Paris
Récit érotique écrit par Samsàra [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
- • 1 récit publié.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 10.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Samsàra ont reçu un total de 2 900 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 2 900 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Paris
Et voilà encore plusieurs semaines sans se voir.
A chaque nouvelle nuit passée seule dans mon lit, je sens le désir pour toi qui devient de plus en plus fort et ardent.
Cette obsession de retrouver ton corps, ton odeur, ta bouche, le son de ta voix qui me murmure dans l'oreille que tu me veux, ta bouche qui parcourt ma peau, déclenchant à chaque baiser et chaque morsure, un frisson de plaisir….
Je pense à tout ça dans le train qui me rapproche km par km de toi et de ce weekend parisien.
Nous avons réservé un hôtel bien au-delà de nos moyens mais je crois que c’était nécessaire pour marquer ce moment. La chambre est très lumineuse avec des grandes baies vitrées, en plein centre de Paris dans un bel immeuble. Je suis la première à arriver. Quand j’ouvre la porte, je découvre une grande pièce avec deux façades entièrement vitrées, une sur ma gauche et l’autre en face, avec une vue imprenable sur Paris. En face de moi, un lit, immense, adossé aux fenêtres, je m’approche, et prends le temps de savourer cette vue sur Paris, la nuit commençant à tomber, les lueurs rosées du soleil qui se couche… je commence à nous imaginer ici… je me retourne, je m’assois sur le lit et je découvre en face de moi un immense miroir : du sol au plafond, de la même largeur que le lit… Je me souviens maintenant de ce critère pour le choix de l'appartement et je me délecte à l’avance de voir nos corps entremêlés face à ce miroir.
Je dépose ma valise, je sors mes jouets que je dépose sur le lit : je ne les ai pas oubliés, mon god et cet oeuf vibrant divin que tu m’avais offert. Je me dirige ensuite vers la douche avant que tu n'arrives. La salle de bain est assez grande avec un très beau miroir ici aussi au-dessus des vasques, et la douche à l'italienne est tellement spacieuse… je jette au sol mes habits et entre dans la douche, l'eau commence à ruisseler sur mon corps, je frissonne : tout en me savonnant, je pense à ton arrivée, à mon envie de te prendre dans mes bras, de te couvrir de baiser et de me jeter dans le lit avec toi pour regarder le coucher de soleil depuis notre chambre d'hôtel en buvant cette bouteille de champagne que j’ai amenée. Mais je pense aussi à la demande que tu m'as faite plus tôt par message : « Quand j'arrive, je te veux totalement nue, avec deux accessoires : le collier et ton plug. »
« Oui Monsieur. » avais-je répondu docilement.
Je sais très bien qu’une fois le collier autour de mon cou, je deviendrai ta soumise et je ne pourrai plus me jeter dans tes bras, comme pourtant je l'espérai. Je sors de la douche avec cette réflexion en tête, mon cœur balance entre l’envie de jouer avec ton ordre - et les punitions qui découlent d’une possible désobéissance, et ma capacité à être docile, me délecter de cette douce frustration... Je mets un peu de far à paupières et du rouge sur mes lèvres, je me dirige vers ma valise et prend une décision qui changera le cours de la soirée : j’obéirai.
Ce soir je t’accueillerai comme demandé par le Maître. Ce soir, cette nuit, je serai ta soumise.
Je glisse le collier autour de mon cou et le ferme à l’arrière de ma nuque : je me regarde dans la glace en tenant dans ma main le pochon contenant le plug. Je le sors de son enveloppe, et le dévore des yeux. Les derniers souvenirs avec ce petit accessoire étaient vraiment très excitants. Je croise les jambes pour sentir mes cuisses qui se frottent, je commence à mouiller. Je me recule sur le bord du lit, m’assois, écarte les jambes et me regarde. Je commence à me caresser avec le plug, je le glisse le long de ma fente humide et le fait pénétrer doucement dans ma chatte déjà tellement excitée. Je ne joue pas très longtemps. Je le lubrifie juste assez pour lui faire visiter un autre endroit… je m’avance un peu plus sur le lit, glisse doucement le jouet vers ce fruit défendu que je compte bien t’offrir ce soir. Doucement j'appuie sur ma rosette avec le plug ruisselant de ma mouille… et le fait pénétrer en moi, dans mon petit cul, si serré. Je le sens entrer, tout doucement, progressivement je sens ma rosette s’écarter et accepter ce bijou. Je me relève et me regarde. Je me retourne, écarte mes fesses, et jette un regard par-dessus mon épaule : je vois le petit diamant étinceler. Je ferme les yeux, inspire : je me trouve belle est sexy avec ce bijou à l’intérieur de moi. Je me trouve classe et chienne à la fois : je sais que ça te plaira.
Il me reste encore un peu de temps avant que tu arrives alors je décide de mettre un peu de musique, d'ouvrir la bouteille de champagne, et de me servir un verre. Je monte sur le lit, et je m’accoude au rebord de la fenêtre en laissant errer mon regard sur les toits de Paris.
