Omissions 2

- Par l'auteur HDS Victorine3 -
Récit érotique écrit par Victorine3 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Omissions 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
Tags : Cunnilingus
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Omissions 2
Lundi, retour au travail. Livraison de nouveaux livres, ce qui veut dire trouver où les placer en fonction de plusieurs critères.
10h42, mon smartphone m’annonce que j’ai un nouveau message.
Hélène: quand peut-on organiser notre petite soirée?
Il m’a fallut quelques secondes pour comprendre.
Moi: Samedi soir, si ça lui convient.
Hélène: elle est d’accord. Il faut que tu saches qu’elle est une vraie lesbienne.
Moi: pas de soucis, je me ferai discret.
Hélène: je lui ai dit que tu adore bouffer de la chatte et que tu faisais ça presque aussi bien qu’une femme. Du coup elle est d’accord et te laissera lécher son minou.
Moi: très gentil à elle. On verra.
Hélène: quelque chose à rajouter mon amour?
Moi: oui fixe lui rendez-vous à 20h30 chez-nous et qu’elle n’oublie pas sa brosse à dents.
Hélène: d’accord. Je t’aime Valentin.
Moi: moi aussi je t’aime Hélène.

La semaine passa très vite. Le samedi matin je me suis rendu compte que j’avais oublié de lui demander si elle avait des allergies alimentaires…à part les bites. J’ai demandé à Hélène si elle savait. Non. Elle lui envoya un message.
Aucune allergies.
Hélène: qu’est que tu va nous préparer pour ce soir, quelque chose de léger j’espère.
Moi: un cassoulet, qu’est ce que tu en pense?
Hélène: tu plaisantes j’espère?
Moi: non, il faut des forces pour un marathon de sexe. Je plaisante. Il y a danger à manger un cassoulet.
T’imagines, tu es entrain de lui lécher son clito quand soudain, prout.
Hélène me regarda avec défiance. Moi j’éclatais de rire.
Moi: ne t’inquiètes pas, je vais concocter des choses très légères.
Sur ce je suis parti au marché acheter, légumes, fruits, fromages et pains.
Quand je suis revenu avec les emplettes, Hélène était dans un état d’énervement que je ne lui connaissais pas.
Moi: holà, que se passe t-il ici?
Hélène: ce qui se passe, je vais te le dire ce qui se passe, je ne sais pas comment m’habiller, voilà.
Je l’ai longuement regardé avant de tenter une réponse.
Moi: je pense que cela n’a aucune importance puisque de toute façon vous allez vous retrouver à poil très rapidement, donc je ne vois le soucis.
Hélène: je suis d’accord avec toi, mais en tant que maîtresse de maison je ne vais pas la recevoir nue.
Moi: va prendre un bon bain pendant que je cuisine un peu et pendant ce temps je vais y réfléchir.
Hélène: d’accord.

Je suis passé en cuisine pour préparer un dessert. J’entendais Hélène chanter dans la salle de bain. J’ai pensé que j’irai bien prendre un bain avec elle, mais j’ai préféré éviter une querelle.
Mon dessert fait, je le mis au frigo. J’allais dans notre chambre et ouvrit ma penderie, une petite idée m’était venue.
Hélène sorti enfin de la salle de bain, enveloppée dans une serviette. L’idée de la savoir nue me donna un débat d’érection. Je m’approchais d’elle, la pris dans mes bras et l’embrassais dans le cou.
Moi: tu es très belle mon amour, tu sais tu devrais rester comme ça.
Elle me regarda pour voir si j’étais sérieux. Oui je l’étais.
Hélène: tu crois que ce serait raisonnable de la recevoir ainsi vêtue?
Moi: elle vient ici pour faire l’amour avec toi, il ne s’agit pas d’être élégante mais d’être sexy, d’être désirable.
Hélène: je crois que tu as raison. Mais pas une serviette de toilette.
Moi: je pense que j’ai ce qu’il te faut.
J’ai sorti une belle chemise blanche assez ample. Je l’ai libéré de sa serviette et l’aidais à passer ma chemise.
J’en vérifiais la longueur, et je l’ai boutonné tel que pensais le mieux adéquat pour les circonstances. Hélène me laissa
faire sans rien dire. Quand j’ai eu fini je l’approchait du grand miroir qui se trouve dans notre chambre.
Moi: regardes toi.
Ce qu’elle fit. Elle ne dit rien, tourna sur elle même.
Hélène: adoptée.
Moi: pas de sous-vêtements, la chemise est assez longue pour cacher tes fesses. Et si je puis me permettre, très très peu de maquillage.
Hélène: bien chef! Et toi comment vas-tu t’habiller?
Moi: mais moi je ne serai qu’un voyeur discret, tu te souviens?
Hélène: oui c’est vrai, qu’importe.
L’heure approchait. Un peu de rangement dans le salon, dans notre chambre et dans la salle de bains. Je dressais la table et m’assis aux côtés d’Hélène dans l’attente de notre invitée.

