Onam et Lesbos
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-06-2012 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Onam et Lesbos
Nous nous aimons depuis longtemps. J’ai 35 ans, et elle 29. Chez des amis communs,
nous nous sommes vues pour la première fois. Elle m’a aussitôt rendu folle d’elle.
J’ai eu envie de lui faire l’amour. Par la suite elle m’a avoué qu’elle ne pensait pas
à ça au tout début. Je crois que mon désir venait du fait que je divorçais d’avec un
sacré menteur qui couchait avec tout ce qui porte un jupon : il m’en oubliait
souvent : j’en étais réduite à me masturber souvent. J’avais beau essayer de
l’exciter, je tombais toujours mal. Monsieur ne bandait plus à cause de ses coucheries
de l’après midi.
Aussi quand j’étais assise à coté d’elle, je ne sais pourquoi, son magnétisme sans
doute m’a attiré. Ce ne sont pas les quelques mots échangés qui pouvaient nous
rapprocher.
Nous sommes parties ensemble du diner. Dans le taxi j’ai pu lui dire que je la
trouvais fort belle et sexy. Elle en riait ; elle une jeune femme vue comme une fille
sexy par une autre.
Le taxi nous a déposées devant chez elle. Elle m’a offert un dernier verre. Elle
n’aurait sans doute pas dû : nous nous sommes assises sur son divan. C’est là que nous
avons entre chose parlé de sexe. Ho pas de façon grossière, disons, normalement, comme
d’une petite bricole au moins au début. J’ai appris une foule de petits détails sur
elle, comme je lui racontais mes mésaventures avec mon ex.
Pour moi elle devenait indispensable dans ma vie, j’avais eu un coup de foudre pour
elle. Dans mon inconscient je devenais sa protectrice des mauvaises choses de la vie.
Mais l’heure tournait : nous nous sommes embrassées sur les joues en nous donnant
rendez-vous pour le lendemain après midi dans une cafétéria du centre.
Je devenais comme une gamine qui va à son premier rendez-vous galant. Je me souviens
m’être masturbée un bon moment en me couchant : son corps dans mes fantasmes prenait
vie. Je l’imaginais près de moi, me caressant.
Je me suis habillée assez court pour lui paraitre moi aussi sexy. J’ai même oublié de
mettre un string ou cas où. J’étais même en avance quand elle est arrivée à l’heure.
Je la voyais venir vers moi, habillée aussi court que moi, avec des bas noirs, ses
cheveux coiffés en chignons. Elle était belle comme un cœur. Après la commande, c’est
elle qui commence :
- C’est vrai, je me suis regardée ce matin, en sortant de la couche où j’avais fait
une chose agréable, donc je me regarde dans la glace : c’est vrai que je suis sexy,
sauf que j’ai de trop petits seins.
- Mais non je les trouve parfaits.
- A coté de vous, je me sens moins bien.
- Merci. C’est sincère au moins ?
- Je ne mens jamais. Enfin par pour ce genre de chose, le sexe est trop agréable pour
le dénigrer.
- Je ne dénigre pas le sexe. J’aime le sexe. Mais je ne le pratique plus que seule.
- C’est dommage, c’est meilleur à deux, enfin c’est ce que je pense même si je
sacrifie souvent à Onam.
Notre conversation roule sur le sexe seule ou avec un ou d’autres. Je la vois
commencer à changer de couleur quand j’aborde un éloge à Sapho. Elle sait que je vais
lui proposer une petite liaison entre filles.
- Tu aurais peur si je t’embrassais sur la bouche.
- Je ne sais pas, je ne l’ai jamais fait.
- Moi non plus : ce serait une expérience.
- Sortons allons trouver un endroit où échanger ce baiser.
Nous sortons pour errer un peu dans la rue : je lui ai pris un bras. Je vois un jardin
public : nous sommes loin de chez nous, pas de risque de nous faire surprendre par un
voisin ou un proche. J’ai envie d’elle. Nous nous asseyons sur un banc et faisons
comme les amoureux de Brassens, je me penche vers sa bouche, je pose la mienne dessus.
Elle ne résiste pas longtemps. Je fais comme d’habitude, ma langue part à la recherche
de la sienne.
