Nuits chaudes à Rome
Récit érotique écrit par Boris [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-01-2005 dans la catégorie Plus on est
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Nuits chaudes à Rome
<p>Lors d’un voyage d’étude à Rome, mon épouse Hélène
m’accompagna pour visiter la cité éternelle et faire
les soldes proposés en cette fin d’été par les
boutiques de via Condotti et de la Spiga à proximité
des célèbres marches montant vers la Trinité des
Monts.
Après un diner dans une trattoria, nous décidames de
prendre le majestueux escalier pour profiter du
panorama.
De jeunes romains ne manquèrent pas de siffler au
passage de mon épouse vêtue d’une légère robe bleu
marine tombant à mi-cuisse.
Assis, ils pouvaient en contrebas entrevoir au passage
d’Hélène ses fesses séparées par un string noir. Un
homme mûr nous suivit et, en nous dépassant, effleura
l’arrière des genoux de mon épouse qui, loin de
s’effaroucher, lui sourit l’autorisant ainsi à rester
en notre compagnie.
Arrivé en haut, côte à côte nous posames nos bras sur
la rampe en marbre pour admirer le paysage.
Notre ami italien, Marco, se placa avec discrétion
derrière ma femme et lui caressa sur l’étoffe les
aisselles et les hanches. Il souleva le bas de sa robe
et commenca à lui masser avec la paume de ses mains
les fesses en lui soufflant sur ses boucles de cheveux
chatains.
Sans attirer le regard des touristes, il déplaca la
ficelle du string et enfonca son pouce dans la chatte
en poursuivant par des va-et-vient qui titillait le
clitoris.
Avec sa langue, il lécha les lobes inférieurs de ses
oreilles et , de sa main libre, caressa par des
mouvements circulaires son ventre. Mon épouse se
pencha un peu pour faciliter la masturbation; sa
respiration s’accéléra et son corps fut pris d’un
spasme, révélateur d’une jouissance orgasmique.
Après avoir laver ses mains dans la fontaine, Marco
nous proposa de prolonger la soirée dans un club privé
de la via Antica. Placé à l’avant du taxi, il nous
observait dans le rétroviseur.
Hélène , détendue et enjouée, lui lançait des œillades
tout en me me massant sur la braguette le sexe grossi
par l’excitation. Je m’interrogeais sur l’audace et
sur l’initiative dont faisait preuve, avec une
maîtrise encore insoupconnée, ma femme.
J’appréhendai en particulier les ardeurs que les
habitué(e)s du club ne manqueraient pas de lui
manifester.
Une grande maison romaine entourée d’un petit parc
boisé abritait sur trois étages une boite échangiste
ouverte également aux hommes seuls.
Au rez-de-chaussée, nous nous assirent sur les hauts
tabourets du bar en regardant la piste de danse où
évoluaient une quarantaine de couples. Nous nous
mélèrent au groupe et constatèrent que le sol à la
fois miroité et transparent non seulement
réfléchissait l’entrecuisse des danseuses mais
permettait aussi aux personnes situées au sous-sol de
découvrir les parties intimes des femmes ne portant
pas de culotte.
Nous changèrent de partenaires : Hélène face au miroir
cerclant la piste colla son dos à un quadragénaire
entreprenant ; sa compagne vétue d’une courte robe
moulante noire prit la même position avec moi.
Avec leurs fessiers, les deux femmes ondulaient sur
nos sexes protégés par le tissu du pantalon et se
regardaient par miroir interposé danser devant nous.
Je vis l’homme lever et baisser à plusieurs reprises
chaque coté la robe de mon épouse faisant apparaître
dans la glace le triangle noir du string sur le haut
des cuisses bronzées.
A proximité, je m’adossai à un pilier et sortis avec
mes mains les seins fermes du bustier de ma partenaire
en les étirant vers le haut. Tout en continuant à
danser sur place et en m’offrant son dos nu, elle
ouvrit avec dextérité ma braguette et dégagea mon sexe
qu’elle se mit à branler dans la raie de ses fesses.
J’appuyai sur ses seins pour mieux étreindre son corps
et mordillai son cou. Plusieurs hommes seuls
observaient avec envie nos petits jeux coquins. Un
éphèbe se placa devant ma danseuse et l’embrassa
goulument en me jetant des clins d’œil.
Au loin, j’apercus le majeur de la main du compagnon
d’Hélène entrer sous le string et commencer une
masturbation lente que réfléchissait le miroir au
regard du public dansant ou assis.
