OLIVIER 08 LE DEFI POUR OLIVIER
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-08-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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OLIVIER 08 LE DEFI POUR OLIVIER
OLIVIER 08LE DEFI POUR OLIVIER
Le reste du week-end on se lâchait.
C'est moi qui le réveillait en l'enculant sans prévenir, sans lui avoir rien demandé. Il ouvrait les yeux en gémissant de plaisir, il tournait la tête dans ma direction et je pouvais voir un large sourire.
Olivier : Je vois que tu sais comment parler à un passif toi.
Moi : Tu as bien dormi ?
J'enfonçais ma queue bien à fond d'un mouvement rapide et il me répondait par un râle de plaisir, il se laissait tomber sur le ventre et me laissait faire.
Je lui limais le cul, comme il l'avait fait la veille au soir. Sont cul était serré, je sentais son muscle anal autour de ma queue, comme un anneau souple dans lequel je glissait. Ses fesses étaient fermes quand je les écrasais contre mon ventre. Il couinait le bestiau et ça me faisait plaisir. C'était la deuxième fois que j'utilisais ma bite pour autre chose que pisser en plus de soixante semaines … Pardon je voulais dire en plus de soixante jours, soixante dix même il me semble, et j'avais bien l'intention d'en profiter. On était samedi matin et si je respectais mon propre programme, le retour sous clé était prévu pour le lendemain soir. Pour Olivier comme pour moi !
Je le limais de toutes mes force, je me glissait dans son cul en me laissant tomber sur lui de tous mon poids, je terminais avec un coup de bassin puis je me relevais dans un même mouvement. Je ressortais presque complètement avant de revenir avec la même violence.
Rapidement je sentais le plaisir monter. Cette étrange petite sensation dans l'urètre peu avant d'éjaculer. Je retenais mes mouvement, respirait bien à fond et reprenais. Le plaisir montait alors plus doucement et je parvenais à retarder l'érection un peu plus encore.
Un peu plus mais un peu moins à chaque fois. Au bout d'un moment le plaisir continuait à monter et là je sentais que je ne me retiendrais pas plus longtemps. Je burinais alors avec violence, il râlait de plaisir et je sentais tous ses muscles se contracter, il soufflait fort, j'avais l'impression qu'il jouissait et qu'il éjaculait lui aussi au moment ou je me libérais dans son cul.
J'ai pris mon pied comme jamais. C'est toujours ce que je dis dans ces cas là, donc il ne faut pas me croire quand je dis '' Comme jamais '' …
Donc j'ai pris mon pied comme jamais et là je ne déconne pas, vous pouvez me croire. Je me laissais tomber sur Olivier qui m'offrait son corps comme coussin et me recevait sans rien faire avec plaisir ( pour lui aussi j'espère ).
On ne bougeait plus, ma queue était toujours dans son cul, je bandais toujours, je sentais toujours son anus, cet anneau élastique autour de ma bite. On se laissait aller et peu à peu je le couvrais de baiser sur les épaules, il me répondais, la tête posée sur une joue, par un large sourire.
Quand on se relevait c'était pour passer sous la douche, mais on y passait ensemble. Chacun caressait l'autre, chacun lavait les parties intimes de l'autre, chacun masturbait gentiment l'autre. On y prenait goût et on ne se lâchait que quand chacun avait fait éjaculé l'autre.
Pour moi c'est venu plus rapidement que quelques instants plus tôt, dans son cul. Là ça avait un peu traîné. Il jouissait en jutant abondement lui aussi. On terminait par un gros câlin sous la douche avant de se sécher l'un l'autre.
On restait à poil jusqu'au moment de sortir se promener, ce samedi matin on était vraiment à poil. Pour Olivier c'était nouveau, depuis une semaine. Pour moi aussi, ces dernières semaines ça ne m'étais pas arrivé bien souvent.
On passait le reste de la journée à une promenade au parc, dans la forêt, au centre commercial … J'avais choisi de ne pas mettre de sous vêtements. Je m'exprime mal, j'avais été un peu obligé de ne pas mettre de sous vêtements parce que tout simplement je n'en avais pas. D'habitude j'ai un sous vêtements, en PVC, fait maison refermé avec un cadenas mais là je l'avais retiré la veille. Pas de dispositif de chasteté pour ce week-end.
J'aime bien me promener comme ça, dans un pantalon large on a les couilles qui se balance et la queue qui cherche à les rattraper. Mais je portais un pantalon moulant donc rien ne bougeait.
