On ne change peut-être pas ? 7 - 1ère partie
Récit érotique écrit par Totos [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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On ne change peut-être pas ? 7 - 1ère partie
De retour de vacances, ça s'était très mal passé !
Nous ne nous parlions plus, on se regardait plus... Arriva ce qui devait arriver ! On
se sépara.
Je repris des cours du soir pour être institutrice, j'adorais les enfants et j'avais
envie de leur apporter quelque chose, et puis, peut-être ça m'aiderais.
Et ce fut une réelle aide pour moi, j'étais plongée à fond dans mes études, je
m'appliquais et je réussissais... Tout était parfait !
Evidemment, lors des beuveries entres gens de la classe ou de l'école, je finissais
toujours par disparaître avec l'un ou l'autre homme, j'en avais la réputation, ou
plutôt c'était une "légende".
On disait que j'étais une fille facile, mais personne n'en avais la certitude ! Ce qui
n’était pas plus mal.
Et je devins institutrice avec les compliments de mes professeurs et du jury, j’étais
très fière de moi ! Il me restait à trouver une place à présent.
Grâce à un piston, je finis assez vite par en trouver une et ce fut une réelle joie !
Je donnais à présent cours, j’avais ma propre classe, les enfants m’adoraient et je
les adorais tout autant ! J’avais des stagiaires que je conseillais et j’avais de bon
rapport avec les parents, tout était parfait !
Je pu enfin prendre mon appartement, j’étais heureuse en tout point, sauf que je
n’avais pas d’homme !
A la première réunion des parents, je fus marquée par un père qui me fit du rentre
dedans, j’avais bien sur l’habitude de ce genre de chose, mais pas dans ce contexte !
Son fils était un très bon élève et attentif, il n’y avait rien à dire ! Je conseillai
juste à son père de l’inscrire au football car celui-ci adorait y jouer à l’école… En
bref, il m’invita au restaurant pour le vendredi.
La semaine continuait comme elle avait commencée, les cours se suivirent et nous
arrivâmes au fameux jour !
Je rentrais chez moi, exténuée, je me mis dans mon bain… Puis, la réflexion se faisant
je dis à voix haute :
« Merde ! Je vais mettre quoi ?! »
Je n’avais plus eu de rapport depuis longtemps et surtout, je n’avais jamais eu de
rendez-vous avec le père d’un de mes élèves !
Je sortis du bain et me sécha, je partis alors voir dans ma garde-robe ce que je
pourrais mettre !
Evidemment je me voyais bien en mini-jupe… Mais c’était certainement un peu trop osé !
Je mis une jupe noire qui me descendait jusqu’aux genoux, et un haut bordeaux, un
string et un soutien-gorge noir… Je regardais l’heure et vit que j’allais être en
retard ! Je lisais au plus vite mes cheveux et fit une queue de cheval.
Je le rejoins alors devant le restaurant qu’il m’avait dit et vit qu’il arrivait
aussi, un bon timing ! Me dis-je…
- Vous êtes venue ! Me dit-il alors.
- Pas tant de formalité, si on se tutoyait ?
- Comme tu veux ! Me dit-il suivit d’un clin d’œil.
Il m’invita à entrer et on nous conduit à la table.
On se mit très vite à parler ensemble, de tout et de rien…
- Mon ex-femme et moi nous entendons toujours, autant pour ce qu’on a vécu que
pour notre fils, seulement, on ne sait pas pourquoi, il était arrivé un moment où nous
avons cessé de nous aimer.
Me dit-il, le regard dans ses pensées et un petit sourire.
- Et ça fait longtemps que vous êtes séparés ?
- 19 mois !
- Ah oui, quand même ! Et tu as rencontré quelqu’un depuis ?
- Non… Encore faudrait-il tenir le coup ! Dit-il en rigolant mais laissant
planer un certain mystère ?
- Je tiens le coup moi ! Dis-je.
- Ah, mais tu ne sais pas de quoi je parle ! Me dit-il en faisant un clin d’œil.
- Et de quoi parles-tu ?
- Et toi, dis-moi, ça fait longtemps que tu es seule ?
Sa question qui était pour détourner la mienne me fit comme une claque en pleine face
!
- 3 ans et demi environs…
- Ah oui !? Et tu as rencontrée quelqu’un depuis ?
- On peut dire ça…
- C’est-à-dire ?
- Disons que ça n’a pas marché !
- Des coups d’un soir c’est ça ?
- …
- Il n’y a pas de honte ! Me dit-il avant de s’arrêter car le serveur vint nous
servir.
On se mit à manger, nous parlions moins mais nous échangions tout de même quelques
paroles, on prit un dernier verre.
- Alors, la soirée, ça a été ?
- Oui. Dis-je avec le sourire.
- On rentre ensemble après ?
- A condition que tu me dises pourquoi il faudrait tenir le coup !
Il sourit et se pencha vers moi, me disant tout bas.
- Il y a des choses dont tu as peur ?
- Non, pas que je sache.
- Tu es certaine ?
- Sur et certaine !
- Alors rentre avec et tu verras.
Ma curiosité piquée au vif, l’envie d’une bonne baise, je répondis :
- D’accord, mais tu es sur qu’après tout ce temps, ça va pas sortir trop vite ?
Dis-je le narguant en faisant un clin d’œil.
- Ne te soucie pas de ça, dit-il en me souriant à nouveau.
- D’accord, je te suis. Dis-je avec un petit clin d’œil.
- Une seule chose.
- Oui ?
- Passer la porte de l’immeuble, tu te plie aux règles.
- Pas de soucis.
On prit sa voiture et nous dirigeâmes vers l’immeuble.
Il m’ouvrit la porte, galant et souriant et on se dirigea vers la porte de l’immeuble,
il ouvrit la porte, me fit passer, passa à son tour et la referma.
- Tu sais ce que j’ai dit, non ?
- Oui, oui, t’es règles. Dis-je en lui donnant un petit coup d’épaule.
- Déshabille-toi.
- Stp ?
- A poil !
- Euh, t’es gentil mais y a combien d’appartements dans cet immeuble ?
Il se mit à réfléchir, je pense qu’il faisait un calcul mental.
- 12 avec le mien compris dedans.
- Je ne vais pas me déshabiller au risque d’être vue ?
- La porte est là… Dit-il en me montrant la porte, il n’avait l’air ni déçu, ni
fâché, rien…
- Allais je me plie à tes règles petit coquin ! Dis-je à la fois surprise par sa
réaction mais poussée par l’envie.
- Je savais que tu réagirais ainsi.
Je retirais mon haut et le lui tendit, je vis qu’il fixait mon soutien-gorge… Je
déboutonnai ma jupe et la fis glisser le long des mes jambes, je m’abaissais pour la
prendre et lui tendit… Je fis un tour sur moi-même assez lent pour qu’il puisse me
mater, je le vis sourire… Je retirais mon soutien-gorge et le lui tendis aussi.
- Tu veux toucher ? Dis-je avec arrogance.
- J’aurais tout le loisir de toucher après, vire ce qu’il reste. Dit-il avec son
sourire amical.
Je fis glisser mon string le long de mes jambes, me pencha pour le retirer et me
relevais pour lui donner. Alors que j’allais enlever mes chaussures à talons, il me
fit signe de les garder.
- Bon, je vais monter, quand tu entends la porte se refermer tu pourras à ton
tour monter, chez moi c’est la porte numéro 9.
- D’accord, coquin !
Il montait et j’entendis comme demandé que la porte se referme. Lorsque ce fut le cas,
je montais à mon tour, à vrai dire, je ne me rendais pas compte de la gêne que je
ressentais et la peur de croiser quelqu’un… Je me dépêchais alors et arriver devant la
dites porte j’appuyais sur la sonnette, une fois, deux fois … Je n’eus pas le temps
d’appuyer une troisième fois que la porte s’ouvrit.
- Non de dieu !
- Mais ! Fut les seules mots que je pu trouver.
- Tiens ! Une lettre me fut tendue.
« Salut !
