OLIVIER 04 DE RETOUR A LA MAISON

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : OLIVIER 04 DE RETOUR A LA MAISON Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-08-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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OLIVIER 04 DE RETOUR A LA MAISON
OLIVIER 04DE RETOUR A LA MAISON

J'étais chaud cette nuit là quand j'arrivais à la maison, ma queue manifestait sans s'arrêter depuis plus de deux heures. Malgré tout je prenais le temps de rester calme, de laisser le désir monter dans tout mon corps. Je me déshabillais lentement, je rangeais mes affaire, je remplissais la baignoire, je prenais mon sac, celui que j'avais quand j'étais parti, je me glissais dans l'eau, elle était chaude, j'étais épuisé mais je vibrais de désir.

Je glissais ma main dans mon sac, j'en ressortais ma clé …
Mon cadenas y était encore accroché. Je le reconnaissais avec certitude, la clé avait une petite encoche, c'était bien ma clé et donc mon cadenas !

Il ne me fallait pas longtemps pour comprendre que ce farceur d'Olivier avait en fait refermé mon dispositif avec sa serrure. Voilà qui à l’avantage d'être clair, je sais maintenant je n'aurai aucun scrupule à l'enfermer quand j'aurai fait son dispositif.

Sur le coup j'étais frustré, j'éprouvais un sentiment étrange entre la déception et la vexation. Et ce désir qui continuait à monter en moi. Ma queue occupait toute la place dans sa cage et ne semblait pas vouloir se calmer.

Là j'avais vraiment envie de me branler !

Je restais calme et déjà j'imaginais le jour de ma vengeance, je vais le défier le petit Olivier et si c'est pas un guignol il relèvera le défis. Bon c'est vrai que c'est un guignol mais … Il relèvera le défis tout de même ! Il n'aura pas le choix ! Je ne savais pas comment j'allais procéder mais je me disais que je trouverais bien.

En attendant, j'étais dans une baignoire avec une violente envie de me faire juter la queue, et aucun moyen d'y parvenir. Elle était enfermée dans une cage. Bon il me restais bien la possibilité de couper le dispositif mais là, il n'en était pas question, uniquement en dernier recours, uniquement en cas de question de vie ou de mort, de fin du monde ou d'invasion extra-terrestre … Bon on n'en était pas là tout de même.

Je me vengeais sur un gode.

Je me relevais dans ma baignoire, me savonnais vigoureusement le cul, j’attrapais ensuite un plug, un beau plug, j'en ai un qui fait plus de six centimètres de large et je me l'enfonçais sans ménagement dans le cul.

Sans ménagement oui, j'étais un peu en colère et surtout j'étais frustré, j'avais envie de me faire du bien.

Les six centimètres j'en fais pas le tour avec les doigts, c'est à peut près la taille du saucisson. Je l'ai senti passer, surtout qu'au moment ou ça résistait je forçais. Je faisais comme j'aurais fait avec le cul d'Olivier.

C'est vraiment un farceur Olivier !

J'appuyais bien sur le plug, il était bien calé. Je me laissais retomber mollement dans ma baignoire en serrant les fesses. La petite douleur que j'avais ressenti était déjà oubliée. A ce moment je me sentais bien rempli, sensation agréable. Je poussais contre le plug comme pour le faire ressortie de force mais j'étais assis dessus. Il poussait de l'intérieur contre mon cul, c'était bon. Il se déplaçait un peu et forçait mon cul à rester dilaté, c'était très bon.

Je pensais à Olivier, il doit être en train de se branler Olivier. Moi je vous dis comme je le pense, Olivier c'est un branleur ! On va lui faire passer cette habitude de se branler !

Je glissais une main sous mes fesses et j'appuyais fermement sur le plug, il reprenait sa place et me donnait beaucoup de plaisir en même temps. Je refermais mon anus sur lui et de la main je continuais à le faire bouger, ça me stimulait la prostate. Un vrai bonheur. Je continuais encore un long moment.