Amusé, Olivier avait fait comme moi, il n'avait pas mis de sous vêtements non plus. Mais lui il avait un pantalon plus large et il l'a regretté. Ses couilles se baladaient sa queue tentait de les suivre et avec cette période d'une semaine passé sous clé, sa queue en profitait pour se faire remarquer. A plusieurs reprises il était un peu gêné alors que moi je rigolais. J'en profitais même pour le taquiner en lui donnant un baiser dans le cou.
De retour à la maison il mettait un sous vêtements, avant de sortir à la crêperie. Il faut changer de temps en temps, on va toujours à la pizzeria.
On a baisé tout le week-end. Avant de sortir manger une crêpe on a baisé, après on est revenu à l'appartement pour baiser. On est ensuite allé au cinéma ou dans le noir, très discrètement on s'est peloté. On est ensuite revenu à l'appartement pour baiser puis on est sorti en boite de nuit.
Enfin juste avant de dormir … Bein oui vous avez deviné … On a baisé. Bon d'accord, on n'a pas éjaculé à chaque fois mais à chaque fois c'était plus qu'un gros câlin.
Le dimanche matin c'est lui qui me copiait en m'enculant pour me réveiller. Finalement je savais que c'était une bonne idée, et je vous jure que c'était le pied. Surtout que quand je dis '' on a baisé '' il faut bien se dire qu'il y en avait toujours un qui enculait l'autre. Enfin au moins un …
Le dimanche soir on s'était gavé de sexe. C'est le genre de gavage qui ne fait pas grossir je peux vous le garantir. Vous pouvez y aller les jeunes !
On était allongé sur son lit, nos dispositifs de chasteté n'avaient pas bougé depuis mon arrivé vendredi soir. Je prenais celui d'Olivier et le lui tendais.
Olivier : Tu est sûr ?
Moi : Tu renonces ?
Pour seule réponse il enfilait son truc, il était détendu Olivier et sa queue ne résistait pas. J'en faisais de même. On se verrouillait en cœur puis on se faisait un gros câlin et c'est là qu'on a bandé, ensemble, sans même se concerter.
Olivier : Tu as vu ça ? Maintenant on bande.
Moi : Il va falloir que je rentre.
On restait encore un moment enlacé, aucun de nous ne voulait lâcher l'autre. Mais il le fallait bien, j'avais de la route à faire.
Moi : Il faudra rallonger les périodes de chasteté !
Olivier : Beuheuheu !
Moi : Ça veut dire quoi ça ?
Olivier : Pfff, ppp, fff, Pfff !
Moi : Bon c'est pas grave ! Toujours décidé à me suivre ?
Olivier : Toujours !
J'allais enfin à la porte, il me rattrapais, me prenait dans ses bras et ne voulait plus me lâcher. Il faisait durer le plaisir.
Quand j'arrivais enfin à la voiture, je me disais … '' C'était quelque chose ! Bon on va encore rester sur une semaine pour le moment ! ''
J'arrivais à la maison, j'étais un peu fatigué mais je me sentais bien. Je ne pensais plus qu'à Olivier. Et je préparais le programme, '' Encore une semaine, puis quatre et enfin je lui lance mon dernier challenge douze ! ''.
Je me demandais s'il tiendrait le coup au moment ou je m'endormais.
La semaine qui suivait on s'écrivait souvent, plusieurs fois par jour.
Olivier : Le plus dur pour moi c'est l'abstinence totale, pas de gode, de plug, de mec …Moi : Non ça c'était uniquement pour la première semaine.
Olivier : Vrai, alors je peux me goder ou m'envoyer en l'air comme je veux ?
Moi : Comme tu veux bonhomme, une seule chose est interdite … Te stimuler la bite et les couilles pour te faire jouir. Pour le reste tu fais comme tu veux.
Olivier : Bon je te laisse je vais me garer un plug dans le cul. A plus, bisous.
Finalement ma première impression était la bonne, Olivier est un branleur.
Bon je dis ça mais ce que je ne vous dirais pas et que je n'avouerais même pas sous la torture c'est que, j'en ai fait autant !
La semaine passait rapidement, dès le vendredi matin je me préparais quand Olivier me téléphonait.
Olivier : Salut, ça va toi ? J'ai un petit contre temps.
Moi : Oui moi ça va mais toi, qu'est-ce qui t'arrive ?
Olivier : Je viens d'apprendre que mon frère débarque ce week-end et va présenter sa fiancée à nos parents, je ne la connais pas, il m'a dit que ma présence était indispensable.
