On ne change peut-être pas ? 7 - 2ème partie et fin

- Par l'auteur HDS Totos -
Récit érotique écrit par Totos [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : On ne change peut-être pas ? 7 - 2ème partie et fin Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-12-2012 dans la catégorie Plus on est
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On ne change peut-être pas ? 7 - 2ème partie et fin
Je restais là, face à eux, n’osant bouger, n’osant mettre la première ou plutôt la
seconde pince à linge sur moi… Ils me regardèrent, attendaient et puis l’un me dit :
- On va t’aider, pour moi, tu vas mettre la seconde pince à linge sur ton autre
bout, prends en une.
Je pris une pince à linge et puis il dit :
- Amène là près de ton bout, voilà c’est bien, ouvre là, voilà c’est bien, place
là, voilà c’est bien, n’aie pas peur, au décompte tu la relâche ! 3… 2… 1… Maintenant
!
- AAAAAAAH, criais-je après avoir relâché la pince à linge.
- Tu vois ce n’est pas bien dur ! Me dit-il souriant.
- Maintenant tu prends une autre pince à linge et tu l’amène près de l’une de
tes lèvres… Me dis alors un autre.
- …
- 3…2…1… LACHE ! Cria-t-il.
- AAAAH. Criais-je laissant les larmes coulées.
- C’est bien, tu peux être fière de toi !
Et le dernier fit pareil, sur ma seconde lèvre, qui m’arrachait une fois de plus un
nouveau cri.
- Tu aimes bien le sperme, non ?
- Oui… Dis-je.
- Caresse toi le clito ma chienne pendant que tu nous réponds ! Dis un autre.
- Donc, on a une surprise pour toi ! Comme t’aimes bien sucer, tu vas
recommencer ! A genou ma salope !
Je me mis à genoux et un vient devant moi, il me présenta sa queue que je pris en main
et me mis très vite à masturber pendant qu’un autre partit, je m’appliquais du mieux
que je pouvais, il me tenait par les cheveux, après un long moment, bien que
concentrée j’entendis « ça va arriver ! » il me retirait me laissant ainsi et versa
son sperme dans un bol, c’était vraiment à la mode on dirait les bols !
Le second vint devant moi et ça repartit pour un tour ! Celui-ci, me mettait des
petites gifles au visage, suivit de mots crus, et à son tour il annonça qu’il arrivait
et versait dans le bol…
Le troisième vint ensuite à son tour, lui ne me dis nul mot, ne me tenait pas, il me
regardait un peu avec dénis, au lieu de dire qu’il arrivait, il mit la paume de sa
main sur mon front et me poussa en me disant « allais dégage » ces deux mots eurent un
effet excitant sur moi incroyablement puissant ! Il se vida dans le bol à son tour.
Tous les trois debout, moi au sol, ils partirent un rien plus loin, où il y avait plus
d’espace dans le salon et déposèrent le bol entre eux trois, je compris sans qu’on me
le dise que je devais aller m’abreuver, à 4 pattes je me dirigeais vers là et
j’entendis juste un « vas-y » et je sortis ma langue pour aller recueillir le sperme
mélangé de mes 3 comparses dans le bol. Je vis qu’un partit mais je continuais à boire
mon dû.
Lorsqu’il revint j’entendis « tenez » mais ne relevais pas la tête.
Je n’eut de toute façon pas le temps car je reçu comme des coups de fouets un peu
partout sur le corps, je continuais à boire bien que je poussais par moment des petits
cris, lorsque ce fut finis, l’un d’eux me dis que j’étais « une brave fifille ».
Il me relevèrent et m’amenèrent dans ce qui était la partie cuisine, me couchant sur
la table, sur le dos, mes bras furent attachés au deux pieds de la table et mes pieds
aux deux autres, j’étais à leur merci en quelque sorte, même si au final, l’envie
était là et je ne me débâtais pas le moins du monde ! Un d’eux revint avec mon string
et me le poussait dans la bouche, il avait une forte odeur, ce qui aurait été bizarre
dans le cas contraire !
Celui qui m’avait mis la première pince sur le bout, la retira, ce qui relançait les
douleurs en moi ! Il fit pareil avec l’autre bout et puis avec celles de mes lèvres,
ils se mirent tous les 3 à me caresser ce qui mélangeait douleur et excitation !