Bon en réalité ma porte c’est le numéro 12, tu ne m’en veux pas ?
Mon amie va te préparer, laisse toi faire !
Bisou et à tout de suite !
Ps : Elle à des tendances sado, ne la provoque pas trop. »
Après avoir lu la lettre, je relevais lentement les yeux et vit face à moi une femme,
non une fille… Enfin, elle devait avoir 23 ou 24 ans, peut-être 25 ans… Elle était
plus grande que moi, environs 1m70, assez fine, une petite poitrine de ce que je
pouvais voir, type asiatique, des cheveux noirs jusqu’au milieu du dos et des yeux
d’un brun obscur mais si doux à la fois… Pour ses fesses, après les avoirs vues, je
peux vous dire qu’elles étaient parfaites !
- Tu as bien lu ce qui était écrit ?
- Oui…
- Entre, tais-toi et obéis.
- Oui…
Je rentrais et la suivais, rien d’anormal chez elle, un vrai joli petit nid… Un bel
appartement ! Je la suivais dans sa chambre, ah non… Sa chambre était juste à côté, ça
me semblais bizarre qu’elle ferme sa chambre à clé ! Elle me fit rentrer et allumait
la lumière.
Un banc, des poteaux, tout un tas d’ustensiles… J’avais le cœur qui battait la
chamade, mais j’étais où là ?
Elle me dirigeait entres les deux poteaux, elle se mit d’un côté d’un poteau et vint
vers moi pour ensuite attaché la menotte à ma main, elle retournait près du poteau et
tira sur la corde ce qui relevais et étendait mon bras, elle fit pareil avec mon bras
gauche, elle me regardait et sourit et puis fit pareil avec mes pieds.
J’étais à présent attachée, écartée, face à elle… Elle me sourit et vint devant moi,
j’avais peur, mais je m’excitais… Elle me fit un bisou sur le front et me dit : « ça
va aller ».
Elle allait dans un tiroir derrière moi que j’entendis ouvrir et revint, m’attachais
un collier autour du cou, je su qu’une petite clochette y était accrochée lorsqu’elle
la fit retentir.
- Tu es une mignonne petite chienne.
- …
Je n’osais pas répondre.
Elle vint face à moi et jouais avec mes seins, les pelotant, les massant, les pesant…
Puis retournait dans le tiroir et revint avec un fouet à plusieurs lanières, elle se
mit à tapoter doucement et lentement mes seins, m’arrachant quelques grimaces et petit
cris, elle fit le tour et fit pareil sur mes fesses, mon dos… Elle descendit sur
l’arrière de mes jambes, passant devant puis remontait sur ma poitrine et redescendit
sur mon sexe, de là elle se mit à mettre des coups plus fort m’arrachant des cris de
plus en plus fort et me dit :
- Je veux t’entendre dire que tu feras tout ce qu’on te dira.
- Je ferais tout ce que vous me direz !
- Si je te dis de te masturber tu fais quoi ?
- Je me masturbe !
- Si je te dis d’aboyer tu fais quoi ?
- J’abois !
- Abois !
- Wouf wouf ! Fis-je continuant à ramasser des coups tout au long de mon corps.
- Si je te dis de me lécher le trou du cul tu fais quoi ?
- Je vous lèche le trou du cul !
Elle s’arrêta et sourit.
- Tu sais pourquoi tu es ici ?
- …
- Donne une réponse, ne te soucie pas, c’est une simple question.
- Pour me préparer ?
- Entre autre oui, et un peu t’éduquer.
Elle retournait dans le tiroir et puis par derrière moi me mis un bâillon, elle
repassait devant et commençait à tirer sur mes bouts.
- Je tire plus fort ?
- Non. Fis-je de la tête.
Elle tira plus fort.
- Je tire plus fort ?
- Non. Fis-je une nouvelle fois de la tête.
Elle se mit à tordre mes bouts, mes cris camoufler par mon bâillon.
- Je tire et tord plus fort ?
- Oui. Fis-je de la tête tentant le tout pour le tout.
Elle me relâchait les bouts qui me piquait, me brulait et mit ses doigts près de mon
sexe, prenant chacune des lèvres et tira un tout petit peu.
- Tu es excitée on dirait ! Je tire plus fort ?
- Non. Fis-je par réflexe.
Elle se mit à tirer plus fort.
- Je tire plus fort ?
- Oui. Fis-je de la tête.
Elle me relâchait et mit une tape dessus.
Elle me défit mes entraves, j’étais face à elle le corps « martyriser ».
- Je te donne l’occasion de faire un truc, tu choisis quoi, que fais-tu ?
J’entendis sa question, la réponse me vint soudainement, je me mis à genou et prit
délicatement l’un de ses pieds pour y déposer un bisou et ensuite y passer ma langue,
je suçai ensuite un à un ses doigts de pieds.
- Tu peux arrêter, tu es une brave fille, deux trois petites choses puis tu iras
retrouver notre ami, nous n’allons pas le faire attendre plus longtemps.
Elle me fit me relever et me pencha sur le banc, elle me mit une vingtaine de fesser
et puis me laissant ainsi elle prit un feutre rouge et fit une flèche de mon bas du
dos vers mes fesses.
« Enculer moi. »
Elle me retournait à présent et me couchait sur le dos, les jambes écartées.
Sur le bas de mon ventre avec une petite flèche rouge fut inscrit :
« Garage à bite, entrée gratuite ! »
Elle partit vers le fameux tiroir et revint avec des menottes, elle me menotta les
mains devant et les pieds, me laissant à peine réussir à faire de petit pas.
Elle s’absenta quelques minutes qui furent longues, ou peut-être l’était-ce vraiment
et revint avec une lettre.
Elle m’embrassa et me complimenta sur ma façon d’embrasser pour ensuite me mettre une
boule bâillon en latex dans la bouche.
Elle me dirigeait vers la porte et me mit la lettre dans les mains, une claque sur les
fesses et fermait la porte.
J’étais à nouveau dans les couloirs de l’immeuble, toujours nue, mais cette fois
entraver… J’essayais de monter à l’étage suivant le plus vite possible, ce qui ne fut
pas vraiment le cas et qui fut assez difficile !
Une fois arrivée devant le numéro 12, j’appuyais sur la sonnette, il ouvrit et eu ce
qu’on appelle un rire nerveux et prit la lettre.
« Mon cher ami,
J’aurais bien continuée à jouer avec ton jouet mais elle est déjà très obéissante, je
pense que tu pourras lui faire tout ce que tu veux !
Tu as fait un bon choix pour reprendre ta vie sexuelle en main !
Tu me diras quoi lorsqu’on se verra !
Je te fais un gros bisou et je n’oublie pas de prévoir notre soirée pizza et
télévision !
Bisou. »
Il me fit rentrer, sa main sur ma fesse pour me faire avancer et puis m’arrêta net,
face à lui, il me regardait et enlevait mon bâillon.
Je lui souris, il me le rendit…
- Apparemment, il n’y a rien à t’apprendre.
Excitée comme jamais depuis longtemps, je me mis à genou et détachais son pantalon, je
le fis glisser son pantalon et son boxer.
Sa queue était énorme et je me mis à jouer avec ma langue dessus, je le vis surpris
mais ravis, ma langue passait le long de sa queue, faisait le tour de son gland pour
enfin rentrer dans ma bouche, y faire des va et viens, avec mes mains toujours
entraver au poignet je faisais des va et viens… Il fallut très peu de temps pour qu’il
vienne et je récupérais une grande quantité dans ma bouche et laissait le reste aller
sur mon visage, mes cheveux… Et ma poitrine. Je nettoyais sa bite et la lui relâchait.
Il sourit, partit me laissant ainsi et revint avec une petite cuillère, récupérant ce
qu’il y avait sur mon corps, mon visage et mes cheveux et me le donnant à la petite
cuillère. Il finit par me la mettre en bouche et me dit :
- Elle ne doit pas tomber, en aucun cas ! Si elle tombe tu verras mon courroux !