Le disc-jockey mit un rythme musical plus soutenu et
chacun prit son plaisir : Hélène gémit, le corps
plaqué contre la glace et j’éjaculai dans l’entrejambe
de ma partenaire.
Quelques ablutions aux toilettes et nous descendimes
au sous-sol constitué de sombres labirynthes
débouchant sur une plate-forme d’où il était possible
d’observer les couples dansant à l’étage supérieur.
Se serrant contre moi, mon épouse se montra plus
réservée dans la mesure où il était difficile de
distinguer les visages des personnes qui tentaient des
attouchements dans des couloirs et de petites alcôves
non meublées.
Dans un renfoncement, nous regardames, immobiles, une
jeune femme nue se faire prendre par devant et par
derrière par deux hommes plus agés qui ne ménageaient
pas leurs efforts. Tout près d’eux, des voyeurs se
branlaient en apostrophant la femme de mots grossiers,
ajoutant ainsi du piment à la situation.
Plus loin, nous retrouvames Marco, debout contre une
paroi, s’offrant une double fellation sous les langues
actives de deux brunes aux torses nus.
Rassurée par la présence de notre ami, Hélène qui
chaussait des escarpins à lanières argentées, se placa
dans une encoignure et regarda avec attention le gland
turgescent de Marco passer d’une bouche à l’autre.
Un bel homme blond s’agenouilla devant ma femme, lui
retira son string et commenca à lui lécher les grandes
lèvres humides de sa chatte.
Hélène releva sa robe et écarta ses cuisses pour
permettre à l’homme une meilleure pénétration de la
langue sur laquelle coulait la mouillure.
Je me placai à côté de Marco tout en profitant du
spectacle offert par ma compagne.
Une des deux suceuses goba mes bourses tout en me
masturbant. Hélène ferma les yeux, caressa son
clitoris d’une main et planta l’autre dans la
chevelure de l’homme.
Celui-çi continua sa lèche et introduit dans l’anus
son index et son majeur alors qu’Hélène glissait ses
deux jambes par dessus les deux épaules de son
partenaire.
Tel un haltérophile, celui-ci la souleva et brouta la
chatte de plus bel en ramonant de ses doigts le con de
mon épouse qui dominait soudainement l’alcôve dans
laquelle se pressaient de nouveaux arrivants attirés
par l’incongruité de la nouvelle position.
Marco mit à distance les voyeurs et demanda au
partenaire d’Hélène de se retirer.
Avec délicatesse, il prit ma femme en levrette en
alternant des pénétrations rapides dans le cul et dans
le vagin.
Ses couilles d’une grosseur inhabituelle battaient
contre les fesses d’Hélène, excitée à la vue d’une
demi-douzaine de queues que se branlaient des hommes
seuls à proximité de son visage.
Je saisis la tête de ma suceuse et poussait à fond mon
gland dans sa gorge où je déchargeai.
Marco accéléra son mouvement et répandit son foutre
sur le dos de mon épouse qu’il massa pour en imprégner
la peau. Nous primes soins de nous laver tous les
trois dans une petite salle de bains et rejoignirent
le bar.
Sur la piste de danse, un petit podium avait été
aménagé pour permettre aux exhibitionnistes de tous
poils de s’afficher seul ou à plusieurs au milieu des
danseurs.
Un couple francophone de notre age s’assit près de
nous et proposa de boire ensemble un gin tonic pour
engager la conversation.
Habitués du club, Jean et Béatrice résidaient à Rome
pour des raisons professionnelles.
Elancée et rousse, Béatrice portait une jupe en tulle
sous laquelle se devinait un collant résille ouvert
devant et derrière.
Les pointes de ses seins percaient sous son corsage
également transparent. Sa voix chaude et son parfum au
jasmin me séduisaient.
Son mari d’allure sportive parla avec des propos
amicaux sur un ton badin, ce qui établit rapidement un
climat de confiance mutuelle, propice à de nouvelles
aventures.
Au premier étage où nous montèrent avec nos nouveaux
amis, plusieurs couples et hommes seuls s’observaient
dans l’obscurité d’un couloir donnant sur quatre
chambres à thème : la première avec un lit en forme de
cœur et un plafond miroité, la seconde avec une table
basse logeant un vivarium, la troisième avec un banc,
des chaînes suspendues, une balancelle et des
accessoires sadomasochistes, la quatrième avec un
jacuzzi et un sauna.
Jean proposa que chacun choisisse une chambre
différente pour y assouvir ses fantasmes en dirigeant
les ébats. On tira au sort et le tour revint à
Béatrice.
