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Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2024 dans la catégorie Plus on est
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Bon, je vais faire court :
1) La chronologie de mes récits n'est plus respectée et je m'en excuse.
2) Mettez un préservatif !
3) J'espère que vous allez kiffer ce texte.
Je viens de retrouver une histoire que j'avais écrite il y a quelques temps.
Un fantasme ?
Une envie ?
Un rêve ?
Un projet d'avenir ?
J'en ai point la moindre idée !
Voici la suite de l'histoire :
Un soir, en descendant les poubelles, Aziz tombe nez à nez avec Mousse.
- Salut Mousse. Y’avait longtemps… Tu vas bien ?
- Cool, et vous ?
- Bien... T’as deux minutes là pour un petit coup à la maison ?
- C’est clair !
Bien sûr, il n’était pas question de prendre un apéro. Ce soir là, Mousse me baise avec toute la dextérité dont il sait faire preuve.
- Vous allez pas chercher Walid ? Que je demande.
- Non. On a bien essayé de le brancher mais il n’accroche pas. Répond Aziz.
- Ouais, on en a parlé. Les plans à plusieurs c’est pas trop son truc... Trop pudique... Mais il y reviendra je pense.. Il est encore inexpérimenté.
Après m’avoir prise par tous les trous et rempli la chatte de sperme, Mousse se rhabille.
- C’est dommage que le plan de gang bang n’aboutisse pas... Tu aurais été un excellent élément ! Lui dis-je.
- Hé, pas de souci. On y vient. Aziz y travaille. On va de démonter la chatte ma salope. J’suis dans la confidence. Tout n’est pas encore calé, mais fais confiance à ton mec... Il te prépare un truc, t’as pas idée !
Et il échange une claque complice avec Aziz. Donc il y a bien quelque chose de prévu... Et je ne vais rien venir.
Deux week-ends plus tard, alors que malgré mes relances je n’obtiens aucune information, Aziz me dit :
- Dimanche on va chez Riadh !
- Oh non. Il va encore falloir se lever tôt !
- Pour une fois.
- J’suis pas chaude là.
- Il y aura Farid.
- Farid ou pas, c’est loin pour une journée.
- On n’a qu’à se pointer samedi soir à l’improviste.
- On peut pas y aller à un autre moment ?
- S’te plait. Il y a longtemps que je les ai pas vus.
- Et à l’improviste... Connaissant ton père... On risque de se casser le nez.
- M’en fous. J’ai les clefs. Et puis il y aura Farid.
- Pfffff... Fais chier !
- On part vers 17h00, histoire d’être là-bas vers 20h00.
- Ok, ok... Mais c’est bien pour faire plaisir.
Riadh est le père d’Aziz. Il est entrepreneur en maçonnerie, près de la retraite. 58 ans. C’est un gros bonhomme, petit, mais jovial, trois fois divorcé et actuellement célibataire. Un coureur de jupon.
Aziz est son premier fils.
Farid est le demi-frère, né du second mariage.
Il vient juste d’avoir 19 ans.
Il est aussi petit que son père mais si... Gros !
Il est trapu, tout en muscles. Aussi rigolo que son père. Deux bons vivants. Je les adore tous les deux.
Mais ils habitent à Bizerte, une petite villa, dans un grand terrain, que mon beau-père a retapé, et il y a une ancienne grange, assez grande qu’il utilise, pour faire (assez souvent) la fête avec ses potes, et une piscine. Seul inconvénient, c’est qu’elle se trouve à trois heures de route de chez nous mais il y a tout de même un avantage notable c’est que c’est à l’écart de la ville portuaire de Bizerte ! Donc pas de risque d’importuner les voisins, lors des folles soirées qui y ont lieu.
Car dans notre société arabo-musulmane, il est primordial de se faire discret. De toute les façons, on sait que les autorités ont connaissance de se qui s’y passe lors de ces soirées, mais tant que personne ne s’en plaint et que ça n’a aucun rapport avec la politique de pays, il n’y a pas de quoi fouetter un chat.
Donc nous avons quitté l’appart à 17h00. Ça roule bien par la nationale. On est arrivé un peu avant 20h00.
- Tiens, je te l’avais dit qu’il fallait pas arriver à l’improviste ! Faisant la remarque à mon mari.
