Ou s'arretera -t-elle ??
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 850 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.1
- • L'ensemble des récits érotiques de Georges ont reçu un total de 13 708 825 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-05-2016 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 5 825 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Ou s'arretera -t-elle ??
Seulement six mois que Lana vingt quatre ans et moi José vingt six, somment mariés, une vie commune de bonheur sans nuages, je ne me lasse pas d’observer nue a son insu comme le ferait un voyeur, ses gestes naturels, sa cambrure délicate, ses seins arrogants et par-dessus tout ce p’tit cul insolent, bref j’en suis fou amoureux et apparemment elle me le rend bien même si je ne considère pas être a sa hauteur
Parfois, après avoir fait intensément l’amour je la sens nostalgique comme si elle voulait m’avouer un secret, pourtant elle ne simule pas ses orgasmes puissants, alors qu’est-ce qui la perturbe autant ?
Un jour, alanguis sur le lit, sa main posée sur mon membre redevenu flasque, las de ce quiproquo je lui ai posé la question …
- Qu’est ce qui te chagrine Lana chérie ?
- Absolument rien mon amour, pourquoi cette question ?
- Je te connais à la perfection, ne me ment pas
- Eh bien c’est … ah ce n’est pas facile, jure moi que tu ne va pas te fâcher ?
- Promis juré, alors ?
- Tu te souviens de notre voyage de noce aux Baléares ?
- Comme si c’était hier, une semaine à ne faire que l’amour Mmmuuuuummm ! pourquoi cette question ?
- Ce soir là, a la tombée de la nuit nous étions dans les rochers …
- Et je t’ai divinement fait l’amour, nus les pieds dans l’eau, comment oublier ce merveilleux souvenir où tu n’as jamais jouis autant !
- C’est exactement ça que je ressasse dans ma tête
- J’ai fais quelque chose qui t’as froissée ce jour là ?
- Que non ! tu m’as merveilleusement baisée, mais …
- Mais ????
- Je n’ai jamais osé te l’avouer mais un homme nous regardait
- Bahhh ! et alors ?
- Et alors c’est pour cela que mon orgasme c’est autant décuplé
- Tu veux dire que d’être vue t’as excitée ?
- Bien sûr, cet homme manipulait une queue hors du commun, j’ai jouis comme une folle lorsqu’il a déchargé sur le rocher, sa langue pourléchait ses lèvres, ses yeux sortaient de ses orbites en épiant nos mouvements, il imaginait sans doute sa verge dans mon vagin
- Tu veux dire qu’as ce moment là tu aurais aimé qu’il te baise ?
- Tout au moins toucher ce gros champignon violacé qu’il décalottait lentement pendant que ta queue labourait merveilleusement ma chatte, tu es fâché José ?
- Disons que ça me surprend …
- Surpris mais excité, ta queue est redevenue dure dans ma main
- Ce n’est pas banal de découvrir que ça femme a eu envie de se faire sauter par un inconnu après seulement trois jour de mariage et en même temps ça me fait des choses
- Qu’aurais tu fais si tu avais découvert que nous étions observés ?
- Je t’aurais préservée de son regard
- Tu ferais de même aujourd’hui ?
- Ne me dis pas que … tu aimerais reproduire la même situation ?
- A chaque fois que j’y repense ça me fait mouiller, touche ma chattoune …
- Une vraie fontaine, ta chatte est complètement dilatée
- Bais-moi encore !
- Tu veux repenser à ce bel étalon ?
- Enfonce toi vite je ne tiens plus !
- Tiiiiiieeeeeeeeennnnnnnns salope !
- AAAAaaaaaaaaaahhhhhhhhhhooooooooooouuuuuuuuuuuuuiiiiiii !
- Tu le vois ce mystérieux amant ?
- Ouuuuuiiiiii… il me pénètre en force avec son membre extraordinairement raide
- Ça te fait du bien ?
- Oooohhoui ! renouvelons cette expérience mon amour
- Tu aimerais que je t’exhibe ?
- Oui...
- Que je te fasse baiser par un inconnu ?
- Oui …
- Équipé d’une grosse bite
- Oui, faisons-le …
- Nous verrons...
- Promet le moi …
- Promis …
- Quand ?