Elle choisit la deuxième chambre où elle nous entraîna
et ferma à clef la porte percée à mi-hauteur de trous
et disposant d’une lucarne pour les voyeurs restés à
l’extérieur.
Béatrice se déshabilla gardant uniquement son collant
ajouré devant et derrière.
Ses fesses rondes et son sexe épilé surmonté d’une
touffe rousse triangulaire étaient avenants.
Je m’assis sur un sofa en face de Jean et fus surpris
de constater que deux serpents s’agitaient dans le
vivarium juste sous la plaque de verre qui recouvrait
la table de salon.
Béatrice s’y allongea sur le dos et me demanda de la
succer.
De sa chatte imberbe coulait un nectar blanc, agréable
à boire. J’intoduisis mon index dans son anus et
massai son cul tout en la pénétrant avec ma langue et
en mordillant son clitoris.
A l’autre bout de la table, Hélène embrassait sur les
lèvres notre amie et empoignait ses seins avec
fermeté.
Puis ma femme placa sa chatte sur la bouche de
Béatrice de sorte que les toutes deux se retrouvèrent
en 69.
Mon visage faisait face à celui de mon épouse que
j’embrassai. Je placai trois doigts dans la chatte de
Béatrice et fit des va-et-vient qui intriguaient les
reptiles.
Jean lécha le cul d’Hélène et la sodomisa sous la
langue experte de sa femme.
Les deux femmes gémissaient de plaisir dans une
cadence effreinée.
Je fis l’amour à Béatrice et nous éjaculèrent, Jean et
moi, de façon simultanée dans les orifices féminins.
Avant de ressortir rhabillés de la pièce, les deux
femmes s’amusèrent à branler trois queues tendues,
placées dans les trous de la porte par des voyeurs
excités par nos jeux.
Dans le couloir, plusieurs couples nous proposèrent de
se joindre à notre groupe.
Nos deux femmes sélectionnèrent deux jeunes hommes,
Alesio et Massimo, qui semblaient réjouis à l’idée de
tirer deux françaises.
Le tour revenant à Jean, celui-ci nous invita avec nos
deux jeunes étalons à entrer dans la salle SM.
Il mit un bandeau sur les yeux de Béatrice et Hélène
et leur demanda de s’asseoir sur un banc.
Les quatre hommes se dévêtir et Jean expliqua que les
deux épouses devaient succer les quatre queues en
tentant à chaque fois d’identifier leur propriétaire.
En cas d’erreur, un gage serait donné à l’infortunée.
Jean fit signe à Alesio d’ introduire sa bite dans la
bouche d’Hélène. Ma femme entama sa fellation et
renifla le gland ; elle crut qu’il s’agissait de celui
de Massimo.
De même Béatrice se trompa sur la propriété de mon
dard. En réparation, Jean les installa à genoux et
elles furent prisent dans le cul et dans la bouche par
les quatre lascars.
Lors d’une seconde reconnaissance, nos femmes
distinguèrent les sexes respectifs de leurs conjoints
; elles demandèrent alors de choisir leurs gages, ce
qui fut aussitôt approuvé.
Après un conciliabule, elles s’arnachèrent de pénis
caoutchoutés et pénétrèrent dans le fion les deux
jeunes italiens qui râlèrent de douleur, puis de
plaisir.
Béatrice et Hélène s’activèrent et fessèrent aussi
leurs partenaires. Jean ordonna la fin de ces
gesticulations et proposa une contrepartie aux
enculés.
Alesio eut le droit de faire l’amour à Hélène assise
sur la balancelle. Ma femme écarta ses jambes nues et
derrière, je poussai son dos pour rythmer les
pénétrations qui demandait une certaine habileté de la
part de son amant.
Ce balancement excita sensiblement mon éouse, en
particulier lorsqu’elle s’emplalait sur le pieu.
Béatrice fut attachée en croix aux chaînes ; Massimo
lui fouetta les cuisses et les fesses, puis
l’enfourcha. Il la besogna violemment, un bras tendu
avec les doigts dans la bouche de sa partenaire,
laquelle connu rapidement un orgasme d’une rare
intensité.
Après avoir remercier nos jeunes amis, nous décidâmes
de changer de chambre et nous convenîmes d’emmener
avec nous au jacuzzi deux femmes que Jean et moi-même
avions repérés plus tôt.
Quel bonheur de se relaxer dans un bain avec remous
après tous ces efforts !
Michele et Sophia, probablement lesbiennes,
s’embrassaient enlacées avec volupté.
En surface, la mousse cachait à peine leurs poitrines
généreuses. J’allongeai mes jambes et cherchai avec
mon orteil la chatte de Béatrice qui buvait un
Martini.