- Attendez les gars, continué ! Je viens de penser à un truc ! Dit alors celui
qui habitait là en partant.
Il revint et je ne vis pas ce qu’il avait en main ne sachant pas me redresser.
- C’est à ta femme ?
- Oui ! On va bien rire je pense, surtout qu’elle est excitée cette petite
salope, on va l’aidée à ne pas faire redescendre ça !
- J’ai une autre idée avant ! Dis alors un autre qui vint se mettre entre mes
jambes.
Je sentis ses doigts faire des petits tours dans autour de mon anus, le forçant, je
fis signe que non de la tête, celui qui n’avais rien dis palpait mes seins et le
dernier m’enfilait deux doigts dans ma chatte… Je commençais à sentir ses doigts
rentrer dans mon anus, après un bon moment, il en avait 2 en entier dedans et fit
assez vite venir un troisième dedans, les autres étaient toujours au même occupation !
Alors que ses 3 doigts étaient en moi, il fit en sorte d’écarter mon anus le plus
possible et puis les retirait… Il se bougea et revint avec quelque chose qu’il
appuyait contre mon anus.
- Enculée par un concombre ! Dit alors celui qui me pelotait les seins.
Il poussait et fit finalement rentrer le concombre au plus profond qu’il se pouvait,
m’arrachant un cri camoufler et faisant ressortir les larmes une fois de plus, il fit
des va et viens dans mon cul avec et puis s’arrêta, le laissant au plus profonds qu’il
était.
Celui qui s’était amusé à me doigter s’arrêta et poussa un gode contre ma chatte qu’il
n’eut aucun mal à faire rentrer dedans malgré son épaisseur, lorsqu’il le mit en
marche je compris qu’en fait c’était un vibromasseur.
Lorsque le concombre et le vibromasseur furent installer, je les vis me « contempler »
ou plutôt contempler leur œuvre, et ils partirent dans le salon jouer à la console et
boire me laissant ainsi…
Alors que je les entendaient parler, rire et surement boire, j’étais sur cette table
concombre dans mon cul entrain de sentir l’excitation montée de plus en plus, l’un
vint dans la cuisine et pris des glaçons, pour s’amuser retirait le vibromasseur et
m’en plaça plusieurs dans la chatte que je sentis fondre et que peu de temps il revint
combler le vide par le vibromasseur…
Je les entendis après un long moment recommencer à parler de moi.
- On ferait bien quoi les gars ?
- Moi j’ai envie de la baiser cette salope !
- Moi aussi…
- On ne s’amuserait pas encore un peu avec ?
- On peut s’amuser avec après l’avoir baisée aussi, non ?
- Oui, pas faux ! Vous proposez quoi ?
- J’ai l’impression qu’elle n’a pas de limite !
- J’ai la même impression.
- Moi j’aimerais bien lui pisser dessus !
- Enh tu es dégueulasse. Dis les deux autres presque en cœur.
- On fait ça à la fin hein, quand on la bien baisée, sérieux, avec toutes les
connasses qu’on est tombés dessus, ça serais un moyen d’évacuer notre haine, non ?
- Oui, ne t’as pas tort là…
- De toute manière, elle accepte tout, la petite là ! Donc on fera ça, dis le
troisième.
- Et vous, vous avez quoi comme idée ? Dit alors celui qui avait lancée l’idée.
- On la baise, on la fait se rhabiller, puis on la met sur l’ordi, je connais un
chat ou les types on des idées de malades, elle devra faire tout ce que l’un de ces
types-là dis, sous nos yeux !
- Ah ah pas mal !
- Et toi ?
- Moi j’ai pas d’idées, dis le dernier…
- Allais hein ! t’es pas marrant…
- Bah, on a qu’à la faire aller sur le tapis, le mettre en marche et lorsque
c’est à la vitesse le plus rapide on lui met des coups de fouets sur ses fesses et
jambes…
- Et si elle ne tient pas le coup ?
- Aucune idée …
- On demandera à un type du chat !
- Bonne idée !
Ils se mirent tous les 3 à rires et puis l’un d’eux vint près de moi, il me retirait
mon string de la bouche en me disant : « ouvre grand la bouche », ce que je fis et il
cracha dedans, me regardant avec un large sourire avaler.