Sa bouche est douce, sa langue agile. Je crois avoir gagné. Lentement je lui touche la
poitrine ; elle me laisse faire ce que je veux. Je n’ose pas aller plus loin.
Dans le taxi qui nous emmène chez moi, j’ai ses mains dans les mienne. Je n’ose pas
recommencer un baiser : je ne sais ce que dirait le chauffeur.
Je ne recommence à l’embrasser que dans mon séjour. Je reprends sa poitrine cette fois
plus longuement en cherchant surtout à dégager ses seins. Elle m’aide en enlevant son
top. Je vois ses seins nus me narguer. Ma bouche sert à lui sucer les pointes qui
jaillissent largement. J’aimerais qu’elle aussi me touche ainsi. Elle reste là à
apprécier ce que je lui fais. Je pose une main sur son pubis. Elle se laisse faire. Je
pense avoir la permission d’aller bien plus loin. Je passe une main sous sa jupe. Ses
cuisses sont plus douces Que ce que je pensais.
Quand j’arrive sur sa chatte, d’abord elle est comme moi puisqu’elle ne porte pas de
sous vêtement, ensuite elle est trempée. Je peux lui caresser ce que je veux et moi je
la veux toute à moi. Enfin elle a un geste, elle me caresse le visage. Quand je
commence à la branler, elle écarte les jambes. Je caresse son clitoris sans lui
laisser le temps de réagir.
Elle jouit pour la première fois avec moi. Une fois assise elle écarte les jambes
quand ma tête vient entre ses cuisses. Je sens déjà son odeur de fille bien tenue.
J’ai l’autre surprise quand je la goute. Je trouve qu’elle sent un peu l’orange. Ma
langue ne cherche pas loin ; je reviens sur son bouton que je trouve plus gros qu’avec
ma main. Je fais comme un chiot, je lèche longuement, même si je la sens jouir
plusieurs fois. Je m’aventure même sur son petit trou.
Quand je me relève, elle accepte de se mettre nue. Elle me plait encore plus : son
histoire de seins trop petits est une fable. Elle me déshabille elle-même : je suis
trempée quand enfin elle pose sa main sur mon puits. Pour moi c’est la première fois
qu’une main autre que la mienne me touche à cet endroit depuis trop longtemps. Elle
est la bien venu.
Je suis encore surprise quand au lieu de me branler « normalement » elle me doigte.
Ses trois doigts me semblent aussi gros qu’une bite. Elle me donne un orgasme comme je
n’en ai pas eu depuis longtemps.
Quand nous sommes dans ma chambre, nous nous embrassons encore ; elle est totalement
débloquée. Elle me branle comme si elle n’avait fait que ça depuis des années. Je
jouis toujours et encore. Je ne m’y connais pas en amour féminin, j’improvise, comme
elle. Quand je pose un doigt sur son rectum elle se laisse faire, comme si elle aimait
la sodomie, ce que j’aimais bien aussi avant. Elle est tellement mouillée que je n’ai
pas à forcer pour entrer mon doigt. Je le lui mets à fond.
- Oui, encules moi, j’aime ça.
- Tu me le feras ?
- Oui, donne-moi tes fesses.
J’ouvre mes fesses pour qu’elle aussi puisse venir sur mon cul. Elle me met son doigt
comme dans du beurre tellement je suis humide. Quel délice que de sentir quelque chose
de vivant là, au fond de moi. C’est quand même extraordinaire de jouir avec seulement
un doigt de la compagne là, dans son arrière train. Nous arrivons à jouir ensemble.
- J’aime me faire mettre par derrière.
- Moi aussi, et en plus tu mets bien.
- Suces moi la chatte.
Je me tourne pour le faire. Elle en profite pour prendre la mienne dans sa bouche.
J’avais oublié qu’un 69 est une bonne chose. Sa langue sur moi me donne encore je ne
sais combien d’orgasme. Je les ai sentis sur elle aussi.
Nous en oublions de nous nourrir, pour passer la nuit à faire l’amour entre filles.
Pour une première c’est une réussite. A tel point que nous vivons ensemble. Mais, car
il y a un mais, elle voudrait baiser aussi avec d’autre filles que moi en ma présence.
