Offerte dans une chasse privée
Récit érotique écrit par Lyliane [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 23 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Lyliane ont reçu un total de 154 527 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-06-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 8 756 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Offerte dans une chasse privée
Après avoir vendu notre affaire, nous prenons, mon mari et moi, un peu de vacances bien méritées. Je reste quelque temps sans faire la salope et ça me va. Jusqu’au jour où, un de mes anciens clients m’accoste dans la rue et m’invite pour deux jours dans une chasse privée dans les Landes. Je le regarde avec surprise :
- Je me demande bien ce que je vais y faire, je n’aime pas tuer les animaux et les armes me font peur !
- Je te connais bien, je sais que tu vas me faire plaisir.
- Et pourquoi donc ?
- Tu me dois bien ça vu le nombre de fois où je t’ai couverte quand tu faisais la salope en ville.
- Ouais, admettons que je veuille bien. Que devrais-je faire ?
- J’ai des amis qui possèdent une chasse privée dans les Landes.
- Oui et alors ?
- Ils m’ont fait une demande un peu particulière et j’ai pensé à toi.
- A moi ? Pourquoi ?
- Je voudrais que tu te mettes à leur disposition pour faire la serveuse et animer le week-end.
Je commence à comprendre et j’imagine la mise à disposition et l’animation. Mon subconscient commence à réagir ainsi que mon corps. L’homme insiste :
- Tu es suffisamment salope pour accepter. Ne me laisse pas tomber, je me suis engagé ! Et je ne connais que toi, tu sais faire le service et je peux te dire que tu vas bien t’amuser. Fais-moi confiance !
Je ne mets pas longtemps à réfléchir. Mon mari est toujours convalescent et l’inactivité commence à me peser.
- Bon d’accord tu as gagné, je veux bien te rendre service.
J’ai déjà la tête pleine d’images. Je m’y vois déjà en train de faire la coquine au milieu d’hommes virils.
Nous voilà en début de week-end de chasse. Nous sommes samedi matin, il est 9h00, nous prenons la route pour être sur place vers 10h30 environ. J’aurai ainsi tout le temps pour repérer les lieux. Je suis déjà vêtue comme demandé. Mes vêtements des plus minimalistes : Une mini-jupe kaki, des cuissardes noires et un gros ceinturon noir assorti avec un bustier très décolleté.
Nous nous garons devant un superbe airial Landais. C’est vraiment typique de ce département. Je vois qu’il y a déjà beaucoup de monde étant donné les grosses et luxueuses voitures stationnées !
Après être descendue de voiture, je me dirige vers la maison principale. J’entre dans une grande pièce. Il s’agit de la pièce commune. Plusieurs tables genre monastère sont soigneusement disposées. Une cheminée immense trône contre un mur et dans un recoin se trouve une autre pièce ouverte de 50m2 environ avec un bar dans un angle. L’ambiance fait très rustique.
Un homme d’une cinquantaine d’années s’approche de moi pour m’accueillir. Vu son regard qui détaille mon corps, je pense qu’il n’est pas déçu. Il me fait un grand sourire tout en me disant que je suis superbe, beaucoup plus jolie qu’il ne le pensait.
Je le remercie même si je n’aime pas trop recevoir des compliments. L’homme m’accompagne au bar tout en me demandant si je désire boire quelque chose. Il ajoute que tout m’est offert durant ce séjour. Mon chauffeur demande un café. Personnellement j’ai besoin d’un petit remontant, alors je prends un whisky. L’homme me dit alors gentiment de me servir moi-même en passant derrière le bar. Puis il m’explique qu’il aimerait que je fasse la serveuse.
J’accepte immédiatement, après tout je suis là pour animer le week-end. Au moment où je fais le tour du comptoir, il me demande si ça me dérange de servir seins nus. Comme si j’avais l’habitude d’être gênée à moitié à poil ? Je lui réponds qu’il n’y a pas de problèmes. J’enlève donc mon bustier et laisse ma poitrine apparente. Je ne porte plus qu’une mini-jupe avec mes cuissardes.
Comme d’habitude, je vois les effets que provoque ma nudité chez les hommes. Plusieurs se rapprochent du bar pour me saluer et me flatter. J’aime cette attention. Être entourée de tant de mâles envoie des picotements dans mon sexe.
