Objectif GB !
Récit érotique écrit par Secret-Lady [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-04-2023 dans la catégorie Plus on est
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Objectif GB !
3 janvier 2023.
Annabelle me propose de partager sa chambre d'hôtel et de nous rendre ensemble à une soirée au thème accrocheur: "Élection Miss Gang Bang"...
Just do it ! Le défi est de taille, je manque d'entrainement, mais ma toute fraiche liberté de très énervée me motive à ajouter ce genre de challenge à ma liste des "résolutions dangereuses" pour l'année qui débute. Adios le Monster qui me remplissait si bien les entrailles mais m'utilisait en défouloir, je choisis donc la pléthore de bites plutôt que la quête d'un remplaçant. De toutes façons, les candidats ne cochent pas toutes les cases: Barry est un autre super vicieux, mais encore moins disponible que ne l'était la Bête, Thomas est beau et doué de la langue mais gicle trop vite, Dilane est adorable mais son énoooorme gourdin me fait frôler l'épisiotomie, Armand aime surtout jouer avec le délicieux plaisir de l'impatience de la chienne soumise et entravée, mais sans passer assez à table... Yves, Miguel, Victor sont des pointillés vraiment pas dégueus, Yohann, Nelson, Brice, Moris attendent dans ma liste "à tester", et les beaux Moïse, Jimmy, Jordan me réclament quand leurs plannings leur offrent une brèche, qui est rarement aussi la mienne... Kadio, oh oui, Kadio, bordel, lui c'est l'exception, je cajole ses 108 kilos quand il veut ! (Surtout quand il peut...)
Mais là, dans l'immédiat, l'objectif GB me fournit un prétexte à bouger mon cul pour booster mon cardio...
J'ai 1 mois pour mettre K.O ma mollesse. Jason peut mettre l'intensité au max !
Jason, c'est mon p'tit coach sportif. Un brin sadique, en me flattant il m'amène à repousser à chaque fois mes limites, plus haut, plus fort, plus vite, tournant en souriant le curseur des impulsions électriques, en diminuant mon temps de récupération, et en posant sa main sur mes abdos pour vérifier que je ne les relâche pas... Jason, c'est l'homme de la situation pour me réconcilier avec des muscles oubliés sous le mou...
Je vais bouffer des kilomètres de rameur, cruncher, kicker, squatter, jumping jacker !
Je cryolipolyse le bourrelet, je diète intermittente, je challenge dry january, et facial yogate to be ready for the battle !
Il va y avoir du sport !
Mais mon coach "so special", c'est Sébastien. Dire que je pensais qu'il n'était qu'une langue très douée qui me réconciliait avec cette caresse là... Comme il a bien fait d'insister pour qu'on s'encanaille davantage ! Enfin, un vrai complice se prêtant au jeu de l'exhibition et du partage, s'improvisant maitre de cérémonie avec un naturel déconcertant, metteur en scène pour public averti, Monsieur Loyal du Grand Cirque de l'Orgie !
Ce jour là, il n'y avait que des hommes, dans le sauna près de la gare. Tous très attirants, rien à jeter, welcome au Paradis, tous la petite quarantaine, et majoritairement noirs, comme un drôle de hasard pour me donner le vertige... Grands, larges, et visiblement affamés, gagnante au super Keno !
Mon complice n'a pas fermé le rideau, il a varié nos positions en nous donnant en spectacle à la monstrueuse escouade aux membres tendus. Ajoutant les mots pour les exciter davantage. " Tu aimes ça, hein, que je te prenne le cul, espèce de salope?"
Doué pour le show.
Premier acte.
Quand je quitte cette première scène, traversant la haie d'honneur des mateurs qui m'accompagne jusqu'aux douches, leurs mains flattent mes fesses, tandis qu'ils me chuchotent des "merci" pour ma performance.
2ème acte.
Dans le sauna, il écarte mes cuisses et les hommes se collent à moi. J'aime ca, j'ai toujours aimé ça, bien davantage que l'assaut, leur objectif à eux, ce sont toutes ces mains, cette multitude, éparpillées sur mon corps, qui me procure de l'ivresse. Je prends conscience que ce ne sont plus ses doigts qui me fouillent. Tu vois, je te connais, déjà je peux reconnaitre ta façon de bouger, de chercher à déclencher ma cascade...
Envie, encore, de retourner dans la cabine aux miroirs, enfermons nous, mais offre moi une nouvelle fois aux regards.
Il me plaque à la grille qui nous sépare de la meute en rut, m'encourageant à sucer, à branler toutes ces bites qui se glissent entre les entrelacs de la ferronnerie. Je ne distingue pas les visages des propriétaires des membres dressés. Les bras comme les tentacules d'un poulpe géant, les mains m'aggrippent, caressent ou pincent mes seins, font rouler mon clito entre leurs doigts, cherchent mon cul... Il me prend comme un sauvage en soulevant mes jambes pour mieux livrer mon sexe à leurs regards concupiscents.
