Ou comment le jardinier est devenu le défricheur. 6
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ou comment le jardinier est devenu le défricheur. 6
Ou comment le jardinier est devenu le « défricheur ». 6
Résumé de l’épisode précédent :
Convoqué chez La Mère Supérieure, Je passe un test d’aptitude pour devenir l’étalon du couvent de jeunes filles.
On dirait qu’elle a oublié qu’elle se trouvait dans le bureau de la Mère Supérieure, son cerveau était comme déconnecté, elle lécha mon dard sur toute sa longueur plusieurs fois avant que sa bouche ne s’immobilisa délicatement sur mon gland et me reprît en bouche et avec une ferveur sans égal.
Elle avait une science très approfondie et me suçait et me pompait comme aucune de mes si récentes conquêtes.
Elle faisait pénétrer si loin dans sa gorge ma flamberge, arrivant presque à mettre son nez dans ma toison pubienne, que quand elle retirait sa bouche sous des haut-le cœur, ma queue était recouverte d’une quantité phénoménale de salive dont les filets s’étendaient de ma queue à sa bouche.
Puis elle s’attaqua à me lécher les testicules tout en me masturbant fermement avec une main ferme mais si douce avant de me reprendre en bouche. On dirait qu’elle veut enfourner ma queue au plus profond de sa gorge en attendant d’avaler des giclées de mon foutre tout chaud.
- Regarde l’effet que tu produis sur les femmes… Même Mère Thérèse n’a d’yeux que pour ta poutre. Elle ne peut détacher son regard de ton outil et je suis sûre qu’elle a la culotte toute mouillée, à cause de toi !
A ce moment là, la Mère Supérieure se rapprocha encore, le rouge aux joues. Madame Clerc se releva et ses lèvres chaudes se posèrent sur les miennes, une langue experte envahie ma bouche pour y danser un ballet langoureux avec la mienne.
Puis elle regarda Mère Thérèse et lui pris la main pour la poser sur mon jonc dressé :
- Quand pensez-vous ma Mère? Il fera l’affaire ? Touchez pour vous rendre compte de l’épi vraiment exceptionnel de ce jeune godelureau. Vous sentez comme il est dur ?
- Que me faîtes-vous faire là, je ne veux pas y toucher ! S’offusqua la mère Supérieure
Elle était rouge de honte, Mais sa main s’attarda beaucoup plus que de raison avant de se retirer, ne quittant plus des yeux mon entrejambe. Puis elle posa une question :
- Il est vraiment monté comme un âne. Vous n’avez pas peur qu’il blesse nos protégées ?
-Non ma Mère, je préparerai bien ces petites bourgeoises avec des manants du coin pour quelques pièces avant de leur faire connaître ce fût si épais.
J’étais là à les entendre parler de moi comme d’un taureau bon reproducteur à qui l’on veut faire saillir tout un troupeau de Génisses. Je n’étais qu’un instrument pour elles.
-Je vous donne carte blanche... Mais quand est-t-il de l’autre particularité que l’on nous a signalée ? Pouvez-vous aller plus loin avec lui que je puisse me rendre compte si ce n’est pas des affabulations ?
-Bien volontiers ma Mère, rétorqua Mme Clerc, je m'atèle à la tâche !
Elle enroula ses deux mains étroitement autour de mon membre plein de vigueur, faisant glisser ses doigts jusqu’à la base massive. Elle regardait d’un œil connaisseur, admirant l’instrument entre ses mains.
Pendant qu’une main m’entourait la verge, elle glissa l’autre vers la raie de mes fesses et s’égara sur mon anus. Soudain, elle se mit à me lécher le cul, puis la raie et enfin mon petit trou. Sa langue s’aventurait en un lieu qu’aucune des autres femmes n’avaient exploré.
J’écartais plus les jambes afin qu’elle accéda plus facilement à mon anus, qu’elle lécha avec obstination avant d’y enfoncer sa langue, ne cessant pas de me branler. Je ne pus retenir mes mots en gémissant, appréciant son savoir faire :
- Oh oui que c’est bon !!!
Elle revint sur mon manche et repris sa fellation démoniaque en ces lieux bénits. Je sentais une main branler avec vigueur ma bite.
Elle me dévorait le gland de sa bouche pendant que de son autre main, elle me malaxait les couilles. J’étais au bord du non-retour, le méat commençait à suinter des gouttes de sperme.
Elle s’en aperçu du bout de la langue et retira sa bouche me branlant de plus en plus violemment en m’apostrophant :
- Essaie de te retenir encore un peu, ce n’en sera que meilleur.