La matinée se termine. Il semble que tout le monde soit arrivé. Un joyeux brouhaha règne dans la pièce. Tous ces hommes semblent se connaître depuis longtemps. Les conversations sont animées. Je joue mon rôle de serveuse en prenant les commandes et en les servant. Plusieurs fois, en passant avec mon plateau, je sens quelques mains téméraires passer sous ma jupe pour me tâter les fesses. Je ne vais pas me plaindre, je sais que je suis là pour ça et c’est loin de me déplaire.
La mise en place du repas de midi ainsi que le service de ce repas est finalement assuré par les employés masculins d’un traiteur. Je comprends que mon rôle est à priori de tenir le bar.
Pendant ce repas, le vin coule à flot, les verres ne désemplissent pas. Si bien que tout le monde est un peu pompette. Je commence à entendre des propos paillards, le verbe monte avec le vin.
A la fin du repas, c’est le moment d’une petite animation. On me demande d’approcher et de mieux me montrer. Je m’exécute avec grand plaisir. La musique change pour un rythme plus langoureux. Deux de ces messieurs m’aident à monter sur une table massive. Je me sens bien ici, très bien même. Je sens que mon corps s’échauffe, je me sens mouiller sous les propos vicieux de tous ces hommes. Je m’excite de plus en plus en dansant. Ma petite jupe ne reste pas longtemps sur mon cul. Je m’en débarrasse très vite. Bien sûr, je ne porte rien en dessous.
Après une courte danse lascive, je demande de l’aide pour descendre. Puis, avec plaisir et envie, je fais le tour des participants. Timidement, certains me caressent en riant. D’autres plus audacieux mais moins nombreux reculent leurs chaises et sortent leur bite. Je me retrouve bientôt à les sucer un par un. Je découvre des petites bites surmontées d’un gros bide, des grosses bites bien vigoureuses, des bites entourées de beaucoup de poils, des bites fines mais longues, des bites courtes mais épaisses. Pour moi, peu importe le sexe, je m’active avec ardeur si bien que petit à petit je deviens collante de sperme.
Toutefois, je suis frustrée. J’ai moi aussi envie de jouir. Mon excitation, tous ces hommes, les propos vicieux font que je n’en peux plus. Alors, j’appuie mes fesses contre la table et je commence à me caresser du plus en plus rapidement. Tous les yeux sont fixés sur moi. Bientôt je hurle ma jouissance devant tous ces hommes. Je regrette seulement que pas un seul n’ait été capable de me renverser sur la table et me pénétrer sauvagement.
C’est le début d’après-midi. Ces messieurs, le fusil à la main, partent taquiner le gibier. Je me dis que les pauvres bêtes ne craignent pas grand-chose avec ces gars à moitié bourrés. Pour ma part, j’en profite pour me laver de toutes les traces du déjeuner.
Je retrouve ma pauvre mini-jupe, mais elle est déchirée, sûrement en l’enlevant. Je suis bien ennuyée je le signale à mon hôte. Il me regarde de haut en bas et me dis que ça ne le dérange pas. Il ajoute que je porte très bien le nu et je n’ai pas besoin de vêtements. Il me prend par la main en me demandant s'il y a la possibilité qu’il ait le même traitement que les autres.
C’est donc en bout de bar maintenant désert que je m’agenouille, défait son pantalon, sort sa bite et le suce avec gourmandise. Son sexe est bien gros et bien raide.
Au bout de quelques minutes, sans rien me demander, il me lève, me retourne et me plaque contre le bar. Je sens son sexe pénétrer ma chatte dégoulinante. J’en avais tant besoin. L’homme me baise avec vigueur en tripotant ma poitrine. J’attendais ça depuis mon arrivée. Je suis si bien que je ne tarde pas à avoir un orgasme énorme qui me laisse complètement vidée.
Alors que j’essaie de récupérer, l’esprit embrumé de plaisir, je l’entends me dire de m’allonger et de me reposer, car la journée est loin d’être finie.
En fin d’après-midi, tout ce petit monde se retrouve au bar pour prendre l’apéro que je leur sers, toute requinquée de ma sieste bien méritée. L’alcool aidant, ces messieurs deviennent de plus en plus entreprenants. Si bien que je me retrouve plusieurs fois assise sur les genoux de l’un ou de l’autre où je me laisse caresser et tripoter avec plaisir.
