Pari perdu ou gagné ?
Récit érotique écrit par Queuedusexe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 32 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Queuedusexe ont reçu un total de 370 914 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 3 190 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Pari perdu ou gagné ?
J’ai perdu un pari.
L’autre jour, j’étais au téléphone avec mon meilleur ami. On se connaît depuis presque 15 ans.
Il est arrivé en CM 1 dans mon école et était un peu perdu. Il n’était pas très grand, presque chétif, et j’étais dans l’école depuis la maternelle. Je connaissais tout le monde. Pour son premier jour à la cantine, je lui ai dit de s’assoir à notre table. Notre amitié est née ce jour-là et le duo Manu / Julie a été quasi inséparable depuis.
Depuis, on se raconte vraiment beaucoup de chose, y compris nos peines de cœur. J’ai le chic pour attirer et m’attacher à des loosers. J’ai toujours eu des petits amis plutôt beaux gosses mais sur le long terme, soit ils manquaient de caractères, étaient pervers, ou bien infidèles.
Manu, lui, a bien changé au fil des années. Prédire que le petit garçon chétif de CM1 allait devenir un jeune homme athlétique et charismatique était improbable. Manu est un playboy et ne s’en ai jamais caché. Il aime sortir et faire la fête, tout comme moi, mais là où j’aime chercher une relation stable, il cherche une aventure d’un soir.
Il est franc avec ses conquêtes et elles savent dès le début que ce n’est pas sérieux. Ça ne les empêche pas de passer une ou plusieurs nuits avec lui car il a un charisme et un physique lui permettant de faire succomber toutes les nanas qu’il veut.
J’étais donc au téléphone avec Manu depuis une bonne ½ heure à parler de cinéma, notre passion commune. Je ne sais plus comment c’est venu mais j’ai parlé d’un film peu connu et du jeu de son actrice principale. Manu a rigolé et m’a dit que l’actrice principale de ce film était une autre. On a argumenté un bon moment jusqu’à ce qu’on fasse un pari. Ça nous arrivait de temps en temps mais les gages n’étaient jamais rien de bien méchant.
Cette fois, j’étais si sûre de moi que j’ai proposé que le perdant devait accepter n’importe quel gage de la part du gagnant. La seule limite étant les limites légales. J’ai vu Manu réfléchir et j’ai pris ça pour un manque d’assurance. Quelle erreur !!!
Moi : Attention Manu, cette fois, le gage est risqué. Si je perds, je ne me défilerai pas. Et toi ?
Manu : Moi non plus !
Moi : Alors c’est conclu ! on regarde sur internet et on se rappelle.
Dans les minutes qui ont suivi, j’ai trouvé l’info. J’ai regardé, médusée, l’écran de mon ordinateur. Je m’étais trompée et lamentablement. L’actrice dont j’avais parlé était plus connue, oui, mais n’avait que le second rôle dans ce film. Manu avait raison.
Un peu honteuse, j’ai cherché à rappeler Manu mais je suis tombée sur sa messagerie.
En fait, il s’était mis en route aussitôt après avoir raccroché, sûr de sa victoire. Il est entré dans mon appartement en me chambrant gentiment mais je voyais bien qu’il était fier de lui… J’aurai sans doute était moins magnanime !
Je lui ai servi une bière et j’ai pris un petit verre de vin.
Manu : Dernière chance de t’en sortir. Je n’ai pas encore dit mon gage. J’accepte que tu renonces.
Moi : Tu as déjà pensé à un gage ?
Manu : Pour tout te dire, ça fait très longtemps que je l’ai en tête oui !
Moi : J’ai parié. J’ai perdu et j’assume. Tant que ce n’est rien qui vas m’emmener en prison, ou qui m’humilie devant mes parents, j’accepte le gage.
Manu : OK
Il s’est un peu affalé dans le fauteuil, comme s’il cherchait ses mots.
Moi : Bon tu accouches !!!
Il a soupiré.
Manu : On se connaît depuis longtemps et on est ami depuis tout ce temps-là. Il y a une chose que je ne t’ai jamais dite. Je ne sais pas si tu as oublié que tu m’en as parlé, ou si tu as tout simplement fait semblant d’oublier pour qu’on n’en reparle jamais… Mais c’est resté dans ma mémoire et je pourrais même dire que ça m’obsède complètement.
Moi : Oh ! alors là, je ne vois pas du tout.
Manu : D’abord, je tiens à te dire que je t’adore… Je vais te dire mon gage et ensuite, je vais partir pour te laisser digérer ma demande. Je ne veux pas que tu réagisses avant au minimum demain. A partir de maintenant, plus un mot avant mon départ. Est-ce qu’on est d’accord ?
J’ai hoché la tête franchement, maintenant très curieuse.
Manu : Voilà, je vais te faire une confession. Tu es une fille extraordinaire et tu as un charme fou. Tu es vraiment très belle et tu ne sembles pas savoir à quel point tu es irrésistible. Je vais même t’avouer que ça m’est arrivé à de nombreuses reprises d’avoir des pensées « coquines »… Mais je ne pense pas que ce soit une totale surprise pour toi ou que ça te choque réellement.
