Où ça commence, où ça finit... et autres dialogues interdits

Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 240 récits publiés.
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Où ça commence, où ça finit... et autres dialogues interdits
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Où ça commence, où ça finit…
— Tu devrais arrêter maintenant…
— T’as plus du tout envie ?
— Oh c’est pas ça. Chez moi tu sais l’appétit vient en baisant, même si je suis repue, titille un peu mon corps et ça repart jusqu’au bout de la nuit.
— Alors…
— Alors c’est surtout toi qu’es crevé. Normal ! Je t’en fais pas reproche. D’abord t’as été dans la séduction, puis les caresses et cajoleries. Tu m’as donné beaucoup de plaisir et j’espère t’en avoir rendu autant. Ensuite tu m’as fort bien pénétrée, longtemps, vivement, et en plus deux fois. T’étais alors dans le désir, le besoin et l’envie. Maintenant t’as quitté l’état purement émotionnel pour être dans le mental.
— Tu crois deviner mes pensées ?
— Oui ! Tu te dis « c’est le corps dont je rêvais depuis longtemps. Il est à ma disposition pour un temps donné. Si j’en profite pas à fond je le regretterai ». Bref, tu reprends conscience de la situation. Que même si dans le feu de l’action t’as cru que mon cul t’appartenait, tu saisis que je fais que te le prêter, et encore sous conditions. Et aussi que je suis que de passage dans ce pays et qu’il y a peu de chances pour qu’on se revoie. Alors juste pour le principe d’avoir tout donné tu veux t’obliger à te dépasser, me sauter une troisième fois puis une quatrième, t’esquinter les reins et le dos jusqu’à tomber d’épuisement, ton sexe ayant l’apparence d’une petite limace toute poisseuse et dégoulinante. Pardon pour la poésie, c’est la réalité. Je suis pas télépathe, tous les garçons sont un peu pareils.
— Du vécu ?
— Forcément. Je te vexe ? Ou bien je te déçois ?
— Je m’attendais pas à ce que tu me dises ça. Non, je suis pas vexé. Plutôt épaté… je reconnais que t’as visé assez juste.
— Pourquoi pas passer à des activités plus zens ? On se fait de gentils petits massages à l’huile, je prépare du thé, on se mate un film… ce serait pas mieux ?
— Sans doute. Tu fais quoi dans la vie, psychiatre ? Docteur en psychologie comportementale ?
— Fille.
–––––––––––––––––––––––-
Dureté matinale
— Faudrait que je trouve un moyen de lui faire comprendre, pour l’érection du matin…
— Si elle est pas au jus c’est vraiment bizarre… t’es quand même pas son premier mec.
— Pour tout dire je suis son premier mec sérieux. Jusque-là c’était des hommes d’une soirée ou d’une après-midi. Elle restait jamais toute la nuit avec. L’expérience de dormir ensemble, se réveiller ensemble, prendre le café et tout, pour elle c’est du tout neuf.
— Et donc elle s’imagine que tu meurs d’envie de baiser dès le réveil ?
— En tout cas elle y résiste pas. Je suis encore à moitié endormi que je la sens déjà.
— Tu sens quoi.
— Sa main, sa chatte, sa bouche… selon son humeur. Une pipe, une branlette ou une baise, c’est selon.
— Oh mon pauvre chéri, le petit harcelé sexuel… Et tu te plains ?
— Au début c’était extra. Seulement c’est systématique. Chaque matin, sept jours sur sept, et à chaque fois jusqu’à éjaculation ! Résultat, moi qu’arrivais au boulot avec une pêche d’enfer, maintenant je débarque avec moins d’énergie. Personne comprend pourquoi… je préfère pas expliquer.
— Le sexe sape ta forme !?
— Sexe du soir patate du matin. Sexe tous les matins de l’année pas bon pour la vitalité ! Je suis tout zen, tout love… Je te rappelle que je bosse dans un cabinet d’avocats. Dans mon métier faut une dose d’agressivité, avoir les dents longues… Arriver en débordant d’amour c’est pas top pour les affaires !
— L’effet doit être inverse pour elle j’imagine ?
— Paraît que ses collègues l’ont jamais vue autant en forme.
— Elle non plus peut pas leur expliquer.
— Si, plus ou moins ! Les copines lui ont demandé son secret, elle a été très fière de leur dire. Entre filles ça discute cul encore plus facilement qu’entre mecs. Du coup, de plus en plus de ses collègues nanas cherchent à faire pareil avec leurs copains.
— Ouch…
— Et concernant ma copine, je comprends qu’elle pense à sa carrière… mais là je vais finir par la croire carriériste.
