Paintball
Récit érotique écrit par lelivredejeremie [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Paintball
Jonah me regarde, dépité, après avoir relevé les yeux de la tache blanche qui macule son t-shirt.
- Vas-y, Jérémie, tu dois sauver l’honneur de l’équipe rouge, tu es le dernier, en face, il ne reste qu’Alexis, fuis, essaie de rejoindre la base sans être atteint ! Vas-y, moi, je suis foutu.
Ridicule.
Il était un peu moins piteux ce matin, quand, premiers arrivés, après avoir réceptionné le matériel, il avait refermé sur nous le vestiaire pour me proposer ‘un coup vite fait bien fait’…
La partie de paintball marque la fin de la semaine d’intégration à la fac, où il n’a pratiquement pas dessaoulé, et m’a baisé comme un bourrin, mais la nuit dernière a été sobre, j’ai eu envie de lui accorder une ultime chance de me prouver ce qu’il vaut. Sauf qu’écrasé sur un banc de bois… Vite fait, check ! Pour le reste…
- Jonah, non, pas si loin, ça fait mal ! ai-je crié, au moment où la poignée de la porte s’agitait, suivie de coups sur le battant.
- T’es pas profond, mais t’es putain de serrééé… Jérémie, c’est trop booon… je v… je vaaais…
- On n’est pas protégés, pas en moi, j’aime paaas ! ai-je gémi, sous ses derniers coups de queue erratiques, qui m’ont pourtant rempli de son sperme épais.
- Ooooh oui, ouiiiii ! il a grogné.
Et là, il se la joue ‘Je suis foutu’ ? C’est décidé, je le benne, le plus mauvais coup que je me sois fait, je vais pas me le trainer plus longtemps ! Puis, sérieux, un peu dramatique pour une bête partie de paintball, mais bon, c’est du Jonah pur jus, ça… Après, me sauver, c’était jouable, avec son mètre quatre-vingt-dix, et les décimales en poids, près du double du mien, je pouvais semer Alexis ! Sauf qu’il a une solide endurance, et que non content de maintenir la distance, il prend le temps de s’arrêter pour viser et d’éclater ses munitions sur les troncs d’arbre que je dépasse.
Je vérifie mon chargeur, pour réaliser qu’il ne me reste qu’une cartouche ! D’où il est, à portée de vue, il a dû remarquer ma grimace de dépit. Je dois l’attirer dans un piège, mais comment ? Oh ! Cette construction délabrée, peut-être ? Je m’y suis calé au mur, dans le coin le plus sombre.
— Jééérééémie… Mon petit Jérémie… Je sais que tu es là, je vais entrer… ♫ If you go down to the woods today, you're sure of a big surprise ♫
Mais de quoi parle-t-il, là ? Et comment… ? Oh ! Du mouvement à la porte, j’ai tiré ma dernière cartouche – sans le toucher - suivie du cliquetis maintenant inutile de mon doigt sur la gâchette.
— Il t’en restait donc une… a-t-il murmuré en entrant. ‘’Tu m’as surpris, avec ton air dépité, je pensais que ton chargeur était vide, tu es très expressif, tu le sais, cela ?’’
— Que veux-tu dire ? Et comment connais-tu mon prénom ?
— Le vestiaire, mec ! J’avais reconnu la voix de Jonah, sans savoir qui il baisait, puis il l’a beuglé…
— C’était toi, à la porte ?
— Ouaip ! Ensuite, quand il a présenté votre équipe, au regard que vous avez échangé… puis à ta façon de le regarder… Et ensuite de me fixer alors que j’enfilais mes protections. Vraiment très expressif… Vous êtes ensemble ?’’
— Non ! Enfin, on n’est plus… Mais tu le connais bien ?
— Je l’ai baisé, aussi réactif qu’un oreiller ! Pas plus terrible en mode actif, plutôt décevant, non ? Ton ressenti ?
