OFFERTE À UN VIEUX - Les Aventures de Fabienne récit 03
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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OFFERTE À UN VIEUX - Les Aventures de Fabienne récit 03
OFFERTE À UN VIEUX - Les Aventures de Fabienne récit 03
Pour mémoire, ces aventures érotiques, concept et photographies, me sont confiés par Steph (stefalpin chez HDS), le mari de Fabienne qui me révèle l'histoire sulfureuse de son épouse ; il me communique également les photographies très explicites de celle-ci. Je ne fais que rédiger au mieux ses confidences.
« Il n'y a d'outrageant pour une femme qu'une chose... n'être pas désirée ! ». Sacha Guitry
Fabienne a dû céder à un surveillant de l'école de ses enfants qui en a surpris un, volant de l'argent dans le sac de son institutrice. À son corps défendant, elle a dû effectuer la première fellation de sa vie, et subir un coït sauvage, qui, à sa plus grande honte, lui a fait éprouver une grande jouissance. Un jeune beur qui a pris des photographies vient de la prendre et de la faire jouir, à sa plus grande honte, après un odieux chantage.
Fabienne se mortifie d’avoir autant joui après s’être donnée à Hassan suite au chantage qu’il exerce sur elle. Il l’a prise et reprise de nombreuses fois pendant tout l’après-midi, la faisant hurler de plaisir, tout en l’angoissant de peur que les voisins entendent.
Après son départ, bien qu’ayant joui comme une damnée, elle s’écroule en pleurs sur le lit conjugal qu’elle a souillé malgré elle. La honte qu’elle éprouve à s’être montrée nue à ce jeune homme qui a déversé son sperme au fond de sa gorge, qui a vu, en gros plan ses parties intimes lorsqu’il lui mangeait littéralement les lèvres de son vagin et son clitoris font monter le rouge à toute sa figure. Elle pleure sur la jouissance ressentie au sexe imposant qui a labouré ses chairs, alors qu’elle projetait son ventre vers le pubis de celui qui la besognait sans interruption, elle pleure, parce qu’elle a entouré le torse d’Hassan de ses jambes nouées pour le sentir encore plus profond en elle. Son mari ne l’a jamais contenté de la sorte ; il est vrai qu’elle est réticente à lui faire des fellations et qu’elle n’a jamais accepté qu’il contemple ses parties intimes, car elle exige de faire l’amour dans le noir le plus complet. Encore moins qu’il puisse appliquer ses lèvres sur sa vulve et son clitoris. Elle s’est vraiment conduite comme une dévergondée cet après-midi, mais c’était tellement bon.
À cette évocation, Fabienne, qui a une montée de désir dans tout son être, se révolte et se réfugie dans son missel, priant Dieu de lui ôter ses vilaines pensées. Elle envisage un moment de se confier à son frère aîné, Jérôme, qui est toujours fourré à l’élise et enseigne le catéchisme aux petits de la paroisse, mais elle a peur de sa réaction et de son opprobre. Aussi, elle décide de se rendre à l’église de son quartier, où elle suit assidûment les offices du dimanche. Elle se rend au presbytère et demande à voir l’abbé Denis, le jeune curé de l’église paroissiale. Celui-ci est un grand et beau trentenaire, d’origine martiniquaise qui reçoit Fabienne avec un grand sourire. Elle se sent tout intimidée lorsqu’elle lui demande s’il peut la confesser.
L’abbé Denis accepte immédiatement, puis, la précédant, il l’entraîne vers le confessionnal qui se trouve derrière une arche de l’église, dans un recoin sombre. Elle se confie alors, expliquant le larcin de son enfant et le chantage qui en a suivi. L’abbé lui demande des détails sur ce qui s’est passé réellement, insistant sur ce qu’elle a ressentit. Avec beaucoup de mal, elle décrit ce qu’elle a été obligée de faire au surveillant de l’école et la volupté qui, sans qu’elle le veuille le moins du monde, a envahit tout son être. Mais, le curé veut en savoir plus. Alors, elle décrit le chantage éhonté auquel s’est livré Hassan, que, d’ailleurs l’abbé Denis connaît bien, car c’est une famille catholique, assez rare dans cette communauté. La pauvre femme est troublée par les questions indiscrètes, même parfois insidieuses du jeune curé. Elle ne peut que dire la vérité à ce serviteur de Dieu. Elle est ainsi obligée d’avouer qu’elle s’est délecté des baisers échangés avec le jeune beur, qu’elle a ressenti avec bonheur ses seins embrassés et les tétons de ceux-ci sucés par la bouche d’Hassan. Qu’elle a ouvert ses cuisses sans hésitations lorsque le jeune homme a dévoré ses parties intimes et qu’elle a hurlé de joie lorsqu’il l’a possédé de son sexe bien dur.