»
Il me releva assez violent et m’amena dans son salon il me fit me mettre sur ses
genoux sur son ventre et commençait à m’assaillir de fessées sur mes fesses.
- Espèce de petite conne ! Je t’ai autorisée à me sucer ?
Je faillis plusieurs fois lâcher la cuillère pour crier, mais je forçais et pris sur
moi et laissait couler les quelques larmes sentant mes fesses brulée de plus en plus.
Il finit par me pousser me laissant tomber au sol, il me regardait par terre,
transpirante, les larmes aux yeux et me dit :
- Tu veux boire quelque chose ?
- Oui stp…
Il partit et revint avec un bol qu’il mit juste devant moi, je penchais ma tête au-
dessus et sortit la langue commençant à boire… Alors que je buvais il me dit :
- J’ai envie de te sauter !
On y arrivait enfin, j’en avais envie !
Il me prit par les cheveux et me relevais, il détachait les menottes à mes pieds, il
avait évidemment le double des clés et me fit venir sur lui… Très vite je sentis sa
queue entre mes jambes puis son téléphone portable sonna.
- Oui allo ? – Chez moi… - Ok ! J’arrive tout de suite !
Il me retira et me poussa légèrement, je tombais au sol et y restait, il partit et
lorsqu’il revint, il s’était apprêté.
- Bon, mon fils est aux urgences, c’était chouette mais je dois partir.
Il vint détacher mes menottes et ajouta.
- Rhabille-toi et pars, clape la porte derrière toi.
Il partit me laissant là, seule, nue, chez lui… Je me rhabillais, dégoutée, toujours
excitée et partit prendre un taxi…
Je lui demandais de me déposer en ville, là où il y avait plusieurs cafés…
Je rentrais dans un et me mit au comptoir.
- Un coca svp !
Le serveur vint me l’apporter.
Il y avait beaucoup plus d’homme que de femmes, du coup, il était vrai que beaucoup de
regard venaient sur moi, un homme vint près de moi et me dit :
- Bonsoir mademoiselle, vous passez la soirée seule ?
- Oh oui, on m’a fait faux bond.
- Hum, cette personne ne semble pas avoir le sens des priorités !
Je lui fis juste un petit sourire en guise de réponse.
- Accepteriez-vous de passer la soirée avec moi ?
- C’est bien gentil, mais non merci…
- J’ai peut-être autre chose à vous proposer alors.
- Je ne suis pas intéressée.
Il prit son portefeuille et sortit un billet, me le faisant glisser juste devant moi,
c’était un billet de 100€ et dit :
- Vous voyez le garçon là ?
- Avec son sweat de super héros ?
- Oui, c’est mon petit frère, il fête aujourd’hui ses 18 ans, j’aimerais vous
offrir à lui.
Je regardais le billet, puis l’homme, le petit frère…
- Je ne suis pas une pute.
- Veuillez m’excusez, ce n’est pas le message que je voulais faire passer, il
est juste que je ne veux pas offrir une prostituée à mon frère, ça ne vaut pas le
coup, mais une femme tel que vous et si belle, si je pouvais lui faire un tel cadeau…
Je pense qu’il n’oublierait pas ses 18 ans.
- Je le répète, je ne suis pas une pute.
- Et si c’est 100€ était à vous, si vous acceptiez qu’il vous touche et que vous
lui faites juste une pipe.
- …
- 100€ pour se laisser un peu toucher et une pipe, je trouve que ça vaut le
coup, non ?
Il n’avait pas tort sur ce coup-là, mais ça ne me faisais pas moins me voir comme une
pute…
- Alors ? Dit-il.
- Juste me laissée toucher et une pipe et j’ai les 100€ ?
- Oui, mais devant moi et ses amis.
- …
- Si tu ne veux pas, le billet peux retourner d’où il vient ?
- Non, ça iras.
- Parfait ! Prends-toi un verre, c’est pour moi et vient nous rejoindre ensuite.
- D’accord.
Je commandais un autre verre et le bu petit à petit, regardant le groupe, il y avait
donc cet homme, son frère et 3 copains à lui… Je bu mon verre d’une traite et pris mon
courage à deux mains, descendis de mon tabouret et allait vers le groupe.
- Eric, voilà ton cadeau d’anniversaire.
- Punaise, elle est bonne à crever ! Répondis le frère.
- Si nous sortions d’ici pour aller dans un endroit plus calme ? Dit alors le
grand frère.
- Je vous suis. Dis-je.
Ils se levèrent tous et nous sortîmes du café, c’était tout un ensemble de ruelle, au
bout de l’une d’elle, on pouvait se mettre dans un coin, ce qui se fit.
- Bon, Eric, tu peux la caresser où tu veux, tant que tu veux, ne te soucies
pas, personnes ne passes jamais par ici.
- Bon ça ! Dit-il, rajoutant : je peux l’embrasser ?
- Demande-lui ! Dis-le grand frère.
- Je peux t’embrasser ?
- S’il n’y a que ça pour te faire plaisir… Dis-je.
Il vint près de moi et se mit à m’embrasser, ses deux mains vinrent sous ma jupe,
serrant mes fesses très fort, passant très vite sous mon tee short qu’il relevait à la
vue de ses copains, il détachait avec du mal mon soutien-gorge, le relevant au-dessus
de mes seins… Qu’il se fit un plaisir de prendre en main, de serrer, caresser… Il
détachait ensuite ma jupe, la laissant tomber à mes pieds et puis se reculait, pour me
regarder.
- Regarder les gars, la bombe qui va me sucer !
Je devins un peu rouge, il n’était pas délicat comme garçon…
- Abaisse ton string pour que je voie ta chatte et que mes copains aussi !
J’abaissais mon string à mes chevilles et écartait un peu les jambes, il revint près
de moi pour m’embrasser et ses doigts vinrent jouer avec mon sexe… Très vite il
appuyait sa main sur mon épaule pour me signifier de me mettre à genoux, une fois à
genoux, il sortit son sexe que je n’eut pas le temps de voir qu’il m’enfila dans ma
bouche, il ne me laissa pas le temps de jouer avec, il tenait ma tête par derrière et
faisais des va et viens avec son bassin, il n’avait pas un grand sexe et je pense
qu’il n’avait d’ailleurs pas d’expérience à ce niveau-là, où à tout autre niveau…
Il ne lui fallut que quelques minutes pour venir, lorsque ce fut le cas, il agrippait
ma tête de ses deux mains collant bien ma tête contre lui et se vidait dans ma bouche,
pour 100€ en si peu de temps, je n’allais pas rouspéter ! Il se retirait, essoufflé et
j’avalais sa semence, il voulut se rhabiller et vit qu’il lui restait quelques
gouttes… Je pense que l’excitation un peu descendue, il devint un peu gênée…
- Je pense qu’il aimerait que tu le nettoie. Dit son grand frère.
J’allais alors le nettoyer, et je lui remis moi-même son slip et rattachais son
pantalon, je me relevais et dit :
- Voilà !
Tout en me rhabillant.
- Merci beaucoup. Dit alors le grand frère.
Le petit frère quant à lui, n’osais plus rien dire, à peine me regarder… Quant à ses
copains, eux, ne cessaient de me regarder ! Le grand frère vint près de moi, et me
tendis un papier en me murmurant :
- Si ça te dis de gouter à un plus gros calibre.
Et puis ils partirent tous, me laissant ainsi retourner à mon café… Je retournais au
comptoir recommandant un verre, le serveur me regardait d’une autre façon.
Je recommandais quelques temps après un autre et demandait :
- Que se passe-t-il ?
- Comment ça ? Dit-il.
- Tu me regardes d’une drôle de façon.
- Ne te vexes pas mais tu as été faire des choses avec l’un ou plusieurs de ces
gars avec qui tu es partie, non ?
- Qu’est ce qui te fait dire ça ?
- Je travail ici depuis longtemps, une fille qui a envie de sexe je le vois, une
fille qui part en faire, je le vois aussi…
Je fus surprise et dit :
- Et moi j’en ai envie c’est ça ?