Hélène s’était assise sur les jambes de Jean qui lui
malaxait les tétons.
Je présentai mon autre pied à sa compagne ; elle m’en
caressa la plante ce qui me provoqua une érection
attisée par les jets d’eau. Hélène prit la bite de
Jean et se la mit dans le cul.
Elle me demanda de la prendre par devant et je
m’exécutai de suite. Du bout du sexe, je sentais
contre la paroi vaginale celui de Jean : il entrait ;
je sortais et inversement.
Cette double pénétration mit en émoi Hélène qui sortit
du jacuzzi accompagnée par nos deux lesbiennes.
Michele versa l’alcool sur la chatte de la femme de
notre ami en nous présentant son cul sur le rebord de
la vasque.
Sophia frottait son minou sur les lèvres de Béatrice.
Les deux orifices de Michele se dilataient sous
l’effet de la vapeur. J’y placai mon index et mon
pouce tandis qu’elle oscillait son fessier en inondant
mes deux doigts de sa sève que je fis goûter à Hélène.
Je me levai et plantai mon dard dans le cul de Michele
en m’agrippant à ses cuisses.
Cette brouette agréable se finit par une éjaculation
sur le périnée que je nettoyai avec la mousse.
Mon épouse embrassait tendrement Jean en le branlant
sous l’eau ; il ne tarda pas à décharger son foutre
qui se dilua dans le jacuzzi. Assoupis nous primes un
sauna, suivi d’une douche puis nous nous séchèrent
avant de rejoindre, nus, le couloir où circulaient
plusieurs hommes seuls.
Hélène, avec la complicité de Béatrice, s’amusa à
soupeser les parties intimes d’une douzaine
d’individus qui reluquaient leurs corps requinqués.
Elles en choisirent quatre, lesquels entrèrent avec
nous dans la dernière chambre où trônait un grand lit
en forme de cœur.
Les femmes demandèrent aux invités de s’asseoir le
long d’un mur et dansèrent un slow langoureux que
réflétaient des miroirs.
Jean et moi-même étions allongés sur le lit, admirant
nos femmes qui prenaient des poses suggestives.
L’attente excitait les quatre mâles qui se branlaient
lentement pour faire durcir progressivement leurs
membres.
Hélène et Béatrice s’agenouillèrent et et nous fimes
une fellation offrant au regard de nos invités,
toujours assis, leurs petites chattes en chaleur.
Les bouches de nos femmes remplies de nos bites, Jean
m’invita à l’imiter : nous nous penchames pour écarter
leurs fesses et autorisames les quatre mâles à les
prendre en levrette.
Sous les coups de butoir, les moules de Béatrice et
Hélène s’entrouvaient encore plus ; elles furent
ramonées sans arrêt pendant une bonne demi-heure.
A tour de rôle, nos invités les besognèrent et se
vidèrent les couilles, puis se rechargèrent durant les
pauses alternées.
Nous entendions les bruits humides des pénétrations
saccadées et les gémissements de plaisir des deux
femmes. Elles se laissèrent labourer sans réserve et
connurent de multiples orgasmes.
Enfin, Jean demanda aux mâles repus de nettoyer avec
leurs langues les chattes dégoulinantes de foutre et
autres liqueurs. Puis, on inversa les rôles : je pris
Béatrice par les deux orifices alors qu’elle
masturbait deux queues et Jean fit de même avec Hélène
qui avait gobé les deux bites restantes.
Pour compléter cette imbrication des corps, nos
invités leurs massèrent les seins en leur disant des
paroles probablement grossières.
Nous éjaculèrent sur leurs raies de fesse, rougies par
les nombreux assauts. Nos épouses s’allongèrent sur le
lit sur le dos. Avant de sortir, nos quatre comparses
se branlèrent une dernière fois et répandirent leurs
jets sur le bas ventre des deux femmes. Nous primes un
bain rapide dans le jacuzzi et retrouvames nos
vêtements avant de redescendre sur la piste pour une
dernière danse.
Quelques couples détendus et enlacés demeuraient
pratiquement immobiles, fatigués par leurs ébats et
heureux de se retrouvés seuls après s’être livrés à de
multiples rapports interdits.
J’offris un dernier verre à Béatrice et Jean et nous
échangèrent nos numéros de téléphone.
Nous saluèrent nos autres partenaires de la soirée. Au
retour, je lassai Hélène et Marco à l’arrière du taxi.