— Un peu idem, ouais, comme pas mal de mecs au final, ai-je claqué, un peu pour le défier.
— On a trente-cinq minutes avant la fin de la partie, il n’y a plus que nous, je peux… te faire changer d’avis ?
J’en reviens toujours pas d’avoir accepté, même en mode vengeance sur Jonah, et d’avoir cambré le cul, la joue collée au mur, c’était parti pour être la baise la plus sordide du monde, sauf que…
— Tu veux pas t’allonger sur le dos ?
— Hein ?
— L’autre trouduc ne connait que la levrette et te l’a surement imposée, mais tu es mignon, j’aime voir le plaisir sur le visage de mon mec… Et je te préfèrerais entièrement nu, mais là, pousse juste ton shorty jusqu’à tes pieds, et je te prends de face, ok ?
J’ai obéi, et j’ai tapé me chevilles sur son épaule gauche, m’attendant à une pénétration brusque.
Il a légèrement écarté mes cuisses pour y faire courir sa langue, qui s’est attardée sur ma molle, mon scrotum et mon périnée, pour finir par patiemment me saliver le sphincter.
— Oh, c’est… Oooooh !
— Je peux ?
— Viens, oui, vieeeeens !
Lentement, centimètre par centimètre, il m’a pénétré, attentif à mes réactions… ‘’Pas trop loin, si j’ai bien compris ?
— J’ai le… Aaaaah ! Oui, comme ça… J’ai le coude du cô… Oooooh… côlon sensible.
— Plutôt prostatique, donc ? a-t-il demandé.
— Je pense… Aaaah, oui, ainsi, c’est bon, juste trop bon, là !
— Je le vois, regarde…
J’ai posé les yeux sur mon gland, éclos de mon prépuce, qui laissait suinter un filet clair, avant de réaliser que je bandais.
— Touche-toi, fais-toi plaisir… a-t-il murmuré, en poussant plus loin.
Mon poing serré sur ma queue a à peine bougé, la jouissance m’a saisi et, loin d’une éjaculation habituelle, mon sperme a coulé sur mes doigts en quantité inédite. ‘C’est quoi, ça… ?’’
— Orgasme anal, tu n’es pas que prostatique, Jérémie…
— Oooh, c’est booon ! Mais toi, tu… ?
— A ce que j’ai entendu ce matin, tu ne préfères pas…
— Pas en moi, s’il te plait.
Il a souri, s’est retiré, et a reposé mes jambes sur le sol, avant de remonter sur mon corps ‘’Alors, permets-moi…’’ et de se masturber pour se répandre sur mon t-shirt.
Je pense qu’en des années sur PornHub, je n’ai jamais rien vu d’aussi beau que son prépuce épais que couvrait et découvrait son gland, et son méat palpitant qui éjectait sa semence nacrée sur moi…
— C’était pas plus respectueux, désolé…
— Non ! C’est moi qui le suis, j’aurais dû faire ça ! ai-je glapi, en saisissant ses cuisses pour avaler son membre qui se courbait doucement, repousser des lèvres son prépuce et nettoyer de la langue son gland d’où coulaient les dernières gouttes se son sperme salé.
— J’espère que c’était agréable pour toi ? Sois honnête, s’il te plait, m’a-t-il demandé, avec humilité, alors que nous rejoignions la base.
— Oui ! Pour qui tu es, pour ce que tu fais, déjà le respect… ai-je admis.
— Alors, je suis heureux, peut-être qu’on pourrait se revoir… a-t-il osé, en posant la main sur mes reins en un geste doux.
On a rejoint les autres joueurs...
— Pas d’impacts ! a clamé Jonah à notre retour. ‘’Match nul, donc !’’
— Oh, je ne crois pas, a répondu Alexis en en montrant la tache de sa semence que le soleil avait séchée sur mon tee-shirt. ‘’Nous avions les cartouches blanches, j’ai touché Jérémie, on a gagné !’’ Avant de s’adresser à moi. ‘’Tu en penses quoi ?’’