- Pourquoi ?
- T’es con ou quoi ? Y’a plein de bagnole dans la cour. Y’a de la lumière dans la salle. Ton père est en train de s’amuser avec des potes. On va déranger !
- Mais non. Et puis on va rester à la maison.
- Tu parles, ils vont faire un de ces boucans. On dormira pas de la nuit.
- Oh lala. Qu’est-ce que tu peux être négative !
On a trouvé un coin où garer la voiture et on est entré dans la villa. Farid était au salon. Quand il, nous a vu, il s’est écrié :
- Le frangin ! Pas possible ! On vous attendait que demain !
- Salut frérot. On a préféré faire la route en deux jours.... Il se passe quoi là ?
- Comment ça ?
- Y’a du monde dans la salle.
- Les amis de chasse de papa.... Vas leur dire bonjour. Y’a longtemps que tu les as pas vus.
- Tu viens ma chérie ?
- Oh non Aziz. J’les connais pas ces mecs.
- Aller, viens !
- Oui viens, Asma. J’vous accompagne Aziz et toi... Tu te sentiras moins seule.
Et sur cette parole prononcée par mon beau-frère, dans un grand éclat de rire que je n'ai compris le pourquoi que quelques minutes plus tard, nous avons pris la direction de la salle.
Farid ouvre la porte, me précédant et Aziz, qui me suit, me pousse littéralement à l’intérieur en disant d’une voix forte :
- Bonsoir Messieurs ! On est à l’heure. Voici la pute. Elle est à vous. Prenez-là par tous les trous. Elle aime le jus, ne vous privez pas !
Cette apparition et ce court discours sont salués par des cris et des applaudissements.
Dans la vaste pièce, où des matelas sont posés à terre, se trouve 0une dizaine de mecs à peu près (11 exactement plus Aziz et Farid qui viennent de rentrer avec moi) parmi lesquels je reconnus immédiatement mon beau-père, évidemment, mais aussi Mousse qui affiche un énorme sourire.
Il y a des mecs de tous les âges, mon beau-père étant le plus vieux ; de toutes les tailles, des petits, des grands ; de tous les poids, des minces, des gros.
Ils étaient tous dans une tenue assez minimaliste : débardeur, T-shirt ou marcel et survêtement, baskets voire pieds-nus.
Je me tourne aussitôt vers Aziz en me serrant contre lui et en lui parlant à voix basse :
- T’es cinglé ? C’est le gang bang ?
- On peut rien te cacher ma chérie !
- Mais c’est la honte... Tu as mis ton père et ton frère au courant ? Que vont-ils penser de moi ? Je ne vais tout de même pas faire l’amour devant eux.
- Non, pas devant eux....
- ..... Ils... Sortent ? Ils s’en vont ?
- Ce n’est pas ce qui est prévu...
- Ils ne vont pas... Oh non... Tu rigoles là ? Pas ton père et ton frère ?
- Tu sais, ils ont une bite aussi... Et tu es tellement belle... Et puis papa a toujours été un chaud lapin... Nos mères en ont fait les frais...
- Non... Non... Pas eux... Les autres… Si tu veux mais pas eux... Vas leur dire.
- Ben non ! C’est à prendre ou à laisser...
Derrière nous les mecs s’agitent :
- À poil, à poil !! Qu’ils crient.
Mustafa et ses potes, dont un petit black, ont déjà sorti leurs zobs et les agitent avec la furieuse envie de s’en servir.
- Vas leur dire ou je fais rien...
- Ok. T’es pas cool !!
Il y va. Ils parlementent un peu et puis Aziz revint.
- Bon. Ils sont déçus... Mais ils comprennent... Par contre, ils demandent de pouvoir rester pour mater.
- Fais chier !!!
- Tu peux faire ça pour eux ?
- Ça va me bloquer !.
- Mais non... Tu vas voir. Quand les mecs t’auront lancée, tu ne les verras même plus.
- Bon, ben d’accord ! Répondis-je à contre cœur.
Farid et Riadh, apparemment résignés, se mettent sur des canapés. Je ne sais pas comment, ni ce qui m’a poussé ou qu’est ce qui m’a attiré, je me retrouve au milieu du troupeau des neufs mâles restant.
