On ne devient pas pute... on l'est !
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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On ne devient pas pute... on l'est !
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Tatie France, la sœur de maman et son copain Jérôme sont repartis ce matin après avoir passé une semaine a la maison … j’ai encore des courbatures entre les cuisses …et ce n’est que le début, je vais vous expliquer pourquoi
Tatie a trente deux ans, Jérôme trente, moi ? Léa dix sept et demi, je vais au lycée dont la rentrée vient juste d’avoir lieu, il fait encore un temps d’été, je dis ça parce que Jérôme a une voiture de sport rutilante, décapotable rouge, une BMW je crois ?
Par contre comment a-t-il put se payer ça étant donné qu’il est au chômage, ça reste un mystère que personnes ne cherche à élucider …mais moi je sais pourquoi…
Pour faire rager mes copines je lui ai demandé de venir me chercher a la sortie des cours
- Ce soir mon copain Jérôme vient me chercher avec une chouette bagnole
- Qui c’est ce Jérôme ?
- Seulement un copain
- Tu couche avec ?
- Vous êtes curieuses ! Vous voulez tout savoir ? Ben oui, c’est mon amant !
- Menteuse !
- Vous verrez bien ce soir …
Qu’est ce m’a pris d’affirmer ça ? Que faire ? Elles vont se bousculer au portail pour me voir embarquer dans ce cabriolet …j’espère qu’il viendra seul
Effectivement a dix sept heures nous sortons, mes copine ne me lâchent pas, il est là, au volant de son bolide, jeans serré, chemise blanche ouverte sur un torse velu, lunettes de soleil au top, il a tout pour lui, les copines parlent entre elles a voix basse, elles en bavent de jalousie !
- Alors ? Tu ne lui saute pas au cou Léa ??
- Vous allez voir ce que vous allez voir, salut, a demain les chieuses !
- Bonne baise la pute !
- Connasses …
Je roule des hanches en marchant vers la voiture dont Jérôme a ouvert la portière, a genoux sur le siège de cuir je me vautre sur lui, étonné il essaie de se reculer …
- Ne me repousse pas, embrasse moi, j’ai fais croire a mes amies que nous étions amants
- Quoi ?
- Va-y idiot donne moi tes lèvres…
Il cède et brusquement ses lèvres s’entrouvrent sa langue force ma bouche qui s’ouvre, sa salive au goût mentholé se mélange a la mienne, nos langues se livrent un combat acharné, nous somment pris par un véritable patin amoureux, je serais restée ainsi longtemps mais Jérôme revient a la réalité et me repousse brutalement, je me retrouve contre la portière les quatre fers en l’air, la robe retroussée au nombril
- Es tu folle ? Partons vite d’ici avant que je ne me fasse remarquer
La voiture démarre faisant crisser les pneus, je reste ainsi sans me soucier si ses yeux s’attardent trop longuement entre mes jambes, nous sortons rapidement de la ville
- Excuse moi mais je ne peux me permettre d’être vu avec une gamine, ceci dit tu embrasse bien pour ton âge
- D’abords je ne suis pas une gamine, je vais avoir dix huit ans, merci quand même pour le compliment, c’était agréable pour moi aussi, où allons nous ?
- Tu veux sentir l’air caresser ta poitrine ? ta tatie adore ça
- Que fait-elle pour ça ?
- Elle enlève le haut tout simplement
- Chiche ?
- Chiche !
En moins de deux, je fais glisser les brettelles de ma robe et de mon soutient gorge en même temps, mes seins arrogants se dressent sous ses yeux ébahis, je ne lui laisse pas le temps de me reluquer
- ACCÉLÈRE !!
- Toi au moins tu n’as pas froid aux yeux, j’aime ça …cent trente … cent cinquante !! ça fait du bien ? ça fouette tes mamelons
- Regarde mes tétons ils parlent pour moi !! pourquoi ralentis-tu ?
- A cause des flics et parce que je vais tourner dans un chemin de terre
- AAH ???? pourquoi ?
- Nous allons parler sérieusement, reste ainsi Léa, laisse moi admirer tes cuisses
- Tu vois bien plus que mes cuisses profiteur ! mon corps te plait ?
- Je crois que oui mais je dois être sûr …
La BMW stoppe sous un arbre à l’écart de la route, je sens la mouille sourdre lentement de ma chatte, placé comme il est il va voir l’auréole se former sur mon slip sage d’étudiante sérieuse
- Ça te plairait de travailler pour moi Léa ?
- Dans quelle branche ?
