On change
Récit érotique écrit par Eudes [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 28 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.6 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.9
- • L'ensemble des récits érotiques de Eudes ont reçu un total de 162 125 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 525 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
On change
On change
Cette histoire révèle l'évolution du comportement de chacun. Au moment de l'action de ce récit, j'avais trente-cinq ans et marié depuis dix ans. Nous souhaitons avoir une descendance. Mon couple fonctionne très bien sur de nombreux plans, notamment celui sexuel. Ma femme ne rechigne pas à mes nombreuses demandes en participant pleinement Je fais un mètre quatre-vingt-deux pour soixante-dix-huit kilos. Mon corps est harmonieux par ma silhouette dessinée par une légère musculation entretenue. J'ai les cheveux châtains-clairs, à la coupe classique. Déjà, lorsque je me suis marié faisant de la natation, je me fais épiler à la cire le thorax et m'épile moi-même les parties intimes.
Nos tentatives pour avoir un enfant ne marchaient pas. Après plusieurs visites chez des spécialités de cette spécialisation et les nombreux examens et analyses pour mon épouse mais toujours aucune réussite. Au bout de presque un an l'endocrinologue me prescrit un spermogramme. Pourtant avec la quantité de foutre que j'éjacule lors de nos rapports ou des fellations je ne peux pas avoir d'hypospermie. Il faut aller plus loin dans l'examen.
Je me présente le lendemain dans un laboratoire spécialisé avec cette ordonnance. Je suis conduis dans une pièce-cabine assez vaste pour une infirmière. Elle me tend une éprouvette et petit pot-bocal en me disant que c'était pour récupérer le sperme pour l'analyse, en compétant sa phrase que je prenne mon temps et une fois le liquide récolté de me rhabiller et laisser les récipients sur la tablette avant d'aller au secrétariat.
Maintenant me voilà seul dans cette pièce qui a fond musical. Le mobilier est très sommaire deux fauteuils, deux chaises, un divan capitonné et une jolie petite table contemporaine avec une pile de revues assez écornées et froissées. Je me déchausse, baisse et enlève mon pantalon ainsi que mon sous-vêtement pour m'allonger sur le divan. Je commence à me caresser les couilles, puis, prends mon sexe en main pour commencer une douce masturbation comme j'aime le faire quand je suis seul à la maison. Je ferme les yeux pour me remémorer les images de certaines baises avec ma femme. Beaucoup de séances me viennent à l'esprit avec une multitude de flashes dans les jeux. Les bruits émis par ma femme lors de certaines de ses puissants et forts orgasmes. Tout cela défile, mais je n'arrive même pas à avoir une érection. Et pourtant je me masse la bite et le gland. Je me caresse avec de la salive le frein; Rien ne réagit. J'essaie malgré la mollesse de ma queue, je n'arrive pas à la faire décoller et se dresser. Je prends deux trois revues pour les feuilleter pour trouver une image qui peut m'exciter afin de me branler au-dessus pour récupérer mon foutre pour l'examen. Lorsque j'éjacule j'ai des soubresauts qui me font évacuer toujours une quantité impressionnante de jute bien épaisse et blanchâtre. Mais là toujours rien. Même pas une goutte de liquide séminal au b out du méat.
Cela fait déjà un long, très long moment que j'étais dans cette pièce. A un moment on frappe à porte. Je me lève pour aller ouvrir en ayant mis une service juste devant moi. J'ouvre la porte, et j'entends venant du couloir un homme qui doit venir éjaculer dans l'éprouvette car c'est un cri de soulagement qui est émis. A cet instant l'infirmier qui est sur le pas de ma porte sourit largement à ce moment. Il s'avance pour pénétrer dans ma pièce et s'adresse à moi.
L'infirmier : Cà ne va pas, Monsieur ? Nous nous inquiétons de ne pas vous voir revenir. Déjà presque trois heures, vous n'osez peut-être par sortir? Vous n'êtes pas bien ?
