de chaleur qui montait de plus en plus en mois.
Maintenant la tension au niveau du boxer était à son maximum. Alexandra pris l’initiative de glisser sa langue dans ma bouche je fit de même, elle se mis contre mois et nous nous allongeâmes sur le lit l’un à coté de l’autre. Maintenant mon sexe était droit comme un piquet, je pris l’initiative de caresser un peu le bas de son dos. Je me rapprochais d’elle, mais pas suffisamment pour qu e mon sexe frôle son corps. Elle commença à me caresser le torse, alors imberbe cela faisait un peu drôle. De mon coté pour ne pas être en reste je lui caressais les cheveux, la fougue de ma jeunesse et de mon inexpérience augmenta mon ardeur. Je prenais de plus en plus confiance en moi. D’un seul coup elle s’arrêta et défit son soutien gorge et jeta un regard sur moi et ses yeux tombèrent sur mon membre qui dressé comme un tronc d’arbre déformait mon boxer. Je me sentais gène, à première vue je n’étais pas le premier mec avec qui elle ferait cela, qu’allait-elle penser ? Allait-elle se rendre compte de ma gaucherie et de état de méconnaissance si nous devions aller plus loin ? Et puis j’ai jamais fait de plan avec des potes, je n’ai jamais compare mon sexe en érection avec d’autres potes, si cela se trouve elle me trouverait pas assez membré ?
« Après, alors Thomas, ça va bien, tu as l’air tout pâle ».
Je trouvai la force de bredouiller un « oui, pas de problème » Ma réponse ne fut certainement pas convaincante car elle lâcha.
« Tu as quel âge ? 18ans ? «
« Oui » ai-je répondu
Elle regarda sur mon ventre et dit « joli morceau » elle commença avec sa main à caresser les contours de ce membre gonflé à bloc. Puis elle glissa deux doigts qui soulevèrent l’élastique. Sa deuxième main vient au secours de la première, je sentait que j’allais de me retrouvai nu, que pour la première fois une personne autre que moi allait me voir en train de bander. Je fus pris d’un tremblement.
« Apprenti, compagnon ou maître ? » lâcha-t-elle
Un silence lui fit comprendre que je n’avais rien compris à ces propose.
« Je pensai que Thierry ne tenait le langage qu’il nous tient, car j’ai l’impression que tu es un jeune padawan sans aucune expérience ».
De honte, je baissais les yeux. Qu’aurais je pu dire ?
« T’inquiète pas tu vas effectuer les trois voyages ce soir ».
Je ne comprenais rien à son discours, mais elle continua à jouer avec les contours de mon boxer et tout doucement mon membre se découvrit à la lueur de la cheminée. Elle descendit mon caleçon sur les jambes puis finit par me l’ôter.
Le 1er voyage.
Elle pris l’initiative, de toute façon j’étais un peu tétanisé par ce qu’il se passait. Allongé sur le dos j’allais subir, sans le savoir, les assauts d’Alexandra. Déjà une petite goûte de liquide s’échappait de mon membre. Alexandra commença par me caresser les cheveux, elle me couvrait de petits baisers sur mes lèvres, mes joues, mon coup, puis sa bouche descendit sur mes tétons, elle en lécha un, puis le deuxième. J’étais enfoncé dans le lit, je ne bougeai plus, je m’abandonnai à elle de plus en plus. Elle se colla à moi, mon sexe sentit la chaleur de sa peau l’envelopper. Elle ne bougeait pas elle restait parfois immobile, elle ne disait rien. Un moment j’eu peur qu’elle voulu tout arrêter en me disant « Sorry les puceaux c’est pas pour moi », je n’osai imaginais telle fin. Elle se mit à coté de moi, me pris dans ses bras, me fit un câlin, comme les mères font à leurs enfants. Mais qu’allait-il se passer. Elle attendait peut-être de moi que je pris, enfin, une initiative. De toute façon j’en était incapable, j’avais beau avoir vu quelques films X ma seule expérience s’arrêtait à l’agitation de ma main droite régulièrement le soir, de préférence, quand l’envie était trop forte. Les petites copines que j’avais eues au lycée ne m’avaient jamais laissé le temps d’aller plus loin, de plus elles n’étaient pas nombreuses.
