NUS ET HEUREUX
Récit érotique écrit par Emile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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NUS ET HEUREUX
Chaleur et ciel voilé en cette journée de fin d’été. Je pédale hardiment sur mon VTC en direction de la forêt côtière et de la plage. Je transpire abondamment et le vent léger me le rappelle en soulignant l’humidité de mon T-shirt mouillé. La piste cyclable saute les dunes en une interminable succession de côtes et de descentes raides. On entend déjà le ressac de l’océan parfois agrémenté du cliquetis de la chaîne sur le dérailleur. L’étroite plage naturiste de Saint Palais, que j’entrevois entre les pins, me paraît sur-fréquentée. La dune y est peuplée des habituels voyeurs bedonnants en sandalettes et shorts trop longs pour eux. L’un d’entre eux n’a pour seul vêtement qu’un trop court T-shirt moulant qui dévoile largement ses fesses blanches au-dessus de ses jambes bronzées. Son sexe est mollement gonflé, sans être toutefois dressé. Difficile dans de telles conditions d’être en communion avec la nature ! Je m’arme de courage et décide de continuer ma route en direction de la côte sauvage bien plus accueillante. Le paysage est magnifique, dunes et pinède laissent entrevoir par instants de jolis points de vue sur le marais côtier et la mer. La traversée de la Palmyre apporte son content de cyclistes demi-nus et bronzés et de visiteurs du zoo en chemisette et tenue sage. Quelques marais succèdent aux campings au bord d’une mer de plus en plus omniprésente. Le phare de la Coubre, tout en stries rouges et blanches, se dresse fièrement entre les pins. J'hésite un moment à m'arrêter boire un verre dans cette étonnante terrasse close de murs qui borde un modeste bar restaurant. Mais j'y renonce bien vite. La mer m'appelle, chevauchons vers elle !
Je découvre au passage de jolis parkings ombragés dans lesquelles sont garées quelques rares voitures. La piste cyclable continue à sauter lestement le relief À ma gauche, de nombreux sentiers laissent entrevoir un imposant monticule de sable que la mer doit sans doute border. À peine parvenu à la sente numéro 28, J’apprécie que le cheminement de sable soit doublé d’une allée couverte d’aiguilles de pin qui me permet de rouler jusqu’à la dune. Je m’y engage prudemment, à la limite du déséquilibre. Quelque centaines de mètres plus loin, à proximité de l’imposante montagne de sable, je ficelle mon fier destrier à un arbre et m’engage à pied dans la rude montée. Mes pieds s’enfoncent dans le sable brulant. Au terme de mon escalade, je rejoins deux femmes qui s’engagent prudemment dans la dune effondrée qui précède la large plage. La mer renvoie des reflets argentés. Les nombreuses mouettes profitent de la plage désertée par les familles, mobilisées pour la rentrée des classes. Le soleil joue à cache-cache avec quelques rares nuages. Je descends vers la plage en compagnie des deux femmes.
La plus âgée, mince, d’allure sportive, a un équipement de randonnée (chaussures montantes, pantalon léger, T-shirt, petit sac à dos). Son visage est doux et régulier sous sa toison immaculée. Elle me hèle pour me demander des renseignements sur les pistes cyclables du coin. Je la renseigne tout en contemplant son amie (short, tennis, marcel et appareil photo professionnel). Elle est assez jolie malgré sa stature plus massive que sa compagne. Elle est souple et tout en muscle. Sous ses cheveux noirs, deux grands yeux sombres en amande pétillent. Ils surmontent un nez un peu fort et une bouche étroite joliment dessinée. Sa peau mate et un léger accent trahissent ses origines maghrébines. Cela tranche avec la peau laiteuse et le parler pointu de l’autre femme. Elles s’éloignent pour aller photographier les mouettes qui pullulent sur le sable mouillé. Sans me soucier de leur regard, je me mets à nu, pose mes affaires sur le sable et j’avance tranquillement vers les vagues, non sans déranger quelques paisibles volatiles.
L’eau me parait plus chaude que l’air au premier contact. Je m’avance en courant jusqu‘à ce qu’elle me couvre les épaules. Puis je me laisse porter. Le ressac est assez puissant et me ballotte tandis que le flot me fait dériver. Par instants, conscient de limites de mes rudiments de natation, je me remets debout sur le sable et marche à contre-courant pour éviter de m’éloigner de mon coin de plage. La mer devient moins violente lorsque, la marée montant, la baïne et le banc de sable disparaissent. Je me laisse bercer par le clapotis des vagues et reste ainsi à rêver et à profiter de ce chaud bouillon. Je me sens en sécurité comme un bébé dans son liquide amniotique. Régression sublime ! Longtemps « textile », je découvre les incroyables sensations de se baigner ainsi, totalement nu, absolument nu, délicieusement nu… Lorsque le soleil émerge enfin du ciel moutonnant, je remonte sur la plage et m’installe, écartelé sur une confortable natte de jonc. Une brise légère atténue la morsure du soleil. Je lui offre mon dos et mes fesses puis ma poitrine et mon sexe et m’endors ainsi. Douce torpeur ! Le temps passe. Je me réveille, conscient des risques que court ma peau ainsi exposée, et me retourne. Quelque chose m’empêche de m’endormir à nouveau. J’ai l’impression que l’on me contemple, me scrute et se repait de ma nudité. Je ne sais qui cela peut être et où se situe le voyeur. Je suppose qu’il s’agit d’un de ces « promeneurs des dunes », armé de ses jumelles ad hoc. Mal à l’aise, je me tourne à nouveau et me soulève sur les coudes.
