Offerte avec mon approbation 1/4
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-10-2024 dans la catégorie Plus on est
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Offerte avec mon approbation 1/4
Bon, je vais faire court :
1) La chronologie de mes récits n'est plus respectée et je m'en excuse.
2) Mettez un préservatif !
3) J'espère que vous allez kiffer ce texte.
Je viens de retrouver une histoire que j'avais écrite il y a quelques temps.
Un fantasme ?
Une envie ?
Un rêve ?
Un projet d'avenir ?
J'en ai point la moindre idée !
Voici l'histoire :
Offerte avec mon approbation
Aziz me délaisse depuis quelques temps. Il n’est plus aussi assidu au lit que lors de nos premières années ensemble, qui remontent à dix ans.
Il était directeur de l’hôtel qui possède un centre thermal où je faisais un stage d’été pour mes études de physiothérapie. Cela avait été un coup de foudre. Il faut dire que c’est un géant de presque deux mètres, fort et blond aux yeux miel-vert.
J’étais tombée raide dingue dès le premier jour.
J’avais une petite chambre d’employés.
Le soir, seule, je pensais à lui.
Soudain on avait frappé à la porte.
En ouvrant la porte, c’était lui qui venait perturbé ma soirée. En fait, il m’avait suivie mais avait hésité longtemps avant de venir...
Il n’avait eu que le temps de dire « salut »... je l’avais fait entrer et aussitôt, comme j’étais en peignoir, je lui ai, sans trop réfléchir, découvert mon corps.
- Aah ouais direct ? Avait-il dit.
- Je sais ce n’est pas romantique, mais j’ai juste envie de toi. Tu es trop à mon goût !
Il avait ouvert sa braguette. Il ne portait pas de slip. Son sexe était très gros. J’ai eu, après, tout le temps d’en mesurer l’harmonie de cette verge : 17cm /5 de circonférence. Il bandait fort, formant un angle de 90° avec le pubis très poilu et sa bite remontait très légèrement à la fin de la hampe vers le gland énorme, tout rond, sans relief.
J’avais aussitôt sucé le gros nœud puis il m’avait couché sur le lit et sans préliminaire m’avait enfilé. Il m’avait sauté en missionnaire. Au moment de jouir, il s’était retiré et allongé sur le dos. Je m’étais vite mise au dessus de son visage pour qu’il me bouffe la raie le temps que je l’achève à la main.
Il éjacula comme un taureau. Ce fut une fontaine à sperme. Le geyser monta très haut m’éclaboussant les seins, retombant en une pluie abondante sur les cuisses, les poils, la pine.
Nous n’eûmes rien d’autre à dire. Nous fûmes amants dès ce jour-là. Mon stage fini, il me rejoignit dans la banlieue tunisoise où nous élûmes domicile immédiatement après notre mariage.
Pendant les premières années, la baise fut au menu de tous les jours et même plusieurs fois par jour.
Le soir c’était de longues séances chaudes où il se montrait très endurant; parfois, le matin, quand j’étais nue dans la salle de bain il me prenait par derrière pendant que je me tenais au lavabo et me niquait rapidement.
Je m’aidais alors de mes doigts sur le clito pour venir en même temps que lui. Cela durait cinq minutes et le soir il me reprenait plus lentement et dans toutes les positons. Quand j’avais mes règles, il me prenait dans le cul.
Bref, nous avions une vie sexuelle très épanouie.
Mais depuis quelques mois, il était beaucoup moins demandeur. Je lui avais demandé s’il y avait une autre femme. Il m’avait répondu :
- Non Asma, rassures-toi, c’est juste un peu de fatigue !
Mais cette fatigue durait beaucoup trop à mon goût. Je soupçonnais une maîtresse, une double vie, que sais-je encore...
Ce fut un samedi soir que tout se décanta.
D’habitude, nous sortions, au ciné, ou chez des amis, ou au resto... mais ce soir là j’avais vraiment envie de me faire prendre. Il ne m’avait quasiment pas baisée de la semaine et j’accusais un manque.
J’ai donc prétexté le mauvais temps (il pleuvait des cordes) et une tonne de linge à repasser pour rester à l’appart. Après le diner, Je me suis déshabillée et ai enfilé ma nuisette la plus transparente et la plus courte, sans aucun sous-vêtement pour exciter mon mari. Puis je me suis installée dans notre petit salon, et je me suis mise au travail.
Aziz est assis en face de moi, sur le canapé, et il a ouvert l’ordi pour regarder ses mails et que sais-je d’autre. Pour le moment, le subterfuge ne marche pas. Autrefois, rien que de me voir si peu vêtue, il se serait jetée sur moi et m’aurait niqué longuement....