Je ne sais combien de temps s' est écoulé quand j'entends les clefs dans la porte. J’ai à peine le temps de me retourner, que tu entres dans la pièce. Ton regard fait le tour des lieux et se pose sur moi. Tu refermes la porte derrière toi et tu plonges ton regard dans le mien. Je suis nue, une jambe encore repliée sous moi et une autre étendue sur le lit. Je ne porte que le collier, mes cheveux sont détachés et tombent de chaque côté de mes épaules. La playlist continue en fond sonore, le temps s’est arrêté. Je te souris de manière malicieuse, le rouge sur mes lèvres contraste avec le blanc des draps et de ma peau. J'amène la coupe de champagne à mes lèvres. Je me redresse à genoux sur le lit, me cambre en tendant ma poitrine vers toi, je bois une gorgée de ce nectar. Pendant tout ce temps tu ne dis rien. Je sais que tu te délectes de me voir nue ainsi m’offrant à toi mais je sais aussi qu'au fond de toi, tu rages de me voir autant te provoquer.
Je me retourne. Je me penche en avant vers le rebord de la fenêtre pour y poser mon verre, prendre la bouteille, afin de te servir… je me penche vraiment, et cambre mon bassin, te donnant ainsi une vue imparable sur ma croupe. Tu entrevois le bijou ornant mon fessier… quelques secondes. Suffisamment pour qu’une bosse commence à apparaître sous ton pantalon. Je reviens vers toi, le verre et la bouteille à la main : « je ne vous ai pas attendu avant de me servir un verre »
Il n’en fallait pas plus pour que le Maître entre en action.
Toujours sans parler tu enlèves de mes mains, la bouteille et le verre. Pose ta main sur mon cou. Serre tes doigts autour de ma gorge. Plonge ton regard dans le mien et me dirige fermement vers le miroir où tu me plaques d’un coup sec. La froideur du miroir dans mon dos contraste avec la chaleur de mon corps, « c’est froid ! » un petit cri de surprise sort de ma bouche où tu insères immédiatement 2 doigts. Tu te rapproche de mon visage et viens me dire à l’oreille : « tu es ma soumises, et tu as enfreints déjà deux règles : boire et parler sans mon autorisation » Tu retires tes doigts de ma bouche et me retourne contre le miroir, la joue contre la glace froide « Cambre toi et ne bouges pas ». Je m’exécute et te regarde dans le reflet t’éloigner. Tu sors quelque chose de ton sac que je ne vois pas immédiatement. Tu le poses sur le lit. Tu attrappes la bouteille de champagne, tu te sers un verre, prends dans une de tes poches un paquet de cigarettes. Tu ouvres alors une fenêtre et y allume une cigarette. Tu regardes dehors en buvant ton verre. Je vois dans le reflet du miroir que tu prends ton temps. Tu éteins la cigarette, referme la fenêtre. Tu retournes vers moi. Je vois un sourire satisfait sur ton visage. Je n’ai pas bougé, les fesses en arrière, le visage contre ce miroir et mes seins se reflétant dedans. Tout ce temps j’ai obéi. Tu te penches sur le lit, récupère le martinet que tu avais posé. Et avance vers moi. « Je vais devoir te punir, tu sais pourquoi »
« Oui monsieur »
3.
2.
1.
. Clac .
Premier coup.
3. 2. 1.
. Clac.
Deuxième coup
Je sens ta main effleurer ma peau fouettée, ma fesse droite, deux fois au même endroit … une caresse douce contrastant avec les deux coups précédents, chaleur et douleur se mêlent. Je me mords les lèvres.
Ton souffle dans mon cou et un baiser sur ma nuque détendent mon corps. Tu te recules et me contemple de dos. Je prends l’initiative de me mettre face à toi et essaie de défier ton regard. D’un geste de la tête tu m’invites à parler. « Monsieur a-t-il fait bon voyage ?». Tu recules encore et t’assois sur le rebord du lit, en me disant que tu as besoin que je te détende et tu m’ordonnes de me mettre à genou. Je m’exécute : je suis alors face à toi, à genoux entre tes jambes. Je pose mes mains sur tes cuisses tout en soutenant ton regard, elles remontent doucement vers la ceinture de ton pantalon. Mes doigts effleurent ton érection déjà bien présente. Je glisse sous ta ceinture et je la tire d’un coup sec. Je la pose à côté de toi car je sais qu’elle servira plus tard. J’ouvre ton bouton de pantalon; approche ma bouche de la braguette et vient la baisser avec les dents. J’écarte ton pantalon et pose un baiser sur ton sexe bombant sous ton caleçon. Avec mes deux mains, je tire sur le morceau de tissus qui sépare ma bouche de ton organe du plaisir, et je dégage ainsi ton sexe que j’aime tant. Tu prends ma tête entre tes deux mains, et vient la déposer sur ton gland tout luisant de désir. Ma bouche s’ouvre, ma langue frétille et ton sexe pénètre ma bouche. Je sens tes mains qui se font fermes à l’arrière de mon crâne, et tu me pousses à avaler cette queue gorgée de plaisir jusqu’à la garde. Je lève les yeux vers toi, je ne m’attendais pas à ça. Tu me fixes, et tu affirmes ta position en bloquant ma tête. Ton bassin ondule, une fois. Deux fois. Trois fois. Je sens ta queue qui tape au fond de ma gorge. Quatre fois. Cinq fois. Mes yeux se ferment, je me délecte de cette queue qui emplit ma gorge et ma bouche. Six fois. Sept fois. Huit fois. Tu t’arrêtes dans ma gorge la plus profonde, je sens que ton corps se tend, tu gémis de plaisir. Tu te retires. Je ré-ouvre les yeux, j’essuie la bave au coin de ma bouche, j’avale ma salive. Et je te regarde. Tu es beau quand tu prends ton pied, me dis-je. Tu retires ta veste, enlève en même temps ton pull et ton tee-shirt. Je vois ton corps si bien dessiné. Je crève d’envie de te toucher. De te caresser. Mais je ne peux pas. C’est le contrat. Tu baisses un peu plus ton pantalon et ton caleçon. « Tu aimes me sucer ? » « Oui monsieur j’adore ça ». Je me penche de nouveau vers ta bite ouvre la bouche et…
. Clac .