« Il faut un peu te calmer, sinon j’ai bien peur que tu lâche la sauce un peu trop rapidement » me dit-elle.
Nous restâmes dans cette position quelques instants, en effet l’excitation en moi commençait à se stabiliser, elle commença progressivement à de nouveau me caresser le dos, puis le haut des reins. Elle se retourna vers moi et me roula une superbe pelle qui eut pour effet de redonner de la vigueur à mon excitation. Non pas que j’eu commencé à débander mais l’intensité en moi était un peu plus calme. Je sentis une vigueur en elle de plus en plus forte. De nouveau je me retrouvai sur le dos. Nos poitrines l’une sur l’autre, je commençais à sentir ses seins devenir de plus en plus ferme. Un copain m’avait raconté que l’excitation des femmes se manifestait de cette manière. Nous nous continuâmes à nous embrasser, c’était divin. J’étais eu ange.
Progressivement Alexandra, commença à m’embrasser sur d’autres parties du corps comme elle l’avait fait quelques minutes auparavant. Sa bouche ouverte descendit le long de mon visage, elle s’attarda un peu sur ma poitrine, comme je suis assez musclé je pense qu’elle apprécia mon corps certes encore un peu juvénile mais bien formé par ailleurs. Son visage descendait encore vers le bas, d’un seul coup je compris où s’arrêterait cette course poursuite. Mon objectif fut de résister, je me mis à réciter mes tables de multiplications. Lorsque je fus à la table de 3, une main, pris mon membre, doucement délicatement, avec deux doigts elle découvrit le gland.
Une onde de fraîcheur vient du bas de mon peni jusqu’à son extrémité. Sa langue remontait ma tige. C’était merveilleux.
Puis d’un coup je sentis ses lèvres se refermer sur mon membre. J’étais en train du subir ma première fellation. Alexandra était désormais entres mes jambes, je pris le courage d’ouvrir les yeux et je la vit en train de me sucer. Elle me caressait les testicules et remontait jusqu’à mon anus. J’étais en supplice , supplice de bonheur absolu. Avec sa langue elle me léchait par petit à-coup mon frein, chaque coup de langue provoquait une jouissance terrible. Je sentais ma bite se raidir de plus en plus, elle était sur le point d’éclater.
Une sensation de vide commençait à venir au plus profond de moi, je compris que j’allais bientôt atteindre l’orgasme et surtout que j’allais éjaculer. Alexandra toujours attelé à sa tache me suçait et en plus une main effectuait des va et viens sur ma tige. La sauce montait, j’allais lâcher ma semence.
« Alexandra, attention je vais….. » je ne put finir ma phrase qu’un long jet avec d’innombrables spasmes vient me foudroyer.
Elle referma mon prépuce sur mon gland et d’une main experte pris un mouchoir en papier et déversa mon sperme dedans. J’étais allongé, j’avais l’impression que je n’avais plus de force. Elle se leva enleva sa culotte et me dit.
« Hé Thomas ne t’endort pas, il te reste encore deux voyages à faire… »
Le 2ème Voyage
A peine remis de ce je venais de vivre. Alexandra entrepris de réveiller en moi mon courage et mon ardeur. Elle aussi avait envie de prendre son pied. Mais une question me traversa l’esprit « Comment fait-t-on ? »
Mon sexe était devenu mou. Il pendait sur mes testicules et je me demandais si un jour il arriverait de nouveau à bander après ce qu’il venait de subir.
