Papy et la sauterelle (8)
Récit érotique écrit par Janus04 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Papy et la sauterelle (8)
Papy et la sauterelle
8-La femme du boulanger
Depuis ce que lui avait dit sa vendeuse à propos de Paul, la boulangère ne pouvait pas s’empêcher de regarder son client d’un autre œil. Gina Jacquet née Bartolini, la cinquantaine, était une brune pulpeuse à la poitrine opulente, toujours aimable et souriante. Elle était heureuse en ménage et fidèle bien que son mari, trop fatigué par son dur métier, ne remplisse plus guère son devoir conjugal. Monsieur Valois ne la laissait pas indifférente, mais de là à faire plus que rêver il ne fallait pas y penser.
Quand il allait acheter sa baguette, Paul pensait aux allusions de Sylvie concernant une possible aventure avec madame Jacquet. Mais bien que ses récentes conquêtes lui aient données un peu plus de confiance, il n’avait rien d’un dragueur et ne voyait pas bien comment l’aborder. Ce fut donc le hasard qui lui en offrit l’occasion. Attendant d’être servi il entendit une cliente parler de ses vacances en Italie et la boulangère regretter de n’y être jamais allé en dépit de ses origines italiennes. Quand vint son tour il saisit l’opportunité et surenchérit sur la beauté du pays. Il y était allé à plusieurs reprises et vanta la richesse culturelle de Rome, le charme de Venise… Puis il se jeta à l’eau :
« J’ai d’ailleurs pris des photos assez réussies. Peut-être pourriez-vous passer les voir. Disons cet après-midi, venez prendre le café, je vous les montrerai. »
Surprenant le sourire complice et le clin d’œil que lui faisait Sylvie sortant de l’arrière-boutique, il rougit. Heureusement la boulangère dont les joues elles aussi s’étaient colorées ne remarqua rien. Troublée, elle répondit que c’était bien aimable mais qu’elle ne savait pas si elle aurait le temps, qu’elle ne voulait pas déranger… Sylvie surenchérit malicieusement :
-Mais si, madame Jacquet ! Monsieur Valois a certainement des choses intéressantes à vous montrer.
-Sans doute. Je ferai mon possible, monsieur Valois, je ne promets rien. »
La boulangerie fermait entre midi trente et seize heures. Monsieur et madame Jacquet déjeunèrent puis le boulanger, qui s’était levé à l’aube, alla faire sa sieste quotidienne. Sa femme, encore hésitante mais très excitée, finit par se décider. Elle alla se rafraichir et se recoiffer dans la salle de bain.
Paul était tout aussi fébrile. Il avait refait le lit, sorti les albums photo et tournait en rond, soupesant les chances que madame Jacquet se rende à son invitation. A tout hasard il avait pris un comprimé de viagra pour palier une éventuelle défaillance. Vers quatorze heures, quand la sonnerie retentit ; il sursauta et s’empressa daller ouvrir.
« J’espère que je ne vous dérange pas, monsieur Valois…
-Pas du tout, entrez je vous en prie. Et appelez-moi Paul…
Merci ; moi c’est Gina. »
Ils passèrent au salon, Paul fit assoir Gina sur le canapé et servit le café en parlant de l’Italie. Puis il s’assit près d’elle et ouvrit un des albums. Après en avoir feuilleté quelques pages, il se décida : il passa le bras autour des épaules de sa voisine qui le regarda dans les yeux sans mot dire. Il s’enhardit :
« Il y a peut-être mieux à faire que regarder de vieilles photos, tu ne crois pas ?
-Ah oui ? Et quoi donc ? répondit-elle avec une naïveté feinte. »
Il n’ajouta rien et posa sa bouche sur la sienne. Ils échangèrent un long baiser puis Paul se leva, la prit par la main et l’entraina dans la chambre à coucher.