Tout à coup, on sonne à la porte.
- Tu attends quelqu’un ?
- Non ? Et toi ?
- Non. Tu vas voir mon chéri ?
- J’y vais.
Aziz se lève, sort du salon pour ouvrir la porte. J’entends la conversation. C’est Walid, notre jeune voisin étudiant qui loue le petit studio d’en face et avec qui nous avions un peu sympathisé.
- Salut Aziz, j’te dérange pas ?
- Non.
- Tu peux me rendre un service ? J’ai une fuite... Tu aurais du matos à me prêter.
- Pas de souci. Je vais chercher ma boîte à outils et je suis à toi. !... Chérie? Tu as entendu? Je vais chez Walid.
- OK !
Au bout de quelques minutes, comme j’en avais marre d’attendre, je choisis d’aller sur l’ordi pour mettre de la musique.
Sa fenêtre de Facebook était affichée sur l’écran et je dois donc, de la réduire pour accéder à mon application. C’est alors que je remarque qu’une autre fenêtre était ouverte. Il y est écrit :
"gang bang creampie".
J’ouvre...
Je tombe sur une page d’un célèbre site porno où un film bat son plein. Le petit salaud ! Il consulte son profile tout en regardant un film de cul dont il avait coupé le son.
Je ne suis pas fan du porno moi-même. Cela ne me fait rien qu’Aziz en regarde même si c’était une surprise car je ne m’en doutais pas. Ce qui me chagrine c’est de voir qu’il préfére mater du X plutôt que de me baiser.
La fille, sur l’image était en train de se faire prendre en missionnaire. De pus, elle avait une bite dans chaque main et une dans la bouche. Ses gros seins étaient couverts de sperme et elle en avait aussi sur le visage et les poils de la chatte.
Au bout de quelques secondes, le mec qu’elle suçait se vida les couilles sur elle.
Je ne suis pas plus loin dans le visionnage. J’ai compris le principe. Je choisi d’explorer le site.
En haut de la page à gauche, il y avait l’avatar de mon mari. C’est une photo de moi, sans mon visage, nue, allongée, les jambes bien écartées et les nichons nappés de jute.
Je me souviens qu’il y a quelques mois, après une chaude séance, il avait pris son téléphone et m’avait photographiée par surprise. Je lui avais demandé de l’effacer...
Je regardai ses playlists : "Gang bang, sharing my wife, femmes enceinte...."
Comme le dépannage de plomberie durait chez Walid, je me mise à lire les commentaires qu’il avait postés sur les films de cul où des femmes se faisaient déboiter par les amis de leurs maris :
"J’aimerais bien offrir ma femme comme cela.. C’est mon fantasme... Si je pouvais faire la même chose...".
Les commentaires étaient les mêmes avec les gang bangs :
"Cela me fait bander grave... j’aimerais que ma femme se fasse prendre par des potes ou des inconnus...".
Bref, chaque scène était assortie par ce type d’expressions où j’étais mise en avant.
Il a aussi noué des dialogues avec d’autres internautes. L’un lui demandait :
"Tu veux pas venir baiser ma femme avec d’autres potes ?"
Ce à quoi il avait répondu :
"Non, ça ne m’intéresse pas. Ce que je voudrais ce n’est pas baiser une autre femme, c’est que ma femme soit baisée par d’autres".
Le mec répondait :
"Suis open pour venir baiser ta femme"
- Cela va pas être possible.
- Pourquoi ?
- Je ne lui en ai jamais parlé.
- Elle est coincée ?
- Non, mais j’ai jamais osé.
- Et c’est un bon coup ?
- Ah, vachement, une super affaire au lit. Les mecs regretteraient pas je t‘assure.
- Elle est vraiment bonne ?
- A fond !
- Putain, dommage... Si un jour tu arrives à la lancer, dis-moi, je viens...
Il y avait plein d’autres commentaires, où il y avouait ce fantasme de me voir prise par d’autres hommes. Il disait que c’était devenu une telle obsession de me regarder jouir et faire jouir un autre homme que cela avait affecté sa libido. Par contre, il avait toujours refusé toutes les propositions pour aller sauter des chaudasses. Il disait qu’il me resterait fidèle car il m’aimait à la folie mais qu’il souhaitait juste avoir ce type d’échanges à plusieurs, soit en matant soit en participant.
J’en suis là (rassurée tout de même sur le fait qu’il n’y avait pas une autre meuf) quand il revient.
- Tiens, tu regardes tes mails aussi ?