Ta main s'abat sur ma joue. « Je ne t’ai pas encore autorisée. »
« Pardon Maître »
Tu caresses ma joue, introduit ton pouce dans ma bouche, fais quelques aller-retour, souri de la surprise de cette claque et me dit : « Maintenant penche toi, montre moi ton petit cul et suce moi »
Dans ma tête tout va très vite, je veux obéir aussi vite que possible pour à nouveau sentir cette queue en moi. Je me cambre, je pose mes mains de part et d’autre de mes fesses, je les écarte, te montrant ainsi dans le miroir ma raie ornementée de ce fameux Plug. Et cette fois je me penche sur ton sexe. Ma langue vient effleurer le bout, je lève mes yeux vers toi, et t’implore du regard de me laisser te sucer. Je te vois, regarder en face de toi, dans le miroir, sur la vue que je t’offre, sur ce plug au milieu de mon cul, une invitation à y entrer plus tard. Tu prends mes cheveux dans ta main gauche, pose ta main droite à la base de ta bite et la pousse dans ma bouche. Je commence alors à te sucer, au début doucement, puis de plus en plus vite et profond, ma tête va et vient sur ton sexe tendu, ma langue le parcours de haut en bas, tantôt à plat, tendue pointue, tantôt molle, tantôt dure. Je sens ta main se crisper dans mes cheveux, je sais que tu aimes ça, ton bassin avance vers moi, et je viens t’offrir une nouvelle gorge profonde, que tu vas de nouveau bloquer. Je ne peux reculer et tu peux ainsi continuer les allez-retour au fond de ma gorge. Je tousse et me retire d’un coup sec. Je vois ton air mesquin, et ta main droite qui s’abat une nouvelle fois sur ma joue. Je repose ma bouche a la base de ta queue, je remonte sur ton gland, fais le tour avec ma langue et redescend avec ma langue jusqu’à nouveau jusqu’à la base de ton sexe. Ma bouche vient déposer un baiser entre tes deux boules, j’en prends une en bouche, puis l’autre, je t’entends respirer très fort, ma langue passe bien à plat, plusieurs fois, en insistant sur cet endroit que tu aimes tant. Puis je remonte lentement vers ton gland, et ma bouche reprend ses va et vient, sans s’arrêter. En suivant le mouvement tu te lèves, reprends ma tête entre tes mains, je t’entends dire que tu vas jouir, je te regarde et te dis : « baises-ma bouche, je suis ta chienne ce soir » Tu te figes, je n’avais pas le droit de parler, et encore moins de te tutoyer, mais il ne fallait pas plus que cette phrase pour faire monter ton excitation à son maximum, tu te mets alors à enfoncer ta queue dans ma bouche, doucement mais profondément. Tu me baises la bouche, comme je te l’ai demandé, je sens ton sexe qui se tend, de plus en plus, tes mains se crispent de part et d’autre de mon visage. Je te regarde. Toi aussi. Tu lèves les yeux au ciel et dans un dernier mouvement, tu déverses sa semence au fond de ma gorge. Je la sens, chaude, couler le long de ma gorge, sur les bords de ma bouche, j’avale une première fois en soutenant ton regard. Tu m’invites à me relever, j’avale ce qu’il reste encore dans ma bouche. Je plonge mon regard dans le tien et je te dis « merci monsieur »
Tu souris après ce premier orgasme. Tu enlèves ce qu’il te reste comme habits. M’ordonne de m’allonger sur le lit, et tu sors encore quelques objets de ton sac. Je suis sur le dos, ça ne te convient pas. Tu me retournes d’un coup sec. Attrape une première jambe, et l’attache au pied du lit. Tu fais la même chose avec la deuxième. Tu prends ensuite mes deux poignets et les lie dans mon dos. Tu attrapes le martinet et le fais glisser le long de ma colonne. Tu embrasse ma fesse gauche « merci pour l’orgasme, mais tu vas devoir compter à nouveau pour avoir tutoyé ton Maître »
3.
2.
1.
. CLAC .
Plus fort que tous les précédents, le coup s’abat sur ma fesse gauche.