Moi : (confus et rougissant) si çà va, mais je n'ai pas éjaculé.
L'infirmier : Excusez-nous, vous faites de l'oligoasthénospermie? (absence de sperme lors de l'éjaculation) Moi : Oh là, non, non ! Cela est plutôt l'inverse.
L'infirmier : Mais alors ?
Moi : Ben, je n'arrive pas à me masturber car je n'ai pas d'érection.
L'infirmier : Pourtant sur votre dossier rien n'est stipulé à ce sujet. Vous Avez eu un problème ces derniers temps.
Moi : Non, pas du toutL'infirmier : Allongez-vous, et détendez-vous.
Il se dirige vers la porte pour aller la fermer. Il revient et enlève la petite serviette que je m'étais mise devant. Cet infirmier doit avoir une toute petit cinquantaine. Bel homme aux cheveux courts d'un magnifique grisonnant, avec un sourire réconfortant qui faisait deviner une régulière dentition très blanche. Il pris une chais qu'il approche du divan où je suis allongé. Il s'assoit et pose une main sur ma cuisse. Il se penche, prend ma verge en main pour la décalotter délicatement pour me lécher le méat et le gland. Bien que couché, j'ai un mouvement de recul.
Moi : Mais, mais, que faites-vous ? Vous êtes n'êtes pas bien! Je suis marié, je ne suis pas gay. Arrêtez s'il-vous-plaît.
L'infirmier : Vous êtes venu ici pour un spermogramme, il va bien falloir en donner de votre semence. Et puis je suis sûr que vous ne le regretterez pas de découvrir un nouveau plaisir. Et sans vous vexer, je suis persuadé que votre femme suce moins bien que moi.
Toujours avec sa main il caresse doucement ma cuisse et met en bouche ma queue molle comme un asticot. Il sait y faire. Il l'aspire et en même temps tourna sa langue autour de la couronne de mon gland. Je bandoche seulement. Sa main caresse l'intérieur de ma cuisse en remontant vers mes couilles pour les prendre dans sa main. J'ai des frissons dans le dos. Il est très persévérant dans l'exécution de sa fellation. J'entends des bruits de succions et de sa salive coule. Les mouvements de va-et-vient se font de plus en plus amples le long de ma tige qui légèrement se raidie. Sa main lâche mon paquet de boules, et le bout de ses doigts viennent doucement vers mon périnée qu'il masse avec le plat de ses doigts. Je n'ai jamais ressenti de telles sensations, et pourtant je crois que ma femme me caresse parfaitement. Mais là c'est indescriptible. Avec cette nouvelle caresse, je sens ma bite qui commence à se développer. Les doigts de sa main viennent insidieusement frotter et caresser l'entrée de mon petit trou. Jusqu'à présent j'avais presque une répulsion vis-à-vis des hommes entre-eux et de toutes les pratiques homosexuelles. Là c'est tellement bon que je me laisse aller. Je n'avais connu une telle détente. Et puis les sensations que me procure sa fellation est presque irréelle. J'ai toujours pensé après les conversations avec mes collègues que j'étais un privilégié. Car par rapport avec leur épouse, Marie-Astride me suce très souvent avec plaisir. J'aime ce qu'elle me procure, mais avec l'infirmier les sensations sont plus que décuplées.
Et voilà qu'il rentre un doigt dans mon anus en le faisant glisser doucement. Cette lente pénétration me fait gémir et d'un seul coup ma queue gonfle et l'allonge. C'est bon. L'infirmier fait tourner doucement son doit tout autour de ma rondelle pour laisser le passage à un second. Il fait un très léger mouvement de va-et-vient avec ceux-ci ce qui lui permet d'aller encore un peu plus loin. Avec son index il fait un certain mouvement avec son index qui me fait fermer les yeux et me procure des vibrations dans tout le corps.
L'infirmier : C'est bon, je la touche, je l'aieMoi : Quoi ?