Je n’ai rien répondu mais j’étais assez fière que mon meilleur ami, capable de poser dans un magasine de mode masculine, me trouve jolie. Et il ne m’a pas laissé sans pensées « coquines » certains soirs non plus. J’étais même flattée qu’il pense à moi comme ça.
Manu : Mais tu n’imagines même pas combien de fois je pense à toi depuis ce fameux soir il y a environ 6 mois. Tu venais de te faire larguer et tu as beaucoup trop bu. J’étais moi-même un peu bourré. Tu m’as allumé, me disant que je devrais te donner les orgasmes que ton ex ne t’avait jamais donné…
Mon dieu ! J’avais dit ça ??? Je me rappelais vaguement une discussion un peu sexuelle. L’alcool avait dû me désinhiber totalement.
Manu : Tu ne t’es pas arrêtée là. Tu m’as clairement lancé un défi… Si je réussissais à te faire jouir 2 fois en couchant avec toi, tu me laisserais… te sodomiser… Même si le mot que tu as utilisé était plus cru que ça… Tu m’as dit que c’était ton fantasme et que tu n’aurais confiance qu’en moi pour ça, que j’étais le seul dont tu rêvais pour ça… Tu es même venue vers moi mais avant que j’ai le temps de te dire non, tu t’es finalement effondrée sur le canapé.
Ce n’était pas totalement clair dans mon esprit mais des souvenirs vagues de la discussion me revenaient et ça correspondait avec ce qu’il me disait. Je le croyais à 100%. Il aurait été incapable de me mentir là-dessus.
Manu : Mon gage, c’est que tu me laisses la possibilité de te donner ces deux orgasmes… Et que tu m’accordes ta confiance pour d’aider à réaliser ton fantasme.
Cette fois, j’étais sûre que j’étais rouge comme une tomate. Il n’avait pas inventé ça. La sodomie était en effet mon plus grand fantasme caché. Et Manu était le seul dans mes pensées les plus intimes pour le réaliser. Pour tout dire, il était le seul dans mes fantasmes divers depuis ma rupture avec mon dernier petit ami et il l’avait été régulièrement depuis que j’ai été en âge d’avoir des fantasmes.
Manu : Tu es mon amie mais tu m’as toujours attirée. Seulement depuis ce soir-là, j’ai du mal à te regarder sans y penser, sans déshabiller du regard ton corps… Sans m’imaginer dans tes fesses splendides. Je sais que c’est un choc… J’espère ne rien gâcher entre nous… Mais je ne changerai pas d’avis sur ton gage. C’est celui-là ou aucun.
Il s’est levé et m’a caressé doucement la joue avant de reprendre sa veste et de partir.
Dire que j’ai mal dormi serait un euphémisme. J’ai tourné, tourné, pensé et pensé encore. Parfois des larmes me venaient aux yeux sans savoir pourquoi. Parfois, je trouvais mon sexe trempé de désir à l’idée de ce que Manu pourrait me faire.
Je crois que ce qui me troublait le plus était son regard quand il m’avait dit tout ça. Il y avait un mélange de tendresse et d’excitation extrême.
Je sais à quoi je ressemble. Fan de fitness, je suis athlétique, jolies jambes, fesses musclées, taille fine et ventre plat, une poitrine un peu trop petite à mon goût mais bien ferme. J’attire beaucoup de garçons mais je ne fais plus confiance à mes choix donc ça fait 6 mois que je n’ai personne. Et 6 mois qu’aucun homme ne m’a touché. J’aime l’intimité des rapports sexuels et je dois avouer que ça me manquait. Et l’idée d’un rapport avec Manu me faisait mouiller comme une dingue.
Je savais que Manu ne m’en voudrait pas forcément plus que ça de refuser le gage. Il n’est pas comme ça. Mais le fait qu’il trouve le courage de me demander ça me montrait à quel point il avait dû y penser.
Au cours des années, je ne compte pas le nombre de fois où des copines m’ont demandé si elles pouvaient sortir avec lui, si ça ne me dérangeait pas. Je ne répondais toujours « pas de problème. Vas-y » seulement à l’intérieur, je me disais régulièrement « non, Manu est à moi, tu n’as pas le droit ».
C’était finalement peut-être ma chance de l’avoir « à moi » pour une nuit… Avant qu’il n’aille vers d’autres aventures.
Le lendemain soir, je lui ai envoyé un message « j’accepte le gage. Je serai chez toi vendredi à 19h00 » On avait déjà prévu de se retrouver pour un cinéma seulement je savais que nous ne serions pas là pour la séance. Sa réponse n’a pas tardé « si ça ne te dérange pas, je préfèrerai qu’on se retrouve à l’Alfimato à 19h30. J’ai réservé mais si tu n’as pas envie, j’annule ». Ça me convenait tout à fait et j’ai reconnu là son esprit pratique. Se retrouver en terrain neutre au début était une bonne idée.
La semaine est passée lentement mais au fur et à mesure, l’anxiété et la gêne ont laissé place à une réelle excitation, à une impatience.
Tous les vendredis en fin de journée, je vais à la salle de sport. Cette fois, je suis rentrée chez moi pour me changer, me doucher, enlever les quelques poils disgracieux qui auraient pu pousser. Je sais que je ne suis pas moche mais j’estime que Manu est dans une autre catégorie donc je voulais gommer un maximum d’imperfections.
