Omissions 3/3 - histoire érotique

Quelques semaines sont passées, Hélène et moi étions plus proches que jamais.
Je savais, parce qu’elle me l’avait dit, que Lola venait à la maison les Samedi après-midi. Je n’avais qu’un seul Samedi de libre par mois. Je n’ai jamais croisé Lola. Elle venait, Hélène et elle faisaient l’amour. Je n’avais rien contre. Hélène et moi faisions l’amour plus souvent.
J’avais cessé de me faire des films, si Hélène devait un jour partir vivre avec Lola, j’en serais très affecté. Mais par amour pour elle, je pensais pouvoir m’effacer.
Quelques semaines plus tard, par un Dimanche pluvieux Hélène me posa une question à laquelle je ne m’attendais pas. Nous étions assis sur le canapé. Elle préparait ses cours, pour ma part je lisais un roman d’un ennui mortel.
Hélène: Valentin mon amour, j’ai une question à te poser.
Moi: vas-y, je t’écoute.
Hélène: as-tu déjà fait l’amour avec un homme?
Pourquoi cette question? Mon regard était celui de quelqu’un qui ne comprenait pas.
Moi: je…pourquoi cette question?
Hélène: juste par curiosité.
Moi: toi, mon amour, tu penses que je suis bisexuel?
Hélène: tu sais, il n’y a pas honte à ça. Chaque hommes a un côté féminin en lui, tu sais.
Moi: et donc le côté féminin nous inviterait à l’homosexualité?
Hélène: non, c’est une possibilité. C’est enfoui en nous. Soit cela ne ressort jamais, soit tu prends conscience de ton attraction pour le même sexe. Là est la partie la plus ardue. Soit tu essaies de refouler en toi ce désir, quitte a en être très affecté, soit tu accepte la chose. A partir de là, soit tu es juste attiré par les hommes, soit tu es attiré par les deux sexes.
Moi: ça n’a jamais fait surface chez-moi. Maintenant dis-moi pourquoi tu me poses cette question.
Hélène: c’est très simple mon amour, j’ai envie de te voir faire l’amour avec un homme.
Je restais silencieux un long moment.
Moi: je ne me vois pas faire ça avec un mec.
Hélène: tu sais cela pourrait te plaire.
Moi: d’accord, tu as envie de me voir baiser avec un homme. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai comme la nette impression que tu as déjà une petite idée de la personne avec qui je pourrais…
Hélène: tu as tout à fait raison mon amour.
Moi: qui est-ce? Un de tes étudiants?
Hélène: non, un de mes collègues, un mec adorable, tu verras.
Le tu verras me fit comprendre que je n’avais aucune échappatoire. Même pas la peine de lui demander ce qui arriverait si je refusais catégoriquement.
Moi: comment s’appelle t-il?
Hélène: Arnaud
Moi: je n’ai pas dis oui. J’aimerais le rencontrer avant. Crois-tu que cela soit possible?
Hélène: oui.
Le lendemain la pluie avait cessée. J’avais proposé à Hélène que son collègue passe à la librairie.
Peu avant la fermeture de la mi-journée, un type est entré. Je me suis approché de lui
Moi: en quoi puis-je vous être utile?
Lui: êtes vous Valentin?
Moi: lui-même.
Lui: bonjour, je suis Arnaud.
Moi: enchanté de faire votre connaissance. Nous allons bientôt fermer, voulez-vous déjeuner avec moi? Il y a plein de bonnes tables dans le coin.
Arnaud: avec plaisir.