Moi : Tu pourrais en profiter pour me présenter moi aussi !
Olivier : Farceur !
Moi : C'est peut être un fiancé ! Hé,hé,hé !
Olivier : J'espère que non !
Moi : Pourquoi ? Tu n'est pas homophobe j'espère ?
Olivier : Mais arrête donc de dire n'importe quoi. Mes parents sont au courant pour moi, mais ce que ma mère souhaite plus que tout, c'est de devenir grand mère, alors les deux enfants homosexuels, elle serait un peu contrariée, ça c'est sûr !
Moi : Et pour ce qui est de ton dispositif ?
Olivier : C'est un truc de fou mais je supporte bien. Les réveils ne sont plus douloureux, enfin un peu quelquefois. Mais ça va bien je me sens super bien.
On se quittait là. On passait donc à deux semaines. Ce n'était pas prévu mais comme tout allait bien.
Le weed-end suivant, Olivier terminait donc sa seconde semaine avec la queue sous clé. j'arrivais chez lui. Il avait l'air détendu le bonhomme.
Moi : Ta situation de passif enfermé te réussi.
Olivier : Oui pas trop mal, mais tu peux me croire cette libération je l'attends. Houla oui !
Moi : Et si je te disais que …
Olivier changeait de tête, c'est comme un angoisse qui passait dans ses yeux.
Olivier : C'est toi qui décide !
Deux minutes plus tard on était à poil sur son lit, les deux cages à bite posées sur la table de nuit. Sa queue était dans Ma bouche et la mienne dans sa bouche. On était occupé, concentré à donner du plaisir à l'autre.
Il respectait les règles, pas une fois il n'essayait de se tripoter la queue, c'est moi qui m'en chargeait. Lui il s'occupait de moi. Nos mains ne se privaient pas se promener sur le corps de l'autre comme pour ne pas l'oublier, ne pas pouvoir l'oublier, surtout les parties qui étaient le plus souvent sous clé depuis quelques temps.
Le cul lui serait toujours accessible mais ce n'était pas une raison pour le négliger. Il me glissait un doigt dedans et me massait la prostate. Je me contractais, il était rapide et me surprenait. Il n'avait pas prévenu, il n'avait pas frappé avant d'entrer. C'est seulement après qu'il frappait, sur ma prostate. Le plaisir montait rapidement, en quelques instants je tremblais de plaisir.
J'avais l'impression de juter, d'éjaculer. Je sentais que ça allait venir, c'était bon. Je continuais à sucer la queue d'Olivier, il bandait ferme et était relevée contre son ventre, il appuyait sur ma tête. Il était plus violent que d'habitude, j'avais l'impression qu'il en profitais, il savait qu'il y retournerait.
Pour le moment il ne savait pas quand mais il savait que c'était prévu, que c'était d'ici peu et que ce serait plus long. Il ne savait pas combien de temps j'avais décidé, il savait seulement que c'est moi qui déciderais et que je ferais moi aussi ce challenge. Il ne savait pas quand le challenge allait commencer.
Il savait seulement que l'échéance était proche.
Sa queue entrait maintenant bien à fond dans ma gorge, je ne résistais pas ce qui ne l'empêchait pas d'appuyer de toutes ses forces sur ma tête. J'aime bien quand on me force un peu, quand on me bouscule un peu. J'y avais droit au point de me demander si Olivier était vraiment passif, ce soir là il était actif, très actif, viril, très viril. Je décidais de lui laisser carte blanche, de tout accepter de lui ce weed-end. Il serait le maître et je serais son sex-toy.
Il me glissait un troisième doigt dans le cul, il me dilatait bien. C'était bon, vraiment bon, même s'il me faisait un peu mal. Il se relevait l'air décidé, me tirait d'un côté puis de l'autre, je le laissais faire et me contentais de suivre.
Il m'avait déjà bien lubrifié et sans rien dire, avec un visage décidé, il m'enfonçait sa queue jusqu'à la garde avec une grande violence, j'en frémissais de plaisir. Sans plus attendre il me burinait, me limait le cul, frappant fortement son ventre contre mes fesses.
Tout ce que je trouvais à faire c'était des petits râles de plaisir, des petits gémissements qui devenaient de plus en plus forts. Je prenais mon pied comme jamais. Oui je sais je l'ai déjà dit ça mais là je vous jure que là c'est pas des conneries.