Je suis retissante, la voir dans les bras d’une autre me rendrais jalouse. Pourtant je
cède pour lui être agréable, après tout une fois de temps en temps, la voir baiser une
autre……
Un soir elle arrive avec une fille pas mal faite. C’est Nadine, une ancienne copine de
classe de ma chérie.
- Tiens ce soir tu regarderas quand j’aimerai Nadine qui sait bien comment baiser
entre les femmes. Tu en prendras de la graine en te masturbant.
Nadine m’embrasse sur les joues. Elle a l’air gentil. Ma chérie aurait pu choisir bien
plus mal. Elles n’attendent pas longtemps pour se mettre en train. Je le vois
s’embrasser à bouche que veut-tu, elles se pelotent bien trop vite à mon gré. Elles
sont vite nues, trop vite pour moi qui aime prendre mon temps. Je commence à mouiller
quand elle commence à s’aimer. Je regarde surtout ma chérie d’un peu loin, au moins je
sais comment elle pratique avec moi.
J’ai quand même un peu de jalousie quand elle jouit des mains d’une inconnue. Les
voilà en 69. Là je ne peux me retenir, ma main est sur ma chatte : elles m’excitent
tant que je me masturbe. J’arrête souvent pour enfin jouir en même temps que cette
Nadine. Les deux filles regardent ma chatte très exposée. Je dois faire quelque chose
à Nadine puisqu’elle m’invite à venir avec elles.
C’est Nadine qui elle prend la direction de notre baise commune. Je sens ses mains
partout sur mon corps, que c’est bon, surtout quand ma chérie vient s’y mêler. Je
reçois leurs deux bouches sur mes seins qui enflent à n’en plus finir. Il me tarde
qu’elles me fassent jouir. Maintenant je suis servie j’ai une langue sur mon clitoris
et deux doigts dans mon cul. Je me souviens avoir poussé un grand cri quand j’ai
jouit.
Trouver une fille pour nos partouzes, maintenant que j’aime ça est difficile. Aussi
dès qu’une se présente nous n’hésitons pas. C’est maintenant notre amour qui nous
guide comme des libertines que nous sommes devenues.
nous nous sommes vues pour la première fois. Elle m’a aussitôt rendu folle d’elle.
J’ai eu envie de lui faire l’amour. Par la suite elle m’a avoué qu’elle ne pensait pas
à ça au tout début. Je crois que mon désir venait du fait que je divorçais d’avec un
sacré menteur qui couchait avec tout ce qui porte un jupon : il m’en oubliait
souvent : j’en étais réduite à me masturber souvent. J’avais beau essayer de
l’exciter, je tombais toujours mal. Monsieur ne bandait plus à cause de ses coucheries
de l’après midi.
Aussi quand j’étais assise à coté d’elle, je ne sais pourquoi, son magnétisme sans
doute m’a attiré. Ce ne sont pas les quelques mots échangés qui pouvaient nous
rapprocher.
Nous sommes parties ensemble du diner. Dans le taxi j’ai pu lui dire que je la
trouvais fort belle et sexy. Elle en riait ; elle une jeune femme vue comme une fille
sexy par une autre.
Le taxi nous a déposées devant chez elle. Elle m’a offert un dernier verre. Elle
n’aurait sans doute pas dû : nous nous sommes assises sur son divan. C’est là que nous
avons entre chose parlé de sexe. Ho pas de façon grossière, disons, normalement, comme
d’une petite bricole au moins au début. J’ai appris une foule de petits détails sur
elle, comme je lui racontais mes mésaventures avec mon ex.
Pour moi elle devenait indispensable dans ma vie, j’avais eu un coup de foudre pour
elle. Dans mon inconscient je devenais sa protectrice des mauvaises choses de la vie.
Mais l’heure tournait : nous nous sommes embrassées sur les joues en nous donnant
rendez-vous pour le lendemain après midi dans une cafétéria du centre.
Je devenais comme une gamine qui va à son premier rendez-vous galant. Je me souviens
m’être masturbée un bon moment en me couchant : son corps dans mes fantasmes prenait
vie. Je l’imaginais près de moi, me caressant.