Quelle n’est pas ma surprise de constater que mes deux compagnes d’ascension de la dune sont allongées tout près de moi. Les cheveux blancs sont apparemment endormis tandis que les cheveux bruns me contemplent sans pudeur de leurs yeux sombres malicieusement plissés. Je crois même voir une petite langue rose passer sur des lèvres étroites... Elle est totalement nue, confortablement installée sur le flan. Elle est à la fois belle et massive : épaules carrées, seins opulents et fermes, hanches larges mettant en valeur un sexe totalement imberbe et finement ourlé, taille assez fine, cuisses larges, mollets et genoux élégants et bien dessinés, pieds charpentés. Son bassin bascule jusqu’à me faire deviner une voluptueuse chute de reins. Une vraie sportive bien faite. Je ne sais comment réagir, m’affole un peu devant tant d’audace et me rue, peu glorieusement, dans l’eau rassurante.
Me voici caché de ces regards impudents. Je me laisse glisser dans la mer, porter par les vaguelettes qui l’agitent encore. Je suis à la fois gêné par ce que je viens de vivre et excité d’être ainsi provoqué par la jeune femme. Je manifeste cela par une demi-érection qui m’embarrasse. Alors que je commence à nouveau à me détendre et à savourer l’instant, quasi totalement immergé, j’entends un bruit de plongeon atténué et sens l’eau se déplacer plus violemment sur ma peau. Tout autour de moi, un tourbillon d’inégale intensité prend forme puis disparaît. Je reste ainsi, immobile, espérant un peu qu’une initiative vienne bousculer ma quiétude.
Je n’ai pas longtemps à attendre. Alors que je reprends pied pour éviter de dériver, deux bras puissants me saisissent par la taille tandis qu’une bouche vorace avale mon sexe qui raidit hâtivement. La jeune sportive m’a abordé de face, totalement immergée et en apnée. Déséquilibré, je m’accroche à ses flancs, presque à ses seins, et nous tournoyons dans l’eau sans qu’elle ne me lâche. D’un coup de reins nous atteignons un haut fond sablonneux ou, à demi immergé, j’installe mon dos. Je lâche ses seins tandis qu’elle pivote, d’un mouvement souple sans quitter mon phallus. Son entrejambe béant vient solliciter ma bouche et ma langue se met en devoir de répondre vigoureusement à cet appel. Mes mains étreignent énergiquement ses fesses comme si elles voulaient les séparer. Sous l’eau, un doigt inquisiteur commence à me caresser l’anus puis progressivement s’y enfonce. Mon sexe frémit et, alors que sa bouche le quitte pour reprendre une goulée d’air, répand sa semence dans l’eau.
Nous roulons à nouveau l’un sur l’autre. Lorsqu’elle cale ses fesses sur le banc de sable, mes lèvres se vissent aux siennes. Mes doigts prennent le relai de ma langue et, l’eau salée remplaçant avantageusement le lubrifiant, s’insèrent tranquillement dans tous les orifices de son entrecuisse et de ses fesses. Mon autre main commence à chahuter rapidement son clitoris érigé. Quelques dizaines de mouvements plus tard, tout son corps se met à vibrer et un râle profond sort de sa bouche. Nous restons là, à demi portés par l’eau, à nous caresser tendrement. Dieu que sa peau est douce !
Alors que je pense déjà à continuer l’exercice sur la terre ferme, un corps plus fluet vient se coller à ma hanche et une main osseuse s’empare délicatement de mon entrejambe. J’avais oublié « cheveux blancs », ses grands yeux bleus et son corps sans relief. C’est à peine si je sens ses petits seins contre mes côtes. Ma jeune amante, sans interrompre sa caresse, se glisse derrière elle pour la prendre en sandwich. Très vite, notre doyenne devient notre objet sexuel à tous deux. Nos langues se succèdent dans ses orifices, nos doigts aussi. J’envahis sa bouche par tous les moyens possibles tandis que son amie besogne son cul et sa vulve. Puis nous alternons. Nous nous partageons les stimulations frénétiques de son clitoris. Soudain, notre pauvre victime émet un long hululement rauque et est secouée de violentes décharges. Son corps, quasi désarticulé nous échappe en poussant un cri strident.