Il me retirait ensuite le concombre qu’il me mit en bouche pour que je suce, et pour
finir le vibromasseur avec lequel il fit pareil.
Lorsque ce fut fait, il me détachait, il m’aida à me relever et une fois debout me mit
une fessée en me disant :
- Allais en sel !
Je partis vers ses deux copains et enjamba l’un d’eux en détachant ensuite son
pantalon, je mis sa queue dans mon sexe et commençait à bouger, faire les va et viens
dedans, ses mains seraient très fort mes fesses, son ami lui seraient très fort mes
seins, il finit par venir en moi et son pote qui s’amusait avec mes seins me retirait
et me jetait sur le divan, écartant mes jambes et les mettant sur ses épaules, une
fois que ce fut fait, il se penchait vers moi, insérant son sexe dans le mien et
m’agrippant par les fesses, les va et viens étaient fait sans relâche et il vint lui
aussi très vite en moi, lorsque ce fut fini le dernier me fit signe de venir m’appuyer
contre le divan. Il me tapota l’intérieur des jambes pour que je les écarte et il me
prit en levrette, me tenant par les hanches me donnant de temps en temps une fessée,
le premier vint devant moi et me présenta sa queue que je mis en bouche, il la retira
lorsqu’elle fut redevenue dur…
Celui qui me prenait prit un peu de temps mais finit par venir en moi, le premier me
dis :
- Par terre à 4 pattes !
Je me mis à 4 pattes au sol et il se plaça derrière moi, sa queue contre mon anus, il
n’eut pas trop de mal à l’enfoncer, les va et vient se faisaient.
- T’aime bien te faire prendre hein ?
- Oui !
- Dis-le que t’es une grosse salope.
- Je suis une grosse salope.
Il se mit à rire continuant à me sodomiser des plus belles, un des deux autres me
mettait des petits coups de fouets sur le dos, le dernier lui, reprenait des forces…
- Hum, je sens que ça arrive ! Je vais te remplir !
Et c’est ce qu’il fit, serrant très fort de ses mains mes hanches, il me remplit le
cul de son foutre, le second vint se placer derrière et reprit le flambeau, comme la
première fois des petits cris sortirent de ma bouche, celui qui vint de m’enculer,
vint s’asseoir devant moi, la verge tendue prit ma tête pour que je suce son foutre et
que je « goute » mon cul comme il me le dit avec tant de « douceur ».
Lorsque je l’avais nettoyé assez à son gout, il s’amusait à me mettre des petites
gifles, le second, peut-être excité par la scène vint ensuite en moi…
- Mais quel garage à bite cette chienne !
- Vient te faire sucer, c’est encore mieux en la voyant se faire enculer !
Et il vint se placer à la place de l’autre…
Je ne sentis pas le dernier derrière moi, ce qui n’était pas plus mal car je
ressentais vraiment une énorme douleur à mon anus… Puis soudain je sentis quelque
chose de froid dessus et il vint devant moi me présentant une cuillère à soupe pleine
de sperme.
- Tu vas me dire ce que tu en penses, c’est une recette spéciale faite par mes
deux amis dans le cul d’une grosse salope !
J’ouvris la bouche et il me mit la cuillère à l’intérieur, je repris le liquide et
l’avala.
- Alors, qu’en penses-tu ?
- C’est bon… Dis-je un peu à contre cœur.
- Génial, après tu gouteras la recette de trois !
Il vint derrière moi et s’en délicatesse, m’enfonça son engin dans mon cul alors que
je me mis à sucer le second, il finit très vite et puis avec la cuillère reprenait les
sperme mélangés et vint me faire gouter jusqu’à ce qu’il n’y en ait presque plus.
- Tu es vraiment une grosse salope tu sais ça ?
- Oui…
Il partit et revint avec une nuisette noir et puis me dis :
- Viens avec moi.
Les deux autres suivirent alors que lui me tirait par le bras, il me fit rentrer dans
la douche et prit le pommeau, il fit partir l’eau sur moi, elle était gelée, il me fit
signe de ne pas bouger, ce qui était très dur.
- Des filles sales comme toi il faut les nettoyer !
Un de ses copains passait avec un gant de toilette savonner sur mon corps, à certain
endroit il prenait plaisir à palper.