L'infirmier : Votre prostate, elle n'a jamais été caressée et excitéeMoi : Non, c'st pour les pédés ces gestesL'infirmier : non pas du tout, mais c'est rare chez les hétéros et c'est bien dommage, c'est un formidable orgasme peu connu.
Puis je sens le plaisir monter, m'envahir, et je me surprends après les gémissements à pousser de petits cris de bonheur et plaisir. Le salaud, il savait ce qu'il faisait. Cette technique me fait complètement aller. Ma queue toujours dans sa bouche est dure comme du bois et je voudrais que tout cela ne s'arrête pas. je sens mes joues rouges et cramoisies, et j'ai de la sueur un peu partout sur le corps. D'un coup l'infirmier s'arrête net.Il soulève la tête en ouvrant sa bouche pour libérer mon braquemard qui n'a jamais été aussi dur et tendu. Puis il retire ses doigts qui me faisaient tant de bien de mon antre.
L'infirmier : il falloir ne rien gâcher, j'aurai bien avalé votre sperme, mais Il faut en récupérer dans l'éprouvette. Levez-vous maintenant s'il vous plait.
Je me lève et saisis ma verge pour me terminer par une rapide masturbation.
L'infirmier : Non, non, attendes, je n'ai pas fini.
Moi : C'est pas grave, c'était déjà très bon ce que vous m'avez fait Découvrir, votre fellation et vos doigts qui m'ont pénétré.
L'infirmier : tournez-vous vers le divan, s'il vous plait. Mettez vos mains Sur l'assise et penchez-vous.
Moi : je veux éjaculer pour l'examen, maintenant.
J'avais à peine terminé ma phrase que je sentis ses mains de chaque côté de ma taille et il se mit à me lécher mon anus qui avait déjà été sollicité peu de temps avant avec ses doigts. Je n'ai pu rien dire, car la dextérité de sa langue baveuse et chaude m'électrisa complètement. J'ai poussé un cri lorsque sa langue essaya de rentrer dans ma rondelle. Je n'en pouvais plus de cette nouvelle caresse linguale. Il enleva ses mains de ma taille pour le poser délicatement sur mes épaules pour sentir ses doigts chargés de salive tourner autour de mon trou, puis quelque chose de chaud sur ma rosette. Oh la vache, il va me prendre. Je sens sa queue rentrer doucement, je croyais avoir mal, mais il m'avais tellement travaillé cet endroit qu'il pénétra sans douleur et très lentement ce qui me fit décoller dans un bien être complet.
Il commença des va et vient assez lent en me faisant butter ses couilles poilues contre mes fesses. Pendant ce temps il avait repris ma tige rigide dans une main, car il ne voulait pas que je me touche. Il me dit à plusieurs reprises attends, attends. Son enculage était lent et doux pour après presque dix minutes le rythme commence à s'accélérer. Ma prostate était de nouveau sollicitée pour me donner ce plaisir inouï. Mes jambes tremblaient, tout mon corps mouillé de sueur vibrait. Je n'étais plus moi-même.
Moi : Oui, ouiiiii, je veux jouir, je veux jouirrrr, vite, viteeee.
L'infirmier : Un instant, oui, vous allez joui avec u orgasme puissant que vous n'avez jamais eu.
De sa seconde main, il saisit l'éprouvette qui était juste à côté et en même temps de ses mouvements de son bassin, sa main se mit à me masturber avec un léger mouvement rotatif et je me suis mis à crier et même hurler mon plaisir lorsque mon sperme jaillit de mon méat avec plus de quatre importants jets avec des secousses de tout mon corps, mais surtout ensuite mon foutre se mit à s'écouler sans cesse d'une transparence inhabituelle après mes jets très épais. L'infirmier me soutient avec cette magistrale éjaculation accompagné d'un orgasme inconnu pour m'allonger sur le divan.
L'infirmier : Restez-là, je vais porter l'éprouvette au laborantin.
