ORE 02 - L'avant première
Récit érotique écrit par Océane [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2022 dans la catégorie Pour la première fois
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ORE 02 - L'avant première
Océane Récits Erotiques 2Suite de mes aventures réelles, fantasmées ou les deux, à vous de choisir.
Été 1997, la mode est au look surfeur, mes cheveux sont longs, épais, blonds. Je commence a accepter mon corps, grand, androgyne, surtout depuis que j'ai appris qu'on pouvait avoir beaucoup de plaisir même si je suis encore vierge.
En vacances dans le Morbihan chez ma grand-mère, je m'ennuie ferme. Plus l'age d'être chouchouter, besoin de découvrir le monde, de rencontrer des gens. Mais dans un village rural du centre Bretagne tout les jeunes de mon âge ont déserté, pas fou... Je m'occupe donc comme je peux quand un beau jour dans le pré à côté j'aperçois un groupe de jeunes, enfin un groupe... 2 filles qui ont l'air d'avoir entre 15 et 17 ans un gars d'une dizaine d'années et un autre de 13 ans ... bref pas le Pérou mais mieux que rien. Toujours aussi timide il est hors de question de tenter une approche frontale, je montre juste en faisant deux ou trois trucs dehors en espérant me faire alpaguer. Ça à l'air de fonctionner, les deux filles me regardent, au bout d'une heure la blonde m'interpelle "Hé toi, tu t'appelles comment ? "Je réponds poliment de mon côté du grillage et la conversation s'engage.
"Hé passe de l'autre côté ce sera plus simple"Aussitôt dit, aussitôt fait. Nous discutons et j'en apprend un peu plus sur elles, Kelly la blonde a forte, trop forte, poitrine à 16 ans, pas du tout mon style mais sympa pour la discussion, Cathy la brune à 17 ans, pas une taille mannequin, mais super bien proportionnée, tout le contraire de moi en somme, J'apprends aussi qu'elles habitent un petit village à 20 minutes de vélo qu'elles sont sœur et que les deux excités sont leurs frères. Nous convenons donc de nous revoir le lendemain dans un bois aménagé de la ville voisine. J'essaie d'être le plus séduisant possible, elle me plaît bien Cathy mais maladresse, timidité, etc... j'ai rien vu venir et c'est elle qui m'a embrasser. Une galoche comme on disait a l'époque... pour un puceau de langue comme moi ce fut... une explosion, un délice, sensation exquise d'être contre un corps féminin, premier échange de fluide. La suite des vacances se déroula normalement entre deux ados flirtant, apprivoisant leurs corps, faits de gestes maladroits et d'atouchements consentis. Normalement jusqu'à LA soirée ou plutôt l'annonce de la soirée d'anniversaire de Marie. La bourge du groupe de copines dont je faisais maintenant naturellement partie, nous dormirions sur place. En fin d'après midi Cathy et moi étions seuls et mettions à profit ce moment pour nous dire que nous souhaitions aller plus loin, ce serait chez Marie. Avec le recul, planifier ça de cette manière, c'était risquer le fiasco.
Le moment fatidique approcha et nos travaux pratiques augmentèrent en fréquence et en intensité, nos mains passèrent sous les vêtements, nos baisers devienrent plus langoureux, plus fougueux, chargez d'hormones en pleine effervescence. Quelqu'un touchait enfin mon corps adolescent de gestes timides et maladroits certes mais que c'était bon, je sentais la chaleur de son corps sous mes mains, ses seins encore jeunes et fermes, ses mains passèrent sous mon jean, comme d'habitude elle menait les débats, je suivait le mouvement et glissait ma main entre son jean et sa culotte, la douceur de cette dernière, la fermeté de son cul, découverte de sensations. Nous degrafons nos pantalons pour être plus à l'aise dans nos mouvements, mais la pudeur nous empêche encore d'être nus.
Pour bien comprendre ce que vivent nos jeunes puceaux vais écrire le points de vue des deux futures bêtes de sexe :
Dans ma tête :*Ça y est j'ai plus de place, je vais enfin toucher au graal. Embrasse la, sers la fort, il faut qu'elle se sente bien et en sécurité. Reste un peu sur son cul il est si beau et si bon à toucher*Puis par dessus la culotte je passais ma main sur le devant, comme j'avais vue Édith le faire (ma belle-mère cf histoire précédente), et ne pas aller droit au but me permettait de dompter mon stress.