Je me suis habillée assez court pour lui paraitre moi aussi sexy. J’ai même oublié de
mettre un string ou cas où. J’étais même en avance quand elle est arrivée à l’heure.
Je la voyais venir vers moi, habillée aussi court que moi, avec des bas noirs, ses
cheveux coiffés en chignons. Elle était belle comme un cœur. Après la commande, c’est
elle qui commence :
- C’est vrai, je me suis regardée ce matin, en sortant de la couche où j’avais fait
une chose agréable, donc je me regarde dans la glace : c’est vrai que je suis sexy,
sauf que j’ai de trop petits seins.
- Mais non je les trouve parfaits.
- A coté de vous, je me sens moins bien.
- Merci. C’est sincère au moins ?
- Je ne mens jamais. Enfin par pour ce genre de chose, le sexe est trop agréable pour
le dénigrer.
- Je ne dénigre pas le sexe. J’aime le sexe. Mais je ne le pratique plus que seule.
- C’est dommage, c’est meilleur à deux, enfin c’est ce que je pense même si je
sacrifie souvent à Onam.
Notre conversation roule sur le sexe seule ou avec un ou d’autres. Je la vois
commencer à changer de couleur quand j’aborde un éloge à Sapho. Elle sait que je vais
lui proposer une petite liaison entre filles.
- Tu aurais peur si je t’embrassais sur la bouche.
- Je ne sais pas, je ne l’ai jamais fait.
- Moi non plus : ce serait une expérience.
- Sortons allons trouver un endroit où échanger ce baiser.
Nous sortons pour errer un peu dans la rue : je lui ai pris un bras. Je vois un jardin
public : nous sommes loin de chez nous, pas de risque de nous faire surprendre par un
voisin ou un proche. J’ai envie d’elle. Nous nous asseyons sur un banc et faisons
comme les amoureux de Brassens, je me penche vers sa bouche, je pose la mienne dessus.
Elle ne résiste pas longtemps. Je fais comme d’habitude, ma langue part à la recherche
de la sienne.
Sa bouche est douce, sa langue agile. Je crois avoir gagné. Lentement je lui touche la
poitrine ; elle me laisse faire ce que je veux. Je n’ose pas aller plus loin.
Dans le taxi qui nous emmène chez moi, j’ai ses mains dans les mienne. Je n’ose pas
recommencer un baiser : je ne sais ce que dirait le chauffeur.
Je ne recommence à l’embrasser que dans mon séjour. Je reprends sa poitrine cette fois
plus longuement en cherchant surtout à dégager ses seins. Elle m’aide en enlevant son
top. Je vois ses seins nus me narguer. Ma bouche sert à lui sucer les pointes qui
jaillissent largement. J’aimerais qu’elle aussi me touche ainsi. Elle reste là à
apprécier ce que je lui fais. Je pose une main sur son pubis. Elle se laisse faire. Je
pense avoir la permission d’aller bien plus loin. Je passe une main sous sa jupe. Ses
cuisses sont plus douces Que ce que je pensais.
Quand j’arrive sur sa chatte, d’abord elle est comme moi puisqu’elle ne porte pas de
sous vêtement, ensuite elle est trempée. Je peux lui caresser ce que je veux et moi je
la veux toute à moi. Enfin elle a un geste, elle me caresse le visage. Quand je
commence à la branler, elle écarte les jambes. Je caresse son clitoris sans lui
laisser le temps de réagir.
Elle jouit pour la première fois avec moi. Une fois assise elle écarte les jambes
quand ma tête vient entre ses cuisses. Je sens déjà son odeur de fille bien tenue.
J’ai l’autre surprise quand je la goute. Je trouve qu’elle sent un peu l’orange. Ma
langue ne cherche pas loin ; je reviens sur son bouton que je trouve plus gros qu’avec
ma main. Je fais comme un chiot, je lèche longuement, même si je la sens jouir
plusieurs fois. Je m’aventure même sur son petit trou.
Quand je me relève, elle accepte de se mettre nue. Elle me plait encore plus : son
histoire de seins trop petits est une fable. Elle me déshabille elle-même : je suis
trempée quand enfin elle pose sa main sur mon puits. Pour moi c’est la première fois
qu’une main autre que la mienne me touche à cet endroit depuis trop longtemps. Elle
est la bien venu.