Nous sommes allés dans un petit bistrot du quartier, la nourriture était très bonne, le service rapide et l’addition acceptable.
Nous avons parlé de tout et de rien. Je doit admettre qu’il me plaisait. Il y avait une question qui me taraudait.
Moi: puis-je être indiscret?
Arnaud: bien sûr
Je regardai autour de moi pour m’assurer que personne ne pouvait m’entendre.
Moi: vous êtes actif, passif ou les deux?
Arnaud: les deux, j’aime donner et recevoir. Et vous, dans qu’elle catégorie pensez-vous être?
Moi: très honnêtement, les deux aussi.
Sur le trottoir avant de nous saluer, j’ai posé une dernière question.
Moi: je ne travaille pas le week-end prochain, je veux dire, pas celui qui arrive, mais le suivant. Êtes-vous disponible?
Arnaud: dans deux semaines, oui, je suis libre.
Moi: très bien, soyez notre invité, venez vers 20h30 pour dîner avec nous et puis après…
Arnaud: parfait ça me va. Je dois avouer que je suis impatient de mieux vous connaître. Hélène sera là?
Moi: oh que oui, elle désire absolument me voir faire l’amour avec un homme. Au fait, voici mes coordonnées personnelles.
Arnaud: merci, voici les miennes.

Je suis retourné à la librairie, j’avais cinq minutes de retard, chose que ne laissa pas passé July.
July: merde t’étais où?
Moi: je déjeunais en tête à tête.
July: et comment s’appelle t-elle?
Moi: il s’appelle Arnaud
July: c’est pas drôle, je croyais que tu étais avec une nana.

July avait vingt-trois ans. Pour vous la décrire il me faudrait des heures. Mince, les cheveux en bataille, piercing dans le nez et sur la langue. Sans parler de divers tatouages. Un jour elle m’avait balancé, t’es pas mon type, tu es trop hétéro. Sinon c’est une nana adorable.
July: et de quoi avez-vous parlé avec Arnaud?
Moi: nous avons juste fait connaissance et planifier une soirée de baise entre hommes
July: tu déconnes là, dis-moi plus tôt que ce n’est pas mes oignons.
Moi: je t’assure que je te dis la stricte vérité. Envoie un message à Hélène, elle te le confirmera.
Elle a pris son téléphone et a appelé mon épouse.
July: c’est quoi ce délire, ton Jules va s’envoyer en l’air avec un mec?
Pas la peine d’écouter la réponse de mon épouse, l’expression que je pouvais lire sur le visage de July parlais d’elle même.
July: j’y crois pas. Hélène je veux voir ça. Que je lui demande, d’accord.
Un message venait d’arriver sur mon smartphone. Arnaud. Une photo de sa bite. Belle bête. Je n’ai pas répondu.
July: je veux voir ça Valentin, je veux voir de mes propres yeux.
Moi: on verra si tu es sages. On a du travail.

Les jours qui précédèrent la venue d’Arnaud, ce dernier m’inonda de messages à très haute teneur en sexualité, gay bien évidemment. Je me contentais de répondre par, intéressant ou miam.
De son côté July me harcelais sans cesse.

Finalement le jour J arriva. En accord avec Hélène ce serait soirée Pizza et Chianti.
Vers seize heures Hélène me tendit un petit sac en papier.
Hélène: il est temps de faire ta toilette intime.
J’ai ouvert le sac. A l’intérieur une poire à lavement.
Moi: merci, il faut que fasse ça maintenant?
Hélène: non ça presse pas, attends le milieu du dîner et plantes nous pour aller nettoyer ton trou de balle
Moi: d’accord, d’accord j’y vais.
Hélène: tu sais comment ça fonctionne?
Moi: avec de l’eau tiède.
Je suis allé m’enfermer dans la salle de bain. Je me suis entièrement déshabillé. J’ai regardé mon reflet dans le grand miroir. Voilà, tu y es. Tu es au pied du mur. Ou tu joues le jeu en jouant le gars mal à l’aise devant ce défi ou tu…
La dernière fois c’était il y a quoi? Treize ans peut-être. T’avais juste quinze ans et lui un de plus.

Arnaud me plaisait bien. J’attrapais mon téléphone et jetais un coup d’œil aux innombrables photos qu’il m’avait envoyé. En quelques instants j’avais une putain d’ érection.
Hélène frappa à la porte.
Hélène: ça va la dedans?
Moi: oui oui, ça va.