Le martinet descend entre mes cuisses et vient effleurer mes lèvres, je frissonne à peine remise de la douleur exquise. Tu écartes mes fesses, et retire délicatement le plug, tu le sors en entier, le remet, le re-sort…. Ainsi de suite une dizaine de fois, je ne peux m’empêcher de gémir, tu le retires une dernière fois, et je sens ton doigt qui vient se poser sur ma rosette déjà assouplie. Ton doigt en fait le tour et vient visiter ce petit cul que tu aimes tant. Et pendant que tu me pénètres avec ce doigt, je sens ton autre main qui se glisse sous moi, à la recherche de l’entrée de ma chatte. Je mouille tellement…. Tu insères un doigt dans mon vagin qui vient à la rencontre de ton doigt dans mon cul. Commence alors une alternance, tu joues avec tes deux doigts, tantôt l’un tantôt l’autre, et puis les deux en même temps, dans mes deux trous, j’halète, je gémis, je mords le draps, mes mains se serrent dans mon dos, je tire sur les cordes… et puis tu t’arrêtes. Tu ne voudrai pas trop me donner, enfin pas de suite…
Ta main attrape le premier jouet, mon vibro. Tu l’allumes, règle la vibration et le pose contre mon abricot. Ma mouille dégouline , il glisse le long de ma fente, tu le cales sur mon clito et commences à appuyer en faisant des petits cercles. Je commence à bouger mon bassin. Ta main libre se pose fermement au creux de mes reins, empêchant tout mouvement, et tu continues à jouer avec mon clito et mon vibro. J’essaie de bouger et de me débattre. Ta main se fait de plus en plus ferme. Je gémis. Tu arrêtes tout. D'un coup. Plus aucun contact. Et je sens une première fessée qui s’abat. « ne fait pas de bruit »
Tu recommences ton manège sur mon clito. J’essaie de ne pas bouger… j’essaie de ne pas faire de bruit… je te promets. J’essaie
Mais je n’y arrive pas. Je n’arrive pas à retenir encore un gémissement. Et cette fois à nouveau tu t’arrêtes. Et je sens encore une fessée s'abattre. Tu te penches sur moi. Et me dit « on remercie le maître après une punition méritée »
« Merci… » dis-je en un seul souffle…
Tu reprends le god dans ta main et cette fois tu le poses à l’entrée de mon sexe. Tu l’insères doucement, et je m’ouvre à toi. Tu l'enfonces bien profondément. Je sens les vibrations dans ma chatte qui résonnent dans tout mon bassin. Tu te mets à califourchon sur mes jambes et tu me pénètres de plus en fort avec mon vibro. Je respire. Vite. Je halète. J’enfouis mon visage dans les draps. Je me cambre. Mes fesses remontent de plus en plus. Je suis tellement excitée que l’orgasme est tout prêt . Tu le sais… et c’est pour ça que tu t’arrêtes à nouveau. Tu remontes avec le vibro vers ma rosette encore toute sensible de ton précédent doigt. Tu prends le lubrifiant. Je sens qu’il coule le long de ma raie… tu pousses le vibro à l’entrée de mon cul. Et tu avances doucement. Tu sais qu’il me faut du temps pour ça. Tu sais aussi que quand je suis très excitée, ce temps est raccourci… alors sans prévenir tu te lèves. Tu vas dans ton sac et tu reviens avec le poppers. Tu soulèves ma tête par les cheveux , le pose sous mon nez : tu me fixes avec ton regard brûlant et me dis « je veux ton cul »
. Respire .
Je prends une grande inspiration dans le poppers, puis une deuxième. Je sens la chaleur m’envahir. Mon cerveau se déconnecte. Mon corps n’est plus que désir et feu ardant. Je sens que tu reviens à l’entrée de mon cul avec un doigt cette fois. Il rentre sans difficulté. Puis un deuxième. Tes doigts tournent. Font des mouvements de rotation, des vas et viens incessants puis tu les crochettes vers le haut et tu me pénètres plus fort. La chaleur du poppers me rend folle… je ne tiens plus. De ton autre main, tu prends l’autre jouet, cet œuf vibrant, que tu m'as acheté. Tu l’allumes et le glisse entre mes cuisses. D’un mouvement habile tu l’insères dans ma chatte. Tu le sens avec tes doigts dans mon cul en même temps et ça t’excite tellement. Les effets du poppers se dissipent un peu, je prends conscience du plaisir que tu me donnes. Tu retires tes doigts de mon cul, tu te recules et admire ma rosette légèrement dilatée. Dans ma tête je te supplie de continuer, avec les vibrations de l’œuf dans ma chatte, je n’arrive plus à réfléchir.
Tu reviens vers moi et me propose encore du poppers. Mais cette fois tu en prends avant moi. Tu reviens te poser entre mes fesses. Tu appuies ta bite contre mon cul. Et je la sens rentrer tout doucement. En même temps que les vibrations s’accélèrent ta queue s’enfonce de plus en plus loin dans mon cul, et arrivée à la garde, tu te délectes de mon petit trou serré. Je n’en peux plus, je crie. « baise moi ! » Ton bassin s’éloigne, ta queue ressort à moitié, tu choppes le Martinet et me fouette une fois, très fort sur la fesse droite. Je t’ai encore tutoyé.
Tu reviens ensuite t’enfoncer dans mon cul.
Et cette fois oui, tu me baises. Tu me baises comme une soumise qui te supplie de le faire… tu me prends par le cul et par la chatte. Je crie. Tu gémis. Ton corps ondule sur le mien prisonnier de ses liens. Tu vas de plus en plus vite, je sens ta peau, ta chaleur, ta transpiration mêlée à la mienne… nos souffles ne font plus qu’un. Tu me pénètres encore et encore. A chaque fois ton bassin claque contre mes reins. Je presse mes fesses contre toi, je veux que tu y aille encore plus fort, encore plus profond. Tu prends mes fesses, tu les écartes et tu t’enfonces encore une fois, ton bassin contre le mien et puis tu te retires doucement. Tu viens chercher l’œuf vibrant et le retire. Mon corps tremble… j'étais sur le point de jouir… Je sens ton souffle encore rapide descendre le long de ma colonne. Ta bouche dépose un baiser sur mes reins. Tu écartes mes fesses à nouveau et viens glisser ta langue dans mon cul encore dilaté . Tu me bouffes littéralement le cul… et j’aime ça. Tu me donnes ce plaisir encore quelques minutes. Puis tu t’arrêtes. Je ne sais pas ce que tu as en tête mais tu me laisses de longues secondes sans bruit et sans me toucher…. J’attends.
