OLLECTION FOLLE DU CUL. Maryse et Monsieur X (1/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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OLLECTION FOLLE DU CUL. Maryse et Monsieur X (1/4)
Depuis octobre 2014 où je me fais plaisir à écrire des histoires érotiques mes moments préférés ce sont ceux lorsqu’un ou une lectrice me rapporte leur propre expérience.
Il y a ceux que vos écrits rappels des souvenirs de leur vie récente ou bien plus ancienne.
Il y a ceux qui fantasment sur ce qu’ils auraient pu faire dans la même situation.
Ceux qui ont rêvé de trouver leur compagne dans des situations qui, hélas, resteront des rêves.
Maryse qui m’a contacté après l’un des textes des jours derniers m’est apparue très intéressante.
Maryse avait mis une adresse Mail.
Ça m’a permis d’approfondir sa personnalité.
La possibilité d’échanger par Mail facilite la prise de renseignements.
Les commentaires sur HDS sont bien utiles, mais dans ses premiers Mails rapidement j’ai assez de matière pour commencer à écrire.
Rapidement l’âge de Maryse me disant qu’elle est retraitée me semble intéressant.
C’est la première fois qu’une dame de la région d’Étampes était presque de mon âge.
Comme disent les Suisses ou les Belges, l’approche de ses septantes égrainait déjà le tic-tac de la pendule de nos vies et nous rapprochait.
Maryse m’a dit la croqueuse de vie qu’elle était et est encore, oui, même à son âge.
Maryse, mère et grand-mère, proche d’être arrière-grand-mère, a vécu ce que certains disent une vie de débauche et de sexe sans aucun tabou.
Une femme à quelques mois de ses soixante-dix printemps me dévoilait les choses les plus intimes que sa vie d’intermittente du spectacle comme dit à notre époque, lui avait apporté.
Des tromperies, des amants surtout dans ce milieu avec comme point d’orgue des aventures éphémères avec des acteurs célèbres.
La vraie vie pour certaines salopes qui m’écrivent me parlant de fantasme ou de rêves alors qu’elles veulent ressentir par des mots ce qu’elles ont ressenti tout au long de leur vie.
Pour Maryse, lors de son mariage à 21 ans, sa vie sexuelle était déjà fort avancée.
Mais nous en parlerons dans la suite des épopées de la vie de ma nouvelle amie dans de prochains textes.
En ce temps-là, vu le nombre d’années en arrière, on peut dire que plusieurs créneaux s’ouvraient aux femmes.
Vierge, jusqu’au dernier moment, avec le risque que leur nuit de noces soit un vrai fiasco.
L’alcool aidantes, entre l’allène de chacal et le nombre de grammes ingurgités par ceux avec lequel elles venaient de lier leur vie, les belles se retrouvaient avec leurs seuls doigts pour se donner du plaisir.
La masturbation, déjà connue de la plupart d’entre elles depuis leur puberté avec leurs doigts leur apportant du plaisir grâce à leur clitoris, devenait leur palliatifD’autres dans le même état de virginité et d’alcool du mari se tournent vers un amant dès le premier soir.
Souvent le témoin du marié rongeant son frein depuis que son copain lui a présenté celle qui serait sa compagne sert de remplaçant.
Maryse se classait dans celle qui avait déjà connu le loup d’où la catégorie de mon écrit dans la collection « folle du cul. »
C’est au moment des enchères de sa jarretière, que sa première aventure de salope est arrivée ce soir-là.
Quand vous connaîtrez le début de sa vie sexuelle et la découverte de son corps, vous verrez que jusqu’à ce moment là sur la scène, elle avait été raisonnable.
La mise aux enchères de la jarretière était fréquente dans ces années d’après-guerre.
Les gens souhaitaient se divertir évitant de penser aux années noires qu’ils venaient de traversée.
Maryse était née après la guerre, elle et moi nous faisons partie des années « baby-boum. »Pourquoi baby-boom terme franglais ?
Certainement car des femmes de vie légère après avoir fricoté avec l’ennemie avaient complété leur tableau de chasse avec les libérateurs américains, anglais ou de rare fois française.
Parmi ces Français, il y en avait qui était venu des colonies étant de diverses couleurs.
Enfants et boom, que l’on peut traduire par explosions des naissances en France.
Mais donnons la parole à Maryse pour qu’elle vous raconte mieux que quiconque son aventure et les suites qui vont suivre.
Bonjours je m’appelle Maryse et je remercie Chris, de me prêter sa plume.
Le jour de mon mariage, je suis montée sur scène tenant la main de Jean, témoin désigné pour monter les enchères de ma jarretière.
L’orchestre payé par ma belle-mère jouait un morceau passe-partout.
Il m’a aidé à m’asseoir sur une chaise de côté en rapport du public afin qu’au nombre de billets, je monte où descende ma jarretière.
