Papy et la sauterelle (4)
Récit érotique écrit par Janus04 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2021 dans la catégorie Plus on est
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Papy et la sauterelle (4)
Papy et la sauterelle
4-Plus on est de fous, plus on jouit
Fidèles à leur rendez-vous hebdomadaire, ils se retrouvaient donc chaque mercredi et le rituel était immuable : fellation initiale puis pénétration vaginale assise sur les genoux de Papy et enfin le verre partagé, cognac pour lui et jus de fruit pour elle. De temps en temps, bien qu’elle n’y éprouve pas autant de plaisir mais sachant qu’Antoine appréciait cet exercice, Maud consentait à une sodo. Tout était donc sans imprévu.
Aussi fut-elle surprise et un peu contrariée, cet après-midi-là, de constater qu’Antoine n’était pas seul. Le visiteur était un homme de taille moyenne, sensiblement du même âge que son hôte, cheveux blancs et barbe soigneusement taillée.
« Sauterelle, je te présente Paul, ancien collègue, professeur en retraite et ami de longue date. » L’homme s’avança vers Maud et lui fit un cérémonieux baisemain tempéré par un amical : ‘Mes hommages, sauterelle.
-Enchantée, Professeur. » Un peu inquiète, elle craignit que la visite de cet importun remette en cause la baise tant attendue une semaine durant. Mais elle fut vite rassurée.
« Sauterelle, si tu n’as pas d’objection, Paul serait heureux d’assister en voyeur à nos ébats. Es-tu d’accord ? » Soulagée et rassurée, elle accepta, amusée à l’idée de cette nouvelle expérience. Sans plus tarder elle s’accroupit donc devant Papy qui avait pris place sur s chaise et entreprit sa fellation. Tandis qu’elle suçait elle jeta un coup d’œil en direction de Paul. Celui-ci, installé sur le canapé, avait sorti son sexe de son pantalon et le caressait doucement. Elle constata qu’il semblait moins imposant que celui de Papy, ce qui la fit sourire intérieurement.
Les choses suivant leur cours habituel, elle se trouva bientôt dos tourné à Papy qui introduisait sa bite dans la chatte humide et frémissante, non sans avoir au préalable procuré à la sauterelle un premier orgasme par un savant titillement de son clitoris. Maud était toujours stupéfaite de l’effet que produisaient les caresses de Papy. Frôlement savant, petits attouchements répétés du clitoris, pressions entre deux doigts et mouvements lents de masturbation de ce petit bouton dont elle avait découvert grâce à lui l’extrême sensibilité la transportaient immanquablement.
Tout en jouissant du va-et-vient de cette verge dans son vagin en chaleur, elle remarqua que le professeur avait soigneusement enveloppé son pénis dans un vaste mouchoir sans doute pour éviter tout débordement, ce qui s’avéra utile car il ne tarda pas à éjaculer avec un « Mmmmm… » de satisfaction. Papy jouit à son tour et ils demeurèrent tous trois silencieux, savourant, satisfaits, ce moment de grâce.
Ils s’étaient rajustés et buvaient leur verre en silence. Paul paraissait un peu gêné, sans doute peu habitué à ce qui venait de se passer. Maud au contraire se sentait étonnamment à l’aise. Elle rompit le silence, une idée lui ayant traversé l’esprit : « Ça vous a plu, Professeur ?
-Oui, oui. C’était très agréable.
-Pourtant c’est un peu triste de se faire plaisir tout seul.
-Oui, bien sûr, c’est un peu frustrant mais…-Si vous pensez revenir mercredi prochain, j’ai moi aussi une amie de longue date… (elle rit) …Je peux dire ça puisqu’on est copines depuis l’école primaire ! Je ne promets rien mais je pense qu’elle pourrait vous tenir compagnie, Professeur.
-He bien je ne sais pas si… »Antoine intervint : « Excellente idée, sauterelle ! Paul, je t’interdis de refuser, tu m’entends.
Sauterelle, j’espère que ta camarade sera d’accord.»