Lorsque Fabienne sort du confessionnal, avec les pénitences qu’elle doit effectuer, elle est décontenancée et alarmée par les questions dérangeantes que l’abbé lui a posées. Elle se dit qu’elle va avouer sa faute à son mari. Que celui-ci comprendra qu’elle a accepté de coucher avec ces hommes pour sauver l’honneur de la famille. Alors qu’elle prend un raccourci par une ruelle sombre, derrière une usine désaffectée, elle se trouve nez à nez avec Hassan. Celui-ci ne lui laisse pas le temps de se reprendre. L’agrippant par le col de sa veste, il l’a fait s’agenouiller, puis, dégrafant vite fait son jean, il en sort son pénis et le fourre, tout de go, dans la bouche de Fabienne qui, le mandrin au fond de sa gorge, n’a pas le loisir de protester. Hassan se sert de son sexe, enfoui dans le gosier de sa proie, comme s’il la baisait dans sa chatte ou son cul, entrant et sortant dans un va-et-vient rapide et brutal. Des larmes jaillissent des jolis yeux bleus de Fabienne, qui a des hauts le cœur en ingurgitant l’épaisse pine qui déverse bientôt son foutre abondant, qui déborde des jolies lèvres et s’écoule dans son et sur son corsage.
Hassan la relevant, un peu brutalement, lui fiche un gros sac en papier dans ses bras et lui lance.
- demain à 13 heures près du lac, où tu t’es fait tringlé par Paulin l’autre jour. Tu mets ces nippes, avec des bas et t’avises pas d’être en retard, sinon les photos à ton mari !
Fabienne est ahurie par la brutalité du garçon, qui pourtant, lui a fait l’amour très gentiment la veille. Elle pleure à gros sanglots sur ce qu’elle vient de vivre, mais aussi sur l’indignité qui est la sienne. Elle sait qu’elle n’a d’autre choix que de lui obéir, car tout son entourage risque d’être au courant.
Résignée à devoir encore une fois lui céder, elle regarde, comme toute femme curieuse le contenu du sac que Hassan lui a jeté. Elle découvre alors une robe chamarrée en satin de soie, un genre de kimono noir où se mélangent des fleurs blanche et rouge, ainsi qu’un slip minimaliste noir et une brassière-caraco courte en dentelles de même couleur de même couleur. En contemplant cette robe tape à l’œil et les sous-vêtements suggestifs qu’elle va porter pour aller se vautrer dans le stupre, elle ne peut s’empêcher d’avoir des frissons, se comparant à une putain de maison close. Elle sent dans son ventre une sensation étrange, ses seins sont gonflés et les pointes de ses tétons ont durci brusquement. Un désir, inconnu à ce jour envahit son corps. Mais que lui arrive-t-il ?
Le lendemain, vers midi, elle s’apprête pour aller encore une fois se faire « tringler » comme dirait Hassan. Elle prend un bain chaud parfumé, se lave de fond en comble, insistant sur son entrejambe, enfouissant même l’éponge tout au fond de son vagin, afin d’être impeccable pour la langue qui, immanquablement va s’introduire à l’intérieur. Tout en songeant à ce que Hassan va lui faire, elle éprouve une euphorie voluptueuse, resserrant les cuisses soudainement à la jouissance qui vient de la gagner. Ce peut-il quelle devienne une vraie salope ? Elle n’a même pas fait les neuvaines prescrites et récitées les vingt Pater que l’abbé lui a infligé.