- Quand tu veux
- Mais où ?
- Laisse-moi réfléchir … il y a bien cet aire d’autoroute où les routiers stationnent pour leur temps de repos …
- Tu crois que ça ferait l’affaire ?
- Il a la réputation d’avoir les cloisons des WC des dames transformés en gruyère
- C’est exactement ce qu’il nous faut ! tu me baiseras devant les voyeurs
- Nous risquons d’être dépassés par les événements
- Tu es fort chéri tu me protégeras
- Noooooooooooonnnnnnnn ! putain tu me fais décharger !
- Tu n’as jamais été aussi raide !
- Et toi jamais aussi inondée
Les deux jours suivent elle m’a harcelé de questions et savoir quand nous allions y aller, devant cet acharnement j’ai cédé, le samedi matin je lui ai demandé de s’habiller en conséquence, pour elle ‘en conséquence’ c’est une micro robe sans rien dessous, ah si ! un triangle de tulle sur ses lèvres soigneusement épilées que j’ai vu se tremper au fil des kilomètres, la robe étant trop courte pour cacher son entrejambes
Une berline qui se gare parmi des poids lourds ne passe pas inaperçue, nous sommes juste derrière ces fameux WC, loin du passage des véhicules, endroit idéal pour faire de l’exhibe, des lauriers protègent le mur soit disant percé de trous, avant toute chose je décide d’aller repérer les lieux, trois mecs qui parlaient entre eux me surveillent afin de connaitre mes intentions, je me faufile entre deux arbustes par un passage apparemment fréquenté , et là je découvre dans la brique des trous de différentes tailles a différentes hauteur suivant l’endroit du corps a mater, des nanas osent aller pisser ici ??? une odeur d’urine et surement d’autre ‘liquides’ plane je suppose qu’a l’intérieur ont y meurt d’asphyxie !
De retour a la voiture je surprends Lana qui a sa main entre ses cuisses, elle joue avec son clito par son slip écarté, je reste posté a coté de sa vitre a moitié baissée jouant le voyeur ça n’échappe pas aux routiers qui commencent à marcher vers nous
- Je suis prête mon amour !
- Tant mieux car ‘ils’ s’amènent par ici
- Je baisse mon siège ?
- Oui
- Tu bande ?
- Oui, tu mouille ?
- A ton avis ? je suis ouverte comme une huitre, lèche mes doigts et tu connaîtras le goût de ma sève !
- Salope !
Très vite je suis entouré par les hommes qui jasent entre eux avant de m’apostropher
- Elle est avec vous cette nana ?
- Oui
- C’est votre femme ?
- Oui
- Elle se touche la moule cette chaudasse !
- Vous compter faire quoi avec votre femme ?
- Je ne sais pas, vous promettez d’être discrets ?
- Nous avons intérêt
- Nous ferons le guet soyez rassuré
- Dans ce cas je vais la baiser devant vous
- A poil ?
- Chérie ?
- Oui amour ?
- Sort de la voiture
- Ça tombe bien j’ai envie de faire pipi
- Chouette ! nous allons mater son urine gicler de sa chatte
- Si vous voulez messieurs, tu regarde aussi chéri ?
- S’il reste un trou de libre dans la cloison certainement !
- A vous l’honneur monsieur !
Lana fait le tour de la bâtisse, défigurée par un regard lubrique sachant que ces hommes qui se massent déjà la braguette vont la convoiter, elle entre sans prendre le soin de fermer le verrou puis, enjambant la cuvette turc retrousse sa robe, écarte son string enfondu de mouille, sans doute a cause du stress la pisse tarde à venir, les hommes soufflent comme des bœufs guettant le premier jet doré
- José, vient a mon secours ça ne veut pas venir
- Je peux y aller monsieur ?
Avant que je n’aie pus sortir une parole le gars est déjà à la porte qu’il referme malgré les protestations de ma femme qui finalement accepte de se faire palper l’entrejambe, ça lui fait sans doute du bien car elle fait un collier de ses bras au cou du chauffeur, son bassin accuse des à-coups incontrôlables au gré des doigts qui fouille sa matrice, des clapotis annonce l’arrivée du jet libérateur, des gouttes jaillissent en tous sens éclaboussant les jambes des deux complices
- Il va la baiser ce con !
