On est perdu

- Par l'auteur HDS Crabou -
Récit érotique écrit par Crabou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : On est perdu Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-08-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.5 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

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On est perdu
Ceci est un récit que j’ai vécu dans le rôle de Jacques (nom d’emprunt) jusqu’à l’arrivée au café . Malheureusement, une réunion à laquelle je ne pouvais échapper m’a empêché de vivre la suite. Celle-ci est donc le résultat des discussions que j’ai eues avec le couple et de l’idée que je me suis fait de ce qui aurait pu se passer.

- Que dirais-tu d’aller prendre un verre en ville ce soir ?
- Pourquoi pas ?
- Cela me fera plaisir que tu t’habilles très légèrement, juste une jupe courte et un chemisier.
- OK
Arrivés en ville, Robert me proposa de jouer un peu.

- Nous allons demander notre chemin mais avant cela, je voudrais que tu déboutonnes ton chemisier.

Je défis 3 boutons et il me demandant d’en défaire un de plus. Mon chemisier baillait largement, laissant voir ma poitrine nue.

Avisant un homme seul au bout du boulevard Tirou, Robert s’arrête et baisse la vitre de mon côté. Je ne suis pas rassurée, comment va-t-il réagir ?
Robert demande :
- - Pardon monsieur, vous pourriez nous indiquer le chemin de la place de la Digue ?

Nous savions parfaitement que nous étions à moins de 300 mètres de celle-ci.
L’homme se penche et nous explique le chemin en regardant ma poitrine. Il termine est nous souhaitant une excellente soirée avec un grand sourire.
Robert redémarre et fait seulement quelques mètres.

- Qu’en penses-tu ? Il est sympa et plutôt beau mec !
- Oui.
- Ouvre complètement ton chemisier et écarte les pans.

Il fait marche arrière et reviens à hauteur de l’homme.
Cette fois, je prends une part plus « active » en fixant l’homme avec un regard coquin et je lui dit :
- Excusez nous mais nous n’avons pas bien compris le chemin.

L’homme lui a bien compris, il s’appuie à nouveau sur la portière et commence une nouvelle explication vite remplacée par des commentaires sur ma poitrine.

Robert lui propose :
- Vous voulez toucher ?
- Non, Robert, ça me gène.
- Monsieur a bien mérité une récompense pour ses explications.

L’homme me caresse alors les seins.

- Ouvre ta jupe.

Maintenant je suis excitée et je ne rechigne pas. Je dévoile mon sexe nu et complètement épilé.

- Ça vous dit de venir prendre un verre avec nous ?
- Oui. Il y a justement un endroit sympa sur la place de la Digue.
- Comment vous appelez vous ?
- Jacques.

Dans le café, nous montons directement à l’étage. Jacques m’a fait le précéder dans l’escalier pour mieux admirer mes fesses pendant la montée. A l’étage, il règne un éclairage tamisé et un ensemble de canapés et petits fauteuils invitent à se prélasser tendrement. Quelques couples se bécotent d’ailleurs. Ma jupe courte et mon chemisier fermé à peine par 2 boutons attirent quelques regards...
Nous nous installons dans un des canapés, moi entre les deux hommes.

Nous commençons à discuter de choses et d’autres, et les mains de Jacques ne restent pas inactives. Elles détachent les deux derniers boutons de mon chemisier et caressent ma poitrine, ouvrant franchement mon chemisier au passage. Ensuite, une d’entre elles se glisse sous ma jupe qui remonte, ne couvrant plus grand-chose de mes cuisses, et se pose sur mon sexe.
Lorsque le garçon vient prendre la commande, il ne retire pas ses mains mais au contraire en profite pour m’embrasser. Autour de nous, les regards se font plus insistants et cela semble donner des idées à d’autres car les corps se rapprochent et les bisous se font plus nombreux dans le voisinage.

- Tu te souviens que tu as un gage à recevoir ?
- Euh oui mais….
- Sortant du sac qu’il avait pris dans le coffre de la voiture une cravache terminée par un lacet de cuir effiloché, Robert ajoute :
- 15 coups de cette cravache, 10 sur les fesses, 2 sur les seins et 3 sur l’avant des cuisses et sur le pubis.
- Ce n’est pas faisable ici !
- Tu as raison. Je te propose donc de subir ce gage à l’extérieur nue couchée sur le capot d’une voiture et Jacques officiera s’il accepte.
- Je reste un peu interloquée par la « proposition « . Jacques passe sa main sur la cravache, me regarde droit dans les yeux et répond :
- Pourquoi pas !
- Pour vous remercier de votre participation, vous pourrez baiser Christelle toute la nuit autant de fois que vous le souhaitez et comme vous le souhaitez. En plus, vous pourrez utiliser sur elle tous les instruments dont nous disposons (fouets, bougie, pinces, cordes à nœuds, etc…).

