Offerte avec mon approbation 4 et fin

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Offerte avec mon approbation 4 et fin Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-10-2024 dans la catégorie Plus on est
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Offerte avec mon approbation 4 et fin
Bon, je vais faire court :
1) La chronologie de mes récits n'est plus respectée et je m'en excuse.
2) Mettez un préservatif !
3) J'espère que vous allez kiffer ce texte.

Je viens de retrouver une histoire que j'avais écrite il y a quelques temps.
Un fantasme ?
Une envie ?
Un rêve ?
Un projet d'avenir ?
J'en ai point la moindre idée !

Voici la fin de cette fiction, en espérant qu'elle vous a chauffé comme il se doit de l'être toute histoirede ce site :


Terrassée par les bienfaits de mon clitoris, je m’allonge en attendant que mon vagin explose de joie à son tour, ce qui est imminent.
Mes orgasmes vaginaux sont d’intensité et de longueur variable. Ils peuvent durer quelques minutes ou près d’une demi-heure. Plus ils sont longs, plus ils en entraînent d’autres et je suis capable d’en enchaîner quatre ou cinq à la suite, ce qui m’arrive rarement car Aziz, a rarement l’endurance de les atteindre, à moins qu’il ne continue de me travailler avec ses doigts ou avec sa langue, entre deux érections.
Là, je sens que je suis partie pour un truc monstrueux. Avec toutes les queues dont je dispose, les mains qui s’insinuent partout et me pétrissent la poitrine sans relâche, les mots orduriers, tout est fait pour prolonger mon état d’excitation.
On me fait cependant descendre au sol où on m’allonge sur le dos.
Aussitôt, Farid me pénètre en missionnaire. Je n’ai plus rien à opposer.

- Alors petite salope ? Je croyais que tu voulais pas que j’te baise.... Mais tu l’as bien bouffée quand même ma queue hein ? Et là, tu la sens bien au fond dans ta chatte ?

Pour toute réponse, je plante profondément mes ongles dans son cul musculeux en le traitant de "puceau mal rasé" et de "ptite bite tordue".

- "Ptite bite tordue"… Moi ? Tu veux voir comment elle est "tordue" ma "ptite bite" ? Tu vas voir ce que tu vas voir grosse salope !

Il se retire, me retourne et se met à me lécher la rondelle. Pendant ce temps, des mecs se mettaient à hauteur de ma bouche pour se faire sucer.

- Tu vas voir la ptite bite, comment qu’il va t’éclater l’cul !

Et il me force littéralement, sans plus de préparation. Je suis suffisamment excitée et donc suffisamment dilatée pour que la déchirure ne dure qu’un instant.
Je n’ai pas encore atteint mon orgasme vaginal mais celui de mon trou de balle est quasiment immédiat. Les contractions de mes muscles autour de la pine de Farid décuplent son plaisir et il perd tout contrôle. Sa jeunesse, peut-être, et un certain manque d’expérience le font éjaculer plus tôt qu’il n’avait prévu.
Une autre queue prend immédiatement la place, plus fine mais plus longue, elle cogne bien au fond.
De temps en temps, je cesse de sucer, autant pour me reposer la mâchoire et aussi pour avoir le temps d’articuler quelques mots de contentement.
Riadh se présente à son tour.

- Non, non… Beau papa… Pas toi, casse-toi ! Protestent les mecs qui m’entourent.
- Quoi ? J’ai bien le droit de l’enculer à mon tour, non ?
- Encule-là si tu veux, mais en dernier. T’es trop gros, tu vas nous l’élargir.
- Ouais, Hakim à raison, on va flotter dedans après.
- Surtout moi. J’ai la bite peu épaisse. Si je passe après toi, j’vais avoir l’impression d’être une allumette toute seule dans une boîte vide.
- Bon, bon, allez-y les p’tites quéquettes... J’vais la travailler en dernier ! Répond mon beau-père.