- Vous croyez ?
- Regardez-le plier les genoux ! il cherche l’entrée du con
- LANA ! LANA ! pas ça ! pas ça !
Seuls des gémissements de satisfaction me répondent jusqu’au cri inhumain au moment où elle est sans doute embrochée par la pine qui la soulève quasiment de terre a chaque coups de reins, autour de moi ce n’est que branlettes et soupirs d’envie, je dois me résigner, ma femme se fait baiser par un inconnu sans capote, même si j’ai une boule a l’estomac ça ne m’empêche pas de sortir ma queue et de la secouer comme le font les autres, je dois me calmer si je ne veux conserver ma semence pour la mélanger a celle de son amant , je décolle mon œil du trou pour rejoindre mon épouse qui beugle en clamant des termes que je n’ai jamais entendu dans sa bouche pudique
Elle me regarde entrer à peine surprise par-dessus l’épaule de son baiseur qui la secoue comme un prunier, sa robe roulée a la taille son string étiré sur une fesses, il règne dans ce taudis une odeur acre de pisse et du ‘reste’, ce relent bestial incite a l’orgie, je m’approche du couple pour baisser la fermeture de la robe et dégage tant bien que mal ses seins, son vêtement forme une ceinture épaisse a ses hanches j’attrape un coté de la culotte et tire d’un coups sec arrachant ce rempart ridicule devenu superflu ne protégeant en rien sa vertu, les autre gars sont entrés avec nous je suis vite débordé et repoussé sur le côte , y’en a même un qui se retrouvant inoccupé saisit ma bite pour me branler, surpris je le laisse faire puis craignant que Lana s’en aperçoive je repousse la main… presqu’à regret
j’assiste impuissant au pelotage de ma chérie par une quantité innombrable de mains, celui qui la fourrait se retire la queue encore dégoulinante de foutre, c’est la ruée, il est remplacé aussitôt aidé par un complice qui lui écarte les fesses et cherche à faire sa place, il ne reste qu’un trou de disponible… son anus certainement graissé de sécrétions va faciliter la pénétration du membre , coincée entre les hommes elle ne risque pas de choir, ont lui tire les mains pour les poser sur des bites afin qu’elle les secoue
Visiblement en transe elle répond par l’affirmative lorsqu’ils la traitent de pute de salope de chienne, chaudasse, sac a bites et j’en passe, je ne compte plus ses orgasmes violents et ses partenaires qui se succèdent dans ses orifices, sous elle une flaque de liquide immonde formée par un ruisseau qui dégouline le long de ses jambes jusque dans ses chaussures
Enfin les deux derniers déchargent et daignent la lâcher, elle se retrouve à genoux, je m’approche de Lana qui a encore les yeux hagards
- Pardon chéri ils m’ont forcée…
- Tu n’as pas l’air tellement traumatisée
- Suis-moi aux lavabos pour limiter les dégâts
- J’ai mal partout
- Bien fait pour toi !
- Chéri ?
- Quoi ? tu en veux encore ?
- J’aimerais te regarder te faire sucer …
- Me faire sucer ? tu divague ?
- C’était pourtant bien parti tout à l’heure quand le gars te masturbait ?
- J’étais tellement captivé par les mecs qui te baisaient que je ne m’en étais pas aperçu
- Aller, fait moi plaisir tu avais fait la moitié du chemin, retournons aux WC
- Deux minutes pour te contenter
- Je vais commencer à te sucer pour les appâter
A genoux Lana embouche ma bite à demi bandée, le résultat ne se fait pas attendre, deux gars entrent pour nous mater, sans me lâcher elle leur fait des signes
- Vous voulez que je suce votre mari ? bon, laissez-moi la place
- Tu vois chéri ce n’est pas compliqué !
- Et toi ? que va-tu faire ?
- Te regarder jouir pardi
- Voulez vous me pomper pendant que votre homme se fait faire une pipe ?
- Mon mari ne veut pas …chéri ? je peux sucer monsieur ?
