Orgasme force 7
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-07-2014 dans la catégorie A dormir debout
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Orgasme force 7
Femme absente = désordre.
C’est ce que l’on dit. Ma femme est en voyage. Je me débrouille plutôt bien pour la cuisine, le ménage. Il reste un domaine où je ne peux rien : la sexualité. Je lui ai tout appris : elle était encore vierge quand nous nous sommes rencontrés. C’était une charmante fille, une attirante femme. Ses progrès étaient spectaculaires : elle arrivait à m’en remontrer selon ses désirs. Mais voilà, sa mère est malade, elle doit aller à son chevet. J’ai à peine droit à un court coup de fil dans la matinée.
Je reste seul dans ma maison devenue trop grande. J’ouvre avec nostalgie son tiroir, celui où en femme responsable elle range ses jouets. J’y trouve tout ce qui fait son bonheur.
Je sens chaque objet, même lavés, ils gardent encore son d’odeur personnelle, l’odeur de son con ou son cul. Il me semble qu’il en manque deux ou trois. Je bande rien quand pensant où vont ses objets innocents. J’ai même la tentation d’en mettre un dans mon cul. J’arrête devant le burlesque de la situation. Je ne fais que caresser la pine comme j’aime me le faire quand je suis seul. Je suis debout devant la grande glace de la salle à manger, Je suis vite nu. J’admire mon corps d’athlète (sic). A la première sollicitation ma queue se redresse. Je bande toujours autant qu’à 20 ans. Le prépuce s’efface lentement laissant à place au gland vaguement violet. J’aime le voir jaillir de la bite.
Avant d’aller plus loin je fouille partout, mes couiles sont en place, mes fesses aussi ainsi que l’anus. Je peux revenir sur la queue. Je pose la main fermée au milieu du corps de la pine ; Je reste un instant sans bouger, j’ai envie : je ne me satisfais pas encore. D’un seul coup ma main descend, menant le prépuce vers le bas. Mes couilles remontent. Un début de plaisir prégnant arrive, je sais que je suis obligé, quoiqu’il arrive à me faire du bien. Je remonte ma main, ne peux en supporter plus, les va-et-vient ne durent pas longtemps, je sens la sève arriver, je jouis en gros bouillon sur la glace.
Je reste un peu honteux du plaisir caché que je viens de pendre Si elle avait été là, c’est elle qui m’aurait pris dans sa bouche, sucé, léché. Mon sperme serait sur sa bouche d’abord et son estomac ensuite. Je redeviens calme pour la journée.
Enfin le soir son coup de fil. Après les politesses elle passe de suite sur son besoin immédiat de jouissance. Elle me dit commencer à se titiller légèrement le sexe, sans en dire plus. Je conclue qu’elle se masturbe. Je fais comme elle, j’accompagne sa masturbation. Nous arrivons pratiquement ensemble à l’orgasme. C’est bon de jouir ensemble, même séparés par des centaines de kilomètres. Le meilleur est qu’elle m’annonce son retour. Je me creuse la cervelle pour organiser une réception appropriée.
L’après midi de sa venue, je reste avec simplement un t-shirt et un short. Elle de son coté a fait l’effort d’être sexy : une jupette de tennis, un vague chemisier ancien à moitié ouvert. Je vois sans me pencher et ses seins et sa chatte. Notre baiser, sur le quai de la gare est à regarder avec un rectangle blanc : mes mains sur ses fesses en recherche la raie, la sienne sous une jambe du short trouve directement la queue. Elle murmure dans l’oreille
- Tu m’as manqué, baises moi.
- Attends un peu.
- Non, tu bande ! Baises moi là bas dans la salle d’attente.
Elle me fait trop envie, sa proposition tente ma libido : baiser devant peut-être d’autres personne. Je ne le lui ai jamais fait.
Je soulève à peine sa jupette, sa chatte est trempée. Elle libère sa poitrine. Pratiquent nue elle se donne à ma queue. J’occupe son petit logement, je la lime, elle gémit trop fort jusqu’à attirer une autre fille qui curieuse regarde. Nous la voyons bien nous admirer. Elle n’a aucun scrupule à baisser son jean, passer sa main sur son abricot. Elle démarre ainsi une belle branlette.
Ma femme regarde la fille, est attirée par elle. Elle me laisse de mon coté alors que je la baisais parfaitement. Elle préfère caresser une inconnue, lui lécher le con. Je n’accepte pas l’abandon, je vais sur elle, j’entre ma pine dans son cul déjà bien mouillé, je la laboure, je la lime, je l’encule jusqu’à notre plaisir commun. La seule qui soit restée en route est l’inconnue.