Chienne, et fière.
3ème acte.
Hammam. Ils nous suivent. Seule blanche parmi ces colosses dont je ne distingue que les bas-ventres. À nouveau il écarte largement mes cuisses, et à ce signal, un cercle de queues dressées s'offrent à ma langue. Il veille à ce que tous en profitent, je me sens l'héroïne de ces comics outranciers où des mastodontes ébènes aux attributs phénomènaux remplissent l'unique donzelle qui n'a froid aux yeux. Que ce serait-il passé si j'étais venue seule me jeter dans cette arène ?
Il me pousse vers une autre salle où les malabars nous suivent. Il est incroyable en chef d'orchestre, attentif et directif.
6. " Pas davantage, s'il te plait, ferme la porte !"
Les chanceux sont aux petits soins, les autres se branlent derrière la grille.
Les hommes jouissent vite, comme souvent quand d'autres attendent, et certains ne savent pas le faire sous les regards.
Alors Sébastien les repousse pour l'assaut final et surtout le jet brûlant sur mes seins, que j'avais réclamé, en conclusion.
Sous la douche, je peux enfin les regarder. Je ne saurai pas leurs prénoms, ni qui ils sont. Ils entourent mon compagnon de jeu, le remerciant et le félicitant, mâles se congratulant à coup de high five, et m'honorant du titre de bonne salope.
Il me dira qu'ils lui faisaient pitié, tous là, à se branler, et qu'il aime partager, avec les "frères"...
Notre complicité née d'une vexation, à mon refus d'un second round dans une soirée, lui reprochant sans précipitation malhabile et égoïste, sans prendre le temps d'observer de quel plaisir mon corps avait besoin... Il avait su m'entendre. Et me redonner confiance, en déchirant les couches d'interdits et de complexes dont je m'étais enrobée.
Dans la ruelle, forcément dans un état second.
Je l'ai fait, mon corps en est encore capable !
Piètre victoire, mais comme un checking, une révision des 10 000, un examen de contrôle, un test d'effort...
Ready ? Oh que oui !
Go !
Annabelle me propose de partager sa chambre d'hôtel et de nous rendre ensemble à une soirée au thème accrocheur: "Élection Miss Gang Bang"...
Just do it ! Le défi est de taille, je manque d'entrainement, mais ma toute fraiche liberté de très énervée me motive à ajouter ce genre de challenge à ma liste des "résolutions dangereuses" pour l'année qui débute. Adios le Monster qui me remplissait si bien les entrailles mais m'utilisait en défouloir, je choisis donc la pléthore de bites plutôt que la quête d'un remplaçant. De toutes façons, les candidats ne cochent pas toutes les cases: Barry est un autre super vicieux, mais encore moins disponible que ne l'était la Bête, Thomas est beau et doué de la langue mais gicle trop vite, Dilane est adorable mais son énoooorme gourdin me fait frôler l'épisiotomie, Armand aime surtout jouer avec le délicieux plaisir de l'impatience de la chienne soumise et entravée, mais sans passer assez à table... Yves, Miguel, Victor sont des pointillés vraiment pas dégueus, Yohann, Nelson, Brice, Moris attendent dans ma liste "à tester", et les beaux Moïse, Jimmy, Jordan me réclament quand leurs plannings leur offrent une brèche, qui est rarement aussi la mienne... Kadio, oh oui, Kadio, bordel, lui c'est l'exception, je cajole ses 108 kilos quand il veut ! (Surtout quand il peut...)
Mais là, dans l'immédiat, l'objectif GB me fournit un prétexte à bouger mon cul pour booster mon cardio...
J'ai 1 mois pour mettre K.O ma mollesse. Jason peut mettre l'intensité au max !
Jason, c'est mon p'tit coach sportif. Un brin sadique, en me flattant il m'amène à repousser à chaque fois mes limites, plus haut, plus fort, plus vite, tournant en souriant le curseur des impulsions électriques, en diminuant mon temps de récupération, et en posant sa main sur mes abdos pour vérifier que je ne les relâche pas... Jason, c'est l'homme de la situation pour me réconcilier avec des muscles oubliés sous le mou...
Je vais bouffer des kilomètres de rameur, cruncher, kicker, squatter, jumping jacker !
Je cryolipolyse le bourrelet, je diète intermittente, je challenge dry january, et facial yogate to be ready for the battle !
Il va y avoir du sport !