J'étais sur mes genoux, le corps penché en avant, la tête entre les mains bien calée entre deux oreillers, le cul offert, bien offert. Il me tenait par les hanches et me tirait à lui avec force qu moment ou il avançait avec la même force son bassin et qu'il enfonçait sa queue dans mon cul.
De nouveau le plaisir envahissait tout mon ventre puis tout mon corps, comme souvent je sentais le plaisir envahir ma queue jusqu'à l'intérieur de mon urètre. Je jouissais, mais comme d'habitude rien ne jutais. Je ne prenais plus la peine de vérifier, je sais depuis longtemps par expérience que je ne jute jamais si je suis stimuler par le cul uniquement. Avec moi ça ne marche pas ça !
Je m'effondrait sur moi même,le plaisir montait, montait encore. Olivier me tirait vers lui, me relevait et me serrait très fort contre lui. Les mouvements de son bassin ne faiblissaient pas et dans cette nouvelle position il fallait qu'il force et il forçait. Il me faisait un peu mal, je gémissais mais même si je trouvais la situation inconfortable je ne résistais pas.
Olivier savait que bientôt pour lui ce serait la cage et n'écoutait pas au moment ou je lui demandait d'y aller plus doucement. Il n'entendait pas quand je lui disais qu'il me faisait mal. Il passait son bras autour de mon cou et me tordait le bras. La position dans laquelle j'étais rendais cette pénétration particulièrement douloureuse. Je voulais lui dire d'arrêter, il posait sa main sur ma bouche et redoublait de violence. Il me faisait vraiment mal à ce moment et je râlais.
Un incroyable plaisir m'envahissait, je je sentais ma queue juter, éjaculer dans un orgasme intense. Olivier ne faiblissait pas encore, il continuait à me buriner jusqu'au moment ou je l'entendait crier, il jouissait à son tour, il jouissait dans mon cul. En quelques mouvements de bassin supplémentaires, Olivier m'arrachait un cri de douleur et il ne bougeait plus. Rapidement il se retirait, je tremblais encore. Il m'avait fait mal le con, ça allait mieux, je passais ma main sur ma queue … J'avais éjaculé !
Je ne bandais plus après ça et je savais que ce soir là je ne lui rendrais pas la politesse. On s'effondrait l'un à côté de l'autre sur le lit. J'étais en sueur, lui aussi. On ne disait rien, plus rien.
Je ne pensais plus à rien, je prenais dans la main le dispositif de chasteté que j'avais fabriqué pour Olivier. Je suppose que j'allais lui parler de la suite, du challenge qui devait commencer le dimanche à venir, deux jours plus tard …
Encore un peu essoufflé il me le prenait des mains en me disant : '' D'accord ! ''.
Je ne réagissais pas vraiment à ce qu'il faisait mais en quelques secondes, il avait débandé, il avait passé le cock-ring puis il enfilait sa cage. Mécaniquement je le verrouillais puis je faisais comme lui. A cet instant je ne pensais vraiment plus à rien. On s'endormait.
Le lendemain, on était samedi. On se réveillait, Olivier me regardait.
Olivier : Ça y est, c'est commencé ?
Moi : Je n'avais prévu que demain soir mais il semblerait que tu étais pressé !
Olivier : C'est pas ce j'avais compris !
…
Olivier : On l'enlève alors ?
Moi : Tu l'as fermé, on le garde fermé.
Olivier : Tu as toujours ta clé, tu peux me libérer.
Moi : Toi aussi tu peux me libérer !
Olivier : Toi d'abord !
Je lui demandais une enveloppe, j'y mettais mon adresse, j'y glissais la clé et un peu plus tard dans la matinée je postais l'enveloppe. Je me souviens de son regard à ce moment.
Olivier : On aurait pu s'amuser encore un moment ce week-end.
Moi : On aurait …Olivier : Et le challenge il va durer combien de temps ?
Moi : Quinze semaines.
Olivier : Quinze ! Mais tu es fou, ton record c'est beaucoup moins !
Moi : Justement ! Mon record c'est plus de soixante jours, je l’incrémente de cinquante pour cent et j'arrondis au plus proche des cent jours. Quinze semaines ça fait cent cinq jours … Voilà comment j'ai calculé !
Olivier : La vache !
Moi : Tu me suis ?
Olivier : J'ai donné ma parole.
Et il a tenu parole. On s'est revu régulièrement. Pardon je voulais dire on se revoit régulièrement. Tout comme moi il est devenu un porteur régulier.