Je suis aussitôt pelotée de partout. Des mains se glissent sous ma jupe, dans ma culotte, dans mon chemisier et mon soutien-gorge. De mon côté, je n’ai qu’à tendre mes deux mains pour rencontrer la chaleur d’un sexe en érection ou d’une paire de couilles velues.
Les boutons du chemiser sautent, le soutif est enlevé. Un mec, à genoux derrière moi, baisse ma jupe et ma culotte et commence à me lécher les fesses.
Mes seins à l’air sont avalés par des bouches gourmandes qui fonctionnent comme des pompes. Un grand mec à moustache me fouille la bouche de la langue jusqu’à me nettoyer les molaires.
Je ne suis pas longue à éprouver du plaisir, un plaisir inattendu. D’autant plus, que les commentaires m’encouragent :
- Putain, mates-moi ces nibards...
- T’ as vu ce beau petit cul, j’vais le massacrer...
- Elle est chaude, là... Faut en profiter...
- J’vous l’avais bien dit qu’elle est super bonne...
- Ah la vache les gars, elle mouille déjà, sentez-moi ça !
Et celui qui a prononcé ces dernières paroles sort ses doigts de mon con et les ballade sous le nez des autres participants, l’un d’eux réclamant d’y goûter.
- Faut qu’elle me suce là, vite...
Devant ce désir, je n’ai plus qu’à fléchir les genoux. Aussitôt, je me retrouve avec un pénis dans la bouche.
Nous avions longuement discuté du choix des candidats avec Aziz.
Bien sûr je désirais des grosses queues mais surtout bien dures et avec le gland bien dessiné. J’adore en effet sentir la douceur du gland et ses formes sous la langue, son épaisseur...
Il fallait aussi que les mecs soient cleans de façon à ce que je puisse sucer et me faire foutre sans risques.
C’est plus tard, qu’Aziz m’expliquera pourquoi cette surprise a un peu tardé, car il n’avait pas réuni tous les certificats médicaux qui attestent qu’il n’y a aucun risque.
Les queues se succèdent devant moi et, avant de les lécher, je les inspecte rapidement. Il y en a de toutes les tailles mais la plupart devait être dans les 16-17 cm. Une seule bite devait dépasser les 20 cm.
J’avais exigé que les mecs soient poilus, au moins du pubis. J’aime qu’un mâle ressemble à un mâle.
D’ailleurs je me laisse moi même aussi une petite touffe soigneusement entretenue.
Quant aux couilles, ils pouvaient les laisser telles quelles ou les raser. Il y a des deux.
Il ne m'est pas difficile de reconnaître la queue de Mousse, sombre, avec le bout plus clair et la toison dense et très frisottée ni celle de son pote, le black évidemment !
Naturellement, tout en pompant ces dards les uns après les autres, je garde toujours les mains libres pour masturber à droite ou à gauche ou les deux en même temps.
Au bout des quelques minutes, je commence à fatiguer et que cela se remarque, je suis soulevée du sol par plusieurs types et déposée sur une table solide, pas très haute, autour de laquelle il y a plein de petits tabourets.
À peine allongée, un mec m’agrippe par les jambes pour me tirer vers le bord et me mettre le cul à dispo. Il se met illico à me bouffer la chatte.
Deux types se mettent à me lécher les tétons alors que d’autres montent sur la table ou sur les tabourets pour me donner leurs queues à téter.
Tout ce petit monde se donne le tour sauf le gars qui me mange l’entrejambe avec une dextérité qui me fait perdre la tête.
Puis il se retire. Le suivant se mit à me caresser le clitoris avec le bout de sa queue, en la dirigeant de sa main. Quand il m’a ainsi bien préparée, il commence à me saillir.
La bite était très grosse, très épaisse et il me déchire, bien que je sois très lubrifiée.
Je ne me souviens pas l’avoir eu en bouche, lors des préparatifs que je m’étais à appliquer à faire en, les bouffant, la sensation d’un braquemart avec un tel diamètre, je l’aurai repéré. Mais je suis trop absorbée par les mecs qui me mangent les nichons ou me fourrent leurs queues dans la bouche pour vraiment me concentrer sur ce mandrin qui est en train de m’élargir.