Pour l’instant, elle ne veut pas réfléchir, elle enfile les sous-vêtements sexy qu’on lui impose, enfile des Dim Up auto-fixants, puis elle ajuste la robe kimono et chausse une paire d’escarpins noirs. Elle se contemple dans la grande glace de la chambre à coucher, ne se reconnaissant pas dans cette tenue audacieuse.
Lorsqu’elle rejoint l’endroit où Paulin lui avait donné rendez-vous, tout près du lac, elle est tout de même anxieuse. Hassan va-t-il vouloir lui faire l’amour dans la clairière du bois où elle a connu son presque viol ? Où a-t-il l’intention de l’emmener ailleurs ? Justement celui arrive dans un van Volkswagen de couleur noir aux vitres teintées. Il descend de la voiture, puis s’approchant de Fabienne, il lui passe un bandeau épais sur les yeux, le modèle fourni dans les avions pour pouvoir dormir. Il lui précise qu’en aucun cas, elle ne devra l’enlever. Puis ouvrant la porte coulissante à l’arrière du van, il la fait monter et asseoir sur la banquette arrière.
Fabienne est angoissée, son cœur bat à toute vitesse ; elle sent l’odeur d’un parfum d’homme très connu qui a envahi l’habitacle. Ce ne peut être celui d’Hassan, car le jeune homme ne se parfume pas, elle l’a bien remarqué. Elle n’ose bouger et tient ses jambes bien serrées l’une contre l’autre, lorsque une main se pose sur son épaule. Elle pousse un cri de surprise, vite interrompu par Hassan.
- Tais-toi la bourgeoise ! C’est mon ami Arno à qui je t’ai prêté pour l’après-midi. Tu te laisses faire ou tu auras à faire à moi.
Fabienne est terrorisée. Encore un autre homme qui va profiter d’elle. Cela ne finira donc jamais.
Hassan reprend.
- C’est Arno qui t’a acheté ta robe et tes dessous. Alors soit gentille avec lui.
En fait, cet Arno se nomme Aymeric de Langres, il a soixante-huit ans, conseiller général et maire de la commune de Ruffac, où sa famille possède un château depuis des siècles. Il a régularisé, en tant qu'ancien officier ayant servi au Maroc, les papiers de plusieurs membres de la famille de Hassan, lui-même « beur », né en France de parents marocains ; son père ayant été en outre l’ancienne ordonnance du commandant de Langres. Par reconnaissance, Hassan livre souvent des jeunes filles ou des femmes à Aymeric, pour qu'il en fasse ce qu'il veut. Ce dernier, grand coquin devant l’éternel, profite abusivement de sa situation pour trousser tout ce qui passe dans sa région.
Fabienne est tendue comme une peau de tambour. La main de cet Arno, caresse son épaule en descendant sur le bras lentement. Ses gestes sont très doux la faisant se détendre quelque peu. Soudain, la main s’aventure sur sa poitrine, qu’elle presse au travers du tissu soyeux. Fabienne ne peut retenir un gémissement de panique, craignant d’être violée dans cette voiture qui roule vers l’inconnu. L’homme lui caresse à présent les genoux découverts, car sa robe sans être trop courte, arrive à cette hauteur. Très doucement, sans la forcer, il les écarte et faufile sa main entre ses cuisses. Fabienne a un sursaut d’inquiétude malgré la douceur de la caresse. Pourtant, la main ne cherche pas à atteindre son slip, elle se contente de toucher légèrement le haut de ses cuisses, là ou le haut du bas se termine. La tension qu’éprouvait Fabienne retombe, elle frémit sous les attouchements, s’attendant tout de même au pire.
Le véhicule s’engage sur l’autoroute, et après une trentaine de kilomètres, il se dirige vers la sortie et le péage. Puis, s’engageant sur une route secondaire, Hassan qui conduit le van s’engage dans une grande allée qui, au bout de deux ou trois kilomètres fait place à un château du XVIe siècle, parfaitement entretenu. Arno/Aymeric, aide sa passagère à descendre, car celle-ci ne voit absolument rien au travers le bandeau qui couvre ses yeux. Hassan repart, promettant de revenir dans quatre heures.