- Non, je regarde tes commentaires sur ton site de cul.
Il se tait net. Il a l’air très gêné.
Je lui demande :
- Tu n’as rien à me dire ?
- Ecoute... C’est que des films de cul... Rien de mal.... Cela te choque ?
- Non... En fait c’est tes commentaires… C’est sérieux tes fantasmes ?
- Bof, tu sais... J’écris ça comme cela... C’est pour rire.
- Te fous pas de moi ! Tu dis que ça te paralyse quand tu me fais l’amour car tu te fais ce type de plan dans ta tête et cela t’empêche de te concentrer... Et tu me fais moins l’amour, comme tu le dis... C’est pas tant des conneries que cela. Tu es sérieux ?
- Ouais, moyen... C’est vrai que j’y pense... Dit-il en baissant la tête.
- Pourquoi tu m’en as jamais parlé ?
- De quoi ?
- De tes fantasmes. Pourquoi tu m’as jamais dit que tu aimerais me voir prise par un autre mec ?
- Comment tu veux dire ça toi... J’avais peur que tu me prennes pour un gros porc... Avant tout, je tiens à toi. Je ne veux pas te perdre pour des trucs de cul.
- Oui, mais en attendant, on baise moins et je me pause des questions...
- Excuse-moi.
- Tu aimerais vraiment me voir faire l’amour avec un autre ?
- Ben... J’y pense... En fait, je sais pas si cela me rendrait jaloux ou si cela m’exciterait. Quand je te prends en levrette par exemple et que je caresse tes seins, je regrette toujours de ne pas voir la scène, ton visage quand tu jouis, ton corps qui bouge sous moi....
- Il y a le miroir !
- C’est vrai mais on ne voit pas tout et le fait de te grimper m’empêche de me concentrer sur tes réactions. C’est cela que j’aimerais voir. Je voudrais te regarder faire, te voir avec une bite dans la bouche, une dans le cul, voir le foutre dégouliner sur toi... Tu es tellement belle quand tu fais l’amour que je ne peux pas profiter de tout quand je pratique moi même.
- Tu veux vraiment essayer ?
- Tu ferais cela ?
- Ça dépend, faudrait sélectionner les mecs, mais je veux bien essayer une fois.
- Vrai ?... Oh tu es trop cool. Putain, on va s’organiser ça !
- Faudrait faire vite... Tant que je suis d’accord. Je ne sais pas si je ne vais pas revenir sur mon choix.
- Ouais, ok, ok... attends, on va voir si un mec est dispo un de ces quatre.
- Tu as personne, là maintenant ?
- Maintenant ?... Oh bordel, ce serait trop cool !
Il regarde parmi tous ses contacts. Mais soit les mecs ne sont pas connectés, soit ils sont trop loin, soit, ils ne sont pas dispo. Aziz commençait à se désespérer.
- Merde, c’est pas possible... aucun de ces bâtards n’est disponible !
- Et parmi tes potes...
- Là au pied levé, ça va être dur.
- Et Walid ?
- Walid ?
- Oui, le voisin. Il est bien foutu, il est sympa... ça pourrait le faire.
- Ouais, ouais... Pas con... Mais est-ce qu’il va vouloir?
- Si on lui demande pas... Il faisait quoi là quand il t’a demandé de réparer sa fuite ?
- Je crois qu’il bossait !
- Tu vas le chercher. Tu le ramènes. Tu lui expliques. S’il résiste en me voyant à poil...
- OK, OK... j’y vais ?
- Files… Je vous attends... Laisses les portes ouvertes que je vous entende.
Aziz sort… Je me mise dans l’entrée. J’entends la sonnette à la porte d’en face. On est parti, aucun retour en arrière n’est possible. Si le jeune voisin sexy accepte notre proposition, dans quelques minutes je me retrouverai en train de faire l’amour avec un autre homme devant mon mari... Cette pensée m’excite... Il faut absolument que cela marche et je me résous de mettre tous mes atouts dans la balance pour vaincre le jeune mâle s’il résiste...
La porte s’ouvre et le dialogue entre Walid et mon mari me parvint clairement :
- Excuse de te déranger... C’est à mon tour de te demander un service.
- Tu as un problème de tuyauterie aussi toi ?
- On peut dire ça comme ça... Tu peux venir ?
- Maintenant ?
- Oui.
Je recule pour entrer dans le salon. Quand il me vit, Walid ne peut cacher son impression. Son visage devint très expressif. Ses sourcils montent et redescendent en un battement et ses joues se gonflent l’espace d’un instant comme lorsqu’un mec fait "Waouf"!