Et tous me liment le fion avec plus ou moins d’ardeur jusqu’à ce que Riadh y vienne.
Je suis pourtant bien astiquée déjà, et même enduite de foutre... Un mec m’a, même, pissé sur le cul, mais je n’ai jamais connu, introduit, dans cet orifice un truc aussi large. Je le sens passer.
Riadh pousse sa verge à fond et s’enfonce jusqu’aux couilles et il me démonte à tel point que les secousses m’empêchent de sucer correctement.
Puis il me remet sur le dos, m’écarte les jambes, me bouffe la chatte goulument, replante son pieu dans mes chairs, entre mes deux lèvres intimes, si gourmandes, en écartant à nouveau les parois de ma moule.
La sodomie a un peu calmé mes spasmes vaginaux mais la bite du gros bouc fait aussitôt son effet magique La jouissance est plus puissante que la première fois, mon beau-père se met à genoux, me tire bien jusqu’à lui pour s’enfoncer au plus profond et se démène comme un lion qui vient achever sa proie.
Mon corps est parcouru de frissons électriques, la tempête se déchaîne et la jouissance déferle comme un tsunami. Mes seins roulent sous les coups de bite quand ils ne sont pas écrasés par une bouche avide ou des mains chapardeuses.
Je délire complètement sous cet orgasme inextinguible, comme un feu qu’on arrive pas à éteindre tellement il est puissant. Un mec s’allonge au dessus de ma tête, pour être précise, il est perpendiculairement au dessus de mon corps, bras tendus, pour planter sa queue dans ma bouche et s’y promener en d’amples va-et-vient qui me défoncent la luette.
J’ai faillis vomir et m’étouffer quand son sperme jaillit en d’abondante larmes. J’ai dus avaler une bonne dose pour ne pas m’étouffer.
Quand il se retire, j’incline la tête pour cracher le surplus, ce qui donne bien des envies aux autres mâles.

- À genoux, à genoux, j’vais la recouvrir de sauce !

Mais Riadh ne l’entend pas de cette oreille.

- Bas les pattes bandes de bâtards. J’viens, là, j’viens...

Et il s’étend de tout son long sur moi, son gros ventre m’écrasant. Et il mélange son plaisir au mien.
- ROOOOOOO.... OOOOOoooooooo

Je sens son sexe se gonfler et il déverse son foutre en moi.
Il reste bloqué un instant pendant lequel je continu de m’agiter sous lui, savourant le contact de sa grosse masse de viande nageant dans mon trou. Puis il s’extirpe pesamment, se rapproche de moi et me dit :

- Suce !

La demande est superflue. À l’approche du gland recouvert de liqueur, ma bouche s’est ouverte et je me délecte des dernières gouttes du précieux nectar et du nappage qui le recouvre et dont quelques gouttes précieuses s’étaient égarées dans la zone qui marque sa circoncision.
Cependant, on le devine bien, cette éjaculation n’a point épuisé mon orgasme qui se développe en vagues successives et qui réclame, pour l’alimenter, d’autres manches, bites, bien proportionnées et bien dures.
Mais, l’abondance de foute a déclenché une envie de « branlage » générale et je me dois, de me mettre à genoux gueule bien ouverte.
Mousse, qui ne perd pas son sang froid, exige que je vienne me planter, à califourchon sur son dard.

- Non ! Pas comme ça ! Dans l’autre sens. Comme ça, je pourrai te sucer les nichons quand les mecs auront fini de t’arroser !

Je n’empale donc sur lui, bien droite. Les mecs l’enjambent et viennent se cambrer face à moi pour vider leurs couilles, en visant, au mieux, ma bouche grande ouverte et ma langue tirée au maximum, au pire mes cheveux qui font de moi, une sorcière qui a eu le malheur de toucher un câble à haute tension.
Le sperme pleut, dans des jets plus ou moins maîtrisés
Les plus habiles tiennent bien leur queue au moment de l’éjaculation et quasiment tous les tirs atterrissent directement dans ma bouche ou légèrement à côté. D’autres, plus brouillons, contrôlent mal leurs gestes, et ils partent dans tous les sens, finissant sur mon front, mon nez, mes joues, ou même, carrément à côté, au sol… Quel gaspillage !
Couverte de foutre, je reste seule plantée sur la verge épaisse de Mousse qui a fait des économies pour la circonstance et qui a recommandé à ses potes d’en faire autant. C’est ainsi que, pendant que tous les mecs, la queue pendante, vont se restaurer à proximité en se félicitant, je reste avec trois types décidés à m’enfiler par tous les trous.