Il faisait bon et j’ai rejoint Manu devant le restaurant italien. Il était élégant et m’attendait avec une rose à la main. J’avais bien fait de choisir ma petite robe noire. Au moins, je n’étais pas ridicule à ses côtés.
Pendant plus d’une heure et demie, on a parlé de tout et de rien, on a rigolé comme d‘habitude en évitant de parler de ce stupide pari et du « gage ». A la fin du repas, Manu a demandé l’addition et m’a fait comprendre qu’il payait alors que la plupart du temps, on partage.
Moi : Tu n’étais pas obligé de faire tout ça !
Manu : Tout ça quoi ?
Mi : La rose, le restaurant italien, être aussi élégant et galant…
Manu : J’en avais envie Julie. Tu n’es pas n’importe qui ! Tu es tellement importante pour moi !
Manu était plus séduisant que jamais ce soir, bien coiffé et juste mal rasé comme j’aime, dans sa belle chemise blanche, et les regards d’autres femmes dans le restaurant me le confirmait. Mais plus que son look, ses mots me touchaient, me rassuraient. J’étais en confiance avec lui et surtout, son charme était dirigé envers moi et moi seule. Pas une seule fois, il n’a regardé une autre femme.
Il a pris ma main et on est allé jusqu’à son appartement, à peine à 5 minutes de marche. L’air à peine plus frais m’a fait du bien. Il me tenait la main, comme un petit ami et je passais une soirée super agréable. Si c’était mon petit ami, il aurait été chanceux ce soir… Attends !! Il allait être chanceux ! c’était mon gage ! Sauf qu’à cet instant, le gage me convenait tout à fait.
On a passé la porte de son appartement et je me suis retrouvé d’un coup très proche de lui. Sa main était sur ma taille, l’autre sur ma gorge, son pouce caressant ma joue. J’ai avalé avec difficulté ma salive. Mes sentiments se bousculaient dans ma tête. J’ai pris conscience que mes tétons étaient durs comme la pierre sous ma robe et Manu était si proche que le tissu les frottait doucement.
Manu : Tu es si belle ! J’ai envie de toi depuis si longtemps !
J’ai gémi quand ses lèvres ont trouvé les miennes. Ses gestes et caresses étaient tendres, son baiser passionné. Je m’attendais à ce qu’il m’emmène dans sa chambre, qu’on se déshabille et qu’il me donne du plaisir. C’était différent. Bien mieux ! Mais est-ce qu’il voulait vraiment ça ?
Moi : Attends Manu ! Tu fais quoi là ?
Manu : D’après toi ?
Moi : Le gage, c’était qu’on devait baiser non ?
Manu : Non, le gage, c’était que tu devais me laisser essayer de te donner du plaisir. On n’a jamais dit qu’on allait juste baiser.
Moi : Mais…
Manu : Tu n’aimes pas ?
Moi : Si… Mais…
Manu : Depuis 15 ans qu’on se connaît, c’est la première et peut-être la dernière fois que j’ai une chance de te faire l’amour. Je ne vais pas la laisser passer !
Moi : Me faire l’amour ?
Manu : Oui. Tu ne veux pas ?
Moi : SI !
Cette fois c’est moi qui aie attiré sa bouche à la mienne. Manu avait raison, j’allais lui faire l’amour et ce serait bien meilleur, tellement meilleur… Même si ce n’était qu’une seule nuit.
Nos vêtements sont tombés au sol les uns après les autres. Je connaissais le corps de Manu. On est allés assez souvent à la plage ou à la piscine pour que je le détaille du regard très régulièrement. Mais la sensation de sa peau et de ses muscles sous mes doigts était nouvelle, magique.
Il a maté mes seins, les a sucé et léché.
Manu : MMMMHHH ! Parfaits !
Moi : Pas trop petits !
Manu : Non ! Juste parfaits Julie !
Sa bouche et ses mains étaient partout sur moi et je cambrais mon corps pour me coller à lui, pour donner telle ou telle partie à sa bouche. Je n’étais pas en reste pour explorer son corps ferme et doux, viril. Son sexe était un braquemart long et épais que j’avais hâte de sentir en moi.
J’étais déjà en feu quand sa langue a fouillé mon sexe, débusquant mon clitoris gonflé et si sensible. J’ai joui une première fois, fort, mais moins fort que quelques minutes plus tard quand il a combiné ses doigts et sa langue, un majeur s’insinuant dans mon anus sans difficulté, puis deux.
Dans un tout petit coin de ma tête, je me suis dit qu’en à peine quelques minutes, Manu avait réussi à me donner deux très beaux orgasmes. Mon excitation est montée d’un cran encore. Il remontait mon corps, déposant toujours autant de baisers sensuels et doux.
Je sentais son sexe contre le mien alors que mes jambes commençaient à l’enserrer. Son regard était intense. En appui sur une main, il a caressé ma joue tout en plaçant son gland et en commençant à me pénétrer.
