Oral, Anal ou Normal
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Oral, Anal ou Normal
Serge Gainsbourg disait qu’une partenaire se devait d’être opérationnelle de trois côtés.
Et il racontait s’être séparé, à regret, d’une actrice splendide, probablement la plus belle de toutes les femmes des années soixante, femme mythique, au prétexte qu’elle manquait désespérément de fantaisie. De l’un des trois côtés. Il n’a pas dit lequel...
On a tous connu ces flirts avec de jeunes Américaines en échanges culturels avant 68 soit chez nous soit aux US. Et notre stupéfaction que ces grandes filles blondes, après trois bisous chastes sur les joues nous descendent subrepticement le zip du jean pour enfourner en toute amitié notre zob en pompant jusqu’à en faire jaillir le jus et le boire en toute simplicité.
En ce temps-là Clinton jurait devant la cour suprême n’avoir eu aucune relation sexuelle avec Monica. Sucer c’est pas grave. Et même bien moins pire que d’embrasser Brejnev sur la bouche durant un sommet international.
Nos copines ne nous avaient pas habitués à ce genre de privautés, nous garçons un peu attardés d’Europe.
Bon, mais c’est vite venu avec le rock, les chewing-gums, les westerns et autres comics. La civilisation, quoi...
Maintenant, à Montpellier, la fille te suce avant même que tu aies eu opportunité de lui donner ton 06 ou de noter le sien. C’est sexfriend comme truc, dit-on. En tous cas sympa.
Question cul, pareil, on était rompus aux filles d’Afrique. Surtout les filles du Nord. Tunisie, Algérie, Maroc. Bimbettes bandantes à la libido libérée et exacerbée mais bloquées par des traditions familiales d’un autre siècle. Elles disaient, nous, faut qu’on arrive vierges au mariage, alors foure moi le cul et tout restera dans l’ordre des choses. Le père, le grand frère n’auront rien à dire et puis toi t’y trouveras ton compte pareil. Même mieux vu qu’une fille du Maghreb c’est bien plus serré du cul que de la moule.
Quand à nous, je puis te dire que voilà plusieurs millénaires qu’on prend notre pied ainsi. Par là. C’est la tradition culturelle.
Par devant, c’est rien que matrice pour les bébés.
C’est que par derrière qu’on trouve, nous gazelles, félicité.
En plus, vu qu’on voit pas qui nous baise, ça rajoute un peu de mystère comme quand on était gamines et qu’on achetait au bureau de tabac des cornets surprises ou des mistral gagnants.
Normalement, disait le missionnaire, c’est sympa car on voit sa copine les yeux dans les yeux et on peut lui faire plein de bisoux et lui sourire et tout et tout. En plus on lui monte les guiboles sur nos épaules et quand on l’enfourne elle en prend plein la lampe, jusqu’à fond des ovaires.
Anormalement, mais pas mal non plus, on la retourne, le nez dans l’oreiller et les deux fesses levées. Et nos mains crochées à ses hanches on enfile profond à buter sur au delà du col, là où son plaisir prend racine. Je ne vous dis pas, quand il y a un peu de clarté dans la chambre, le bonheur de voir son petit trou strié en soleil qui s’ouvre et palpite au rythme de ses plaisirs.
L’apothéose c’est quand, agenouillée comme chatte en lordose, le bassin cambré, pleine de votre bite enfoncée elle s’ouvre et lache un pet tonitruant prélude à son orgasme de jeune fille épanouie.
Alors, heureuse ?
Et il racontait s’être séparé, à regret, d’une actrice splendide, probablement la plus belle de toutes les femmes des années soixante, femme mythique, au prétexte qu’elle manquait désespérément de fantaisie. De l’un des trois côtés. Il n’a pas dit lequel...
On a tous connu ces flirts avec de jeunes Américaines en échanges culturels avant 68 soit chez nous soit aux US. Et notre stupéfaction que ces grandes filles blondes, après trois bisous chastes sur les joues nous descendent subrepticement le zip du jean pour enfourner en toute amitié notre zob en pompant jusqu’à en faire jaillir le jus et le boire en toute simplicité.
En ce temps-là Clinton jurait devant la cour suprême n’avoir eu aucune relation sexuelle avec Monica. Sucer c’est pas grave. Et même bien moins pire que d’embrasser Brejnev sur la bouche durant un sommet international.
Nos copines ne nous avaient pas habitués à ce genre de privautés, nous garçons un peu attardés d’Europe.
Bon, mais c’est vite venu avec le rock, les chewing-gums, les westerns et autres comics. La civilisation, quoi...
Maintenant, à Montpellier, la fille te suce avant même que tu aies eu opportunité de lui donner ton 06 ou de noter le sien. C’est sexfriend comme truc, dit-on. En tous cas sympa.
Question cul, pareil, on était rompus aux filles d’Afrique. Surtout les filles du Nord. Tunisie, Algérie, Maroc. Bimbettes bandantes à la libido libérée et exacerbée mais bloquées par des traditions familiales d’un autre siècle. Elles disaient, nous, faut qu’on arrive vierges au mariage, alors foure moi le cul et tout restera dans l’ordre des choses. Le père, le grand frère n’auront rien à dire et puis toi t’y trouveras ton compte pareil. Même mieux vu qu’une fille du Maghreb c’est bien plus serré du cul que de la moule.
Quand à nous, je puis te dire que voilà plusieurs millénaires qu’on prend notre pied ainsi. Par là. C’est la tradition culturelle.
Par devant, c’est rien que matrice pour les bébés.
C’est que par derrière qu’on trouve, nous gazelles, félicité.
En plus, vu qu’on voit pas qui nous baise, ça rajoute un peu de mystère comme quand on était gamines et qu’on achetait au bureau de tabac des cornets surprises ou des mistral gagnants.
Normalement, disait le missionnaire, c’est sympa car on voit sa copine les yeux dans les yeux et on peut lui faire plein de bisoux et lui sourire et tout et tout. En plus on lui monte les guiboles sur nos épaules et quand on l’enfourne elle en prend plein la lampe, jusqu’à fond des ovaires.
Anormalement, mais pas mal non plus, on la retourne, le nez dans l’oreiller et les deux fesses levées. Et nos mains crochées à ses hanches on enfile profond à buter sur au delà du col, là où son plaisir prend racine. Je ne vous dis pas, quand il y a un peu de clarté dans la chambre, le bonheur de voir son petit trou strié en soleil qui s’ouvre et palpite au rythme de ses plaisirs.
L’apothéose c’est quand, agenouillée comme chatte en lordose, le bassin cambré, pleine de votre bite enfoncée elle s’ouvre et lache un pet tonitruant prélude à son orgasme de jeune fille épanouie.
Alors, heureuse ?
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