L'idée me venait de me faire juter en me stimulant la prostate. J'ai déjà essayé de me masturber alors que je porte ma cage, mais en règle général j'arrive à me faire mal. Le frottement fini par m’irriter la peau sous les couilles, l’irritation peut même durer plusieurs jours. Et en plus je n'arrive pas toujours à jouir, quelquefois ça marche. La dernière fois que j'ai essayé j'ai pas réussi à éjaculer et j'ai eu mal pendant huit jours … Je ne recommence plus ça moi maintenant !

Mais par la prostate, c'est tellement bon, je prends beaucoup de plaisir. Je n'arrive pas à me provoquer une éjaculation c'est tout, c'est bon, c'est terriblement bon mais ça reste un peu frustrant.

J'appuyais de plus en plus vite sur le plug, il ne rentrait pas ni ne ressortait mais il pressait sur ma prostate à chaque fois que j'appuyais et le plaisir montait vite. Il montait fort, très fort. Je faisais une petite pause de temps en temps puis je reprenais. Dix fois j'ai bien cru que j'allais y arriver, dix fois j'étais sur le point de juter et de prendre encore plus de plaisir.

Un orgasme violent avec la bite et le cul en même temps.

'' Ca doit être le pied, je veux prendre mon pied là maintenant … ! ''
Je m'acharnais comme un fou, je respirais fort, mon cœur battait vite, très vite. Je prenais un plaisir fou mais du côté de la queue … Rien !

Mon corps vibrait, tremblait, je jouissais, je jouissais pendant de longues minutes. Je ne savais pas combien de temps ça durait mais j'ai vraiment pris mon pied. Avec mon cul j'ai vraiment pris mon pied mais avec la bite … que dalle !

Je finissais par me laisser tomber dans l'eau qui était froide maintenant, je tremblais mais là ce n'était pas qu'à cause de l'orgasme. Enfin les orgasmes, quand on joui par le cul ça peut durer longtemps. J'aime particulièrement. Avec la queue ça ne dure que quelques secondes mais c'est bien aussi.

C'est ce plaisir que je voulais ce soir là. Ce plaisir avait un peu disparu de mon esprit pendant toutes semaines d'abstinence mais ce week-end il était revenu à mon souvenir. Ça a du se passer au moment ou j'ai enculé Olivier. Quand je lui ai juté dans le cul. C'était bon de le sentir vibrer au moment ou je déchargeais dans son cul.

C'était bon, ça n'a pas duré bien longtemps mais c'était bon et c'est ça que je voulais ce soir, c'est ça que je n'aurais pas ce soir.

Je suis sûr qu'en ce moment Olivier doit se branler tranquillement.

Il était temps de sortir de la baignoire, il faisait froid et j'allais finir par me ratatiner. Je me séchais, j'étais retourné. J'avais quand même pris mon pied !

'' Tiens je vais lui écrire à Olivier '' .

J'allumais mon ordinateur, me branchais sur la messagerie et lui envoyais un message très court : '' Tu es un branleur !'' .

Quelques secondes plus tard je recevais la réponse : '' LOL ''
Moi : Tu m'as roulé Lui : On avait prévu que chacun verrouillerait l'autre !
Moi : Mais tu n'est pas verrouillé toi branleur Lui : Au fait ça avance … Tu as commencé mon truc ?
Moi : Tu es vraiment un branleur ! Je vais me coucher !
Lui : Enfile toi un plug, ça tient tout seul et ça devrait te soulager
'' Et en plus il se moque de moi l'animal. Il va voir, quand je vais le verrouiller … ''
Finalement j'ai très bien dormi. Le lendemain au réveil je décidais d'un challenge de treize semaines de chasteté. Ce n'était pas prévu mais comme je vous l'expliquais plus tôt, je fais ça à l'instinct.

Les jours qui suivaient je travaillais beaucoup et le dispositif destiné à Olivier prenait forme. Régulièrement je le contactais, je lui envoyais des photos, vérifiais avec lui les dimensions exactes. Je lui demandais ce qu'il en pensais.