Rapidement j’ai vu monsieur X mettre des billets dans le chapeau que Jean promenait.
Tout le long de mon récit, j’appellerai, ce monsieur étant le personnage principal de mon aventure, monsieur X.
La cinquantaine, moi 21, il était voisin de ma belle-mère dans son immeuble.
C’était le président des copropriétaires et était connu pour être une espèce de prêteur d’argent vu sa grande fortune.
Je l’avais croisé quelquefois depuis que j’étais avec Claudio.
Il était à notre mariage invité par ma belle-maman étant des voisins de longue date.
Gueule avinée et embonpoint dépassant la comorbidité, il a monté les enchères à coups de francs en service dans ces années-là.
C’était la lutte entre lui et le même genre de porc dont jusqu’à ce jour j’ignorais l’existence que je vais voir venir m’arracher ma jarretière.
Je t’en supplie Jean, arrête de faire entrer les billets dans ton chapeau lorsque Robert, un copain placera son dernier billet.
Mais je sais que c’est impossible, ce sera le dernier homme ou la dernière femme généreux qui l’emportera.
Hélas, à ce que je vois, avec Claudio nous aurons beaucoup de pognons, mais les deux derniers sont ces vieux barbots.
• Dernière possibilité de surenchérir, un, deux trois gagnés.
Monsieur X, voulez-vous me suivre auprès de Maryse qui va vous faire plaisir en vous permettant d’ôter sa jarretière, avec vos dents pour respecter la tradition.
Il est arrivé à ma hauteur, c’était la première fois que je le voyais de si prêt.
Visage aviné, avec ce qu’il avait ingurgité pendant le repas, rien d’anormal, mais ses c’est à ce moment que je découvre ses yeux de vieux sadique, il me fait un peu peur.
Avec du mal, il s’est agenouillé et a approché sa bouche de ma jambe.
J’ai le temps de voir ses chicos jaunis, souvent il se balade dans l’immeuble avec un mégot aux lèvres.
J’ai ses cheveux crasseux au-dessous de mon nez, ce monsieur X est un homme à la limite de l’innommable.
Comme il est placé, je vois sa main se glisser dans l’intérieur de ma fourche.
Il sait que les gens dans la salle sont dans l’impossibilité de voir son geste.
J’aurais voulu faire quelque chose, mais à part un esclandre, je subis.
Son doigt ou ses doigts viennent en contact de ma chatte et une fraction de seconde sur mon clito.
Il me caresse très rapidement tout en ayant sa bouche bavant sur ma jambe quand il tire ma jarretière vers mon mollet.
Un instant, je ferme mes yeux, un petit frisson traverse mon corps.
Quand il me libère de son emprise, se relevant difficilement avec ma jarretière dans les dents, je me crois libérée.
• Voilà qui est fait, les jeunes mariés vous remercient de votre générosité.
Que la mariée rejoigne son mari pour ouvrir le bal.
Nous avons là encore été contraints à suivre la tradition.
Jusqu’à ce que je sois obligée de faire ce que le chef d’orchestre me demande.
• Voici un slow, que la mariée rejoigne le monsieur qui a gagné sa jarretière, il a bien mérité ce petit moment de plaisir.
Piégé, comme je l’ai dit à Chris71 quand je lui ai évoqué ma vie, j’étais loin d’être bégueule sur le choix de mes amants et il vous contera cela dans les prochains jours.
Vous êtes vous déjà retrouvé dans les bras de Balou, son ventre me permettant d’avoir mes seins loin de sa poitrine.
Mais il veut sentir le plus en plus de moi après mon clito et il me serre me faisant sentir l’envie qui semble l’enflammer.
Il profite de sa position dominante pour me glisser dans l’oreille, ce qui va devenir le poison qui va régir sa vie.
• Vous savez, madame Maryse, je suis toujours au service des jeunes et des gens.
J’ai été surprise que monsieur X m’appelle tout au long de nos rapports « madame Maryse et me vouvoie.
• Si vous en avez besoin, je suis en mesure de vous prêter de l’argent.
Pour vous, je vous ferais une fleur, nous trouverons des arrangements.
• On va faire attention, merci de la proposition.
• Vous semblez dubitatif, je vais vous donner un exemple.
Regardez votre belle-mère, comment croyez-vous qu’elle finance la noce de son fils.
Elle est bigote sur les bords, mais elle a compris, elle vient souvent chez moi pour me faire les remboursements.
Je pourrais vous raconter la salope qu’elle est dans un pieu et sur mon pieu.
Monsieur X vient carrément de me dire qu’il saute ma belle-mère contre des remboursements et que si je sais en faire autant, je pourrais avoir de l’argent à des taux préférentiels.
En un mot, il veut faire de moi une pute.