Je vous raconterai un jour certaines de nos aventures, de nos soirées …
…
Pour le moment je n'ai pas prévu de suite à cette histoire mais sait-on jamais … Donc …
FIN ( peut être )
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Le reste du week-end on se lâchait.
C'est moi qui le réveillait en l'enculant sans prévenir, sans lui avoir rien demandé. Il ouvrait les yeux en gémissant de plaisir, il tournait la tête dans ma direction et je pouvais voir un large sourire.
Olivier : Je vois que tu sais comment parler à un passif toi.
Moi : Tu as bien dormi ?
J'enfonçais ma queue bien à fond d'un mouvement rapide et il me répondait par un râle de plaisir, il se laissait tomber sur le ventre et me laissait faire.
Je lui limais le cul, comme il l'avait fait la veille au soir. Sont cul était serré, je sentais son muscle anal autour de ma queue, comme un anneau souple dans lequel je glissait. Ses fesses étaient fermes quand je les écrasais contre mon ventre. Il couinait le bestiau et ça me faisait plaisir. C'était la deuxième fois que j'utilisais ma bite pour autre chose que pisser en plus de soixante semaines … Pardon je voulais dire en plus de soixante jours, soixante dix même il me semble, et j'avais bien l'intention d'en profiter. On était samedi matin et si je respectais mon propre programme, le retour sous clé était prévu pour le lendemain soir. Pour Olivier comme pour moi !
Je le limais de toutes mes force, je me glissait dans son cul en me laissant tomber sur lui de tous mon poids, je terminais avec un coup de bassin puis je me relevais dans un même mouvement. Je ressortais presque complètement avant de revenir avec la même violence.
Rapidement je sentais le plaisir monter. Cette étrange petite sensation dans l'urètre peu avant d'éjaculer. Je retenais mes mouvement, respirait bien à fond et reprenais. Le plaisir montait alors plus doucement et je parvenais à retarder l'érection un peu plus encore.
Un peu plus mais un peu moins à chaque fois. Au bout d'un moment le plaisir continuait à monter et là je sentais que je ne me retiendrais pas plus longtemps. Je burinais alors avec violence, il râlait de plaisir et je sentais tous ses muscles se contracter, il soufflait fort, j'avais l'impression qu'il jouissait et qu'il éjaculait lui aussi au moment ou je me libérais dans son cul.
J'ai pris mon pied comme jamais. C'est toujours ce que je dis dans ces cas là, donc il ne faut pas me croire quand je dis '' Comme jamais '' …
Donc j'ai pris mon pied comme jamais et là je ne déconne pas, vous pouvez me croire. Je me laissais tomber sur Olivier qui m'offrait son corps comme coussin et me recevait sans rien faire avec plaisir ( pour lui aussi j'espère ).
On ne bougeait plus, ma queue était toujours dans son cul, je bandais toujours, je sentais toujours son anus, cet anneau élastique autour de ma bite. On se laissait aller et peu à peu je le couvrais de baiser sur les épaules, il me répondais, la tête posée sur une joue, par un large sourire.
Quand on se relevait c'était pour passer sous la douche, mais on y passait ensemble. Chacun caressait l'autre, chacun lavait les parties intimes de l'autre, chacun masturbait gentiment l'autre. On y prenait goût et on ne se lâchait que quand chacun avait fait éjaculé l'autre.
Pour moi c'est venu plus rapidement que quelques instants plus tôt, dans son cul. Là ça avait un peu traîné. Il jouissait en jutant abondement lui aussi. On terminait par un gros câlin sous la douche avant de se sécher l'un l'autre.
On restait à poil jusqu'au moment de sortir se promener, ce samedi matin on était vraiment à poil. Pour Olivier c'était nouveau, depuis une semaine. Pour moi aussi, ces dernières semaines ça ne m'étais pas arrivé bien souvent.
On passait le reste de la journée à une promenade au parc, dans la forêt, au centre commercial … J'avais choisi de ne pas mettre de sous vêtements. Je m'exprime mal, j'avais été un peu obligé de ne pas mettre de sous vêtements parce que tout simplement je n'en avais pas. D'habitude j'ai un sous vêtements, en PVC, fait maison refermé avec un cadenas mais là je l'avais retiré la veille. Pas de dispositif de chasteté pour ce week-end.
J'aime bien me promener comme ça, dans un pantalon large on a les couilles qui se balance et la queue qui cherche à les rattraper. Mais je portais un pantalon moulant donc rien ne bougeait.