Elle s’allongea sur le dos et avec un bras m’entraîna sur elle. C’était la première fois de ma vie que je me retrouvai dans cette position. Les mains dans ces cheveux je commençais à lui caresser la tête. J’entrepris, timidement, de lui faire, comme je l’avais subit avant dans la soirée, quelques bisous dans le coup. Je ne sais pas trop quoi faire, je suis un peu gauche. Encore un fois Alexandra va me guider. Elle prend mes mains et les dirige sur elle. Je commence à la caresser. D’abord les épaules puis je descend sur ces flancs. Je sens le début du globe de ses seins. Elle se repositionne de telle sorte que je me retrouve entre ses jambes. Jamais dans mes rêves les plus fou je n’aurai imaginer une telle chose. Timidement je commence à lui caresser un sein. Puis je descends ma bouche à la rencontre de mes doigts. Je commence à lécher avec ma langue la pointe de son téton. Ses seins sont fermes quasiment aussi dur que ma bite tout à l’heure. Elle prend ma tête dans ses mains et la dirige sur l’autre, je me laisse guider. Ne suis-je pas l’apprenti comme elle me l’indiquait avant son premier voyage ? Son corps commence à onduler légèrement. Elle a les yeux fermés. Elle attrape une de mes mains et la dirige vers son intimité. Je commence à être saisi de peur. En effet on m’a raconté qu’il fallait faire cela avec douceur sinon on risquait de faire mal à sa partenaire. J’entreprends donc doucement de faire glisser mes doigts ver l’endroit où elle désire qu’ils se rendent. Je commence à toucher sa toison. Drôle de sensation, je caresse avec ma main ses poils. Je frotte avec ma main cette intimité que je n’ose pas pour l’instant explorer. Mais l’envie devient de plus en plus forte. D’ailleurs je m’aperçois que mon sexe commence de nouveau à s’agrandir. Je caresse avec mon majeur cette fente. La leur de la cheminée me fait entrevoir un peu où mes doigts s’aventurent. Je la caresse, j’essaie de trouver ce chemin que je n’ai jamais emprunté.
D’un seul coup je sens un vide sous mes doigts, je décide de continue sur ce chemin. Au moment où mon doigt rencontre la fente tant désirée je m’aperçois que s’est surtout une fontaine que j’ai rencontrée. Alexandra mouille comme une folle. J’entreprend d’y mettre un doigt et je commence un léger va et vient. Ma main collé sur son sexe et commence à remonter dessus. Je suis entre ses jambes le sexe de nouveau tendu sur son ventre et une main qui va et viens dans ce sexe humide. Mon doigt est au chaud, je ne pensais pas que j’aurais eu autant de place. Je prends le risque et l’initiative de faire venir à sa rencontre un deuxième doigt. A l’instant où mon index vient à la rencontre de mon majeur le corps d’Alexandra se raidit. Un frisson sembla traverser son corps.
« Ca va bien » lui demandai-je ?
Elle me sourit. Je commençais donc à la masturber avec deux doigts , elle avait l’air d’apprécier. Sa tête était en arrière et le désir semblait la posséder. J’entrepris à ce moment là de lui rouler une pelle. Mais alors que nos langues s’entremêlaient elle attrapa ma tête et appuya sur celle-ci pour me faire descendre le visage. Dans cette descente je m’arrêtai un moment sur ses seins. Je pensai qu’elle voulait que je luis suce de nouveau les tétons. Mais elle insista et je compris qu’après avoir subit ma première fellation j’allais devoir effectuer mon premier cuni. J’ôtai mes doigts de l’endroit où ils se trouvaient. Ma langue lécha son nombril puis rencontra ses premiers poils. J’eu le souvenir d’un film x que j’avais vu quelques semaines auparavant. Délicatement j’écartai la fente. Je commençai à glisser tout doucement ma langue. Elle me cola mon visage avec ses mains sur cet endroit magique. Je sentis un petit bouton tout gonflé. J’entrepris de le sucer comme une glace à la vanille. Ma langue donnait de petits coups. Je sentais son corps de plus en plus se crisper. Ses mains attrapaient de plus en plus fort mes cheveux. Je mis de plus en plus de l’ardeur à mon ouvrage. Un râle commença à jaillir de sa bouche. J’accélérai le mouvement sentant que j’allais à mon tour délivrer Alexandra de son désir. D’un seul coup elle poussa un cri plus violent que les autres et je sentis une fontaine jaillir en elle. Son corps retomba aussi brutalement qu’il s’était cambré au moment où elle avait joui.
Je restai là allonger ma tête entre ces jambes. Elle passa ses mains dans mes cheveux me les caressa un long moment. Puis elle me fit comprendre de monter vers elle. Mon visage était humide, mon sexe était tendu contre son ventre. Moi aussi j’étais calme bien qu’une érection de plus en plus forte se faisait sentir.
Elle ne dit rien. Elle ne fit rien. Je n’avais pas du tout envie de dormir. Je me disais que le moment que j’attendais depuis toutes ces années était peut-être sur le point de se réaliser.