C’est donc ainsi que Maud et sa copine Leila se retrouvèrent le mercredi suivant à retirer en pouffant leur petite culotte sur le palier de Papy. Leila, bien qu’assez timide, s’était laissée convaincre par son amie de l’accompagner dans cette aventure. De mère maghrébine, elle était de petite taille, menue, peau mate et cheveux bruns frisés. Plutôt mignonne en somme. Moins délurée que son amie, elle n’était pas vierge mais n’avais eu jusque-là qu’un petit copain. Si elle s’était laissée entrainer par Maud elle était toutefois un peu inquiète en entrant dans l’appartement.
On fit les présentations. Paul réitéra son baisemain aux deux filles. Leila fut troublée à l’idée qu’il aurait pu être son professeur. De son côté il pensait aux nombreuses tentations auxquelles il avait su résister au cours de sa carrière. En somme c’était un fantasme qui était sur le point de se réaliser et cela le perturbait un peu.
Paul n’avait jamais été ni un dragueur ni un séducteur. Sa femme l’avait quitté trois ans auparavant après une longue et heureuse vie conjugale et sa vie sexuelle s’était alors résumée au visionnage en solitaire de quelques vidéo porno et à un unique recours décevant aux services d’une escort.
Il invita la jeune fille à s’assoir auprès de lui sur le canapé. Comme le lui avait conseillé Maud, elle entreprit de déboutonner la braguette de Paul. Celui-ci l’aida en se débarrassant de son pantalon. Son sexe formait déjà une proéminence prometteuse dans le caleçon bleu marine. Comme elle se penchait dans sa direction, il l’arrêta : « Veux-tu d’abord te dévêtir, j’aimerais te voir nue, ma puce. » Elle se leva, fit glisser sa minijupe à ses pieds et se départit de son pull et de son T-shirt. Ses seins minuscules rendaient superflu l’usage du soutien-gorge. Pour se donner de l’assurance elle dit : « Cela vous plait, Professeur ?
-Beaucoup, ma puce, beaucoup. » Il avait la gorge serrée, ému par ce qui s’offrait à lui, ce corps juvénile, délicat, ces petits tétons brunâtres, ce petit abricot bombé comme posé au sein d’une fine toison brune… Il l’attira contre lui.
Du côté de l’autre couple, au lieu de la laisser lui faire la fellation habituelle, Antoine avait fait assoir Maud sur ses genoux, « pour voir un peu ce qui allait se passer », avait-il déclaré. Quand Leila se fut déshabillée, il plaisanta en pinçant un des tétons de Maud : « Avec vous deux, les filles, il ne faut pas espérer une branlette espagnole !
-Dis donc Papy, ce qu’on fait ne te suffit pas, répliqua-t-elle sur un ton faussement fâché en lui donnant une tape sur la main. Tu vas voir ! » Prenant l’initiative, elle enfourcha Antoine de face cette fois-ci, introduisit sans plus attendre son sexe en érection dans sa chatte et entreprit de le chevaucher avec fougue. Pour une fois, Antoine s’abandonna à sa partenaire. Les yeux dans les yeux ils sentirent leur plaisir se conjuguer, s’intensifier, leur respiration s’accélérer. Et à l’instant même où elle comprit qu’il allait éjaculer, Maud sauta des genoux de son amant, s’accroupit et saisit sa bite entre ses lèvres juste à temps pour recevoir les jets de sperme dans la bouche. Les yeux clos, les mains sur la tête de la jeune fille, le vieil homme jouissait en grognant doucement. Elle se releva, déglutit et, plantée devant lui, s’exclama : Alors, Papy, ça vaut bien une branlette espagnole, non ? »Il l’attira à lui, la fit rassoir sur ses genoux et ils échangèrent un long baiser tandis qu’elle caressait doucement sa bite qui revenait progressivement au repos.