Amusé, Olivier avait fait comme moi, il n'avait pas mis de sous vêtements non plus. Mais lui il avait un pantalon plus large et il l'a regretté. Ses couilles se baladaient sa queue tentait de les suivre et avec cette période d'une semaine passé sous clé, sa queue en profitait pour se faire remarquer. A plusieurs reprises il était un peu gêné alors que moi je rigolais. J'en profitais même pour le taquiner en lui donnant un baiser dans le cou.
De retour à la maison il mettait un sous vêtements, avant de sortir à la crêperie. Il faut changer de temps en temps, on va toujours à la pizzeria.
On a baisé tout le week-end. Avant de sortir manger une crêpe on a baisé, après on est revenu à l'appartement pour baiser. On est ensuite allé au cinéma ou dans le noir, très discrètement on s'est peloté. On est ensuite revenu à l'appartement pour baiser puis on est sorti en boite de nuit.
Enfin juste avant de dormir … Bein oui vous avez deviné … On a baisé. Bon d'accord, on n'a pas éjaculé à chaque fois mais à chaque fois c'était plus qu'un gros câlin.
Le dimanche matin c'est lui qui me copiait en m'enculant pour me réveiller. Finalement je savais que c'était une bonne idée, et je vous jure que c'était le pied. Surtout que quand je dis '' on a baisé '' il faut bien se dire qu'il y en avait toujours un qui enculait l'autre. Enfin au moins un …
Le dimanche soir on s'était gavé de sexe. C'est le genre de gavage qui ne fait pas grossir je peux vous le garantir. Vous pouvez y aller les jeunes !
On était allongé sur son lit, nos dispositifs de chasteté n'avaient pas bougé depuis mon arrivé vendredi soir. Je prenais celui d'Olivier et le lui tendais.
Olivier : Tu est sûr ?
Moi : Tu renonces ?
Pour seule réponse il enfilait son truc, il était détendu Olivier et sa queue ne résistait pas. J'en faisais de même. On se verrouillait en cœur puis on se faisait un gros câlin et c'est là qu'on a bandé, ensemble, sans même se concerter.
Olivier : Tu as vu ça ? Maintenant on bande.
Moi : Il va falloir que je rentre.
On restait encore un moment enlacé, aucun de nous ne voulait lâcher l'autre. Mais il le fallait bien, j'avais de la route à faire.
Moi : Il faudra rallonger les périodes de chasteté !
Olivier : Beuheuheu !
Moi : Ça veut dire quoi ça ?
Olivier : Pfff, ppp, fff, Pfff !
Moi : Bon c'est pas grave ! Toujours décidé à me suivre ?
Olivier : Toujours !
J'allais enfin à la porte, il me rattrapais, me prenait dans ses bras et ne voulait plus me lâcher. Il faisait durer le plaisir.
Quand j'arrivais enfin à la voiture, je me disais … '' C'était quelque chose ! Bon on va encore rester sur une semaine pour le moment ! ''
J'arrivais à la maison, j'étais un peu fatigué mais je me sentais bien. Je ne pensais plus qu'à Olivier. Et je préparais le programme, '' Encore une semaine, puis quatre et enfin je lui lance mon dernier challenge douze ! ''.
Je me demandais s'il tiendrait le coup au moment ou je m'endormais.
La semaine qui suivait on s'écrivait souvent, plusieurs fois par jour.
Olivier : Le plus dur pour moi c'est l'abstinence totale, pas de gode, de plug, de mec …Moi : Non ça c'était uniquement pour la première semaine.
Olivier : Vrai, alors je peux me goder ou m'envoyer en l'air comme je veux ?
Moi : Comme tu veux bonhomme, une seule chose est interdite … Te stimuler la bite et les couilles pour te faire jouir. Pour le reste tu fais comme tu veux.
Olivier : Bon je te laisse je vais me garer un plug dans le cul. A plus, bisous.
Finalement ma première impression était la bonne, Olivier est un branleur.
Bon je dis ça mais ce que je ne vous dirais pas et que je n'avouerais même pas sous la torture c'est que, j'en ai fait autant !
La semaine passait rapidement, dès le vendredi matin je me préparais quand Olivier me téléphonait.
Olivier : Salut, ça va toi ? J'ai un petit contre temps.
Moi : Oui moi ça va mais toi, qu'est-ce qui t'arrive ?
Olivier : Je viens d'apprendre que mon frère débarque ce week-end et va présenter sa fiancée à nos parents, je ne la connais pas, il m'a dit que ma présence était indispensable.
Moi : Tu pourrais en profiter pour me présenter moi aussi !
