Officialisation de mon Statut
Récit érotique écrit par La courtisane [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 4 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.5
- • L'ensemble des récits érotiques de La courtisane ont reçu un total de 53 691 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-07-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 12 532 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Officialisation de mon Statut
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Après ma prestation de « la route du champagne », et les avantages que vous en avaient récoltés, vous avez décidé madame de faire perdurer notre relation. Il vous serait regrettable de me perdre. Vous me proposez donc de faire un contrat de soumise. Naturellement j’accepte votre offre. Le dit contrat stipule à peu prés ceci :
1. Que mon corps et mon esprit sont à Madame, qu’elle peut en faire ce qu’elle veut en tout temps. Je deviens son jouet sexuel.
2. Je devrais ne rien lui cacher, je devrais dire la vérité sans cesse.
3. je devrais être toujours de bonne humeur et le démontrer par mes paroles et mes actes4. je devrais faire de l’exercice physique minimum 1h/jour pour entretenir ma silhouette.
5. Mon corps pourra être modifié à la guise de madame, sans que je puisse dire quoique ce soit.
6. je n’ai plus le droit à aucune possession, tout ce que je gagnerai, hériterai ou concevrai sera de droit la propriété de Madame.
7. j’accepterai tout attouchement, peu importe de qui. Par contre je devrai refuser toute pénétration ou demande d’exhibition sans sa permission au préalable.
8. mon corps sera le plus présentable possible, en le lavant, à l'intérieur comme à l'extérieur. En épilant tout poil .Le maquillage, ma pédicure, ma manucure et mon parfum devront être toujours frais.
9. Mes enfantements possibles et futurs seront du ressort de madame. Mes progénitures seront, suivant leur appartenance, reconnue par madame en tant que mère ou pas.
10. Je serais, tel un bien commun, parti intégrante de l’héritage que les successeurs de madame pourraient recevoir.
11. je pourrais être louée voire vendue si madame en ressentait le besoin.
12. en contre parti, madame s’engage à subvenir à tous les frais qu’engendreront mon entretien ; logement, nourriture, linge, accessoire, couverture médicale, transport, soirée mondaine au profit de madame etc.….
13. Je renoncerai à tous mes amis et familles qui ne pourraient comprendre et accepter mon appartenance à madame.
Pour officialiser la chose vous me dites que vous prendrez rendez vous chez un avocat, et qu’il est d’ailleurs spécialisé dans ce genre là. Vous passez donc votre coup de fil et nous irons la semaine prochaine.
Jour J, pour la circonstance, vous m’imposez un tailleur très stricte à porter avec talons et jarretelle. Aucun sous vêtement bien entendu, car vous comptez fêter ça dès la signature. Nous partons donc toutes les deux en laissant Michel garder le petit.
En chemin, vous m’exprimez toute votre joie et votre empressement. C’est la première fois que je vous en joie ainsi, cela me fait énormément plaisir que ce soit du à moi. Je vous trouve radieuse et je me jure de faire mon possible pour que ce jour ne s’arrête jamais.
Nous arrivons chez l’avocat. Vous me glissez à l’oreille que vous êtes trempée et qu’il faudra que je vous nettoie ensuite. L’eau me vient à la bouche. Nous entrons dans un vieil immeuble, les boiseries sont chics etc. L’avocat est un vieux monsieur, limite à la retraite j’ai l’impression, je pensais trouver un jeune pour effectuer ce genre de contrat. Le rendez vous se passe correctement :
- Mademoiselle, comprenez vous bien les termes de ce contrat et ses conséquences sur votre vie ?
- Oui monsieur- Êtes-vous contrainte ou forcée de signer cet acte ? le faite vous en toute conscience.
- Je le fais de moi-même monsieur- Bien alors inscrivez vos initiales respectives au bas de chaque pages et signer lu et approuvée sur la dernière.
- Bien maintenant madame parlons de vos honoraires, comme le stipule le contrat je suppose que vous prenez en charge la totalité des frais, les vôtres et ceux de votre soumise ?
- Bien entendu !
- Fort bien, voilà donc ma facture et pour la clause particulière ?
- Pour la clause aucun soucis, Elleana, va s’en chargée !!