- En ville je possède un grand appart où logent trois filles, juste un peu plus vieilles que toi
- Qu’y font-elles ?
- Comment croit tu que je me suis offert ce bolide ? je passe tous les soirs chercher mon dût, si tu veux en quelques mois tu peux t’offrir le même …
- Ne me dis pas que tu fais …
- Maquereau ? si !
- Ça alors ? c’est dur comme boulot pour ces filles ?
- Un vrai paradis ! déshabille-toi entièrement
- Tu veux me tester ?
- Oui, montre-moi ton corps …
Tandis qu’aussi angoissée qu’excitée j’obtempère, il appuis sur un bouton, le dossier de mon siège se renverse lentement m’offrant un lit de cuir brulant, Jérôme ramasse mon slip taché et respire longuement mon odeur intime
- Muuuuuuummmm, ‘ils’ aimeront ce parfum de vierge ces vieux cochons, tu fais souvent l’amour ?
- Boff, de temps en temps avec des copains
- Tu en change souvent ?
- Je n’aime pas rester longtemps avec le même
- C’est un signe… tu fais tout ?
- Tout ? comment ça ?
- Par l’anus aussi ?
- Ça non alors !
- Ne dit pas ça si tu n’as jamais essayé, je peux te mettre un doigt dans ton petit trou pour étudier ta réaction ?
- Eeeeuuuuuhhh...
- Tourne-toi et lève tes fesses, VITE !
- Jérôme ! ne me fait pas mal je t’en supplie, je veux bien faire l’amour avec toi …
- Mais nous allons tout faire ma chérie, écarte les cuisses que je vois bien ta cible …il bat comme un petit cœur ce p’tit trou, tu va voir comme ça fait du bien par là aussi, relâche toi... j’enfonce un doigt ….
- Aaaaahhh …. Oohhh ….Huuuuuummmmmmm, c’est booooooonnnnnnnnn ! elle est grosse ta verge ?
- Je viens justement de la sortir, regarde mon outil de travail….
- Wouaaah ! qu’elle est poilue !
- A propos de poils tu te raseras entièrement, les hommes aiment les chattes imberbes
- Mais je n’ai pas encore dis que j’acceptais de faire la pute pour toi ?
- Lorsque tu sentiras l’odeur des billets tu changeras d’avis ma poule, tu veux me montrer tes talents de suceuse ? juste une minute, je n’ai pas l’intention de décharger dans ta bouche, prend là en main … décalotte moi … aaaaaaahhhhhhoooooouuuuuiiii, avale mon nœud, passe bien ta langue sous le gland …aspire ma sève …arrête ! tu vas me faire juter ! fout-toi à quatre pattes, expose bien ta lune a mes yeux et a ma queue ! tu es ouverte petite salope ! accoude-toi au dossier arrière, je viens dans ta chatte…
- Ouuuuuuuhhhhh c’est grooooooos !
- Il faut que tu reste toujours lucide, ne te laisse jamais envahir par le plaisir ou les sentiments sinon le client feras de toi ce qu’il voudra
- Mais ta bite est trop bonne pour que je ne prenne pas de plaisir Jérôme !
- Pour cette fois lâche toi, mais souvient toi toujours de ça
Il me ramone merveilleusement la chatte, jamais mes copains ne m’ont baisée ainsi, sa queue sait trouver les endroits les plus sensibles de mon vagin, je vais jouiiir …
- Mais ? pourquoi te retires-tu ??
- J’ai senti que allais jouir, c’est trop tôt, c’est le moment de tester ton cul, je vais le tartiner de mouille ça va rentrer tout seul… j’ai deux doigts dedans ça te fait mal ?
- Non …
- Trois …
- Toujours pas...
- Alors voilà mon membre….
- Aaaiiiieeeeeeee !...
Je sens mon petit conduit se dilater sous la poussée lente mais inexorable de son manche, heureusement la douleur s’estompe vite
- Pousse relâche tes muscles…et hop ! c’est rentré !
- Ah bon ? entièrement ?
- Presque, je te laisse t’emmancher toute seule…apprend toi à percevoir les sensations de ton anus
Petit a petit j’accélère les vas et viens, ce salaud a trouvé mon clitoris et le fait rouler sous ses doigts, cette fois je vais jouir pour de bon, cette fois il ne tente rien pour stopper le processus d’un orgasme violent qui me submerge au moment ou il me balance son jus dans les entrailles, il reste en moi le temps que je reprenne mes esprits, soudain un bruit de moteur se fait entendre …une voiture se gare a proximité, un homme bien habillé mais bedonnant en descend
- Vite ! Rhabillons-nous voilà quelqu’un
- Et si c’était ton premier client ?