Alors qu’il me rinçait avec le pommeau, il mit sa main sur mon torse me plaquant
contre le mur et mit le pommeau contre ma chatte, me caressant avec… Alors que
l’excitation était redescendue par le froid de cette eau, elle remontait à présent…
Il arrêta et m’essuya, il me fit faire une queue à mes cheveux et j’enfilais la
nuisette, on retournait dans le salon et là il me dit :
- Nous t’avons créée un compte sur un chat, tu verras qu’il y a des drôles de
bonhomme dessus, dès que tu seras connectée, beaucoup vont venir te parler, on les
trieras avec toi et on te dira auquel tu dois faire tout ce qu’il dit, évidemment tu
mettras la webcam, nous on te regarderas du côté.
- Ca ne peux pas être pire que vous je pense…
- Oh détrompe-toi, je pense que certains sont très inventifs !
Je lançais la connexion, et une fois connectée je vis que mon pseudo était « Salope-
en-chaleur37 »
Comme prévu, beaucoup de mecs vinrent me parler, jusqu’au moment où ils me dirent :
- Lui tu lui parles !
La phrase que l’homme derrière l’écran m’avait écrite était :
« Bonsoir, alors comme ça tu es une salope en chaleur ! Je me ferais un plaisir de
voir ça et de te faire tester quelques trucs. »
- Coucou. Dis-je.
- Bonsoir on dit lorsqu’on est polie. Me répondit-il.
- Bonsoir… Répondis-je.
- Alors comme ça tu es une salope en chaleur ?
- Oui…
- Met la webcam.
J’enclenchais la webcam et la sienne se mit en même temps, je vis face à moi un vieux
bonhomme, j’étais un peu dégoutée sur le coup.
- Quel joli haut tu as ! Me dit-il.
- C’est une nuisette.
- Qu’est-ce que tu attends pour l’enlever ? Je ne peux pas t’acheter un cerveau
hein !
Je me levais et retirais la nuisette, face à un ordi qui retransmettait à ce vieux
bonhomme mon corps.
- Qu’elle petit seins ! Approches les de la webcam que je les vois.
Je les approchais et je vis qu’ils les regardaient intensément.
- Montre-moi ton petit minou ma petite chatte.
Je pris la webcam et la dirigeait vers mon sexe, je le vis taper et dire :
- Ecarte les jambes, écarte là que je la vois bien.
Ce que je fis, derrière son pc, il avait l’air tout bonnement ravis.
- Retourne-toi, j’aimerais bien voir ton postérieur !
Je me retournais et je vis qu’il appréciait le spectacle.
- Aurais-tu une banane ? Me dit-il.
- Dis que tu as un concombre ! Dis l’un de mes 3 « amis »
- J’ai un concombre.
- Qu’attends-tu pour aller le chercher ? Tu ne sais donc rien faire toute seule
?
- J’arrive…
Je partis chercher le concombre qui avait visité mon anus et revint, je le lui
montrais et il écrit alors :
- Ramone toi la chatte ma belle.
Face à la webcam je faisais des va et viens avec le concombre en moi.
- Tu sais ce que j’aimerais ?
- Non ?
- Mais à mon avis tu serais trop bête pour accepter.
- Quoi ?
- J’aimerais te voir te faire ramoner par un chien.
- Il n’y en a pas ici ! Répondis-je.
- Dommage, tu aurais osé ?
- Je ne sais pas …
- Réponds-moi !
Alors que je ne savais pas quoi répondre, l’un de mes amis dit :
- Coupe moi ce pc j’ai envie de te baiser !
Je coupais tout sans dire au revoir et je vis qu’il se couchait dans le divan, je
montais sur lui et enfourcha son sexe, celui qui habitait l’appartement vint derrière
et rentrait dans mon anus quant au troisième, qui ne semblait pas vouloir rester là
vint présenter son sexe à ma bouche…
Ils se mirent à me prendre, m’arrachant des cris entre les deux suçage de queue,
j’avais les larmes tellement la douleur était forte, celui qui était dans mon cul se
vida assez vite et vint se faire remplacer par celui que je suçais, reprenant des plus
belles, lorsque le premier se vida dans ma chatte, il proposa à celui qui avait
arrêter un peu avant de venir prendre le relais… Et ils tournèrent comme ça en moi
longuement, à chaque fois mes fesses furent serrés très fort, giflé, mes seins de
même, les bouts tirés, tordus, lorsqu’ils furent chacun le tour de mon corps, ils se
bougèrent me firent descendre du fauteuil, me laissant par terre comme un vieux déchet
et eux se laissèrent aller à reprendre leur souffle.