Olivier : Farceur !
Moi : C'est peut être un fiancé ! Hé,hé,hé !
Olivier : J'espère que non !
Moi : Pourquoi ? Tu n'est pas homophobe j'espère ?
Olivier : Mais arrête donc de dire n'importe quoi. Mes parents sont au courant pour moi, mais ce que ma mère souhaite plus que tout, c'est de devenir grand mère, alors les deux enfants homosexuels, elle serait un peu contrariée, ça c'est sûr !
Moi : Et pour ce qui est de ton dispositif ?
Olivier : C'est un truc de fou mais je supporte bien. Les réveils ne sont plus douloureux, enfin un peu quelquefois. Mais ça va bien je me sens super bien.
On se quittait là. On passait donc à deux semaines. Ce n'était pas prévu mais comme tout allait bien.
Le weed-end suivant, Olivier terminait donc sa seconde semaine avec la queue sous clé. j'arrivais chez lui. Il avait l'air détendu le bonhomme.
Moi : Ta situation de passif enfermé te réussi.
Olivier : Oui pas trop mal, mais tu peux me croire cette libération je l'attends. Houla oui !
Moi : Et si je te disais que …
Olivier changeait de tête, c'est comme un angoisse qui passait dans ses yeux.
Olivier : C'est toi qui décide !
Deux minutes plus tard on était à poil sur son lit, les deux cages à bite posées sur la table de nuit. Sa queue était dans Ma bouche et la mienne dans sa bouche. On était occupé, concentré à donner du plaisir à l'autre.
Il respectait les règles, pas une fois il n'essayait de se tripoter la queue, c'est moi qui m'en chargeait. Lui il s'occupait de moi. Nos mains ne se privaient pas se promener sur le corps de l'autre comme pour ne pas l'oublier, ne pas pouvoir l'oublier, surtout les parties qui étaient le plus souvent sous clé depuis quelques temps.
Le cul lui serait toujours accessible mais ce n'était pas une raison pour le négliger. Il me glissait un doigt dedans et me massait la prostate. Je me contractais, il était rapide et me surprenait. Il n'avait pas prévenu, il n'avait pas frappé avant d'entrer. C'est seulement après qu'il frappait, sur ma prostate. Le plaisir montait rapidement, en quelques instants je tremblais de plaisir.
J'avais l'impression de juter, d'éjaculer. Je sentais que ça allait venir, c'était bon. Je continuais à sucer la queue d'Olivier, il bandait ferme et était relevée contre son ventre, il appuyait sur ma tête. Il était plus violent que d'habitude, j'avais l'impression qu'il en profitais, il savait qu'il y retournerait.
Pour le moment il ne savait pas quand mais il savait que c'était prévu, que c'était d'ici peu et que ce serait plus long. Il ne savait pas combien de temps j'avais décidé, il savait seulement que c'est moi qui déciderais et que je ferais moi aussi ce challenge. Il ne savait pas quand le challenge allait commencer.
Il savait seulement que l'échéance était proche.
Sa queue entrait maintenant bien à fond dans ma gorge, je ne résistais pas ce qui ne l'empêchait pas d'appuyer de toutes ses forces sur ma tête. J'aime bien quand on me force un peu, quand on me bouscule un peu. J'y avais droit au point de me demander si Olivier était vraiment passif, ce soir là il était actif, très actif, viril, très viril. Je décidais de lui laisser carte blanche, de tout accepter de lui ce weed-end. Il serait le maître et je serais son sex-toy.
Il me glissait un troisième doigt dans le cul, il me dilatait bien. C'était bon, vraiment bon, même s'il me faisait un peu mal. Il se relevait l'air décidé, me tirait d'un côté puis de l'autre, je le laissais faire et me contentais de suivre.
Il m'avait déjà bien lubrifié et sans rien dire, avec un visage décidé, il m'enfonçait sa queue jusqu'à la garde avec une grande violence, j'en frémissais de plaisir. Sans plus attendre il me burinait, me limait le cul, frappant fortement son ventre contre mes fesses.
Tout ce que je trouvais à faire c'était des petits râles de plaisir, des petits gémissements qui devenaient de plus en plus forts. Je prenais mon pied comme jamais. Oui je sais je l'ai déjà dit ça mais là je vous jure que là c'est pas des conneries.
J'étais sur mes genoux, le corps penché en avant, la tête entre les mains bien calée entre deux oreillers, le cul offert, bien offert. Il me tenait par les hanches et me tirait à lui avec force qu moment ou il avançait avec la même force son bassin et qu'il enfonçait sa queue dans mon cul.