Chaque petite poussée l’amenait plus loin en moi, délicieusement. Il était tendre, diablement sexy, attentionné, et pourtant viril. J’ai paniqué quelques instants quand il m’a embrassé et que j’ai compris que j’étais complètement et éperdument amoureuse de mon meilleur ami. Jamais je ne ressentirai ça avec un autre. C’était impossible. Mais c’était bien trop bon et mon corps a pris le contrôle. J’accompagnais ses coups de reins, gémissais de plaisir, criais quand il me faisait ressentir des sensations jamais vécues auparavant.
Mon orgasme est retombé quelques instants mais quand Manu a murmuré je t’aime dans mon oreille, j’ai joui encore, plus fort, agrippant ses fesses, les griffant, criant mon plaisir tout en bougeant comme une possédée sous lui. J’ai entendu Manu exprimer son plaisir, se lâcher en moi complètement, le corps tendu comme un arc.
Manu s’est effondré à côté de moi en roulant sur le dos, essoufflé. On était tous les deux en sueur mais je m’en moquais. Je suis passée sur lui en me collant à lui. J’embrassais chaque parcelle de son corps alors qu’il reprenait son souffle. J’étais insatiable de son corps puissant. Quand j’ai commencé à dire des « je t’aime » entre mes baisers, j’ai senti son sexe durcir à nouveau. Quand j’ai mordillé ses tétons, il a respiré plus fort, gémi un peu même.
C’est à ce moment qu’il m’a placé en levrette sur le lit, un sourire coquin sur les lèvres. Mon pouls s’est accéléré. Caresses, baisers, lubrifiant, mots doux et rassurants.
En tournant la tête, j’ai maté le corps parfait de Manu, ses pectoraux, ses abdos parfaits. J’ai admiré son sexe au garde à vous et même s’il m’a paru énorme, je le voulais en moi. Sa main branlait doucement son sexe tout en appliquant du lubrifiant.
Manu : tu ne peux pas savoir à quel point j’ai rêvé de ce moment.
Il m’a redressé un peu. Sa bouche était très proche de mon oreille.
Manu : Ce n’était pas des paroles en l’air tout à l’heure Julie…
Moi : Pour moi non plus…
Sa queue dure glissait entre mes fesses.
Manu : Alors ? Est-ce que j’ai gagné le droit de te faire goûter au plaisir anal ?
Moi : Définitivement oui ! Je n’ai jamais pris un plaisir plus fort dans ma vie !
Manu a pris son temps. Il était patient et doux. Je poussais mes fesses vers lui en rythme. Je le voulais tellement en moi. Au bout de quelques minutes, je savais que ce ne serait pas la dernière fois que je l’aurais dans les fesses. La sensation était grisante, rien à voir avec ce que j’imaginais. Il était énorme en moi et coulissait pourtant bien. Sa prise sur mes hanches était ferme et m’autorisait très peu de mouvement. Heureusement car j’aurai voulu l’avoir en moi complètement le plus vite possible.
Manu a changé un peu d’angle et poussé en moi. J’ai poussé un cri de surprise et de plaisir brut. Il a bougé plus fort et plus vite, m’arrachant des feulements, des couinements. La montée progressive du plaisir m’avait amené à un état d’extase permanent. Sa belle queue m’empalait, ses hanches claquaient sur mes fesses et j’adorais ça.
Quand Manu a été sur le point de jouir, il est sorti de moi et je me suis effondrée sur lit, le corps encore tremblant de plaisir alors que Manu éjaculait sur mes fesses et mon dos. Délicatement, il a écarté mes cheveux et embrassé ma nuque, puis ma joue, avant de me prendre dans ses bras pour m’emmener à la douche.
J’étais une loque, incapable de bouger, mais je serrais Manu dans mes bras.
Manu : Ça va ?
Moi : Oui… Tu étais vraiment sérieux hein ? tu ne vas pas me dire maintenant que c’était juste pour que je me sente bien ?
Manu : Julie, ça fait longtemps que je pense à toi et moi.
Moi : Pourquoi tu n’as jamais rien dit ? Moi aussi j’ai souvent pensé à toi.
Manu : Tu étais souvent en couple tu sais.
Moi : Parce que tu passais sans cesse d’une fille à une autre…
Manu : On n’a pas été très doué pour communiquer hein ?
Moi : Non, pas trop… Mais on est ensemble maintenant… Et j’adore l’idée.
Manu : Moi aussi.
Moi : J’ai bien fait de perdre le pari ! Tout était trop bon Manu !
Manu : Même… ???
Moi : Oui.
Manu : YESS !
Il a levé les bras en l’ait comme s’il avait marqué un but et on a rigolé comme des fous.
Je suis sortie de la douche, vraiment pas fatiguée et très excitée à nouveau à la vue de son corps allongé dans le lit. Cette fois, j’ai profité du moment pour réellement découvrir son sexe, le voyant et le sentant grossir dans mes mains. Il était délicieux entre mes lèvres, doux et puissant, tremblant sous mes coups de langue.
Je suis passée sur lui pour m’empaler en vibrant de désir pour Manu.
L’avenir s’annonçait enfin serein…
L’autre jour, j’étais au téléphone avec mon meilleur ami. On se connaît depuis presque 15 ans.
