On se lance, on a envie de découvrir
Récit érotique écrit par Cplecoquin13 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2009 dans la catégorie Plus on est
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On se lance, on a envie de découvrir
Nous n’étions pas encore mariés, Sylvie était partagée entre l’envie d’expériences nouvelles et la morale Judéo-chrétienne qu’elle avait reçue.
Elle pensait d’autre part que le regard que je porterai sur elle, après, serait différent et que notre Amour réciproque ne serait plus le même, voire anéantit.
Sensible, moi-même à ses arguments, je n’insistais pas.
Notre vie sexuelle (très riche quand même) n’invitait que notre appareil photo. .. Et son trépied !
Elle prenait de plus en plus de plaisir à se faire photographier dans toutes les positions.
Restait ensuite l’épreuve d’aller récupérer nos clichés.
C’était toujours avec un pincement au cœur que nous présentions notre ticket.
Pourtant il ne s’est jamais rien passé à ce moment là et c’était toujours une déception pour nous.
Sylvie devenait exhibitionniste et le partage de ces photos que par nous deux ne nous satisfaisait pas.
D’un autre coté, elle refusait de toucher ou de se laisser toucher par un autre homme.
A cette époque nous achetions un magazine paraissant tous les deux mois et vantant les loisirs de l’an 2000.. ;) Pour ceux qui connaissent (c’était en 1984) et je lui proposais d’y chercher l’aide d’un photographe.
L’entreprise était laborieuse car les réponses aux annonces transitaient par le magazine afin de conserver l’anonymat.
Entre temps nous avons acheté un caméscope, c’était le tout début de ce genre de matériel.
Je la filmais dans toutes les situations et elle se prêtait au jeu avec beaucoup de plaisir.
Au bout d’un mois, nous avions plus d’une heure d’enregistrement du plus soft, nue faisant le ménage, au plus hard tous les deux.
Au moment de passer notre annonce pour un photographe, je lui propose une idée folle.
Pourquoi ne pas offrir des projections privées ?
Quelques verres de rosé plus tard, nous avons un plan pour mettre ça sur pied.
Nous habitions un endroit peu banal, sur une colline avec deux accès sans voitures, l’un presque direct sur la rue, l’autre très compliqué passant par un petit jardin public inconnu, traversant un parking de copropriété puis le porche d’un immeuble.
Je rencontrerais seul les candidats pour voir à qui on a à faire puis les accompagnerais par le grand tour.
Autre possibilité, se déplacer avec notre caméscope chez les candidats, peut être plus sécurisant.
Nous passons donc deux annonces : l’une pour un photographe et l’autre pour nos projections.
Quelques semaines plus tard nous recevons une grosse enveloppe du magasine contenant les réponses.
Nous dépouillons ce courrier avec fébrilité, et stupeur !
Toutes les réponses concernant nos projections reprennent la même question :
Quel en est le tarif ?
Nous avions échafaudé toutes les hypothèses, toutes les situations, tous les fantasmes mais n’avions pas pensé à ça !
Il nous a fallu deux à trois jours pour digérer et prendre le contre-pied.
Après tout, pourquoi pas ! Et autant faire les choses bien.
Sylvie était assez excitée par la situation.
Nous décidons de les recevoir à un ou deux maximum, Sylvie en tenue sexy, d’offrir un verre…et des kleenex s’ils veulent se faire plaisir.
Nous étions en plein délire… pour un tarif de 50 Francs !
La plus part avait indiqué leur N° de téléphone. Deux couples et 7 ou 8 hommes.
Nous avons d’abord appelé les couples. L’un d’eux n’était pas disponible avant longtemps et RdV est pris avec l’autre pour un premier contact avec nous deux.
J’appelle ensuite les hommes seuls en faisant une première sélection sur la présentation du courrier. Aucun n’est emballé par la présence d’un autre et nous préférons les recevoir seuls.
Je donne RdV à quatre pour un premier contact seul.
Nous rencontrons ce couple de 56 et 58 ans dans un bar, le double de nous. Elle devait être très belle et toujours désirable, lui certainement aussi mais maintenant assez ventripotent. L’apéritif s’éternise, leur conversation est agréable et nous avons notre caméscope avec une cassette de courtes séquences que nous avons réalisé pour démonstration.
C’est monsieur qui visionne le premier à travers le viseur et en noir et blanc de cet appareil archaïque.