- Oui, tu en as l’air.
- Tu es fort quand même… Dis-je.
- Merci ! Dit-il en souriant.
- On va voir si tu es très fort, sexuellement, tu me vois comment ?
Il me regardait quelques instants et dit :
- Attends, laisse-moi encore un peu t’observer, servir les clients et quand je
suis sûr de moi, je viens te le dire !
- Ok, on fait comme ça !
Il lui fallut une dizaine de minute avant de revenir et me dit, sûr de lui.
- Ne te vexes pas si je me trompe, mais voilà ce que moi je pense, tu es le
genre de fille qui n’a pas de limites mais qui aimes être soumise, tu ne recules pas
devant les défis !
- Ah oui, tu es vraiment fort…
- Donc j’ai raison ?
- Oui. Dis-je.
- Alors je te propose un « pile » ou « face », si je gagne, je fais ce que je
veux de toi, si je perds… Tu pourras boire toute ta soirée gratuite c’est moi qui
arrose et je te ramènerais sans même te toucher ou tenter quoi que ce soit, ça te va.
- Pari tenu ! Dis-je dans la lancée.
Il prit une pièce et me dit :
- Pile ou face ?
- Face !
Il la lança et ce fut face.
- Et bien tu as gagné une soirée gratuite à boire !
- Ça c’est bien !
- Moui… Ca dépend pour qui !
- Tu sais quoi ?
- Non ? Dit-il.
- Tu as deux collègues qui servent, il n’y en a pas un qui pourrait venir au bar
?
- Si pourquoi ?
- J’ai envie que tu me sautes ! Lui dis-je tout bas en m’étant avancée jusqu’à
son oreille.
- J’ai mon appart juste au-dessus du café, sors déjà, je vais venir te rejoindre
dehors.
Je sortis et il vint très vite me rejoindre, il ouvrit la porte et je le suivis à
l’intérieur, il me plaqua contre le mur et très vite m’ôta mon t-shirt et mon soutien-
gorge, ma jupe et mon string… Deux de ses doigts rentrèrent dans ma chatte et puis il
me fit passer devant lui avec une claque magistrale sur les fesses et me dit :
- Allais mon monte, tu m’as excitée assez je vais faire de toi ma petite chienne
!
Arriver devant la porte de son appartement, il ouvrit et me poussa à l’intérieur
gentiment, comme une enragée, je me retournais et sautais sur lui pour l’embrasser, il
me rendit mes baiser et puis me fis descendre, pour me mettre à genoux et le sucer, ce
que je fis !
Son sexe était plus gros que celui pour qui j’avais servis de cadeau d’anniversaire,
ma main avait plaisir à le caresser, et ma langue aussi ! Très vite, je le mis dans ma
bouche, l’entourant bien de tout son diamètre et commençait à faire des va et viens
dans ma bouche, ma langue caressant son gland… Je fis tout pour le faire venir, mais
il tenait très bien ! Je relevais les yeux vers lui, sa queue dans ma bouche, il me
regardait avec son sourire en coin… C’était agaçant, et je me donnais à fond pourtant
!
Il me prit par les cheveux et me releva, me plaquant contre le mur, il relevait une de
mes jambes et très vite m’enfila son sexe dans le mien qui était mouillé depuis un bon
moment, ses coups de reins était fort, et à chacun de l’un deux, j’avais l’impression
que si il me relâchait j’allais finir par m’écrouler ! Il vint assez vite en moi,
lorsqu’il eut finit, il restait encore un peu dedans, ne bougeant plus, je sentais nos
liquides couler le long de ma jambe…
Il me passait des papiers pour m’essuyer et me proposait de m’asseoir dans son divan,
il allait mettre des croquettes à son chien et s’assit à côté de moi.
- Je vais devoir retourner travailler, n’oublie pas que tu as ta soirée gratuite
en alcool aujourd’hui, je te ramènerais après.
- Tu n’as pas envie qu’on fasse un second round ?
- Franchement, c’était cool, mais je me suis bien vidé… Retourne au café, y a
surement un autre qui voudra bien te faire ton affaire !
- T’es vexant et tu crains là !
- Ecoute, pour toi et soit pas vexé mais ce soir en tout cas, un seul homme
n’arrivera pas à faire l’affaire…
- Tu n’as peut-être pas tort en fait…
- J’ai une proposition à te faire ! Me dit-il.
- Je t’écoute…
- Elle est tout ce qu’il y a de plus sérieuse, on redescend au café, tu trouves,
où je te trouve un groupe de type avec qui tu peux t’amuser, tu te lâches, tu fais
tout ce que tu veux, mais tu te donnes à fond, tu te vides de toute ses envies…
- Avec plusieurs types ?
- Oui.
- Et ensuite, quoi ?
- Tu reviens ici, je finis mon service, on rentre chez moi, on prend une douche
et on se met ensemble.
- Tu es sérieux ?
- Oui, dans tout ce que j’ai dit que j’ai vu en toi, j’y vois une grande soif
d’amour, alors fais toi plaisir une dernière fois, car si tu le souhaites, après tu ne
pourras plus.
- Je ne m’attendais pas à ça…
- Alors ?
- D’accord.
- Allais vient, on redescend.
Je me rhabillais et on descendit, je le laissais rentrais dans le café et j’allais
boire un verre ailleurs, là je me mis à une table, seule, 3 garçons vinrent et me
firent la conversation. Comme d’habitude ça tournais autour de « tu es seule ? » chic
chac… J’en avais marre de parler, alors je dis :
- Les gars, j’ai une sacrée envie ce soir… Que diriez-vous un plan à quatre ?
Vous me demandez ce que vous voulez et ce sera d’accord.
- Tout ? Me demanda l’un d’eux.
- Tout !
- Où est l’embrouille ? Demanda un autre.
- Il n’y en a pas, je vais bientôt me mettre en couple, j’aimerais réaliser le
fantasme d’être prise par plusieurs hommes et faire tout ce qu’ils veulent sans limite
car je ne pourrais peut-être jamais le faire après.
Ils me regardèrent tous les trois et ils se mirent d’accord, on finit par partir du
café et on allait dans l’appartement de l’un d’eux, par rapport à moi, ils étaient
tous grands, deux étaient plus basés… Ils s’asseyaient et me dirent alors :
- Allais à poil ! On va te donner de la bite tu vas voir !
Je me mis face à eux et retirait mon t-shirt… Ma jupe suivit ainsi que mes sous-
vêtements !
- Putain elle est bonne, c’est notre soir de veine ! Dit alors un des trois.
- Tout ce qu’on veut ? Me demanda un autre.
- Oui, tout !
Le troisième dit alors :
- Sans limite, sur et certaines ?
- Oui, sur et certaine ! Répondis-je.
- Vient ici petite pute. Me dit-il alors.
Il me fit me mettre à genoux et je dû le sucer, celui-ci avait un gros sexe mais se
vida vite dans ma bouche, le second lui tint plus longtemps et le troisième lui fut
plus ou moins pareil que le second.
- Qu’elle bouche à pipe…
- Oh oui ! Dis un autre.
- Un vrai garage à sperme sa bouche !
- Tu sais ce que j’aimerais ? Me demanda alors le second que j’avais sucée.
- Non ?
- J’aimerais que tu te fasses sautée par son chien !
Je devins évidemment toute blanche ! Alors qu’il se levait et partait pour revenir
avec un seau et me dire :
- Je rigole ! Don’t panik ! Tiens.
Me dit-il en me tendant un seau plein de pince à linge.
- Euh ? Vous voulez que je mette pendre le linge ? Dis-je l’air étonnée tenant
le seau dans la main.
- Non, je veux que tu fasses ça. Dit-il en prenant une pince et la mettant sur
l’un de mes bouts.
- AAAAAAH !
- Tu les mets un peu partout sur ton corps, nous on va te regarder en rigolant
un petit peu.
A mon avis, je du devenir toute blanche malgré mon excitation déjà la première pince à
linge me faisais horriblement mal, alors en avoir d’autres que je devais mettre moi-
même je n’osais pas imaginer la difficulté et surtout la douleur que j’allais
ressentir !