Elle rompu le silence :
« Thomas, je peut te donner ce que tu envie et ce qu’on ton corps réclame. Mais as-tu l’équipement nécessaire pour cela. Car je n’ai pas de contraception. »
Je répondis par l’affirmatif de la tête.
Je me décollai d’elle, me dirigeai vers mon pantalon et sortir les capotes que mon parrain m’avaient donné au début de soirée.
Dans ma tête je me disais que je garderai un souvenir mémorable de cette soirée.
3ème Voyage.
Debout dans la peine ombre je cherchai l’objet qui me permettrait d’arriver au désir tant espérer. Incliné en train de fouiller dans les poches de mon jean, le sexe en érection, le tout dans la lumière d’une cheminée qui perdait petit à petit de sa vaillance, la vision que je donnai à ce moment là à Alexandra ne devait être anachronique. Jamais je ne m’étais balader nu devant une femme depuis que mon corps avait entreprise sa transformation du à l’adolescence.
Ça y est j’ai extrait de la poche de mon jean les capotes que j’avais. Je me rapproche du lit. Je commence à prendre l’initiative d’ouvrir un paquet. Mes gestes sont maladroits. Je n’ai jamais mis une capote sur ma bite , j’y ai souvent pensé mais le manque d’occasion ne m’a pas permis de m’exercer. Je pense que j’ai exprimé avec mon visage une angoisse. Alexandra pris, une fois de plus, l’initiative. Elle me dit :
« Donne j’ai l’habitude »,
Je lui tends le paquet elle déchire la séparation entre deux préservatifs. Tout doucement elle ouvre la poche qui le renferme, l’extrait et me regarde. Je suis confus, je ne sais pas quoi faire. Dans un geste tendre Alexandra me rapproche d’elle, elle prend mon sexe délicatement dans sa main, me guide, me faits asseoir sur le lit. J’observe tous ces gestes. Elle commence par me caresser le sexe puis elle posa le plus délicatement le préservatif qu’elle fit dérouler sur ma tige. Drôle de vision de voir sa bite recouverte d’un capuchon avec un réservoir qui flotte au dessus. Elle me regarde, me sourit et me dit :
« Te voilà équipé pour le plus beau des voyages, viens t’allonger ».
Je m’exécute, je me mets sur le dos, la tête bien collée sur l’oreiller. Alexandre s’allonge sur moi, mon sexe est contre son ventre. Elle m’embrasse avec fureur, mon envie commence à monter, j’ai envie de la prendre, j’ai envie de la posséder. Tout doucement ses jambes viennent se coller sur mes cotes de part et d’autres de mon corps. Elle commence à poser son basin sur mon sexe. Est-moi qui va être posséder ou l’inverse. J’aimerai bien prendre un peu d’initiative, certes je suis puceau mais il y a des limites. Elle se redresse, je vois ses seins devant mon visage, deux globes que je commence à caresser avec mes mains. Mes pouces s’attardent sur ces tétons, je les caresse de plus ne plus fort. D’ailleurs mon érection est elle aussi de plus en plus forte. La main droite d’Alexandre caresse mon ventre. Elle commence à descendre sur mon engin qui est gonflé à bloc. Elle le saisis de sa main experte et commence à le faire glisser sous elle. Je sens mon sexe longer sa fente, elle s’arrête sur ses lèvres et le frottes à elles. Puis doucement, je sens mon sexe s’enfoncer dans un tunnel. Il est pris entre les parois d’une caverne qui me semble sans fond. Alexandra s’empale doucement le long de ma bite. Je regarde à la jonction de nos deux corps, ma vite a disparu, elle semble avoir été engloutie. Je réalise que pour la première fois de ma vie je commence à posséder une femme. J’ai envie d’hurler ma joie et ma satisfaction. Alexandra se positionne sur ma bite. Elle prend une position qui lui convient de plus en plus. Je commence un va et vient, j’ai du mal à me concentrer que ce qui a pour effet de faire sortir ma bite de son vagin. Elle se penche sur moi
« Doucement mon jeune étalon, il faut que je m’habitue car la nature t’a doté d’une bel engin, et puis il faut quasiment pas bouger le bassin. »