A chaque nouvelle nuit passée seule dans mon lit, je sens le désir pour toi qui devient de plus en plus fort et ardent.
Cette obsession de retrouver ton corps, ton odeur, ta bouche, le son de ta voix qui me murmure dans l'oreille que tu me veux, ta bouche qui parcourt ma peau, déclenchant à chaque baiser et chaque morsure, un frisson de plaisir….
Je pense à tout ça dans le train qui me rapproche km par km de toi et de ce weekend parisien.
Nous avons réservé un hôtel bien au-delà de nos moyens mais je crois que c’était nécessaire pour marquer ce moment. La chambre est très lumineuse avec des grandes baies vitrées, en plein centre de Paris dans un bel immeuble. Je suis la première à arriver. Quand j’ouvre la porte, je découvre une grande pièce avec deux façades entièrement vitrées, une sur ma gauche et l’autre en face, avec une vue imprenable sur Paris. En face de moi, un lit, immense, adossé aux fenêtres, je m’approche, et prends le temps de savourer cette vue sur Paris, la nuit commençant à tomber, les lueurs rosées du soleil qui se couche… je commence à nous imaginer ici… je me retourne, je m’assois sur le lit et je découvre en face de moi un immense miroir : du sol au plafond, de la même largeur que le lit… Je me souviens maintenant de ce critère pour le choix de l'appartement et je me délecte à l’avance de voir nos corps entremêlés face à ce miroir.
Je dépose ma valise, je sors mes jouets que je dépose sur le lit : je ne les ai pas oubliés, mon god et cet oeuf vibrant divin que tu m’avais offert. Je me dirige ensuite vers la douche avant que tu n'arrives. La salle de bain est assez grande avec un très beau miroir ici aussi au-dessus des vasques, et la douche à l'italienne est tellement spacieuse… je jette au sol mes habits et entre dans la douche, l'eau commence à ruisseler sur mon corps, je frissonne : tout en me savonnant, je pense à ton arrivée, à mon envie de te prendre dans mes bras, de te couvrir de baiser et de me jeter dans le lit avec toi pour regarder le coucher de soleil depuis notre chambre d'hôtel en buvant cette bouteille de champagne que j’ai amenée. Mais je pense aussi à la demande que tu m'as faite plus tôt par message : « Quand j'arrive, je te veux totalement nue, avec deux accessoires : le collier et ton plug. »
« Oui Monsieur. » avais-je répondu docilement.
Je sais très bien qu’une fois le collier autour de mon cou, je deviendrai ta soumise et je ne pourrai plus me jeter dans tes bras, comme pourtant je l'espérai. Je sors de la douche avec cette réflexion en tête, mon cœur balance entre l’envie de jouer avec ton ordre - et les punitions qui découlent d’une possible désobéissance, et ma capacité à être docile, me délecter de cette douce frustration... Je mets un peu de far à paupières et du rouge sur mes lèvres, je me dirige vers ma valise et prend une décision qui changera le cours de la soirée : j’obéirai.
Ce soir je t’accueillerai comme demandé par le Maître. Ce soir, cette nuit, je serai ta soumise.
Je glisse le collier autour de mon cou et le ferme à l’arrière de ma nuque : je me regarde dans la glace en tenant dans ma main le pochon contenant le plug. Je le sors de son enveloppe, et le dévore des yeux. Les derniers souvenirs avec ce petit accessoire étaient vraiment très excitants. Je croise les jambes pour sentir mes cuisses qui se frottent, je commence à mouiller. Je me recule sur le bord du lit, m’assois, écarte les jambes et me regarde. Je commence à me caresser avec le plug, je le glisse le long de ma fente humide et le fait pénétrer doucement dans ma chatte déjà tellement excitée. Je ne joue pas très longtemps. Je le lubrifie juste assez pour lui faire visiter un autre endroit… je m’avance un peu plus sur le lit, glisse doucement le jouet vers ce fruit défendu que je compte bien t’offrir ce soir. Doucement j'appuie sur ma rosette avec le plug ruisselant de ma mouille… et le fait pénétrer en moi, dans mon petit cul, si serré. Je le sens entrer, tout doucement, progressivement je sens ma rosette s’écarter et accepter ce bijou. Je me relève et me regarde. Je me retourne, écarte mes fesses, et jette un regard par-dessus mon épaule : je vois le petit diamant étinceler. Je ferme les yeux, inspire : je me trouve belle est sexy avec ce bijou à l’intérieur de moi. Je me trouve classe et chienne à la fois : je sais que ça te plaira.
Il me reste encore un peu de temps avant que tu arrives alors je décide de mettre un peu de musique, d'ouvrir la bouteille de champagne, et de me servir un verre. Je monte sur le lit, et je m’accoude au rebord de la fenêtre en laissant errer mon regard sur les toits de Paris.
Je ne sais combien de temps s' est écoulé quand j'entends les clefs dans la porte. J’ai à peine le temps de me retourner, que tu entres dans la pièce. Ton regard fait le tour des lieux et se pose sur moi. Tu refermes la porte derrière toi et tu plonges ton regard dans le mien. Je suis nue, une jambe encore repliée sous moi et une autre étendue sur le lit. Je ne porte que le collier, mes cheveux sont détachés et tombent de chaque côté de mes épaules. La playlist continue en fond sonore, le temps s’est arrêté. Je te souris de manière malicieuse, le rouge sur mes lèvres contraste avec le blanc des draps et de ma peau. J'amène la coupe de champagne à mes lèvres. Je me redresse à genoux sur le lit, me cambre en tendant ma poitrine vers toi, je bois une gorgée de ce nectar. Pendant tout ce temps tu ne dis rien. Je sais que tu te délectes de me voir nue ainsi m’offrant à toi mais je sais aussi qu'au fond de toi, tu rages de me voir autant te provoquer.