Nous ne nous parlions plus, on se regardait plus... Arriva ce qui devait arriver ! On
se sépara.
Je repris des cours du soir pour être institutrice, j'adorais les enfants et j'avais
envie de leur apporter quelque chose, et puis, peut-être ça m'aiderais.
Et ce fut une réelle aide pour moi, j'étais plongée à fond dans mes études, je
m'appliquais et je réussissais... Tout était parfait !
Evidemment, lors des beuveries entres gens de la classe ou de l'école, je finissais
toujours par disparaître avec l'un ou l'autre homme, j'en avais la réputation, ou
plutôt c'était une "légende".
On disait que j'étais une fille facile, mais personne n'en avais la certitude ! Ce qui
n’était pas plus mal.
Et je devins institutrice avec les compliments de mes professeurs et du jury, j’étais
très fière de moi ! Il me restait à trouver une place à présent.
Grâce à un piston, je finis assez vite par en trouver une et ce fut une réelle joie !
Je donnais à présent cours, j’avais ma propre classe, les enfants m’adoraient et je
les adorais tout autant ! J’avais des stagiaires que je conseillais et j’avais de bon
rapport avec les parents, tout était parfait !
Je pu enfin prendre mon appartement, j’étais heureuse en tout point, sauf que je
n’avais pas d’homme !
A la première réunion des parents, je fus marquée par un père qui me fit du rentre
dedans, j’avais bien sur l’habitude de ce genre de chose, mais pas dans ce contexte !
Son fils était un très bon élève et attentif, il n’y avait rien à dire ! Je conseillai
juste à son père de l’inscrire au football car celui-ci adorait y jouer à l’école… En
bref, il m’invita au restaurant pour le vendredi.
La semaine continuait comme elle avait commencée, les cours se suivirent et nous
arrivâmes au fameux jour !
Je rentrais chez moi, exténuée, je me mis dans mon bain… Puis, la réflexion se faisant
je dis à voix haute :
« Merde ! Je vais mettre quoi ?! »
Je n’avais plus eu de rapport depuis longtemps et surtout, je n’avais jamais eu de
rendez-vous avec le père d’un de mes élèves !
Je sortis du bain et me sécha, je partis alors voir dans ma garde-robe ce que je
pourrais mettre !
Evidemment je me voyais bien en mini-jupe… Mais c’était certainement un peu trop osé !
Je mis une jupe noire qui me descendait jusqu’aux genoux, et un haut bordeaux, un
string et un soutien-gorge noir… Je regardais l’heure et vit que j’allais être en
retard ! Je lisais au plus vite mes cheveux et fit une queue de cheval.
Je le rejoins alors devant le restaurant qu’il m’avait dit et vit qu’il arrivait
aussi, un bon timing ! Me dis-je…
- Vous êtes venue ! Me dit-il alors.
- Pas tant de formalité, si on se tutoyait ?
- Comme tu veux ! Me dit-il suivit d’un clin d’œil.
Il m’invita à entrer et on nous conduit à la table.
On se mit très vite à parler ensemble, de tout et de rien…
- Mon ex-femme et moi nous entendons toujours, autant pour ce qu’on a vécu que
pour notre fils, seulement, on ne sait pas pourquoi, il était arrivé un moment où nous
avons cessé de nous aimer.
Me dit-il, le regard dans ses pensées et un petit sourire.
- Et ça fait longtemps que vous êtes séparés ?
- 19 mois !
- Ah oui, quand même ! Et tu as rencontré quelqu’un depuis ?
- Non… Encore faudrait-il tenir le coup ! Dit-il en rigolant mais laissant
planer un certain mystère ?
- Je tiens le coup moi ! Dis-je.
- Ah, mais tu ne sais pas de quoi je parle ! Me dit-il en faisant un clin d’œil.
- Et de quoi parles-tu ?
- Et toi, dis-moi, ça fait longtemps que tu es seule ?
Sa question qui était pour détourner la mienne me fit comme une claque en pleine face
!
- 3 ans et demi environs…
- Ah oui !? Et tu as rencontrée quelqu’un depuis ?
- On peut dire ça…
- C’est-à-dire ?
- Disons que ça n’a pas marché !
- Des coups d’un soir c’est ça ?
- …
- Il n’y a pas de honte ! Me dit-il avant de s’arrêter car le serveur vint nous
servir.
On se mit à manger, nous parlions moins mais nous échangions tout de même quelques
paroles, on prit un dernier verre.
- Alors, la soirée, ça a été ?
- Oui. Dis-je avec le sourire.
- On rentre ensemble après ?
- A condition que tu me dises pourquoi il faudrait tenir le coup !
Il sourit et se pencha vers moi, me disant tout bas.
- Il y a des choses dont tu as peur ?
- Non, pas que je sache.
- Tu es certaine ?
- Sur et certaine !
- Alors rentre avec et tu verras.
Ma curiosité piquée au vif, l’envie d’une bonne baise, je répondis :
- D’accord, mais tu es sur qu’après tout ce temps, ça va pas sortir trop vite ?
Dis-je le narguant en faisant un clin d’œil.
- Ne te soucie pas de ça, dit-il en me souriant à nouveau.
- D’accord, je te suis. Dis-je avec un petit clin d’œil.
- Une seule chose.
- Oui ?
- Passer la porte de l’immeuble, tu te plie aux règles.
- Pas de soucis.
On prit sa voiture et nous dirigeâmes vers l’immeuble.
Il m’ouvrit la porte, galant et souriant et on se dirigea vers la porte de l’immeuble,
il ouvrit la porte, me fit passer, passa à son tour et la referma.
- Tu sais ce que j’ai dit, non ?
- Oui, oui, t’es règles. Dis-je en lui donnant un petit coup d’épaule.
- Déshabille-toi.
- Stp ?
- A poil !
- Euh, t’es gentil mais y a combien d’appartements dans cet immeuble ?
Il se mit à réfléchir, je pense qu’il faisait un calcul mental.
- 12 avec le mien compris dedans.
- Je ne vais pas me déshabiller au risque d’être vue ?
- La porte est là… Dit-il en me montrant la porte, il n’avait l’air ni déçu, ni
fâché, rien…
- Allais je me plie à tes règles petit coquin ! Dis-je à la fois surprise par sa
réaction mais poussée par l’envie.
- Je savais que tu réagirais ainsi.
Je retirais mon haut et le lui tendit, je vis qu’il fixait mon soutien-gorge… Je
déboutonnai ma jupe et la fis glisser le long des mes jambes, je m’abaissais pour la
prendre et lui tendit… Je fis un tour sur moi-même assez lent pour qu’il puisse me
mater, je le vis sourire… Je retirais mon soutien-gorge et le lui tendis aussi.
- Tu veux toucher ? Dis-je avec arrogance.
- J’aurais tout le loisir de toucher après, vire ce qu’il reste. Dit-il avec son
sourire amical.
Je fis glisser mon string le long de mes jambes, me pencha pour le retirer et me
relevais pour lui donner. Alors que j’allais enlever mes chaussures à talons, il me
fit signe de les garder.
- Bon, je vais monter, quand tu entends la porte se refermer tu pourras à ton
tour monter, chez moi c’est la porte numéro 9.
- D’accord, coquin !
Il montait et j’entendis comme demandé que la porte se referme. Lorsque ce fut le cas,
je montais à mon tour, à vrai dire, je ne me rendais pas compte de la gêne que je
ressentais et la peur de croiser quelqu’un… Je me dépêchais alors et arriver devant la
dites porte j’appuyais sur la sonnette, une fois, deux fois … Je n’eus pas le temps
d’appuyer une troisième fois que la porte s’ouvrit.
- Non de dieu !
- Mais ! Fut les seules mots que je pu trouver.
- Tiens ! Une lettre me fut tendue.
« Salut !
Bon en réalité ma porte c’est le numéro 12, tu ne m’en veux pas ?
Mon amie va te préparer, laisse toi faire !