Mais mon coach "so special", c'est Sébastien. Dire que je pensais qu'il n'était qu'une langue très douée qui me réconciliait avec cette caresse là... Comme il a bien fait d'insister pour qu'on s'encanaille davantage ! Enfin, un vrai complice se prêtant au jeu de l'exhibition et du partage, s'improvisant maitre de cérémonie avec un naturel déconcertant, metteur en scène pour public averti, Monsieur Loyal du Grand Cirque de l'Orgie !
Ce jour là, il n'y avait que des hommes, dans le sauna près de la gare. Tous très attirants, rien à jeter, welcome au Paradis, tous la petite quarantaine, et majoritairement noirs, comme un drôle de hasard pour me donner le vertige... Grands, larges, et visiblement affamés, gagnante au super Keno !
Mon complice n'a pas fermé le rideau, il a varié nos positions en nous donnant en spectacle à la monstrueuse escouade aux membres tendus. Ajoutant les mots pour les exciter davantage. " Tu aimes ça, hein, que je te prenne le cul, espèce de salope?"
Doué pour le show.
Premier acte.
Quand je quitte cette première scène, traversant la haie d'honneur des mateurs qui m'accompagne jusqu'aux douches, leurs mains flattent mes fesses, tandis qu'ils me chuchotent des "merci" pour ma performance.
2ème acte.
Dans le sauna, il écarte mes cuisses et les hommes se collent à moi. J'aime ca, j'ai toujours aimé ça, bien davantage que l'assaut, leur objectif à eux, ce sont toutes ces mains, cette multitude, éparpillées sur mon corps, qui me procure de l'ivresse. Je prends conscience que ce ne sont plus ses doigts qui me fouillent. Tu vois, je te connais, déjà je peux reconnaitre ta façon de bouger, de chercher à déclencher ma cascade...
Envie, encore, de retourner dans la cabine aux miroirs, enfermons nous, mais offre moi une nouvelle fois aux regards.
Il me plaque à la grille qui nous sépare de la meute en rut, m'encourageant à sucer, à branler toutes ces bites qui se glissent entre les entrelacs de la ferronnerie. Je ne distingue pas les visages des propriétaires des membres dressés. Les bras comme les tentacules d'un poulpe géant, les mains m'aggrippent, caressent ou pincent mes seins, font rouler mon clito entre leurs doigts, cherchent mon cul... Il me prend comme un sauvage en soulevant mes jambes pour mieux livrer mon sexe à leurs regards concupiscents.
Chienne, et fière.
3ème acte.
Hammam. Ils nous suivent. Seule blanche parmi ces colosses dont je ne distingue que les bas-ventres. À nouveau il écarte largement mes cuisses, et à ce signal, un cercle de queues dressées s'offrent à ma langue. Il veille à ce que tous en profitent, je me sens l'héroïne de ces comics outranciers où des mastodontes ébènes aux attributs phénomènaux remplissent l'unique donzelle qui n'a froid aux yeux. Que ce serait-il passé si j'étais venue seule me jeter dans cette arène ?
Il me pousse vers une autre salle où les malabars nous suivent. Il est incroyable en chef d'orchestre, attentif et directif.
6. " Pas davantage, s'il te plait, ferme la porte !"
Les chanceux sont aux petits soins, les autres se branlent derrière la grille.
Les hommes jouissent vite, comme souvent quand d'autres attendent, et certains ne savent pas le faire sous les regards.
Alors Sébastien les repousse pour l'assaut final et surtout le jet brûlant sur mes seins, que j'avais réclamé, en conclusion.
Sous la douche, je peux enfin les regarder. Je ne saurai pas leurs prénoms, ni qui ils sont. Ils entourent mon compagnon de jeu, le remerciant et le félicitant, mâles se congratulant à coup de high five, et m'honorant du titre de bonne salope.
Il me dira qu'ils lui faisaient pitié, tous là, à se branler, et qu'il aime partager, avec les "frères"...
Notre complicité née d'une vexation, à mon refus d'un second round dans une soirée, lui reprochant sans précipitation malhabile et égoïste, sans prendre le temps d'observer de quel plaisir mon corps avait besoin... Il avait su m'entendre. Et me redonner confiance, en déchirant les couches d'interdits et de complexes dont je m'étais enrobée.
Dans la ruelle, forcément dans un état second.
Je l'ai fait, mon corps en est encore capable !
Piètre victoire, mais comme un checking, une révision des 10 000, un examen de contrôle, un test d'effort...
Ready ? Oh que oui !
Go !
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci, tellement merci, Wooten !
Bonjour SecretLady, toujours très rythmé je vois ☺️.
Et pour ceux qui trouvent qu’il n’y a pas de détails…. Et bien, ils manquent d’imagination ! 😄
C’est vraiment bien 👍
Et pour ceux qui trouvent qu’il n’y a pas de détails…. Et bien, ils manquent d’imagination ! 😄
C’est vraiment bien 👍