Madame, avec malice passe sa main sous la table en nous précisant qu’elle attend de voir l’effet produit. Très rapidement elle nous annonce qu’il y a longtemps qu’elle ne l’a pas vu se dresser aussi vite.
Il y a 10 mn de film et elle s’impatiente pour voir à son tour.
Nous rions tous et décidons de dîner ensemble.
Nous passons tous une excellente soirée assez arrosée, nous savons tout d’eux et eux tout de nous.
Au cours de la soirée, nous avons laissé échapper que nous étions venus à pieds n’habitant pas très loin et ils insistent pour nous raccompagner. Nous finissons par accepter.
En regagnant leur voiture, Paul se montre plus pressant et attentionné en même temps.
Il aimerait avoir une « avant première » des charmes de Sylvie en direct.
Nous en rions tous mais lui insiste. En clair mais en termes choisis et très courtois il veut voir ses charmes non pas sur écran et la voir me faire une fellation comme sur le film.
J’arrive à parler à Sylvie seuls et lui demande ce qu’elle en pense. Elle est très troublée par les circonstances mais aussi par ce que nous avons bu et me répond :
« Je ne sais pas »
Ce qui veut souvent dire chez elle : « j’aimerai bien essayer »
Nous sommes arrivés à leur voiture, parking extérieur désert et c’est Jeannine qui s’y met en demandant à Sylvie très gentiment si elle préfère se dévoiler seule ou que ce soit moi qui lui ouvre sa robe.
Devant son indécision, elle précise que Paul serait ravi de la voir s’offrir toute seule.
Sylvie portait une robe noire, décolletée et boutonnée devant.
Je la vis lever ses mains et commencer à déboutonner le haut, ce qui fit jaillir ses seins toujours libres.
Elle continua jusqu’en bas et se redressa pour se laisser admirer en écartant sa robe, bras en croix. Nous sommes restés tous les trois bouche bée, elle n’avait pas de culotte et je l’ignorais. La prenant par une main, je l’ai faite tourner et c’est elle qui a retroussé sa robe pour dévoiler ses fesses superbes.
A ce moment là j’aurai voulu communiquer avec elle seule mais impossible.
Paul a ouvert les portières, sans un mot, et nous somme rentrés dans la voiture, eux devant et nous derrière.
Après une dizaine de secondes, voyant qu’il ne mettait pas le contact et me souvenant ce qu’il voulait, j’ai pris Sylvie par les épaules et l’ai embrassée en la caressant.
Elle se laissait faire, y prenait du plaisir et même semblait l’exagérer.
J’ai pris mon courage à deux mains et ai presque crié : « suce-moi ! » en priant de ne pas trop en faire.
Immédiatement, comme si elle attendait ce signal, elle a plongée sur moi.
Paul a proposé d’abaisser les dossiers de devant pour lui faire plus de place.
Ils se sont appuyé dos aux portières et j’ai proposé à Sylvie de se mettre à quatre pattes sur les dossiers, moi au milieu de la banquette.
Je pensais la choquer en lui faisant cette proposition mais elle s’installa comme je lui demandais et, sans tarder et elle finit de me déshabiller pour me faire certainement la plus belle pipe de ma vie.
Avant de me laisser aller, j’ai retroussé sa robe jusqu’au cou qu’elle a elle-même rejetée d’une épaule puis de l’autre.
Elle était nue, fesses offertes, cuisses écartées sur chaque dossier.
Paul, cassé en deux, le nez à quelques centimètres de son sillon et Jeannine le masturbant d’après les gestes de son bras que j’apercevais.
Ma seule préoccupation était d’espérer qu’aucun geste déplacé ne vienne perturber la situation.
Nous avions a faire à des personnes intelligentes, j’ai jouis très rapidement.
Comme à son habitude, elle en a avalé mais a su aussi s’en mettre sur le visage et sur les seins.
C’est avec arrogance qu’elle s’est retournée vers Paul puis Jeannine pour leur montrer le résultat puis est venue se blottir à coté de moi.
Paul remonta les dossiers pendant que Sylvie remettait sa robe sans la refermer suite à ma demande.
J’indiquais le chemin à notre chauffeur et 10mn après nous étions arrivés. Nous sommes restés encore quelques instants à discuter très librement de notre soirée et de ce qui venait de se passer dans la voiture.
Nous avons échangé nos N° de téléphone, impossible de fixer une date pour les recevoir, compte tenu que nous avions d’autres engagements en cours avec quatre autres spectateurs.