- Tu veux que je baise avec un inconnu quelconque ?
- Ce seront tous des inconnus plus ou moins banals, ne bouge pas il approche
Je tente de me dissimuler comme je peux mais l’homme n’est pas dupe, il sait très bien que je suis nue, il fait semblant de se promener mais en réalité il veut nous mater
- M’sieurs dame …
- Bonsoir monsieur, on se promène ?
- Oui, j’adore les sous-bois à cette saison
- J’ai quelque chose à vous proposer, approchez, soyez sans craintes
- Elle est belle votre femme
- Ce n’est pas ma femme, c’est une ‘fille de joie’
- Ah bon ? une pute ? elle est très jeune
- Elle a l’âge qu’il faut pour tirer un bon coup
- C’est combien ?
- Combien prends-tu au monsieur chérie ?
- Eeeeuuuuuhhh … cent euros ?
- C’est donné mais bon, c’est ta décision Léa, profitez en monsieur, elle est chaude comme la braise
- Vous venez de lui faire l’amour ? ça coule entre ses cuisses, j’adore ça, j’ai le droit de la lécher ?
- Bien sûr, mais pas sur mes sièges
- Sur le capot ?
- Non plus, j’ai une couverture dans le coffre
- Ça ira
- Envoyez la monnaie avant…. merci, à toi de jouer Léa
Une étrange excitation s’empare de moi, je vais baiser avec un vieux pour du fric, je suis une vraie prostituée, Jérôme étale la couverture devant la voiture je m’y allonge sans tarder dans une position ou l’homme peu aisément visiter mes trous gluants
- Regardez moi ces trésors souillés, je vais te nettoyer avec ma langue ma jolie ensuite je vais te fourrer avec ce dard poilu
- Dépêchez vous, je dois la ramener chez elle, nous devons repartir dans un quart d’heure
L’homme, les yeux injectés de sang, la bouche ouverte, se jette littéralement entre mes cuisses, ventousé a ma vulve il me lape bruyamment, pour le retenir collé a moi je lui fais un ciseau de mes jambes, sa langue agit avec l’efficacité d’une machine à laver, je suis vite essorée, rien ne reste du sperme de mon mac et de ma mouille, sans perdre de temps il se remet a genoux au plus prés de mes fesses et guide une trique moyenne mais bien raide vers ma fente, je soulève mon bassin pour l’inciter a me pénétrer
- Baise moi mon mignon, tu es mon premier client, montre moi comment tu va m’amener au septième ciel
- Elle a de la répartie votre protégée, tiiiiieeeeeeeeeennnnnn prend ça dans ta mouniche
- Aaaaaaaaaaaahhhhhhhooooouuuuuuuiiiiiiii je te sens biiieeeennnnnnnn, active toi dans ma matrice, arrose moi l’utérus
- Salope tu va me faire décharger, tien-tien-tien-tien-tiennnnnnnnnnnnnn
- Va-y-va-y-va-y-va-yyyyyyyyyyyyyyyy, viiiiiiiiieeent mon chéri
Ces paroles sortent automatiquement de ma bouche, comme si c’était une autre que moi qui parlait, la pute qui sommeillait en moi s’est réveillée….sa semence coule pourtant abondamment en moi mais je n’en tire aucun plaisir, dés qu’il a éjecté la dernière goutte je le repousse sans ménagement
- Bravo ma puce tu as fait exactement ce qu’il fallait, alors c’est oui ? Tu viens travailler avec moi aussitôt ton bac ?
- Oui mais je veux ma part pour ce que je viens de faire !
- Je vais te payer soit rassurée
- Vous louez votre fille monsieur ?
- Oui pourquoi ?
- Je suis président d’un club de poker, nous jouons entres amis l’après midi, une dizaine de potes biens bâtit, je cherche justement une fille pour égayer et donner du piment a nos parties
- Huit cent euros l’après midi ?
- Mille Jérôme ! c’est moi qui vais écarter les cuisses !
- C’est d’accord pour mille, mais tout est permis, sauf la violence évidement
- Ça va te faire un excellent stage, cette semaine tu sèche les cours, j’ai d’autres idées !
C’est ainsi que toute la semaine je suis passée de bras en bras, de vieux en jeunes, de laids en beaux, de magnifiques jouissances a des coups ratés ! comment annoncer a mes parents que j’arrête les cours ????