Je me retourne. Je me penche en avant vers le rebord de la fenêtre pour y poser mon verre, prendre la bouteille, afin de te servir… je me penche vraiment, et cambre mon bassin, te donnant ainsi une vue imparable sur ma croupe. Tu entrevois le bijou ornant mon fessier… quelques secondes. Suffisamment pour qu’une bosse commence à apparaître sous ton pantalon. Je reviens vers toi, le verre et la bouteille à la main : « je ne vous ai pas attendu avant de me servir un verre »
Il n’en fallait pas plus pour que le Maître entre en action.
Toujours sans parler tu enlèves de mes mains, la bouteille et le verre. Pose ta main sur mon cou. Serre tes doigts autour de ma gorge. Plonge ton regard dans le mien et me dirige fermement vers le miroir où tu me plaques d’un coup sec. La froideur du miroir dans mon dos contraste avec la chaleur de mon corps, « c’est froid ! » un petit cri de surprise sort de ma bouche où tu insères immédiatement 2 doigts. Tu te rapproche de mon visage et viens me dire à l’oreille : « tu es ma soumises, et tu as enfreints déjà deux règles : boire et parler sans mon autorisation » Tu retires tes doigts de ma bouche et me retourne contre le miroir, la joue contre la glace froide « Cambre toi et ne bouges pas ». Je m’exécute et te regarde dans le reflet t’éloigner. Tu sors quelque chose de ton sac que je ne vois pas immédiatement. Tu le poses sur le lit. Tu attrappes la bouteille de champagne, tu te sers un verre, prends dans une de tes poches un paquet de cigarettes. Tu ouvres alors une fenêtre et y allume une cigarette. Tu regardes dehors en buvant ton verre. Je vois dans le reflet du miroir que tu prends ton temps. Tu éteins la cigarette, referme la fenêtre. Tu retournes vers moi. Je vois un sourire satisfait sur ton visage. Je n’ai pas bougé, les fesses en arrière, le visage contre ce miroir et mes seins se reflétant dedans. Tout ce temps j’ai obéi. Tu te penches sur le lit, récupère le martinet que tu avais posé. Et avance vers moi. « Je vais devoir te punir, tu sais pourquoi »
« Oui monsieur »
3.
2.
1.
. Clac .
Premier coup.
3. 2. 1.
. Clac.
Deuxième coup
Je sens ta main effleurer ma peau fouettée, ma fesse droite, deux fois au même endroit … une caresse douce contrastant avec les deux coups précédents, chaleur et douleur se mêlent. Je me mords les lèvres.
Ton souffle dans mon cou et un baiser sur ma nuque détendent mon corps. Tu te recules et me contemple de dos. Je prends l’initiative de me mettre face à toi et essaie de défier ton regard. D’un geste de la tête tu m’invites à parler. « Monsieur a-t-il fait bon voyage ?». Tu recules encore et t’assois sur le rebord du lit, en me disant que tu as besoin que je te détende et tu m’ordonnes de me mettre à genou. Je m’exécute : je suis alors face à toi, à genoux entre tes jambes. Je pose mes mains sur tes cuisses tout en soutenant ton regard, elles remontent doucement vers la ceinture de ton pantalon. Mes doigts effleurent ton érection déjà bien présente. Je glisse sous ta ceinture et je la tire d’un coup sec. Je la pose à côté de toi car je sais qu’elle servira plus tard. J’ouvre ton bouton de pantalon; approche ma bouche de la braguette et vient la baisser avec les dents. J’écarte ton pantalon et pose un baiser sur ton sexe bombant sous ton caleçon. Avec mes deux mains, je tire sur le morceau de tissus qui sépare ma bouche de ton organe du plaisir, et je dégage ainsi ton sexe que j’aime tant. Tu prends ma tête entre tes deux mains, et vient la déposer sur ton gland tout luisant de désir. Ma bouche s’ouvre, ma langue frétille et ton sexe pénètre ma bouche. Je sens tes mains qui se font fermes à l’arrière de mon crâne, et tu me pousses à avaler cette queue gorgée de plaisir jusqu’à la garde. Je lève les yeux vers toi, je ne m’attendais pas à ça. Tu me fixes, et tu affirmes ta position en bloquant ma tête. Ton bassin ondule, une fois. Deux fois. Trois fois. Je sens ta queue qui tape au fond de ma gorge. Quatre fois. Cinq fois. Mes yeux se ferment, je me délecte de cette queue qui emplit ma gorge et ma bouche. Six fois. Sept fois. Huit fois. Tu t’arrêtes dans ma gorge la plus profonde, je sens que ton corps se tend, tu gémis de plaisir. Tu te retires. Je ré-ouvre les yeux, j’essuie la bave au coin de ma bouche, j’avale ma salive. Et je te regarde. Tu es beau quand tu prends ton pied, me dis-je. Tu retires ta veste, enlève en même temps ton pull et ton tee-shirt. Je vois ton corps si bien dessiné. Je crève d’envie de te toucher. De te caresser. Mais je ne peux pas. C’est le contrat. Tu baisses un peu plus ton pantalon et ton caleçon. « Tu aimes me sucer ? » « Oui monsieur j’adore ça ». Je me penche de nouveau vers ta bite ouvre la bouche et…
. Clac .