*OK donc elle n'est pas rasée à 100%, pas grave, c'est excitant de sentir ses poids à travers sa culotte, d'ailleurs culotte, tanga, boxer ? Je m'en fout c'est soyeux. Ouhla elle aussi s'approche, doucement contrôle toi.* Allez vas-y mets ta main entre ses jambes, mais ose bordel! Mmh ça y est elle a mis sa main sur mon sexe, c'est bon, a mon tour, c'est chaud, un peu humide... calme toi.*
CATHY :*On y est, ca devient sérieux, mmh, oui pelote mon cul, me sers pas trop fort que je puisse bouger... j'aime ton petit cul musclé, pas trop poilu, vas-y chéri approches ta main de ma chatte, oui caresse moi le pubis, je suis toute chaude, ça fait bizarre, j'ai envie de toucher ta queue mais j'ose pas. Oui, là, ta main entre mes cuisses, mmh oui vas y appuie, caresse. Eh! Pas trop fort, doucement, je sens ta queue gonflée sous ton boxer, c'est moi qui te fait cet effet? Si tu savais ce qui se passe dans ma chatte en ce moment...
Allez je me lance, je passe ma main sous ton boxer, putain c'est doux, c'est dur, je sens ton cogner sous sa peau, c'est mon nouveau jouet il est a moi, t'aime quand je le secoue comme ça?
Oui vas-y rentre ta main dans ma culotte, je mouille, j'en peux plus, oui vas-y, la c'est mon clito, tu me fais du bien reste dessus, c'est bon! J'en peux plus j'ai que ta queue à serrer, t'aime ça quand je la secoue hein, non lâche pas le clito, qu'est-ce que tu fais ? Mmh c'est pas si mal un doigt dans la chatte, oui continue, pas trop vite, la bouge pas, juste quand tu passe la c'est bon, oui c'est bon quand tu masses, putain je suis trempée continue, alors c'est ça que ça fait ? Putain que c'est bon, vas-y, masse juste là, oui, encore, ma chatte, ma chatte elle se sert j'en peux plus, je suis trempée, oui, ça sert, ouiiiiiiiiiiii*
Moi:Je suis tremblant de peur et d'excitation, à travers nos sous vêtements nous nous caressons, c'est bon mais pas suffisant !
Tu passes sous le boxer le premier contact de ta peau sur mon sexe m'excite encore plus ça fait presque mal tellement je bande, attend moi aussi j'arrive, finalement c'est très bien que tu ne sois pas rasée entièrement, j'aime sentir tes poils, je descend, c'est chaud, humide, je vais essayer de faire comme j'avais vu Édith (mon ex belle-mère) le faire, je caresse ta chatte de haut en bas, j'écarte tes les lèvres, la sensation de chaleur et d'humidité est agréable j'aimerai la voir en vrai ta chatte, j'ai envie de l'embrasser de toujours m'occuper d'elle, je remonte vers le haut, il y a un endroit particulièrement sensible, à tâton, en guettant tes réactions je le trouve, je l'excitation un peu, tu me branle vas-y continue comme ça c'est bon, je tourne mon doigt tu as l'air d'aimer ça ressemble à un bouton je fait le tour je le masse, tu halètes, me sers encore un peu plus la bite, un peu trop alors je change de stratégie et enfonce un doigt dans ta chatte, timidement j'explore la zone ta pression sur ma bite se relâche tant mieux j'étais à deux doigts de partir, je commence de vas et vient en prenant bien soin d'identifier les sensations, je veux connaître ta chatte sur le bout des doigts, il y a un endroit qui te fais du bien apparemment, un peu plus dur, qui forme une petite bosse, je te masse de l'intérieur, oui ça doit être ça tu reprends te mouvement avec panache, continue, ta chatte se sert autour de mon doigt, je sens ton cœur battre dans ton vagin je continue, tu sers et secoue ma bite de plus en plus fort, je suis au point de non retour, sous mes doigts c'est doux humide et je sens tes contractions tes cuisses tremble.....
"Eh vous êtes où on y va ou quoi?" Nos mains sortent de nos pantalons, je joins tout seul, on se regarde sans un mot.
"On arrive"Toujours sans un mot on s'embrasse, on se sert fort, c'était pas abouti mais c'était bon, dans l'oreille elle me glisse un "j'ai joui" je lui répond que moi aussi juste après qu'elle ait retiré sa main "j'ai eu de la chance " me répond-elle, "on remets ça samedi, en mieux..."