Il a tout de suite remarqué que je suis très peu vêtue. Mes seins pointent en transparence sous la frêle chemise de nuit, on voit ma toison pubienne presqu’au naturel et à un ou deux centimètres de moins, ma nuisette aurait montré ma moule.
- Voila ! Reprend Aziz. On a un petit problème de couple... Est-ce que tu veux sauter Asma ?
- Quoi ?
- Est-ce que tu veux baiser ma femme ?
- Non, mais arrêtes, j’ai jamais pensé à ça moi.
- Je m’explique mal. Là, je voudrais la voir se faire défoncer la moule par un mec. C’est mon fantasme. Je pensais... Enfin, est-ce que tu veux bien la sauter maintenant devant moi ?
- Eh, mais vous êtes de gros malades. Tu veux que je ... Que je fasse l’amour avec ta femme devant toi... Maintenant ?
Et il me regardait avec inquiétude et incrédulité.
- Oui ! Répond Aziz.
- Eh mais n’importe quoi... Je fais pas ça moi !
Je m’approche de lui, le frôle :
- Et… Pourquoi ?
- Non mais arrêtez là ! Putain c’est une histoire de fou !
- Tu veux pas me sauter ? Je suis pas à ton goût ?
- Si, si, t’es canon, mais... Non vous êtes des potes quoi...
- T’es gay ?
- Non, non pas du tout... Ca n’a rien à voir.
- Alors lâche-toi... Prends-moi. Aziz n’attends que cela.
Et, joignant le geste à la parole, je lui saisi la main pour la diriger vers ma chatte. Mais il se dégage brutalement, et s’enfuit en claquant la porte.
Nous sommes complètement hébétés, Aziz et moi. Il me dit :
- Eh ben, c’est réussi !
- Ben qu’est-ce qu’il lui a pris ?
- J’sais pas, mais c’est foutu ! Putain ça avait commencé à me chauffer là...
- Attends, j’ai pas dit mon dernier mot.
Et ce faisant, j’enlève ma nuisette.
- Qu’est-ce que tu fous ?
- Je vais chez lui. Comme cela, il ne pourra pas fuir.
- Mais… Tu es dingue !
Je ne laisse pas le temps à Aziz de réagir. J’ouvre la porte et traverse le palier. Il n’y a que deux appartements par étage et nous sommes au premier.
Au rez-de-chaussée, vivent des petits vieux, aucun risque qu’ils se déplacent. Au deuxième, un appart est vide et l’autre est habité par une vieille fille. Pas de risque.
Je sonne. Il entrebâille la porte et, me voyant nue devant lui, il porte sa main dans ses cheveux en disant :
- Putain, mais c’est pas vrai, je rêve... Vous êtes dingues !
Cette petite inattention est suffisante pour que je puisse avoir la force pour forcer le passage et Aziz referme la porte derrière moi.
- Allez, fais pas ton timide. Prends-moi ! Lui dis-je.
- Non mais il n’y a pas moyen... Barrez-vous. J’ai un pote qui doit venir...
- On aura peut-être fini avant si tu te décides...
- Et ton pote peut participer ! Ajoute Aziz.
Cependant, Walid a reculé jusqu’au fond de la pièce. Il a le dos au mur, dans tous les sens du terme. Je me colle à lui.
- Mets ta main sur ma chatte. S’il te plait !
- Oh non non non non non... Mais qu’est-ce qui m’arrive... Foutez le camp ! Laissez-moi !
Je porte la main à son jean. Une belle bosse, bien dure s’agite en dessous.
- Allez, fais pas ta chochotte... Tu bandes comme un âne... Et tu m’as l’air plutôt bien monté... Aziz mon chéri, va y avoir de la concurrence...
- Cool, deux bonnes queues pour toi mon amour... Souffle Aziz.
Mais Walid continu à se débattre et à résister alors que je force sa braguette.
- Mais allez, détends-toi, c’est quoi ton problème ? T’es coincé du cul ?
- Non... non... mais, j’lai , jl’ai jamais fait.
- Jamais fait quoi ?
- Ben.... t’es lourde... j’suis puceau !
À cette révélation, Aziz s’écrit :
- Génial… Cela ne pouvait pas mieux tomber pour perdre ton pucelage. Asma est une experte. Laisses-toi guider, on va t’apprendre, t’initier.....
Il se fait alors plus coopérant. Je n’ai aucun mal à baisser son futal, et à aller chercher cette bite dans son slip. J’en sors d’abord l’extrémité puis plonge ma main jusqu’aux roustons. J’enfonce mes doigts dans une toison abondante, douce et souple.