Il est arrivé en CM 1 dans mon école et était un peu perdu. Il n’était pas très grand, presque chétif, et j’étais dans l’école depuis la maternelle. Je connaissais tout le monde. Pour son premier jour à la cantine, je lui ai dit de s’assoir à notre table. Notre amitié est née ce jour-là et le duo Manu / Julie a été quasi inséparable depuis.
Depuis, on se raconte vraiment beaucoup de chose, y compris nos peines de cœur. J’ai le chic pour attirer et m’attacher à des loosers. J’ai toujours eu des petits amis plutôt beaux gosses mais sur le long terme, soit ils manquaient de caractères, étaient pervers, ou bien infidèles.
Manu, lui, a bien changé au fil des années. Prédire que le petit garçon chétif de CM1 allait devenir un jeune homme athlétique et charismatique était improbable. Manu est un playboy et ne s’en ai jamais caché. Il aime sortir et faire la fête, tout comme moi, mais là où j’aime chercher une relation stable, il cherche une aventure d’un soir.
Il est franc avec ses conquêtes et elles savent dès le début que ce n’est pas sérieux. Ça ne les empêche pas de passer une ou plusieurs nuits avec lui car il a un charisme et un physique lui permettant de faire succomber toutes les nanas qu’il veut.
J’étais donc au téléphone avec Manu depuis une bonne ½ heure à parler de cinéma, notre passion commune. Je ne sais plus comment c’est venu mais j’ai parlé d’un film peu connu et du jeu de son actrice principale. Manu a rigolé et m’a dit que l’actrice principale de ce film était une autre. On a argumenté un bon moment jusqu’à ce qu’on fasse un pari. Ça nous arrivait de temps en temps mais les gages n’étaient jamais rien de bien méchant.
Cette fois, j’étais si sûre de moi que j’ai proposé que le perdant devait accepter n’importe quel gage de la part du gagnant. La seule limite étant les limites légales. J’ai vu Manu réfléchir et j’ai pris ça pour un manque d’assurance. Quelle erreur !!!
Moi : Attention Manu, cette fois, le gage est risqué. Si je perds, je ne me défilerai pas. Et toi ?
Manu : Moi non plus !
Moi : Alors c’est conclu ! on regarde sur internet et on se rappelle.
Dans les minutes qui ont suivi, j’ai trouvé l’info. J’ai regardé, médusée, l’écran de mon ordinateur. Je m’étais trompée et lamentablement. L’actrice dont j’avais parlé était plus connue, oui, mais n’avait que le second rôle dans ce film. Manu avait raison.
Un peu honteuse, j’ai cherché à rappeler Manu mais je suis tombée sur sa messagerie.
En fait, il s’était mis en route aussitôt après avoir raccroché, sûr de sa victoire. Il est entré dans mon appartement en me chambrant gentiment mais je voyais bien qu’il était fier de lui… J’aurai sans doute était moins magnanime !
Je lui ai servi une bière et j’ai pris un petit verre de vin.
Manu : Dernière chance de t’en sortir. Je n’ai pas encore dit mon gage. J’accepte que tu renonces.
Moi : Tu as déjà pensé à un gage ?
Manu : Pour tout te dire, ça fait très longtemps que je l’ai en tête oui !
Moi : J’ai parié. J’ai perdu et j’assume. Tant que ce n’est rien qui vas m’emmener en prison, ou qui m’humilie devant mes parents, j’accepte le gage.
Manu : OK
Il s’est un peu affalé dans le fauteuil, comme s’il cherchait ses mots.
Moi : Bon tu accouches !!!
Il a soupiré.
Manu : On se connaît depuis longtemps et on est ami depuis tout ce temps-là. Il y a une chose que je ne t’ai jamais dite. Je ne sais pas si tu as oublié que tu m’en as parlé, ou si tu as tout simplement fait semblant d’oublier pour qu’on n’en reparle jamais… Mais c’est resté dans ma mémoire et je pourrais même dire que ça m’obsède complètement.
Moi : Oh ! alors là, je ne vois pas du tout.
Manu : D’abord, je tiens à te dire que je t’adore… Je vais te dire mon gage et ensuite, je vais partir pour te laisser digérer ma demande. Je ne veux pas que tu réagisses avant au minimum demain. A partir de maintenant, plus un mot avant mon départ. Est-ce qu’on est d’accord ?
J’ai hoché la tête franchement, maintenant très curieuse.
Manu : Voilà, je vais te faire une confession. Tu es une fille extraordinaire et tu as un charme fou. Tu es vraiment très belle et tu ne sembles pas savoir à quel point tu es irrésistible. Je vais même t’avouer que ça m’est arrivé à de nombreuses reprises d’avoir des pensées « coquines »… Mais je ne pense pas que ce soit une totale surprise pour toi ou que ça te choque réellement.
Je n’ai rien répondu mais j’étais assez fière que mon meilleur ami, capable de poser dans un magasine de mode masculine, me trouve jolie. Et il ne m’a pas laissé sans pensées « coquines » certains soirs non plus. J’étais même flattée qu’il pense à moi comme ça.