Ils se dévêtirent rapidement, il se trouva nu sur le lit tandis qu’elle restait debout devant lui en culotte et soutien-gorge. Bien que ce soit pour son plaisir exclusif, elle avait toujours aimé les dessous chics et sexy. Pour cette occasion exceptionnelle elle avait choisi avec soin un ensemble en dentelle rouge grenat qui mettait en valeur sa poitrine généreuse et ses fesses rebondies. Elle rejoignit Paul sur le lit et ils s’embrassèrent à nouveau. Paul avait libéré un sein qu’il plotait et dont il tripotait le téton durci sous ses doigts. Puis il dégrafa le soutien-gorge et mordilla l’autre téton tandis que sa main descendait lentement sur le ventre un peu rond et s’immisçait dans la petite culotte rouge. Le pubis de Gina était recouvert d’une abondante toison frisée qui bordait une chatte qui parut démesurée à Paul quand il y posa la main. Il en suivit du doigt la fente, sa paume effleura un froissement de replis doux et tiède et son doigt se posa sur un clitoris frémissant. Gina, allongée sur le dos, s’abandonnait avec délice à ces caresses.
Puis elle proposa :
« Tu veux que je te suce ? »
Dans sa jeunesse, elle avait décidé de se garder vierge pour le mariage, mais avait compensé en pratiquant assidument la fellation. Ses camarades furent nombreux à profiter de son talent en la matière et elle acquit une solide réputation de bonne suceuse. Elle se souvenait parfois avec nostalgie d’une mémorable nuit de la St Sylvestre où elle avait taillé une pipe tour à tour à cinq hommes, deux camarades de classe ensemble, son beau-frère, un inconnu dans sa voiturer et un autre, un homme âgé qui l’avait remerciée de lui faire si bien commencer l’année.
Son mari avait lui aussi apprécié les dons de sa femme, puis les préliminaires coquins avaient peu à peu cédé la place à un accouplement routinier de plus en plus rare. C’est donc avec émotion que Gina retrouva en bouche la fermeté d’une bonne bite. Elle pensa en souriant intérieurement : « C’est comme le vélo ; ça ne s’oublie pas. »
Elle taquinait du bout de la langue l’orifice du gland, léchait ensuite puis suçotait celui-ci en allant et venant lentement, d’une main douce, le long de la verge raidie de Paul. De l’autre main elle s’occupait des testicules. Elle avait mobilisé toute sa technique qui ne tarda pas à produire ses effets. Elle retrouva avec volupté ce goût si particulier du sperme, déglutit et poursuivit sa fellation jusqu’au complet tarissement, la dernière goutte.
Ils restèrent un moment silencieux, savourant leur plaisir respectif, puis Paul se redressa, fit glisser la petite culotte et découvrit avec excitation une motte rebondie recouverte d’un épais buisson brin au centre duquel deux bourrelets charnus bordaient une longue fente entrouverte d’où débordait le froissement de chairs roses des grandes lèvres comme une dentelle érotique. La vulve laissait entrevoir un orifice rose vif qui palpitait étrangement. Il y introduisit d’abord un doigt, puis deux. Fina avait replié les genoux et écartait largement les cuisses. Devant cette chatte béante Il revit une scène d’une vidéo porno qui l’avait particulièrement impressionné. Il joignit tous les doigts et entreprit de les introduire dans la vulve. Sa main était entrée à mi-longueur quand Gina demanda :
« Qu’est-ce que tu fais, Paul ?
-Fais-moi confiance. »
Continuant lentement à avancer, sa main était à présent tout entière dans le vagin qu’il sentait se resserrer sur elle. Gina poussait de petits cris au rythme du va-et-vient de la main. L’orgasme fut soudain, où plutôt une succession d’orgasmes accompagnés de soubresauts et de cris : « Oh oui, Paul, oui, c’est bon… c’est bon… » Puis elle se détendit, écartelée sur le lit. Paul vint sur elle pour enfin la pénétrer. Elle demanda : « Tu as des préservatifs, mon chéri ? » Il se maudit de n’y avoir pas pensé, s’excusa et promit de se retirer à temps.