À bientôt !
1) La chronologie de mes récits n'est plus respectée et je m'en excuse.
2) Mettez un préservatif !
3) J'espère que vous allez kiffer ce texte.
Je viens de retrouver une histoire que j'avais écrite il y a quelques temps.
Un fantasme ?
Une envie ?
Un rêve ?
Un projet d'avenir ?
J'en ai point la moindre idée !
Voici l'histoire :
Offerte avec mon approbation
Aziz me délaisse depuis quelques temps. Il n’est plus aussi assidu au lit que lors de nos premières années ensemble, qui remontent à dix ans.
Il était directeur de l’hôtel qui possède un centre thermal où je faisais un stage d’été pour mes études de physiothérapie. Cela avait été un coup de foudre. Il faut dire que c’est un géant de presque deux mètres, fort et blond aux yeux miel-vert.
J’étais tombée raide dingue dès le premier jour.
J’avais une petite chambre d’employés.
Le soir, seule, je pensais à lui.
Soudain on avait frappé à la porte.
En ouvrant la porte, c’était lui qui venait perturbé ma soirée. En fait, il m’avait suivie mais avait hésité longtemps avant de venir...
Il n’avait eu que le temps de dire « salut »... je l’avais fait entrer et aussitôt, comme j’étais en peignoir, je lui ai, sans trop réfléchir, découvert mon corps.
- Aah ouais direct ? Avait-il dit.
- Je sais ce n’est pas romantique, mais j’ai juste envie de toi. Tu es trop à mon goût !
Il avait ouvert sa braguette. Il ne portait pas de slip. Son sexe était très gros. J’ai eu, après, tout le temps d’en mesurer l’harmonie de cette verge : 17cm /5 de circonférence. Il bandait fort, formant un angle de 90° avec le pubis très poilu et sa bite remontait très légèrement à la fin de la hampe vers le gland énorme, tout rond, sans relief.
J’avais aussitôt sucé le gros nœud puis il m’avait couché sur le lit et sans préliminaire m’avait enfilé. Il m’avait sauté en missionnaire. Au moment de jouir, il s’était retiré et allongé sur le dos. Je m’étais vite mise au dessus de son visage pour qu’il me bouffe la raie le temps que je l’achève à la main.
Il éjacula comme un taureau. Ce fut une fontaine à sperme. Le geyser monta très haut m’éclaboussant les seins, retombant en une pluie abondante sur les cuisses, les poils, la pine.
Nous n’eûmes rien d’autre à dire. Nous fûmes amants dès ce jour-là. Mon stage fini, il me rejoignit dans la banlieue tunisoise où nous élûmes domicile immédiatement après notre mariage.
Pendant les premières années, la baise fut au menu de tous les jours et même plusieurs fois par jour.
Le soir c’était de longues séances chaudes où il se montrait très endurant; parfois, le matin, quand j’étais nue dans la salle de bain il me prenait par derrière pendant que je me tenais au lavabo et me niquait rapidement.
Je m’aidais alors de mes doigts sur le clito pour venir en même temps que lui. Cela durait cinq minutes et le soir il me reprenait plus lentement et dans toutes les positons. Quand j’avais mes règles, il me prenait dans le cul.
Bref, nous avions une vie sexuelle très épanouie.
Mais depuis quelques mois, il était beaucoup moins demandeur. Je lui avais demandé s’il y avait une autre femme. Il m’avait répondu :
- Non Asma, rassures-toi, c’est juste un peu de fatigue !
Mais cette fatigue durait beaucoup trop à mon goût. Je soupçonnais une maîtresse, une double vie, que sais-je encore...
Ce fut un samedi soir que tout se décanta.
D’habitude, nous sortions, au ciné, ou chez des amis, ou au resto... mais ce soir là j’avais vraiment envie de me faire prendre. Il ne m’avait quasiment pas baisée de la semaine et j’accusais un manque.
J’ai donc prétexté le mauvais temps (il pleuvait des cordes) et une tonne de linge à repasser pour rester à l’appart. Après le diner, Je me suis déshabillée et ai enfilé ma nuisette la plus transparente et la plus courte, sans aucun sous-vêtement pour exciter mon mari. Puis je me suis installée dans notre petit salon, et je me suis mise au travail.
Aziz est assis en face de moi, sur le canapé, et il a ouvert l’ordi pour regarder ses mails et que sais-je d’autre. Pour le moment, le subterfuge ne marche pas. Autrefois, rien que de me voir si peu vêtue, il se serait jetée sur moi et m’aurait niqué longuement....