Aymeric mène Fabienne à l’intérieur de son château. Il la mène dans la grande salle où les tapisseries armoriées de sa famille témoignent de l’ancienneté de la noblesse de sa « maison ». Le vieil aristocrate contemple avec avidité la mère de famille qu’il va déguster très lentement, supputant déjà le plaisir qu’il va ressentir à la dévêtir petit à petit jusqu’à ce qu’elle soit entièrement nue. Fabienne est prise de tremblements ; elle panique soudain du silence présent dans cette immense salle qu’elle ne peur deviner. Que va-t-on exiger d’elle ? Cet homme, Arno, l’ami du beur qui la fait chanter, va-t-il la violenter ou être gentil. Elle se sent complètement désemparée lorsque l’homme lui prend une main et la fait se tourner sur elle-même. Certainement qu’il la contemple dans sa robe chamarrée. Comme le « petit chaperon rouge », va-t-il « la manger mon enfant » ?
Soudain, l’homme la lâche et vient se poster derrière elle, mettant ses mains sur les épaules de Fabienne. Elle sent son ventre qui lui paraît grassouillet et son sexe bandé qui se presse entre ses deux fesses. Il se frotte contre son postérieur, tout en baissant les bretelles de sa robe, et enfin, il fait glisser la robe au sol. Fabienne se retrouve avec son caraco, son soutien-gorge et son slip, presque nue devant l’homme qui va profiter d’elle. Justement, le dénommé Arno l’entraîne à sa suite dans un escalier, aux marches disjointes, qui descend dans une profondeur insoupçonnée. Elle ne peut le voir, heureusement, car l’homme vient d’entrer dans une pièce voutée, toute de pierres brutes ; certainement, un ancien cachot des temps médiévaux.
Aymeric, puisqu’il s’agit bien de lui, glisse sa main droite à l’intérieur de son soutien-gorge, emprisonnant les globes de ses seins en les malaxant, puis de sa main gauche, il faufile ses doigts dans l’interstice de la fine culotte, caressant la vulve de Fabienne qui ne peut se retenir de pousser un gémissement devant l’attaque brutale de son intimité. L’homme lui enlève les derniers remparts de sa vertu, et elle se retrouve nue devant lui, hors ses bas, alors que lui a enlevé sa chemise et baissé slip et pantalon. Elle sent son ventre bedonnant appliqué sur son derrière, ainsi que son gros sexe qui s’est glissé entre ses cuisses, alors que l’homme, derrière elle, la maintenant cambrée, lui malaxe la poitrine et pince fortement ses tétons d’une main, alors que de l’autre, il masturbe avec habilité, vagin et clitoris à sa portée.
Fabienne, essaie bien de repousser avec sa main le ventre de l’homme qui est plaqué sur son postérieur, mais celui-ci a plongé ses doigts dans sa moule, qui devient plus qu’humide, le clapotis de la mouille produite pas l’excitation, ne pouvant cacher le plaisir que la femme ressent. Elle est honteuse que ses sens ne puissent résister à la masturbation habile de l’homme qu’elle soupçonne d’être d’un certain âge, alors que son jeune amant, n’a certainement eu aucun état d’âme à l’offrir ainsi.
Aymeric, dirige sa victime vers une grande table en chêne, puis, il la bascule, l’allongeant sur le dos sur le bois brut, et tout en embrassant sa poitrine largement étalée sous ses lèvres, il écarte ses cuisses de son autre main, et il continue à lui masturber sa chatte, titillant le clitoris gonflé, et arrachant à la jeune femme des gémissements inarticulés.
Enfin, se présentant devant les cuisses largement écartées, il enfouit sa langue entre les grandes lèvres du vagin, dégoulinant de la cyprine qu’il lèche et absorbe avec ce qu’il semble un certain délice. Puis, de sa langue, il écarte le capuchon du clitoris, à présent dressé comme une petite bite, et de ses lèvres serrées, il le suce délicatement. Fabienne essaie bien de se dégager, sa jouissance devenant insupportable, mais Edmond a encerclé ses cuisses de ses mains, la maintenant solidement sur la table, pour l’amener au plaisir suprême.