- Vous voyez ! Dit Mousse, Maintenant, elle est entièrement à nous ! Le temps que les autres rebandent, on en a bien pour vingt minutes à sauter cette salope.

Ainsi, pendant que Mousse soulève son cul pour faire bouger sa bite dans mes entrailles, son copain black me pénètre le cul, pendant que l’autre me met son gros gland dans la bouche.
Cela doit bien plus d’une heure qu’on me baise. Je suis claquée... Mais un nouvel orgasme vaginal me secoue. Ces trois belles queues qui me forcent, chacune dans son orifice, ne font que raviver la flamme pour que la soirée soit encore chaude.
Mais, aussi endurant qu’ils sont, les mecs finissent par rendre les armes. J’entendis le premier s’écrier :

- OOOOOOO oui putain je jouis, c’est trop bon, je jouis ! Alors qu’il est dans ma bouche et que presque simultanément une crème tiède, épaisse, salée et amère m’emplit la bouche et la gorge, au point que j’ai faillis en vomir.

Cela ne fit qu’exalter l’ardeur des deux autres. Celui qui est dans mon cul, s’en extrayant, jure par tous les dieux, en me recouvrant le dos d’une avalanche de foutre. Au même moment, Mousse se raidit pour expulser toute sa sauce au fond de mon sexe en s’emboîtant profondément en moi.
Satisfaits autant que fourbus, les trois types rejoignent les autres auprès du buffet et, moi je reste seule, comme une conne, avec mes orgasmes en pleine expansion et que personne ne va éteindre. Ma main trouve donc immédiatement ma foufoune mais sans que mes doigts puissent faire le même office que ces bonnes queues qui viennent de me secouer.
Aucun mâle n’a encore retrouvé suffisamment de vigueur pour me remplir la chatte. Cependant l’un d’eux remarque mon manège.

- Dis donc Aziz, elle s’amuse bien ta femme. On dirait qu’elle en a pas encore eut assez. C’est une sacrée bouffeuse de pines dis-donc ! Elle se console souvent toute seule après, comme ça ?

Je lui réponds :

- Forcément bande de salauds puisqu’il n’y en a pas un seul qui soit capable de triquer. Je dois compenser votre impuissance toute seule... Ça baise vingt minutes et après plus rien... Bande de minables... Petites bites !

Les mecs rient tout en bouffant leurs tartines ou leurs sandwichs.
L’un deux dit :

- J’ai peut-être ce qu’il lui faut !

Et il brandit un concombre de fort belle taille, qu’on n’a pas encore été entamé.
Un autre reprit :

- Vas-y Amine, fous lui dans la chatte et je le suce après !
- Chiche !
- Chiche !

Alors les gars me soulevent et me posent sur la table entre les assiettes et les bouteilles.

- Ah la vache, elle est couverte de sperme !
- Ouais... On l’a bien arrosée la garce.

Le dénommé Amine m’enfonce donc le concombre dans le con, avec un sourire vicelard, et il lui fait faire une série de mouvements vigoureux. La dureté du légume ainsi que ses dimensions avantageuses me remplissent immédiatement l’intégralité du con et de satisfaction.

- Oh putain les gars, elle a le concombre dans le saladier !

Saillie qui provoque une cascade de rires comme tout le reste de l’humour épais de ces joyeux compagnons...
Et pendant ce concours de plaisanteries graveleuses, Mousse prend une petite cuillère et commence à ramasser le sperme qui me recouvre le corps. La chose ne fut pas si aisée car il ne reste guère que des boulettes coagulées, tout le reste s’est écoulé. Mais il en récupéra suffisamment pour en beurrer une petite tranche de pain :

- Tiens ! Tu dois avoir faim !
- Ouais, prends une tartine de sperm-doux la belle !
- Paraît que c’est bon pour la gorge !