Merde, ma belle-mère est une pute bien qu’elle ait rendez-vous avec son curé tous les dimanches.
Heureusement, qu’avec Claudio nous sommes raisonnables.
Mais qui peut dire « jamais » l’avenir nous le dira...
Il y a ceux que vos écrits rappels des souvenirs de leur vie récente ou bien plus ancienne.
Il y a ceux qui fantasment sur ce qu’ils auraient pu faire dans la même situation.
Ceux qui ont rêvé de trouver leur compagne dans des situations qui, hélas, resteront des rêves.
Maryse qui m’a contacté après l’un des textes des jours derniers m’est apparue très intéressante.
Maryse avait mis une adresse Mail.
Ça m’a permis d’approfondir sa personnalité.
La possibilité d’échanger par Mail facilite la prise de renseignements.
Les commentaires sur HDS sont bien utiles, mais dans ses premiers Mails rapidement j’ai assez de matière pour commencer à écrire.
Rapidement l’âge de Maryse me disant qu’elle est retraitée me semble intéressant.
C’est la première fois qu’une dame de la région d’Étampes était presque de mon âge.
Comme disent les Suisses ou les Belges, l’approche de ses septantes égrainait déjà le tic-tac de la pendule de nos vies et nous rapprochait.
Maryse m’a dit la croqueuse de vie qu’elle était et est encore, oui, même à son âge.
Maryse, mère et grand-mère, proche d’être arrière-grand-mère, a vécu ce que certains disent une vie de débauche et de sexe sans aucun tabou.
Une femme à quelques mois de ses soixante-dix printemps me dévoilait les choses les plus intimes que sa vie d’intermittente du spectacle comme dit à notre époque, lui avait apporté.
Des tromperies, des amants surtout dans ce milieu avec comme point d’orgue des aventures éphémères avec des acteurs célèbres.
La vraie vie pour certaines salopes qui m’écrivent me parlant de fantasme ou de rêves alors qu’elles veulent ressentir par des mots ce qu’elles ont ressenti tout au long de leur vie.
Pour Maryse, lors de son mariage à 21 ans, sa vie sexuelle était déjà fort avancée.
Mais nous en parlerons dans la suite des épopées de la vie de ma nouvelle amie dans de prochains textes.
En ce temps-là, vu le nombre d’années en arrière, on peut dire que plusieurs créneaux s’ouvraient aux femmes.
Vierge, jusqu’au dernier moment, avec le risque que leur nuit de noces soit un vrai fiasco.
L’alcool aidantes, entre l’allène de chacal et le nombre de grammes ingurgités par ceux avec lequel elles venaient de lier leur vie, les belles se retrouvaient avec leurs seuls doigts pour se donner du plaisir.
La masturbation, déjà connue de la plupart d’entre elles depuis leur puberté avec leurs doigts leur apportant du plaisir grâce à leur clitoris, devenait leur palliatifD’autres dans le même état de virginité et d’alcool du mari se tournent vers un amant dès le premier soir.
Souvent le témoin du marié rongeant son frein depuis que son copain lui a présenté celle qui serait sa compagne sert de remplaçant.
Maryse se classait dans celle qui avait déjà connu le loup d’où la catégorie de mon écrit dans la collection « folle du cul. »
C’est au moment des enchères de sa jarretière, que sa première aventure de salope est arrivée ce soir-là.
Quand vous connaîtrez le début de sa vie sexuelle et la découverte de son corps, vous verrez que jusqu’à ce moment là sur la scène, elle avait été raisonnable.
La mise aux enchères de la jarretière était fréquente dans ces années d’après-guerre.
Les gens souhaitaient se divertir évitant de penser aux années noires qu’ils venaient de traversée.
Maryse était née après la guerre, elle et moi nous faisons partie des années « baby-boum. »Pourquoi baby-boom terme franglais ?
Certainement car des femmes de vie légère après avoir fricoté avec l’ennemie avaient complété leur tableau de chasse avec les libérateurs américains, anglais ou de rare fois française.
Parmi ces Français, il y en avait qui était venu des colonies étant de diverses couleurs.
Enfants et boom, que l’on peut traduire par explosions des naissances en France.
Mais donnons la parole à Maryse pour qu’elle vous raconte mieux que quiconque son aventure et les suites qui vont suivre.
Bonjours je m’appelle Maryse et je remercie Chris, de me prêter sa plume.
Le jour de mon mariage, je suis montée sur scène tenant la main de Jean, témoin désigné pour monter les enchères de ma jarretière.
L’orchestre payé par ma belle-mère jouait un morceau passe-partout.
Il m’a aidé à m’asseoir sur une chaise de côté en rapport du public afin qu’au nombre de billets, je monte où descende ma jarretière.
Rapidement j’ai vu monsieur X mettre des billets dans le chapeau que Jean promenait.