Elle s’empale de nouveau sur moi, je sens que la situation m’échappe un peu, elle a pris les commandes d’acte, je subis, je suis un peu déçu. Elle positionne ses mains sur mon ventre, puis m’attrape avec l’une d’elle la tête qu’elle plaque sur sens seins. Je passe ma langue sur le premier téton qui passe. Elle tient ma tête entre ses mains. Elle me commande, je suis tout à elle. Doucement elle m’allonge de nouveau puis commence avec son basin un petit mouvement d’ondulation. Je sens sa respiration prend un autre rythme. Elle a de nouveau un regard qui change. Son visage change de forme en fonction de la puissance des ondulations de son corps. Elle prend une de mes mains et la dirige vers le bas de ma tige , à l’entrée de son vagin. Je commence à faire glisser le long de ma bite un doigt pour lui caresser les poils pubiens de son sexe. Celui-ci est tout mouillé. Alexandra ondule de plus en plus sur mon ventre. J’essaie de temps en temps de donner un petit coup de rein pour prendre un peu d’initiative car j’ai peu l’impression que je ne faits rien. Elle se couche sur moi, ses seins sont collés à ma poitrine. J’ai envie de la retourner. Doucement j’allonge ses jambes à l’aide de mes mains. Elle est maintenant allongée tout contre moi. Je la serre dans mes bras et la renverse sur le coté. Durant l’opération ma bite s’est une fois de plus enlevée de son vagin. Je commence à prendre les choses en main. Dans ma tête il n’est pas concevable que pour mon premier rapport sexuel je ne sois pas actif. Maintenant elle est sur le dos. Je suis à genoux face à elle. Je prend ma tige dans une main et la dirige doucement vers sa grotte vaginale tout humide. Ca y est j’y suis enfin. Les genoux collés au sol, en appuis sur mes mains je contemple ma position. Je commence à faire des va-et-vient avec mon bassin. A mon tour je donne le rythme de notre rapport sexuel. Ses jambes sont relevées, ses genoux touchent mes épaules. Je suis en extase dans cette position. Je continue mon rythme. Elle grimace de temps en temps. Je donne, sans m’en rendre compte, des coups de reins de plus en plus forts. J’entends des petits cris qui s’échappent de sa bouche. Serais-ce du plaisir ? Elle m’attrapa la tête et me couva de baiser je me concentrai sur mon coït. Je voulais être au moins à la hauteur sur cet aspect de la soirée. Son vagin commençait à se resserrer. De mon coté un vide commença à partir au plus profond de moi. Ma jouissance était en train de se mettre en place. Je me surpris à gémir un peu. La sauce commençait à monter. Je n’arrivai plus à me contrôler. De son coté Alexandra avait fermé les yeux. J’accélérai de plus en plus. Je sentais le vide envahir mon corps. Le moment de la délivrance était tout proche. Un spasme d’une rare violence vient me secouer les reins de telle sorte que je sentis mon corps bougé de lui-même , j’avais des crampes. Voyant cela Alexandra avait descendu une main le long de mon anus. Je sentit ma bite envoyé plusieurs jets de sperme dans la capote , au même moment elle effleurait avec son doigt mon anus.
Je retombai sur elle après avoir éjaculé. J’étais anéanti. Elles mis une base sur la base de mon membre pour retenir la capote. Et me dit tout doucement.
« Thomas il faut te retirer maintenant. »
Je m’exécutai, elle tenait mon membre je sortait ma bite de son vagin. Tout comme pour la fellation elle pris un mouchoir et y déposa la capote pleine. Elle se lova dans mes bras, nous recouvrit avec le drap.
J’étais au ange pour la première fois de ma vie je venait de faire l’amour. Je ne réalisai pas encore. Elle posa un petit baiser sur mes lèvres et me dit.
« Bonne nuit mon petit homme, tu as été super »
Cette phrase m’envoya doucement rejoindre d’autres bras : ceux de Morphée.
Je me demandai quand même comment j’allais expliquer à mon parrain mon absence de toute cette soirée.
Un rayon de soleil vient éclairer mon visage. Ceci me réveilla. La pièce était à demi éclairée par le jour qui était déjà levé depuis un bon moment. Je fouillais dans mon pantalon pour prendre mon portable. Je vis l’heure, il était 09h00 passé. Deux SMS m’avaient été envoyé. Les deux venait de Thierry. Dans le premier il été écrit : « Où es tu viens me rejoindre la fête bat on plein », dans le deuxième une simple « Et alors ?? » était écrit.