— Baiser ou se faire baiser que veux-tu, c’est vieux comme le monde…
…
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Où ça commence, où ça finit…
— Tu devrais arrêter maintenant…
— T’as plus du tout envie ?
— Oh c’est pas ça. Chez moi tu sais l’appétit vient en baisant, même si je suis repue, titille un peu mon corps et ça repart jusqu’au bout de la nuit.
— Alors…
— Alors c’est surtout toi qu’es crevé. Normal ! Je t’en fais pas reproche. D’abord t’as été dans la séduction, puis les caresses et cajoleries. Tu m’as donné beaucoup de plaisir et j’espère t’en avoir rendu autant. Ensuite tu m’as fort bien pénétrée, longtemps, vivement, et en plus deux fois. T’étais alors dans le désir, le besoin et l’envie. Maintenant t’as quitté l’état purement émotionnel pour être dans le mental.
— Tu crois deviner mes pensées ?
— Oui ! Tu te dis « c’est le corps dont je rêvais depuis longtemps. Il est à ma disposition pour un temps donné. Si j’en profite pas à fond je le regretterai ». Bref, tu reprends conscience de la situation. Que même si dans le feu de l’action t’as cru que mon cul t’appartenait, tu saisis que je fais que te le prêter, et encore sous conditions. Et aussi que je suis que de passage dans ce pays et qu’il y a peu de chances pour qu’on se revoie. Alors juste pour le principe d’avoir tout donné tu veux t’obliger à te dépasser, me sauter une troisième fois puis une quatrième, t’esquinter les reins et le dos jusqu’à tomber d’épuisement, ton sexe ayant l’apparence d’une petite limace toute poisseuse et dégoulinante. Pardon pour la poésie, c’est la réalité. Je suis pas télépathe, tous les garçons sont un peu pareils.
— Du vécu ?
— Forcément. Je te vexe ? Ou bien je te déçois ?
— Je m’attendais pas à ce que tu me dises ça. Non, je suis pas vexé. Plutôt épaté… je reconnais que t’as visé assez juste.
— Pourquoi pas passer à des activités plus zens ? On se fait de gentils petits massages à l’huile, je prépare du thé, on se mate un film… ce serait pas mieux ?
— Sans doute. Tu fais quoi dans la vie, psychiatre ? Docteur en psychologie comportementale ?
— Fille.
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Dureté matinale
— Faudrait que je trouve un moyen de lui faire comprendre, pour l’érection du matin…
— Si elle est pas au jus c’est vraiment bizarre… t’es quand même pas son premier mec.
— Pour tout dire je suis son premier mec sérieux. Jusque-là c’était des hommes d’une soirée ou d’une après-midi. Elle restait jamais toute la nuit avec. L’expérience de dormir ensemble, se réveiller ensemble, prendre le café et tout, pour elle c’est du tout neuf.
— Et donc elle s’imagine que tu meurs d’envie de baiser dès le réveil ?
— En tout cas elle y résiste pas. Je suis encore à moitié endormi que je la sens déjà.
— Tu sens quoi.
— Sa main, sa chatte, sa bouche… selon son humeur. Une pipe, une branlette ou une baise, c’est selon.
— Oh mon pauvre chéri, le petit harcelé sexuel… Et tu te plains ?
— Au début c’était extra. Seulement c’est systématique. Chaque matin, sept jours sur sept, et à chaque fois jusqu’à éjaculation ! Résultat, moi qu’arrivais au boulot avec une pêche d’enfer, maintenant je débarque avec moins d’énergie. Personne comprend pourquoi… je préfère pas expliquer.
— Le sexe sape ta forme !?
— Sexe du soir patate du matin. Sexe tous les matins de l’année pas bon pour la vitalité ! Je suis tout zen, tout love… Je te rappelle que je bosse dans un cabinet d’avocats. Dans mon métier faut une dose d’agressivité, avoir les dents longues… Arriver en débordant d’amour c’est pas top pour les affaires !
— L’effet doit être inverse pour elle j’imagine ?
— Paraît que ses collègues l’ont jamais vue autant en forme.
— Elle non plus peut pas leur expliquer.
— Si, plus ou moins ! Les copines lui ont demandé son secret, elle a été très fière de leur dire. Entre filles ça discute cul encore plus facilement qu’entre mecs. Du coup, de plus en plus de ses collègues nanas cherchent à faire pareil avec leurs copains.
— Ouch…
— Et concernant ma copine, je comprends qu’elle pense à sa carrière… mais là je vais finir par la croire carriériste.
— Baiser ou se faire baiser que veux-tu, c’est vieux comme le monde…
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