Il s’introduisit évidement sans peine dans la vulve chaude et trempée, mais lorsqu’il fut à fond il eut la surprise de sentir les muscles vaginaux se contracter, envelopper étroitement sa queue, l’étreindre de sorte qu’il put aller et venir avec un plaisir maximum. Sa partenaire poussait à nouveau de petits cris brefs, accompagnant d’énergiques mouvements des hanches les coups de reins de son amant. Elle jouit peu avant que Paul se retire et déverse son foutre sur sa toison brune et son ventre.
Enlacés et repus, ils s’embrassèrent mais la boulangère, jetant un coup d’œil à la pendulette près du lit, s’exclama : « Mon dieu, quatre heures moins dix ! Il faut que je me sauve ! Tu m’indique la salle de bain, mon chéri ? »
Elle s’était rafraichie et rhabillée, il avait enfilé sa robe de chambre et l’accompagna à la porte.
« J’espère que tu repasseras me voir bientôt.
-On ne sait jamais, c’est bien possible, répondit-elle en lui posant un petit baiser sur le bout du nez. »
Elle disparut dans l’escalier.
Paul se rassit sur son canapé et réfléchit à ce qui lui arrivait. Il avait baisé ^plus de femmes en quelques jours que dans tout le reste de sa vie. Il méditait sur la variété des chattes féminines, de celle de la boulangère au petit minou de Leila, celui qui avait sa préférence, quelles différences, de taille, de forme, de teintes… Il rêvassait en caressant doucement son membre encore sous l’effet du viagra et obtint une dernière éjaculation, moins abondante toutefois que les précédentes.
Sylvie avait ouvert le magasin. Elle accueillit sa patronne avec un air goguenard et dit d’un ton moqueur :
« Alors, c’est beau, l’Italie ? La visite a été agréable ?
-Très agréable oui, merci.
-La prochaine fois il faudrait qu’on la fasse ensemble.
-Oh Sylvie, vous êtes vraiment incorrigible ! »
8-La femme du boulanger
Depuis ce que lui avait dit sa vendeuse à propos de Paul, la boulangère ne pouvait pas s’empêcher de regarder son client d’un autre œil. Gina Jacquet née Bartolini, la cinquantaine, était une brune pulpeuse à la poitrine opulente, toujours aimable et souriante. Elle était heureuse en ménage et fidèle bien que son mari, trop fatigué par son dur métier, ne remplisse plus guère son devoir conjugal. Monsieur Valois ne la laissait pas indifférente, mais de là à faire plus que rêver il ne fallait pas y penser.
Quand il allait acheter sa baguette, Paul pensait aux allusions de Sylvie concernant une possible aventure avec madame Jacquet. Mais bien que ses récentes conquêtes lui aient données un peu plus de confiance, il n’avait rien d’un dragueur et ne voyait pas bien comment l’aborder. Ce fut donc le hasard qui lui en offrit l’occasion. Attendant d’être servi il entendit une cliente parler de ses vacances en Italie et la boulangère regretter de n’y être jamais allé en dépit de ses origines italiennes. Quand vint son tour il saisit l’opportunité et surenchérit sur la beauté du pays. Il y était allé à plusieurs reprises et vanta la richesse culturelle de Rome, le charme de Venise… Puis il se jeta à l’eau :
« J’ai d’ailleurs pris des photos assez réussies. Peut-être pourriez-vous passer les voir. Disons cet après-midi, venez prendre le café, je vous les montrerai. »
Surprenant le sourire complice et le clin d’œil que lui faisait Sylvie sortant de l’arrière-boutique, il rougit. Heureusement la boulangère dont les joues elles aussi s’étaient colorées ne remarqua rien. Troublée, elle répondit que c’était bien aimable mais qu’elle ne savait pas si elle aurait le temps, qu’elle ne voulait pas déranger… Sylvie surenchérit malicieusement :
-Mais si, madame Jacquet ! Monsieur Valois a certainement des choses intéressantes à vous montrer.