Il sortit de la pièce et revient quelques minutes après pour s'asseoir auprès du divan. Voyant mon état, il sort son stéthoscope pour mesurer ma tension tellement mon cœur battait et que j'avais du mal à respirer d'épuisement. J'ai dû me reposer presque trois-quarts d'heure. Après ce temps de récupération, l'infirmier prit la parole à voix basse.
L'infirmier : Vous avez récupéré après ce prélèvement ?
Moi : Oui, cela m'a crevé. C'est un incident de parcours pour moi Mais ce que vous m'avez fait subir était agréable et bon. Je N'ai jamais eu un tel plaisir.
L'infirmier : je sais, je vous avais prévenu. Moi aussi je mets des parenthèses à ma vie de couple. L'amour au masculin est plus intense et plus sincère.
Moi : Oui, c'est différent et on peut se laisser aller complètement.
L'infirmier : Normalement je vis avec ma famille en province, et lors de mes jours de factions au laboratoire, j'ai un grand studio pas loin d'ici. Cela serait bien de recommencer ensemble.
Moi : (j'étais assez tenté) j'ai ma famille ici, et puis ….. me voilà A faire des choses avec un homme. Moi qui les critique.
L'infirmier : Réfléchissez – une fois de temps en temps vous fera du bien, Plus cela allait plus vous aimiez. Vous avez constaté la jouissance que vous avez obtenue. Cela vous a tout même plu.
Un long moment de silence, tout se bouscule dans ma tête, c'est trop de choses le même jour. Allais-je tromper Marie-Astride ? Mais ce qu'il m'avait donné est tellement bon que je voudrais bien le refaireMoi : Votre proposition me plait, nous nous reverrons donc.
C'est comme cela que j'ai eu comme l'infirmier (Stéphane) une vie de bisexuel. Cela fait maintenant dix-huit ans que nous nous voyons régulièrement, et cela ne m'a pas empêché d'avoir avec mon épouse notre fils Alexandre.
Cet examen m'a permis de me révéler.
Cette histoire révèle l'évolution du comportement de chacun. Au moment de l'action de ce récit, j'avais trente-cinq ans et marié depuis dix ans. Nous souhaitons avoir une descendance. Mon couple fonctionne très bien sur de nombreux plans, notamment celui sexuel. Ma femme ne rechigne pas à mes nombreuses demandes en participant pleinement Je fais un mètre quatre-vingt-deux pour soixante-dix-huit kilos. Mon corps est harmonieux par ma silhouette dessinée par une légère musculation entretenue. J'ai les cheveux châtains-clairs, à la coupe classique. Déjà, lorsque je me suis marié faisant de la natation, je me fais épiler à la cire le thorax et m'épile moi-même les parties intimes.
Nos tentatives pour avoir un enfant ne marchaient pas. Après plusieurs visites chez des spécialités de cette spécialisation et les nombreux examens et analyses pour mon épouse mais toujours aucune réussite. Au bout de presque un an l'endocrinologue me prescrit un spermogramme. Pourtant avec la quantité de foutre que j'éjacule lors de nos rapports ou des fellations je ne peux pas avoir d'hypospermie. Il faut aller plus loin dans l'examen.
Je me présente le lendemain dans un laboratoire spécialisé avec cette ordonnance. Je suis conduis dans une pièce-cabine assez vaste pour une infirmière. Elle me tend une éprouvette et petit pot-bocal en me disant que c'était pour récupérer le sperme pour l'analyse, en compétant sa phrase que je prenne mon temps et une fois le liquide récolté de me rhabiller et laisser les récipients sur la tablette avant d'aller au secrétariat.