Vous me faites un signe de tête vers l’avocat, je me lève donc et comprend que je dois payer avec mon corps. Je fais le tour du bureau, lui pivote pour être en face de moi. Son sexe est déjà sorti mais totalement mou. Je m’accroupi donc entre ses jambes, saisi son appendice entre mes doigts, le regarde puis vous regarde. Encore un signe de tête pour confirmer votre accord. Je me penche alors, me le caresse sur le visage, le renifle, le lèche sur toute sa longueur. Je joue un temps avec avant de l’embrasser et de le gober très dilatement. Je l’entoure doucement avec ma bouche comme une petite chose fragile. Je referme mes lèvres autour de sa base, puis aspire légèrement en remontant. Je fais cela plusieurs fois jusqu'à ce que je sente la vigueur et son sang affluer à l’intérieur. Une fois durcie, je me jette littéralement dessus, tout en caressant les deux jolies boules, parsemé de poils blancs.
J’ai ce sexe en bouche, ce sexe d’une personne qui pourrait être mon père voire mon grand père. Mais je ne pense pas à cela et quand bien même j’y penserai, je ne sais pas même pas si cela me poserais un réel problème. Non tout ce que je vois et que je ressens, c’est cette bite, a qui je vais donner du plaisir, et qui j’espère m’en donnera en retour. C’est le plaisir que je procure à ma maitresse en lui offrant un spectacle qu’elle a désiré voir, du plaisir que j’ai à lui obéir. Elle vit ses fantasmes à travers moi, elle me fait faire tout ce qu’elle aimerait faire sans pouvoir le faire.
J’entends le vieil homme, gémir et apprécier mes talents, ce n’est pas mon point fort mais je dois tellement le faire depuis que je suis au service de madame, que mes progrès sont visibles.
L’avocat me fait comprendre d’arrêter en me repoussant par les épaules, puis l’ordre tombe de la bouche de ma Dame :
- Retire ton tailleur ma chienne !!! je ne veux pas payer le pressing !!
- Bien madame !
Je commence alors mon effeuillage, je retire ma veste, puis mon chemisier, enfin j’entrouvre la fermeture latérale de ma jupe, quand je m’aperçois que vous avez également écarté vos jambes et que je peux avoir un accès visuel à votre intimité. Votre culotte est tellement tachée de votre nectar qu’elle en devient presque translucide. Le vieil homme lui a baissé son pantalon et son slip au niveau de ses chevilles.
Je me rapproche de lui, lui caresse les cheveux en vous regardant, je presse sa tête contre ma poitrine et il commence à me presser les seins de ses mains. Puis je sens sa langue sur mes mamelons, puis une fois mes tétons durcis je sens ses dents. Il me mordille et cela me chauffe la chatte à un point !!
Je passe une jambe de chaque coté du fauteuil, puis commence à descendre jusqu’à sentir en effleurement le sexe de l’homme de droit. Je saisi son sexe et le maintient pour qu’il ne se dérobe pas sous mon poids. Je m’enfonce. Je me pénètre avec ce sexe en vous regardant. Je gémis. Je m’attèle à monter et descendre pour prendre du plaisir. Votre main madame a ouvert votre blouse, je vois vos seins pointés autant que les miens. Votre seconde main se perd dans votre culotte. Vous vous caressez en me regardant me faire prendre. J’adore.
Je m’applique sur ma tache, mes mouvements sont verticaux en majorité mais de temps à autre je m’enfonce ce sexe à fond et j’ondule du bassin, je tente de me frotter le clito sur le pubis de mon fornicateur. J’entends le papi gémir de plus en plus, il ne devrait plus tarder, et je pourrais peut être profiter de vous avant votre jouissance. Mais l’avocat me repousse, je me relève donc et attend de voir ce qui veut de moi. Il se lève également, me saisi les épaules et me fait pivoter vers vous. Ces mains me penchent sur le bureau, je comprends donc qu’il va me prendre en levrette. Je me laisse faire, je n’ai aucune raison de résister de toute façon ; Je dois lui obéir vu que vous me l’avait demandé J’aime la levrette, Et surtout mon visage est face à vous, et votre corps est à porté de bras dorénavant.
