Offerte par mon maître 2
Récit érotique écrit par PetiteBibiche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Offerte par mon maître 2
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Il était encore tôt, mais j’étais déjà en train de me doucher pour faire l’amour. Je me lavais des sécrétions de la veille. Quand j’écartais les jambes dans la douche italienne, une quantité impressionnante de mouille et de foutre coula. Je me lavais le corps avec une éponge de corps et du gel douche à la framboise. J’insistais entre mes jambes, l’éponge me faisait des chatouilles. Je me frottais les seins en faisant des ronds sur mes tétons. Je me cambrais pour laver mes fesses, je les écartais pour rincer mon anus plein de mousse de savon. Les internautes pouvaient en profiter puisqu’il y avait des caméras partout dans la salle de bain pour alimenter le site de mon maître. Je restais de longues minutes à me rincer mon clito avec un jet d’eau puissant. Mon clito recommençait à gonfler. J’ouvris la bouche en grand tellement ça faisait du bien. Je rougis en pensant que les internautes me regardaient et que je n’avais pas le droit de refuser. Ils voyaient mes gros seins, ma croupe avec des taches de rousseurs et mon clito gonflé. Mon maître était allongé dans la chambre sur le lit, il s’impatientait :
- N’en profite pas pour te masturber avec le jet ! Cochonne ! cria-t-il depuis la chambre. Ramène tes mamelles esclave !
J’éteignis l’eau et pris une serviette toute douce pour m’essuyer. Je me séchais les seins en soupesant ma poitrine, je frottais mes tétons qui se dressèrent. Je descendis entre mes jambes bien écartée, la croupe légèrement en arrière, je faisais coulisser la serviette qui caressait mon clito. En me frottant avec la serviette, j’activais mon clito.
- Dépêche-toi !
Je laissais tomber la serviette et je rejoignis mon maître. Je montais sur le lit à quatre pattes.
- Oh putain, tu me fais bander ! s’exclama mon maître. Suce-moi !
Je me mis au-dessus de sa queue dure. Je sentis les odeurs dues à nos ébats de la veille, mais je me forçais d’entreprendre de le sucer. Je commençais à lécher et aspirer ses couilles. Il grognait de plaisir mais me presser sa main sur la tête.
- C’est… bien… bonne fille, continue !
J’astiquais son phallus en gémissant de concentration. Je suçotais son gland, puis d’un coup de main, il m’enfonça sa bite tout au fond de ma gorge. Je suffoquais mais il relâcha son emprise et je pus le sucer goulument. Ma bave coulait le long du pénis, j’aspirais avec bruit, soudain il se contracta, et poussa un long gémissement. Il maintenait ma tête contre son bassin, j’avais le nez dans ses poils, sa bite au fond de ma gorge. Il éjacula, puis relâcha son étreinte. J’avalais son sperme, j’avais les larmes aux yeux. Je me redressais légèrement parce que j’avais un peu mal aux seins. Pendant que je le suçais mes seins étaient écrasés contre ses jambes à cause de leur grosseur. Je caressais mes seins, je les soupesais. Mon maître m’observait, un sourire en coin, les yeux lubriques.
- Cet après-midi, tu vas faire des miracles, cochonne ! Sois gentille avec mon ami, cet après-midi !
- Oui maître, dis-je.
- Putain de salope ! Ma queue se lève de nouveau… Fais-moi voir ce que t’as entre les jambes !
Il entreprit de fouiller mes lèvres vaginales. J’étais gonflée de plaisir, mon clito était dur et gonflé. Mon maître enfonça ses doigts en moi ; il ricana en sentant ma chatte humide. Je gémissais. Je couinais, j’ondulais de la croupe, je voulais qu’il aille plus profond en moi, je voulais qu’il me pénètre avec son phallus, qu’il me gode, qu’il enfonce tout ce qu’il voulait en moi.
- Viens sur moi cochonne ! T’aimes ça, hein, être une femelle en chaleur ! Empale-toi sur moi ! dit mon maître.
- Oui, maître ! J’aime quand vous me prenez !
- Tu es à moi ! Tu es ma cochonne ! T’es ma cochonne de femelle en chaleur ! T’es mon esclave. Empale-toi femelle !