- Suce-le mais je t’interdis de te faire prendre la chatte
Je ferme les yeux pour savourer cette délicieuse fellation faite par un homme, soudain des gémissements me tirent de ma béatitude …courbée en deux ma femme se fait troncher a grands coups de queue tout en suçant un autre mec …. OU S’ARRÊTERA CETTE SALOPE ….
Parfois, après avoir fait intensément l’amour je la sens nostalgique comme si elle voulait m’avouer un secret, pourtant elle ne simule pas ses orgasmes puissants, alors qu’est-ce qui la perturbe autant ?
Un jour, alanguis sur le lit, sa main posée sur mon membre redevenu flasque, las de ce quiproquo je lui ai posé la question …
- Qu’est ce qui te chagrine Lana chérie ?
- Absolument rien mon amour, pourquoi cette question ?
- Je te connais à la perfection, ne me ment pas
- Eh bien c’est … ah ce n’est pas facile, jure moi que tu ne va pas te fâcher ?
- Promis juré, alors ?
- Tu te souviens de notre voyage de noce aux Baléares ?
- Comme si c’était hier, une semaine à ne faire que l’amour Mmmuuuuummm ! pourquoi cette question ?
- Ce soir là, a la tombée de la nuit nous étions dans les rochers …
- Et je t’ai divinement fait l’amour, nus les pieds dans l’eau, comment oublier ce merveilleux souvenir où tu n’as jamais jouis autant !
- C’est exactement ça que je ressasse dans ma tête
- J’ai fais quelque chose qui t’as froissée ce jour là ?
- Que non ! tu m’as merveilleusement baisée, mais …
- Mais ????
- Je n’ai jamais osé te l’avouer mais un homme nous regardait
- Bahhh ! et alors ?
- Et alors c’est pour cela que mon orgasme c’est autant décuplé
- Tu veux dire que d’être vue t’as excitée ?
- Bien sûr, cet homme manipulait une queue hors du commun, j’ai jouis comme une folle lorsqu’il a déchargé sur le rocher, sa langue pourléchait ses lèvres, ses yeux sortaient de ses orbites en épiant nos mouvements, il imaginait sans doute sa verge dans mon vagin
- Tu veux dire qu’as ce moment là tu aurais aimé qu’il te baise ?
- Tout au moins toucher ce gros champignon violacé qu’il décalottait lentement pendant que ta queue labourait merveilleusement ma chatte, tu es fâché José ?
- Disons que ça me surprend …
- Surpris mais excité, ta queue est redevenue dure dans ma main
- Ce n’est pas banal de découvrir que ça femme a eu envie de se faire sauter par un inconnu après seulement trois jour de mariage et en même temps ça me fait des choses
- Qu’aurais tu fais si tu avais découvert que nous étions observés ?
- Je t’aurais préservée de son regard
- Tu ferais de même aujourd’hui ?
- Ne me dis pas que … tu aimerais reproduire la même situation ?
- A chaque fois que j’y repense ça me fait mouiller, touche ma chattoune …
- Une vraie fontaine, ta chatte est complètement dilatée
- Bais-moi encore !
- Tu veux repenser à ce bel étalon ?
- Enfonce toi vite je ne tiens plus !
- Tiiiiiieeeeeeeeennnnnnnns salope !
- AAAAaaaaaaaaaahhhhhhhhhhooooooooooouuuuuuuuuuuuuiiiiiii !
- Tu le vois ce mystérieux amant ?
- Ouuuuuiiiiii… il me pénètre en force avec son membre extraordinairement raide
- Ça te fait du bien ?
- Oooohhoui ! renouvelons cette expérience mon amour
- Tu aimerais que je t’exhibe ?
- Oui...
- Que je te fasse baiser par un inconnu ?
- Oui …
- Équipé d’une grosse bite
- Oui, faisons-le …
- Nous verrons...
- Promet le moi …
- Promis …
- Quand ?
- Quand tu veux
- Mais où ?
- Laisse-moi réfléchir … il y a bien cet aire d’autoroute où les routiers stationnent pour leur temps de repos …
- Tu crois que ça ferait l’affaire ?
- Il a la réputation d’avoir les cloisons des WC des dames transformés en gruyère
- C’est exactement ce qu’il nous faut ! tu me baiseras devant les voyeurs
- Nous risquons d’être dépassés par les événements
- Tu es fort chéri tu me protégeras
- Noooooooooooonnnnnnnn ! putain tu me fais décharger !