Manu : Mais tu n’imagines même pas combien de fois je pense à toi depuis ce fameux soir il y a environ 6 mois. Tu venais de te faire larguer et tu as beaucoup trop bu. J’étais moi-même un peu bourré. Tu m’as allumé, me disant que je devrais te donner les orgasmes que ton ex ne t’avait jamais donné…
Mon dieu ! J’avais dit ça ??? Je me rappelais vaguement une discussion un peu sexuelle. L’alcool avait dû me désinhiber totalement.
Manu : Tu ne t’es pas arrêtée là. Tu m’as clairement lancé un défi… Si je réussissais à te faire jouir 2 fois en couchant avec toi, tu me laisserais… te sodomiser… Même si le mot que tu as utilisé était plus cru que ça… Tu m’as dit que c’était ton fantasme et que tu n’aurais confiance qu’en moi pour ça, que j’étais le seul dont tu rêvais pour ça… Tu es même venue vers moi mais avant que j’ai le temps de te dire non, tu t’es finalement effondrée sur le canapé.
Ce n’était pas totalement clair dans mon esprit mais des souvenirs vagues de la discussion me revenaient et ça correspondait avec ce qu’il me disait. Je le croyais à 100%. Il aurait été incapable de me mentir là-dessus.
Manu : Mon gage, c’est que tu me laisses la possibilité de te donner ces deux orgasmes… Et que tu m’accordes ta confiance pour d’aider à réaliser ton fantasme.
Cette fois, j’étais sûre que j’étais rouge comme une tomate. Il n’avait pas inventé ça. La sodomie était en effet mon plus grand fantasme caché. Et Manu était le seul dans mes pensées les plus intimes pour le réaliser. Pour tout dire, il était le seul dans mes fantasmes divers depuis ma rupture avec mon dernier petit ami et il l’avait été régulièrement depuis que j’ai été en âge d’avoir des fantasmes.
Manu : Tu es mon amie mais tu m’as toujours attirée. Seulement depuis ce soir-là, j’ai du mal à te regarder sans y penser, sans déshabiller du regard ton corps… Sans m’imaginer dans tes fesses splendides. Je sais que c’est un choc… J’espère ne rien gâcher entre nous… Mais je ne changerai pas d’avis sur ton gage. C’est celui-là ou aucun.
Il s’est levé et m’a caressé doucement la joue avant de reprendre sa veste et de partir.
Dire que j’ai mal dormi serait un euphémisme. J’ai tourné, tourné, pensé et pensé encore. Parfois des larmes me venaient aux yeux sans savoir pourquoi. Parfois, je trouvais mon sexe trempé de désir à l’idée de ce que Manu pourrait me faire.
Je crois que ce qui me troublait le plus était son regard quand il m’avait dit tout ça. Il y avait un mélange de tendresse et d’excitation extrême.
Je sais à quoi je ressemble. Fan de fitness, je suis athlétique, jolies jambes, fesses musclées, taille fine et ventre plat, une poitrine un peu trop petite à mon goût mais bien ferme. J’attire beaucoup de garçons mais je ne fais plus confiance à mes choix donc ça fait 6 mois que je n’ai personne. Et 6 mois qu’aucun homme ne m’a touché. J’aime l’intimité des rapports sexuels et je dois avouer que ça me manquait. Et l’idée d’un rapport avec Manu me faisait mouiller comme une dingue.
Je savais que Manu ne m’en voudrait pas forcément plus que ça de refuser le gage. Il n’est pas comme ça. Mais le fait qu’il trouve le courage de me demander ça me montrait à quel point il avait dû y penser.
Au cours des années, je ne compte pas le nombre de fois où des copines m’ont demandé si elles pouvaient sortir avec lui, si ça ne me dérangeait pas. Je ne répondais toujours « pas de problème. Vas-y » seulement à l’intérieur, je me disais régulièrement « non, Manu est à moi, tu n’as pas le droit ».
C’était finalement peut-être ma chance de l’avoir « à moi » pour une nuit… Avant qu’il n’aille vers d’autres aventures.
Le lendemain soir, je lui ai envoyé un message « j’accepte le gage. Je serai chez toi vendredi à 19h00 » On avait déjà prévu de se retrouver pour un cinéma seulement je savais que nous ne serions pas là pour la séance. Sa réponse n’a pas tardé « si ça ne te dérange pas, je préfèrerai qu’on se retrouve à l’Alfimato à 19h30. J’ai réservé mais si tu n’as pas envie, j’annule ». Ça me convenait tout à fait et j’ai reconnu là son esprit pratique. Se retrouver en terrain neutre au début était une bonne idée.
La semaine est passée lentement mais au fur et à mesure, l’anxiété et la gêne ont laissé place à une réelle excitation, à une impatience.
Tous les vendredis en fin de journée, je vais à la salle de sport. Cette fois, je suis rentrée chez moi pour me changer, me doucher, enlever les quelques poils disgracieux qui auraient pu pousser. Je sais que je ne suis pas moche mais j’estime que Manu est dans une autre catégorie donc je voulais gommer un maximum d’imperfections.
Il faisait bon et j’ai rejoint Manu devant le restaurant italien. Il était élégant et m’attendait avec une rose à la main. J’avais bien fait de choisir ma petite robe noire. Au moins, je n’étais pas ridicule à ses côtés.