Fabienne jouit sans interruption, comblée comme elle ne l’a jamais été, souriant enfin au plaisir intense qu’elle ressent…
À suivre
Pour mémoire, ces aventures érotiques, concept et photographies, me sont confiés par Steph (stefalpin chez HDS), le mari de Fabienne qui me révèle l'histoire sulfureuse de son épouse ; il me communique également les photographies très explicites de celle-ci. Je ne fais que rédiger au mieux ses confidences.
« Il n'y a d'outrageant pour une femme qu'une chose... n'être pas désirée ! ». Sacha Guitry
Fabienne a dû céder à un surveillant de l'école de ses enfants qui en a surpris un, volant de l'argent dans le sac de son institutrice. À son corps défendant, elle a dû effectuer la première fellation de sa vie, et subir un coït sauvage, qui, à sa plus grande honte, lui a fait éprouver une grande jouissance. Un jeune beur qui a pris des photographies vient de la prendre et de la faire jouir, à sa plus grande honte, après un odieux chantage.
Fabienne se mortifie d’avoir autant joui après s’être donnée à Hassan suite au chantage qu’il exerce sur elle. Il l’a prise et reprise de nombreuses fois pendant tout l’après-midi, la faisant hurler de plaisir, tout en l’angoissant de peur que les voisins entendent.
Après son départ, bien qu’ayant joui comme une damnée, elle s’écroule en pleurs sur le lit conjugal qu’elle a souillé malgré elle. La honte qu’elle éprouve à s’être montrée nue à ce jeune homme qui a déversé son sperme au fond de sa gorge, qui a vu, en gros plan ses parties intimes lorsqu’il lui mangeait littéralement les lèvres de son vagin et son clitoris font monter le rouge à toute sa figure. Elle pleure sur la jouissance ressentie au sexe imposant qui a labouré ses chairs, alors qu’elle projetait son ventre vers le pubis de celui qui la besognait sans interruption, elle pleure, parce qu’elle a entouré le torse d’Hassan de ses jambes nouées pour le sentir encore plus profond en elle. Son mari ne l’a jamais contenté de la sorte ; il est vrai qu’elle est réticente à lui faire des fellations et qu’elle n’a jamais accepté qu’il contemple ses parties intimes, car elle exige de faire l’amour dans le noir le plus complet. Encore moins qu’il puisse appliquer ses lèvres sur sa vulve et son clitoris. Elle s’est vraiment conduite comme une dévergondée cet après-midi, mais c’était tellement bon.
À cette évocation, Fabienne, qui a une montée de désir dans tout son être, se révolte et se réfugie dans son missel, priant Dieu de lui ôter ses vilaines pensées. Elle envisage un moment de se confier à son frère aîné, Jérôme, qui est toujours fourré à l’élise et enseigne le catéchisme aux petits de la paroisse, mais elle a peur de sa réaction et de son opprobre. Aussi, elle décide de se rendre à l’église de son quartier, où elle suit assidûment les offices du dimanche. Elle se rend au presbytère et demande à voir l’abbé Denis, le jeune curé de l’église paroissiale. Celui-ci est un grand et beau trentenaire, d’origine martiniquaise qui reçoit Fabienne avec un grand sourire. Elle se sent tout intimidée lorsqu’elle lui demande s’il peut la confesser.
L’abbé Denis accepte immédiatement, puis, la précédant, il l’entraîne vers le confessionnal qui se trouve derrière une arche de l’église, dans un recoin sombre. Elle se confie alors, expliquant le larcin de son enfant et le chantage qui en a suivi. L’abbé lui demande des détails sur ce qui s’est passé réellement, insistant sur ce qu’elle a ressentit. Avec beaucoup de mal, elle décrit ce qu’elle a été obligée de faire au surveillant de l’école et la volupté qui, sans qu’elle le veuille le moins du monde, a envahit tout son être. Mais, le curé veut en savoir plus. Alors, elle décrit le chantage éhonté auquel s’est livré Hassan, que, d’ailleurs l’abbé Denis connaît bien, car c’est une famille catholique, assez rare dans cette communauté. La pauvre femme est troublée par les questions indiscrètes, même parfois insidieuses du jeune curé. Elle ne peut que dire la vérité à ce serviteur de Dieu. Elle est ainsi obligée d’avouer qu’elle s’est délecté des baisers échangés avec le jeune beur, qu’elle a ressenti avec bonheur ses seins embrassés et les tétons de ceux-ci sucés par la bouche d’Hassan. Qu’elle a ouvert ses cuisses sans hésitations lorsque le jeune homme a dévoré ses parties intimes et qu’elle a hurlé de joie lorsqu’il l’a possédé de son sexe bien dur.