-Sans doute. Je ferai mon possible, monsieur Valois, je ne promets rien. »
La boulangerie fermait entre midi trente et seize heures. Monsieur et madame Jacquet déjeunèrent puis le boulanger, qui s’était levé à l’aube, alla faire sa sieste quotidienne. Sa femme, encore hésitante mais très excitée, finit par se décider. Elle alla se rafraichir et se recoiffer dans la salle de bain.
Paul était tout aussi fébrile. Il avait refait le lit, sorti les albums photo et tournait en rond, soupesant les chances que madame Jacquet se rende à son invitation. A tout hasard il avait pris un comprimé de viagra pour palier une éventuelle défaillance. Vers quatorze heures, quand la sonnerie retentit ; il sursauta et s’empressa daller ouvrir.
« J’espère que je ne vous dérange pas, monsieur Valois…
-Pas du tout, entrez je vous en prie. Et appelez-moi Paul…
Merci ; moi c’est Gina. »
Ils passèrent au salon, Paul fit assoir Gina sur le canapé et servit le café en parlant de l’Italie. Puis il s’assit près d’elle et ouvrit un des albums. Après en avoir feuilleté quelques pages, il se décida : il passa le bras autour des épaules de sa voisine qui le regarda dans les yeux sans mot dire. Il s’enhardit :
« Il y a peut-être mieux à faire que regarder de vieilles photos, tu ne crois pas ?
-Ah oui ? Et quoi donc ? répondit-elle avec une naïveté feinte. »
Il n’ajouta rien et posa sa bouche sur la sienne. Ils échangèrent un long baiser puis Paul se leva, la prit par la main et l’entraina dans la chambre à coucher.
Ils se dévêtirent rapidement, il se trouva nu sur le lit tandis qu’elle restait debout devant lui en culotte et soutien-gorge. Bien que ce soit pour son plaisir exclusif, elle avait toujours aimé les dessous chics et sexy. Pour cette occasion exceptionnelle elle avait choisi avec soin un ensemble en dentelle rouge grenat qui mettait en valeur sa poitrine généreuse et ses fesses rebondies. Elle rejoignit Paul sur le lit et ils s’embrassèrent à nouveau. Paul avait libéré un sein qu’il plotait et dont il tripotait le téton durci sous ses doigts. Puis il dégrafa le soutien-gorge et mordilla l’autre téton tandis que sa main descendait lentement sur le ventre un peu rond et s’immisçait dans la petite culotte rouge. Le pubis de Gina était recouvert d’une abondante toison frisée qui bordait une chatte qui parut démesurée à Paul quand il y posa la main. Il en suivit du doigt la fente, sa paume effleura un froissement de replis doux et tiède et son doigt se posa sur un clitoris frémissant. Gina, allongée sur le dos, s’abandonnait avec délice à ces caresses.
Puis elle proposa :
« Tu veux que je te suce ? »
Dans sa jeunesse, elle avait décidé de se garder vierge pour le mariage, mais avait compensé en pratiquant assidument la fellation. Ses camarades furent nombreux à profiter de son talent en la matière et elle acquit une solide réputation de bonne suceuse. Elle se souvenait parfois avec nostalgie d’une mémorable nuit de la St Sylvestre où elle avait taillé une pipe tour à tour à cinq hommes, deux camarades de classe ensemble, son beau-frère, un inconnu dans sa voiturer et un autre, un homme âgé qui l’avait remerciée de lui faire si bien commencer l’année.