20h15, la sonnette de notre entrée résonna. Je me levais et allais ouvrir la porte à une très belle jeune femme rousse avec qui plus est de délicieuses rondeurs.
Moi: bonsoir, vous êtes bien Lola? Entrez donc.
Lola: merci, oui je suis bien Lola.
Hélène s’était jointe à moi et elle tomba dans les bras de son amie.
Hélène: bienvenue chez-nous, entres, allez vient. Tu es magnifique.

Je regagnais la cuisine pour préparer notre dîner. J’entendis Hélène dire à son amie de se mettre à l’aise.
J’ai rempli de glaçons notre seau à Champagne et j’y ai ajouté une bouteille tout juste sortie du frigo.
Moi: Champagne pour tout le monde les filles? J’ai attrapé trois coupes à Champagne et j’ai ouvert la bouteille.
Hélène: Valentin sait magnifiquement bien ouvrir les bouteilles de Champagne.
J’ai fait un clin d’œil à notre invitée et lui tendis une coupe, une autre pour Hélène et une pour moi.
Hélène: à quoi trinquons-nous?
Moi: Lola?
Lola: à cette nuit qui s’annonce torride.
Moi: à Lola, Hélène et Sappho! Tchin-tchin
Hélène embrassa Lola. Un baiser tendre et fougueux à la fois.
Moi: peut-être pourrions-nous dîner et après cela…Lola, mettez vous à l’aise. Je m’approchais d’Hélène et soulevais délicatement la chemise révélant ainsi ses fesses. Lola en rougit presque.
Moi: allez, asseyez-vous. J’apportais trois assiettes sur lesquelles étaient disposées une salade maison. J’ai rempli les verres.
Moi: buvez, j’ai deux autres bouteilles au frais. Elles étaient assises côte à côte, très près l’une de l’autre. J’ai mangé ma salade sans faire attention à leur discussion. Je ne pouvais pas m’empêcher de regarder leurs mains. Parfois une main se glissait sous la table et quelques instants plus tard j’entendais un léger soupir. Oui, oui les filles, la fête charnelle va bientôt commencer.
Je débarrassais les assiettes et revenais avec le dessert, une coupe de mousse aux framboises. Le dessert fut apprécié tout come le fut la salade. J’ai rempli de nouveau les verres.
Hélène me regardais avec un doux sourire. Oui je sais ma chérie.
Moi: allez-y mes amours, je pense qu’il est temps de faire plus ample connaissance. Cette fois, c’était un vrai sourire qui s’affichait sur le visage de ma bien aimée.
Elles se levèrent et gagnèrent notre chambre.
Lola: il ne vient pas avec nous?
Moi: je vous rejoindrai plus tard, hop, allez-y.

Je me suis mis à débarrasser la table et je suis allé faire la vaisselle. Une fois cela fait, j’ai bu une autre coupe de Champagne et je me suis dirigé vers la chambre.
Rires, gloussements, soupirs. Elles n’avaient pas perdu de temps.
Je me suis glissé dans ma pièce et posé mes fesses sur une chaise.