Elle se blottit contre lui et s’endormit. A la porte
de l’hôtel, Marco proposa de nous servir de guide le
lendemain pour visiter les trésors culturels de la
ville éternelle.
</p>
m’accompagna pour visiter la cité éternelle et faire
les soldes proposés en cette fin d’été par les
boutiques de via Condotti et de la Spiga à proximité
des célèbres marches montant vers la Trinité des
Monts.
Après un diner dans une trattoria, nous décidames de
prendre le majestueux escalier pour profiter du
panorama.
De jeunes romains ne manquèrent pas de siffler au
passage de mon épouse vêtue d’une légère robe bleu
marine tombant à mi-cuisse.
Assis, ils pouvaient en contrebas entrevoir au passage
d’Hélène ses fesses séparées par un string noir. Un
homme mûr nous suivit et, en nous dépassant, effleura
l’arrière des genoux de mon épouse qui, loin de
s’effaroucher, lui sourit l’autorisant ainsi à rester
en notre compagnie.
Arrivé en haut, côte à côte nous posames nos bras sur
la rampe en marbre pour admirer le paysage.
Notre ami italien, Marco, se placa avec discrétion
derrière ma femme et lui caressa sur l’étoffe les
aisselles et les hanches. Il souleva le bas de sa robe
et commenca à lui masser avec la paume de ses mains
les fesses en lui soufflant sur ses boucles de cheveux
chatains.
Sans attirer le regard des touristes, il déplaca la
ficelle du string et enfonca son pouce dans la chatte
en poursuivant par des va-et-vient qui titillait le
clitoris.
Avec sa langue, il lécha les lobes inférieurs de ses
oreilles et , de sa main libre, caressa par des
mouvements circulaires son ventre. Mon épouse se
pencha un peu pour faciliter la masturbation; sa
respiration s’accéléra et son corps fut pris d’un
spasme, révélateur d’une jouissance orgasmique.
Après avoir laver ses mains dans la fontaine, Marco
nous proposa de prolonger la soirée dans un club privé
de la via Antica. Placé à l’avant du taxi, il nous
observait dans le rétroviseur.
Hélène , détendue et enjouée, lui lançait des œillades
tout en me me massant sur la braguette le sexe grossi
par l’excitation. Je m’interrogeais sur l’audace et
sur l’initiative dont faisait preuve, avec une
maîtrise encore insoupconnée, ma femme.
J’appréhendai en particulier les ardeurs que les
habitué(e)s du club ne manqueraient pas de lui
manifester.
Une grande maison romaine entourée d’un petit parc
boisé abritait sur trois étages une boite échangiste
ouverte également aux hommes seuls.
Au rez-de-chaussée, nous nous assirent sur les hauts
tabourets du bar en regardant la piste de danse où
évoluaient une quarantaine de couples. Nous nous
mélèrent au groupe et constatèrent que le sol à la
fois miroité et transparent non seulement
réfléchissait l’entrecuisse des danseuses mais
permettait aussi aux personnes situées au sous-sol de
découvrir les parties intimes des femmes ne portant
pas de culotte.
Nous changèrent de partenaires : Hélène face au miroir
cerclant la piste colla son dos à un quadragénaire
entreprenant ; sa compagne vétue d’une courte robe
moulante noire prit la même position avec moi.
Avec leurs fessiers, les deux femmes ondulaient sur
nos sexes protégés par le tissu du pantalon et se
regardaient par miroir interposé danser devant nous.
Je vis l’homme lever et baisser à plusieurs reprises
chaque coté la robe de mon épouse faisant apparaître
dans la glace le triangle noir du string sur le haut
des cuisses bronzées.
A proximité, je m’adossai à un pilier et sortis avec
mes mains les seins fermes du bustier de ma partenaire
en les étirant vers le haut. Tout en continuant à
danser sur place et en m’offrant son dos nu, elle
ouvrit avec dextérité ma braguette et dégagea mon sexe
qu’elle se mit à branler dans la raie de ses fesses.
J’appuyai sur ses seins pour mieux étreindre son corps
et mordillai son cou. Plusieurs hommes seuls
observaient avec envie nos petits jeux coquins. Un
éphèbe se placa devant ma danseuse et l’embrassa
goulument en me jetant des clins d’œil.
Au loin, j’apercus le majeur de la main du compagnon
d’Hélène entrer sous le string et commencer une
masturbation lente que réfléchissait le miroir au
regard du public dansant ou assis.
Le disc-jockey mit un rythme musical plus soutenu et
chacun prit son plaisir : Hélène gémit, le corps
plaqué contre la glace et j’éjaculai dans l’entrejambe
de ma partenaire.