Tatie France, la sœur de maman et son copain Jérôme sont repartis ce matin après avoir passé une semaine a la maison … j’ai encore des courbatures entre les cuisses …et ce n’est que le début, je vais vous expliquer pourquoi
Tatie a trente deux ans, Jérôme trente, moi ? Léa dix sept et demi, je vais au lycée dont la rentrée vient juste d’avoir lieu, il fait encore un temps d’été, je dis ça parce que Jérôme a une voiture de sport rutilante, décapotable rouge, une BMW je crois ?
Par contre comment a-t-il put se payer ça étant donné qu’il est au chômage, ça reste un mystère que personnes ne cherche à élucider …mais moi je sais pourquoi…
Pour faire rager mes copines je lui ai demandé de venir me chercher a la sortie des cours
- Ce soir mon copain Jérôme vient me chercher avec une chouette bagnole
- Qui c’est ce Jérôme ?
- Seulement un copain
- Tu couche avec ?
- Vous êtes curieuses ! Vous voulez tout savoir ? Ben oui, c’est mon amant !
- Menteuse !
- Vous verrez bien ce soir …
Qu’est ce m’a pris d’affirmer ça ? Que faire ? Elles vont se bousculer au portail pour me voir embarquer dans ce cabriolet …j’espère qu’il viendra seul
Effectivement a dix sept heures nous sortons, mes copine ne me lâchent pas, il est là, au volant de son bolide, jeans serré, chemise blanche ouverte sur un torse velu, lunettes de soleil au top, il a tout pour lui, les copines parlent entre elles a voix basse, elles en bavent de jalousie !
- Alors ? Tu ne lui saute pas au cou Léa ??
- Vous allez voir ce que vous allez voir, salut, a demain les chieuses !
- Bonne baise la pute !
- Connasses …
Je roule des hanches en marchant vers la voiture dont Jérôme a ouvert la portière, a genoux sur le siège de cuir je me vautre sur lui, étonné il essaie de se reculer …
- Ne me repousse pas, embrasse moi, j’ai fais croire a mes amies que nous étions amants
- Quoi ?
- Va-y idiot donne moi tes lèvres…
Il cède et brusquement ses lèvres s’entrouvrent sa langue force ma bouche qui s’ouvre, sa salive au goût mentholé se mélange a la mienne, nos langues se livrent un combat acharné, nous somment pris par un véritable patin amoureux, je serais restée ainsi longtemps mais Jérôme revient a la réalité et me repousse brutalement, je me retrouve contre la portière les quatre fers en l’air, la robe retroussée au nombril
- Es tu folle ? Partons vite d’ici avant que je ne me fasse remarquer
La voiture démarre faisant crisser les pneus, je reste ainsi sans me soucier si ses yeux s’attardent trop longuement entre mes jambes, nous sortons rapidement de la ville
- Excuse moi mais je ne peux me permettre d’être vu avec une gamine, ceci dit tu embrasse bien pour ton âge
- D’abords je ne suis pas une gamine, je vais avoir dix huit ans, merci quand même pour le compliment, c’était agréable pour moi aussi, où allons nous ?
- Tu veux sentir l’air caresser ta poitrine ? ta tatie adore ça
- Que fait-elle pour ça ?
- Elle enlève le haut tout simplement
- Chiche ?
- Chiche !
En moins de deux, je fais glisser les brettelles de ma robe et de mon soutient gorge en même temps, mes seins arrogants se dressent sous ses yeux ébahis, je ne lui laisse pas le temps de me reluquer
- ACCÉLÈRE !!
- Toi au moins tu n’as pas froid aux yeux, j’aime ça …cent trente … cent cinquante !! ça fait du bien ? ça fouette tes mamelons
- Regarde mes tétons ils parlent pour moi !! pourquoi ralentis-tu ?
- A cause des flics et parce que je vais tourner dans un chemin de terre
- AAH ???? pourquoi ?
- Nous allons parler sérieusement, reste ainsi Léa, laisse moi admirer tes cuisses
- Tu vois bien plus que mes cuisses profiteur ! mon corps te plait ?
- Je crois que oui mais je dois être sûr …
La BMW stoppe sous un arbre à l’écart de la route, je sens la mouille sourdre lentement de ma chatte, placé comme il est il va voir l’auréole se former sur mon slip sage d’étudiante sérieuse
- Ça te plairait de travailler pour moi Léa ?
- Dans quelle branche ?