Je tournai la tête en direction du lit, j’apercevais Alexandra qui dormait, son corps étalé dans le lit était quasiment-nu. Le drap ne recouvrant que le bas de ses jambes. De mon coté j’étais à poil. Je ne savais que faire. Devais-je partir maintenant, ce qui faisait « j’ai bien tiré mon coup tchao ma belle » ou bien devais je attendre qu’elle se réveille et bonjour l’explication que je devrais donné lorsque tout le monde nous verrait arriver ensemble.
Comme ci des ondes avaient transpercées son esprit je la vit s’étirer en se réveillant. Elle me cherchait du regard. Machinalement je mis mes mains devant mon sexe et me dépêchait de remettre mon boxer sur mes fesses. Elle me sourit et me dit :
« Alors bien dormi jeune apprenti ? Tu n’as pas trop rêvé à la soirée d’hier soir ?? Viens on va se laver et se rendre au petit déjeuner car j’ai un faim de loup, pas toi ?»
Je répondis par l’affirmatif.
Elle se leva se dirigea vers la salle d’eau qui jouxtait cette unique pièce. Elle s’y rendit nu et je vis la courbe de ces hanches ce qui me provoqua une petite envie. Elle rentra dans la pièce et j’entendis le jet de la douche. Je m’assis sur le lit, j’attendrai patiemment qu’Alexandra eu finis sa toilette. Au bout de quelques minutes elle m’appelle.
« Thomas, tu ne vient pas te laver, après ce genre de nuit cela fait du bien ».
« Si, si j’attends que tu ai fini »
« Allez ne soit pas si timide, tu ne l’étais pas cette nuit ».
A ses paroles je me sentis rougir.
Je me dirigeai vers le cabinet de toilettes. Alexandra était nue sous la douche.
Je la regardai elle me fit signe de venir. Je décidai de m’exécuter. Je me retournai et me défit de mon boxer. Les mains devant mon sexe je me dirigeai vers la douche, j’ouvris la porte et rentra dans la cabine. Celle-ci était assez grande et on avait de la place pour deux. En me voyant avec mes deux mains elle me sourit. Elle les pris et y mit le gel de douche, elle se retourna et me demanda de lui frotter le dos. Dans ma tête je me demandai si j’allais pas me réveiller chez moi bien au sec. Je pris le gel en versa dans mes mains et commença à lui masser le dos avec les mains. A ma grande surprise je ne fut pas pris, à ce moment là, d’une quelconque excitation. Mais Alexandra commença un léger mouvement avec le bassin, je lui massai le bas du dos. Elle se retourna et me dit.
« Toi tu es un petit malin, tu es bien plus fort que tu ne crois, tu n’es pas le filleul de Thierry pour rien. »
A ces mots je ne comprenait pas ce qu’elle voulait me dire, quel message avait-elle envie de me faire passer ? Elle me pris le gel des mains et commença également à me frotter le torse, me fit signe de me tourner –ce que je fit-, puis me massa le dos avec douceur et profondeur. Ses mains allaient sur mon corps, ceci me redonne une petite excitation mais qui ne se manifestait pas encore sur mon pénis. Les mains d’Alexandra commençaient à faire des mouvements sur l’avant de mon corps, et je compris assez vite où elle voulait en venir. Une des ses mains alla attraper mon pénis qui pendait entre mes jambes.
Cette douce sensation eu vite fait de mettre mon membre dans son état érectile. Doucement Alexandra commença à me masturber. Je me tournai vers elle et je l’embrassais. Doucement je commençais à lui caresser le dos. Puis mes mains allaient vers son sexe. Je mis ma main sur sa toison et je commençai à lui caresser les lèvres. Je sentis sa tête tomber sur moi !!! Je sentit sa fente et y introduisit un doigt. A ce moment là surgit de sa bouche un petit gémissement. J’introduisis un deuxième puis un troisième doigt. Alexandra avait les yeux fermés, son corps était pris dans un mouvement aléatoire. Le plaisir semblait l’envahir. De mon coté mon sexe était tendu et gonflé à son maximum. Je pris l’initiative de faire un léger va et viens avec un doigt. Puis un deuxième vint rejoindre le premier. Alexandra était pendu à mon coup, je sentais son corps vibrer au rythme de mes allers-retours. Dans l’élan elle commença à passer ses jambes autour de mon buste. Mon sexe tout dressé commençait à trouver le chemin qui mène au plaisir et mon gland chatouillait un peu le clitoris de ma partenaire. Je pris l’initiative de lui demander :
-« dois je aller chercher un préservatif ?