Certains poussent même le vice, je dois les sucer à la vue de tous. Pendant le dîner, certains me demandent de passer dessous la table pour les sucer. Obéissante je m’active pour leur faire plaisir. En vérité, j’aime cette ambiance. Le repas terminé, je retourne au bar pour le dernier verre de la soirée.
C’est alors que je vois un seau à champagne posé sur le bar. Il est rempli de petits bouts de papier. On me demande de l’apporter au milieu de la pièce. Je comprends qu’il s’agit d’une loterie. Notre hôte commence par expliquer le but de ce jeu : chaque papier a le nom d’un homme avec lequel je devrais passer au moins une heure. Au terme de celle-ci, je devrais changer de chambre et cela jusqu’à ce que je les ai tous rejoint, le dernier me gardant avec lui pour la fin de la nuit. Je comprends que je ne vais pas beaucoup dormir. Mais au lieu d’être inquiète, je suis de plus en plus excitée.
La loterie commence, couverte par les rires de ces hommes qui ont l’air d’être enchantés de leur soirée. Une dizaine de papiers plus tard, j’ai en main la liste des chambres que je dois visiter ainsi que l’ordre dans laquelle je vais procéder.
La soirée commence vraiment pour moi. Le premier gagnant m’emmène en me prenant par la main pour rejoindre sa chambre. Il me couche sur le lit et sans préliminaires, il se rue sur moi comme un mort de faim. Il me baise à couilles rabattues sans se soucier de mon plaisir. Mais cela ne me gêne pas, j’aime ce traitement.
Je ne me souviens pas s’ils sont du genre timide, s’ils se font sucer devant tout le monde. En tout cas, dans l’intimité de la chambre, ils sont beaucoup plus entreprenants. Je suce, je chevauche, je me fais pilonner à quatre pattes, toutes les positions y passent.
Je passe d’une chambre à l’autre pendant une bonne partie de la nuit. Certains hommes se régalent même du sperme de leur prédécesseur. D’autres me pousse sous la douche que je prends glacée pour me ravigorer.
Quand j’arrive à mon dernier client, si je puis dire, la nuit est bien entamée. En ouvrant la porte, je découvre avec qui je vais passer le restant de la nuit. C’est un gentil monsieur qui doit avoir la soixantaine d’années. Il est chauve et bedonnant comme beaucoup d’hommes à cet âge-là.
Pendant plus d’une heure, il me défonce littéralement. Il a une de ces formes, il a la force d’un jeune homme. Il n’en revient pas de la chance qu’il a d’être avec moi, il est comme un enfant découvrant un nouveau jouet.
Il me demande d’abord de le sucer. Sa bite, molle au début, devient bien épaisse. Je suis contente alors je m’applique. Il éjacule au fond de ma gorge, j'avale le tout rapidement.
Après s’être allongé sur le lit je le branle pour lui faire reprendre vigueur pendant qu’il explore mon corps avec ses mains. Il se remet à bander très vite. Je me met à quatre pattes sur le lit et il me pénètre violemment.
Il me baise comme un cheval en rut. Je mouille abondamment. Nous avons passé un bon moment ainsi entre baise, éjaculation, orgasme, remise en forme de sa bite, baise encore et encore.
Finalement, je m’endors dans ses bras comme un bébé.
C’est une sensation de plaisir qui me réveille le dimanche matin. Dans mon dos, le coquin commence à me pénétrer doucement. Il goûte a la moiteur de mon sexe. Il s’active lentement et longuement, ce qui me met en forme pour la journée.
Quand j’arrive dans la grande salle pour prendre mon petit déjeuner, tout le monde se retourne pour me regarder avec de grands sourires. Je suis troublée par cette attention. Je ressens une drôle d’impression, bien vite oubliée avec la présence de tous ces hommes.
La matinée se passe tranquillement. J’ai accepté de les accompagner à la chasse. Ils ne tirent pas que des coups de fusil. Sur les coups de midi je suis toujours avec eux. Ils sont beaucoup plus calmes maintenant que la fatigue commence à se faire sentir. Ça n’empêche pas que plusieurs d’entre eux veulent se faire sucer avant mon départ. Gentille et salope, je m’applique à les satisfaire.
Aussitôt monté dans la voiture, je m’écroule de fatigue. Je dors pendant tout le chemin du retour je ne me rends même pas compte que mon chauffeur s’est garé à côté de la boulangerie le temps de chercher du pain. Il m’a laissée nue sur la banquette arrière à la vue des passants outrés.