Quelques ablutions aux toilettes et nous descendimes
au sous-sol constitué de sombres labirynthes
débouchant sur une plate-forme d’où il était possible
d’observer les couples dansant à l’étage supérieur.
Se serrant contre moi, mon épouse se montra plus
réservée dans la mesure où il était difficile de
distinguer les visages des personnes qui tentaient des
attouchements dans des couloirs et de petites alcôves
non meublées.
Dans un renfoncement, nous regardames, immobiles, une
jeune femme nue se faire prendre par devant et par
derrière par deux hommes plus agés qui ne ménageaient
pas leurs efforts. Tout près d’eux, des voyeurs se
branlaient en apostrophant la femme de mots grossiers,
ajoutant ainsi du piment à la situation.
Plus loin, nous retrouvames Marco, debout contre une
paroi, s’offrant une double fellation sous les langues
actives de deux brunes aux torses nus.
Rassurée par la présence de notre ami, Hélène qui
chaussait des escarpins à lanières argentées, se placa
dans une encoignure et regarda avec attention le gland
turgescent de Marco passer d’une bouche à l’autre.
Un bel homme blond s’agenouilla devant ma femme, lui
retira son string et commenca à lui lécher les grandes
lèvres humides de sa chatte.
Hélène releva sa robe et écarta ses cuisses pour
permettre à l’homme une meilleure pénétration de la
langue sur laquelle coulait la mouillure.
Je me placai à côté de Marco tout en profitant du
spectacle offert par ma compagne.
Une des deux suceuses goba mes bourses tout en me
masturbant. Hélène ferma les yeux, caressa son
clitoris d’une main et planta l’autre dans la
chevelure de l’homme.
Celui-çi continua sa lèche et introduit dans l’anus
son index et son majeur alors qu’Hélène glissait ses
deux jambes par dessus les deux épaules de son
partenaire.
Tel un haltérophile, celui-ci la souleva et brouta la
chatte de plus bel en ramonant de ses doigts le con de
mon épouse qui dominait soudainement l’alcôve dans
laquelle se pressaient de nouveaux arrivants attirés
par l’incongruité de la nouvelle position.
Marco mit à distance les voyeurs et demanda au
partenaire d’Hélène de se retirer.
Avec délicatesse, il prit ma femme en levrette en
alternant des pénétrations rapides dans le cul et dans
le vagin.
Ses couilles d’une grosseur inhabituelle battaient
contre les fesses d’Hélène, excitée à la vue d’une
demi-douzaine de queues que se branlaient des hommes
seuls à proximité de son visage.
Je saisis la tête de ma suceuse et poussait à fond mon
gland dans sa gorge où je déchargeai.
Marco accéléra son mouvement et répandit son foutre
sur le dos de mon épouse qu’il massa pour en imprégner
la peau. Nous primes soins de nous laver tous les
trois dans une petite salle de bains et rejoignirent
le bar.
Sur la piste de danse, un petit podium avait été
aménagé pour permettre aux exhibitionnistes de tous
poils de s’afficher seul ou à plusieurs au milieu des
danseurs.
Un couple francophone de notre age s’assit près de
nous et proposa de boire ensemble un gin tonic pour
engager la conversation.
Habitués du club, Jean et Béatrice résidaient à Rome
pour des raisons professionnelles.
Elancée et rousse, Béatrice portait une jupe en tulle
sous laquelle se devinait un collant résille ouvert
devant et derrière.
Les pointes de ses seins percaient sous son corsage
également transparent. Sa voix chaude et son parfum au
jasmin me séduisaient.
Son mari d’allure sportive parla avec des propos
amicaux sur un ton badin, ce qui établit rapidement un
climat de confiance mutuelle, propice à de nouvelles
aventures.
Au premier étage où nous montèrent avec nos nouveaux
amis, plusieurs couples et hommes seuls s’observaient
dans l’obscurité d’un couloir donnant sur quatre
chambres à thème : la première avec un lit en forme de
cœur et un plafond miroité, la seconde avec une table
basse logeant un vivarium, la troisième avec un banc,
des chaînes suspendues, une balancelle et des
accessoires sadomasochistes, la quatrième avec un
jacuzzi et un sauna.
Jean proposa que chacun choisisse une chambre
différente pour y assouvir ses fantasmes en dirigeant
les ébats. On tira au sort et le tour revint à
Béatrice.
Elle choisit la deuxième chambre où elle nous entraîna
et ferma à clef la porte percée à mi-hauteur de trous
et disposant d’une lucarne pour les voyeurs restés à
l’extérieur.