- En ville je possède un grand appart où logent trois filles, juste un peu plus vieilles que toi
- Qu’y font-elles ?
- Comment croit tu que je me suis offert ce bolide ? je passe tous les soirs chercher mon dût, si tu veux en quelques mois tu peux t’offrir le même …
- Ne me dis pas que tu fais …
- Maquereau ? si !
- Ça alors ? c’est dur comme boulot pour ces filles ?
- Un vrai paradis ! déshabille-toi entièrement
- Tu veux me tester ?
- Oui, montre-moi ton corps …
Tandis qu’aussi angoissée qu’excitée j’obtempère, il appuis sur un bouton, le dossier de mon siège se renverse lentement m’offrant un lit de cuir brulant, Jérôme ramasse mon slip taché et respire longuement mon odeur intime
- Muuuuuuummmm, ‘ils’ aimeront ce parfum de vierge ces vieux cochons, tu fais souvent l’amour ?
- Boff, de temps en temps avec des copains
- Tu en change souvent ?
- Je n’aime pas rester longtemps avec le même
- C’est un signe… tu fais tout ?
- Tout ? comment ça ?
- Par l’anus aussi ?
- Ça non alors !
- Ne dit pas ça si tu n’as jamais essayé, je peux te mettre un doigt dans ton petit trou pour étudier ta réaction ?
- Eeeeuuuuuhhh...
- Tourne-toi et lève tes fesses, VITE !
- Jérôme ! ne me fait pas mal je t’en supplie, je veux bien faire l’amour avec toi …
- Mais nous allons tout faire ma chérie, écarte les cuisses que je vois bien ta cible …il bat comme un petit cœur ce p’tit trou, tu va voir comme ça fait du bien par là aussi, relâche toi... j’enfonce un doigt ….
- Aaaaahhh …. Oohhh ….Huuuuuummmmmmm, c’est booooooonnnnnnnnn ! elle est grosse ta verge ?
- Je viens justement de la sortir, regarde mon outil de travail….
- Wouaaah ! qu’elle est poilue !
- A propos de poils tu te raseras entièrement, les hommes aiment les chattes imberbes
- Mais je n’ai pas encore dis que j’acceptais de faire la pute pour toi ?
- Lorsque tu sentiras l’odeur des billets tu changeras d’avis ma poule, tu veux me montrer tes talents de suceuse ? juste une minute, je n’ai pas l’intention de décharger dans ta bouche, prend là en main … décalotte moi … aaaaaaahhhhhhoooooouuuuuiiii, avale mon nœud, passe bien ta langue sous le gland …aspire ma sève …arrête ! tu vas me faire juter ! fout-toi à quatre pattes, expose bien ta lune a mes yeux et a ma queue ! tu es ouverte petite salope ! accoude-toi au dossier arrière, je viens dans ta chatte…
- Ouuuuuuuhhhhh c’est grooooooos !
- Il faut que tu reste toujours lucide, ne te laisse jamais envahir par le plaisir ou les sentiments sinon le client feras de toi ce qu’il voudra
- Mais ta bite est trop bonne pour que je ne prenne pas de plaisir Jérôme !
- Pour cette fois lâche toi, mais souvient toi toujours de ça
Il me ramone merveilleusement la chatte, jamais mes copains ne m’ont baisée ainsi, sa queue sait trouver les endroits les plus sensibles de mon vagin, je vais jouiiir …
- Mais ? pourquoi te retires-tu ??
- J’ai senti que allais jouir, c’est trop tôt, c’est le moment de tester ton cul, je vais le tartiner de mouille ça va rentrer tout seul… j’ai deux doigts dedans ça te fait mal ?
- Non …
- Trois …
- Toujours pas...
- Alors voilà mon membre….
- Aaaiiiieeeeeeee !...
Je sens mon petit conduit se dilater sous la poussée lente mais inexorable de son manche, heureusement la douleur s’estompe vite
- Pousse relâche tes muscles…et hop ! c’est rentré !
- Ah bon ? entièrement ?
- Presque, je te laisse t’emmancher toute seule…apprend toi à percevoir les sensations de ton anus
Petit a petit j’accélère les vas et viens, ce salaud a trouvé mon clitoris et le fait rouler sous ses doigts, cette fois je vais jouir pour de bon, cette fois il ne tente rien pour stopper le processus d’un orgasme violent qui me submerge au moment ou il me balance son jus dans les entrailles, il reste en moi le temps que je reprenne mes esprits, soudain un bruit de moteur se fait entendre …une voiture se gare a proximité, un homme bien habillé mais bedonnant en descend
- Vite ! Rhabillons-nous voilà quelqu’un
- Et si c’était ton premier client ?