Je n’oublierai jamais ce week-end que j’ai vraiment adoré.
- Je me demande bien ce que je vais y faire, je n’aime pas tuer les animaux et les armes me font peur !
- Je te connais bien, je sais que tu vas me faire plaisir.
- Et pourquoi donc ?
- Tu me dois bien ça vu le nombre de fois où je t’ai couverte quand tu faisais la salope en ville.
- Ouais, admettons que je veuille bien. Que devrais-je faire ?
- J’ai des amis qui possèdent une chasse privée dans les Landes.
- Oui et alors ?
- Ils m’ont fait une demande un peu particulière et j’ai pensé à toi.
- A moi ? Pourquoi ?
- Je voudrais que tu te mettes à leur disposition pour faire la serveuse et animer le week-end.
Je commence à comprendre et j’imagine la mise à disposition et l’animation. Mon subconscient commence à réagir ainsi que mon corps. L’homme insiste :
- Tu es suffisamment salope pour accepter. Ne me laisse pas tomber, je me suis engagé ! Et je ne connais que toi, tu sais faire le service et je peux te dire que tu vas bien t’amuser. Fais-moi confiance !
Je ne mets pas longtemps à réfléchir. Mon mari est toujours convalescent et l’inactivité commence à me peser.
- Bon d’accord tu as gagné, je veux bien te rendre service.
J’ai déjà la tête pleine d’images. Je m’y vois déjà en train de faire la coquine au milieu d’hommes virils.
Nous voilà en début de week-end de chasse. Nous sommes samedi matin, il est 9h00, nous prenons la route pour être sur place vers 10h30 environ. J’aurai ainsi tout le temps pour repérer les lieux. Je suis déjà vêtue comme demandé. Mes vêtements des plus minimalistes : Une mini-jupe kaki, des cuissardes noires et un gros ceinturon noir assorti avec un bustier très décolleté.
Nous nous garons devant un superbe airial Landais. C’est vraiment typique de ce département. Je vois qu’il y a déjà beaucoup de monde étant donné les grosses et luxueuses voitures stationnées !
Après être descendue de voiture, je me dirige vers la maison principale. J’entre dans une grande pièce. Il s’agit de la pièce commune. Plusieurs tables genre monastère sont soigneusement disposées. Une cheminée immense trône contre un mur et dans un recoin se trouve une autre pièce ouverte de 50m2 environ avec un bar dans un angle. L’ambiance fait très rustique.
Un homme d’une cinquantaine d’années s’approche de moi pour m’accueillir. Vu son regard qui détaille mon corps, je pense qu’il n’est pas déçu. Il me fait un grand sourire tout en me disant que je suis superbe, beaucoup plus jolie qu’il ne le pensait.
Je le remercie même si je n’aime pas trop recevoir des compliments. L’homme m’accompagne au bar tout en me demandant si je désire boire quelque chose. Il ajoute que tout m’est offert durant ce séjour. Mon chauffeur demande un café. Personnellement j’ai besoin d’un petit remontant, alors je prends un whisky. L’homme me dit alors gentiment de me servir moi-même en passant derrière le bar. Puis il m’explique qu’il aimerait que je fasse la serveuse.
J’accepte immédiatement, après tout je suis là pour animer le week-end. Au moment où je fais le tour du comptoir, il me demande si ça me dérange de servir seins nus. Comme si j’avais l’habitude d’être gênée à moitié à poil ? Je lui réponds qu’il n’y a pas de problèmes. J’enlève donc mon bustier et laisse ma poitrine apparente. Je ne porte plus qu’une mini-jupe avec mes cuissardes.
Comme d’habitude, je vois les effets que provoque ma nudité chez les hommes. Plusieurs se rapprochent du bar pour me saluer et me flatter. J’aime cette attention. Être entourée de tant de mâles envoie des picotements dans mon sexe.
La matinée se termine. Il semble que tout le monde soit arrivé. Un joyeux brouhaha règne dans la pièce. Tous ces hommes semblent se connaître depuis longtemps. Les conversations sont animées. Je joue mon rôle de serveuse en prenant les commandes et en les servant. Plusieurs fois, en passant avec mon plateau, je sens quelques mains téméraires passer sous ma jupe pour me tâter les fesses. Je ne vais pas me plaindre, je sais que je suis là pour ça et c’est loin de me déplaire.