Maintenant me voilà seul dans cette pièce qui a fond musical. Le mobilier est très sommaire deux fauteuils, deux chaises, un divan capitonné et une jolie petite table contemporaine avec une pile de revues assez écornées et froissées. Je me déchausse, baisse et enlève mon pantalon ainsi que mon sous-vêtement pour m'allonger sur le divan. Je commence à me caresser les couilles, puis, prends mon sexe en main pour commencer une douce masturbation comme j'aime le faire quand je suis seul à la maison. Je ferme les yeux pour me remémorer les images de certaines baises avec ma femme. Beaucoup de séances me viennent à l'esprit avec une multitude de flashes dans les jeux. Les bruits émis par ma femme lors de certaines de ses puissants et forts orgasmes. Tout cela défile, mais je n'arrive même pas à avoir une érection. Et pourtant je me masse la bite et le gland. Je me caresse avec de la salive le frein; Rien ne réagit. J'essaie malgré la mollesse de ma queue, je n'arrive pas à la faire décoller et se dresser. Je prends deux trois revues pour les feuilleter pour trouver une image qui peut m'exciter afin de me branler au-dessus pour récupérer mon foutre pour l'examen. Lorsque j'éjacule j'ai des soubresauts qui me font évacuer toujours une quantité impressionnante de jute bien épaisse et blanchâtre. Mais là toujours rien. Même pas une goutte de liquide séminal au b out du méat.
Cela fait déjà un long, très long moment que j'étais dans cette pièce. A un moment on frappe à porte. Je me lève pour aller ouvrir en ayant mis une service juste devant moi. J'ouvre la porte, et j'entends venant du couloir un homme qui doit venir éjaculer dans l'éprouvette car c'est un cri de soulagement qui est émis. A cet instant l'infirmier qui est sur le pas de ma porte sourit largement à ce moment. Il s'avance pour pénétrer dans ma pièce et s'adresse à moi.
L'infirmier : Cà ne va pas, Monsieur ? Nous nous inquiétons de ne pas vous voir revenir. Déjà presque trois heures, vous n'osez peut-être par sortir? Vous n'êtes pas bien ?
Moi : (confus et rougissant) si çà va, mais je n'ai pas éjaculé.
L'infirmier : Excusez-nous, vous faites de l'oligoasthénospermie? (absence de sperme lors de l'éjaculation) Moi : Oh là, non, non ! Cela est plutôt l'inverse.
L'infirmier : Mais alors ?
Moi : Ben, je n'arrive pas à me masturber car je n'ai pas d'érection.
L'infirmier : Pourtant sur votre dossier rien n'est stipulé à ce sujet. Vous Avez eu un problème ces derniers temps.
Moi : Non, pas du toutL'infirmier : Allongez-vous, et détendez-vous.
Il se dirige vers la porte pour aller la fermer. Il revient et enlève la petite serviette que je m'étais mise devant. Cet infirmier doit avoir une toute petit cinquantaine. Bel homme aux cheveux courts d'un magnifique grisonnant, avec un sourire réconfortant qui faisait deviner une régulière dentition très blanche. Il pris une chais qu'il approche du divan où je suis allongé. Il s'assoit et pose une main sur ma cuisse. Il se penche, prend ma verge en main pour la décalotter délicatement pour me lécher le méat et le gland. Bien que couché, j'ai un mouvement de recul.
Moi : Mais, mais, que faites-vous ? Vous êtes n'êtes pas bien! Je suis marié, je ne suis pas gay. Arrêtez s'il-vous-plaît.
L'infirmier : Vous êtes venu ici pour un spermogramme, il va bien falloir en donner de votre semence. Et puis je suis sûr que vous ne le regretterez pas de découvrir un nouveau plaisir. Et sans vous vexer, je suis persuadé que votre femme suce moins bien que moi.