Tout le long de mon récit, j’appellerai, ce monsieur étant le personnage principal de mon aventure, monsieur X.
La cinquantaine, moi 21, il était voisin de ma belle-mère dans son immeuble.
C’était le président des copropriétaires et était connu pour être une espèce de prêteur d’argent vu sa grande fortune.
Je l’avais croisé quelquefois depuis que j’étais avec Claudio.
Il était à notre mariage invité par ma belle-maman étant des voisins de longue date.
Gueule avinée et embonpoint dépassant la comorbidité, il a monté les enchères à coups de francs en service dans ces années-là.
C’était la lutte entre lui et le même genre de porc dont jusqu’à ce jour j’ignorais l’existence que je vais voir venir m’arracher ma jarretière.
Je t’en supplie Jean, arrête de faire entrer les billets dans ton chapeau lorsque Robert, un copain placera son dernier billet.
Mais je sais que c’est impossible, ce sera le dernier homme ou la dernière femme généreux qui l’emportera.
Hélas, à ce que je vois, avec Claudio nous aurons beaucoup de pognons, mais les deux derniers sont ces vieux barbots.
• Dernière possibilité de surenchérir, un, deux trois gagnés.
Monsieur X, voulez-vous me suivre auprès de Maryse qui va vous faire plaisir en vous permettant d’ôter sa jarretière, avec vos dents pour respecter la tradition.
Il est arrivé à ma hauteur, c’était la première fois que je le voyais de si prêt.
Visage aviné, avec ce qu’il avait ingurgité pendant le repas, rien d’anormal, mais ses c’est à ce moment que je découvre ses yeux de vieux sadique, il me fait un peu peur.
Avec du mal, il s’est agenouillé et a approché sa bouche de ma jambe.
J’ai le temps de voir ses chicos jaunis, souvent il se balade dans l’immeuble avec un mégot aux lèvres.
J’ai ses cheveux crasseux au-dessous de mon nez, ce monsieur X est un homme à la limite de l’innommable.
Comme il est placé, je vois sa main se glisser dans l’intérieur de ma fourche.
Il sait que les gens dans la salle sont dans l’impossibilité de voir son geste.
J’aurais voulu faire quelque chose, mais à part un esclandre, je subis.
Son doigt ou ses doigts viennent en contact de ma chatte et une fraction de seconde sur mon clito.
Il me caresse très rapidement tout en ayant sa bouche bavant sur ma jambe quand il tire ma jarretière vers mon mollet.
Un instant, je ferme mes yeux, un petit frisson traverse mon corps.
Quand il me libère de son emprise, se relevant difficilement avec ma jarretière dans les dents, je me crois libérée.
• Voilà qui est fait, les jeunes mariés vous remercient de votre générosité.
Que la mariée rejoigne son mari pour ouvrir le bal.
Nous avons là encore été contraints à suivre la tradition.
Jusqu’à ce que je sois obligée de faire ce que le chef d’orchestre me demande.
• Voici un slow, que la mariée rejoigne le monsieur qui a gagné sa jarretière, il a bien mérité ce petit moment de plaisir.
Piégé, comme je l’ai dit à Chris71 quand je lui ai évoqué ma vie, j’étais loin d’être bégueule sur le choix de mes amants et il vous contera cela dans les prochains jours.
Vous êtes vous déjà retrouvé dans les bras de Balou, son ventre me permettant d’avoir mes seins loin de sa poitrine.
Mais il veut sentir le plus en plus de moi après mon clito et il me serre me faisant sentir l’envie qui semble l’enflammer.
Il profite de sa position dominante pour me glisser dans l’oreille, ce qui va devenir le poison qui va régir sa vie.
• Vous savez, madame Maryse, je suis toujours au service des jeunes et des gens.
J’ai été surprise que monsieur X m’appelle tout au long de nos rapports « madame Maryse et me vouvoie.
• Si vous en avez besoin, je suis en mesure de vous prêter de l’argent.
Pour vous, je vous ferais une fleur, nous trouverons des arrangements.
• On va faire attention, merci de la proposition.
• Vous semblez dubitatif, je vais vous donner un exemple.
Regardez votre belle-mère, comment croyez-vous qu’elle finance la noce de son fils.
Elle est bigote sur les bords, mais elle a compris, elle vient souvent chez moi pour me faire les remboursements.
Je pourrais vous raconter la salope qu’elle est dans un pieu et sur mon pieu.
Monsieur X vient carrément de me dire qu’il saute ma belle-mère contre des remboursements et que si je sais en faire autant, je pourrais avoir de l’argent à des taux préférentiels.
En un mot, il veut faire de moi une pute.
Merde, ma belle-mère est une pute bien qu’elle ait rendez-vous avec son curé tous les dimanches.
Heureusement, qu’avec Claudio nous sommes raisonnables.
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