Je vais derrière elle, ma compagne s’accroupi juste devant. Sa langue entre dans la figue bien mure. Ses mains entourent les fesses de la fille. Il me semble qu’elles me servent de guides pour poser ma queue là où je veux. Elle connait mes goûts « dépravés » pour savoir que j’aime le cul des jeunes femmes. Elle prend ma queue la serre légèrement, descend totalement le prépuce, comme s’il était gênant. Une main caresse les bourses. Je bande à nouveau. Elle me guide jusqu’à l’entrée de l’anus.
La fille réagit plutôt bien quand je la sodomise Elle garde son cul ouvert, l’élargit encore quand je suis dedans. Il me semble qu’elle s’ouvre totalement quand je décharge.
Je sors satisfait de l’orgasme : je coule encore un reste de semence. Ma compagne n’entend pas perde une seule goutte de nectar. Malgré que je sorte d’un cul étranger, elle me lèche la bite pour la nettoyer. Elle m’écœure un peu.
Nus sommes enfin de retour à la maison, elle fouille vite son tiroir : ses amis sont toujours en place. Elle se couche, pas encore totalement nue. Elle glisse un gode genre rabbit dans la chatte. Elle en sort également un tout simple et son ordre arrive
- Encules toi ;
- Tu sais que je ne sais pas me faire ça.
- C’est simple pourtant, tu te couche, tu écartes les cuisses comme je fais quand tu me la mets, tu pose de bout sur ta pastille. En forçant à peine tu l’as dans le cul : tu te caresse la queue ou je te la suce. Tu verras c’est fantastique.
Elle veut me faire connaitre de nouvelles sensations. Je vais lui faire plaisir, et en plus qu’est ce que je risque ? Par précautions je mouille d’un peu de salive le bout de la fausse queue. C’est vrai qu’elle entre facilement. L’anus avale la moitié de la queue. Je ne sais ce qui me fait jouir, sa langue ou le gode, en tout cas mon sperme s’éjecte loin de moi.
Après cette séance nous sommes, un peu plus tard à table. Pour s’ouvrir l’appétit elle prend une belle courgette, la lèche come ma bite. Elle me fait bander la garce. Elle vient s’assoir sur la table, les jambes ouvertes en ma direction. Le légume se laisse faire : il entre facilement dans le vagin. Elle se lime pour arriver à un orgasme de niveaux 7, comme les tremblements de terre. Le prochain visiteur vient du frigo, une bemme banane Elle se garde de l’éplucher. Le petit bout est préféré. Elle se le met dans l’anus. C’est étrange de voir un légume dans la chatte et un fruit dans l’anus Elle sait bien ce qu’elle fait ; elle jouit plusieurs fois en lançant vers moi un jet de cyprine pour se finir.
C’est ce que l’on dit. Ma femme est en voyage. Je me débrouille plutôt bien pour la cuisine, le ménage. Il reste un domaine où je ne peux rien : la sexualité. Je lui ai tout appris : elle était encore vierge quand nous nous sommes rencontrés. C’était une charmante fille, une attirante femme. Ses progrès étaient spectaculaires : elle arrivait à m’en remontrer selon ses désirs. Mais voilà, sa mère est malade, elle doit aller à son chevet. J’ai à peine droit à un court coup de fil dans la matinée.
Je reste seul dans ma maison devenue trop grande. J’ouvre avec nostalgie son tiroir, celui où en femme responsable elle range ses jouets. J’y trouve tout ce qui fait son bonheur.
Je sens chaque objet, même lavés, ils gardent encore son d’odeur personnelle, l’odeur de son con ou son cul. Il me semble qu’il en manque deux ou trois. Je bande rien quand pensant où vont ses objets innocents. J’ai même la tentation d’en mettre un dans mon cul. J’arrête devant le burlesque de la situation. Je ne fais que caresser la pine comme j’aime me le faire quand je suis seul. Je suis debout devant la grande glace de la salle à manger, Je suis vite nu. J’admire mon corps d’athlète (sic). A la première sollicitation ma queue se redresse. Je bande toujours autant qu’à 20 ans. Le prépuce s’efface lentement laissant à place au gland vaguement violet. J’aime le voir jaillir de la bite.
Avant d’aller plus loin je fouille partout, mes couiles sont en place, mes fesses aussi ainsi que l’anus. Je peux revenir sur la queue. Je pose la main fermée au milieu du corps de la pine ; Je reste un instant sans bouger, j’ai envie : je ne me satisfais pas encore. D’un seul coup ma main descend, menant le prépuce vers le bas. Mes couilles remontent. Un début de plaisir prégnant arrive, je sais que je suis obligé, quoiqu’il arrive à me faire du bien. Je remonte ma main, ne peux en supporter plus, les va-et-vient ne durent pas longtemps, je sens la sève arriver, je jouis en gros bouillon sur la glace.
Je reste un peu honteux du plaisir caché que je viens de pendre Si elle avait été là, c’est elle qui m’aurait pris dans sa bouche, sucé, léché. Mon sperme serait sur sa bouche d’abord et son estomac ensuite. Je redeviens calme pour la journée.