Quand je sens qu’il est entièrement dans mon puits d’amour, je constate qu’il n'est pas être très long mais surtout très gros. C’est alors, que le type commence à me bourrer vraiment en se cramponnant à mes cuisses, et c’est au contact de son ventre sur mon pubis que j’ai eu un éclair de lucidité. J’écarte la bite qui est dans ma bouche, les têtes penchées sur mes seins et me redresse. Entre mes jambes, bien planté qu’il l’est, les yeux fermés et profitant vraiment de mon trou, je vois mon beau-père.
On ne peut imaginer ma stupeur, d’autant plus que, cherchant mon mari du regard, je me rends compte que la bite que je viens de sucer est celle de Farid. À force de prendre en bouche les queues qui se succédaient à un rythme rapide, je n’ai pas fait attention au mec qui est au bout de celle-ci.
J’essaye d’appeler mais j’articule péniblement :
- Az... Aziz... Où… tu es... ?
Il apparait tout sourire, entièrement à nu et bien raide.
Mon beau-père ne s’est pas arrêter de me piner.
Maintenant, je me suis redressée en m’appuyant sur mes coudes, ce qui a pour effet de me rapprocher de mon beau-papa et de faire entrer un peu plus profond sa verge dans mon intimité.
Je suis incapable de tenir des propos cohérents. Mon cerveau est révulsé à l’idée de me faire mettre par mon beau-père, mais, mon corps apprécie au plus haut point les rudes coups de son épais zob, qui m’éclate largement la chatte.
Je suis au bord de l’orgasme, sans plus aucun contrôle sur moi-même. J’ai voulu à la fois le repousser et à la fois, j’ai voulu qu’il me secoue encore plus. C’est une situation que je trouve repoussante mais toute aussi délicieuse, c’est "dégueu-bon" ou "bon-gueulasse".
Je tente pourtant quelques mots mais j’ai du mal à faire croire à mon indignation car, autant il est facile de simuler un orgasme, autant il est presque impossible de dissimuler un plaisir... Surtout que je suis chauffée à bloc par tous ces mecs depuis une bonne dizaine, vingtaine, voire même une trentaine de minutes maintenant.
Mon clito est une bombe à retardement et ce gros porc qui me bouscule, me mettant la chatte en feu.
- Haaa... Aziz.... salaud.... Ouiiii oh, oh, oh ooooooh.... Aziz... Aaaaah, tu, tu m’avais... M’avais... Hmmmm… C’est booon... M’avais promis... Nooooon... Aziz... MERDE ! Arrête... Ouiiiiiiii... Arrête... Le...
Mon beau-père répond :
- Tu veux que j’arrête ? Tu veux vraiment que j’arrête ? Mais non tu aimes ça hein salope !
- Aaaaaaah !
- Tu la sens la grosse queue du paternel... Tu la sens hein ?
- Hummm..... Aziiiiiiiiiiiiiz.... !
Mais Aziz n’entend pas mes appels au secours. Plus je supplie et plus je lâche des gémissements de plaisir. Les mecs autour, se marrent, se branlent, réclament la place.
Riadh m’a saisie par la nuque et, de l’autre, tout en continuant de me bourrer, il me pétrit un nichon.
Sa bite produit un effet prodigieux d’autant que tout en allant et venant, il sait, donner des inclinaisons à sa queue, tantôt à droite, tantôt à gauche ou bien en haut, en bas. Je mouille abondamment.
De temps en temps, il humecte ses doigts et me frotte vigoureusement la raie.
Je tente une ultime fois de me révolter mais, quand j’ouvre la bouche pour protester, il me rapproche de lui, se colle à moi et me roule une pelle d’anthologie. C’est fini, je suis vaincue, je me cramponne totalement à lui, l’embrassant goulument sans retenue jusqu’à ce que je crie bruyamment mon orgasme clitoridien qui ne dure que de courtes secondes.
Les commentateurs y vont bon train :
- Putain, il la monte bien.... T’as vu comment elle se lâche. Ça c’est de la pouliche.... Allez Riadh, tu en laisses pour les copains....
Terrassée par les bienfaits de mon clitoris, je m’allonge en attendant que mon vagin explose de joie à son tour, ce qui est imminent.