Toujours avec sa main il caresse doucement ma cuisse et met en bouche ma queue molle comme un asticot. Il sait y faire. Il l'aspire et en même temps tourna sa langue autour de la couronne de mon gland. Je bandoche seulement. Sa main caresse l'intérieur de ma cuisse en remontant vers mes couilles pour les prendre dans sa main. J'ai des frissons dans le dos. Il est très persévérant dans l'exécution de sa fellation. J'entends des bruits de succions et de sa salive coule. Les mouvements de va-et-vient se font de plus en plus amples le long de ma tige qui légèrement se raidie. Sa main lâche mon paquet de boules, et le bout de ses doigts viennent doucement vers mon périnée qu'il masse avec le plat de ses doigts. Je n'ai jamais ressenti de telles sensations, et pourtant je crois que ma femme me caresse parfaitement. Mais là c'est indescriptible. Avec cette nouvelle caresse, je sens ma bite qui commence à se développer. Les doigts de sa main viennent insidieusement frotter et caresser l'entrée de mon petit trou. Jusqu'à présent j'avais presque une répulsion vis-à-vis des hommes entre-eux et de toutes les pratiques homosexuelles. Là c'est tellement bon que je me laisse aller. Je n'avais connu une telle détente. Et puis les sensations que me procure sa fellation est presque irréelle. J'ai toujours pensé après les conversations avec mes collègues que j'étais un privilégié. Car par rapport avec leur épouse, Marie-Astride me suce très souvent avec plaisir. J'aime ce qu'elle me procure, mais avec l'infirmier les sensations sont plus que décuplées.
Et voilà qu'il rentre un doigt dans mon anus en le faisant glisser doucement. Cette lente pénétration me fait gémir et d'un seul coup ma queue gonfle et l'allonge. C'est bon. L'infirmier fait tourner doucement son doit tout autour de ma rondelle pour laisser le passage à un second. Il fait un très léger mouvement de va-et-vient avec ceux-ci ce qui lui permet d'aller encore un peu plus loin. Avec son index il fait un certain mouvement avec son index qui me fait fermer les yeux et me procure des vibrations dans tout le corps.
L'infirmier : C'est bon, je la touche, je l'aieMoi : Quoi ?
L'infirmier : Votre prostate, elle n'a jamais été caressée et excitéeMoi : Non, c'st pour les pédés ces gestesL'infirmier : non pas du tout, mais c'est rare chez les hétéros et c'est bien dommage, c'est un formidable orgasme peu connu.
Puis je sens le plaisir monter, m'envahir, et je me surprends après les gémissements à pousser de petits cris de bonheur et plaisir. Le salaud, il savait ce qu'il faisait. Cette technique me fait complètement aller. Ma queue toujours dans sa bouche est dure comme du bois et je voudrais que tout cela ne s'arrête pas. je sens mes joues rouges et cramoisies, et j'ai de la sueur un peu partout sur le corps. D'un coup l'infirmier s'arrête net.Il soulève la tête en ouvrant sa bouche pour libérer mon braquemard qui n'a jamais été aussi dur et tendu. Puis il retire ses doigts qui me faisaient tant de bien de mon antre.
L'infirmier : il falloir ne rien gâcher, j'aurai bien avalé votre sperme, mais Il faut en récupérer dans l'éprouvette. Levez-vous maintenant s'il vous plait.
Je me lève et saisis ma verge pour me terminer par une rapide masturbation.
L'infirmier : Non, non, attendes, je n'ai pas fini.
Moi : C'est pas grave, c'était déjà très bon ce que vous m'avez fait Découvrir, votre fellation et vos doigts qui m'ont pénétré.
L'infirmier : tournez-vous vers le divan, s'il vous plait. Mettez vos mains Sur l'assise et penchez-vous.
Moi : je veux éjaculer pour l'examen, maintenant.