— Que toi, tu m’as gagné, ai-je admis.
- Vas-y, Jérémie, tu dois sauver l’honneur de l’équipe rouge, tu es le dernier, en face, il ne reste qu’Alexis, fuis, essaie de rejoindre la base sans être atteint ! Vas-y, moi, je suis foutu.
Ridicule.
Il était un peu moins piteux ce matin, quand, premiers arrivés, après avoir réceptionné le matériel, il avait refermé sur nous le vestiaire pour me proposer ‘un coup vite fait bien fait’…
La partie de paintball marque la fin de la semaine d’intégration à la fac, où il n’a pratiquement pas dessaoulé, et m’a baisé comme un bourrin, mais la nuit dernière a été sobre, j’ai eu envie de lui accorder une ultime chance de me prouver ce qu’il vaut. Sauf qu’écrasé sur un banc de bois… Vite fait, check ! Pour le reste…
- Jonah, non, pas si loin, ça fait mal ! ai-je crié, au moment où la poignée de la porte s’agitait, suivie de coups sur le battant.
- T’es pas profond, mais t’es putain de serrééé… Jérémie, c’est trop booon… je v… je vaaais…
- On n’est pas protégés, pas en moi, j’aime paaas ! ai-je gémi, sous ses derniers coups de queue erratiques, qui m’ont pourtant rempli de son sperme épais.
- Ooooh oui, ouiiiii ! il a grogné.
Et là, il se la joue ‘Je suis foutu’ ? C’est décidé, je le benne, le plus mauvais coup que je me sois fait, je vais pas me le trainer plus longtemps ! Puis, sérieux, un peu dramatique pour une bête partie de paintball, mais bon, c’est du Jonah pur jus, ça… Après, me sauver, c’était jouable, avec son mètre quatre-vingt-dix, et les décimales en poids, près du double du mien, je pouvais semer Alexis ! Sauf qu’il a une solide endurance, et que non content de maintenir la distance, il prend le temps de s’arrêter pour viser et d’éclater ses munitions sur les troncs d’arbre que je dépasse.
Je vérifie mon chargeur, pour réaliser qu’il ne me reste qu’une cartouche ! D’où il est, à portée de vue, il a dû remarquer ma grimace de dépit. Je dois l’attirer dans un piège, mais comment ? Oh ! Cette construction délabrée, peut-être ? Je m’y suis calé au mur, dans le coin le plus sombre.
— Jééérééémie… Mon petit Jérémie… Je sais que tu es là, je vais entrer… ♫ If you go down to the woods today, you're sure of a big surprise ♫
Mais de quoi parle-t-il, là ? Et comment… ? Oh ! Du mouvement à la porte, j’ai tiré ma dernière cartouche – sans le toucher - suivie du cliquetis maintenant inutile de mon doigt sur la gâchette.
— Il t’en restait donc une… a-t-il murmuré en entrant. ‘’Tu m’as surpris, avec ton air dépité, je pensais que ton chargeur était vide, tu es très expressif, tu le sais, cela ?’’
— Que veux-tu dire ? Et comment connais-tu mon prénom ?
— Le vestiaire, mec ! J’avais reconnu la voix de Jonah, sans savoir qui il baisait, puis il l’a beuglé…
— C’était toi, à la porte ?
— Ouaip ! Ensuite, quand il a présenté votre équipe, au regard que vous avez échangé… puis à ta façon de le regarder… Et ensuite de me fixer alors que j’enfilais mes protections. Vraiment très expressif… Vous êtes ensemble ?’’
— Non ! Enfin, on n’est plus… Mais tu le connais bien ?
— Je l’ai baisé, aussi réactif qu’un oreiller ! Pas plus terrible en mode actif, plutôt décevant, non ? Ton ressenti ?
— Un peu idem, ouais, comme pas mal de mecs au final, ai-je claqué, un peu pour le défier.