Alors je me laisse faire volontiers. Votre culotte a disparue, je la retrouve négligemment jetée au sol près de votre fauteuil. Vos jambes sont réparties de part et d’autres des accoudoirs, votre bassin et avancé au bord de l’assise. Vos mains s’affairent sur votre corps, en particuliers sur vos seins et sur votre chatte ruisselante. Je vois vos tétons érigés par vos caresses et vos pincements. Je vois vos doigts humides de vos sécrétions, et je les vois faire régulièrement l’aller retour entre votre grotte et votre bouche. J’ai une vue également sur votre petit anus, vous y attarder que peu de caresses, mais je le vois luisant de part votre jus qui coule dessus. Vos effluves m’arrivent jusqu’aux narines et m’enivrent, je n’ai envie que d’une chose là, c’est de pouvoir vous lécher. Je ne m’aperçois même pas que le vieil homme me bourrine déjà la chatte à grand coups de bassin, que mes fesses sont claqués par ses mains, tant je suis obnubilé par vous.
Je suis de plus en plus ravie de constater que je peux subir tout ce que vous voulez tant que je pourrais profiter de vos charmes madame. Pour la première fois de ma vie, je sais que je suis réellement amoureuse de quelqu’un et que je ferais tout pour vous, comme le stipule le contrat que j’honore actuellement.
Je vois votre regard passé de l’homme derrière moi à votre sexe, je vois vos doigts dans votre chatte se caler sur le même rythme que la bite dans ma chatte. Je vois le plaisir que vous prenez puis d’un coup votre regard se pose sur moi et vous parlez :
- Frappez-la !!!!!
L’homme s’arrête. Je vous regarde incrédule, ais je fais une faute ?
- Frappez-la je vous dis !!!
Le vieux se retire me redresse, je me retrouve fasse à lui, et je reçois une gifle en plein visage. Je tente de ne pas réagir même si mon premier reflexe serait de lui en mettre une. Je me remets donc fasse à lui le plus dignement possible.
- Encore !!!!
Ces mots me cinglent aussi fort que la succession de claques que je reçois. Des larmes apparaissent sur mon visage. L’homme me saisi par le coup et me le serre, son regard est devenu dur comme s’il était possédé. Il continue à me gifler tout en réduisant ma capacité respiratoire.
- Assez !! reprenez et finissez-vous maitre !!
L’homme me rejette sur le bureau, mais cette fois je me retrouve de dos. Il se positionne entre mes cuisses, que j’écarte et relève naturellement. Il passe ses bras sous mes jambes et me saisi par le bassin, et enfonce son sexe directement dans le mien et reprend le rythme qu’il avait avant l’intervention de ma maitresse. Ma tête pend de l’autre coté du bureau, je vous vois vous penchez vers moi. Et vous glissez à mon oreille :
- tu as bien réagi, ma p’tite pute. Tu es à moi et je ferais passer tous mes caprices sur toi sans avoir forcement de raison. Tu comprends ?
- oui madame !
- tu n’es rien ! tu n’es qu’un objet, une merde !!!! tu le sais n’est ce pas ?
- oui madame, sans vous je ne suis rien !!
- je te ferais baiser par des Lords mais par des chiens aussi. Tu seras traitée autant comme une princesse que comme une pourriture. Tu subiras la douceur comme la douleur.
- Oui madame.
Vous vous relevez et venez positionnez votre sexe au dessus de ma tête, vous me saisissez par les cheveux et collé mon visage à votre sexe.
- fait moi du bien !!! fini moi correctement !!!
Je me mets donc à l’œuvre, sans grande possibilité de respirer. De votre autre main vous me frappez les seins. Votre jouissance m’inonde le visage, tandis que le vieil homme éjacule au fond de ma jeune matrice de 24 ans.
Je n’ai pas eu de jouissance physique mais je reste ravie de vous avoir fait plaisir, ainsi que le vieil homme. Comme vous m’avez appris, je nettoie le sexe de l’avocat, ainsi que le votre et toutes les taches qui se trouvent sur le bureau ou au sol avec ma bouche ou ma langue.
Une fois tout le monde rhabillé nous quittons le cabinet.
- au revoir maitre, à la semaine prochaine.
- Au revoir mesdames- Ah oui Elleana, pendant un mois tu vas venir une fois par semaine ici et tu feras ce que monsieur voudra. Tout ce qu’il voudra, je sais ce qui t’attends et je suis d’accord.
- Bien madame.
Nous quittons donc l’étude.