Enfin le soir son coup de fil. Après les politesses elle passe de suite sur son besoin immédiat de jouissance. Elle me dit commencer à se titiller légèrement le sexe, sans en dire plus. Je conclue qu’elle se masturbe. Je fais comme elle, j’accompagne sa masturbation. Nous arrivons pratiquement ensemble à l’orgasme. C’est bon de jouir ensemble, même séparés par des centaines de kilomètres. Le meilleur est qu’elle m’annonce son retour. Je me creuse la cervelle pour organiser une réception appropriée.
L’après midi de sa venue, je reste avec simplement un t-shirt et un short. Elle de son coté a fait l’effort d’être sexy : une jupette de tennis, un vague chemisier ancien à moitié ouvert. Je vois sans me pencher et ses seins et sa chatte. Notre baiser, sur le quai de la gare est à regarder avec un rectangle blanc : mes mains sur ses fesses en recherche la raie, la sienne sous une jambe du short trouve directement la queue. Elle murmure dans l’oreille
- Tu m’as manqué, baises moi.
- Attends un peu.
- Non, tu bande ! Baises moi là bas dans la salle d’attente.
Elle me fait trop envie, sa proposition tente ma libido : baiser devant peut-être d’autres personne. Je ne le lui ai jamais fait.
Je soulève à peine sa jupette, sa chatte est trempée. Elle libère sa poitrine. Pratiquent nue elle se donne à ma queue. J’occupe son petit logement, je la lime, elle gémit trop fort jusqu’à attirer une autre fille qui curieuse regarde. Nous la voyons bien nous admirer. Elle n’a aucun scrupule à baisser son jean, passer sa main sur son abricot. Elle démarre ainsi une belle branlette.
Ma femme regarde la fille, est attirée par elle. Elle me laisse de mon coté alors que je la baisais parfaitement. Elle préfère caresser une inconnue, lui lécher le con. Je n’accepte pas l’abandon, je vais sur elle, j’entre ma pine dans son cul déjà bien mouillé, je la laboure, je la lime, je l’encule jusqu’à notre plaisir commun. La seule qui soit restée en route est l’inconnue.
Je vais derrière elle, ma compagne s’accroupi juste devant. Sa langue entre dans la figue bien mure. Ses mains entourent les fesses de la fille. Il me semble qu’elles me servent de guides pour poser ma queue là où je veux. Elle connait mes goûts « dépravés » pour savoir que j’aime le cul des jeunes femmes. Elle prend ma queue la serre légèrement, descend totalement le prépuce, comme s’il était gênant. Une main caresse les bourses. Je bande à nouveau. Elle me guide jusqu’à l’entrée de l’anus.
La fille réagit plutôt bien quand je la sodomise Elle garde son cul ouvert, l’élargit encore quand je suis dedans. Il me semble qu’elle s’ouvre totalement quand je décharge.
Je sors satisfait de l’orgasme : je coule encore un reste de semence. Ma compagne n’entend pas perde une seule goutte de nectar. Malgré que je sorte d’un cul étranger, elle me lèche la bite pour la nettoyer. Elle m’écœure un peu.
Nus sommes enfin de retour à la maison, elle fouille vite son tiroir : ses amis sont toujours en place. Elle se couche, pas encore totalement nue. Elle glisse un gode genre rabbit dans la chatte. Elle en sort également un tout simple et son ordre arrive
- Encules toi ;
- Tu sais que je ne sais pas me faire ça.
- C’est simple pourtant, tu te couche, tu écartes les cuisses comme je fais quand tu me la mets, tu pose de bout sur ta pastille. En forçant à peine tu l’as dans le cul : tu te caresse la queue ou je te la suce. Tu verras c’est fantastique.
Elle veut me faire connaitre de nouvelles sensations. Je vais lui faire plaisir, et en plus qu’est ce que je risque ? Par précautions je mouille d’un peu de salive le bout de la fausse queue. C’est vrai qu’elle entre facilement. L’anus avale la moitié de la queue. Je ne sais ce qui me fait jouir, sa langue ou le gode, en tout cas mon sperme s’éjecte loin de moi.
Après cette séance nous sommes, un peu plus tard à table. Pour s’ouvrir l’appétit elle prend une belle courgette, la lèche come ma bite. Elle me fait bander la garce. Elle vient s’assoir sur la table, les jambes ouvertes en ma direction. Le légume se laisse faire : il entre facilement dans le vagin. Elle se lime pour arriver à un orgasme de niveaux 7, comme les tremblements de terre. Le prochain visiteur vient du frigo, une bemme banane Elle se garde de l’éplucher. Le petit bout est préféré. Elle se le met dans l’anus. C’est étrange de voir un légume dans la chatte et un fruit dans l’anus Elle sait bien ce qu’elle fait ; elle jouit plusieurs fois en lançant vers moi un jet de cyprine pour se finir.
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Toujours direct et efficace cher Baiserjouir !