Bisou et à tout de suite !
Ps : Elle à des tendances sado, ne la provoque pas trop. »
Après avoir lu la lettre, je relevais lentement les yeux et vit face à moi une femme,
non une fille… Enfin, elle devait avoir 23 ou 24 ans, peut-être 25 ans… Elle était
plus grande que moi, environs 1m70, assez fine, une petite poitrine de ce que je
pouvais voir, type asiatique, des cheveux noirs jusqu’au milieu du dos et des yeux
d’un brun obscur mais si doux à la fois… Pour ses fesses, après les avoirs vues, je
peux vous dire qu’elles étaient parfaites !
- Tu as bien lu ce qui était écrit ?
- Oui…
- Entre, tais-toi et obéis.
- Oui…
Je rentrais et la suivais, rien d’anormal chez elle, un vrai joli petit nid… Un bel
appartement ! Je la suivais dans sa chambre, ah non… Sa chambre était juste à côté, ça
me semblais bizarre qu’elle ferme sa chambre à clé ! Elle me fit rentrer et allumait
la lumière.
Un banc, des poteaux, tout un tas d’ustensiles… J’avais le cœur qui battait la
chamade, mais j’étais où là ?
Elle me dirigeait entres les deux poteaux, elle se mit d’un côté d’un poteau et vint
vers moi pour ensuite attaché la menotte à ma main, elle retournait près du poteau et
tira sur la corde ce qui relevais et étendait mon bras, elle fit pareil avec mon bras
gauche, elle me regardait et sourit et puis fit pareil avec mes pieds.
J’étais à présent attachée, écartée, face à elle… Elle me sourit et vint devant moi,
j’avais peur, mais je m’excitais… Elle me fit un bisou sur le front et me dit : « ça
va aller ».
Elle allait dans un tiroir derrière moi que j’entendis ouvrir et revint, m’attachais
un collier autour du cou, je su qu’une petite clochette y était accrochée lorsqu’elle
la fit retentir.
- Tu es une mignonne petite chienne.
- …
Je n’osais pas répondre.
Elle vint face à moi et jouais avec mes seins, les pelotant, les massant, les pesant…
Puis retournait dans le tiroir et revint avec un fouet à plusieurs lanières, elle se
mit à tapoter doucement et lentement mes seins, m’arrachant quelques grimaces et petit
cris, elle fit le tour et fit pareil sur mes fesses, mon dos… Elle descendit sur
l’arrière de mes jambes, passant devant puis remontait sur ma poitrine et redescendit
sur mon sexe, de là elle se mit à mettre des coups plus fort m’arrachant des cris de
plus en plus fort et me dit :
- Je veux t’entendre dire que tu feras tout ce qu’on te dira.
- Je ferais tout ce que vous me direz !
- Si je te dis de te masturber tu fais quoi ?
- Je me masturbe !
- Si je te dis d’aboyer tu fais quoi ?
- J’abois !
- Abois !
- Wouf wouf ! Fis-je continuant à ramasser des coups tout au long de mon corps.
- Si je te dis de me lécher le trou du cul tu fais quoi ?
- Je vous lèche le trou du cul !
Elle s’arrêta et sourit.
- Tu sais pourquoi tu es ici ?
- …
- Donne une réponse, ne te soucie pas, c’est une simple question.
- Pour me préparer ?
- Entre autre oui, et un peu t’éduquer.
Elle retournait dans le tiroir et puis par derrière moi me mis un bâillon, elle
repassait devant et commençait à tirer sur mes bouts.
- Je tire plus fort ?
- Non. Fis-je de la tête.
Elle tira plus fort.
- Je tire plus fort ?
- Non. Fis-je une nouvelle fois de la tête.
Elle se mit à tordre mes bouts, mes cris camoufler par mon bâillon.
- Je tire et tord plus fort ?
- Oui. Fis-je de la tête tentant le tout pour le tout.
Elle me relâchait les bouts qui me piquait, me brulait et mit ses doigts près de mon
sexe, prenant chacune des lèvres et tira un tout petit peu.
- Tu es excitée on dirait ! Je tire plus fort ?
- Non. Fis-je par réflexe.
Elle se mit à tirer plus fort.
- Je tire plus fort ?
- Oui. Fis-je de la tête.
Elle me relâchait et mit une tape dessus.
Elle me défit mes entraves, j’étais face à elle le corps « martyriser ».
- Je te donne l’occasion de faire un truc, tu choisis quoi, que fais-tu ?
J’entendis sa question, la réponse me vint soudainement, je me mis à genou et prit
délicatement l’un de ses pieds pour y déposer un bisou et ensuite y passer ma langue,
je suçai ensuite un à un ses doigts de pieds.
- Tu peux arrêter, tu es une brave fille, deux trois petites choses puis tu iras
retrouver notre ami, nous n’allons pas le faire attendre plus longtemps.
Elle me fit me relever et me pencha sur le banc, elle me mit une vingtaine de fesser
et puis me laissant ainsi elle prit un feutre rouge et fit une flèche de mon bas du
dos vers mes fesses.
« Enculer moi. »
Elle me retournait à présent et me couchait sur le dos, les jambes écartées.
Sur le bas de mon ventre avec une petite flèche rouge fut inscrit :
« Garage à bite, entrée gratuite ! »
Elle partit vers le fameux tiroir et revint avec des menottes, elle me menotta les
mains devant et les pieds, me laissant à peine réussir à faire de petit pas.
Elle s’absenta quelques minutes qui furent longues, ou peut-être l’était-ce vraiment
et revint avec une lettre.
Elle m’embrassa et me complimenta sur ma façon d’embrasser pour ensuite me mettre une
boule bâillon en latex dans la bouche.
Elle me dirigeait vers la porte et me mit la lettre dans les mains, une claque sur les
fesses et fermait la porte.
J’étais à nouveau dans les couloirs de l’immeuble, toujours nue, mais cette fois
entraver… J’essayais de monter à l’étage suivant le plus vite possible, ce qui ne fut
pas vraiment le cas et qui fut assez difficile !
Une fois arrivée devant le numéro 12, j’appuyais sur la sonnette, il ouvrit et eu ce
qu’on appelle un rire nerveux et prit la lettre.
« Mon cher ami,
J’aurais bien continuée à jouer avec ton jouet mais elle est déjà très obéissante, je
pense que tu pourras lui faire tout ce que tu veux !
Tu as fait un bon choix pour reprendre ta vie sexuelle en main !
Tu me diras quoi lorsqu’on se verra !
Je te fais un gros bisou et je n’oublie pas de prévoir notre soirée pizza et
télévision !
Bisou. »
Il me fit rentrer, sa main sur ma fesse pour me faire avancer et puis m’arrêta net,
face à lui, il me regardait et enlevait mon bâillon.
Je lui souris, il me le rendit…
- Apparemment, il n’y a rien à t’apprendre.
Excitée comme jamais depuis longtemps, je me mis à genou et détachais son pantalon, je
le fis glisser son pantalon et son boxer.
Sa queue était énorme et je me mis à jouer avec ma langue dessus, je le vis surpris
mais ravis, ma langue passait le long de sa queue, faisait le tour de son gland pour
enfin rentrer dans ma bouche, y faire des va et viens, avec mes mains toujours
entraver au poignet je faisais des va et viens… Il fallut très peu de temps pour qu’il
vienne et je récupérais une grande quantité dans ma bouche et laissait le reste aller
sur mon visage, mes cheveux… Et ma poitrine. Je nettoyais sa bite et la lui relâchait.
Il sourit, partit me laissant ainsi et revint avec une petite cuillère, récupérant ce
qu’il y avait sur mon corps, mon visage et mes cheveux et me le donnant à la petite
cuillère. Il finit par me la mettre en bouche et me dit :
- Elle ne doit pas tomber, en aucun cas ! Si elle tombe tu verras mon courroux !
»
Il me releva assez violent et m’amena dans son salon il me fit me mettre sur ses
genoux sur son ventre et commençait à m’assaillir de fessées sur mes fesses.