Il portait de temps en temps un cock-ring, et me donnais ses impressions, sa taille, enfin des informations qui pouvaient m'aider. Pour la cage à pénis c'était pareil, il avait acheté plusieurs modèles, et à partir de ceux qu'il avait réussi à enfiler ( si j'ose dire ) on en tirait des conclusions et je faisais des corrections.

Vous devez vous imaginer que mon dispositif je ne l'avais pas fait en une fois, je veux dire que je ne l'avais pas réussi à la première tentative. J'ai fait de nombreux essais et je commence à avoir de l'expérience. Le dispositif destiné à Olivier avançait rapidement. Le jeudi soir il était terminé.

Je contactais Olivier et lui disais de ne pas se branler, ce serait peut être plus dure de l'enfiler mais ce serait plus intéressant. Il me répondait dans la seconde.

Olivier : Pas de problème, j'ai pas joui depuis hier soir, ça fera deux jours. Tu pense que c'est suffisant.
Moi : On fera avec ! Mais tu surveillais ta boite aux lettres ou quoi ?
Olivier : Non mais j'ai une alerte sur le bureau !
Moi : Ok, alors je peux venir avec mon dispositif.
Olivier : Pas de problème, au contraire … Au fait … Je bande !
Moi : C'est moi qui te fait cet effet ?
Olivier : Pas que ! Là je regarde les photos que tu m'as envoyé, le truc est sympa.
Moi : J'ai bien travaillé !
Olivier : Tout à fait, tu peux être fier de toi. Il n'est pas tout à fait comme le tien.
Moi : C'est du travail artisanal, les dispositifs sont tous différents. Un petit peu différents mais ils sont tous réalisés sur le même modèle, de la même manière.
Olivier : J'ai hâte de l'essayer !
Moi : Et tu penses le porter combien de temps pour la première fois ?
Olivier : Je ne sais pas moi, une soirée !
Moi : Tu es vraiment un branleur. Une soirée ! Pfff ! Et c'est pour ça que j'ai sué sans et eau pendant une semaine, pendant des heures … Pfff !

Il n'osait pas répondre ou réfléchissait à ce qu'il allait me dire.

Moi : Branleur !
Olivier : Bon d'accord, tu me conseilles combien toi ?
Moi : Au moins le week end. C'est une minimum !
Olivier : Tout le week-end !
Moi : Bein oui ! Il faut savoir ce que tu veux !
Olivier: C'est que j'avais pensé que, comme tu serais là, que toi tu serais toujours enfermé pour le week end .. ;Moi : C'est sympa ça ! Tu avais prévu de ne pas me libérer ce week-end …Olivier : Bein … Moi : D'accord mais il y aura une condition …
Plusieurs minutes s'écoulaient avant qu'il me réponde.

Olivier : Laquelle ?
Moi : Parce que tu demandes de quelle condition il s'agit toi maintenant !
Olivier : Bein …Moi : Tu es d'accord ou pas ?

Là encore il se passait plusieurs minutes.

Moi : Branleur !
Olivier : Bon c'est d'accord.
Moi : Ah ! Tout de même ! J'aime les mecs qui savent prendre des décisions rapidement et qui savent ce qu'ils veulent.
Olivier : Mais tu me dis, c'est quoi la condition ?
Moi : A demain, bisous !

Je fermais la connexion.

Non mais vrai ça quoi ! Je ne vais pas me laisser faire comme il l'espérait.
Je me disais aussi que si je le punissais en lui faisant porter le dispositif de chasteté, je me punissais aussi. Puis je me disais qu'il y avait les godes, qu'il y aurait sa peau que je savais douce, que je le sentirais vibrer de plaisir au moment ou je le ferais jouir par mes caresses. Je le sentirais trembler sous les désirs qui lui seraient refusés et que je partagerais sa frustration.

J'étais décidé à me lancer dans un nouveau challenge de treize semaines.