Après ma prestation de « la route du champagne », et les avantages que vous en avaient récoltés, vous avez décidé madame de faire perdurer notre relation. Il vous serait regrettable de me perdre. Vous me proposez donc de faire un contrat de soumise. Naturellement j’accepte votre offre. Le dit contrat stipule à peu prés ceci :
1. Que mon corps et mon esprit sont à Madame, qu’elle peut en faire ce qu’elle veut en tout temps. Je deviens son jouet sexuel.
2. Je devrais ne rien lui cacher, je devrais dire la vérité sans cesse.
3. je devrais être toujours de bonne humeur et le démontrer par mes paroles et mes actes4. je devrais faire de l’exercice physique minimum 1h/jour pour entretenir ma silhouette.
5. Mon corps pourra être modifié à la guise de madame, sans que je puisse dire quoique ce soit.
6. je n’ai plus le droit à aucune possession, tout ce que je gagnerai, hériterai ou concevrai sera de droit la propriété de Madame.
7. j’accepterai tout attouchement, peu importe de qui. Par contre je devrai refuser toute pénétration ou demande d’exhibition sans sa permission au préalable.
8. mon corps sera le plus présentable possible, en le lavant, à l'intérieur comme à l'extérieur. En épilant tout poil .Le maquillage, ma pédicure, ma manucure et mon parfum devront être toujours frais.
9. Mes enfantements possibles et futurs seront du ressort de madame. Mes progénitures seront, suivant leur appartenance, reconnue par madame en tant que mère ou pas.
10. Je serais, tel un bien commun, parti intégrante de l’héritage que les successeurs de madame pourraient recevoir.
11. je pourrais être louée voire vendue si madame en ressentait le besoin.
12. en contre parti, madame s’engage à subvenir à tous les frais qu’engendreront mon entretien ; logement, nourriture, linge, accessoire, couverture médicale, transport, soirée mondaine au profit de madame etc.….
13. Je renoncerai à tous mes amis et familles qui ne pourraient comprendre et accepter mon appartenance à madame.
Pour officialiser la chose vous me dites que vous prendrez rendez vous chez un avocat, et qu’il est d’ailleurs spécialisé dans ce genre là. Vous passez donc votre coup de fil et nous irons la semaine prochaine.
Jour J, pour la circonstance, vous m’imposez un tailleur très stricte à porter avec talons et jarretelle. Aucun sous vêtement bien entendu, car vous comptez fêter ça dès la signature. Nous partons donc toutes les deux en laissant Michel garder le petit.
En chemin, vous m’exprimez toute votre joie et votre empressement. C’est la première fois que je vous en joie ainsi, cela me fait énormément plaisir que ce soit du à moi. Je vous trouve radieuse et je me jure de faire mon possible pour que ce jour ne s’arrête jamais.
Nous arrivons chez l’avocat. Vous me glissez à l’oreille que vous êtes trempée et qu’il faudra que je vous nettoie ensuite. L’eau me vient à la bouche. Nous entrons dans un vieil immeuble, les boiseries sont chics etc. L’avocat est un vieux monsieur, limite à la retraite j’ai l’impression, je pensais trouver un jeune pour effectuer ce genre de contrat. Le rendez vous se passe correctement :
- Mademoiselle, comprenez vous bien les termes de ce contrat et ses conséquences sur votre vie ?
- Oui monsieur- Êtes-vous contrainte ou forcée de signer cet acte ? le faite vous en toute conscience.
- Je le fais de moi-même monsieur- Bien alors inscrivez vos initiales respectives au bas de chaque pages et signer lu et approuvée sur la dernière.
- Bien maintenant madame parlons de vos honoraires, comme le stipule le contrat je suppose que vous prenez en charge la totalité des frais, les vôtres et ceux de votre soumise ?
- Bien entendu !
- Fort bien, voilà donc ma facture et pour la clause particulière ?
- Pour la clause aucun soucis, Elleana, va s’en chargée !!
Vous me faites un signe de tête vers l’avocat, je me lève donc et comprend que je dois payer avec mon corps. Je fais le tour du bureau, lui pivote pour être en face de moi. Son sexe est déjà sorti mais totalement mou. Je m’accroupi donc entre ses jambes, saisi son appendice entre mes doigts, le regarde puis vous regarde. Encore un signe de tête pour confirmer votre accord. Je me penche alors, me le caresse sur le visage, le renifle, le lèche sur toute sa longueur. Je joue un temps avec avant de l’embrasser et de le gober très dilatement. Je l’entoure doucement avec ma bouche comme une petite chose fragile. Je referme mes lèvres autour de sa base, puis aspire légèrement en remontant. Je fais cela plusieurs fois jusqu'à ce que je sente la vigueur et son sang affluer à l’intérieur. Une fois durcie, je me jette littéralement dessus, tout en caressant les deux jolies boules, parsemé de poils blancs.