- Espèce de petite conne ! Je t’ai autorisée à me sucer ?
Je faillis plusieurs fois lâcher la cuillère pour crier, mais je forçais et pris sur
moi et laissait couler les quelques larmes sentant mes fesses brulée de plus en plus.
Il finit par me pousser me laissant tomber au sol, il me regardait par terre,
transpirante, les larmes aux yeux et me dit :
- Tu veux boire quelque chose ?
- Oui stp…
Il partit et revint avec un bol qu’il mit juste devant moi, je penchais ma tête au-
dessus et sortit la langue commençant à boire… Alors que je buvais il me dit :
- J’ai envie de te sauter !
On y arrivait enfin, j’en avais envie !
Il me prit par les cheveux et me relevais, il détachait les menottes à mes pieds, il
avait évidemment le double des clés et me fit venir sur lui… Très vite je sentis sa
queue entre mes jambes puis son téléphone portable sonna.
- Oui allo ? – Chez moi… - Ok ! J’arrive tout de suite !
Il me retira et me poussa légèrement, je tombais au sol et y restait, il partit et
lorsqu’il revint, il s’était apprêté.
- Bon, mon fils est aux urgences, c’était chouette mais je dois partir.
Il vint détacher mes menottes et ajouta.
- Rhabille-toi et pars, clape la porte derrière toi.
Il partit me laissant là, seule, nue, chez lui… Je me rhabillais, dégoutée, toujours
excitée et partit prendre un taxi…
Je lui demandais de me déposer en ville, là où il y avait plusieurs cafés…
Je rentrais dans un et me mit au comptoir.
- Un coca svp !
Le serveur vint me l’apporter.
Il y avait beaucoup plus d’homme que de femmes, du coup, il était vrai que beaucoup de
regard venaient sur moi, un homme vint près de moi et me dit :
- Bonsoir mademoiselle, vous passez la soirée seule ?
- Oh oui, on m’a fait faux bond.
- Hum, cette personne ne semble pas avoir le sens des priorités !
Je lui fis juste un petit sourire en guise de réponse.
- Accepteriez-vous de passer la soirée avec moi ?
- C’est bien gentil, mais non merci…
- J’ai peut-être autre chose à vous proposer alors.
- Je ne suis pas intéressée.
Il prit son portefeuille et sortit un billet, me le faisant glisser juste devant moi,
c’était un billet de 100€ et dit :
- Vous voyez le garçon là ?
- Avec son sweat de super héros ?
- Oui, c’est mon petit frère, il fête aujourd’hui ses 18 ans, j’aimerais vous
offrir à lui.
Je regardais le billet, puis l’homme, le petit frère…
- Je ne suis pas une pute.
- Veuillez m’excusez, ce n’est pas le message que je voulais faire passer, il
est juste que je ne veux pas offrir une prostituée à mon frère, ça ne vaut pas le
coup, mais une femme tel que vous et si belle, si je pouvais lui faire un tel cadeau…
Je pense qu’il n’oublierait pas ses 18 ans.
- Je le répète, je ne suis pas une pute.
- Et si c’est 100€ était à vous, si vous acceptiez qu’il vous touche et que vous
lui faites juste une pipe.
- …
- 100€ pour se laisser un peu toucher et une pipe, je trouve que ça vaut le
coup, non ?
Il n’avait pas tort sur ce coup-là, mais ça ne me faisais pas moins me voir comme une
pute…
- Alors ? Dit-il.
- Juste me laissée toucher et une pipe et j’ai les 100€ ?
- Oui, mais devant moi et ses amis.
- …
- Si tu ne veux pas, le billet peux retourner d’où il vient ?
- Non, ça iras.
- Parfait ! Prends-toi un verre, c’est pour moi et vient nous rejoindre ensuite.
- D’accord.
Je commandais un autre verre et le bu petit à petit, regardant le groupe, il y avait
donc cet homme, son frère et 3 copains à lui… Je bu mon verre d’une traite et pris mon
courage à deux mains, descendis de mon tabouret et allait vers le groupe.
- Eric, voilà ton cadeau d’anniversaire.
- Punaise, elle est bonne à crever ! Répondis le frère.
- Si nous sortions d’ici pour aller dans un endroit plus calme ? Dit alors le
grand frère.
- Je vous suis. Dis-je.
Ils se levèrent tous et nous sortîmes du café, c’était tout un ensemble de ruelle, au
bout de l’une d’elle, on pouvait se mettre dans un coin, ce qui se fit.
- Bon, Eric, tu peux la caresser où tu veux, tant que tu veux, ne te soucies
pas, personnes ne passes jamais par ici.
- Bon ça ! Dit-il, rajoutant : je peux l’embrasser ?
- Demande-lui ! Dis-le grand frère.
- Je peux t’embrasser ?
- S’il n’y a que ça pour te faire plaisir… Dis-je.
Il vint près de moi et se mit à m’embrasser, ses deux mains vinrent sous ma jupe,
serrant mes fesses très fort, passant très vite sous mon tee short qu’il relevait à la
vue de ses copains, il détachait avec du mal mon soutien-gorge, le relevant au-dessus
de mes seins… Qu’il se fit un plaisir de prendre en main, de serrer, caresser… Il
détachait ensuite ma jupe, la laissant tomber à mes pieds et puis se reculait, pour me
regarder.
- Regarder les gars, la bombe qui va me sucer !
Je devins un peu rouge, il n’était pas délicat comme garçon…
- Abaisse ton string pour que je voie ta chatte et que mes copains aussi !
J’abaissais mon string à mes chevilles et écartait un peu les jambes, il revint près
de moi pour m’embrasser et ses doigts vinrent jouer avec mon sexe… Très vite il
appuyait sa main sur mon épaule pour me signifier de me mettre à genoux, une fois à
genoux, il sortit son sexe que je n’eut pas le temps de voir qu’il m’enfila dans ma
bouche, il ne me laissa pas le temps de jouer avec, il tenait ma tête par derrière et
faisais des va et viens avec son bassin, il n’avait pas un grand sexe et je pense
qu’il n’avait d’ailleurs pas d’expérience à ce niveau-là, où à tout autre niveau…
Il ne lui fallut que quelques minutes pour venir, lorsque ce fut le cas, il agrippait
ma tête de ses deux mains collant bien ma tête contre lui et se vidait dans ma bouche,
pour 100€ en si peu de temps, je n’allais pas rouspéter ! Il se retirait, essoufflé et
j’avalais sa semence, il voulut se rhabiller et vit qu’il lui restait quelques
gouttes… Je pense que l’excitation un peu descendue, il devint un peu gênée…
- Je pense qu’il aimerait que tu le nettoie. Dit son grand frère.
J’allais alors le nettoyer, et je lui remis moi-même son slip et rattachais son
pantalon, je me relevais et dit :
- Voilà !
Tout en me rhabillant.
- Merci beaucoup. Dit alors le grand frère.
Le petit frère quant à lui, n’osais plus rien dire, à peine me regarder… Quant à ses
copains, eux, ne cessaient de me regarder ! Le grand frère vint près de moi, et me
tendis un papier en me murmurant :
- Si ça te dis de gouter à un plus gros calibre.
Et puis ils partirent tous, me laissant ainsi retourner à mon café… Je retournais au
comptoir recommandant un verre, le serveur me regardait d’une autre façon.
Je recommandais quelques temps après un autre et demandait :
- Que se passe-t-il ?
- Comment ça ? Dit-il.
- Tu me regardes d’une drôle de façon.
- Ne te vexes pas mais tu as été faire des choses avec l’un ou plusieurs de ces
gars avec qui tu es partie, non ?
- Qu’est ce qui te fait dire ça ?
- Je travail ici depuis longtemps, une fille qui a envie de sexe je le vois, une
fille qui part en faire, je le vois aussi…
Je fus surprise et dit :
- Et moi j’en ai envie c’est ça ?
- Oui, tu en as l’air.
- Tu es fort quand même… Dis-je.
- Merci ! Dit-il en souriant.