- Tu n’as jamais été aussi raide !
- Et toi jamais aussi inondée
Les deux jours suivent elle m’a harcelé de questions et savoir quand nous allions y aller, devant cet acharnement j’ai cédé, le samedi matin je lui ai demandé de s’habiller en conséquence, pour elle ‘en conséquence’ c’est une micro robe sans rien dessous, ah si ! un triangle de tulle sur ses lèvres soigneusement épilées que j’ai vu se tremper au fil des kilomètres, la robe étant trop courte pour cacher son entrejambes
Une berline qui se gare parmi des poids lourds ne passe pas inaperçue, nous sommes juste derrière ces fameux WC, loin du passage des véhicules, endroit idéal pour faire de l’exhibe, des lauriers protègent le mur soit disant percé de trous, avant toute chose je décide d’aller repérer les lieux, trois mecs qui parlaient entre eux me surveillent afin de connaitre mes intentions, je me faufile entre deux arbustes par un passage apparemment fréquenté , et là je découvre dans la brique des trous de différentes tailles a différentes hauteur suivant l’endroit du corps a mater, des nanas osent aller pisser ici ??? une odeur d’urine et surement d’autre ‘liquides’ plane je suppose qu’a l’intérieur ont y meurt d’asphyxie !
De retour a la voiture je surprends Lana qui a sa main entre ses cuisses, elle joue avec son clito par son slip écarté, je reste posté a coté de sa vitre a moitié baissée jouant le voyeur ça n’échappe pas aux routiers qui commencent à marcher vers nous
- Je suis prête mon amour !
- Tant mieux car ‘ils’ s’amènent par ici
- Je baisse mon siège ?
- Oui
- Tu bande ?
- Oui, tu mouille ?
- A ton avis ? je suis ouverte comme une huitre, lèche mes doigts et tu connaîtras le goût de ma sève !
- Salope !
Très vite je suis entouré par les hommes qui jasent entre eux avant de m’apostropher
- Elle est avec vous cette nana ?
- Oui
- C’est votre femme ?
- Oui
- Elle se touche la moule cette chaudasse !
- Vous compter faire quoi avec votre femme ?
- Je ne sais pas, vous promettez d’être discrets ?
- Nous avons intérêt
- Nous ferons le guet soyez rassuré
- Dans ce cas je vais la baiser devant vous
- A poil ?
- Chérie ?
- Oui amour ?
- Sort de la voiture
- Ça tombe bien j’ai envie de faire pipi
- Chouette ! nous allons mater son urine gicler de sa chatte
- Si vous voulez messieurs, tu regarde aussi chéri ?
- S’il reste un trou de libre dans la cloison certainement !
- A vous l’honneur monsieur !
Lana fait le tour de la bâtisse, défigurée par un regard lubrique sachant que ces hommes qui se massent déjà la braguette vont la convoiter, elle entre sans prendre le soin de fermer le verrou puis, enjambant la cuvette turc retrousse sa robe, écarte son string enfondu de mouille, sans doute a cause du stress la pisse tarde à venir, les hommes soufflent comme des bœufs guettant le premier jet doré
- José, vient a mon secours ça ne veut pas venir
- Je peux y aller monsieur ?
Avant que je n’aie pus sortir une parole le gars est déjà à la porte qu’il referme malgré les protestations de ma femme qui finalement accepte de se faire palper l’entrejambe, ça lui fait sans doute du bien car elle fait un collier de ses bras au cou du chauffeur, son bassin accuse des à-coups incontrôlables au gré des doigts qui fouille sa matrice, des clapotis annonce l’arrivée du jet libérateur, des gouttes jaillissent en tous sens éclaboussant les jambes des deux complices
- Il va la baiser ce con !
- Vous croyez ?
- Regardez-le plier les genoux ! il cherche l’entrée du con
- LANA ! LANA ! pas ça ! pas ça !