Je m’accroupis au-dessus de sa bite tendue. Puis je me laissais tomber. Sa queue transperça ma chatte gluante, je poussais un cri.
- Aaah ! Aaaah…
- Pétasse ! cochonne !
Je commençais des vas et viens sur la bite de mon maître, il y avait des bruits de sussions, j’avais honte mais je savais que c’était mon obligation. Je faisais des bons sur sa bite ! Ma chatte se contractait de plus en plus, je sentais monter l’orgasme. Mon maître le sentit et il me força à ralentir l’allure, je restais sans bouger, sa bite en moi, puis tout d’un coup, il me retourna pour me prendre en levrette. Me seins ballottaient de droite à gauche, j’avais pile poil un des caméras en face de moi, et les autres de part et d’autre filmait mon maître en train de me posséder.
- Ça te plaît, hein… de te faire prendre !
- Ouiii… maître… j’aime ça… C’est… c’est trop… bon ! dis-je en couinant.
Je couinais et je gémissais comme une cochonne. J’étais un esclave.
- Je suis… une esclave ! J’aime… encore… encore…
Mon maître me burinait la chatte, je sentais sa bite au fond de mon petit vagin serré plein de mouilles. Soudain, il me fourra tellement fort que je jouis en couinant, j’avais les yeux perdus dans le vague, je bavais comme une chienne. Mon maître éjacula deux secondes après moi. Je sentis le jet puissant taper au fond de mon vagin. Il me laissa comme ça.
Ensuite, je retournais à la douche. Il fallait que je me prépare pour cet après-midi.
A 14h, nous partions pour le bureau de mon maître. Comme on était dimanche il n’y aurait personne pour nous déranger et c’est pour ça que les deux hommes avaient choisi cette journée. Mon maître avait exigé que je mette un redresse seins avec un peu de dentelle pour cacher le dessus des seins mais comme j’ai des seins plutôt gros mes tétons dépassés. Puis je portais une sorte de cape transparente en tulle qui enserrait mon cou, puis une paire de bas avec des chaussures à talons blanches. Je portais un string ouvert au niveau de ma petite fente, puis pour cacher le tout, il avait ordonné que je mette un trench long. J’avais des couettes pour donner un côté vierge effarouchée.
Quand nous sommes arrivés, le client était déjà là. Nous entrions dans la salle de réunion aux murs de verres, il y avait une grande table transparente avec des fauteuils noirs, un grand canapé en cuir noir contre un mur. Mon maître m’avait mis une laisse en dentelle autour du cou. J’entrais derrière lui, les yeux par terre. Le client était un homme assez âgé, il était un peu gros, il semblait pervers. Il avait de grands pieds et soudain je me dis qu’il devait avoir une grosse bite.
- Bonjour Marcus ! dit mon maître. Content de te voir.
- Oui, moi de même ! On va pouvoir conclure l’affaire à ce que je vois, dit Marcus en me reluquant.
- Dis bonjour femelle !
- Bonjour, maître Marcus, dis-je en me mettant à quatre pattes pour embrasser son bas de pantalon.
- Tu l’as bien éduquée ! J’ai déjà signé le contrat comme tu peux le voir ! Passons aux bonnes choses ! s’exclama maître Marcus d’une voix graveleuse.
- Allez petite soumise, tu peux montrer ton corps ! dit mon maître en allumant la caméra qu’il avait apporté.
Maître Marcus s’installa dans le canapé, ouvrit la braguette de son pantalon et en sortit une bite grosse et molle. J’enlevais mon trench, puis m’approchais. Je m’agenouillais entre ses jambes, mon maître filmait la scène. Timidement je touchais la bite. J’approchais mon visage, puis ma bouche, je déposais un baiser sur la bite, j’embrassais la bite après avoir humectée mes lèvres. La bite se durcit. Maître Marcus me caressa la tête pour m’encourager, puis il attrapa mes seins, je me dressais vers lui pour pouvoir toucher son sexe et lui faire du bien tout en me faisant palper.
- Belle femelle ! Tu as de belles mamelles… aahh… tu me fais frémir, dit maître Marcus. Vas-y cochonne fais-toi plaisir.
- Oui maître, dis-je en prenant sa bite en bouche.
