NYMPHOMANE ET MASO - Eloge de la candeur (09)
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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NYMPHOMANE ET MASO - Eloge de la candeur (09)
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
NYMPHOMANE & MASO - Eloge de la candeur (07)
Résumé des chapitres précédents : Sandy, une jeune femme, mariée à un rustre est déniaisée par Paul qui a presque le double de son âge. Entrainée chez un couple de quadras, Jacques et Corinne, qui, avec Maud, leur soubrette de dix-huit ans, elle assiste à leur débauche débridée et se retrouve à son grand étonnement à participer à cette orgie. Initiée à la sodomie par Paul, elle accepte de se faire prendre en double par les deux hommes. Sur la route du retour, elle s’exhibe sur l’autoroute et se fait prendre par un motard.
Paul a étendu Sandy sur le siège de la voiture qu'il a basculé en couchette. Il retire sa jupe froissée, ensuite il lui essuie son entrejambe qui dégouline de foutre et de mouille mélangée. Il fait glisser aussi ses bas qui se sont déchirés durant l'assaut furieux qu'elle a bien voulu tolérer, puis, fouillant dans les bagages rangés dans le coffre, il prend de quoi la rhabiller. Lorsqu'il lui enfile de nouveaux bas, elle reprend conscience, regardant avec étonnement son amant qui prend beaucoup de soin pour la rendre plus présentable. Elle se sent incroyablement fourbue et épuisée par la double pénétration qu'elle vient d'endurer.
Outre cela, son vagin qui a été malmené par l'engin monstrueux qui l'a pénétré est très douloureux, tandis que ses seins martyrisés sont pleins de bleus après les manipulations brutales auxquels ils ont été soumis. Mais elle se sent heureuse et entièrement comblée, aussi, elle embrasse tendrement celui qui est à l'origine de son bonheur charnel. Paul reprend l'autoroute lorsque Sandy se sent mieux et qu'elle a remis des vêtements propres. Elle se montre étrangement silencieuse. Au bout d'une bonne demi-heure, Paul rompt enfin le silence qui devient pesant.
Mon amour, tu m'as surpris. Je te savais un peu nymphomane ma chérie, mais je ne te connaissais pas ces penchants masochistes. Apparemment tu as apprécié d’être malmené par ce garçon, qui n'y a pas été de main morte avec tes seins, et qui en plus, t'a embroché avec un engin aussi gros qu'une bouteille de champagne. J'étais tellement excité que j'ai éjaculé dans ton cul lorsque tu t'es mis à gueuler que tu voulais qu'il continue à te maltraiter, et que tu hurlais que tu aimais ça. Mais ma chérie, moi aussi je vais avoir envie de te rudoyer, et même, pourquoi pas, je suis sûr qu'une petite séance de flagellation ne serait pas pour te déplaire, qu'en penses-tu ?
Sandy est devenue cramoisie. Il est vrai, qu'elle a pris un plaisir incommensurable lorsque l'homme lui triturait les seins et qu'elle ressentait une souffrance insupportable sur ses tétons qu'il pinçait cruellement. Et puis, il lui semblait que les chairs de son vagin allaient être arraché par le mandrin qui la labourait atrocement, et pourtant, elle jouissait encore plus que les fois précédentes. Elle est épouvantée de ce qu'elle est en train de devenir, il lui en faudra donc toujours plus. Sa débauche et sa dépravation, n'aurons donc aucune fin. Dans quelle perversité va donc l'entraîner encore son amant ? Elle reste silencieuse, encore un bon moment, puis elle se décide à répondre enfin à Paul.
J'ai honte Paul, je me conduis comme une moins que rien. C'est vrai, j'avoue que j'ai joui d'avoir aussi mal, et plus je souffrais plus je jouissais, mais que vas-tu penser de moi maintenant ?
Je pense que tu es la maîtresse idéale et que pour rien au monde je ne veux te perdre. Il n'y a aucun mal à aimer la souffrance, car la volupté s'obtient par mille façons et la douleur et le plaisir sont souvent un mélange savamment dosé par le subconscient. Je t'amènerai progressivement à aimer le fouet, tu verras, tu en redemanderas et j'aimerais bien te mordre tes bouts de seins et ton clitoris, tu voudras bien mon amour ?