1) La chronologie de mes récits n'est plus respectée et je m'en excuse.
2) Mettez un préservatif !
3) J'espère que vous allez kiffer ce texte.
Je viens de retrouver une histoire que j'avais écrite il y a quelques temps.
Un fantasme ?
Une envie ?
Un rêve ?
Un projet d'avenir ?
J'en ai point la moindre idée !
Voici la suite de l'histoire :
Un soir, en descendant les poubelles, Aziz tombe nez à nez avec Mousse.
- Salut Mousse. Y’avait longtemps… Tu vas bien ?
- Cool, et vous ?
- Bien... T’as deux minutes là pour un petit coup à la maison ?
- C’est clair !
Bien sûr, il n’était pas question de prendre un apéro. Ce soir là, Mousse me baise avec toute la dextérité dont il sait faire preuve.
- Vous allez pas chercher Walid ? Que je demande.
- Non. On a bien essayé de le brancher mais il n’accroche pas. Répond Aziz.
- Ouais, on en a parlé. Les plans à plusieurs c’est pas trop son truc... Trop pudique... Mais il y reviendra je pense.. Il est encore inexpérimenté.
Après m’avoir prise par tous les trous et rempli la chatte de sperme, Mousse se rhabille.
- C’est dommage que le plan de gang bang n’aboutisse pas... Tu aurais été un excellent élément ! Lui dis-je.
- Hé, pas de souci. On y vient. Aziz y travaille. On va de démonter la chatte ma salope. J’suis dans la confidence. Tout n’est pas encore calé, mais fais confiance à ton mec... Il te prépare un truc, t’as pas idée !
Et il échange une claque complice avec Aziz. Donc il y a bien quelque chose de prévu... Et je ne vais rien venir.
Deux week-ends plus tard, alors que malgré mes relances je n’obtiens aucune information, Aziz me dit :
- Dimanche on va chez Riadh !
- Oh non. Il va encore falloir se lever tôt !
- Pour une fois.
- J’suis pas chaude là.
- Il y aura Farid.
- Farid ou pas, c’est loin pour une journée.
- On n’a qu’à se pointer samedi soir à l’improviste.
- On peut pas y aller à un autre moment ?
- S’te plait. Il y a longtemps que je les ai pas vus.
- Et à l’improviste... Connaissant ton père... On risque de se casser le nez.
- M’en fous. J’ai les clefs. Et puis il y aura Farid.
- Pfffff... Fais chier !
- On part vers 17h00, histoire d’être là-bas vers 20h00.
- Ok, ok... Mais c’est bien pour faire plaisir.
Riadh est le père d’Aziz. Il est entrepreneur en maçonnerie, près de la retraite. 58 ans. C’est un gros bonhomme, petit, mais jovial, trois fois divorcé et actuellement célibataire. Un coureur de jupon.
Aziz est son premier fils.
Farid est le demi-frère, né du second mariage.
Il vient juste d’avoir 19 ans.
Il est aussi petit que son père mais si... Gros !
Il est trapu, tout en muscles. Aussi rigolo que son père. Deux bons vivants. Je les adore tous les deux.
Mais ils habitent à Bizerte, une petite villa, dans un grand terrain, que mon beau-père a retapé, et il y a une ancienne grange, assez grande qu’il utilise, pour faire (assez souvent) la fête avec ses potes, et une piscine. Seul inconvénient, c’est qu’elle se trouve à trois heures de route de chez nous mais il y a tout de même un avantage notable c’est que c’est à l’écart de la ville portuaire de Bizerte ! Donc pas de risque d’importuner les voisins, lors des folles soirées qui y ont lieu.
Car dans notre société arabo-musulmane, il est primordial de se faire discret. De toute les façons, on sait que les autorités ont connaissance de se qui s’y passe lors de ces soirées, mais tant que personne ne s’en plaint et que ça n’a aucun rapport avec la politique de pays, il n’y a pas de quoi fouetter un chat.
Donc nous avons quitté l’appart à 17h00. Ça roule bien par la nationale. On est arrivé un peu avant 20h00.
- Tiens, je te l’avais dit qu’il fallait pas arriver à l’improviste ! Faisant la remarque à mon mari.
- Pourquoi ?