Un long frisson me parcours le corps. Cela m’arrive parfois d’être prêtée à d’autres par mon mari pour des jeux de soumission. J’aime être soumise et la découverte d’un nouveau maître ajoute toujours du piment au jeu.

Je me lève et le suis dehors. La scène n’a pas échappé à nos voisins et en plus Robert a parlé suffisamment fort pour qu’ils entendent. C’est donc accompagnée de quelques personnes que je me retrouve dans la rue. Heureusement, il fait noir maintenant et il n’y a pas grand monde qui passe.

Jacques me guide vers notre voiture garée dans une rue d’adjacente. Une fille qui était sortie avec nous s’approche de moi.

- Je vous admire pour votre courage. Cela m’excite beaucoup. Je peux vous aider à vous déshabiller.
- Merci, oui bien sûr.

Elle m’enlève mon chemisier et en profite pour passer sa main sur mes seins puis retire ma jupe et caresser ma croupe. Elle me donne un petit bisou sur les lèvres et me chuchote :
- Bon courage.

Je me couche sur le capot, exposant mes fesses. Je tourne la tête pour voir Jacques. Je sens qu’il va prendre sa tâche à cœur et qu’il ne sera pas tendre avec moi. Je n’en ai pas envie non plus d’ailleurs.
Un premier coup frappe ma fesse gauche, assez doux. Les suivants tombent rapidement, plus durs. Je ne pousse qu’un petit gémissement à chaque coup. Mes fesses me brûlent délicieusement, je frotte ma poitrine sur le capot de la voiture. Visiblement, ce n’est pas la première fois qu’il manille la cravache car les coups sont juste appuyés comme il faut pour faire de l’effet tout en étant supportables, amenant à ce délicieux mélange où souffrance et plaisir se mêlent.
J’ai envie d’être prise sans plus attendre tant je suis excitée par les coups que je viens de recevoir mais le moment des choses sérieuses approche. Je me retourne et lui offre mes seins. Les spectateurs sont très attentifs et silencieux dans l’attente de la suite des événements. Je regarde Jacques dans les yeux et nous savons tous les deux que maintenant, je vais vraiment souffrir.
La cravache très rapidement me frappe par deux fois, marquant chaque sein d’une marque rouge. Je me recroqueville sur moi-même en poussant un cri. Des larmes coulent de mes yeux.
Encouragée par le regard et les murmures des spectateurs, je me redresse, m’appuie à nouveau sur le capot pour exposer mes cuisses et mon pubis cette fois. Je veux en profiter jusqu’au bout. J’écarte donc largement les cuisses.
Cette fois, Jacques prend son temps. Un premier coup balafre ma cuisse gauche. Je crie mais ne bouge pas. J’attends le second coup mais il ne vient pas tout de suite. Il veut savourer lui aussi. Nouveau sifflement de la cravache suivi d’un nouveau cri. Cette fois, je ne me soucie plus du risque d’attirer les voisins ou les passants.
Pour le dernier, je veux qu’il m’apporte ce plaisir qui vient avec la douleur savamment orchestrée. Je suis terriblement excitée et je veux qu’il me fasse mal. Je creuse donc les reins pour projeter mon pubis en avant, exposant ainsi mon sexe.

Jacques a bien compris. Il vise consciencieusement et la mèche de la cravache vient s’abattre sur mon sexe. J’ai le souffle coupé un instant puis je sanglote tant de plaisir que de souffrance.

Il me prend dans ses bras et m’embrasse. Pendant ce temps, des mains se posent sur mon corps, certaines suivent les marques de la cravache du bout des doigts. Quelqu’un me remet ma jupe et m’aide à enfiler mon chemisier que je mets sans le fermer.

Je rentre dans le café retrouver Jacques et je lui montre mes marques sans me préoccuper des voisins. Cela ne semble pas leurs déplaire d’ailleurs.

Nous prenons encore un verre pour me donner le temps de récupérer un peu.

- Jacques, chose promise, chose due : elle est à vous pour la nuit. Rentrons voulez vous ?

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