J’ai ce sexe en bouche, ce sexe d’une personne qui pourrait être mon père voire mon grand père. Mais je ne pense pas à cela et quand bien même j’y penserai, je ne sais pas même pas si cela me poserais un réel problème. Non tout ce que je vois et que je ressens, c’est cette bite, a qui je vais donner du plaisir, et qui j’espère m’en donnera en retour. C’est le plaisir que je procure à ma maitresse en lui offrant un spectacle qu’elle a désiré voir, du plaisir que j’ai à lui obéir. Elle vit ses fantasmes à travers moi, elle me fait faire tout ce qu’elle aimerait faire sans pouvoir le faire.
J’entends le vieil homme, gémir et apprécier mes talents, ce n’est pas mon point fort mais je dois tellement le faire depuis que je suis au service de madame, que mes progrès sont visibles.
L’avocat me fait comprendre d’arrêter en me repoussant par les épaules, puis l’ordre tombe de la bouche de ma Dame :
- Retire ton tailleur ma chienne !!! je ne veux pas payer le pressing !!
- Bien madame !
Je commence alors mon effeuillage, je retire ma veste, puis mon chemisier, enfin j’entrouvre la fermeture latérale de ma jupe, quand je m’aperçois que vous avez également écarté vos jambes et que je peux avoir un accès visuel à votre intimité. Votre culotte est tellement tachée de votre nectar qu’elle en devient presque translucide. Le vieil homme lui a baissé son pantalon et son slip au niveau de ses chevilles.
Je me rapproche de lui, lui caresse les cheveux en vous regardant, je presse sa tête contre ma poitrine et il commence à me presser les seins de ses mains. Puis je sens sa langue sur mes mamelons, puis une fois mes tétons durcis je sens ses dents. Il me mordille et cela me chauffe la chatte à un point !!
Je passe une jambe de chaque coté du fauteuil, puis commence à descendre jusqu’à sentir en effleurement le sexe de l’homme de droit. Je saisi son sexe et le maintient pour qu’il ne se dérobe pas sous mon poids. Je m’enfonce. Je me pénètre avec ce sexe en vous regardant. Je gémis. Je m’attèle à monter et descendre pour prendre du plaisir. Votre main madame a ouvert votre blouse, je vois vos seins pointés autant que les miens. Votre seconde main se perd dans votre culotte. Vous vous caressez en me regardant me faire prendre. J’adore.
Je m’applique sur ma tache, mes mouvements sont verticaux en majorité mais de temps à autre je m’enfonce ce sexe à fond et j’ondule du bassin, je tente de me frotter le clito sur le pubis de mon fornicateur. J’entends le papi gémir de plus en plus, il ne devrait plus tarder, et je pourrais peut être profiter de vous avant votre jouissance. Mais l’avocat me repousse, je me relève donc et attend de voir ce qui veut de moi. Il se lève également, me saisi les épaules et me fait pivoter vers vous. Ces mains me penchent sur le bureau, je comprends donc qu’il va me prendre en levrette. Je me laisse faire, je n’ai aucune raison de résister de toute façon ; Je dois lui obéir vu que vous me l’avait demandé J’aime la levrette, Et surtout mon visage est face à vous, et votre corps est à porté de bras dorénavant.
Alors je me laisse faire volontiers. Votre culotte a disparue, je la retrouve négligemment jetée au sol près de votre fauteuil. Vos jambes sont réparties de part et d’autres des accoudoirs, votre bassin et avancé au bord de l’assise. Vos mains s’affairent sur votre corps, en particuliers sur vos seins et sur votre chatte ruisselante. Je vois vos tétons érigés par vos caresses et vos pincements. Je vois vos doigts humides de vos sécrétions, et je les vois faire régulièrement l’aller retour entre votre grotte et votre bouche. J’ai une vue également sur votre petit anus, vous y attarder que peu de caresses, mais je le vois luisant de part votre jus qui coule dessus. Vos effluves m’arrivent jusqu’aux narines et m’enivrent, je n’ai envie que d’une chose là, c’est de pouvoir vous lécher. Je ne m’aperçois même pas que le vieil homme me bourrine déjà la chatte à grand coups de bassin, que mes fesses sont claqués par ses mains, tant je suis obnubilé par vous.