- T’es con ou quoi ? Y’a plein de bagnole dans la cour. Y’a de la lumière dans la salle. Ton père est en train de s’amuser avec des potes. On va déranger !
- Mais non. Et puis on va rester à la maison.
- Tu parles, ils vont faire un de ces boucans. On dormira pas de la nuit.
- Oh lala. Qu’est-ce que tu peux être négative !
On a trouvé un coin où garer la voiture et on est entré dans la villa. Farid était au salon. Quand il, nous a vu, il s’est écrié :
- Le frangin ! Pas possible ! On vous attendait que demain !
- Salut frérot. On a préféré faire la route en deux jours.... Il se passe quoi là ?
- Comment ça ?
- Y’a du monde dans la salle.
- Les amis de chasse de papa.... Vas leur dire bonjour. Y’a longtemps que tu les as pas vus.
- Tu viens ma chérie ?
- Oh non Aziz. J’les connais pas ces mecs.
- Aller, viens !
- Oui viens, Asma. J’vous accompagne Aziz et toi... Tu te sentiras moins seule.
Et sur cette parole prononcée par mon beau-frère, dans un grand éclat de rire que je n'ai compris le pourquoi que quelques minutes plus tard, nous avons pris la direction de la salle.
Farid ouvre la porte, me précédant et Aziz, qui me suit, me pousse littéralement à l’intérieur en disant d’une voix forte :
- Bonsoir Messieurs ! On est à l’heure. Voici la pute. Elle est à vous. Prenez-là par tous les trous. Elle aime le jus, ne vous privez pas !
Cette apparition et ce court discours sont salués par des cris et des applaudissements.
Dans la vaste pièce, où des matelas sont posés à terre, se trouve 0une dizaine de mecs à peu près (11 exactement plus Aziz et Farid qui viennent de rentrer avec moi) parmi lesquels je reconnus immédiatement mon beau-père, évidemment, mais aussi Mousse qui affiche un énorme sourire.
Il y a des mecs de tous les âges, mon beau-père étant le plus vieux ; de toutes les tailles, des petits, des grands ; de tous les poids, des minces, des gros.
Ils étaient tous dans une tenue assez minimaliste : débardeur, T-shirt ou marcel et survêtement, baskets voire pieds-nus.
Je me tourne aussitôt vers Aziz en me serrant contre lui et en lui parlant à voix basse :
- T’es cinglé ? C’est le gang bang ?
- On peut rien te cacher ma chérie !
- Mais c’est la honte... Tu as mis ton père et ton frère au courant ? Que vont-ils penser de moi ? Je ne vais tout de même pas faire l’amour devant eux.
- Non, pas devant eux....
- ..... Ils... Sortent ? Ils s’en vont ?
- Ce n’est pas ce qui est prévu...
- Ils ne vont pas... Oh non... Tu rigoles là ? Pas ton père et ton frère ?
- Tu sais, ils ont une bite aussi... Et tu es tellement belle... Et puis papa a toujours été un chaud lapin... Nos mères en ont fait les frais...
- Non... Non... Pas eux... Les autres… Si tu veux mais pas eux... Vas leur dire.
- Ben non ! C’est à prendre ou à laisser...
Derrière nous les mecs s’agitent :
- À poil, à poil !! Qu’ils crient.
Mustafa et ses potes, dont un petit black, ont déjà sorti leurs zobs et les agitent avec la furieuse envie de s’en servir.
- Vas leur dire ou je fais rien...
- Ok. T’es pas cool !!
Il y va. Ils parlementent un peu et puis Aziz revint.
- Bon. Ils sont déçus... Mais ils comprennent... Par contre, ils demandent de pouvoir rester pour mater.
- Fais chier !!!
- Tu peux faire ça pour eux ?
- Ça va me bloquer !.
- Mais non... Tu vas voir. Quand les mecs t’auront lancée, tu ne les verras même plus.
- Bon, ben d’accord ! Répondis-je à contre cœur.
Farid et Riadh, apparemment résignés, se mettent sur des canapés. Je ne sais pas comment, ni ce qui m’a poussé ou qu’est ce qui m’a attiré, je me retrouve au milieu du troupeau des neufs mâles restant.