Affolées, les nombreuses mouettes de la grève s’envolent et vont se poser à quelques dizaines de mètres. Le calme revenu, les deux femmes se lèvent et se ruent sur ma large natte en bord de plage. Je m’installe entre elles deux et les caresses reprennent. Mes doigts les pénètrent à nouveau et pincent doucement leurs périnées. Point de manifestations de plaisir, mais des ondulations qui en disent long sur l’érotisation de nos deux coquines. Epuisé, je me suis endormi et c’est la fraicheur du soir qui m’a réveillé. Elles avaient disparu sans laisser de trace. Si elles me lisent un jour, j’espère qu’elles auront envie de revivre avec moi des moments d’une telle félicité….
Je découvre au passage de jolis parkings ombragés dans lesquelles sont garées quelques rares voitures. La piste cyclable continue à sauter lestement le relief À ma gauche, de nombreux sentiers laissent entrevoir un imposant monticule de sable que la mer doit sans doute border. À peine parvenu à la sente numéro 28, J’apprécie que le cheminement de sable soit doublé d’une allée couverte d’aiguilles de pin qui me permet de rouler jusqu’à la dune. Je m’y engage prudemment, à la limite du déséquilibre. Quelque centaines de mètres plus loin, à proximité de l’imposante montagne de sable, je ficelle mon fier destrier à un arbre et m’engage à pied dans la rude montée. Mes pieds s’enfoncent dans le sable brulant. Au terme de mon escalade, je rejoins deux femmes qui s’engagent prudemment dans la dune effondrée qui précède la large plage. La mer renvoie des reflets argentés. Les nombreuses mouettes profitent de la plage désertée par les familles, mobilisées pour la rentrée des classes. Le soleil joue à cache-cache avec quelques rares nuages. Je descends vers la plage en compagnie des deux femmes.
La plus âgée, mince, d’allure sportive, a un équipement de randonnée (chaussures montantes, pantalon léger, T-shirt, petit sac à dos). Son visage est doux et régulier sous sa toison immaculée. Elle me hèle pour me demander des renseignements sur les pistes cyclables du coin. Je la renseigne tout en contemplant son amie (short, tennis, marcel et appareil photo professionnel). Elle est assez jolie malgré sa stature plus massive que sa compagne. Elle est souple et tout en muscle. Sous ses cheveux noirs, deux grands yeux sombres en amande pétillent. Ils surmontent un nez un peu fort et une bouche étroite joliment dessinée. Sa peau mate et un léger accent trahissent ses origines maghrébines. Cela tranche avec la peau laiteuse et le parler pointu de l’autre femme. Elles s’éloignent pour aller photographier les mouettes qui pullulent sur le sable mouillé. Sans me soucier de leur regard, je me mets à nu, pose mes affaires sur le sable et j’avance tranquillement vers les vagues, non sans déranger quelques paisibles volatiles.
L’eau me parait plus chaude que l’air au premier contact. Je m’avance en courant jusqu‘à ce qu’elle me couvre les épaules. Puis je me laisse porter. Le ressac est assez puissant et me ballotte tandis que le flot me fait dériver. Par instants, conscient de limites de mes rudiments de natation, je me remets debout sur le sable et marche à contre-courant pour éviter de m’éloigner de mon coin de plage. La mer devient moins violente lorsque, la marée montant, la baïne et le banc de sable disparaissent. Je me laisse bercer par le clapotis des vagues et reste ainsi à rêver et à profiter de ce chaud bouillon. Je me sens en sécurité comme un bébé dans son liquide amniotique. Régression sublime ! Longtemps « textile », je découvre les incroyables sensations de se baigner ainsi, totalement nu, absolument nu, délicieusement nu… Lorsque le soleil émerge enfin du ciel moutonnant, je remonte sur la plage et m’installe, écartelé sur une confortable natte de jonc. Une brise légère atténue la morsure du soleil. Je lui offre mon dos et mes fesses puis ma poitrine et mon sexe et m’endors ainsi. Douce torpeur ! Le temps passe. Je me réveille, conscient des risques que court ma peau ainsi exposée, et me retourne. Quelque chose m’empêche de m’endormir à nouveau. J’ai l’impression que l’on me contemple, me scrute et se repait de ma nudité. Je ne sais qui cela peut être et où se situe le voyeur. Je suppose qu’il s’agit d’un de ces « promeneurs des dunes », armé de ses jumelles ad hoc. Mal à l’aise, je me tourne à nouveau et me soulève sur les coudes.