— On a trente-cinq minutes avant la fin de la partie, il n’y a plus que nous, je peux… te faire changer d’avis ?
J’en reviens toujours pas d’avoir accepté, même en mode vengeance sur Jonah, et d’avoir cambré le cul, la joue collée au mur, c’était parti pour être la baise la plus sordide du monde, sauf que…
— Tu veux pas t’allonger sur le dos ?
— Hein ?
— L’autre trouduc ne connait que la levrette et te l’a surement imposée, mais tu es mignon, j’aime voir le plaisir sur le visage de mon mec… Et je te préfèrerais entièrement nu, mais là, pousse juste ton shorty jusqu’à tes pieds, et je te prends de face, ok ?
J’ai obéi, et j’ai tapé me chevilles sur son épaule gauche, m’attendant à une pénétration brusque.
Il a légèrement écarté mes cuisses pour y faire courir sa langue, qui s’est attardée sur ma molle, mon scrotum et mon périnée, pour finir par patiemment me saliver le sphincter.
— Oh, c’est… Oooooh !
— Je peux ?
— Viens, oui, vieeeeens !
Lentement, centimètre par centimètre, il m’a pénétré, attentif à mes réactions… ‘’Pas trop loin, si j’ai bien compris ?
— J’ai le… Aaaaah ! Oui, comme ça… J’ai le coude du cô… Oooooh… côlon sensible.
— Plutôt prostatique, donc ? a-t-il demandé.
— Je pense… Aaaah, oui, ainsi, c’est bon, juste trop bon, là !
— Je le vois, regarde…
J’ai posé les yeux sur mon gland, éclos de mon prépuce, qui laissait suinter un filet clair, avant de réaliser que je bandais.
— Touche-toi, fais-toi plaisir… a-t-il murmuré, en poussant plus loin.
Mon poing serré sur ma queue a à peine bougé, la jouissance m’a saisi et, loin d’une éjaculation habituelle, mon sperme a coulé sur mes doigts en quantité inédite. ‘C’est quoi, ça… ?’’
— Orgasme anal, tu n’es pas que prostatique, Jérémie…
— Oooh, c’est booon ! Mais toi, tu… ?
— A ce que j’ai entendu ce matin, tu ne préfères pas…
— Pas en moi, s’il te plait.
Il a souri, s’est retiré, et a reposé mes jambes sur le sol, avant de remonter sur mon corps ‘’Alors, permets-moi…’’ et de se masturber pour se répandre sur mon t-shirt.
Je pense qu’en des années sur PornHub, je n’ai jamais rien vu d’aussi beau que son prépuce épais que couvrait et découvrait son gland, et son méat palpitant qui éjectait sa semence nacrée sur moi…
— C’était pas plus respectueux, désolé…
— Non ! C’est moi qui le suis, j’aurais dû faire ça ! ai-je glapi, en saisissant ses cuisses pour avaler son membre qui se courbait doucement, repousser des lèvres son prépuce et nettoyer de la langue son gland d’où coulaient les dernières gouttes se son sperme salé.
— J’espère que c’était agréable pour toi ? Sois honnête, s’il te plait, m’a-t-il demandé, avec humilité, alors que nous rejoignions la base.
— Oui ! Pour qui tu es, pour ce que tu fais, déjà le respect… ai-je admis.
— Alors, je suis heureux, peut-être qu’on pourrait se revoir… a-t-il osé, en posant la main sur mes reins en un geste doux.
On a rejoint les autres joueurs...
— Pas d’impacts ! a clamé Jonah à notre retour. ‘’Match nul, donc !’’
— Oh, je ne crois pas, a répondu Alexis en en montrant la tache de sa semence que le soleil avait séchée sur mon tee-shirt. ‘’Nous avions les cartouches blanches, j’ai touché Jérémie, on a gagné !’’ Avant de s’adresser à moi. ‘’Tu en penses quoi ?’’
— Que toi, tu m’as gagné, ai-je admis.
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