Ta main s'abat sur ma joue. « Je ne t’ai pas encore autorisée. »
« Pardon Maître »
Tu caresses ma joue, introduit ton pouce dans ma bouche, fais quelques aller-retour, souri de la surprise de cette claque et me dit : « Maintenant penche toi, montre moi ton petit cul et suce moi »
Dans ma tête tout va très vite, je veux obéir aussi vite que possible pour à nouveau sentir cette queue en moi. Je me cambre, je pose mes mains de part et d’autre de mes fesses, je les écarte, te montrant ainsi dans le miroir ma raie ornementée de ce fameux Plug. Et cette fois je me penche sur ton sexe. Ma langue vient effleurer le bout, je lève mes yeux vers toi, et t’implore du regard de me laisser te sucer. Je te vois, regarder en face de toi, dans le miroir, sur la vue que je t’offre, sur ce plug au milieu de mon cul, une invitation à y entrer plus tard. Tu prends mes cheveux dans ta main gauche, pose ta main droite à la base de ta bite et la pousse dans ma bouche. Je commence alors à te sucer, au début doucement, puis de plus en plus vite et profond, ma tête va et vient sur ton sexe tendu, ma langue le parcours de haut en bas, tantôt à plat, tendue pointue, tantôt molle, tantôt dure. Je sens ta main se crisper dans mes cheveux, je sais que tu aimes ça, ton bassin avance vers moi, et je viens t’offrir une nouvelle gorge profonde, que tu vas de nouveau bloquer. Je ne peux reculer et tu peux ainsi continuer les allez-retour au fond de ma gorge. Je tousse et me retire d’un coup sec. Je vois ton air mesquin, et ta main droite qui s’abat une nouvelle fois sur ma joue. Je repose ma bouche a la base de ta queue, je remonte sur ton gland, fais le tour avec ma langue et redescend avec ma langue jusqu’à nouveau jusqu’à la base de ton sexe. Ma bouche vient déposer un baiser entre tes deux boules, j’en prends une en bouche, puis l’autre, je t’entends respirer très fort, ma langue passe bien à plat, plusieurs fois, en insistant sur cet endroit que tu aimes tant. Puis je remonte lentement vers ton gland, et ma bouche reprend ses va et vient, sans s’arrêter. En suivant le mouvement tu te lèves, reprends ma tête entre tes mains, je t’entends dire que tu vas jouir, je te regarde et te dis : « baises-ma bouche, je suis ta chienne ce soir » Tu te figes, je n’avais pas le droit de parler, et encore moins de te tutoyer, mais il ne fallait pas plus que cette phrase pour faire monter ton excitation à son maximum, tu te mets alors à enfoncer ta queue dans ma bouche, doucement mais profondément. Tu me baises la bouche, comme je te l’ai demandé, je sens ton sexe qui se tend, de plus en plus, tes mains se crispent de part et d’autre de mon visage. Je te regarde. Toi aussi. Tu lèves les yeux au ciel et dans un dernier mouvement, tu déverses sa semence au fond de ma gorge. Je la sens, chaude, couler le long de ma gorge, sur les bords de ma bouche, j’avale une première fois en soutenant ton regard. Tu m’invites à me relever, j’avale ce qu’il reste encore dans ma bouche. Je plonge mon regard dans le tien et je te dis « merci monsieur »
Tu souris après ce premier orgasme. Tu enlèves ce qu’il te reste comme habits. M’ordonne de m’allonger sur le lit, et tu sors encore quelques objets de ton sac. Je suis sur le dos, ça ne te convient pas. Tu me retournes d’un coup sec. Attrape une première jambe, et l’attache au pied du lit. Tu fais la même chose avec la deuxième. Tu prends ensuite mes deux poignets et les lie dans mon dos. Tu attrapes le martinet et le fais glisser le long de ma colonne. Tu embrasse ma fesse gauche « merci pour l’orgasme, mais tu vas devoir compter à nouveau pour avoir tutoyé ton Maître »
3.
2.
1.
. CLAC .
Plus fort que tous les précédents, le coup s’abat sur ma fesse gauche.
