Orgie or not orgie
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-02-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Orgie or not orgie
Orgie or not orgie Dialogues Interdits, ou les conversations subversives et légères de deux personnages abordant tous les sujets sexuels, même les plus tabous. Une série d’histoires complètes, dont les épisodes peuvent se lire dans n’importe quel ordre.
Un nouvel épisode chaque samedi matin à 9 H et chaque mercredi soir à 20 H.
–––––––
— Je ne t'ai plus vue, à partir d'un moment de la soirée. Tu étais où ?
— Tu n'as pas remarqué un garçon qui avait aussi disparu ?
— Il y avait trop de monde. Enfin, c'en était un que je n'avais pas remarqué.
— Pas étonnant, on n'a jamais eu les mêmes goûts en matière d'amants. Tant mieux d'ailleurs.
— C’est vrai que les quelques fois où on a baisé côte à côte, ça ne s’est jamais tellement mélangé.
— J’aime beaucoup t’observer, sans avoir envie de me farcir tes mecs. On est différentes pour tout, même sur les styles de bites ou de torses.
— Alors tu t’es tapé un seul homme ?
— Oui, et je ne connais même pas son prénom. Ou alors je ne me souviens plus.
— C’est pas du tout le concept d’une partouze que de faire du monogame.
— Je ne sais pas si on pouvait appeler ça une partouze ?
— Même chez les adeptes du genre, tout le monde n'est pas d'accord. Pour certains, c'est festoyer dans une pièce puis chacun part à deux, à trois ou plus dans des petits coins, ou des pièces voisines. Pour d’autres, c’est tous ensemble dans la même pièce jusqu’au bout de la nuit, bien au milieu dans la lumière et hop aimez-vous les uns les autres. Tu vois passer des couilles, des glands, des seins et des minous sous ton nez, derrière, devant toi. Et tu choisis ce que tu veux faire de ton sexe, de ta poitrine, de ta bouche et du reste de ton corps. Tu peux y aller à fond ou juste un peu.
— Comparé à ces nuits on est assez sages, toutes les deux. Et on ne va pas à des soirées si libertines.
— Oui, on en est encore au charmant jeune homme qu’on prend par la main et qu’on emmène dans un coin sombre. C’est aussi ce qu’il m’est arrivé hier, et j’ai pas plus d’infos sur mon amant que sur le tien. C’est le charme.
— Lui non plus, pas de prénom ?
— Si, un faux. Un flic ou un employé de l'éducation nationale, je suppose. C’était moins chaud que prévu, d’ailleurs je sais de source sûre qu'il y a au moins deux filles qui n'ont pas du tout couché.
— Comment tu sais ? Elles te l’ont dit ? Et lui t’a dit que ce n’était pas sa véritable identité ?
— Pas la peine ! Je le comprends dans la voix, dans les yeux.
— J’ai l’impression que tu es déçue…— Ben, j’aurais préféré plus de sexe cru. Avoir deux hommes, ou trois, ou être accompagnée d’autre filles, enfin je sais pas, des évènements plus inattendus quoi. Juste un amant, je peux le trouver absolument n’importe où.
— Tu aurais pu avoir plus d’initiatives.
— J’ai senti que la soirée ne s’y prêtait pas.
— Peut-être que ce qu’il nous faut, c’est une bonne grosse orgie tous les uns sur les autres. On pourrait toujours tester… et si on ne le sent pas, on regardera.
— Certains pensent que pour une partie digne de ce nom, chacun doit être dans le coup. D'autres qu'on peut regarder ou participer au choix. Faudra s’informer avant des règles convenues.
— Il n’y a pas si longtemps, je pensais qu'une orgie c'était juste de la bouffe et de l'alcool à gogo.
— L'un n'empêche pas l'autre. Les orgies viennent de la vieille Rome. Ils se réunissaient en groupe pour de la bouffe et de l'alcool, et c'était prétexte pour ensuite passer à la baise.
— Ça n'a pas tellement changé…
Un nouvel épisode chaque samedi matin à 9 H et chaque mercredi soir à 20 H.
–––––––
— Je ne t'ai plus vue, à partir d'un moment de la soirée. Tu étais où ?
— Tu n'as pas remarqué un garçon qui avait aussi disparu ?
— Il y avait trop de monde. Enfin, c'en était un que je n'avais pas remarqué.
— Pas étonnant, on n'a jamais eu les mêmes goûts en matière d'amants. Tant mieux d'ailleurs.
— C’est vrai que les quelques fois où on a baisé côte à côte, ça ne s’est jamais tellement mélangé.
— J’aime beaucoup t’observer, sans avoir envie de me farcir tes mecs. On est différentes pour tout, même sur les styles de bites ou de torses.
— Alors tu t’es tapé un seul homme ?
— Oui, et je ne connais même pas son prénom. Ou alors je ne me souviens plus.
— C’est pas du tout le concept d’une partouze que de faire du monogame.
— Je ne sais pas si on pouvait appeler ça une partouze ?
— Même chez les adeptes du genre, tout le monde n'est pas d'accord. Pour certains, c'est festoyer dans une pièce puis chacun part à deux, à trois ou plus dans des petits coins, ou des pièces voisines. Pour d’autres, c’est tous ensemble dans la même pièce jusqu’au bout de la nuit, bien au milieu dans la lumière et hop aimez-vous les uns les autres. Tu vois passer des couilles, des glands, des seins et des minous sous ton nez, derrière, devant toi. Et tu choisis ce que tu veux faire de ton sexe, de ta poitrine, de ta bouche et du reste de ton corps. Tu peux y aller à fond ou juste un peu.
— Comparé à ces nuits on est assez sages, toutes les deux. Et on ne va pas à des soirées si libertines.
— Oui, on en est encore au charmant jeune homme qu’on prend par la main et qu’on emmène dans un coin sombre. C’est aussi ce qu’il m’est arrivé hier, et j’ai pas plus d’infos sur mon amant que sur le tien. C’est le charme.
— Lui non plus, pas de prénom ?
— Si, un faux. Un flic ou un employé de l'éducation nationale, je suppose. C’était moins chaud que prévu, d’ailleurs je sais de source sûre qu'il y a au moins deux filles qui n'ont pas du tout couché.
— Comment tu sais ? Elles te l’ont dit ? Et lui t’a dit que ce n’était pas sa véritable identité ?
— Pas la peine ! Je le comprends dans la voix, dans les yeux.
— J’ai l’impression que tu es déçue…— Ben, j’aurais préféré plus de sexe cru. Avoir deux hommes, ou trois, ou être accompagnée d’autre filles, enfin je sais pas, des évènements plus inattendus quoi. Juste un amant, je peux le trouver absolument n’importe où.
— Tu aurais pu avoir plus d’initiatives.
— J’ai senti que la soirée ne s’y prêtait pas.
— Peut-être que ce qu’il nous faut, c’est une bonne grosse orgie tous les uns sur les autres. On pourrait toujours tester… et si on ne le sent pas, on regardera.
— Certains pensent que pour une partie digne de ce nom, chacun doit être dans le coup. D'autres qu'on peut regarder ou participer au choix. Faudra s’informer avant des règles convenues.
— Il n’y a pas si longtemps, je pensais qu'une orgie c'était juste de la bouffe et de l'alcool à gogo.
— L'un n'empêche pas l'autre. Les orgies viennent de la vieille Rome. Ils se réunissaient en groupe pour de la bouffe et de l'alcool, et c'était prétexte pour ensuite passer à la baise.
— Ça n'a pas tellement changé…
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