Je pris son gland rouge en bouche, puis je suçotais son gland, je commençais à prendre du plaisir, je sentais ma chatte devenir toute chaude, j’avais envie de me toucher. J’ondulais de la croupe, puis j’astiquais de plus en plus la bite. L’odeur légère de sexe m’excitait. Je souffrais presque de plaisir. Je couinais en suçant cette belle bite. Elle était vraiment grosse, je savais que j’allais un peu souffrir quand il me prendrait.
- C’est bon, hein ? dit l’homme en me caressant les cheveux. Tu aimes ma bite ?
- Oui… elle est bonne… c’est bon de sucer, dis-je en caressant furtivement mes lèvres vaginales.
- Je vais te niquer comme une salope de cochonne que tu es !
L’homme se leva et me palpa les seins, le pantalon sur ses chevilles. Il claqua mes fesses, puis il me tira les tétons. Il gifla mes seins. Je couinais de douleur. Sa bite était tendue. Il me désigna le canapé du doigt, j’obéis en me mettant à quatre pattes dessus, les seins pendant dans le vide, ma croupe vers l’extérieur. L’homme s’approcha par derrière, se pencha, attrapa mes hanches et m’enfonça sa bite profondément.
- Aïe…oohh…aahh, couinai-je.
- Ta gueule cochonne ! Une belle pute comme toi ça apprécie de se faire niquer ! dit maître Marcus. Oh, t’es bonne, toi !
Il me fourrait vite et fort. Il me pénétrait jusqu’au fond de mon vagin, ses couilles claquaient contre mon sexe et ma croupe, puis il ressortait vite et me repénétrait fort. Ma chatte était pleine de mouille, j’avais chaud. Je haletais. J’avais peur de cet homme, il me tenait à sa merci et il en profitait. Mon maître se régalait de filmer.
- C’est bien soumise ! Montre à tout le monde comment tu es chaude, comment tu aimes te faire buriner.
- Aaahh… huuummm…ooohhh…pitié, dis-je. Pitié !
- Pas de pitié pour les cochonnes ! Pas de pitié pour les esclaves ! grogna maître Marcus.
Il me prenait sans arrêter, il était endurant. Ma chatte était fouillée par cette bite, je souffrais de plaisir comme si j’avais les règles. Je me laissais faire pour ne pas souffrir davantage. Maître Marcus grognait en me palpant mes mamelles, il me tirait les seins dans touts les sens. Je gémissais. C’était tellement bon, et en maintenant je voulais que ça s’arrête. Soudain, il m’enfonça un doigt dans l’anus.
- Et ben, tu es sèche dans ce petit trou, dit l’homme. Huum, cochonne, tu es bien serrée là !
- Hooo… haann…haaa… gémissais-je.
Tout d’un coup l’homme fit glisser sa bite dans mon anus. Je poussais un cri. Il m’attrapa les bras et les fit passer derrière mon dos, il me tenait par les bras, j’étais obligée de me cambrer davantage et sa grosse bite rentra totalement dans mon anus. Il me sodomisa avec brutalité, puis il sortit sa bite, frotta son gland contre ma chatte qui coulait de mouille, je couinais de peur, puis il frotta son gland plein de mouille contre ma rosette et poussa de nouveau. Cette fois-ci j’avais moins mal. Je commençais à prendre du plaisir.
- Ooohh…haaa… c’est… bon… encore maître… je veux… votre bite dans mon cul, dis-je la caméra devant le visage.
- Tiens, prends-ça dans ton cul, tiens, cochonne ! Femelle en chaleur ! OOOhhh !!
Maître Marcus venait de jouir dans mon anus. Il resta en moi jusqu’à ce que sa bite ramollisse. Ensuite il sortit de moi et s’assit sur le canapé. Il me sourit et me dit qu’il fallait que je le nettoie.
- Allez, esclave, il faut me nettoyer, hein, dit-il en me caressant les cheveux.
- Oui, maître, dis-je en m’agenouillant.
Je mis cette bite pleine de mouille, de foutre et odorante dans ma bouche. Je léchais comme on lèche une glace. La caméra avait fait un gros plan. J’étais une vraie cochonne soumise !
une glace. La caméra avait fait de gros plan. J'étais une vraie soumise!