On sort de notre "planque", rejoignons le groupe, nous attendions samedi avec impatience, le soir je me brandis en sentant mes doigts, j'aimais son odeur.
La suite au prochain épisode.
Été 1997, la mode est au look surfeur, mes cheveux sont longs, épais, blonds. Je commence a accepter mon corps, grand, androgyne, surtout depuis que j'ai appris qu'on pouvait avoir beaucoup de plaisir même si je suis encore vierge.
En vacances dans le Morbihan chez ma grand-mère, je m'ennuie ferme. Plus l'age d'être chouchouter, besoin de découvrir le monde, de rencontrer des gens. Mais dans un village rural du centre Bretagne tout les jeunes de mon âge ont déserté, pas fou... Je m'occupe donc comme je peux quand un beau jour dans le pré à côté j'aperçois un groupe de jeunes, enfin un groupe... 2 filles qui ont l'air d'avoir entre 15 et 17 ans un gars d'une dizaine d'années et un autre de 13 ans ... bref pas le Pérou mais mieux que rien. Toujours aussi timide il est hors de question de tenter une approche frontale, je montre juste en faisant deux ou trois trucs dehors en espérant me faire alpaguer. Ça à l'air de fonctionner, les deux filles me regardent, au bout d'une heure la blonde m'interpelle "Hé toi, tu t'appelles comment ? "Je réponds poliment de mon côté du grillage et la conversation s'engage.
"Hé passe de l'autre côté ce sera plus simple"Aussitôt dit, aussitôt fait. Nous discutons et j'en apprend un peu plus sur elles, Kelly la blonde a forte, trop forte, poitrine à 16 ans, pas du tout mon style mais sympa pour la discussion, Cathy la brune à 17 ans, pas une taille mannequin, mais super bien proportionnée, tout le contraire de moi en somme, J'apprends aussi qu'elles habitent un petit village à 20 minutes de vélo qu'elles sont sœur et que les deux excités sont leurs frères. Nous convenons donc de nous revoir le lendemain dans un bois aménagé de la ville voisine. J'essaie d'être le plus séduisant possible, elle me plaît bien Cathy mais maladresse, timidité, etc... j'ai rien vu venir et c'est elle qui m'a embrasser. Une galoche comme on disait a l'époque... pour un puceau de langue comme moi ce fut... une explosion, un délice, sensation exquise d'être contre un corps féminin, premier échange de fluide. La suite des vacances se déroula normalement entre deux ados flirtant, apprivoisant leurs corps, faits de gestes maladroits et d'atouchements consentis. Normalement jusqu'à LA soirée ou plutôt l'annonce de la soirée d'anniversaire de Marie. La bourge du groupe de copines dont je faisais maintenant naturellement partie, nous dormirions sur place. En fin d'après midi Cathy et moi étions seuls et mettions à profit ce moment pour nous dire que nous souhaitions aller plus loin, ce serait chez Marie. Avec le recul, planifier ça de cette manière, c'était risquer le fiasco.
Le moment fatidique approcha et nos travaux pratiques augmentèrent en fréquence et en intensité, nos mains passèrent sous les vêtements, nos baisers devienrent plus langoureux, plus fougueux, chargez d'hormones en pleine effervescence. Quelqu'un touchait enfin mon corps adolescent de gestes timides et maladroits certes mais que c'était bon, je sentais la chaleur de son corps sous mes mains, ses seins encore jeunes et fermes, ses mains passèrent sous mon jean, comme d'habitude elle menait les débats, je suivait le mouvement et glissait ma main entre son jean et sa culotte, la douceur de cette dernière, la fermeté de son cul, découverte de sensations. Nous degrafons nos pantalons pour être plus à l'aise dans nos mouvements, mais la pudeur nous empêche encore d'être nus.
Pour bien comprendre ce que vivent nos jeunes puceaux vais écrire le points de vue des deux futures bêtes de sexe :
Dans ma tête :*Ça y est j'ai plus de place, je vais enfin toucher au graal. Embrasse la, sers la fort, il faut qu'elle se sente bien et en sécurité. Reste un peu sur son cul il est si beau et si bon à toucher*Puis par dessus la culotte je passais ma main sur le devant, comme j'avais vue Édith le faire (ma belle-mère cf histoire précédente), et ne pas aller droit au but me permettait de dompter mon stress.