Pendant plus d’une heure et demie, on a parlé de tout et de rien, on a rigolé comme d‘habitude en évitant de parler de ce stupide pari et du « gage ». A la fin du repas, Manu a demandé l’addition et m’a fait comprendre qu’il payait alors que la plupart du temps, on partage.
Moi : Tu n’étais pas obligé de faire tout ça !
Manu : Tout ça quoi ?
Mi : La rose, le restaurant italien, être aussi élégant et galant…
Manu : J’en avais envie Julie. Tu n’es pas n’importe qui ! Tu es tellement importante pour moi !
Manu était plus séduisant que jamais ce soir, bien coiffé et juste mal rasé comme j’aime, dans sa belle chemise blanche, et les regards d’autres femmes dans le restaurant me le confirmait. Mais plus que son look, ses mots me touchaient, me rassuraient. J’étais en confiance avec lui et surtout, son charme était dirigé envers moi et moi seule. Pas une seule fois, il n’a regardé une autre femme.
Il a pris ma main et on est allé jusqu’à son appartement, à peine à 5 minutes de marche. L’air à peine plus frais m’a fait du bien. Il me tenait la main, comme un petit ami et je passais une soirée super agréable. Si c’était mon petit ami, il aurait été chanceux ce soir… Attends !! Il allait être chanceux ! c’était mon gage ! Sauf qu’à cet instant, le gage me convenait tout à fait.
On a passé la porte de son appartement et je me suis retrouvé d’un coup très proche de lui. Sa main était sur ma taille, l’autre sur ma gorge, son pouce caressant ma joue. J’ai avalé avec difficulté ma salive. Mes sentiments se bousculaient dans ma tête. J’ai pris conscience que mes tétons étaient durs comme la pierre sous ma robe et Manu était si proche que le tissu les frottait doucement.
Manu : Tu es si belle ! J’ai envie de toi depuis si longtemps !
J’ai gémi quand ses lèvres ont trouvé les miennes. Ses gestes et caresses étaient tendres, son baiser passionné. Je m’attendais à ce qu’il m’emmène dans sa chambre, qu’on se déshabille et qu’il me donne du plaisir. C’était différent. Bien mieux ! Mais est-ce qu’il voulait vraiment ça ?
Moi : Attends Manu ! Tu fais quoi là ?
Manu : D’après toi ?
Moi : Le gage, c’était qu’on devait baiser non ?
Manu : Non, le gage, c’était que tu devais me laisser essayer de te donner du plaisir. On n’a jamais dit qu’on allait juste baiser.
Moi : Mais…
Manu : Tu n’aimes pas ?
Moi : Si… Mais…
Manu : Depuis 15 ans qu’on se connaît, c’est la première et peut-être la dernière fois que j’ai une chance de te faire l’amour. Je ne vais pas la laisser passer !
Moi : Me faire l’amour ?
Manu : Oui. Tu ne veux pas ?
Moi : SI !
Cette fois c’est moi qui aie attiré sa bouche à la mienne. Manu avait raison, j’allais lui faire l’amour et ce serait bien meilleur, tellement meilleur… Même si ce n’était qu’une seule nuit.
Nos vêtements sont tombés au sol les uns après les autres. Je connaissais le corps de Manu. On est allés assez souvent à la plage ou à la piscine pour que je le détaille du regard très régulièrement. Mais la sensation de sa peau et de ses muscles sous mes doigts était nouvelle, magique.
Il a maté mes seins, les a sucé et léché.
Manu : MMMMHHH ! Parfaits !
Moi : Pas trop petits !
Manu : Non ! Juste parfaits Julie !
Sa bouche et ses mains étaient partout sur moi et je cambrais mon corps pour me coller à lui, pour donner telle ou telle partie à sa bouche. Je n’étais pas en reste pour explorer son corps ferme et doux, viril. Son sexe était un braquemart long et épais que j’avais hâte de sentir en moi.
J’étais déjà en feu quand sa langue a fouillé mon sexe, débusquant mon clitoris gonflé et si sensible. J’ai joui une première fois, fort, mais moins fort que quelques minutes plus tard quand il a combiné ses doigts et sa langue, un majeur s’insinuant dans mon anus sans difficulté, puis deux.
Dans un tout petit coin de ma tête, je me suis dit qu’en à peine quelques minutes, Manu avait réussi à me donner deux très beaux orgasmes. Mon excitation est montée d’un cran encore. Il remontait mon corps, déposant toujours autant de baisers sensuels et doux.
Je sentais son sexe contre le mien alors que mes jambes commençaient à l’enserrer. Son regard était intense. En appui sur une main, il a caressé ma joue tout en plaçant son gland et en commençant à me pénétrer.
Chaque petite poussée l’amenait plus loin en moi, délicieusement. Il était tendre, diablement sexy, attentionné, et pourtant viril. J’ai paniqué quelques instants quand il m’a embrassé et que j’ai compris que j’étais complètement et éperdument amoureuse de mon meilleur ami. Jamais je ne ressentirai ça avec un autre. C’était impossible. Mais c’était bien trop bon et mon corps a pris le contrôle. J’accompagnais ses coups de reins, gémissais de plaisir, criais quand il me faisait ressentir des sensations jamais vécues auparavant.