Il était encore tôt, mais j’étais déjà en train de me doucher pour faire l’amour. Je me lavais des sécrétions de la veille. Quand j’écartais les jambes dans la douche italienne, une quantité impressionnante de mouille et de foutre coula. Je me lavais le corps avec une éponge de corps et du gel douche à la framboise. J’insistais entre mes jambes, l’éponge me faisait des chatouilles. Je me frottais les seins en faisant des ronds sur mes tétons. Je me cambrais pour laver mes fesses, je les écartais pour rincer mon anus plein de mousse de savon. Les internautes pouvaient en profiter puisqu’il y avait des caméras partout dans la salle de bain pour alimenter le site de mon maître. Je restais de longues minutes à me rincer mon clito avec un jet d’eau puissant. Mon clito recommençait à gonfler. J’ouvris la bouche en grand tellement ça faisait du bien. Je rougis en pensant que les internautes me regardaient et que je n’avais pas le droit de refuser. Ils voyaient mes gros seins, ma croupe avec des taches de rousseurs et mon clito gonflé. Mon maître était allongé dans la chambre sur le lit, il s’impatientait :
- N’en profite pas pour te masturber avec le jet ! Cochonne ! cria-t-il depuis la chambre. Ramène tes mamelles esclave !
J’éteignis l’eau et pris une serviette toute douce pour m’essuyer. Je me séchais les seins en soupesant ma poitrine, je frottais mes tétons qui se dressèrent. Je descendis entre mes jambes bien écartée, la croupe légèrement en arrière, je faisais coulisser la serviette qui caressait mon clito. En me frottant avec la serviette, j’activais mon clito.
- Dépêche-toi !
Je laissais tomber la serviette et je rejoignis mon maître. Je montais sur le lit à quatre pattes.
- Oh putain, tu me fais bander ! s’exclama mon maître. Suce-moi !
Je me mis au-dessus de sa queue dure. Je sentis les odeurs dues à nos ébats de la veille, mais je me forçais d’entreprendre de le sucer. Je commençais à lécher et aspirer ses couilles. Il grognait de plaisir mais me presser sa main sur la tête.
- C’est… bien… bonne fille, continue !
J’astiquais son phallus en gémissant de concentration. Je suçotais son gland, puis d’un coup de main, il m’enfonça sa bite tout au fond de ma gorge. Je suffoquais mais il relâcha son emprise et je pus le sucer goulument. Ma bave coulait le long du pénis, j’aspirais avec bruit, soudain il se contracta, et poussa un long gémissement. Il maintenait ma tête contre son bassin, j’avais le nez dans ses poils, sa bite au fond de ma gorge. Il éjacula, puis relâcha son étreinte. J’avalais son sperme, j’avais les larmes aux yeux. Je me redressais légèrement parce que j’avais un peu mal aux seins. Pendant que je le suçais mes seins étaient écrasés contre ses jambes à cause de leur grosseur. Je caressais mes seins, je les soupesais. Mon maître m’observait, un sourire en coin, les yeux lubriques.
- Cet après-midi, tu vas faire des miracles, cochonne ! Sois gentille avec mon ami, cet après-midi !
- Oui maître, dis-je.
- Putain de salope ! Ma queue se lève de nouveau… Fais-moi voir ce que t’as entre les jambes !
Il entreprit de fouiller mes lèvres vaginales. J’étais gonflée de plaisir, mon clito était dur et gonflé. Mon maître enfonça ses doigts en moi ; il ricana en sentant ma chatte humide. Je gémissais. Je couinais, j’ondulais de la croupe, je voulais qu’il aille plus profond en moi, je voulais qu’il me pénètre avec son phallus, qu’il me gode, qu’il enfonce tout ce qu’il voulait en moi.
- Viens sur moi cochonne ! T’aimes ça, hein, être une femelle en chaleur ! Empale-toi sur moi ! dit mon maître.
- Oui, maître ! J’aime quand vous me prenez !
- Tu es à moi ! Tu es ma cochonne ! T’es ma cochonne de femelle en chaleur ! T’es mon esclave. Empale-toi femelle !