Quelle n’est pas ma surprise de constater que mes deux compagnes d’ascension de la dune sont allongées tout près de moi. Les cheveux blancs sont apparemment endormis tandis que les cheveux bruns me contemplent sans pudeur de leurs yeux sombres malicieusement plissés. Je crois même voir une petite langue rose passer sur des lèvres étroites... Elle est totalement nue, confortablement installée sur le flan. Elle est à la fois belle et massive : épaules carrées, seins opulents et fermes, hanches larges mettant en valeur un sexe totalement imberbe et finement ourlé, taille assez fine, cuisses larges, mollets et genoux élégants et bien dessinés, pieds charpentés. Son bassin bascule jusqu’à me faire deviner une voluptueuse chute de reins. Une vraie sportive bien faite. Je ne sais comment réagir, m’affole un peu devant tant d’audace et me rue, peu glorieusement, dans l’eau rassurante.
Me voici caché de ces regards impudents. Je me laisse glisser dans la mer, porter par les vaguelettes qui l’agitent encore. Je suis à la fois gêné par ce que je viens de vivre et excité d’être ainsi provoqué par la jeune femme. Je manifeste cela par une demi-érection qui m’embarrasse. Alors que je commence à nouveau à me détendre et à savourer l’instant, quasi totalement immergé, j’entends un bruit de plongeon atténué et sens l’eau se déplacer plus violemment sur ma peau. Tout autour de moi, un tourbillon d’inégale intensité prend forme puis disparaît. Je reste ainsi, immobile, espérant un peu qu’une initiative vienne bousculer ma quiétude.
Je n’ai pas longtemps à attendre. Alors que je reprends pied pour éviter de dériver, deux bras puissants me saisissent par la taille tandis qu’une bouche vorace avale mon sexe qui raidit hâtivement. La jeune sportive m’a abordé de face, totalement immergée et en apnée. Déséquilibré, je m’accroche à ses flancs, presque à ses seins, et nous tournoyons dans l’eau sans qu’elle ne me lâche. D’un coup de reins nous atteignons un haut fond sablonneux ou, à demi immergé, j’installe mon dos. Je lâche ses seins tandis qu’elle pivote, d’un mouvement souple sans quitter mon phallus. Son entrejambe béant vient solliciter ma bouche et ma langue se met en devoir de répondre vigoureusement à cet appel. Mes mains étreignent énergiquement ses fesses comme si elles voulaient les séparer. Sous l’eau, un doigt inquisiteur commence à me caresser l’anus puis progressivement s’y enfonce. Mon sexe frémit et, alors que sa bouche le quitte pour reprendre une goulée d’air, répand sa semence dans l’eau.
Nous roulons à nouveau l’un sur l’autre. Lorsqu’elle cale ses fesses sur le banc de sable, mes lèvres se vissent aux siennes. Mes doigts prennent le relai de ma langue et, l’eau salée remplaçant avantageusement le lubrifiant, s’insèrent tranquillement dans tous les orifices de son entrecuisse et de ses fesses. Mon autre main commence à chahuter rapidement son clitoris érigé. Quelques dizaines de mouvements plus tard, tout son corps se met à vibrer et un râle profond sort de sa bouche. Nous restons là, à demi portés par l’eau, à nous caresser tendrement. Dieu que sa peau est douce !
Alors que je pense déjà à continuer l’exercice sur la terre ferme, un corps plus fluet vient se coller à ma hanche et une main osseuse s’empare délicatement de mon entrejambe. J’avais oublié « cheveux blancs », ses grands yeux bleus et son corps sans relief. C’est à peine si je sens ses petits seins contre mes côtes. Ma jeune amante, sans interrompre sa caresse, se glisse derrière elle pour la prendre en sandwich. Très vite, notre doyenne devient notre objet sexuel à tous deux. Nos langues se succèdent dans ses orifices, nos doigts aussi. J’envahis sa bouche par tous les moyens possibles tandis que son amie besogne son cul et sa vulve. Puis nous alternons. Nous nous partageons les stimulations frénétiques de son clitoris. Soudain, notre pauvre victime émet un long hululement rauque et est secouée de violentes décharges. Son corps, quasi désarticulé nous échappe en poussant un cri strident.
Affolées, les nombreuses mouettes de la grève s’envolent et vont se poser à quelques dizaines de mètres. Le calme revenu, les deux femmes se lèvent et se ruent sur ma large natte en bord de plage. Je m’installe entre elles deux et les caresses reprennent. Mes doigts les pénètrent à nouveau et pincent doucement leurs périnées. Point de manifestations de plaisir, mais des ondulations qui en disent long sur l’érotisation de nos deux coquines. Epuisé, je me suis endormi et c’est la fraicheur du soir qui m’a réveillé. Elles avaient disparu sans laisser de trace. Si elles me lisent un jour, j’espère qu’elles auront envie de revivre avec moi des moments d’une telle félicité….
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