- Tu veux que je baise avec un inconnu quelconque ?
- Ce seront tous des inconnus plus ou moins banals, ne bouge pas il approche
Je tente de me dissimuler comme je peux mais l’homme n’est pas dupe, il sait très bien que je suis nue, il fait semblant de se promener mais en réalité il veut nous mater
- M’sieurs dame …
- Bonsoir monsieur, on se promène ?
- Oui, j’adore les sous-bois à cette saison
- J’ai quelque chose à vous proposer, approchez, soyez sans craintes
- Elle est belle votre femme
- Ce n’est pas ma femme, c’est une ‘fille de joie’
- Ah bon ? une pute ? elle est très jeune
- Elle a l’âge qu’il faut pour tirer un bon coup
- C’est combien ?
- Combien prends-tu au monsieur chérie ?
- Eeeeuuuuuhhh … cent euros ?
- C’est donné mais bon, c’est ta décision Léa, profitez en monsieur, elle est chaude comme la braise
- Vous venez de lui faire l’amour ? ça coule entre ses cuisses, j’adore ça, j’ai le droit de la lécher ?
- Bien sûr, mais pas sur mes sièges
- Sur le capot ?
- Non plus, j’ai une couverture dans le coffre
- Ça ira
- Envoyez la monnaie avant…. merci, à toi de jouer Léa
Une étrange excitation s’empare de moi, je vais baiser avec un vieux pour du fric, je suis une vraie prostituée, Jérôme étale la couverture devant la voiture je m’y allonge sans tarder dans une position ou l’homme peu aisément visiter mes trous gluants
- Regardez moi ces trésors souillés, je vais te nettoyer avec ma langue ma jolie ensuite je vais te fourrer avec ce dard poilu
- Dépêchez vous, je dois la ramener chez elle, nous devons repartir dans un quart d’heure
L’homme, les yeux injectés de sang, la bouche ouverte, se jette littéralement entre mes cuisses, ventousé a ma vulve il me lape bruyamment, pour le retenir collé a moi je lui fais un ciseau de mes jambes, sa langue agit avec l’efficacité d’une machine à laver, je suis vite essorée, rien ne reste du sperme de mon mac et de ma mouille, sans perdre de temps il se remet a genoux au plus prés de mes fesses et guide une trique moyenne mais bien raide vers ma fente, je soulève mon bassin pour l’inciter a me pénétrer
- Baise moi mon mignon, tu es mon premier client, montre moi comment tu va m’amener au septième ciel
- Elle a de la répartie votre protégée, tiiiiieeeeeeeeeennnnnn prend ça dans ta mouniche
- Aaaaaaaaaaaahhhhhhhooooouuuuuuuiiiiiiii je te sens biiieeeennnnnnnn, active toi dans ma matrice, arrose moi l’utérus
- Salope tu va me faire décharger, tien-tien-tien-tien-tiennnnnnnnnnnnnn
- Va-y-va-y-va-y-va-yyyyyyyyyyyyyyyy, viiiiiiiiieeent mon chéri
Ces paroles sortent automatiquement de ma bouche, comme si c’était une autre que moi qui parlait, la pute qui sommeillait en moi s’est réveillée….sa semence coule pourtant abondamment en moi mais je n’en tire aucun plaisir, dés qu’il a éjecté la dernière goutte je le repousse sans ménagement
- Bravo ma puce tu as fait exactement ce qu’il fallait, alors c’est oui ? Tu viens travailler avec moi aussitôt ton bac ?
- Oui mais je veux ma part pour ce que je viens de faire !
- Je vais te payer soit rassurée
- Vous louez votre fille monsieur ?
- Oui pourquoi ?
- Je suis président d’un club de poker, nous jouons entres amis l’après midi, une dizaine de potes biens bâtit, je cherche justement une fille pour égayer et donner du piment a nos parties
- Huit cent euros l’après midi ?
- Mille Jérôme ! c’est moi qui vais écarter les cuisses !
- C’est d’accord pour mille, mais tout est permis, sauf la violence évidement
- Ça va te faire un excellent stage, cette semaine tu sèche les cours, j’ai d’autres idées !
C’est ainsi que toute la semaine je suis passée de bras en bras, de vieux en jeunes, de laids en beaux, de magnifiques jouissances a des coups ratés ! comment annoncer a mes parents que j’arrête les cours ????
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