Son mari avait lui aussi apprécié les dons de sa femme, puis les préliminaires coquins avaient peu à peu cédé la place à un accouplement routinier de plus en plus rare. C’est donc avec émotion que Gina retrouva en bouche la fermeté d’une bonne bite. Elle pensa en souriant intérieurement : « C’est comme le vélo ; ça ne s’oublie pas. »
Elle taquinait du bout de la langue l’orifice du gland, léchait ensuite puis suçotait celui-ci en allant et venant lentement, d’une main douce, le long de la verge raidie de Paul. De l’autre main elle s’occupait des testicules. Elle avait mobilisé toute sa technique qui ne tarda pas à produire ses effets. Elle retrouva avec volupté ce goût si particulier du sperme, déglutit et poursuivit sa fellation jusqu’au complet tarissement, la dernière goutte.
Ils restèrent un moment silencieux, savourant leur plaisir respectif, puis Paul se redressa, fit glisser la petite culotte et découvrit avec excitation une motte rebondie recouverte d’un épais buisson brin au centre duquel deux bourrelets charnus bordaient une longue fente entrouverte d’où débordait le froissement de chairs roses des grandes lèvres comme une dentelle érotique. La vulve laissait entrevoir un orifice rose vif qui palpitait étrangement. Il y introduisit d’abord un doigt, puis deux. Fina avait replié les genoux et écartait largement les cuisses. Devant cette chatte béante Il revit une scène d’une vidéo porno qui l’avait particulièrement impressionné. Il joignit tous les doigts et entreprit de les introduire dans la vulve. Sa main était entrée à mi-longueur quand Gina demanda :
« Qu’est-ce que tu fais, Paul ?
-Fais-moi confiance. »
Continuant lentement à avancer, sa main était à présent tout entière dans le vagin qu’il sentait se resserrer sur elle. Gina poussait de petits cris au rythme du va-et-vient de la main. L’orgasme fut soudain, où plutôt une succession d’orgasmes accompagnés de soubresauts et de cris : « Oh oui, Paul, oui, c’est bon… c’est bon… » Puis elle se détendit, écartelée sur le lit. Paul vint sur elle pour enfin la pénétrer. Elle demanda : « Tu as des préservatifs, mon chéri ? » Il se maudit de n’y avoir pas pensé, s’excusa et promit de se retirer à temps.
Il s’introduisit évidement sans peine dans la vulve chaude et trempée, mais lorsqu’il fut à fond il eut la surprise de sentir les muscles vaginaux se contracter, envelopper étroitement sa queue, l’étreindre de sorte qu’il put aller et venir avec un plaisir maximum. Sa partenaire poussait à nouveau de petits cris brefs, accompagnant d’énergiques mouvements des hanches les coups de reins de son amant. Elle jouit peu avant que Paul se retire et déverse son foutre sur sa toison brune et son ventre.
Enlacés et repus, ils s’embrassèrent mais la boulangère, jetant un coup d’œil à la pendulette près du lit, s’exclama : « Mon dieu, quatre heures moins dix ! Il faut que je me sauve ! Tu m’indique la salle de bain, mon chéri ? »
Elle s’était rafraichie et rhabillée, il avait enfilé sa robe de chambre et l’accompagna à la porte.
« J’espère que tu repasseras me voir bientôt.
-On ne sait jamais, c’est bien possible, répondit-elle en lui posant un petit baiser sur le bout du nez. »
Elle disparut dans l’escalier.
Paul se rassit sur son canapé et réfléchit à ce qui lui arrivait. Il avait baisé ^plus de femmes en quelques jours que dans tout le reste de sa vie. Il méditait sur la variété des chattes féminines, de celle de la boulangère au petit minou de Leila, celui qui avait sa préférence, quelles différences, de taille, de forme, de teintes… Il rêvassait en caressant doucement son membre encore sous l’effet du viagra et obtint une dernière éjaculation, moins abondante toutefois que les précédentes.
Sylvie avait ouvert le magasin. Elle accueillit sa patronne avec un air goguenard et dit d’un ton moqueur :
« Alors, c’est beau, l’Italie ? La visite a été agréable ?
-Très agréable oui, merci.
-La prochaine fois il faudrait qu’on la fasse ensemble.
-Oh Sylvie, vous êtes vraiment incorrigible ! »
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