Le martinet descend entre mes cuisses et vient effleurer mes lèvres, je frissonne à peine remise de la douleur exquise. Tu écartes mes fesses, et retire délicatement le plug, tu le sors en entier, le remet, le re-sort…. Ainsi de suite une dizaine de fois, je ne peux m’empêcher de gémir, tu le retires une dernière fois, et je sens ton doigt qui vient se poser sur ma rosette déjà assouplie. Ton doigt en fait le tour et vient visiter ce petit cul que tu aimes tant. Et pendant que tu me pénètres avec ce doigt, je sens ton autre main qui se glisse sous moi, à la recherche de l’entrée de ma chatte. Je mouille tellement…. Tu insères un doigt dans mon vagin qui vient à la rencontre de ton doigt dans mon cul. Commence alors une alternance, tu joues avec tes deux doigts, tantôt l’un tantôt l’autre, et puis les deux en même temps, dans mes deux trous, j’halète, je gémis, je mords le draps, mes mains se serrent dans mon dos, je tire sur les cordes… et puis tu t’arrêtes. Tu ne voudrai pas trop me donner, enfin pas de suite…
Ta main attrape le premier jouet, mon vibro. Tu l’allumes, règle la vibration et le pose contre mon abricot. Ma mouille dégouline , il glisse le long de ma fente, tu le cales sur mon clito et commences à appuyer en faisant des petits cercles. Je commence à bouger mon bassin. Ta main libre se pose fermement au creux de mes reins, empêchant tout mouvement, et tu continues à jouer avec mon clito et mon vibro. J’essaie de bouger et de me débattre. Ta main se fait de plus en plus ferme. Je gémis. Tu arrêtes tout. D'un coup. Plus aucun contact. Et je sens une première fessée qui s’abat. « ne fait pas de bruit »
Tu recommences ton manège sur mon clito. J’essaie de ne pas bouger… j’essaie de ne pas faire de bruit… je te promets. J’essaie
Mais je n’y arrive pas. Je n’arrive pas à retenir encore un gémissement. Et cette fois à nouveau tu t’arrêtes. Et je sens encore une fessée s'abattre. Tu te penches sur moi. Et me dit « on remercie le maître après une punition méritée »
« Merci… » dis-je en un seul souffle…
Tu reprends le god dans ta main et cette fois tu le poses à l’entrée de mon sexe. Tu l’insères doucement, et je m’ouvre à toi. Tu l'enfonces bien profondément. Je sens les vibrations dans ma chatte qui résonnent dans tout mon bassin. Tu te mets à califourchon sur mes jambes et tu me pénètres de plus en fort avec mon vibro. Je respire. Vite. Je halète. J’enfouis mon visage dans les draps. Je me cambre. Mes fesses remontent de plus en plus. Je suis tellement excitée que l’orgasme est tout prêt . Tu le sais… et c’est pour ça que tu t’arrêtes à nouveau. Tu remontes avec le vibro vers ma rosette encore toute sensible de ton précédent doigt. Tu prends le lubrifiant. Je sens qu’il coule le long de ma raie… tu pousses le vibro à l’entrée de mon cul. Et tu avances doucement. Tu sais qu’il me faut du temps pour ça. Tu sais aussi que quand je suis très excitée, ce temps est raccourci… alors sans prévenir tu te lèves. Tu vas dans ton sac et tu reviens avec le poppers. Tu soulèves ma tête par les cheveux , le pose sous mon nez : tu me fixes avec ton regard brûlant et me dis « je veux ton cul »
. Respire .
Je prends une grande inspiration dans le poppers, puis une deuxième. Je sens la chaleur m’envahir. Mon cerveau se déconnecte. Mon corps n’est plus que désir et feu ardant. Je sens que tu reviens à l’entrée de mon cul avec un doigt cette fois. Il rentre sans difficulté. Puis un deuxième. Tes doigts tournent. Font des mouvements de rotation, des vas et viens incessants puis tu les crochettes vers le haut et tu me pénètres plus fort. La chaleur du poppers me rend folle… je ne tiens plus. De ton autre main, tu prends l’autre jouet, cet œuf vibrant, que tu m'as acheté. Tu l’allumes et le glisse entre mes cuisses. D’un mouvement habile tu l’insères dans ma chatte. Tu le sens avec tes doigts dans mon cul en même temps et ça t’excite tellement. Les effets du poppers se dissipent un peu, je prends conscience du plaisir que tu me donnes. Tu retires tes doigts de mon cul, tu te recules et admire ma rosette légèrement dilatée. Dans ma tête je te supplie de continuer, avec les vibrations de l’œuf dans ma chatte, je n’arrive plus à réfléchir.
Tu reviens vers moi et me propose encore du poppers. Mais cette fois tu en prends avant moi. Tu reviens te poser entre mes fesses. Tu appuies ta bite contre mon cul. Et je la sens rentrer tout doucement. En même temps que les vibrations s’accélèrent ta queue s’enfonce de plus en plus loin dans mon cul, et arrivée à la garde, tu te délectes de mon petit trou serré. Je n’en peux plus, je crie. « baise moi ! » Ton bassin s’éloigne, ta queue ressort à moitié, tu choppes le Martinet et me fouette une fois, très fort sur la fesse droite. Je t’ai encore tutoyé.
Tu reviens ensuite t’enfoncer dans mon cul.
Et cette fois oui, tu me baises. Tu me baises comme une soumise qui te supplie de le faire… tu me prends par le cul et par la chatte. Je crie. Tu gémis. Ton corps ondule sur le mien prisonnier de ses liens. Tu vas de plus en plus vite, je sens ta peau, ta chaleur, ta transpiration mêlée à la mienne… nos souffles ne font plus qu’un. Tu me pénètres encore et encore. A chaque fois ton bassin claque contre mes reins. Je presse mes fesses contre toi, je veux que tu y aille encore plus fort, encore plus profond. Tu prends mes fesses, tu les écartes et tu t’enfonces encore une fois, ton bassin contre le mien et puis tu te retires doucement. Tu viens chercher l’œuf vibrant et le retire. Mon corps tremble… j'étais sur le point de jouir… Je sens ton souffle encore rapide descendre le long de ma colonne. Ta bouche dépose un baiser sur mes reins. Tu écartes mes fesses à nouveau et viens glisser ta langue dans mon cul encore dilaté . Tu me bouffes littéralement le cul… et j’aime ça. Tu me donnes ce plaisir encore quelques minutes. Puis tu t’arrêtes. Je ne sais pas ce que tu as en tête mais tu me laisses de longues secondes sans bruit et sans me toucher…. J’attends.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Samsàra
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...