La mise en place du repas de midi ainsi que le service de ce repas est finalement assuré par les employés masculins d’un traiteur. Je comprends que mon rôle est à priori de tenir le bar.
Pendant ce repas, le vin coule à flot, les verres ne désemplissent pas. Si bien que tout le monde est un peu pompette. Je commence à entendre des propos paillards, le verbe monte avec le vin.
A la fin du repas, c’est le moment d’une petite animation. On me demande d’approcher et de mieux me montrer. Je m’exécute avec grand plaisir. La musique change pour un rythme plus langoureux. Deux de ces messieurs m’aident à monter sur une table massive. Je me sens bien ici, très bien même. Je sens que mon corps s’échauffe, je me sens mouiller sous les propos vicieux de tous ces hommes. Je m’excite de plus en plus en dansant. Ma petite jupe ne reste pas longtemps sur mon cul. Je m’en débarrasse très vite. Bien sûr, je ne porte rien en dessous.
Après une courte danse lascive, je demande de l’aide pour descendre. Puis, avec plaisir et envie, je fais le tour des participants. Timidement, certains me caressent en riant. D’autres plus audacieux mais moins nombreux reculent leurs chaises et sortent leur bite. Je me retrouve bientôt à les sucer un par un. Je découvre des petites bites surmontées d’un gros bide, des grosses bites bien vigoureuses, des bites entourées de beaucoup de poils, des bites fines mais longues, des bites courtes mais épaisses. Pour moi, peu importe le sexe, je m’active avec ardeur si bien que petit à petit je deviens collante de sperme.
Toutefois, je suis frustrée. J’ai moi aussi envie de jouir. Mon excitation, tous ces hommes, les propos vicieux font que je n’en peux plus. Alors, j’appuie mes fesses contre la table et je commence à me caresser du plus en plus rapidement. Tous les yeux sont fixés sur moi. Bientôt je hurle ma jouissance devant tous ces hommes. Je regrette seulement que pas un seul n’ait été capable de me renverser sur la table et me pénétrer sauvagement.
C’est le début d’après-midi. Ces messieurs, le fusil à la main, partent taquiner le gibier. Je me dis que les pauvres bêtes ne craignent pas grand-chose avec ces gars à moitié bourrés. Pour ma part, j’en profite pour me laver de toutes les traces du déjeuner.
Je retrouve ma pauvre mini-jupe, mais elle est déchirée, sûrement en l’enlevant. Je suis bien ennuyée je le signale à mon hôte. Il me regarde de haut en bas et me dis que ça ne le dérange pas. Il ajoute que je porte très bien le nu et je n’ai pas besoin de vêtements. Il me prend par la main en me demandant s'il y a la possibilité qu’il ait le même traitement que les autres.
C’est donc en bout de bar maintenant désert que je m’agenouille, défait son pantalon, sort sa bite et le suce avec gourmandise. Son sexe est bien gros et bien raide.
Au bout de quelques minutes, sans rien me demander, il me lève, me retourne et me plaque contre le bar. Je sens son sexe pénétrer ma chatte dégoulinante. J’en avais tant besoin. L’homme me baise avec vigueur en tripotant ma poitrine. J’attendais ça depuis mon arrivée. Je suis si bien que je ne tarde pas à avoir un orgasme énorme qui me laisse complètement vidée.
Alors que j’essaie de récupérer, l’esprit embrumé de plaisir, je l’entends me dire de m’allonger et de me reposer, car la journée est loin d’être finie.
En fin d’après-midi, tout ce petit monde se retrouve au bar pour prendre l’apéro que je leur sers, toute requinquée de ma sieste bien méritée. L’alcool aidant, ces messieurs deviennent de plus en plus entreprenants. Si bien que je me retrouve plusieurs fois assise sur les genoux de l’un ou de l’autre où je me laisse caresser et tripoter avec plaisir.
Certains poussent même le vice, je dois les sucer à la vue de tous. Pendant le dîner, certains me demandent de passer dessous la table pour les sucer. Obéissante je m’active pour leur faire plaisir. En vérité, j’aime cette ambiance. Le repas terminé, je retourne au bar pour le dernier verre de la soirée.