J’essayai de me retenir, gagnant quelques précieuses secondes en serrant les dents mais j’avais dépassé le point de non-retour.
Vicieusement, se rendant compte de l’imminence de l’éruption, elle accéléra encore sa branlette.
Malgré toute ma bonne volonté, je n’avais plus la maîtrise sur mes organes reproducteurs.
Dans un râle, je sentis l’énorme pression accumulée dans mes burnes se libérer dans ma lance qui propulsa un long jet de ma semence dans les airs.
Mais par un malencontreux hasard, la Mère Supérieure se trouvait sur la trajectoire et ma semence s’écrasa sur sa soutane, la maculant d’une grande trace blanchâtre.
Madame Clerc, la bouche ouverte regardait la catastrophe quand le second jet sortit du tuyau, tout aussi puissant et doublant l’injure sur les vêtements religieux. Elle se ressaisit et pour éviter que les salves suivantes ne continuent leurs œuvres, elle prit en bouche mon gourdin juste à temps pour accueillir ma 3ème salve.
Se rappelant des confidences des nonnes, elle ne céda pas à l’envie de sortir ma bite de sa bouche pour en apprécier les sucs mais repris sa branlette en m‘agitant frénétiquement le poireau.
Deux autres giclées toujours aussi espacées dans le temps, finirent par faire dégorger de sa bouche le trop-plein qui lui macula le menton.
Après un moment de silence, Mère Thérèse s’écria :
-Jésus-Marie-Joseph, c’est pas Dieu possible !!!!
Madame Clerc renchérissait :
-Je les prenais pour des affabulatrices mais je dois admettre qu’elles n’ont pas menti, il éjacule en pointillé, quand on croit que c’est fini, ça recommence encore et encore, quel étalon !!!
Et elle me chuchota dans le creux de l’oreille :
J’espère que tu as gardé des forces... Moi aussi, je veux ta vigueur en moi. Je n’en ai pas fini avec toi !!! Allez… Rhabille-toi et va m’attendre dans la salle d’à coté.
Quand je quittai le bureau, j’entendis Madame Clerc dire :
-Ma mère, avec un tel phénomène, si nos futures élèves passent brillamment « la pratique » avec lui, rien ne pourra les surprendre et leur résister dans la vie !
Elle me rejoignit quelques minutes après dans la pièce attenante………
A suivre……………….
Résumé de l’épisode précédent :
Convoqué chez La Mère Supérieure, Je passe un test d’aptitude pour devenir l’étalon du couvent de jeunes filles.
On dirait qu’elle a oublié qu’elle se trouvait dans le bureau de la Mère Supérieure, son cerveau était comme déconnecté, elle lécha mon dard sur toute sa longueur plusieurs fois avant que sa bouche ne s’immobilisa délicatement sur mon gland et me reprît en bouche et avec une ferveur sans égal.
Elle avait une science très approfondie et me suçait et me pompait comme aucune de mes si récentes conquêtes.
Elle faisait pénétrer si loin dans sa gorge ma flamberge, arrivant presque à mettre son nez dans ma toison pubienne, que quand elle retirait sa bouche sous des haut-le cœur, ma queue était recouverte d’une quantité phénoménale de salive dont les filets s’étendaient de ma queue à sa bouche.
Puis elle s’attaqua à me lécher les testicules tout en me masturbant fermement avec une main ferme mais si douce avant de me reprendre en bouche. On dirait qu’elle veut enfourner ma queue au plus profond de sa gorge en attendant d’avaler des giclées de mon foutre tout chaud.
- Regarde l’effet que tu produis sur les femmes… Même Mère Thérèse n’a d’yeux que pour ta poutre. Elle ne peut détacher son regard de ton outil et je suis sûre qu’elle a la culotte toute mouillée, à cause de toi !
A ce moment là, la Mère Supérieure se rapprocha encore, le rouge aux joues. Madame Clerc se releva et ses lèvres chaudes se posèrent sur les miennes, une langue experte envahie ma bouche pour y danser un ballet langoureux avec la mienne.
Puis elle regarda Mère Thérèse et lui pris la main pour la poser sur mon jonc dressé :
- Quand pensez-vous ma Mère? Il fera l’affaire ? Touchez pour vous rendre compte de l’épi vraiment exceptionnel de ce jeune godelureau. Vous sentez comme il est dur ?
- Que me faîtes-vous faire là, je ne veux pas y toucher ! S’offusqua la mère Supérieure
Elle était rouge de honte, Mais sa main s’attarda beaucoup plus que de raison avant de se retirer, ne quittant plus des yeux mon entrejambe. Puis elle posa une question :
- Il est vraiment monté comme un âne. Vous n’avez pas peur qu’il blesse nos protégées ?