Je m’accroupis au-dessus de sa bite tendue. Puis je me laissais tomber. Sa queue transperça ma chatte gluante, je poussais un cri.
- Aaah ! Aaaah…
- Pétasse ! cochonne !
Je commençais des vas et viens sur la bite de mon maître, il y avait des bruits de sussions, j’avais honte mais je savais que c’était mon obligation. Je faisais des bons sur sa bite ! Ma chatte se contractait de plus en plus, je sentais monter l’orgasme. Mon maître le sentit et il me força à ralentir l’allure, je restais sans bouger, sa bite en moi, puis tout d’un coup, il me retourna pour me prendre en levrette. Me seins ballottaient de droite à gauche, j’avais pile poil un des caméras en face de moi, et les autres de part et d’autre filmait mon maître en train de me posséder.
- Ça te plaît, hein… de te faire prendre !
- Ouiii… maître… j’aime ça… C’est… c’est trop… bon ! dis-je en couinant.
Je couinais et je gémissais comme une cochonne. J’étais un esclave.
- Je suis… une esclave ! J’aime… encore… encore…
Mon maître me burinait la chatte, je sentais sa bite au fond de mon petit vagin serré plein de mouilles. Soudain, il me fourra tellement fort que je jouis en couinant, j’avais les yeux perdus dans le vague, je bavais comme une chienne. Mon maître éjacula deux secondes après moi. Je sentis le jet puissant taper au fond de mon vagin. Il me laissa comme ça.
Ensuite, je retournais à la douche. Il fallait que je me prépare pour cet après-midi.
A 14h, nous partions pour le bureau de mon maître. Comme on était dimanche il n’y aurait personne pour nous déranger et c’est pour ça que les deux hommes avaient choisi cette journée. Mon maître avait exigé que je mette un redresse seins avec un peu de dentelle pour cacher le dessus des seins mais comme j’ai des seins plutôt gros mes tétons dépassés. Puis je portais une sorte de cape transparente en tulle qui enserrait mon cou, puis une paire de bas avec des chaussures à talons blanches. Je portais un string ouvert au niveau de ma petite fente, puis pour cacher le tout, il avait ordonné que je mette un trench long. J’avais des couettes pour donner un côté vierge effarouchée.
Quand nous sommes arrivés, le client était déjà là. Nous entrions dans la salle de réunion aux murs de verres, il y avait une grande table transparente avec des fauteuils noirs, un grand canapé en cuir noir contre un mur. Mon maître m’avait mis une laisse en dentelle autour du cou. J’entrais derrière lui, les yeux par terre. Le client était un homme assez âgé, il était un peu gros, il semblait pervers. Il avait de grands pieds et soudain je me dis qu’il devait avoir une grosse bite.
- Bonjour Marcus ! dit mon maître. Content de te voir.
- Oui, moi de même ! On va pouvoir conclure l’affaire à ce que je vois, dit Marcus en me reluquant.
- Dis bonjour femelle !
- Bonjour, maître Marcus, dis-je en me mettant à quatre pattes pour embrasser son bas de pantalon.
- Tu l’as bien éduquée ! J’ai déjà signé le contrat comme tu peux le voir ! Passons aux bonnes choses ! s’exclama maître Marcus d’une voix graveleuse.
- Allez petite soumise, tu peux montrer ton corps ! dit mon maître en allumant la caméra qu’il avait apporté.
Maître Marcus s’installa dans le canapé, ouvrit la braguette de son pantalon et en sortit une bite grosse et molle. J’enlevais mon trench, puis m’approchais. Je m’agenouillais entre ses jambes, mon maître filmait la scène. Timidement je touchais la bite. J’approchais mon visage, puis ma bouche, je déposais un baiser sur la bite, j’embrassais la bite après avoir humectée mes lèvres. La bite se durcit. Maître Marcus me caressa la tête pour m’encourager, puis il attrapa mes seins, je me dressais vers lui pour pouvoir toucher son sexe et lui faire du bien tout en me faisant palper.
- Belle femelle ! Tu as de belles mamelles… aahh… tu me fais frémir, dit maître Marcus. Vas-y cochonne fais-toi plaisir.
- Oui maître, dis-je en prenant sa bite en bouche.