Elle me répondit par l’affirmatif avec la tête.
Le temps d’aller chercher dans mon jean le préservatif, je reviens vers Alexandra qui m’attend sous la douche.
Depuis hier soir j’ai pris de l’assurance, j’ouvre le sachet et je déroule le capuchon sur mon membre. D’un pas vif je rentre dans la douche. Alexandra m’attend, je prends d’une main sa jambe droite. Et je me mets en position prêt à la pénétrer. Doucement je m’introduis en elle, elle passe ses bras autour de mon coup. Sous le jet de la douche je commence à bouger en elle. Elle me caresse le dos, puis les fesses. Je sens ses mains qui parcourent mon corps. Elle commence, comme hier soir, caresse mon anus. Je ne prête aucune attention à cela. Elle prend mes mains et les disposes sur ses propres fesses. Alors moi aussi je descends mes mains sur ses fesses. Mais je ne sais pas pourquoi je glisse une main dans la raie de ses fesses. Elle en prend une et la fait glisser de telle manière qu’un de mes doigts se trouve désormais sur son anus. Alors que nous sommes en plein étreint. Elle commence à me chatouiller avec son majeur mon anus. Je ressens l’impression qu’elle essaie de me doigté. Je la regarde et à travers mon regard elle devine mon interrogation. Elle me glisse tout doucement dans l’oreille.
« J’ai trop envie de ton corps, tu me fait kiffer…. Toi aussi vas-y !!! »
Doucement je commence à m’aventurer sur son anus. A ce moment là Alexandra commença à me doigter en enfonçant son majeur dans mon anus.
Je me demande où tout cela va nous mener.
Tout en continuant mon va et viens avec force et vigueur et application je commençais moi aussi à lui effleurer avec de plus en plus d’insistance son anus. Je suis concentré pour me retenir , je n’ai pas envie de partir trop vite. Dans ma tête tout va très vite. Je me demande si Alexandra n’a pas envie d’aller plus loin ? Prenant de plus en plus d’assurance je commence à lui introduire un doigt dans l’anus. Au moment où mon majeur force sa rondelle un soupir sort de sa bouche. Son visage change d’aspect. Elle semble avoir, avec ce petit geste si simple, avoir augmenté son degré de désir. La scène, vu de loin, pouvait paraître assez irréaliste. Deux personnes faisaient l’amour dans une douche-là rien d’extraordinaire – mais là en plus elles étaient en train de se doigter. Je me rappelle d’un seul coup que certaines femmes aiment aussi la sodomie. Je pense qu’il est préférable d’essayer d’assurer pleinement par l’endroit avant de ma lancer à l’assaut de l’arrière….
Alexandra semblait avoir une idée précise derrière la tête. Alors que j’étais en pleine action, elle me glissa ces quelques mots dans l’oreille « Prend moi les fesses Thomas, j’ai trop envie ». Ne voulant pas passer pour un peureux- alors que j’ai super la trouille- je sortis de son vagin. Elle se retourna. J’avais à présent devant moi ses fesses. Mon sexe est gorgé comme jamais. Je ne sais pas trop comment m’y prendre. Je me souviens que dans l’un des films X que j’ai eu l’occasion de visionner avec l’un de mes potes , lors d’une scène de sodomie il m’avait expliqué qu’il fallait lubrifié l’anus soit avec du gel ou alors avec de la salive. Je me surprends à demander à Alexandra si elle a quelque chose pour son anus. Elle me répond que ma salive fera l’affaire. Je crache alors dans ma main et pose le résidu de mon crachat sur son anus. Alexandra a les mains posées sur le mur. Son bassin est légèrement en arrière. Je me rapproche d’elle. Ma bite est dressée. Elle touche ses fesses. Je la prends de ma main droite et la fait glisser dans la raie des fesses d’Alexandra. Naturellement je m’arrête sur sa rondelle. Je commence à forcer le passage dans ses entrailles. Alexandra grimace un peu, elle me dit :’
« Vas-y doucement Thomas, j’ai beau l’avoir déjà fait tu es bien monté ».