De nouveau le plaisir envahissait tout mon ventre puis tout mon corps, comme souvent je sentais le plaisir envahir ma queue jusqu'à l'intérieur de mon urètre. Je jouissais, mais comme d'habitude rien ne jutais. Je ne prenais plus la peine de vérifier, je sais depuis longtemps par expérience que je ne jute jamais si je suis stimuler par le cul uniquement. Avec moi ça ne marche pas ça !
Je m'effondrait sur moi même,le plaisir montait, montait encore. Olivier me tirait vers lui, me relevait et me serrait très fort contre lui. Les mouvements de son bassin ne faiblissaient pas et dans cette nouvelle position il fallait qu'il force et il forçait. Il me faisait un peu mal, je gémissais mais même si je trouvais la situation inconfortable je ne résistais pas.
Olivier savait que bientôt pour lui ce serait la cage et n'écoutait pas au moment ou je lui demandait d'y aller plus doucement. Il n'entendait pas quand je lui disais qu'il me faisait mal. Il passait son bras autour de mon cou et me tordait le bras. La position dans laquelle j'étais rendais cette pénétration particulièrement douloureuse. Je voulais lui dire d'arrêter, il posait sa main sur ma bouche et redoublait de violence. Il me faisait vraiment mal à ce moment et je râlais.
Un incroyable plaisir m'envahissait, je je sentais ma queue juter, éjaculer dans un orgasme intense. Olivier ne faiblissait pas encore, il continuait à me buriner jusqu'au moment ou je l'entendait crier, il jouissait à son tour, il jouissait dans mon cul. En quelques mouvements de bassin supplémentaires, Olivier m'arrachait un cri de douleur et il ne bougeait plus. Rapidement il se retirait, je tremblais encore. Il m'avait fait mal le con, ça allait mieux, je passais ma main sur ma queue … J'avais éjaculé !
Je ne bandais plus après ça et je savais que ce soir là je ne lui rendrais pas la politesse. On s'effondrait l'un à côté de l'autre sur le lit. J'étais en sueur, lui aussi. On ne disait rien, plus rien.
Je ne pensais plus à rien, je prenais dans la main le dispositif de chasteté que j'avais fabriqué pour Olivier. Je suppose que j'allais lui parler de la suite, du challenge qui devait commencer le dimanche à venir, deux jours plus tard …
Encore un peu essoufflé il me le prenait des mains en me disant : '' D'accord ! ''.
Je ne réagissais pas vraiment à ce qu'il faisait mais en quelques secondes, il avait débandé, il avait passé le cock-ring puis il enfilait sa cage. Mécaniquement je le verrouillais puis je faisais comme lui. A cet instant je ne pensais vraiment plus à rien. On s'endormait.
Le lendemain, on était samedi. On se réveillait, Olivier me regardait.
Olivier : Ça y est, c'est commencé ?
Moi : Je n'avais prévu que demain soir mais il semblerait que tu étais pressé !
Olivier : C'est pas ce j'avais compris !
…
Olivier : On l'enlève alors ?
Moi : Tu l'as fermé, on le garde fermé.
Olivier : Tu as toujours ta clé, tu peux me libérer.
Moi : Toi aussi tu peux me libérer !
Olivier : Toi d'abord !
Je lui demandais une enveloppe, j'y mettais mon adresse, j'y glissais la clé et un peu plus tard dans la matinée je postais l'enveloppe. Je me souviens de son regard à ce moment.
Olivier : On aurait pu s'amuser encore un moment ce week-end.
Moi : On aurait …Olivier : Et le challenge il va durer combien de temps ?
Moi : Quinze semaines.
Olivier : Quinze ! Mais tu es fou, ton record c'est beaucoup moins !
Moi : Justement ! Mon record c'est plus de soixante jours, je l’incrémente de cinquante pour cent et j'arrondis au plus proche des cent jours. Quinze semaines ça fait cent cinq jours … Voilà comment j'ai calculé !
Olivier : La vache !
Moi : Tu me suis ?
Olivier : J'ai donné ma parole.
Et il a tenu parole. On s'est revu régulièrement. Pardon je voulais dire on se revoit régulièrement. Tout comme moi il est devenu un porteur régulier.
Je vous raconterai un jour certaines de nos aventures, de nos soirées …
…
Pour le moment je n'ai pas prévu de suite à cette histoire mais sait-on jamais … Donc …
FIN ( peut être )
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