Lorsque Fabienne sort du confessionnal, avec les pénitences qu’elle doit effectuer, elle est décontenancée et alarmée par les questions dérangeantes que l’abbé lui a posées. Elle se dit qu’elle va avouer sa faute à son mari. Que celui-ci comprendra qu’elle a accepté de coucher avec ces hommes pour sauver l’honneur de la famille. Alors qu’elle prend un raccourci par une ruelle sombre, derrière une usine désaffectée, elle se trouve nez à nez avec Hassan. Celui-ci ne lui laisse pas le temps de se reprendre. L’agrippant par le col de sa veste, il l’a fait s’agenouiller, puis, dégrafant vite fait son jean, il en sort son pénis et le fourre, tout de go, dans la bouche de Fabienne qui, le mandrin au fond de sa gorge, n’a pas le loisir de protester. Hassan se sert de son sexe, enfoui dans le gosier de sa proie, comme s’il la baisait dans sa chatte ou son cul, entrant et sortant dans un va-et-vient rapide et brutal. Des larmes jaillissent des jolis yeux bleus de Fabienne, qui a des hauts le cœur en ingurgitant l’épaisse pine qui déverse bientôt son foutre abondant, qui déborde des jolies lèvres et s’écoule dans son et sur son corsage.
Hassan la relevant, un peu brutalement, lui fiche un gros sac en papier dans ses bras et lui lance.
- demain à 13 heures près du lac, où tu t’es fait tringlé par Paulin l’autre jour. Tu mets ces nippes, avec des bas et t’avises pas d’être en retard, sinon les photos à ton mari !
Fabienne est ahurie par la brutalité du garçon, qui pourtant, lui a fait l’amour très gentiment la veille. Elle pleure à gros sanglots sur ce qu’elle vient de vivre, mais aussi sur l’indignité qui est la sienne. Elle sait qu’elle n’a d’autre choix que de lui obéir, car tout son entourage risque d’être au courant.
Résignée à devoir encore une fois lui céder, elle regarde, comme toute femme curieuse le contenu du sac que Hassan lui a jeté. Elle découvre alors une robe chamarrée en satin de soie, un genre de kimono noir où se mélangent des fleurs blanche et rouge, ainsi qu’un slip minimaliste noir et une brassière-caraco courte en dentelles de même couleur de même couleur. En contemplant cette robe tape à l’œil et les sous-vêtements suggestifs qu’elle va porter pour aller se vautrer dans le stupre, elle ne peut s’empêcher d’avoir des frissons, se comparant à une putain de maison close. Elle sent dans son ventre une sensation étrange, ses seins sont gonflés et les pointes de ses tétons ont durci brusquement. Un désir, inconnu à ce jour envahit son corps. Mais que lui arrive-t-il ?
Le lendemain, vers midi, elle s’apprête pour aller encore une fois se faire « tringler » comme dirait Hassan. Elle prend un bain chaud parfumé, se lave de fond en comble, insistant sur son entrejambe, enfouissant même l’éponge tout au fond de son vagin, afin d’être impeccable pour la langue qui, immanquablement va s’introduire à l’intérieur. Tout en songeant à ce que Hassan va lui faire, elle éprouve une euphorie voluptueuse, resserrant les cuisses soudainement à la jouissance qui vient de la gagner. Ce peut-il quelle devienne une vraie salope ? Elle n’a même pas fait les neuvaines prescrites et récitées les vingt Pater que l’abbé lui a infligé.
Pour l’instant, elle ne veut pas réfléchir, elle enfile les sous-vêtements sexy qu’on lui impose, enfile des Dim Up auto-fixants, puis elle ajuste la robe kimono et chausse une paire d’escarpins noirs. Elle se contemple dans la grande glace de la chambre à coucher, ne se reconnaissant pas dans cette tenue audacieuse.