Sandy ne répond pas, mais elle se penche sur le pantalon de son compagnon, extrayant sa verge elle l'absorbe entre ses lèvres arrondies tout en mordillant le gland qui gonfle immédiatement entre ses dents serrées. Ensuite, elle fait coulisser le membre dans sa bouche, titillant le méat avec sa langue jusqu'à ce que Paul éjacule violemment. À ce moment précis, Paul qui vient de jouir laisse la voiture faire une embardée, malgré cela, reprenant tout de suite son contrôle, il laisse Sandy continuer à dévorer sa verge, surtout qu'elle avale son foutre sans qu'une goutte tombe sur son pantalon. Il a compris qu'elle accepte d'être à sa merci, aussi, s’arrêtant sur un terre-plein, il l'embrasse, fouillant avec sa langue la bouche pleine de son foutre, lui faisant ainsi comprendre qu'il la remercie et qu'il l'aime.
Il est presque vingt heures quand Paul sort de l'autoroute, se dirigeant vers un motel d'une chaîne hôtelière où il a retenu deux chambres depuis le téléphone de son automobile. Après avoir récupéré la clé à la réception, le couple s'installe dans une des chambres d'où Sandy téléphone à son mari, lui annonçant qu'ils viennent de s'arrêter à mi-chemin et qu'ils ont pu trouver, quelle chance dit elle, deux chambres libres. Paul a un petit sourire en coin, pensant que sa maîtresse est vraiment douée pour le mensonge.
Sandy se rend dans la salle de bains pour faire sa toilette. Elle gémit, lorsqu'elle se lave son entrecuisse, car les muqueuses de son vagin sont encore endolories par la forte pénétration qu'elle a endurée, et puis, lorsqu'elle se palpe sa poitrine, une douleur sourde étreint ses seins, surtout dans ses mamelons qui ont été martyrisés par les doigts des deux hommes. Étrangement, la souffrance fait place à une excitation qui humecte sa vulve et elle commence à se pincer les tétins, augmentant la jouissance qui arrive par vagues successives. Elle se traite de folle, mais fouillant dans son sac, elle prend les bas déchirés que Paul lui a retirés après que le motard les a dévastés. Puis, enjambant la baignoire, elle monte sur le rebord et fait des nœuds assez lâches sur ses poignets, les réunissant aux pitons du tuyau d'eau qui coure au plafond, enfin elle se laisse glisser le long du bord de la baignoire, les nœuds se serrant d'eux-mêmes autour de ses poignets. Elle a les bras distendus, ses pieds touchant à peine le fond de la baignoire. Elle appelle son amant d'une petite voix angoissée.
Paul, Paul mon amour, tu veux venir s'il te plaît, je t'en prie réponds-moi.
Celui-ci entend tout de même sa compagne qui l'appelle, occupé qu'il était à regarder et à écouter les informations télévisées. Il ouvre la porte de la salle d'eau et reste stupéfait devant le spectacle que lui offre Sandy, attachée par les poignets et pendue au tuyau d'eau au-dessus de la baignoire, offrant son corps dénudé dans un supplice qu'elle a voulu elle-même. La jeune femme lui dit dans un souffle.
Tu vois, je vais au-devant de tes désirs, je suis ta prisonnière et tu peux me persécuter à ton aise, je ne peux même pas me défendre. Fais-moi mal mon chéri, prends ton plaisir et fais-moi jouir.
Paul enlève lentement ses vêtements, et, lorsqu'il est nu, il enjambe la baignoire s'approchant de sa victime consentante, puis prenant ses deux tétons entre ses doigts, il les pince cruellement, les faisant rouler sous ses ongles en les pressant comme dans un étau. La suppliciée gémit et laisse ses larmes couler sur ses joues, se retenant pour ne pas hurler sa douleur. Pourtant elle sent sa mouille qui dégouline sur ses cuisses, d'ailleurs, Paul vérifiant par lui-même, retire ses doigts enduits de la sève juteuse qu'il fait goûter à sa victime, lui intimant l'ordre de lécher ses doigts poisseux du suc intime qu'il a raclé dans sa vulve béante. Puis, il empoigne le vagin et crispe ses doigts sur les chairs enflammées jusqu'à ce que Sandy gémisse enfin et crie sa souffrance tout en lui disant de continuer.
Oh ! J'ai mal, c'est affreux. Ooooh. Mais continue chéri, ne m'écoute pas. Je jouis, j'ai mal. Oh mes seins, je vais mourir ! Ooooh. Va-y torture-moi, arrache-moi les poils. Oui ! Nooooon ! Ooooh. Non ! Ooooh. Oui ! Aaaaahh. Oh ! Mon clito. Nooooon je t'en supplie, pas comme ça ! Aaaaahh…………….