- On va voir si tu es très fort, sexuellement, tu me vois comment ?
Il me regardait quelques instants et dit :
- Attends, laisse-moi encore un peu t’observer, servir les clients et quand je
suis sûr de moi, je viens te le dire !
- Ok, on fait comme ça !
Il lui fallut une dizaine de minute avant de revenir et me dit, sûr de lui.
- Ne te vexes pas si je me trompe, mais voilà ce que moi je pense, tu es le
genre de fille qui n’a pas de limites mais qui aimes être soumise, tu ne recules pas
devant les défis !
- Ah oui, tu es vraiment fort…
- Donc j’ai raison ?
- Oui. Dis-je.
- Alors je te propose un « pile » ou « face », si je gagne, je fais ce que je
veux de toi, si je perds… Tu pourras boire toute ta soirée gratuite c’est moi qui
arrose et je te ramènerais sans même te toucher ou tenter quoi que ce soit, ça te va.
- Pari tenu ! Dis-je dans la lancée.
Il prit une pièce et me dit :
- Pile ou face ?
- Face !
Il la lança et ce fut face.
- Et bien tu as gagné une soirée gratuite à boire !
- Ça c’est bien !
- Moui… Ca dépend pour qui !
- Tu sais quoi ?
- Non ? Dit-il.
- Tu as deux collègues qui servent, il n’y en a pas un qui pourrait venir au bar
?
- Si pourquoi ?
- J’ai envie que tu me sautes ! Lui dis-je tout bas en m’étant avancée jusqu’à
son oreille.
- J’ai mon appart juste au-dessus du café, sors déjà, je vais venir te rejoindre
dehors.
Je sortis et il vint très vite me rejoindre, il ouvrit la porte et je le suivis à
l’intérieur, il me plaqua contre le mur et très vite m’ôta mon t-shirt et mon soutien-
gorge, ma jupe et mon string… Deux de ses doigts rentrèrent dans ma chatte et puis il
me fit passer devant lui avec une claque magistrale sur les fesses et me dit :
- Allais mon monte, tu m’as excitée assez je vais faire de toi ma petite chienne
!
Arriver devant la porte de son appartement, il ouvrit et me poussa à l’intérieur
gentiment, comme une enragée, je me retournais et sautais sur lui pour l’embrasser, il
me rendit mes baiser et puis me fis descendre, pour me mettre à genoux et le sucer, ce
que je fis !
Son sexe était plus gros que celui pour qui j’avais servis de cadeau d’anniversaire,
ma main avait plaisir à le caresser, et ma langue aussi ! Très vite, je le mis dans ma
bouche, l’entourant bien de tout son diamètre et commençait à faire des va et viens
dans ma bouche, ma langue caressant son gland… Je fis tout pour le faire venir, mais
il tenait très bien ! Je relevais les yeux vers lui, sa queue dans ma bouche, il me
regardait avec son sourire en coin… C’était agaçant, et je me donnais à fond pourtant
!
Il me prit par les cheveux et me releva, me plaquant contre le mur, il relevait une de
mes jambes et très vite m’enfila son sexe dans le mien qui était mouillé depuis un bon
moment, ses coups de reins était fort, et à chacun de l’un deux, j’avais l’impression
que si il me relâchait j’allais finir par m’écrouler ! Il vint assez vite en moi,
lorsqu’il eut finit, il restait encore un peu dedans, ne bougeant plus, je sentais nos
liquides couler le long de ma jambe…
Il me passait des papiers pour m’essuyer et me proposait de m’asseoir dans son divan,
il allait mettre des croquettes à son chien et s’assit à côté de moi.
- Je vais devoir retourner travailler, n’oublie pas que tu as ta soirée gratuite
en alcool aujourd’hui, je te ramènerais après.
- Tu n’as pas envie qu’on fasse un second round ?
- Franchement, c’était cool, mais je me suis bien vidé… Retourne au café, y a
surement un autre qui voudra bien te faire ton affaire !
- T’es vexant et tu crains là !
- Ecoute, pour toi et soit pas vexé mais ce soir en tout cas, un seul homme
n’arrivera pas à faire l’affaire…
- Tu n’as peut-être pas tort en fait…
- J’ai une proposition à te faire ! Me dit-il.
- Je t’écoute…
- Elle est tout ce qu’il y a de plus sérieuse, on redescend au café, tu trouves,
où je te trouve un groupe de type avec qui tu peux t’amuser, tu te lâches, tu fais
tout ce que tu veux, mais tu te donnes à fond, tu te vides de toute ses envies…
- Avec plusieurs types ?
- Oui.
- Et ensuite, quoi ?
- Tu reviens ici, je finis mon service, on rentre chez moi, on prend une douche
et on se met ensemble.
- Tu es sérieux ?
- Oui, dans tout ce que j’ai dit que j’ai vu en toi, j’y vois une grande soif
d’amour, alors fais toi plaisir une dernière fois, car si tu le souhaites, après tu ne
pourras plus.
- Je ne m’attendais pas à ça…
- Alors ?
- D’accord.
- Allais vient, on redescend.
Je me rhabillais et on descendit, je le laissais rentrais dans le café et j’allais
boire un verre ailleurs, là je me mis à une table, seule, 3 garçons vinrent et me
firent la conversation. Comme d’habitude ça tournais autour de « tu es seule ? » chic
chac… J’en avais marre de parler, alors je dis :
- Les gars, j’ai une sacrée envie ce soir… Que diriez-vous un plan à quatre ?
Vous me demandez ce que vous voulez et ce sera d’accord.
- Tout ? Me demanda l’un d’eux.
- Tout !
- Où est l’embrouille ? Demanda un autre.
- Il n’y en a pas, je vais bientôt me mettre en couple, j’aimerais réaliser le
fantasme d’être prise par plusieurs hommes et faire tout ce qu’ils veulent sans limite
car je ne pourrais peut-être jamais le faire après.
Ils me regardèrent tous les trois et ils se mirent d’accord, on finit par partir du
café et on allait dans l’appartement de l’un d’eux, par rapport à moi, ils étaient
tous grands, deux étaient plus basés… Ils s’asseyaient et me dirent alors :
- Allais à poil ! On va te donner de la bite tu vas voir !
Je me mis face à eux et retirait mon t-shirt… Ma jupe suivit ainsi que mes sous-
vêtements !
- Putain elle est bonne, c’est notre soir de veine ! Dit alors un des trois.
- Tout ce qu’on veut ? Me demanda un autre.
- Oui, tout !
Le troisième dit alors :
- Sans limite, sur et certaines ?
- Oui, sur et certaine ! Répondis-je.
- Vient ici petite pute. Me dit-il alors.
Il me fit me mettre à genoux et je dû le sucer, celui-ci avait un gros sexe mais se
vida vite dans ma bouche, le second lui tint plus longtemps et le troisième lui fut
plus ou moins pareil que le second.
- Qu’elle bouche à pipe…
- Oh oui ! Dis un autre.
- Un vrai garage à sperme sa bouche !
- Tu sais ce que j’aimerais ? Me demanda alors le second que j’avais sucée.
- Non ?
- J’aimerais que tu te fasses sautée par son chien !
Je devins évidemment toute blanche ! Alors qu’il se levait et partait pour revenir
avec un seau et me dire :
- Je rigole ! Don’t panik ! Tiens.
Me dit-il en me tendant un seau plein de pince à linge.
- Euh ? Vous voulez que je mette pendre le linge ? Dis-je l’air étonnée tenant
le seau dans la main.
- Non, je veux que tu fasses ça. Dit-il en prenant une pince et la mettant sur
l’un de mes bouts.
- AAAAAAH !
- Tu les mets un peu partout sur ton corps, nous on va te regarder en rigolant
un petit peu.
A mon avis, je du devenir toute blanche malgré mon excitation déjà la première pince à
linge me faisais horriblement mal, alors en avoir d’autres que je devais mettre moi-
même je n’osais pas imaginer la difficulté et surtout la douleur que j’allais
ressentir !
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