Suivant ses conseils je m’introduis doucement. D’un seul coup je sens une barrière s’ouvrir. Je ressens s’ouvrir à moi un nouveau monde. Mon sexe s’introduit en elle. Elle semble prendre son pied. Avant d’aller plus loin je commence à faire quelque petit vas et viens sans beaucoup d’ampleur. Le liquide du vagin de ma partenaire semble faire aussi office de lubrifiant. Je commence à bouger avec un peu plus d’insistance. Je comprends bien que l’étroitesse des lieux ne me permettra pas d’introduire mon sexe dans son entier. Je suis en elle. Je suis bien et je ressens bien qu’elle a besoin d’autre chose. Laissant une main sur son corps pour tandis que l’autre main glissé vers son sexe. Sans trop de précaution j’introduis un doigt puis deux et je joue avec mon pouce avec ce que je crois être un bouton et qui est en fait son clitoris. Alexandra est toute humide. Je la regarde, sa tête sur ses mains qui elles mêmes sont sur le murs. Elle semble ailleurs. Sa jouissance semble totale. Elle gémit. Je m’essaye à introduire en elle un troisième doigt. Elle bouge de plus en plus. De mon coté je commence à ressentir les signes de jouissance qui commencent à faire leur apparition. Debout dans la douche mes jambes commencent à se durcir. Le vide commence à s’installer également depuis mon bas ventre. De son coté je sent les cloisons du vagin commencent à se contracter. Je devine- comme hier soir- qu’Alexandra ne va pas tarder à jouir. Mon excitation ne fait que redoubler. Je redouble de ce fait mes vas et viens et mon sexe aller de plus en plus loin dans l’anus de ma partenaire. Le vide se fait de plus en plus présent. Alexandra remue de plus en plus fort. Nous sommes sur le point de jouir. L’excitation est sur le point d’éclater. Ma jouissance est là, je la sens. N’en pouvant plus j’accélère de nouveau mon coït et l’agitation des mes mains. La délivrance arrive à son terme et un spasme –encore plus violent peut-être que celui de la veille- de son coté Alexandra lâchait son orgasme. Au moment où mon sperme allait s’écraser dans la capote je m’accrochais à elle avec mes deux mains sur ses épaules. Je semble chavirer. J’ai l’impression que le sol de la douche se dérobe sous mes jambes. Je mets ma main à la base de mon pénis pour éviter que la capote reste dans les entrailles de celle qui vient -une fois de plus – me faire grimper au 7ème ciel. Délicatement je pose un baiser sur les épaules d’Alexandra. Je sorts de la douche et vais poser la capote dans un mouchoir pour ensuite la mettre à la poubelle. Lorsque je reviens Alexandra se lave ses parties les plus intimes. Je retourne la rejoindre sous la douche et je faits de même. Je mets du gel de douche dans ma main et me lave le sexe qui n’a pas encore complètement débandé. Je ne ressens contrairement à ce que j’avais pu craindre- plus aucune pudeur à être nu dans la même douche qu’une fille.
En sortant de la douche je dit à Alexandra qui est en train de se sécher avec les serviettes. Je me surprends à lui dire :
« Avec tout ça j’ai super faim et toi ? »
« Moi aussi » me répond Alexandra
Elle poursuit en me disant « on y va ensemble au petit déj ou séparément ? »
« Ensemble » ai-je répondu avec affirmation.
Nous rassemblons nos affaires éparpillées un peu partout dans la chambre. Nous nous rhabillons et nous nous rendons vers la maison où nous avons quitté le reste de la troupe hier soir.
Durant le trajet j’aperçois au loin mon parrain déjà attablé avec des copains à lui en train de manger à pleine dent des brioches. Je commence à me demander comment vais-je répondre à ses questions concernant mon absence et mon retour avec Alexandra.
Nous arrivons avec alexandra au petit déjeuner. Contrairement à ce que je pensai personne ne fait attention au fait que nous soyons ensemble. Enfin presque personne. Je croise le regard de Thierry, il me sourit, aurait-il compris ?
Le buffet du petit déjeuner est copieux. Je prends une tasse de café, quelques brioches et je viens m’asseoir sur l’une des tables.
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