Paul a pris l’organe érectile féminin entre ses doigts, puis il le tord jusqu'à ce que sa compagne essayant d'échapper à ses doigts cruels éclate en sanglots, la douleur étant trop forte. D'ailleurs elle ne peut retenir un jet d'urine, affolée par la violence qui l'assaille. Paul excité par cette pisse qu'elle laisse couler entre ses cuisses, introduit sa verge dans la connasse qui lui arrose sa pine. Sandy relâche ses sphincters d'un seul coup ayant honte d'être pénétrée alors qu'elle se laisse aller à cette incontinence dégoûtante, mais elle se sent aussi excitée, tout comme son compagnon par la perversité de l'acte obscène qu'ils accomplissent. Paul bourre sans ménagement la chatte de Sandy, ruisselante d'urine et de mouille tout en mordant à pleines dents dans un de ses mamelons, lui arrachant enfin des cris inhumains. Heureusement que leur bungalow qui comprend les deux chambres qu'ils ont réservées se trouve un peu à l'écart, car ses hurlements effroyables ameuteraient sans aucun doute les clients et le personnel du motel. Enfin, il laisse gicler sa semence au fond de la matrice qu'il a violemment baisée, alors que Sandy suffoque sous le plaisir qui submerge la douleur qu'elle supporte depuis elle ne sait plus combien de temps.
Le couple se retrouve peu après au restaurant du motel, juste à temps avant la fermeture. Il est vrai que la séance de sadomasochisme à laquelle ils se sont livrés a duré un bon moment. Le dîner aux chandelles accompagné de champagne leur régénère une pleine forme et ils se regardent amoureusement les yeux dans les yeux. Sandy se paie de grands cernes bleus et elle se sent encore fébrile, surtout que Paul s'étant déchaussé, entreprend de pointer un pied dans son entrejambe, massant ainsi le vagin toujours dénudé de sa compagne, qu'il fait chanceler sous l'onde de plaisir toujours plus fort qu'elle éprouve à se faire masturber, surtout se sachant en compagnie d'un public et à l'insu des personnes présentes. Heureusement d'ailleurs que la nappe est très large et qu'elle descend très bas, car pour faciliter les agissements de son compagnon, Sandy a retroussé sa jupe, ouvrant le compas de ses jambes et vibrant sous la caresse qui lui procure un bref orgasme.
En passant devant la réception, après le charmant dîner qu'ils viennent de faire, Paul et Sandy assistent à une scène entre un couple d'une cinquantaine d'année. Celui-ci n'a pas trouvé de chambre car la femme a omis d'effectuer une réservation, son mari paraît furieux et la menace de représailles. L'homme est grand et très distingué, revêtu d'un costume trois pièces de coupe anglaise, il a les cheveux d'un blanc éclatant avec des favoris et il porte une grosse moustache avec des pointes, indiquant sans aucun doute son origine anglo-saxonne. Son épouse, une rousse flamboyante est très svelte et très élégante, habillée d'un tailleur chic de chez Chanel. Elle est assez maquillée, laissant tout de même voir sur sa peau diaphane des nombreuses taches de rousseur qui ressortent encore plus, car ses lèvres sont peintes d'un rouge carmin luminescent.
Paul rejoint le couple sur le parking, alors qu'il s'apprête à s'engouffrer dans une Jaguar de l'année, proposant à l'homme d'occuper une des deux chambres qu'il a réservées. La sienne se trouvant inoccupé par la chance qu'il a de partager le lit de sa jolie compagne. Après une légère hésitation, l'homme accepte sans demander son avis à son épouse et les deux hommes, empoignant les bagages, se dirigent vers le bungalow isolé. Paul ouvre d'abord la porte de leur chambre et par la porte communicante, il fait entrer le couple d'anglais dans la chambre voisine, identique à la leur. L'homme dit se prénommer Edward et son épouse Diana. Paul se présente également ainsi que sa compagne, alors qu’Edward propose de boire un verre dans leur chambre.
A suivre……………..