Indifférents à tout cela, Paul et Leila étaient eux aussi fort occupés. Paul avait d’abord contemplé en silence la nudité de la fille puis l’avait faite allonger sur le canapé. Lui écartant doucement les jambes, il pouvait admirer le petit abricot fendu d’une ligne nette, une fente minuscule à peine entrouverte. Il se pencha, approcha lentement les lèvres et les posa délicatement, presque un effleurement, sur ce sexe offert. Leila retenait son souffle. Elle sentit le contact de cette bouche, d’abord léger puis plus appuyé, elle sentit la langue qui s’immisçait entre les bords de sa vulve, elle tressaillit brusquement quand cette langue atteignit son clitoris, puis fut emportée dans une tempête, une succession d’orgasmes tandis que la langue s’agitait en tous sens. Quelque chose se produisit alors, quelque chose de nouveau pour elle : de petits jets jaillirent de son sexe affolé, un liquide que Paul lapa immédiatement avant de s’allonger sur elle.
Elle sentit sa queue s’introduire au plus profond de son vagin, aller et venir, encore et encore, jusqu’à ce qu’enfin, tendue, cambrée, elle sente le sperme l’inonder et qu’elle retombe, épuisée, à demi écrasée sous le corps de Paul. Elle pouvait seulement répéter, dans un souffle : « He bien, Professeur… He bien, Professeur… » Il se redressa enfin, s’assit sur le canapé et elle vint se blottir contre lui. Antoine s’approcha pour leur tendre respectivement un cognac et un jus de fruit. Elle demanda timidement : Je voudrais bien un peu d’alcool, moi aussi.
-Tu as l’air d’en avoir besoin, en effet, jeune fille, dit-il en riant. »
Une fois dans la rue, les deux filles firent quelques pas sans mot dire. Leila rompit le silence : « C’est juste un truc de ouf, meuf ! J’ai kifé grave. Sérieux, je veux plus baiser qu’avec des vieux !
-Alors tu reviens mercredi ?
-Carrément !
-Cool ! Et tu es juste une grosse pute.
-Dis donc meuf, c’est à toi qu’il a filé la tune ! » Antoine avait eu la délicatesse de doubler la somme qu’il avait glissé dans la poche du blouson de Maud. Elles rirent toutes les deux, faisant se retourner une vieille dame qui leur sourit, envieuse de leur gaité juvénile. ù
4-Plus on est de fous, plus on jouit
Fidèles à leur rendez-vous hebdomadaire, ils se retrouvaient donc chaque mercredi et le rituel était immuable : fellation initiale puis pénétration vaginale assise sur les genoux de Papy et enfin le verre partagé, cognac pour lui et jus de fruit pour elle. De temps en temps, bien qu’elle n’y éprouve pas autant de plaisir mais sachant qu’Antoine appréciait cet exercice, Maud consentait à une sodo. Tout était donc sans imprévu.
Aussi fut-elle surprise et un peu contrariée, cet après-midi-là, de constater qu’Antoine n’était pas seul. Le visiteur était un homme de taille moyenne, sensiblement du même âge que son hôte, cheveux blancs et barbe soigneusement taillée.
« Sauterelle, je te présente Paul, ancien collègue, professeur en retraite et ami de longue date. » L’homme s’avança vers Maud et lui fit un cérémonieux baisemain tempéré par un amical : ‘Mes hommages, sauterelle.
-Enchantée, Professeur. » Un peu inquiète, elle craignit que la visite de cet importun remette en cause la baise tant attendue une semaine durant. Mais elle fut vite rassurée.
« Sauterelle, si tu n’as pas d’objection, Paul serait heureux d’assister en voyeur à nos ébats. Es-tu d’accord ? » Soulagée et rassurée, elle accepta, amusée à l’idée de cette nouvelle expérience. Sans plus tarder elle s’accroupit donc devant Papy qui avait pris place sur s chaise et entreprit sa fellation. Tandis qu’elle suçait elle jeta un coup d’œil en direction de Paul. Celui-ci, installé sur le canapé, avait sorti son sexe de son pantalon et le caressait doucement. Elle constata qu’il semblait moins imposant que celui de Papy, ce qui la fit sourire intérieurement.