*OK donc elle n'est pas rasée à 100%, pas grave, c'est excitant de sentir ses poids à travers sa culotte, d'ailleurs culotte, tanga, boxer ? Je m'en fout c'est soyeux. Ouhla elle aussi s'approche, doucement contrôle toi.* Allez vas-y mets ta main entre ses jambes, mais ose bordel! Mmh ça y est elle a mis sa main sur mon sexe, c'est bon, a mon tour, c'est chaud, un peu humide... calme toi.*
CATHY :*On y est, ca devient sérieux, mmh, oui pelote mon cul, me sers pas trop fort que je puisse bouger... j'aime ton petit cul musclé, pas trop poilu, vas-y chéri approches ta main de ma chatte, oui caresse moi le pubis, je suis toute chaude, ça fait bizarre, j'ai envie de toucher ta queue mais j'ose pas. Oui, là, ta main entre mes cuisses, mmh oui vas y appuie, caresse. Eh! Pas trop fort, doucement, je sens ta queue gonflée sous ton boxer, c'est moi qui te fait cet effet? Si tu savais ce qui se passe dans ma chatte en ce moment...
Allez je me lance, je passe ma main sous ton boxer, putain c'est doux, c'est dur, je sens ton cogner sous sa peau, c'est mon nouveau jouet il est a moi, t'aime quand je le secoue comme ça?
Oui vas-y rentre ta main dans ma culotte, je mouille, j'en peux plus, oui vas-y, la c'est mon clito, tu me fais du bien reste dessus, c'est bon! J'en peux plus j'ai que ta queue à serrer, t'aime ça quand je la secoue hein, non lâche pas le clito, qu'est-ce que tu fais ? Mmh c'est pas si mal un doigt dans la chatte, oui continue, pas trop vite, la bouge pas, juste quand tu passe la c'est bon, oui c'est bon quand tu masses, putain je suis trempée continue, alors c'est ça que ça fait ? Putain que c'est bon, vas-y, masse juste là, oui, encore, ma chatte, ma chatte elle se sert j'en peux plus, je suis trempée, oui, ça sert, ouiiiiiiiiiiii*
Moi:Je suis tremblant de peur et d'excitation, à travers nos sous vêtements nous nous caressons, c'est bon mais pas suffisant !
Tu passes sous le boxer le premier contact de ta peau sur mon sexe m'excite encore plus ça fait presque mal tellement je bande, attend moi aussi j'arrive, finalement c'est très bien que tu ne sois pas rasée entièrement, j'aime sentir tes poils, je descend, c'est chaud, humide, je vais essayer de faire comme j'avais vu Édith (mon ex belle-mère) le faire, je caresse ta chatte de haut en bas, j'écarte tes les lèvres, la sensation de chaleur et d'humidité est agréable j'aimerai la voir en vrai ta chatte, j'ai envie de l'embrasser de toujours m'occuper d'elle, je remonte vers le haut, il y a un endroit particulièrement sensible, à tâton, en guettant tes réactions je le trouve, je l'excitation un peu, tu me branle vas-y continue comme ça c'est bon, je tourne mon doigt tu as l'air d'aimer ça ressemble à un bouton je fait le tour je le masse, tu halètes, me sers encore un peu plus la bite, un peu trop alors je change de stratégie et enfonce un doigt dans ta chatte, timidement j'explore la zone ta pression sur ma bite se relâche tant mieux j'étais à deux doigts de partir, je commence de vas et vient en prenant bien soin d'identifier les sensations, je veux connaître ta chatte sur le bout des doigts, il y a un endroit qui te fais du bien apparemment, un peu plus dur, qui forme une petite bosse, je te masse de l'intérieur, oui ça doit être ça tu reprends te mouvement avec panache, continue, ta chatte se sert autour de mon doigt, je sens ton cœur battre dans ton vagin je continue, tu sers et secoue ma bite de plus en plus fort, je suis au point de non retour, sous mes doigts c'est doux humide et je sens tes contractions tes cuisses tremble.....
"Eh vous êtes où on y va ou quoi?" Nos mains sortent de nos pantalons, je joins tout seul, on se regarde sans un mot.
"On arrive"Toujours sans un mot on s'embrasse, on se sert fort, c'était pas abouti mais c'était bon, dans l'oreille elle me glisse un "j'ai joui" je lui répond que moi aussi juste après qu'elle ait retiré sa main "j'ai eu de la chance " me répond-elle, "on remets ça samedi, en mieux..."
On sort de notre "planque", rejoignons le groupe, nous attendions samedi avec impatience, le soir je me brandis en sentant mes doigts, j'aimais son odeur.
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