-Non ma Mère, je préparerai bien ces petites bourgeoises avec des manants du coin pour quelques pièces avant de leur faire connaître ce fût si épais.
J’étais là à les entendre parler de moi comme d’un taureau bon reproducteur à qui l’on veut faire saillir tout un troupeau de Génisses. Je n’étais qu’un instrument pour elles.
-Je vous donne carte blanche... Mais quand est-t-il de l’autre particularité que l’on nous a signalée ? Pouvez-vous aller plus loin avec lui que je puisse me rendre compte si ce n’est pas des affabulations ?
-Bien volontiers ma Mère, rétorqua Mme Clerc, je m'atèle à la tâche !
Elle enroula ses deux mains étroitement autour de mon membre plein de vigueur, faisant glisser ses doigts jusqu’à la base massive. Elle regardait d’un œil connaisseur, admirant l’instrument entre ses mains.
Pendant qu’une main m’entourait la verge, elle glissa l’autre vers la raie de mes fesses et s’égara sur mon anus. Soudain, elle se mit à me lécher le cul, puis la raie et enfin mon petit trou. Sa langue s’aventurait en un lieu qu’aucune des autres femmes n’avaient exploré.
J’écartais plus les jambes afin qu’elle accéda plus facilement à mon anus, qu’elle lécha avec obstination avant d’y enfoncer sa langue, ne cessant pas de me branler. Je ne pus retenir mes mots en gémissant, appréciant son savoir faire :
- Oh oui que c’est bon !!!
Elle revint sur mon manche et repris sa fellation démoniaque en ces lieux bénits. Je sentais une main branler avec vigueur ma bite.
Elle me dévorait le gland de sa bouche pendant que de son autre main, elle me malaxait les couilles. J’étais au bord du non-retour, le méat commençait à suinter des gouttes de sperme.
Elle s’en aperçu du bout de la langue et retira sa bouche me branlant de plus en plus violemment en m’apostrophant :
- Essaie de te retenir encore un peu, ce n’en sera que meilleur.
J’essayai de me retenir, gagnant quelques précieuses secondes en serrant les dents mais j’avais dépassé le point de non-retour.
Vicieusement, se rendant compte de l’imminence de l’éruption, elle accéléra encore sa branlette.
Malgré toute ma bonne volonté, je n’avais plus la maîtrise sur mes organes reproducteurs.
Dans un râle, je sentis l’énorme pression accumulée dans mes burnes se libérer dans ma lance qui propulsa un long jet de ma semence dans les airs.
Mais par un malencontreux hasard, la Mère Supérieure se trouvait sur la trajectoire et ma semence s’écrasa sur sa soutane, la maculant d’une grande trace blanchâtre.
Madame Clerc, la bouche ouverte regardait la catastrophe quand le second jet sortit du tuyau, tout aussi puissant et doublant l’injure sur les vêtements religieux. Elle se ressaisit et pour éviter que les salves suivantes ne continuent leurs œuvres, elle prit en bouche mon gourdin juste à temps pour accueillir ma 3ème salve.
Se rappelant des confidences des nonnes, elle ne céda pas à l’envie de sortir ma bite de sa bouche pour en apprécier les sucs mais repris sa branlette en m‘agitant frénétiquement le poireau.
Deux autres giclées toujours aussi espacées dans le temps, finirent par faire dégorger de sa bouche le trop-plein qui lui macula le menton.
Après un moment de silence, Mère Thérèse s’écria :
-Jésus-Marie-Joseph, c’est pas Dieu possible !!!!
Madame Clerc renchérissait :
-Je les prenais pour des affabulatrices mais je dois admettre qu’elles n’ont pas menti, il éjacule en pointillé, quand on croit que c’est fini, ça recommence encore et encore, quel étalon !!!
Et elle me chuchota dans le creux de l’oreille :
J’espère que tu as gardé des forces... Moi aussi, je veux ta vigueur en moi. Je n’en ai pas fini avec toi !!! Allez… Rhabille-toi et va m’attendre dans la salle d’à coté.
Quand je quittai le bureau, j’entendis Madame Clerc dire :
-Ma mère, avec un tel phénomène, si nos futures élèves passent brillamment « la pratique » avec lui, rien ne pourra les surprendre et leur résister dans la vie !
Elle me rejoignit quelques minutes après dans la pièce attenante………
A suivre……………….
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Sublime
un drôle d'examen, mais je voudrais bien être à sa place
il s'en passe de belles dans les couvents..................
bravo, de plus en plus fort, s'il arrive même à faire mouiller la supérieure du couvent........................