Et j’ai pu ainsi m’alimenter, toujours dans les cris et les clameurs. On rigole gras !
Finalement, je finis par prendre le concombre moi-même à pleines main et à me faire jouir avec. Les mecs concentrés, mataient avec avidité. Quelques-uns recommençaient à bander. La force de mon orgasme secoue la table, mes cris percent des tympans et je retombe de fatigue quand tout est terminé. Des mecs essayent aussitôt de m’enfiler mais je le leur interdis.

- Ah non, les gars, je suis claquée. Si je vous prends au fur et à mesure que vos bites se réveillent, je ne vais jamais prendre de pause. Quand tout le monde aura la gaule, on recommencera !

Personne n’y trouva rien à redire et nous en profitons tous pour nous restaurer. Les mecs bien sûr me frôlent ou de temps en temps me pelotent un nichon ou me caressent la raie ou m’insinuent un doigt dans le fion, le tout assez furtivement.
Les discussions portent sur les dimensions et les prouesses de chacun, sur le plaisir comparé de la bite dans le con ou de la bite dans le cul, sans parler de la bouche, de leurs meilleurs coups, de leurs plus belles partouzes pour ceux qui en avaient déjà faites, mais ils étaient rares.
Finalement, l’un d’eux décide de lancer un concours de bites.

- Eh les mecs, on s’aligne pour voir c’est qui qu’à la plus grosse à lui mettre dans le fion... Aziz t’arbitre le concours ?

Alors ils s’alignent. Rien qu’à la perspective du jeu, certains se remettent à bander mais je dois en sucer quelques-uns pour leur redonner vigueur.
Sans surprise, Riadh avait la plus épaisse. Mais la plus longue appartenait à Hakim, puis venait un certain Slim, un ami d’enfance d’Aziz et enfin Abdou, le pote black de Mousse.

- Alors, on les récompense comment les lauréats ?
- Eh les gars, vous lui faites une triple avec vos grandes zboub ?
- Oh ouais bonne idée, une triple !

Et toute la société se mit à réclamer en applaudissant et vociférant :

- Une triple… une triple… une triple… une triple !

Comme référence chacun n’a que des films porno. Et, grâce à l’ordinateur de Riadh et ses playlists soigneusement rangées sur un site de cul, nous trouvons vite une illustration animée qu’on se presse de réaliser.
Abdou s’allonge donc sur le sol et je me laisse glisser sur son nœud en m’allongeant sur lui. Slim me monte en bouledogue. Pour les deux, la chose fut aisée. Il fut plus compliqué de rentrer le pénis de Hakim dans ma chatte déjà bien occupée.
Mais en persévérant un peu, nous y sont arrivés. Cela offre encore la possibilité à un mec à genoux, un de chaque côté de la tête de Abdou, devant moi, de se faire sucer. Cela donne lieu évidemment à des dérapages verbaux :

- Eh, Abdou, puisque t’es là, bouffe-lui les roustons !
- Même pas dans tes rêves ! Qu’il répond.
- Lèche lui le cul alors...
- OK, mais après toi !

Et les éclats de rire fusent.
Cependant, comme il n’y a guère que Hakim à se remuer, ce qu’il ne fait pas sans que les deux queues ne s’échappent de mon vagin deux ou trois fois, chacun juge plus pragmatique de revenir à de bons vieux classiques.
Seulement, Aziz a pu, pendant le premier round, se faire une idée des possibilités des différents intervenants. Il ne faut pas oublier que je suis livrée à tous ces mâles pour son plaisir… Et un peu le mien aussi !
Il prend donc la direction des opérations, fixant à chacun ce qu’il a, à faire. Cela s’accorde mal avec l’impatience des garçons, mais ils n'ont guère le choix.
Il y a un vieux canapé, très large et très profond, dans le fond de la pièce. Après l’avoir décollé du mur auquel il était adossé, Aziz fait s’asseoir un type, sur le quel je viens m’asseoir à mon tour, ou plutôt m’appuyer, suffisamment pour que je puisse attraper sa queue et la branler et qu’il puisse me peloter les nichons. J’écarte mes cuisses au maximum offrant la possibilité à mon vicieux beau-père de venir me bouffer la moule bien ouverte et, enfin, un mec debout darde sa queue en direction de ma bouche.
L’expertise de mon beau père m’emmène directement au plafond. Il faut dire qu’il à les lèvres épaisses, une grande bouche et une grosse langue dont il sait faire un usage consommé. Il me la fourre dans le trou et me ravine la chatte avec talent.
Quant Aziz, en a assez, il fait changer les rôles. Ainsi, à l’exception du mec qui est dans mon dos, chacun passa la tête entre mes cuisses et son nœud dans ma bouche. À la fin du tour, je dois m’allonger sur le côté et le mec qui est derrière moi doit m’enfiler.
Des flashs crépitent. Aziz prend des photos.