Lorsqu’elle rejoint l’endroit où Paulin lui avait donné rendez-vous, tout près du lac, elle est tout de même anxieuse. Hassan va-t-il vouloir lui faire l’amour dans la clairière du bois où elle a connu son presque viol ? Où a-t-il l’intention de l’emmener ailleurs ? Justement celui arrive dans un van Volkswagen de couleur noir aux vitres teintées. Il descend de la voiture, puis s’approchant de Fabienne, il lui passe un bandeau épais sur les yeux, le modèle fourni dans les avions pour pouvoir dormir. Il lui précise qu’en aucun cas, elle ne devra l’enlever. Puis ouvrant la porte coulissante à l’arrière du van, il la fait monter et asseoir sur la banquette arrière.
Fabienne est angoissée, son cœur bat à toute vitesse ; elle sent l’odeur d’un parfum d’homme très connu qui a envahi l’habitacle. Ce ne peut être celui d’Hassan, car le jeune homme ne se parfume pas, elle l’a bien remarqué. Elle n’ose bouger et tient ses jambes bien serrées l’une contre l’autre, lorsque une main se pose sur son épaule. Elle pousse un cri de surprise, vite interrompu par Hassan.
- Tais-toi la bourgeoise ! C’est mon ami Arno à qui je t’ai prêté pour l’après-midi. Tu te laisses faire ou tu auras à faire à moi.
Fabienne est terrorisée. Encore un autre homme qui va profiter d’elle. Cela ne finira donc jamais.
Hassan reprend.
- C’est Arno qui t’a acheté ta robe et tes dessous. Alors soit gentille avec lui.
En fait, cet Arno se nomme Aymeric de Langres, il a soixante-huit ans, conseiller général et maire de la commune de Ruffac, où sa famille possède un château depuis des siècles. Il a régularisé, en tant qu'ancien officier ayant servi au Maroc, les papiers de plusieurs membres de la famille de Hassan, lui-même « beur », né en France de parents marocains ; son père ayant été en outre l’ancienne ordonnance du commandant de Langres. Par reconnaissance, Hassan livre souvent des jeunes filles ou des femmes à Aymeric, pour qu'il en fasse ce qu'il veut. Ce dernier, grand coquin devant l’éternel, profite abusivement de sa situation pour trousser tout ce qui passe dans sa région.
Fabienne est tendue comme une peau de tambour. La main de cet Arno, caresse son épaule en descendant sur le bras lentement. Ses gestes sont très doux la faisant se détendre quelque peu. Soudain, la main s’aventure sur sa poitrine, qu’elle presse au travers du tissu soyeux. Fabienne ne peut retenir un gémissement de panique, craignant d’être violée dans cette voiture qui roule vers l’inconnu. L’homme lui caresse à présent les genoux découverts, car sa robe sans être trop courte, arrive à cette hauteur. Très doucement, sans la forcer, il les écarte et faufile sa main entre ses cuisses. Fabienne a un sursaut d’inquiétude malgré la douceur de la caresse. Pourtant, la main ne cherche pas à atteindre son slip, elle se contente de toucher légèrement le haut de ses cuisses, là ou le haut du bas se termine. La tension qu’éprouvait Fabienne retombe, elle frémit sous les attouchements, s’attendant tout de même au pire.
Le véhicule s’engage sur l’autoroute, et après une trentaine de kilomètres, il se dirige vers la sortie et le péage. Puis, s’engageant sur une route secondaire, Hassan qui conduit le van s’engage dans une grande allée qui, au bout de deux ou trois kilomètres fait place à un château du XVIe siècle, parfaitement entretenu. Arno/Aymeric, aide sa passagère à descendre, car celle-ci ne voit absolument rien au travers le bandeau qui couvre ses yeux. Hassan repart, promettant de revenir dans quatre heures.