Après ma toilette intime je me suis douché. Je suis sorti de la salle de bain avec une serviette autour de la taille.
Moi: tout propre! Je n’ai plus qu’à m’habiller.
Hélène: attends, j’ai quelque chose pour toi.
Elle me tendit un minuscule paquet cadeau. A l’intérieur…
Moi: c’est quoi ce truc là?
Hélène: un jockstrap, ça fait fureur dans la communauté gay.
Moi: et tu veux que je mette ça? Elle me fit signe que oui. Je ne sais même pas comment on met ce truc.
Hélène: viens, je vais t’aider.
Ce qu’elle fit.
Moi: putain, j’ai le cul à l’air.
Hélène: oui c’est fait pour.
J’abandonnais.
Je me suis baladé ainsi vêtu ou devrais-je dire dévêtu.
A 19h45 je commandais les pizzas.
A 20h July arriva, oui j’avais cédé.
A 20h20 les pizzas furent livrées. Deux minutes plus tard notre invité arriva.
Hélène se chargea de présenter July.
July qui n’arrêtait pas de me toucher les fesses.
July: j’espère qu’il en a une grosse pour te défoncer le cul. Il me tarde de voir ça. Dis je pourrai filmer?
Moi: Hélène s’en chargera.
July: moi je veux mon propre film.
Moi: July, tu sais quoi? Tu me les brises.

Les pizzas étaient excellentes et le Chianti délicieux. C’était la première fois de ma vie que prenais un repas où tout le monde parlait cul. Je savais que July rêvait de faire l’amour avec Hélène. Elle faisait tout pour la séduire. C’était plutôt amusant à voir. Hélène jouer le jeu, posant des questions crues pour avoir des réponses crues. J’étais assis à côté d’Arnaud, celui-ci me caressait les cuisses et le contenu de mon jockstrap. A son arrivée Hélène lui avait dit de se mettre à l’aise. Il avait ôté tous ses fringues à l’exception d’un…jockstrap.
Un dernier de vin et je me levais prenant Arnaud par sa bite déjà bien raide. Les filles sortirent leurs téléphones. Une fois dans la chambre je retirais mon unique vêtement. Je le débarrassais du sien.
Deux jeunes femmes qui n’en loupaient pas une miette et deux mecs avec des bites prêtes à faire feu. Je me collais à Arnaud et lui roulait un patin. J’y mis ma langue. Il sorti la sienne. Nos langues se mélangeaient. Il suça le bout de la mienne. Ouais j’étais bien chaud, bouillant même. Je l’ai fait s’assoir au bord du lit et pris sa bite dans ma bouche. C’est comme le vélo, ça ne s’oublie pas!
Je me concentrais sur la moitié supérieure de son chibre. Mes coups de langue, mes succions faisaient merveille. Je l’entendais souffler, gémir.
Arnaud: stop putain, merde je vais exploser.
C’est ça explose et vous les filles soyez prêtes. Ça y était, je l’ai senti prêt à exploser. Je pris juste le gland dans ma bouche et recevait quatre salve de foutre chaud et épais. Il éjacula le reste sur mon visage. Je me tournais vers les filles qui n’en croyaient pas leurs yeux mais qui continuaient à filmer.
J’ouvris la bouche pour leur montrer la récolte. July se précipita sur moi et attrapa tout ce qu’elle pouvait du sperme qui coulait sur mon menton. J’avalais le reste.
Je ne jetais aucun regard vers Hélène, elle voulait voir, elle voyait.
Arnaud était toujours assis le souffle coupé.
Moi: allez mec, mets toi en position, j’en ai une qui rêve de faire de la spéléologie.
Il sourit et se mit dans la position la plus confortable pour lui. J’ai attrapé du lubrifiant et j’en déposais une noisette sur sa rondelle et une autre sur ma bite. Normalement cela devrait glisser facilement. Un seul coup de rein et j’étais en lui.
Moi: tu attendais ça petite salope, hein dit que tu ne voulait que ça depuis plusieurs jours.
Arnaud: la petite salope est prête, vas-y.
J’avais oublié combien s’était bon d’enfiler ma bite dans un trou du cul. Nous n’avons cessé de nous balancer des insanités. Cela décuplait le plaisir. J’ai finalement jouit en lui avec un râle à faire trembler les murs.
Je me suis vidé et suis resté en lui une minute ou deux.
J’ai tourné mon regard vers les filles elles filmaient toujours.
Moi: les chéries, j’espère que la batterie de votre téléphone n’est pas épuisée. Voici le plat de résistance. Hélène, es-tu prête? Elle leva un pouce en l’air. July étais nue et elle se masturbait sans pudeur.
J’ai glissé quelques mots dans l’oreille d’Arnaud. Il me fit allonger sur le dos au bord du lit. Glissa un coussin sous mes reins. Lubrifiant.
Moi: les filles, venez, approchez vous.
Une fois que tout le monde était bien installé, Arnaud s’est lentement introduit en moi. Doucement, tout doux. Ses seize centimètres étaient entièrement en moi. J’avais juste besoin de quelques secondes pour détendre les muscles de mon sphincter. Voilà, c’était parfait. Je sentais chaque millimètres de sa bite en moi. Il débuta en douceur avant de prendre un rythme soutenu.
Moi: oh putain de merde, c’est trop bon, vas-y baises moi, je suis ta petite pute, ta queue est trop bonnes, vas-y lâches toi, fait moi du bien, jouit, jouit en moi. T’as déjà jouit dans ma bouche maintenant c’est dans mon cul que je veux que tu jouisses.
Il ne lui en fallut pas plus pour accélérer le rythme et de jouir en moi.
La petite gourmande de sperme est venu me lécher la rondelle où s’échappait la semence de mon amant.
J’ai attrapé July et je l’ai embrassé. Je l’ai basculé sur le dos et lui ai offert un violent orgasme en lui léchant sa petite chatte.