Les choses suivant leur cours habituel, elle se trouva bientôt dos tourné à Papy qui introduisait sa bite dans la chatte humide et frémissante, non sans avoir au préalable procuré à la sauterelle un premier orgasme par un savant titillement de son clitoris. Maud était toujours stupéfaite de l’effet que produisaient les caresses de Papy. Frôlement savant, petits attouchements répétés du clitoris, pressions entre deux doigts et mouvements lents de masturbation de ce petit bouton dont elle avait découvert grâce à lui l’extrême sensibilité la transportaient immanquablement.
Tout en jouissant du va-et-vient de cette verge dans son vagin en chaleur, elle remarqua que le professeur avait soigneusement enveloppé son pénis dans un vaste mouchoir sans doute pour éviter tout débordement, ce qui s’avéra utile car il ne tarda pas à éjaculer avec un « Mmmmm… » de satisfaction. Papy jouit à son tour et ils demeurèrent tous trois silencieux, savourant, satisfaits, ce moment de grâce.
Ils s’étaient rajustés et buvaient leur verre en silence. Paul paraissait un peu gêné, sans doute peu habitué à ce qui venait de se passer. Maud au contraire se sentait étonnamment à l’aise. Elle rompit le silence, une idée lui ayant traversé l’esprit : « Ça vous a plu, Professeur ?
-Oui, oui. C’était très agréable.
-Pourtant c’est un peu triste de se faire plaisir tout seul.
-Oui, bien sûr, c’est un peu frustrant mais…-Si vous pensez revenir mercredi prochain, j’ai moi aussi une amie de longue date… (elle rit) …Je peux dire ça puisqu’on est copines depuis l’école primaire ! Je ne promets rien mais je pense qu’elle pourrait vous tenir compagnie, Professeur.
-He bien je ne sais pas si… »Antoine intervint : « Excellente idée, sauterelle ! Paul, je t’interdis de refuser, tu m’entends.
Sauterelle, j’espère que ta camarade sera d’accord.»
C’est donc ainsi que Maud et sa copine Leila se retrouvèrent le mercredi suivant à retirer en pouffant leur petite culotte sur le palier de Papy. Leila, bien qu’assez timide, s’était laissée convaincre par son amie de l’accompagner dans cette aventure. De mère maghrébine, elle était de petite taille, menue, peau mate et cheveux bruns frisés. Plutôt mignonne en somme. Moins délurée que son amie, elle n’était pas vierge mais n’avais eu jusque-là qu’un petit copain. Si elle s’était laissée entrainer par Maud elle était toutefois un peu inquiète en entrant dans l’appartement.
On fit les présentations. Paul réitéra son baisemain aux deux filles. Leila fut troublée à l’idée qu’il aurait pu être son professeur. De son côté il pensait aux nombreuses tentations auxquelles il avait su résister au cours de sa carrière. En somme c’était un fantasme qui était sur le point de se réaliser et cela le perturbait un peu.
Paul n’avait jamais été ni un dragueur ni un séducteur. Sa femme l’avait quitté trois ans auparavant après une longue et heureuse vie conjugale et sa vie sexuelle s’était alors résumée au visionnage en solitaire de quelques vidéo porno et à un unique recours décevant aux services d’une escort.
Il invita la jeune fille à s’assoir auprès de lui sur le canapé. Comme le lui avait conseillé Maud, elle entreprit de déboutonner la braguette de Paul. Celui-ci l’aida en se débarrassant de son pantalon. Son sexe formait déjà une proéminence prometteuse dans le caleçon bleu marine. Comme elle se penchait dans sa direction, il l’arrêta : « Veux-tu d’abord te dévêtir, j’aimerais te voir nue, ma puce. » Elle se leva, fit glisser sa minijupe à ses pieds et se départit de son pull et de son T-shirt. Ses seins minuscules rendaient superflu l’usage du soutien-gorge. Pour se donner de l’assurance elle dit : « Cela vous plait, Professeur ?
-Beaucoup, ma puce, beaucoup. » Il avait la gorge serrée, ému par ce qui s’offrait à lui, ce corps juvénile, délicat, ces petits tétons brunâtres, ce petit abricot bombé comme posé au sein d’une fine toison brune… Il l’attira contre lui.