Je n’avais plus de force, toute mon énergie venait de s’envoler… J’avais juste envie
de m’endormir là, par terre, même si il venait me baiser à nouveau, ce n’était pas
grave, tant qu’il me laissait dormir ! Mais le dernier qui m’avait baisée, n’avait pas
eu assez.
Il se releva et me prit par-dessous le bras et me dit :
- Vient j’ai un dernier truc à faire.
Alors que je me relevais tant bien que mal, il dit aux autres.
- Venez-vous aussi !
Il me fit rentrer dans la baignoire et me dit :
- Mets-toi à genoux et caresse toi la chatte petite trainée !
Ce que je fis immédiatement alors qu’il dirigeait sa queue dans ma direction et se mit
à faire vidange sur moi, les autres semblèrent trouver ça marrant et firent de même…
Lorsqu’ils furent passés tous les 3, ils me regardèrent et le premier dit :
- Sérieusement, ça ne soulage pas de toutes les putes qui nous ont fait du mal ?
- Sérieux, si !
- Ce n’est pas contre toi, mais on avait besoin de se relâcher !
- Vous… Ne vous inquiétez pas… Dis-je alors, ajoutant : Au moins, j’aurais
essayée cette pratique là aussi.
- Bon, douche maintenant ! Dit celui à qui appartenait l’appart.
Il fit couler l’eau toujours aussi gelée sur moi pour m’évacuer tout leur liquide et
me dit :
- Continue à te caresser !
Lorsqu’il arrêta, il me fit me relever et m’amena dans une autre chambre, qui en fait
était une pièce qui aurait pu être une chambre, il me mit sur un tapis comme l’on voit
sur les salles de sport et le mit en marche, à ce moment-là, je marchais dessus car il
n’allait pas vite.
- Habitue-toi, car ça va augmenter et lorsque tu seras à la vitesse maximum, si
tu ne tiens pas 5 minutes, tu auras un gros gage !
Les vitesses augmentèrent au fur et à mesure et je recevais des coups de fouets sur
les fesses, l’arrière des jambes, le dos, parfois sur les mains pour m’obliger à
relâcher… J’en reçu même sur la chatte !
Et nous arrivâmes à la dernière vitesse où je courrais, bien que j’en aie plus la
force ! Je recevais toujours les coups sur les parties de mon corps et je finis par
lâché volant hors du tapis. Mais sans me faire de mal… Fort heureusement !
- Désolée. Dis-je sans trop savoir pourquoi !
- Ce n’est pas grave. Me dit alors celui qui habitait là.
Ajoutant.
- Tu vas retourner dans la douche…
- D’accord…
- Je n’ai pas fini, et tu feras un bon gros caca et puis tu te rouleras dedans !
- …
Je fus prise de peur et j’allais dans la douche, je me mis en position et ils se
mirent à rire…
- C’est pour rire ! hein !
- Ah ah… Fis-je ironiquement.
Ils m’en firent sortir et m’attachèrent les mains dans le dos… Un me fit m’asseoir sur
ses genoux et prit le vibromasseur qu’il replaça dans ma chatte, un second revint dans
la cuisine avec un seau plein de glaçon…
Au final, ils s’amusèrent à placer le plus de glaçon dans mon anus, les faisant fondre
jusqu’à ce qu’on ne sache plus rien faire des glaçons qui restaient dans le seau, ils
finirent par me libérer les mains et retirèrent le vibromasseur de ma chatte et me
mirent au sol.
- Baiser moi ! Dis-je alors.
- Non, plus envie… Me dirent-ils.
- Putain, je vous en supplie, j’ai encore envie !
- Va te faire baiser par un type dehors hein, me dis un autre.
- Svp… Insistais-je en me caressant.