Hélène avait posé son téléphone. Elle était à mes côtés pendant que je m’occupais de July.
Elle m’embrassait, me glissait des mots doux, des mots d’amour.

Il était minuit passé, Arnaud n’est pas resté.
July, elle, si. J’ai été prendre une douche, me suis brossé les dents et j’ai regagné la chambre.
Hélène avait ôté ses vêtements, elle était nue et si belle. Elle dormait serrant dans ses bras une July qui ronflait doucement. Je me suis glissé dans le lit, collé à July.

Dimanche. C’est July qui nous a réveillé.
July: désolée mais j’ai besoin d’aller au petit coin.
J’ai suivi du regard son petit cul qui s’éloignait. Je me suis rapproché d’Hélène.
Moi: bonjour mon amour, bien dormi.
Hélène: très bien. Comment se débarrasser en douceur de la miss?
Moi: tu sais qu’elle rêve de faire l’amour avec toi, promet lui que tu es d’accord.
Hélène: j’ai déjà, fait l’amour avec elle. Peut-être qu’elle aimerait faire cela avec nous deux. Qu’en penses-tu?
Moi: tu as, vous avez déjà…très bonne idée. Comment est-elle au lit?
Hélène: une vraie furie mais aussi d’une immense délicatesse et de tendresse.

July n’a dit qu’un seul mot

July: QUAND?

Après le départ de July, j’ai pris Hélène dans mes bras. Nous avons longuement parlé de ce qui s’était passé quelques heures plus tôt.
Hélène: je t’aime Valentin. Je t’aime vraiment, sincèrement, profondément. Mais je continuerai à faire l’amour avec des femmes. Avec toi aussi, bien sûr. Et toi, tu vas revoir Arnaud?
Moi: non. C’était très bien, mais non. Dis-moi, cela te dérangerait si je voyais July? Si elle le veut bien.
Hélène: July est amoureuse. Amoureuse de nous deux. C’est elle qui me l’a dit pendant que tu te douchait.
Fin