Béatrice se déshabilla gardant uniquement son collant
ajouré devant et derrière.
Ses fesses rondes et son sexe épilé surmonté d’une
touffe rousse triangulaire étaient avenants.
Je m’assis sur un sofa en face de Jean et fus surpris
de constater que deux serpents s’agitaient dans le
vivarium juste sous la plaque de verre qui recouvrait
la table de salon.
Béatrice s’y allongea sur le dos et me demanda de la
succer.
De sa chatte imberbe coulait un nectar blanc, agréable
à boire. J’intoduisis mon index dans son anus et
massai son cul tout en la pénétrant avec ma langue et
en mordillant son clitoris.
A l’autre bout de la table, Hélène embrassait sur les
lèvres notre amie et empoignait ses seins avec
fermeté.
Puis ma femme placa sa chatte sur la bouche de
Béatrice de sorte que les toutes deux se retrouvèrent
en 69.
Mon visage faisait face à celui de mon épouse que
j’embrassai. Je placai trois doigts dans la chatte de
Béatrice et fit des va-et-vient qui intriguaient les
reptiles.
Jean lécha le cul d’Hélène et la sodomisa sous la
langue experte de sa femme.
Les deux femmes gémissaient de plaisir dans une
cadence effreinée.
Je fis l’amour à Béatrice et nous éjaculèrent, Jean et
moi, de façon simultanée dans les orifices féminins.
Avant de ressortir rhabillés de la pièce, les deux
femmes s’amusèrent à branler trois queues tendues,
placées dans les trous de la porte par des voyeurs
excités par nos jeux.
Dans le couloir, plusieurs couples nous proposèrent de
se joindre à notre groupe.
Nos deux femmes sélectionnèrent deux jeunes hommes,
Alesio et Massimo, qui semblaient réjouis à l’idée de
tirer deux françaises.
Le tour revenant à Jean, celui-ci nous invita avec nos
deux jeunes étalons à entrer dans la salle SM.
Il mit un bandeau sur les yeux de Béatrice et Hélène
et leur demanda de s’asseoir sur un banc.
Les quatre hommes se dévêtir et Jean expliqua que les
deux épouses devaient succer les quatre queues en
tentant à chaque fois d’identifier leur propriétaire.
En cas d’erreur, un gage serait donné à l’infortunée.
Jean fit signe à Alesio d’ introduire sa bite dans la
bouche d’Hélène. Ma femme entama sa fellation et
renifla le gland ; elle crut qu’il s’agissait de celui
de Massimo.
De même Béatrice se trompa sur la propriété de mon
dard. En réparation, Jean les installa à genoux et
elles furent prisent dans le cul et dans la bouche par
les quatre lascars.
Lors d’une seconde reconnaissance, nos femmes
distinguèrent les sexes respectifs de leurs conjoints
; elles demandèrent alors de choisir leurs gages, ce
qui fut aussitôt approuvé.
Après un conciliabule, elles s’arnachèrent de pénis
caoutchoutés et pénétrèrent dans le fion les deux
jeunes italiens qui râlèrent de douleur, puis de
plaisir.
Béatrice et Hélène s’activèrent et fessèrent aussi
leurs partenaires. Jean ordonna la fin de ces
gesticulations et proposa une contrepartie aux
enculés.
Alesio eut le droit de faire l’amour à Hélène assise
sur la balancelle. Ma femme écarta ses jambes nues et
derrière, je poussai son dos pour rythmer les
pénétrations qui demandait une certaine habileté de la
part de son amant.
Ce balancement excita sensiblement mon éouse, en
particulier lorsqu’elle s’emplalait sur le pieu.
Béatrice fut attachée en croix aux chaînes ; Massimo
lui fouetta les cuisses et les fesses, puis
l’enfourcha. Il la besogna violemment, un bras tendu
avec les doigts dans la bouche de sa partenaire,
laquelle connu rapidement un orgasme d’une rare
intensité.
Après avoir remercier nos jeunes amis, nous décidâmes
de changer de chambre et nous convenîmes d’emmener
avec nous au jacuzzi deux femmes que Jean et moi-même
avions repérés plus tôt.
Quel bonheur de se relaxer dans un bain avec remous
après tous ces efforts !
Michele et Sophia, probablement lesbiennes,
s’embrassaient enlacées avec volupté.
En surface, la mousse cachait à peine leurs poitrines
généreuses. J’allongeai mes jambes et cherchai avec
mon orteil la chatte de Béatrice qui buvait un
Martini.