Celui qui habitait là, se relevant et puis se pencha vers moi, et dit :
- On va te baiser une dernière fois petite salope, couche toi les jambes
écartées on va venir s’occuper chacun notre tour de ta petite chatte en feu, ensuite
tu nous nettoieras la bite, chacun notre tour avec ta bouche à pipe et tu te mettras à
4 pattes pour qu’on vienne t’enculer. Après ça, tu iras prendre une douche froide et
te rhabilleras, on te ramènera. Ça te convient ?
- Oui ! Merci ! Dis-je souriante et soulagée.
- Mais avant ça, tu vas mettre des pinces à linges à chacun de tes bouts et deux
à chacune de tes lèvres de ta chatte, tu mettras tes mains de branleuses sur la tables
et écarteras tes jambes, on te fesseras chacune de tes fesses 30 fois, tu compteras et
si tu te trompes on recommencera à 0. Est-ce que ça te va ? Si tu veux te faire baiser
tu devras passer par là.
- Oui… Je suis à votre service !
On m’amena le seau de pince à linge et je mis la première sur mon premier bout, me
mordant les lèvres pour ne pas crier, pareil pour le second… Bien que je poussais des
petits cris et que les larmes coulaient, je continuais, j’étais toujours beaucoup trop
excitée, alors que je mis les pinces à linges sur mes lèvres unes à unes et que les
larmes coulaient des plus belles, je les vis un peu « m’admirer » ou du moins mon
courage, ils m’applaudirent même.
Tant bien que mal, je partis vers la table avec toutes mes pinces à linge et surtout
j’avais mal à mon cul suite aux sodomies ! Un prit un autre seau de glaçon dans le
congèle et m’en plaça 3 dans le culs, puis dis :
- Prête ?
- Oui…
- C’est parti ! Clap
- 1…
- Clap !
- 2…
- 3… 4… 5… 27… 28… 29… 30…
Le second vint à son tour et remplit mon cul de glaçon et je me remis à compter…
Le dernier vint et fit pareil…
- Clap…
- 30… Merci…
- Ah ah, tu nous remercies, même ! Une vrai petite trainée !
Ils me redressèrent face à eux et m’enlevèrent les pinces à linges, la douleur qui
parcourus mon corps fut tel que les larmes se remirent à couler des plus belles !
- Va dans le divan, couche-toi et écarte les jambes !
Je partis sur le divan et me couchais, j’écartais les jambes et le premier vint,
rentrant sa bite sans difficulté et me baisant, sans même me caressant rien, il me
laminait la chatte et se vida après un bon moment, le second vint à son tour et lui
mit à nouveau mes jambes sur ses épaules, le premier vint se faire nettoyer et le
second me lamina à son tour, lorsque ce fut fini, le 3ème vint donner de sa personne
en moi, pendant que le second se faisait sucer… Lorsque ce fut fini, je suça le 3ème
et le premier me dit.
- A 4 pattes qu’on en finisse !
Je me mis à 4 pattes tant bien que mal, en fait, je n’avais plus du tout l’énergie,
j’avais mal partout et mes fesses brulaient incroyablement !
Ils passèrent chacun leur tour et se vidait en moi, ils refirent le coup avec la
cuillère et lorsque ce fut fini, je n’avais plus la force de bouger, je restais dans
la position 4 pattes… Eux affalés dans le divan, ils me dirent :
- Va prendre une bonne douche, apprête toi, souffle, j’espère que tu auras eu ce
que tu voulais ?
- Oui ce fut parfait… Même si je pense que je vais dormir quelque jour d’affilé
!
Je partis me laver et un vint me rejoindre.
- Je vais te ramener, je me lave aussi comme ça après on y va.
Il m’embrassait et jouait un peu avec ma chatte…
- Ta chatte va me manquer !
On sortit de la douche et on s’apprêtait, je fis signe aux autres que je partais, ils
me firent signe pour dire au revoir et le dernier me ramena dans la ruelle des cafés,
enfin chez mon nouveau futur copain…
Je sonnais à la porte et il m’ouvrit, je montais les escaliers et la porte était entre
ouverte, je l’ouvris et je vis tout un chemin de fleur que je suivis, j’arrivais dans
sa chambre et là, il me dit :
- Bienvenue, prête pour commencer une nouvelle vie amoureuse ?
- Oui… Dis-je avec le sourire.
Et c’est ainsi que je commençais une nouvelle vie amoureuse, où je me donnais juste à
mon partenaire… *FIN*

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