Du côté de l’autre couple, au lieu de la laisser lui faire la fellation habituelle, Antoine avait fait assoir Maud sur ses genoux, « pour voir un peu ce qui allait se passer », avait-il déclaré. Quand Leila se fut déshabillée, il plaisanta en pinçant un des tétons de Maud : « Avec vous deux, les filles, il ne faut pas espérer une branlette espagnole !
-Dis donc Papy, ce qu’on fait ne te suffit pas, répliqua-t-elle sur un ton faussement fâché en lui donnant une tape sur la main. Tu vas voir ! » Prenant l’initiative, elle enfourcha Antoine de face cette fois-ci, introduisit sans plus attendre son sexe en érection dans sa chatte et entreprit de le chevaucher avec fougue. Pour une fois, Antoine s’abandonna à sa partenaire. Les yeux dans les yeux ils sentirent leur plaisir se conjuguer, s’intensifier, leur respiration s’accélérer. Et à l’instant même où elle comprit qu’il allait éjaculer, Maud sauta des genoux de son amant, s’accroupit et saisit sa bite entre ses lèvres juste à temps pour recevoir les jets de sperme dans la bouche. Les yeux clos, les mains sur la tête de la jeune fille, le vieil homme jouissait en grognant doucement. Elle se releva, déglutit et, plantée devant lui, s’exclama : Alors, Papy, ça vaut bien une branlette espagnole, non ? »Il l’attira à lui, la fit rassoir sur ses genoux et ils échangèrent un long baiser tandis qu’elle caressait doucement sa bite qui revenait progressivement au repos.
Indifférents à tout cela, Paul et Leila étaient eux aussi fort occupés. Paul avait d’abord contemplé en silence la nudité de la fille puis l’avait faite allonger sur le canapé. Lui écartant doucement les jambes, il pouvait admirer le petit abricot fendu d’une ligne nette, une fente minuscule à peine entrouverte. Il se pencha, approcha lentement les lèvres et les posa délicatement, presque un effleurement, sur ce sexe offert. Leila retenait son souffle. Elle sentit le contact de cette bouche, d’abord léger puis plus appuyé, elle sentit la langue qui s’immisçait entre les bords de sa vulve, elle tressaillit brusquement quand cette langue atteignit son clitoris, puis fut emportée dans une tempête, une succession d’orgasmes tandis que la langue s’agitait en tous sens. Quelque chose se produisit alors, quelque chose de nouveau pour elle : de petits jets jaillirent de son sexe affolé, un liquide que Paul lapa immédiatement avant de s’allonger sur elle.
Elle sentit sa queue s’introduire au plus profond de son vagin, aller et venir, encore et encore, jusqu’à ce qu’enfin, tendue, cambrée, elle sente le sperme l’inonder et qu’elle retombe, épuisée, à demi écrasée sous le corps de Paul. Elle pouvait seulement répéter, dans un souffle : « He bien, Professeur… He bien, Professeur… » Il se redressa enfin, s’assit sur le canapé et elle vint se blottir contre lui. Antoine s’approcha pour leur tendre respectivement un cognac et un jus de fruit. Elle demanda timidement : Je voudrais bien un peu d’alcool, moi aussi.
-Tu as l’air d’en avoir besoin, en effet, jeune fille, dit-il en riant. »
Une fois dans la rue, les deux filles firent quelques pas sans mot dire. Leila rompit le silence : « C’est juste un truc de ouf, meuf ! J’ai kifé grave. Sérieux, je veux plus baiser qu’avec des vieux !
-Alors tu reviens mercredi ?
-Carrément !
-Cool ! Et tu es juste une grosse pute.
-Dis donc meuf, c’est à toi qu’il a filé la tune ! » Antoine avait eu la délicatesse de doubler la somme qu’il avait glissé dans la poche du blouson de Maud. Elles rirent toutes les deux, faisant se retourner une vieille dame qui leur sourit, envieuse de leur gaité juvénile. ù
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