Je suis de plus en plus ravie de constater que je peux subir tout ce que vous voulez tant que je pourrais profiter de vos charmes madame. Pour la première fois de ma vie, je sais que je suis réellement amoureuse de quelqu’un et que je ferais tout pour vous, comme le stipule le contrat que j’honore actuellement.
Je vois votre regard passé de l’homme derrière moi à votre sexe, je vois vos doigts dans votre chatte se caler sur le même rythme que la bite dans ma chatte. Je vois le plaisir que vous prenez puis d’un coup votre regard se pose sur moi et vous parlez :
- Frappez-la !!!!!
L’homme s’arrête. Je vous regarde incrédule, ais je fais une faute ?
- Frappez-la je vous dis !!!
Le vieux se retire me redresse, je me retrouve fasse à lui, et je reçois une gifle en plein visage. Je tente de ne pas réagir même si mon premier reflexe serait de lui en mettre une. Je me remets donc fasse à lui le plus dignement possible.
- Encore !!!!
Ces mots me cinglent aussi fort que la succession de claques que je reçois. Des larmes apparaissent sur mon visage. L’homme me saisi par le coup et me le serre, son regard est devenu dur comme s’il était possédé. Il continue à me gifler tout en réduisant ma capacité respiratoire.
- Assez !! reprenez et finissez-vous maitre !!
L’homme me rejette sur le bureau, mais cette fois je me retrouve de dos. Il se positionne entre mes cuisses, que j’écarte et relève naturellement. Il passe ses bras sous mes jambes et me saisi par le bassin, et enfonce son sexe directement dans le mien et reprend le rythme qu’il avait avant l’intervention de ma maitresse. Ma tête pend de l’autre coté du bureau, je vous vois vous penchez vers moi. Et vous glissez à mon oreille :
- tu as bien réagi, ma p’tite pute. Tu es à moi et je ferais passer tous mes caprices sur toi sans avoir forcement de raison. Tu comprends ?
- oui madame !
- tu n’es rien ! tu n’es qu’un objet, une merde !!!! tu le sais n’est ce pas ?
- oui madame, sans vous je ne suis rien !!
- je te ferais baiser par des Lords mais par des chiens aussi. Tu seras traitée autant comme une princesse que comme une pourriture. Tu subiras la douceur comme la douleur.
- Oui madame.
Vous vous relevez et venez positionnez votre sexe au dessus de ma tête, vous me saisissez par les cheveux et collé mon visage à votre sexe.
- fait moi du bien !!! fini moi correctement !!!
Je me mets donc à l’œuvre, sans grande possibilité de respirer. De votre autre main vous me frappez les seins. Votre jouissance m’inonde le visage, tandis que le vieil homme éjacule au fond de ma jeune matrice de 24 ans.
Je n’ai pas eu de jouissance physique mais je reste ravie de vous avoir fait plaisir, ainsi que le vieil homme. Comme vous m’avez appris, je nettoie le sexe de l’avocat, ainsi que le votre et toutes les taches qui se trouvent sur le bureau ou au sol avec ma bouche ou ma langue.
Une fois tout le monde rhabillé nous quittons le cabinet.
- au revoir maitre, à la semaine prochaine.
- Au revoir mesdames- Ah oui Elleana, pendant un mois tu vas venir une fois par semaine ici et tu feras ce que monsieur voudra. Tout ce qu’il voudra, je sais ce qui t’attends et je suis d’accord.
- Bien madame.
Nous quittons donc l’étude.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par La courtisane
6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un peu de patience !!!
La suite arrive bientôt.
bisouxxx
La suite arrive bientôt.
bisouxxx
Continue, ca me rend fou...
Magnifique! J'adore votre scénario. Très excitante cette soumise, elle est sans limite. Une vraie salope. On continue ce beau récit svp...
Oui encore!
Ces trois premiers chapitres sont vraiment excellents.
Je suis déjà fan !
Rudy
Je suis déjà fan !
Rudy
magnifique leçon!
Désir d'en savoir plus.
Continuez
Désir d'en savoir plus.
Continuez