Aymeric mène Fabienne à l’intérieur de son château. Il la mène dans la grande salle où les tapisseries armoriées de sa famille témoignent de l’ancienneté de la noblesse de sa « maison ». Le vieil aristocrate contemple avec avidité la mère de famille qu’il va déguster très lentement, supputant déjà le plaisir qu’il va ressentir à la dévêtir petit à petit jusqu’à ce qu’elle soit entièrement nue. Fabienne est prise de tremblements ; elle panique soudain du silence présent dans cette immense salle qu’elle ne peur deviner. Que va-t-on exiger d’elle ? Cet homme, Arno, l’ami du beur qui la fait chanter, va-t-il la violenter ou être gentil. Elle se sent complètement désemparée lorsque l’homme lui prend une main et la fait se tourner sur elle-même. Certainement qu’il la contemple dans sa robe chamarrée. Comme le « petit chaperon rouge », va-t-il « la manger mon enfant » ?
Soudain, l’homme la lâche et vient se poster derrière elle, mettant ses mains sur les épaules de Fabienne. Elle sent son ventre qui lui paraît grassouillet et son sexe bandé qui se presse entre ses deux fesses. Il se frotte contre son postérieur, tout en baissant les bretelles de sa robe, et enfin, il fait glisser la robe au sol. Fabienne se retrouve avec son caraco, son soutien-gorge et son slip, presque nue devant l’homme qui va profiter d’elle. Justement, le dénommé Arno l’entraîne à sa suite dans un escalier, aux marches disjointes, qui descend dans une profondeur insoupçonnée. Elle ne peut le voir, heureusement, car l’homme vient d’entrer dans une pièce voutée, toute de pierres brutes ; certainement, un ancien cachot des temps médiévaux.
Aymeric, puisqu’il s’agit bien de lui, glisse sa main droite à l’intérieur de son soutien-gorge, emprisonnant les globes de ses seins en les malaxant, puis de sa main gauche, il faufile ses doigts dans l’interstice de la fine culotte, caressant la vulve de Fabienne qui ne peut se retenir de pousser un gémissement devant l’attaque brutale de son intimité. L’homme lui enlève les derniers remparts de sa vertu, et elle se retrouve nue devant lui, hors ses bas, alors que lui a enlevé sa chemise et baissé slip et pantalon. Elle sent son ventre bedonnant appliqué sur son derrière, ainsi que son gros sexe qui s’est glissé entre ses cuisses, alors que l’homme, derrière elle, la maintenant cambrée, lui malaxe la poitrine et pince fortement ses tétons d’une main, alors que de l’autre, il masturbe avec habilité, vagin et clitoris à sa portée.
Fabienne, essaie bien de repousser avec sa main le ventre de l’homme qui est plaqué sur son postérieur, mais celui-ci a plongé ses doigts dans sa moule, qui devient plus qu’humide, le clapotis de la mouille produite pas l’excitation, ne pouvant cacher le plaisir que la femme ressent. Elle est honteuse que ses sens ne puissent résister à la masturbation habile de l’homme qu’elle soupçonne d’être d’un certain âge, alors que son jeune amant, n’a certainement eu aucun état d’âme à l’offrir ainsi.
Aymeric, dirige sa victime vers une grande table en chêne, puis, il la bascule, l’allongeant sur le dos sur le bois brut, et tout en embrassant sa poitrine largement étalée sous ses lèvres, il écarte ses cuisses de son autre main, et il continue à lui masturber sa chatte, titillant le clitoris gonflé, et arrachant à la jeune femme des gémissements inarticulés.
Enfin, se présentant devant les cuisses largement écartées, il enfouit sa langue entre les grandes lèvres du vagin, dégoulinant de la cyprine qu’il lèche et absorbe avec ce qu’il semble un certain délice. Puis, de sa langue, il écarte le capuchon du clitoris, à présent dressé comme une petite bite, et de ses lèvres serrées, il le suce délicatement. Fabienne essaie bien de se dégager, sa jouissance devenant insupportable, mais Edmond a encerclé ses cuisses de ses mains, la maintenant solidement sur la table, pour l’amener au plaisir suprême.
Fabienne jouit sans interruption, comblée comme elle ne l’a jamais été, souriant enfin au plaisir intense qu’elle ressent…
À suivre
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Superbement excitant et bien écrit