C’est alors que je vois un seau à champagne posé sur le bar. Il est rempli de petits bouts de papier. On me demande de l’apporter au milieu de la pièce. Je comprends qu’il s’agit d’une loterie. Notre hôte commence par expliquer le but de ce jeu : chaque papier a le nom d’un homme avec lequel je devrais passer au moins une heure. Au terme de celle-ci, je devrais changer de chambre et cela jusqu’à ce que je les ai tous rejoint, le dernier me gardant avec lui pour la fin de la nuit. Je comprends que je ne vais pas beaucoup dormir. Mais au lieu d’être inquiète, je suis de plus en plus excitée.
La loterie commence, couverte par les rires de ces hommes qui ont l’air d’être enchantés de leur soirée. Une dizaine de papiers plus tard, j’ai en main la liste des chambres que je dois visiter ainsi que l’ordre dans laquelle je vais procéder.
La soirée commence vraiment pour moi. Le premier gagnant m’emmène en me prenant par la main pour rejoindre sa chambre. Il me couche sur le lit et sans préliminaires, il se rue sur moi comme un mort de faim. Il me baise à couilles rabattues sans se soucier de mon plaisir. Mais cela ne me gêne pas, j’aime ce traitement.
Je ne me souviens pas s’ils sont du genre timide, s’ils se font sucer devant tout le monde. En tout cas, dans l’intimité de la chambre, ils sont beaucoup plus entreprenants. Je suce, je chevauche, je me fais pilonner à quatre pattes, toutes les positions y passent.
Je passe d’une chambre à l’autre pendant une bonne partie de la nuit. Certains hommes se régalent même du sperme de leur prédécesseur. D’autres me pousse sous la douche que je prends glacée pour me ravigorer.
Quand j’arrive à mon dernier client, si je puis dire, la nuit est bien entamée. En ouvrant la porte, je découvre avec qui je vais passer le restant de la nuit. C’est un gentil monsieur qui doit avoir la soixantaine d’années. Il est chauve et bedonnant comme beaucoup d’hommes à cet âge-là.
Pendant plus d’une heure, il me défonce littéralement. Il a une de ces formes, il a la force d’un jeune homme. Il n’en revient pas de la chance qu’il a d’être avec moi, il est comme un enfant découvrant un nouveau jouet.
Il me demande d’abord de le sucer. Sa bite, molle au début, devient bien épaisse. Je suis contente alors je m’applique. Il éjacule au fond de ma gorge, j'avale le tout rapidement.
Après s’être allongé sur le lit je le branle pour lui faire reprendre vigueur pendant qu’il explore mon corps avec ses mains. Il se remet à bander très vite. Je me met à quatre pattes sur le lit et il me pénètre violemment.
Il me baise comme un cheval en rut. Je mouille abondamment. Nous avons passé un bon moment ainsi entre baise, éjaculation, orgasme, remise en forme de sa bite, baise encore et encore.
Finalement, je m’endors dans ses bras comme un bébé.
C’est une sensation de plaisir qui me réveille le dimanche matin. Dans mon dos, le coquin commence à me pénétrer doucement. Il goûte a la moiteur de mon sexe. Il s’active lentement et longuement, ce qui me met en forme pour la journée.
Quand j’arrive dans la grande salle pour prendre mon petit déjeuner, tout le monde se retourne pour me regarder avec de grands sourires. Je suis troublée par cette attention. Je ressens une drôle d’impression, bien vite oubliée avec la présence de tous ces hommes.
La matinée se passe tranquillement. J’ai accepté de les accompagner à la chasse. Ils ne tirent pas que des coups de fusil. Sur les coups de midi je suis toujours avec eux. Ils sont beaucoup plus calmes maintenant que la fatigue commence à se faire sentir. Ça n’empêche pas que plusieurs d’entre eux veulent se faire sucer avant mon départ. Gentille et salope, je m’applique à les satisfaire.
Aussitôt monté dans la voiture, je m’écroule de fatigue. Je dors pendant tout le chemin du retour je ne me rends même pas compte que mon chauffeur s’est garé à côté de la boulangerie le temps de chercher du pain. Il m’a laissée nue sur la banquette arrière à la vue des passants outrés.
Je n’oublierai jamais ce week-end que j’ai vraiment adoré.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Lyliane
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je suis très excité par toutes tes expériences ! Vivement les prochaines aventures...