Hélène s’était assise sur les jambes de Jean qui lui
malaxait les tétons.
Je présentai mon autre pied à sa compagne ; elle m’en
caressa la plante ce qui me provoqua une érection
attisée par les jets d’eau. Hélène prit la bite de
Jean et se la mit dans le cul.
Elle me demanda de la prendre par devant et je
m’exécutai de suite. Du bout du sexe, je sentais
contre la paroi vaginale celui de Jean : il entrait ;
je sortais et inversement.
Cette double pénétration mit en émoi Hélène qui sortit
du jacuzzi accompagnée par nos deux lesbiennes.
Michele versa l’alcool sur la chatte de la femme de
notre ami en nous présentant son cul sur le rebord de
la vasque.
Sophia frottait son minou sur les lèvres de Béatrice.
Les deux orifices de Michele se dilataient sous
l’effet de la vapeur. J’y placai mon index et mon
pouce tandis qu’elle oscillait son fessier en inondant
mes deux doigts de sa sève que je fis goûter à Hélène.
Je me levai et plantai mon dard dans le cul de Michele
en m’agrippant à ses cuisses.
Cette brouette agréable se finit par une éjaculation
sur le périnée que je nettoyai avec la mousse.
Mon épouse embrassait tendrement Jean en le branlant
sous l’eau ; il ne tarda pas à décharger son foutre
qui se dilua dans le jacuzzi. Assoupis nous primes un
sauna, suivi d’une douche puis nous nous séchèrent
avant de rejoindre, nus, le couloir où circulaient
plusieurs hommes seuls.
Hélène, avec la complicité de Béatrice, s’amusa à
soupeser les parties intimes d’une douzaine
d’individus qui reluquaient leurs corps requinqués.
Elles en choisirent quatre, lesquels entrèrent avec
nous dans la dernière chambre où trônait un grand lit
en forme de cœur.
Les femmes demandèrent aux invités de s’asseoir le
long d’un mur et dansèrent un slow langoureux que
réflétaient des miroirs.
Jean et moi-même étions allongés sur le lit, admirant
nos femmes qui prenaient des poses suggestives.
L’attente excitait les quatre mâles qui se branlaient
lentement pour faire durcir progressivement leurs
membres.
Hélène et Béatrice s’agenouillèrent et et nous fimes
une fellation offrant au regard de nos invités,
toujours assis, leurs petites chattes en chaleur.
Les bouches de nos femmes remplies de nos bites, Jean
m’invita à l’imiter : nous nous penchames pour écarter
leurs fesses et autorisames les quatre mâles à les
prendre en levrette.
Sous les coups de butoir, les moules de Béatrice et
Hélène s’entrouvaient encore plus ; elles furent
ramonées sans arrêt pendant une bonne demi-heure.
A tour de rôle, nos invités les besognèrent et se
vidèrent les couilles, puis se rechargèrent durant les
pauses alternées.
Nous entendions les bruits humides des pénétrations
saccadées et les gémissements de plaisir des deux
femmes. Elles se laissèrent labourer sans réserve et
connurent de multiples orgasmes.
Enfin, Jean demanda aux mâles repus de nettoyer avec
leurs langues les chattes dégoulinantes de foutre et
autres liqueurs. Puis, on inversa les rôles : je pris
Béatrice par les deux orifices alors qu’elle
masturbait deux queues et Jean fit de même avec Hélène
qui avait gobé les deux bites restantes.
Pour compléter cette imbrication des corps, nos
invités leurs massèrent les seins en leur disant des
paroles probablement grossières.
Nous éjaculèrent sur leurs raies de fesse, rougies par
les nombreux assauts. Nos épouses s’allongèrent sur le
lit sur le dos. Avant de sortir, nos quatre comparses
se branlèrent une dernière fois et répandirent leurs
jets sur le bas ventre des deux femmes. Nous primes un
bain rapide dans le jacuzzi et retrouvames nos
vêtements avant de redescendre sur la piste pour une
dernière danse.
Quelques couples détendus et enlacés demeuraient
pratiquement immobiles, fatigués par leurs ébats et
heureux de se retrouvés seuls après s’être livrés à de
multiples rapports interdits.
J’offris un dernier verre à Béatrice et Jean et nous
échangèrent nos numéros de téléphone.
Nous saluèrent nos autres partenaires de la soirée. Au
retour, je lassai Hélène et Marco à l’arrière du taxi.
Elle se blottit contre lui et s’endormit. A la porte
de l’hôtel, Marco proposa de nous servir de guide le
lendemain pour visiter les trésors culturels de la
ville éternelle.
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