Tout à coup, on sonne à la porte.
- Tu attends quelqu’un ?
- Non ? Et toi ?
- Non. Tu vas voir mon chéri ?
- J’y vais.
Aziz se lève, sort du salon pour ouvrir la porte. J’entends la conversation. C’est Walid, notre jeune voisin étudiant qui loue le petit studio d’en face et avec qui nous avions un peu sympathisé.
- Salut Aziz, j’te dérange pas ?
- Non.
- Tu peux me rendre un service ? J’ai une fuite... Tu aurais du matos à me prêter.
- Pas de souci. Je vais chercher ma boîte à outils et je suis à toi. !... Chérie? Tu as entendu? Je vais chez Walid.
- OK !
Au bout de quelques minutes, comme j’en avais marre d’attendre, je choisis d’aller sur l’ordi pour mettre de la musique.
Sa fenêtre de Facebook était affichée sur l’écran et je dois donc, de la réduire pour accéder à mon application. C’est alors que je remarque qu’une autre fenêtre était ouverte. Il y est écrit :
"gang bang creampie".
J’ouvre...
Je tombe sur une page d’un célèbre site porno où un film bat son plein. Le petit salaud ! Il consulte son profile tout en regardant un film de cul dont il avait coupé le son.
Je ne suis pas fan du porno moi-même. Cela ne me fait rien qu’Aziz en regarde même si c’était une surprise car je ne m’en doutais pas. Ce qui me chagrine c’est de voir qu’il préfére mater du X plutôt que de me baiser.
La fille, sur l’image était en train de se faire prendre en missionnaire. De pus, elle avait une bite dans chaque main et une dans la bouche. Ses gros seins étaient couverts de sperme et elle en avait aussi sur le visage et les poils de la chatte.
Au bout de quelques secondes, le mec qu’elle suçait se vida les couilles sur elle.
Je ne suis pas plus loin dans le visionnage. J’ai compris le principe. Je choisi d’explorer le site.
En haut de la page à gauche, il y avait l’avatar de mon mari. C’est une photo de moi, sans mon visage, nue, allongée, les jambes bien écartées et les nichons nappés de jute.
Je me souviens qu’il y a quelques mois, après une chaude séance, il avait pris son téléphone et m’avait photographiée par surprise. Je lui avais demandé de l’effacer...
Je regardai ses playlists : "Gang bang, sharing my wife, femmes enceinte...."
Comme le dépannage de plomberie durait chez Walid, je me mise à lire les commentaires qu’il avait postés sur les films de cul où des femmes se faisaient déboiter par les amis de leurs maris :
"J’aimerais bien offrir ma femme comme cela.. C’est mon fantasme... Si je pouvais faire la même chose...".
Les commentaires étaient les mêmes avec les gang bangs :
"Cela me fait bander grave... j’aimerais que ma femme se fasse prendre par des potes ou des inconnus...".
Bref, chaque scène était assortie par ce type d’expressions où j’étais mise en avant.
Il a aussi noué des dialogues avec d’autres internautes. L’un lui demandait :
"Tu veux pas venir baiser ma femme avec d’autres potes ?"
Ce à quoi il avait répondu :
"Non, ça ne m’intéresse pas. Ce que je voudrais ce n’est pas baiser une autre femme, c’est que ma femme soit baisée par d’autres".
Le mec répondait :
"Suis open pour venir baiser ta femme"
- Cela va pas être possible.
- Pourquoi ?
- Je ne lui en ai jamais parlé.
- Elle est coincée ?
- Non, mais j’ai jamais osé.
- Et c’est un bon coup ?
- Ah, vachement, une super affaire au lit. Les mecs regretteraient pas je t‘assure.
- Elle est vraiment bonne ?
- A fond !
- Putain, dommage... Si un jour tu arrives à la lancer, dis-moi, je viens...
Il y avait plein d’autres commentaires, où il y avouait ce fantasme de me voir prise par d’autres hommes. Il disait que c’était devenu une telle obsession de me regarder jouir et faire jouir un autre homme que cela avait affecté sa libido. Par contre, il avait toujours refusé toutes les propositions pour aller sauter des chaudasses. Il disait qu’il me resterait fidèle car il m’aimait à la folie mais qu’il souhaitait juste avoir ce type d’échanges à plusieurs, soit en matant soit en participant.
J’en suis là (rassurée tout de même sur le fait qu’il n’y avait pas une autre meuf) quand il revient.
- Tiens, tu regardes tes mails aussi ?
- Non, je regarde tes commentaires sur ton site de cul.
Il se tait net. Il a l’air très gêné.