- Allez. Il faut que la salope suce deux bites à la fois !

Je me mets donc à genoux pour exécuter cette sentence.
Le reste est confus. La fatigue venant, je ne me souviens pas de tout ce que j’ai pu ramasser. La seule chose que je peux dire, c’est qu’ils m’ont prise par tous les trous. À aucun moment je n’ai eu la chatte ou le cul vide et la bouche ne s’est guère arrêtée de sucer.
Je me souviens cependant de sacrés coups de queues, notamment de quelques bonnes doubles, un gars devant, un autre derrière, me besognant sous les ordres de mon mari.

- Allez-y les gars, déboitez-là. Vous voyez qu’elle aime ça. Vas-y Anis ! Fais-toi plais’... Ouais, c’est bien gros ! Jutes-lui bien au fond de la chatte là ! Ouais.... C’est bon ça... Qui veut la place ?

Il n’y a pas à attendre longtemps. Pour autant, si Amine venait de me fourrer le fion avec beaucoup d’énergie, il est bien le seul à s’être vidé les couilles pour la troisième fois. Il me semble que les garçons ne sont plus assez endurant dans cette prestation que lors de la première. Et, quant à moi, je commence à fatiguer grave. J’ai mal à la mâchoire à force de sucer et aux adducteurs à force d’écarter les cuisses. Je n’ose imaginer mes fesses qui doivent être écarlates.
Aziz distribue toujours les consignes. Mais, à mesure que je me fais sauter, il comprend davantage quelles sont les positions dans lesquelles il préfère me voir prise.
D’abord par derrière, soit en levrette, soit debout penchée en avant, une bite dans le cul ou la chatte et une dans la bouche. Il ne dédaigne pas non plus de me voir allongée sur la table, le cul au bord et un mec debout me pilonnant, ce que mon beau-frère réussit admirablement. Mon homme aime bien regarder ainsi la queue rentrer dans la chatte et mes gros lolos rouler, toujours dans le même sens, au rythme cadencé des coups de pine.
Il raffole des cravates de notaire pourvu que la tige que je comprime entre mes lourdes mamelles soit suffisamment longue pour être toujours bien visible.
Enfin, il veut voir du jus. Il adore me contempler couverte de sperme, particulièrement sur le visage, sur les nichons ou dans la raie. La totale quoi !
Il fait donc des essais toute la soirée pour me voir sous l’angle qui lui donne les meilleurs frissons et, dans cette séance, il fut le seul à ne pas me toucher, se contentant de filmer, de mater et, pour finir, il éjacule sans se toucher, au dessus de mon visage alors que je suis allongée sur le canapé en train de me faire ramoner par Abdou, le black.
Désormais, à chaque fois qu’un mec jute, Aziz ramasse le sperme sur ses doigts pour me le faire bouffer. Je finis donc la soirée avec la bouche engluée de jus une fois que tous les mecs aient découillé.
Il est tard. Quelques types restent à prendre un verre. Ceux qui habitent dans les environs nous quittent, les autres gagnent les piaules qu’on leur avait assignées. J’en fais autant mais, au moment de partir, j’entends mon beau-père dire à son fils.

- Dis, tu fermes pas ta porte hein ? J’viens te la sauter demain matin !
- Ça marche. À demain.

Pour le moment, j’avoue que je suis près de l’overdose de bites. Mais j’étais trop claquée pour protester et je me dis, en montant dans ma douche que je serai peut-être bien heureuse le lendemain à l’aube de trouver une bonne queue.

FIN

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