J'avais à peine terminé ma phrase que je sentis ses mains de chaque côté de ma taille et il se mit à me lécher mon anus qui avait déjà été sollicité peu de temps avant avec ses doigts. Je n'ai pu rien dire, car la dextérité de sa langue baveuse et chaude m'électrisa complètement. J'ai poussé un cri lorsque sa langue essaya de rentrer dans ma rondelle. Je n'en pouvais plus de cette nouvelle caresse linguale. Il enleva ses mains de ma taille pour le poser délicatement sur mes épaules pour sentir ses doigts chargés de salive tourner autour de mon trou, puis quelque chose de chaud sur ma rosette. Oh la vache, il va me prendre. Je sens sa queue rentrer doucement, je croyais avoir mal, mais il m'avais tellement travaillé cet endroit qu'il pénétra sans douleur et très lentement ce qui me fit décoller dans un bien être complet.
Il commença des va et vient assez lent en me faisant butter ses couilles poilues contre mes fesses. Pendant ce temps il avait repris ma tige rigide dans une main, car il ne voulait pas que je me touche. Il me dit à plusieurs reprises attends, attends. Son enculage était lent et doux pour après presque dix minutes le rythme commence à s'accélérer. Ma prostate était de nouveau sollicitée pour me donner ce plaisir inouï. Mes jambes tremblaient, tout mon corps mouillé de sueur vibrait. Je n'étais plus moi-même.
Moi : Oui, ouiiiii, je veux jouir, je veux jouirrrr, vite, viteeee.
L'infirmier : Un instant, oui, vous allez joui avec u orgasme puissant que vous n'avez jamais eu.
De sa seconde main, il saisit l'éprouvette qui était juste à côté et en même temps de ses mouvements de son bassin, sa main se mit à me masturber avec un léger mouvement rotatif et je me suis mis à crier et même hurler mon plaisir lorsque mon sperme jaillit de mon méat avec plus de quatre importants jets avec des secousses de tout mon corps, mais surtout ensuite mon foutre se mit à s'écouler sans cesse d'une transparence inhabituelle après mes jets très épais. L'infirmier me soutient avec cette magistrale éjaculation accompagné d'un orgasme inconnu pour m'allonger sur le divan.
L'infirmier : Restez-là, je vais porter l'éprouvette au laborantin.
Il sortit de la pièce et revient quelques minutes après pour s'asseoir auprès du divan. Voyant mon état, il sort son stéthoscope pour mesurer ma tension tellement mon cœur battait et que j'avais du mal à respirer d'épuisement. J'ai dû me reposer presque trois-quarts d'heure. Après ce temps de récupération, l'infirmier prit la parole à voix basse.
L'infirmier : Vous avez récupéré après ce prélèvement ?
Moi : Oui, cela m'a crevé. C'est un incident de parcours pour moi Mais ce que vous m'avez fait subir était agréable et bon. Je N'ai jamais eu un tel plaisir.
L'infirmier : je sais, je vous avais prévenu. Moi aussi je mets des parenthèses à ma vie de couple. L'amour au masculin est plus intense et plus sincère.
Moi : Oui, c'est différent et on peut se laisser aller complètement.
L'infirmier : Normalement je vis avec ma famille en province, et lors de mes jours de factions au laboratoire, j'ai un grand studio pas loin d'ici. Cela serait bien de recommencer ensemble.
Moi : (j'étais assez tenté) j'ai ma famille ici, et puis ….. me voilà A faire des choses avec un homme. Moi qui les critique.
L'infirmier : Réfléchissez – une fois de temps en temps vous fera du bien, Plus cela allait plus vous aimiez. Vous avez constaté la jouissance que vous avez obtenue. Cela vous a tout même plu.
Un long moment de silence, tout se bouscule dans ma tête, c'est trop de choses le même jour. Allais-je tromper Marie-Astride ? Mais ce qu'il m'avait donné est tellement bon que je voudrais bien le refaireMoi : Votre proposition me plait, nous nous reverrons donc.
C'est comme cela que j'ai eu comme l'infirmier (Stéphane) une vie de bisexuel. Cela fait maintenant dix-huit ans que nous nous voyons régulièrement, et cela ne m'a pas empêché d'avoir avec mon épouse notre fils Alexandre.
Cet examen m'a permis de me révéler.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Eudes
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...