C’est avec un peu de regrets de part et d’autres que nous nous sommes quittés.
Nous raconterons quand même la suite avec eux … et les autres.
Elle pensait d’autre part que le regard que je porterai sur elle, après, serait différent et que notre Amour réciproque ne serait plus le même, voire anéantit.
Sensible, moi-même à ses arguments, je n’insistais pas.
Notre vie sexuelle (très riche quand même) n’invitait que notre appareil photo. .. Et son trépied !
Elle prenait de plus en plus de plaisir à se faire photographier dans toutes les positions.
Restait ensuite l’épreuve d’aller récupérer nos clichés.
C’était toujours avec un pincement au cœur que nous présentions notre ticket.
Pourtant il ne s’est jamais rien passé à ce moment là et c’était toujours une déception pour nous.
Sylvie devenait exhibitionniste et le partage de ces photos que par nous deux ne nous satisfaisait pas.
D’un autre coté, elle refusait de toucher ou de se laisser toucher par un autre homme.
A cette époque nous achetions un magazine paraissant tous les deux mois et vantant les loisirs de l’an 2000.. ;) Pour ceux qui connaissent (c’était en 1984) et je lui proposais d’y chercher l’aide d’un photographe.
L’entreprise était laborieuse car les réponses aux annonces transitaient par le magazine afin de conserver l’anonymat.
Entre temps nous avons acheté un caméscope, c’était le tout début de ce genre de matériel.
Je la filmais dans toutes les situations et elle se prêtait au jeu avec beaucoup de plaisir.
Au bout d’un mois, nous avions plus d’une heure d’enregistrement du plus soft, nue faisant le ménage, au plus hard tous les deux.
Au moment de passer notre annonce pour un photographe, je lui propose une idée folle.
Pourquoi ne pas offrir des projections privées ?
Quelques verres de rosé plus tard, nous avons un plan pour mettre ça sur pied.
Nous habitions un endroit peu banal, sur une colline avec deux accès sans voitures, l’un presque direct sur la rue, l’autre très compliqué passant par un petit jardin public inconnu, traversant un parking de copropriété puis le porche d’un immeuble.
Je rencontrerais seul les candidats pour voir à qui on a à faire puis les accompagnerais par le grand tour.
Autre possibilité, se déplacer avec notre caméscope chez les candidats, peut être plus sécurisant.
Nous passons donc deux annonces : l’une pour un photographe et l’autre pour nos projections.
Quelques semaines plus tard nous recevons une grosse enveloppe du magasine contenant les réponses.
Nous dépouillons ce courrier avec fébrilité, et stupeur !
Toutes les réponses concernant nos projections reprennent la même question :
Quel en est le tarif ?
Nous avions échafaudé toutes les hypothèses, toutes les situations, tous les fantasmes mais n’avions pas pensé à ça !
Il nous a fallu deux à trois jours pour digérer et prendre le contre-pied.
Après tout, pourquoi pas ! Et autant faire les choses bien.
Sylvie était assez excitée par la situation.
Nous décidons de les recevoir à un ou deux maximum, Sylvie en tenue sexy, d’offrir un verre…et des kleenex s’ils veulent se faire plaisir.
Nous étions en plein délire… pour un tarif de 50 Francs !
La plus part avait indiqué leur N° de téléphone. Deux couples et 7 ou 8 hommes.
Nous avons d’abord appelé les couples. L’un d’eux n’était pas disponible avant longtemps et RdV est pris avec l’autre pour un premier contact avec nous deux.
J’appelle ensuite les hommes seuls en faisant une première sélection sur la présentation du courrier. Aucun n’est emballé par la présence d’un autre et nous préférons les recevoir seuls.
Je donne RdV à quatre pour un premier contact seul.
Nous rencontrons ce couple de 56 et 58 ans dans un bar, le double de nous. Elle devait être très belle et toujours désirable, lui certainement aussi mais maintenant assez ventripotent. L’apéritif s’éternise, leur conversation est agréable et nous avons notre caméscope avec une cassette de courtes séquences que nous avons réalisé pour démonstration.
C’est monsieur qui visionne le premier à travers le viseur et en noir et blanc de cet appareil archaïque.
Madame, avec malice passe sa main sous la table en nous précisant qu’elle attend de voir l’effet produit. Très rapidement elle nous annonce qu’il y a longtemps qu’elle ne l’a pas vu se dresser aussi vite.