Je suis aussitôt pelotée de partout. Des mains se glissent sous ma jupe, dans ma culotte, dans mon chemisier et mon soutien-gorge. De mon côté, je n’ai qu’à tendre mes deux mains pour rencontrer la chaleur d’un sexe en érection ou d’une paire de couilles velues.
Les boutons du chemiser sautent, le soutif est enlevé. Un mec, à genoux derrière moi, baisse ma jupe et ma culotte et commence à me lécher les fesses.
Mes seins à l’air sont avalés par des bouches gourmandes qui fonctionnent comme des pompes. Un grand mec à moustache me fouille la bouche de la langue jusqu’à me nettoyer les molaires.
Je ne suis pas longue à éprouver du plaisir, un plaisir inattendu. D’autant plus, que les commentaires m’encouragent :
- Putain, mates-moi ces nibards...
- T’ as vu ce beau petit cul, j’vais le massacrer...
- Elle est chaude, là... Faut en profiter...
- J’vous l’avais bien dit qu’elle est super bonne...
- Ah la vache les gars, elle mouille déjà, sentez-moi ça !
Et celui qui a prononcé ces dernières paroles sort ses doigts de mon con et les ballade sous le nez des autres participants, l’un d’eux réclamant d’y goûter.
- Faut qu’elle me suce là, vite...
Devant ce désir, je n’ai plus qu’à fléchir les genoux. Aussitôt, je me retrouve avec un pénis dans la bouche.
Nous avions longuement discuté du choix des candidats avec Aziz.
Bien sûr je désirais des grosses queues mais surtout bien dures et avec le gland bien dessiné. J’adore en effet sentir la douceur du gland et ses formes sous la langue, son épaisseur...
Il fallait aussi que les mecs soient cleans de façon à ce que je puisse sucer et me faire foutre sans risques.
C’est plus tard, qu’Aziz m’expliquera pourquoi cette surprise a un peu tardé, car il n’avait pas réuni tous les certificats médicaux qui attestent qu’il n’y a aucun risque.
Les queues se succèdent devant moi et, avant de les lécher, je les inspecte rapidement. Il y en a de toutes les tailles mais la plupart devait être dans les 16-17 cm. Une seule bite devait dépasser les 20 cm.
J’avais exigé que les mecs soient poilus, au moins du pubis. J’aime qu’un mâle ressemble à un mâle.
D’ailleurs je me laisse moi même aussi une petite touffe soigneusement entretenue.
Quant aux couilles, ils pouvaient les laisser telles quelles ou les raser. Il y a des deux.
Il ne m'est pas difficile de reconnaître la queue de Mousse, sombre, avec le bout plus clair et la toison dense et très frisottée ni celle de son pote, le black évidemment !
Naturellement, tout en pompant ces dards les uns après les autres, je garde toujours les mains libres pour masturber à droite ou à gauche ou les deux en même temps.
Au bout des quelques minutes, je commence à fatiguer et que cela se remarque, je suis soulevée du sol par plusieurs types et déposée sur une table solide, pas très haute, autour de laquelle il y a plein de petits tabourets.
À peine allongée, un mec m’agrippe par les jambes pour me tirer vers le bord et me mettre le cul à dispo. Il se met illico à me bouffer la chatte.
Deux types se mettent à me lécher les tétons alors que d’autres montent sur la table ou sur les tabourets pour me donner leurs queues à téter.
Tout ce petit monde se donne le tour sauf le gars qui me mange l’entrejambe avec une dextérité qui me fait perdre la tête.
Puis il se retire. Le suivant se mit à me caresser le clitoris avec le bout de sa queue, en la dirigeant de sa main. Quand il m’a ainsi bien préparée, il commence à me saillir.
La bite était très grosse, très épaisse et il me déchire, bien que je sois très lubrifiée.
Je ne me souviens pas l’avoir eu en bouche, lors des préparatifs que je m’étais à appliquer à faire en, les bouffant, la sensation d’un braquemart avec un tel diamètre, je l’aurai repéré. Mais je suis trop absorbée par les mecs qui me mangent les nichons ou me fourrent leurs queues dans la bouche pour vraiment me concentrer sur ce mandrin qui est en train de m’élargir.