Je pris son gland rouge en bouche, puis je suçotais son gland, je commençais à prendre du plaisir, je sentais ma chatte devenir toute chaude, j’avais envie de me toucher. J’ondulais de la croupe, puis j’astiquais de plus en plus la bite. L’odeur légère de sexe m’excitait. Je souffrais presque de plaisir. Je couinais en suçant cette belle bite. Elle était vraiment grosse, je savais que j’allais un peu souffrir quand il me prendrait.
- C’est bon, hein ? dit l’homme en me caressant les cheveux. Tu aimes ma bite ?
- Oui… elle est bonne… c’est bon de sucer, dis-je en caressant furtivement mes lèvres vaginales.
- Je vais te niquer comme une salope de cochonne que tu es !
L’homme se leva et me palpa les seins, le pantalon sur ses chevilles. Il claqua mes fesses, puis il me tira les tétons. Il gifla mes seins. Je couinais de douleur. Sa bite était tendue. Il me désigna le canapé du doigt, j’obéis en me mettant à quatre pattes dessus, les seins pendant dans le vide, ma croupe vers l’extérieur. L’homme s’approcha par derrière, se pencha, attrapa mes hanches et m’enfonça sa bite profondément.
- Aïe…oohh…aahh, couinai-je.
- Ta gueule cochonne ! Une belle pute comme toi ça apprécie de se faire niquer ! dit maître Marcus. Oh, t’es bonne, toi !
Il me fourrait vite et fort. Il me pénétrait jusqu’au fond de mon vagin, ses couilles claquaient contre mon sexe et ma croupe, puis il ressortait vite et me repénétrait fort. Ma chatte était pleine de mouille, j’avais chaud. Je haletais. J’avais peur de cet homme, il me tenait à sa merci et il en profitait. Mon maître se régalait de filmer.
- C’est bien soumise ! Montre à tout le monde comment tu es chaude, comment tu aimes te faire buriner.
- Aaahh… huuummm…ooohhh…pitié, dis-je. Pitié !
- Pas de pitié pour les cochonnes ! Pas de pitié pour les esclaves ! grogna maître Marcus.
Il me prenait sans arrêter, il était endurant. Ma chatte était fouillée par cette bite, je souffrais de plaisir comme si j’avais les règles. Je me laissais faire pour ne pas souffrir davantage. Maître Marcus grognait en me palpant mes mamelles, il me tirait les seins dans touts les sens. Je gémissais. C’était tellement bon, et en maintenant je voulais que ça s’arrête. Soudain, il m’enfonça un doigt dans l’anus.
- Et ben, tu es sèche dans ce petit trou, dit l’homme. Huum, cochonne, tu es bien serrée là !
- Hooo… haann…haaa… gémissais-je.
Tout d’un coup l’homme fit glisser sa bite dans mon anus. Je poussais un cri. Il m’attrapa les bras et les fit passer derrière mon dos, il me tenait par les bras, j’étais obligée de me cambrer davantage et sa grosse bite rentra totalement dans mon anus. Il me sodomisa avec brutalité, puis il sortit sa bite, frotta son gland contre ma chatte qui coulait de mouille, je couinais de peur, puis il frotta son gland plein de mouille contre ma rosette et poussa de nouveau. Cette fois-ci j’avais moins mal. Je commençais à prendre du plaisir.
- Ooohh…haaa… c’est… bon… encore maître… je veux… votre bite dans mon cul, dis-je la caméra devant le visage.
- Tiens, prends-ça dans ton cul, tiens, cochonne ! Femelle en chaleur ! OOOhhh !!
Maître Marcus venait de jouir dans mon anus. Il resta en moi jusqu’à ce que sa bite ramollisse. Ensuite il sortit de moi et s’assit sur le canapé. Il me sourit et me dit qu’il fallait que je le nettoie.
- Allez, esclave, il faut me nettoyer, hein, dit-il en me caressant les cheveux.
- Oui, maître, dis-je en m’agenouillant.
Je mis cette bite pleine de mouille, de foutre et odorante dans ma bouche. Je léchais comme on lèche une glace. La caméra avait fait un gros plan. J’étais une vraie cochonne soumise !
une glace. La caméra avait fait de gros plan. J'étais une vraie soumise!
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