NYMPHOMANE & MASO - Eloge de la candeur (07)
Résumé des chapitres précédents : Sandy, une jeune femme, mariée à un rustre est déniaisée par Paul qui a presque le double de son âge. Entrainée chez un couple de quadras, Jacques et Corinne, qui, avec Maud, leur soubrette de dix-huit ans, elle assiste à leur débauche débridée et se retrouve à son grand étonnement à participer à cette orgie. Initiée à la sodomie par Paul, elle accepte de se faire prendre en double par les deux hommes. Sur la route du retour, elle s’exhibe sur l’autoroute et se fait prendre par un motard.
Paul a étendu Sandy sur le siège de la voiture qu'il a basculé en couchette. Il retire sa jupe froissée, ensuite il lui essuie son entrejambe qui dégouline de foutre et de mouille mélangée. Il fait glisser aussi ses bas qui se sont déchirés durant l'assaut furieux qu'elle a bien voulu tolérer, puis, fouillant dans les bagages rangés dans le coffre, il prend de quoi la rhabiller. Lorsqu'il lui enfile de nouveaux bas, elle reprend conscience, regardant avec étonnement son amant qui prend beaucoup de soin pour la rendre plus présentable. Elle se sent incroyablement fourbue et épuisée par la double pénétration qu'elle vient d'endurer.
Outre cela, son vagin qui a été malmené par l'engin monstrueux qui l'a pénétré est très douloureux, tandis que ses seins martyrisés sont pleins de bleus après les manipulations brutales auxquels ils ont été soumis. Mais elle se sent heureuse et entièrement comblée, aussi, elle embrasse tendrement celui qui est à l'origine de son bonheur charnel. Paul reprend l'autoroute lorsque Sandy se sent mieux et qu'elle a remis des vêtements propres. Elle se montre étrangement silencieuse. Au bout d'une bonne demi-heure, Paul rompt enfin le silence qui devient pesant.
Mon amour, tu m'as surpris. Je te savais un peu nymphomane ma chérie, mais je ne te connaissais pas ces penchants masochistes. Apparemment tu as apprécié d’être malmené par ce garçon, qui n'y a pas été de main morte avec tes seins, et qui en plus, t'a embroché avec un engin aussi gros qu'une bouteille de champagne. J'étais tellement excité que j'ai éjaculé dans ton cul lorsque tu t'es mis à gueuler que tu voulais qu'il continue à te maltraiter, et que tu hurlais que tu aimais ça. Mais ma chérie, moi aussi je vais avoir envie de te rudoyer, et même, pourquoi pas, je suis sûr qu'une petite séance de flagellation ne serait pas pour te déplaire, qu'en penses-tu ?
Sandy est devenue cramoisie. Il est vrai, qu'elle a pris un plaisir incommensurable lorsque l'homme lui triturait les seins et qu'elle ressentait une souffrance insupportable sur ses tétons qu'il pinçait cruellement. Et puis, il lui semblait que les chairs de son vagin allaient être arraché par le mandrin qui la labourait atrocement, et pourtant, elle jouissait encore plus que les fois précédentes. Elle est épouvantée de ce qu'elle est en train de devenir, il lui en faudra donc toujours plus. Sa débauche et sa dépravation, n'aurons donc aucune fin. Dans quelle perversité va donc l'entraîner encore son amant ? Elle reste silencieuse, encore un bon moment, puis elle se décide à répondre enfin à Paul.
J'ai honte Paul, je me conduis comme une moins que rien. C'est vrai, j'avoue que j'ai joui d'avoir aussi mal, et plus je souffrais plus je jouissais, mais que vas-tu penser de moi maintenant ?
Je pense que tu es la maîtresse idéale et que pour rien au monde je ne veux te perdre. Il n'y a aucun mal à aimer la souffrance, car la volupté s'obtient par mille façons et la douleur et le plaisir sont souvent un mélange savamment dosé par le subconscient. Je t'amènerai progressivement à aimer le fouet, tu verras, tu en redemanderas et j'aimerais bien te mordre tes bouts de seins et ton clitoris, tu voudras bien mon amour ?
Sandy ne répond pas, mais elle se penche sur le pantalon de son compagnon, extrayant sa verge elle l'absorbe entre ses lèvres arrondies tout en mordillant le gland qui gonfle immédiatement entre ses dents serrées. Ensuite, elle fait coulisser le membre dans sa bouche, titillant le méat avec sa langue jusqu'à ce que Paul éjacule violemment. À ce moment précis, Paul qui vient de jouir laisse la voiture faire une embardée, malgré cela, reprenant tout de suite son contrôle, il laisse Sandy continuer à dévorer sa verge, surtout qu'elle avale son foutre sans qu'une goutte tombe sur son pantalon. Il a compris qu'elle accepte d'être à sa merci, aussi, s’arrêtant sur un terre-plein, il l'embrasse, fouillant avec sa langue la bouche pleine de son foutre, lui faisant ainsi comprendre qu'il la remercie et qu'il l'aime.