Quand je sens qu’il est entièrement dans mon puits d’amour, je constate qu’il n'est pas être très long mais surtout très gros. C’est alors, que le type commence à me bourrer vraiment en se cramponnant à mes cuisses, et c’est au contact de son ventre sur mon pubis que j’ai eu un éclair de lucidité. J’écarte la bite qui est dans ma bouche, les têtes penchées sur mes seins et me redresse. Entre mes jambes, bien planté qu’il l’est, les yeux fermés et profitant vraiment de mon trou, je vois mon beau-père.
On ne peut imaginer ma stupeur, d’autant plus que, cherchant mon mari du regard, je me rends compte que la bite que je viens de sucer est celle de Farid. À force de prendre en bouche les queues qui se succédaient à un rythme rapide, je n’ai pas fait attention au mec qui est au bout de celle-ci.
J’essaye d’appeler mais j’articule péniblement :
- Az... Aziz... Où… tu es... ?
Il apparait tout sourire, entièrement à nu et bien raide.
Mon beau-père ne s’est pas arrêter de me piner.
Maintenant, je me suis redressée en m’appuyant sur mes coudes, ce qui a pour effet de me rapprocher de mon beau-papa et de faire entrer un peu plus profond sa verge dans mon intimité.
Je suis incapable de tenir des propos cohérents. Mon cerveau est révulsé à l’idée de me faire mettre par mon beau-père, mais, mon corps apprécie au plus haut point les rudes coups de son épais zob, qui m’éclate largement la chatte.
Je suis au bord de l’orgasme, sans plus aucun contrôle sur moi-même. J’ai voulu à la fois le repousser et à la fois, j’ai voulu qu’il me secoue encore plus. C’est une situation que je trouve repoussante mais toute aussi délicieuse, c’est "dégueu-bon" ou "bon-gueulasse".
Je tente pourtant quelques mots mais j’ai du mal à faire croire à mon indignation car, autant il est facile de simuler un orgasme, autant il est presque impossible de dissimuler un plaisir... Surtout que je suis chauffée à bloc par tous ces mecs depuis une bonne dizaine, vingtaine, voire même une trentaine de minutes maintenant.
Mon clito est une bombe à retardement et ce gros porc qui me bouscule, me mettant la chatte en feu.
- Haaa... Aziz.... salaud.... Ouiiii oh, oh, oh ooooooh.... Aziz... Aaaaah, tu, tu m’avais... M’avais... Hmmmm… C’est booon... M’avais promis... Nooooon... Aziz... MERDE ! Arrête... Ouiiiiiiii... Arrête... Le...
Mon beau-père répond :
- Tu veux que j’arrête ? Tu veux vraiment que j’arrête ? Mais non tu aimes ça hein salope !
- Aaaaaaah !
- Tu la sens la grosse queue du paternel... Tu la sens hein ?
- Hummm..... Aziiiiiiiiiiiiiz.... !
Mais Aziz n’entend pas mes appels au secours. Plus je supplie et plus je lâche des gémissements de plaisir. Les mecs autour, se marrent, se branlent, réclament la place.
Riadh m’a saisie par la nuque et, de l’autre, tout en continuant de me bourrer, il me pétrit un nichon.
Sa bite produit un effet prodigieux d’autant que tout en allant et venant, il sait, donner des inclinaisons à sa queue, tantôt à droite, tantôt à gauche ou bien en haut, en bas. Je mouille abondamment.
De temps en temps, il humecte ses doigts et me frotte vigoureusement la raie.
Je tente une ultime fois de me révolter mais, quand j’ouvre la bouche pour protester, il me rapproche de lui, se colle à moi et me roule une pelle d’anthologie. C’est fini, je suis vaincue, je me cramponne totalement à lui, l’embrassant goulument sans retenue jusqu’à ce que je crie bruyamment mon orgasme clitoridien qui ne dure que de courtes secondes.
Les commentateurs y vont bon train :
- Putain, il la monte bien.... T’as vu comment elle se lâche. Ça c’est de la pouliche.... Allez Riadh, tu en laisses pour les copains....
Terrassée par les bienfaits de mon clitoris, je m’allonge en attendant que mon vagin explose de joie à son tour, ce qui est imminent.
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Beau gangbang mais viol du beau père et du beau frère la femme avait dit non mais le mari est complice