Seuls des gémissements de satisfaction me répondent jusqu’au cri inhumain au moment où elle est sans doute embrochée par la pine qui la soulève quasiment de terre a chaque coups de reins, autour de moi ce n’est que branlettes et soupirs d’envie, je dois me résigner, ma femme se fait baiser par un inconnu sans capote, même si j’ai une boule a l’estomac ça ne m’empêche pas de sortir ma queue et de la secouer comme le font les autres, je dois me calmer si je ne veux conserver ma semence pour la mélanger a celle de son amant , je décolle mon œil du trou pour rejoindre mon épouse qui beugle en clamant des termes que je n’ai jamais entendu dans sa bouche pudique
Elle me regarde entrer à peine surprise par-dessus l’épaule de son baiseur qui la secoue comme un prunier, sa robe roulée a la taille son string étiré sur une fesses, il règne dans ce taudis une odeur acre de pisse et du ‘reste’, ce relent bestial incite a l’orgie, je m’approche du couple pour baisser la fermeture de la robe et dégage tant bien que mal ses seins, son vêtement forme une ceinture épaisse a ses hanches j’attrape un coté de la culotte et tire d’un coups sec arrachant ce rempart ridicule devenu superflu ne protégeant en rien sa vertu, les autre gars sont entrés avec nous je suis vite débordé et repoussé sur le côte , y’en a même un qui se retrouvant inoccupé saisit ma bite pour me branler, surpris je le laisse faire puis craignant que Lana s’en aperçoive je repousse la main… presqu’à regret
j’assiste impuissant au pelotage de ma chérie par une quantité innombrable de mains, celui qui la fourrait se retire la queue encore dégoulinante de foutre, c’est la ruée, il est remplacé aussitôt aidé par un complice qui lui écarte les fesses et cherche à faire sa place, il ne reste qu’un trou de disponible… son anus certainement graissé de sécrétions va faciliter la pénétration du membre , coincée entre les hommes elle ne risque pas de choir, ont lui tire les mains pour les poser sur des bites afin qu’elle les secoue
Visiblement en transe elle répond par l’affirmative lorsqu’ils la traitent de pute de salope de chienne, chaudasse, sac a bites et j’en passe, je ne compte plus ses orgasmes violents et ses partenaires qui se succèdent dans ses orifices, sous elle une flaque de liquide immonde formée par un ruisseau qui dégouline le long de ses jambes jusque dans ses chaussures
Enfin les deux derniers déchargent et daignent la lâcher, elle se retrouve à genoux, je m’approche de Lana qui a encore les yeux hagards
- Pardon chéri ils m’ont forcée…
- Tu n’as pas l’air tellement traumatisée
- Suis-moi aux lavabos pour limiter les dégâts
- J’ai mal partout
- Bien fait pour toi !
- Chéri ?
- Quoi ? tu en veux encore ?
- J’aimerais te regarder te faire sucer …
- Me faire sucer ? tu divague ?
- C’était pourtant bien parti tout à l’heure quand le gars te masturbait ?
- J’étais tellement captivé par les mecs qui te baisaient que je ne m’en étais pas aperçu
- Aller, fait moi plaisir tu avais fait la moitié du chemin, retournons aux WC
- Deux minutes pour te contenter
- Je vais commencer à te sucer pour les appâter
A genoux Lana embouche ma bite à demi bandée, le résultat ne se fait pas attendre, deux gars entrent pour nous mater, sans me lâcher elle leur fait des signes
- Vous voulez que je suce votre mari ? bon, laissez-moi la place
- Tu vois chéri ce n’est pas compliqué !
- Et toi ? que va-tu faire ?
- Te regarder jouir pardi
- Voulez vous me pomper pendant que votre homme se fait faire une pipe ?
- Mon mari ne veut pas …chéri ? je peux sucer monsieur ?
- Suce-le mais je t’interdis de te faire prendre la chatte
Je ferme les yeux pour savourer cette délicieuse fellation faite par un homme, soudain des gémissements me tirent de ma béatitude …courbée en deux ma femme se fait troncher a grands coups de queue tout en suçant un autre mec …. OU S’ARRÊTERA CETTE SALOPE ….
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Georges
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Donc la femme est assez conne pour avoir de niquer dans 1 endroit qui pue le moisi le tout sans capotes.
Comme ça elle re fourguera toutes les IST à son mari elle est taree.
Comme ça elle re fourguera toutes les IST à son mari elle est taree.
la suite vite