Mon orgasme est retombé quelques instants mais quand Manu a murmuré je t’aime dans mon oreille, j’ai joui encore, plus fort, agrippant ses fesses, les griffant, criant mon plaisir tout en bougeant comme une possédée sous lui. J’ai entendu Manu exprimer son plaisir, se lâcher en moi complètement, le corps tendu comme un arc.
Manu s’est effondré à côté de moi en roulant sur le dos, essoufflé. On était tous les deux en sueur mais je m’en moquais. Je suis passée sur lui en me collant à lui. J’embrassais chaque parcelle de son corps alors qu’il reprenait son souffle. J’étais insatiable de son corps puissant. Quand j’ai commencé à dire des « je t’aime » entre mes baisers, j’ai senti son sexe durcir à nouveau. Quand j’ai mordillé ses tétons, il a respiré plus fort, gémi un peu même.
C’est à ce moment qu’il m’a placé en levrette sur le lit, un sourire coquin sur les lèvres. Mon pouls s’est accéléré. Caresses, baisers, lubrifiant, mots doux et rassurants.
En tournant la tête, j’ai maté le corps parfait de Manu, ses pectoraux, ses abdos parfaits. J’ai admiré son sexe au garde à vous et même s’il m’a paru énorme, je le voulais en moi. Sa main branlait doucement son sexe tout en appliquant du lubrifiant.
Manu : tu ne peux pas savoir à quel point j’ai rêvé de ce moment.
Il m’a redressé un peu. Sa bouche était très proche de mon oreille.
Manu : Ce n’était pas des paroles en l’air tout à l’heure Julie…
Moi : Pour moi non plus…
Sa queue dure glissait entre mes fesses.
Manu : Alors ? Est-ce que j’ai gagné le droit de te faire goûter au plaisir anal ?
Moi : Définitivement oui ! Je n’ai jamais pris un plaisir plus fort dans ma vie !
Manu a pris son temps. Il était patient et doux. Je poussais mes fesses vers lui en rythme. Je le voulais tellement en moi. Au bout de quelques minutes, je savais que ce ne serait pas la dernière fois que je l’aurais dans les fesses. La sensation était grisante, rien à voir avec ce que j’imaginais. Il était énorme en moi et coulissait pourtant bien. Sa prise sur mes hanches était ferme et m’autorisait très peu de mouvement. Heureusement car j’aurai voulu l’avoir en moi complètement le plus vite possible.
Manu a changé un peu d’angle et poussé en moi. J’ai poussé un cri de surprise et de plaisir brut. Il a bougé plus fort et plus vite, m’arrachant des feulements, des couinements. La montée progressive du plaisir m’avait amené à un état d’extase permanent. Sa belle queue m’empalait, ses hanches claquaient sur mes fesses et j’adorais ça.
Quand Manu a été sur le point de jouir, il est sorti de moi et je me suis effondrée sur lit, le corps encore tremblant de plaisir alors que Manu éjaculait sur mes fesses et mon dos. Délicatement, il a écarté mes cheveux et embrassé ma nuque, puis ma joue, avant de me prendre dans ses bras pour m’emmener à la douche.
J’étais une loque, incapable de bouger, mais je serrais Manu dans mes bras.
Manu : Ça va ?
Moi : Oui… Tu étais vraiment sérieux hein ? tu ne vas pas me dire maintenant que c’était juste pour que je me sente bien ?
Manu : Julie, ça fait longtemps que je pense à toi et moi.
Moi : Pourquoi tu n’as jamais rien dit ? Moi aussi j’ai souvent pensé à toi.
Manu : Tu étais souvent en couple tu sais.
Moi : Parce que tu passais sans cesse d’une fille à une autre…
Manu : On n’a pas été très doué pour communiquer hein ?
Moi : Non, pas trop… Mais on est ensemble maintenant… Et j’adore l’idée.
Manu : Moi aussi.
Moi : J’ai bien fait de perdre le pari ! Tout était trop bon Manu !
Manu : Même… ???
Moi : Oui.
Manu : YESS !
Il a levé les bras en l’ait comme s’il avait marqué un but et on a rigolé comme des fous.
Je suis sortie de la douche, vraiment pas fatiguée et très excitée à nouveau à la vue de son corps allongé dans le lit. Cette fois, j’ai profité du moment pour réellement découvrir son sexe, le voyant et le sentant grossir dans mes mains. Il était délicieux entre mes lèvres, doux et puissant, tremblant sous mes coups de langue.
Je suis passée sur lui pour m’empaler en vibrant de désir pour Manu.
L’avenir s’annonçait enfin serein…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Queuedusexe
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je viens de découvrir ce site et étais sur le point de le fermer tant les 3 histoires que j'avais lues, étaient pauvres. Celle ci est une jolie histoire avec un fort bon scénario, avec un petit effort presque crédible et est bien écrite. J'avoue ne pas être fan des récits dont l'auteur prend le parti de se mettre dans la peau de l'autre sex, surtout dans ce sens, car les descriptions des ressentis sont pour moi trop pauvres, il est en effet difficile de décrire ce que l'on ne connait pas. Mais l'effort est louable.
Beau texte bien écrit et beaucoup de tendresse
Bravo j’en redemande
Bravo j’en redemande