Il est presque vingt heures quand Paul sort de l'autoroute, se dirigeant vers un motel d'une chaîne hôtelière où il a retenu deux chambres depuis le téléphone de son automobile. Après avoir récupéré la clé à la réception, le couple s'installe dans une des chambres d'où Sandy téléphone à son mari, lui annonçant qu'ils viennent de s'arrêter à mi-chemin et qu'ils ont pu trouver, quelle chance dit elle, deux chambres libres. Paul a un petit sourire en coin, pensant que sa maîtresse est vraiment douée pour le mensonge.
Sandy se rend dans la salle de bains pour faire sa toilette. Elle gémit, lorsqu'elle se lave son entrecuisse, car les muqueuses de son vagin sont encore endolories par la forte pénétration qu'elle a endurée, et puis, lorsqu'elle se palpe sa poitrine, une douleur sourde étreint ses seins, surtout dans ses mamelons qui ont été martyrisés par les doigts des deux hommes. Étrangement, la souffrance fait place à une excitation qui humecte sa vulve et elle commence à se pincer les tétins, augmentant la jouissance qui arrive par vagues successives. Elle se traite de folle, mais fouillant dans son sac, elle prend les bas déchirés que Paul lui a retirés après que le motard les a dévastés. Puis, enjambant la baignoire, elle monte sur le rebord et fait des nœuds assez lâches sur ses poignets, les réunissant aux pitons du tuyau d'eau qui coure au plafond, enfin elle se laisse glisser le long du bord de la baignoire, les nœuds se serrant d'eux-mêmes autour de ses poignets. Elle a les bras distendus, ses pieds touchant à peine le fond de la baignoire. Elle appelle son amant d'une petite voix angoissée.
Paul, Paul mon amour, tu veux venir s'il te plaît, je t'en prie réponds-moi.
Celui-ci entend tout de même sa compagne qui l'appelle, occupé qu'il était à regarder et à écouter les informations télévisées. Il ouvre la porte de la salle d'eau et reste stupéfait devant le spectacle que lui offre Sandy, attachée par les poignets et pendue au tuyau d'eau au-dessus de la baignoire, offrant son corps dénudé dans un supplice qu'elle a voulu elle-même. La jeune femme lui dit dans un souffle.
Tu vois, je vais au-devant de tes désirs, je suis ta prisonnière et tu peux me persécuter à ton aise, je ne peux même pas me défendre. Fais-moi mal mon chéri, prends ton plaisir et fais-moi jouir.
Paul enlève lentement ses vêtements, et, lorsqu'il est nu, il enjambe la baignoire s'approchant de sa victime consentante, puis prenant ses deux tétons entre ses doigts, il les pince cruellement, les faisant rouler sous ses ongles en les pressant comme dans un étau. La suppliciée gémit et laisse ses larmes couler sur ses joues, se retenant pour ne pas hurler sa douleur. Pourtant elle sent sa mouille qui dégouline sur ses cuisses, d'ailleurs, Paul vérifiant par lui-même, retire ses doigts enduits de la sève juteuse qu'il fait goûter à sa victime, lui intimant l'ordre de lécher ses doigts poisseux du suc intime qu'il a raclé dans sa vulve béante. Puis, il empoigne le vagin et crispe ses doigts sur les chairs enflammées jusqu'à ce que Sandy gémisse enfin et crie sa souffrance tout en lui disant de continuer.
Oh ! J'ai mal, c'est affreux. Ooooh. Mais continue chéri, ne m'écoute pas. Je jouis, j'ai mal. Oh mes seins, je vais mourir ! Ooooh. Va-y torture-moi, arrache-moi les poils. Oui ! Nooooon ! Ooooh. Non ! Ooooh. Oui ! Aaaaahh. Oh ! Mon clito. Nooooon je t'en supplie, pas comme ça ! Aaaaahh…………….