'' Je viens de passer plus de soixante jours, si j'en rajoute cinquante pour cent de plus … Pourquoi ne pas pousser à cent ? … J'arrondis à la semaine complète … Ca ne devrait pas faire loin de quinze tout ça !

Finalement je décidais de pousser à quinze semaines. J'accorderais un peu de temps à l'autre branleur pour le laisser s'habituer à sa nouvelle vie et le défis sera de me suivre pendant cette période . Ça va le faire réfléchir, ce petit branleur !

C'est avec ces idées en tête que je m'endormais.

Souvent quand je commence une nouvelle période de chasteté il y a un cap à passer. La première semaine, bein oui, on pourrait se dire que le pire viendrait avec le temps. Pour certains peut être mais pour moi ce sont les premiers jours les plus dures. Je venais de passer plus de soixante jours non stop avec mon dispositif sur la bite aussi j'avais conclu que ça ne me poserais aucun problème.

Mais j'avais joui, et pas que dans le cul d'Olivier. Mon corps avait remis le compteur à zéro. C'était donc une première semaine, et la fin de la première semaine n'est pas la plus facile.

J'étais réveillé plusieurs fois dans la nuit, je me levais pour faire pipi, ça calme. Le lendemain matin ma bite forçait d'une manière très désagréable, l'anneau me tirait sur la peau, juste sous mes couilles. Bref c'était pas le pied !

J'avais l'habitude de me réveiller le matin avec une grosse pression, une très agréable pression dans la cage. Les couilles bien détendues. Ce vendredi matin ce n'était pas le cas. Je réajustais et réajustais le dispositif mais ce n'est que plus d'une heure après m'être levé que je commençais à me sentir à mon aise.

'' Il faudrait ne jamais le retirer ce truc quand on le porte ! ''.

Je prenais mon petit déjeuner, réexaminais le nouveau dispositif, je prenais pour la centième fois les mesures, tout me semblait parfait. Par soucis du détail je ponçais encore quelques partie, avec du papier de verre très fin, du quatre cent ou du six cent.

On ne sentait aucune aspérité avec les doigts, je regardais bien dans les détails. Si jamais il y a un aspérité, même une toute petite, elle finit par provoquer un frottement qui au bout d'un certain temps devient une irritation qui se transforme en gène puis en douleur. La peau devient toute rouge à cet endroit et il faut retirer le dispositif, attendre que l'irritation disparaisse avant de pouvoir remettre le dispositif.

C'est pas le but !

Le but c'est de verrouiller ce branleur d'Olivier qui a gardé la clé sans me le dire …
Enfoiré, branleur, p'tit con ! Je dis ça mais c'est de l'affection ! Je vais me venger. Il va le garder une semaine pour la première fois. Une semaine c'est plus que ce que j'ai fais. Il est vrai que le dispositif de l'époque à du être modifié plusieurs fois. Avec mon expérience ça ne devrait pas être nécessaire sauf si les mesures sont fausses.

C'est vrai qu'on n'a pas fait d'essayages.

J'espérais que le dispositif sera à la bonne taille. La taille était la seule chose qui me préoccupait. Pour le reste je savais comme l'objet devait être fait. Je savais que j'avais un peu de marge. Olivier était un peu plus petit que moi mais pas beaucoup, ça devait être bon.

La journée n'avançais pas, quand je quittais mon boulot tout était prêt, je ne repassais pas par la maison je prenais la route, j'avais une bonne heure et demie de trajet. Dans sa cage ma bite manifestait, elle manifestait depuis le matin et j'avais envie de baiser Oliver, de lui défoncer le cul comme je l'avais fait une semaine plus tôt. Elle le savait ma bite ou on allait et elle voulait sa part de plaisir.

J'ai hésité pendant le voyage, '' Et si je retirais mon dispositif … Et si j'enculais Olivier … C'est un branleur mais il a bien aimé l'autre jour, il devrait être d'accord … Et si je laissais tomber ce projet de nouveau challenge de chasteté … ? ''.

J'arrivais chez Olivier, il m'attendait …

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