Je lui demande :
- Tu n’as rien à me dire ?
- Ecoute... C’est que des films de cul... Rien de mal.... Cela te choque ?
- Non... En fait c’est tes commentaires… C’est sérieux tes fantasmes ?
- Bof, tu sais... J’écris ça comme cela... C’est pour rire.
- Te fous pas de moi ! Tu dis que ça te paralyse quand tu me fais l’amour car tu te fais ce type de plan dans ta tête et cela t’empêche de te concentrer... Et tu me fais moins l’amour, comme tu le dis... C’est pas tant des conneries que cela. Tu es sérieux ?
- Ouais, moyen... C’est vrai que j’y pense... Dit-il en baissant la tête.
- Pourquoi tu m’en as jamais parlé ?
- De quoi ?
- De tes fantasmes. Pourquoi tu m’as jamais dit que tu aimerais me voir prise par un autre mec ?
- Comment tu veux dire ça toi... J’avais peur que tu me prennes pour un gros porc... Avant tout, je tiens à toi. Je ne veux pas te perdre pour des trucs de cul.
- Oui, mais en attendant, on baise moins et je me pause des questions...
- Excuse-moi.
- Tu aimerais vraiment me voir faire l’amour avec un autre ?
- Ben... J’y pense... En fait, je sais pas si cela me rendrait jaloux ou si cela m’exciterait. Quand je te prends en levrette par exemple et que je caresse tes seins, je regrette toujours de ne pas voir la scène, ton visage quand tu jouis, ton corps qui bouge sous moi....
- Il y a le miroir !
- C’est vrai mais on ne voit pas tout et le fait de te grimper m’empêche de me concentrer sur tes réactions. C’est cela que j’aimerais voir. Je voudrais te regarder faire, te voir avec une bite dans la bouche, une dans le cul, voir le foutre dégouliner sur toi... Tu es tellement belle quand tu fais l’amour que je ne peux pas profiter de tout quand je pratique moi même.
- Tu veux vraiment essayer ?
- Tu ferais cela ?
- Ça dépend, faudrait sélectionner les mecs, mais je veux bien essayer une fois.
- Vrai ?... Oh tu es trop cool. Putain, on va s’organiser ça !
- Faudrait faire vite... Tant que je suis d’accord. Je ne sais pas si je ne vais pas revenir sur mon choix.
- Ouais, ok, ok... attends, on va voir si un mec est dispo un de ces quatre.
- Tu as personne, là maintenant ?
- Maintenant ?... Oh bordel, ce serait trop cool !
Il regarde parmi tous ses contacts. Mais soit les mecs ne sont pas connectés, soit ils sont trop loin, soit, ils ne sont pas dispo. Aziz commençait à se désespérer.
- Merde, c’est pas possible... aucun de ces bâtards n’est disponible !
- Et parmi tes potes...
- Là au pied levé, ça va être dur.
- Et Walid ?
- Walid ?
- Oui, le voisin. Il est bien foutu, il est sympa... ça pourrait le faire.
- Ouais, ouais... Pas con... Mais est-ce qu’il va vouloir?
- Si on lui demande pas... Il faisait quoi là quand il t’a demandé de réparer sa fuite ?
- Je crois qu’il bossait !
- Tu vas le chercher. Tu le ramènes. Tu lui expliques. S’il résiste en me voyant à poil...
- OK, OK... j’y vais ?
- Files… Je vous attends... Laisses les portes ouvertes que je vous entende.
Aziz sort… Je me mise dans l’entrée. J’entends la sonnette à la porte d’en face. On est parti, aucun retour en arrière n’est possible. Si le jeune voisin sexy accepte notre proposition, dans quelques minutes je me retrouverai en train de faire l’amour avec un autre homme devant mon mari... Cette pensée m’excite... Il faut absolument que cela marche et je me résous de mettre tous mes atouts dans la balance pour vaincre le jeune mâle s’il résiste...
La porte s’ouvre et le dialogue entre Walid et mon mari me parvint clairement :
- Excuse de te déranger... C’est à mon tour de te demander un service.
- Tu as un problème de tuyauterie aussi toi ?
- On peut dire ça comme ça... Tu peux venir ?
- Maintenant ?
- Oui.
Je recule pour entrer dans le salon. Quand il me vit, Walid ne peut cacher son impression. Son visage devint très expressif. Ses sourcils montent et redescendent en un battement et ses joues se gonflent l’espace d’un instant comme lorsqu’un mec fait "Waouf"!