Paul a pris l’organe érectile féminin entre ses doigts, puis il le tord jusqu'à ce que sa compagne essayant d'échapper à ses doigts cruels éclate en sanglots, la douleur étant trop forte. D'ailleurs elle ne peut retenir un jet d'urine, affolée par la violence qui l'assaille. Paul excité par cette pisse qu'elle laisse couler entre ses cuisses, introduit sa verge dans la connasse qui lui arrose sa pine. Sandy relâche ses sphincters d'un seul coup ayant honte d'être pénétrée alors qu'elle se laisse aller à cette incontinence dégoûtante, mais elle se sent aussi excitée, tout comme son compagnon par la perversité de l'acte obscène qu'ils accomplissent. Paul bourre sans ménagement la chatte de Sandy, ruisselante d'urine et de mouille tout en mordant à pleines dents dans un de ses mamelons, lui arrachant enfin des cris inhumains. Heureusement que leur bungalow qui comprend les deux chambres qu'ils ont réservées se trouve un peu à l'écart, car ses hurlements effroyables ameuteraient sans aucun doute les clients et le personnel du motel. Enfin, il laisse gicler sa semence au fond de la matrice qu'il a violemment baisée, alors que Sandy suffoque sous le plaisir qui submerge la douleur qu'elle supporte depuis elle ne sait plus combien de temps.
Le couple se retrouve peu après au restaurant du motel, juste à temps avant la fermeture. Il est vrai que la séance de sadomasochisme à laquelle ils se sont livrés a duré un bon moment. Le dîner aux chandelles accompagné de champagne leur régénère une pleine forme et ils se regardent amoureusement les yeux dans les yeux. Sandy se paie de grands cernes bleus et elle se sent encore fébrile, surtout que Paul s'étant déchaussé, entreprend de pointer un pied dans son entrejambe, massant ainsi le vagin toujours dénudé de sa compagne, qu'il fait chanceler sous l'onde de plaisir toujours plus fort qu'elle éprouve à se faire masturber, surtout se sachant en compagnie d'un public et à l'insu des personnes présentes. Heureusement d'ailleurs que la nappe est très large et qu'elle descend très bas, car pour faciliter les agissements de son compagnon, Sandy a retroussé sa jupe, ouvrant le compas de ses jambes et vibrant sous la caresse qui lui procure un bref orgasme.
En passant devant la réception, après le charmant dîner qu'ils viennent de faire, Paul et Sandy assistent à une scène entre un couple d'une cinquantaine d'année. Celui-ci n'a pas trouvé de chambre car la femme a omis d'effectuer une réservation, son mari paraît furieux et la menace de représailles. L'homme est grand et très distingué, revêtu d'un costume trois pièces de coupe anglaise, il a les cheveux d'un blanc éclatant avec des favoris et il porte une grosse moustache avec des pointes, indiquant sans aucun doute son origine anglo-saxonne. Son épouse, une rousse flamboyante est très svelte et très élégante, habillée d'un tailleur chic de chez Chanel. Elle est assez maquillée, laissant tout de même voir sur sa peau diaphane des nombreuses taches de rousseur qui ressortent encore plus, car ses lèvres sont peintes d'un rouge carmin luminescent.
Paul rejoint le couple sur le parking, alors qu'il s'apprête à s'engouffrer dans une Jaguar de l'année, proposant à l'homme d'occuper une des deux chambres qu'il a réservées. La sienne se trouvant inoccupé par la chance qu'il a de partager le lit de sa jolie compagne. Après une légère hésitation, l'homme accepte sans demander son avis à son épouse et les deux hommes, empoignant les bagages, se dirigent vers le bungalow isolé. Paul ouvre d'abord la porte de leur chambre et par la porte communicante, il fait entrer le couple d'anglais dans la chambre voisine, identique à la leur. L'homme dit se prénommer Edward et son épouse Diana. Paul se présente également ainsi que sa compagne, alors qu’Edward propose de boire un verre dans leur chambre.
A suivre……………..
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonjour vieux loup, toujours excellents tes récits ! Et j'y trouve toujours autant de plaisirs !
Merci...
Didier
Merci...
Didier
Avec habilité dans l'écriture comme tjrs Vieulou s'aventure dans les prémices d'une zone ROUGE où l'héroïne Sandy semble avoir des dispositions immenses.
Vite la suite
B.
Vite la suite
B.
Il s'agit bien du N°09 de la série Éloge de la Candeur et non du n°07 Pardonnez-moi l'erreur