Il y a 10 mn de film et elle s’impatiente pour voir à son tour.
Nous rions tous et décidons de dîner ensemble.
Nous passons tous une excellente soirée assez arrosée, nous savons tout d’eux et eux tout de nous.
Au cours de la soirée, nous avons laissé échapper que nous étions venus à pieds n’habitant pas très loin et ils insistent pour nous raccompagner. Nous finissons par accepter.
En regagnant leur voiture, Paul se montre plus pressant et attentionné en même temps.
Il aimerait avoir une « avant première » des charmes de Sylvie en direct.
Nous en rions tous mais lui insiste. En clair mais en termes choisis et très courtois il veut voir ses charmes non pas sur écran et la voir me faire une fellation comme sur le film.
J’arrive à parler à Sylvie seuls et lui demande ce qu’elle en pense. Elle est très troublée par les circonstances mais aussi par ce que nous avons bu et me répond :
« Je ne sais pas »
Ce qui veut souvent dire chez elle : « j’aimerai bien essayer »
Nous sommes arrivés à leur voiture, parking extérieur désert et c’est Jeannine qui s’y met en demandant à Sylvie très gentiment si elle préfère se dévoiler seule ou que ce soit moi qui lui ouvre sa robe.
Devant son indécision, elle précise que Paul serait ravi de la voir s’offrir toute seule.
Sylvie portait une robe noire, décolletée et boutonnée devant.
Je la vis lever ses mains et commencer à déboutonner le haut, ce qui fit jaillir ses seins toujours libres.
Elle continua jusqu’en bas et se redressa pour se laisser admirer en écartant sa robe, bras en croix. Nous sommes restés tous les trois bouche bée, elle n’avait pas de culotte et je l’ignorais. La prenant par une main, je l’ai faite tourner et c’est elle qui a retroussé sa robe pour dévoiler ses fesses superbes.
A ce moment là j’aurai voulu communiquer avec elle seule mais impossible.
Paul a ouvert les portières, sans un mot, et nous somme rentrés dans la voiture, eux devant et nous derrière.
Après une dizaine de secondes, voyant qu’il ne mettait pas le contact et me souvenant ce qu’il voulait, j’ai pris Sylvie par les épaules et l’ai embrassée en la caressant.
Elle se laissait faire, y prenait du plaisir et même semblait l’exagérer.
J’ai pris mon courage à deux mains et ai presque crié : « suce-moi ! » en priant de ne pas trop en faire.
Immédiatement, comme si elle attendait ce signal, elle a plongée sur moi.
Paul a proposé d’abaisser les dossiers de devant pour lui faire plus de place.
Ils se sont appuyé dos aux portières et j’ai proposé à Sylvie de se mettre à quatre pattes sur les dossiers, moi au milieu de la banquette.
Je pensais la choquer en lui faisant cette proposition mais elle s’installa comme je lui demandais et, sans tarder et elle finit de me déshabiller pour me faire certainement la plus belle pipe de ma vie.
Avant de me laisser aller, j’ai retroussé sa robe jusqu’au cou qu’elle a elle-même rejetée d’une épaule puis de l’autre.
Elle était nue, fesses offertes, cuisses écartées sur chaque dossier.
Paul, cassé en deux, le nez à quelques centimètres de son sillon et Jeannine le masturbant d’après les gestes de son bras que j’apercevais.
Ma seule préoccupation était d’espérer qu’aucun geste déplacé ne vienne perturber la situation.
Nous avions a faire à des personnes intelligentes, j’ai jouis très rapidement.
Comme à son habitude, elle en a avalé mais a su aussi s’en mettre sur le visage et sur les seins.
C’est avec arrogance qu’elle s’est retournée vers Paul puis Jeannine pour leur montrer le résultat puis est venue se blottir à coté de moi.
Paul remonta les dossiers pendant que Sylvie remettait sa robe sans la refermer suite à ma demande.
J’indiquais le chemin à notre chauffeur et 10mn après nous étions arrivés. Nous sommes restés encore quelques instants à discuter très librement de notre soirée et de ce qui venait de se passer dans la voiture.
Nous avons échangé nos N° de téléphone, impossible de fixer une date pour les recevoir, compte tenu que nous avions d’autres engagements en cours avec quatre autres spectateurs.
C’est avec un peu de regrets de part et d’autres que nous nous sommes quittés.
Nous raconterons quand même la suite avec eux … et les autres.
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