Il a tout de suite remarqué que je suis très peu vêtue. Mes seins pointent en transparence sous la frêle chemise de nuit, on voit ma toison pubienne presqu’au naturel et à un ou deux centimètres de moins, ma nuisette aurait montré ma moule.
- Voila ! Reprend Aziz. On a un petit problème de couple... Est-ce que tu veux sauter Asma ?
- Quoi ?
- Est-ce que tu veux baiser ma femme ?
- Non, mais arrêtes, j’ai jamais pensé à ça moi.
- Je m’explique mal. Là, je voudrais la voir se faire défoncer la moule par un mec. C’est mon fantasme. Je pensais... Enfin, est-ce que tu veux bien la sauter maintenant devant moi ?
- Eh, mais vous êtes de gros malades. Tu veux que je ... Que je fasse l’amour avec ta femme devant toi... Maintenant ?
Et il me regardait avec inquiétude et incrédulité.
- Oui ! Répond Aziz.
- Eh mais n’importe quoi... Je fais pas ça moi !
Je m’approche de lui, le frôle :
- Et… Pourquoi ?
- Non mais arrêtez là ! Putain c’est une histoire de fou !
- Tu veux pas me sauter ? Je suis pas à ton goût ?
- Si, si, t’es canon, mais... Non vous êtes des potes quoi...
- T’es gay ?
- Non, non pas du tout... Ca n’a rien à voir.
- Alors lâche-toi... Prends-moi. Aziz n’attends que cela.
Et, joignant le geste à la parole, je lui saisi la main pour la diriger vers ma chatte. Mais il se dégage brutalement, et s’enfuit en claquant la porte.
Nous sommes complètement hébétés, Aziz et moi. Il me dit :
- Eh ben, c’est réussi !
- Ben qu’est-ce qu’il lui a pris ?
- J’sais pas, mais c’est foutu ! Putain ça avait commencé à me chauffer là...
- Attends, j’ai pas dit mon dernier mot.
Et ce faisant, j’enlève ma nuisette.
- Qu’est-ce que tu fous ?
- Je vais chez lui. Comme cela, il ne pourra pas fuir.
- Mais… Tu es dingue !
Je ne laisse pas le temps à Aziz de réagir. J’ouvre la porte et traverse le palier. Il n’y a que deux appartements par étage et nous sommes au premier.
Au rez-de-chaussée, vivent des petits vieux, aucun risque qu’ils se déplacent. Au deuxième, un appart est vide et l’autre est habité par une vieille fille. Pas de risque.
Je sonne. Il entrebâille la porte et, me voyant nue devant lui, il porte sa main dans ses cheveux en disant :
- Putain, mais c’est pas vrai, je rêve... Vous êtes dingues !
Cette petite inattention est suffisante pour que je puisse avoir la force pour forcer le passage et Aziz referme la porte derrière moi.
- Allez, fais pas ton timide. Prends-moi ! Lui dis-je.
- Non mais il n’y a pas moyen... Barrez-vous. J’ai un pote qui doit venir...
- On aura peut-être fini avant si tu te décides...
- Et ton pote peut participer ! Ajoute Aziz.
Cependant, Walid a reculé jusqu’au fond de la pièce. Il a le dos au mur, dans tous les sens du terme. Je me colle à lui.
- Mets ta main sur ma chatte. S’il te plait !
- Oh non non non non non... Mais qu’est-ce qui m’arrive... Foutez le camp ! Laissez-moi !
Je porte la main à son jean. Une belle bosse, bien dure s’agite en dessous.
- Allez, fais pas ta chochotte... Tu bandes comme un âne... Et tu m’as l’air plutôt bien monté... Aziz mon chéri, va y avoir de la concurrence...
- Cool, deux bonnes queues pour toi mon amour... Souffle Aziz.
Mais Walid continu à se débattre et à résister alors que je force sa braguette.
- Mais allez, détends-toi, c’est quoi ton problème ? T’es coincé du cul ?
- Non... non... mais, j’lai , jl’ai jamais fait.
- Jamais fait quoi ?
- Ben.... t’es lourde... j’suis puceau !
À cette révélation, Aziz s’écrit :
- Génial… Cela ne pouvait pas mieux tomber pour perdre ton pucelage. Asma est une experte. Laisses-toi guider, on va t’apprendre, t’initier.....
Il se fait alors plus coopérant. Je n’ai aucun mal à baisser son futal, et à aller chercher cette bite dans son slip. J’en sors d’abord l’extrémité puis plonge ma main jusqu’aux roustons. J’enfonce mes doigts dans une toison abondante, douce et souple.
À bientôt !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Belle histoire j’aurai aimé être le voisin vivement la suite