Je suis encore surprise quand au lieu de me branler « normalement » elle me doigte.
Ses trois doigts me semblent aussi gros qu’une bite. Elle me donne un orgasme comme je
n’en ai pas eu depuis longtemps.
Quand nous sommes dans ma chambre, nous nous embrassons encore ; elle est totalement
débloquée. Elle me branle comme si elle n’avait fait que ça depuis des années. Je
jouis toujours et encore. Je ne m’y connais pas en amour féminin, j’improvise, comme
elle. Quand je pose un doigt sur son rectum elle se laisse faire, comme si elle aimait
la sodomie, ce que j’aimais bien aussi avant. Elle est tellement mouillée que je n’ai
pas à forcer pour entrer mon doigt. Je le lui mets à fond.
- Oui, encules moi, j’aime ça.
- Tu me le feras ?
- Oui, donne-moi tes fesses.
J’ouvre mes fesses pour qu’elle aussi puisse venir sur mon cul. Elle me met son doigt
comme dans du beurre tellement je suis humide. Quel délice que de sentir quelque chose
de vivant là, au fond de moi. C’est quand même extraordinaire de jouir avec seulement
un doigt de la compagne là, dans son arrière train. Nous arrivons à jouir ensemble.
- J’aime me faire mettre par derrière.
- Moi aussi, et en plus tu mets bien.
- Suces moi la chatte.
Je me tourne pour le faire. Elle en profite pour prendre la mienne dans sa bouche.
J’avais oublié qu’un 69 est une bonne chose. Sa langue sur moi me donne encore je ne
sais combien d’orgasme. Je les ai sentis sur elle aussi.
Nous en oublions de nous nourrir, pour passer la nuit à faire l’amour entre filles.
Pour une première c’est une réussite. A tel point que nous vivons ensemble. Mais, car
il y a un mais, elle voudrait baiser aussi avec d’autre filles que moi en ma présence.
Je suis retissante, la voir dans les bras d’une autre me rendrais jalouse. Pourtant je
cède pour lui être agréable, après tout une fois de temps en temps, la voir baiser une
autre……
Un soir elle arrive avec une fille pas mal faite. C’est Nadine, une ancienne copine de
classe de ma chérie.
- Tiens ce soir tu regarderas quand j’aimerai Nadine qui sait bien comment baiser
entre les femmes. Tu en prendras de la graine en te masturbant.
Nadine m’embrasse sur les joues. Elle a l’air gentil. Ma chérie aurait pu choisir bien
plus mal. Elles n’attendent pas longtemps pour se mettre en train. Je le vois
s’embrasser à bouche que veut-tu, elles se pelotent bien trop vite à mon gré. Elles
sont vite nues, trop vite pour moi qui aime prendre mon temps. Je commence à mouiller
quand elle commence à s’aimer. Je regarde surtout ma chérie d’un peu loin, au moins je
sais comment elle pratique avec moi.
J’ai quand même un peu de jalousie quand elle jouit des mains d’une inconnue. Les
voilà en 69. Là je ne peux me retenir, ma main est sur ma chatte : elles m’excitent
tant que je me masturbe. J’arrête souvent pour enfin jouir en même temps que cette
Nadine. Les deux filles regardent ma chatte très exposée. Je dois faire quelque chose
à Nadine puisqu’elle m’invite à venir avec elles.
C’est Nadine qui elle prend la direction de notre baise commune. Je sens ses mains
partout sur mon corps, que c’est bon, surtout quand ma chérie vient s’y mêler. Je
reçois leurs deux bouches sur mes seins qui enflent à n’en plus finir. Il me tarde
qu’elles me fassent jouir. Maintenant je suis servie j’ai une langue sur mon clitoris
et deux doigts dans mon cul. Je me souviens avoir poussé un grand cri quand j’ai
jouit.
Trouver une fille pour nos partouzes, maintenant que j’aime ça est difficile. Aussi
dès qu’une se présente nous n’hésitons pas. C’est maintenant notre amour qui nous
guide comme des libertines que nous sommes devenues.
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