Nues. Le visage d’Hélène enfouit dans la voluptueuse poitrine de Lola. Elle léchait, suçait chaque centimètres de la fine peau de son amie. Lola ramena le visage d’Hélène vers le sien et elles échangèrent un baiser torride.
Elles étaient seules au monde.
Je déplaçais juste un peu mes jambes pour faire plus de place à une belle érection.
Lola renversa Hélène et celle-ci se retrouva allongée sur le dos. Lola s’assît sur le visage de son amante. Je ne voyais rien, mais je savais ce que mon épouse était entrain de faire. Aux bruits que faisais Lola, je comprenais qu’elle appréciait les coups de langues que lui prodiguait Hélène.
Je dois avouer que je me serais bien joint à elles, mais je n’en fis rien, attendant d’y être invité. Hélène se dégagea en douceur pour changer de position. C’est à cet instant là qu’elle m’aperçu.
Hélène: Valentin! Viens mon chéri, viens dévorer la chatte de notre invitée.
La dite Lola me fit signe que je pouvais venir. J’installais confortablement la demoiselle, glissant un coussin sous son bassin.
Et je me lâchais, léchant, suçant, avalant cette partie de son corps. Ma bouche, ma langue participaient avec appétit à cette friandise qui me rendait fou. Lola se tordait dans tous les sens, soupirait, criant même des insanités qui me faisaient redoubler d’ardeur. Je lui fis la surprise de glisser plus bas mes caresses. J’écartais doucement ses fesses et y glissais ma langue. Elle ne s’y attendait pas mais râla encore plus. Retour à son clitoris, avec une immense douceur je m’appliquais à prodiguer une fellation digne d’un pénis gorgé de sève.
Elle finit par rendre les armes. Son doux corps se convulsa, elle poussa un cri comme je n’avais jamais entendu venant de mon épouse. Lola fut secouée de longs spasmes.
Je cessais mes caresses et je la regardais revenir à elle. J’embrassais son ventre et ses seins, me retenant de l’embrasser sur ses lèvres.
Je me suis levé. Hélène me caressa le visage et m’embrassa.
Je quittais ces jeunes femmes pour qu’elles puissent s’aimer comme elles le souhaitaient.
Je me suis allongé sur notre canapé et me suis rapidement endormi. Au matin je suis allé voir dans la chambre où elles en étaient. Elles étaient endormies dans les bras l’une de l’autre, elles étaient si belles. J’ai pris mon smartphone et pris une photo de ses deux corps épuisés après une nuit d’amour. Je suis allé à la boulangerie et suis revenu préparer du café.
L’odeur du café et du pain encore chaud les tirèrent du lit. Elles sortirent de la chambre telles qu’elles étaient, nues, les traits tirés. Elles s’assirent côte à côte. Je leur servis du café et du jus d’orange frais. Elles mangèrent avec appétit pain et viennoiseries.
Hélène: elle peut rester encore un peu. J’ai souris.
Moi: je vous aime les filles vous êtes si belles. Hélène, merci de m’avoir laissé vous accompagner dans ces moments intimes et d’une immense tendresse.
Lola s’est levée. Elle ai venu vers moi et m’a embrassé sur les lèvres.
Lola: merci Valentin, merci pour tout.
Elle pris la main d’Hélène et rejoignirent la chambre. Elles se disaient des choses tendres, des mots doux. Elles firent aussi l’amour.
Lola finit par rentrer chez elle. Hélène était toujours aussi nue.
Hélène: je t’aime mon amour, merci pour ce magnifique cadeau. Je pense que j’ai besoin d’un bon bain chaud.
Moi: vas-y ma belle…

Les avis des lecteurs

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Belle histoire d'amour de Monsieur pour Madame

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Belle histoire toujours aussi bien raconte dommage que le mari n'est pas eu de récompense sq femme était un peu égoïste.
Sera t il récompenser genre 2 f un homme
Il le meriterais

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Succulente histoire...

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Un peu égoïste sq Feller mais bon c est très bien écris aucune humiliation j'espère qudlle va le récompenser le dimanche sinon....



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