Paris
Récit érotique écrit par Smartbox [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Paris
Elle était ma maitresse et moi son amant. Nous n’habitions pas la même région. Nous étions en contact au quotidien par téléphone, mail ou sms. Nos entrevues étaient plus ou moins régulières selon nos emplois du temps professionnels respectifs mais aussi nos vies personnelles. Notre relation datait depuis plusieurs années. Un lien s’était créé, une connexion tant cérébrale que physique était bien là. Et même avec le temps cette connexion, ce lien étaient toujours présents et intenses. Nous avions des sentiments l’un pour l’autre.
Notre excitation naissait de cette connexion cérébrale avec des mots crus, des insultes, des actes physiques ou je la baisais comme un objet, comme une pute. Elle était mon trou à bites, mon vide-couilles. Nous aimions cela et cela nous rendait fou.
Dans la plupart du temps le plaisir était distant, par cam ou téléphone. Celui-ci était régulier, car il est devenu un équilibre pour elle comme pour moi dans notre quotidien. Cela était devenu, un besoin, une nécessité, une drogue ? Nous avions besoin de jouir ensemble et ce régulièrement.
En plus de ces échanges quotidiens, nous organisions nos déplacements professionnels respectifs pour que l’on puisse se voir.
Une fois, nous étions sur Paris. Je tenais à ce qu’elle se fasse baiser devant moi. Qu’elle puisse se prendre une autre queue que la mienne, qu’elle me montre à quel point c’est une bonne pute et qu’elle aime cela.
Nous avions pour cela échanger sur un site libertin avec un homme qui résidait Paris et pouvait nous recevoir chez lui.
Le jour J, le rendez-vous était donné dans une brasserie parisienne, pour confirmer que le feeling physique était bien présent mais aussi cadrer le contexte.
Elle était stressée par cette nouvelle étape mais très excitée et rassurée de vivre cela avec moi.
Une fois, nos consommations prises, nous nous sommes dirigés vers son appartement.
A notre arrivée, notre hôte nous a accueillis dans son salon et est parti directement chercher quelque chose à boire et à grignoter dans la cuisine pour continuer la discussion entamée à la terrasse de la brasserie nous laissant seuls quelques minutes.
Assis l’un en face de l’autre, « P » et moi échangions des regards intenses. Je me leva, me rapprocha d’elle, l’embrassa, et lui dis dans le creux de l’oreille, « tu es très excitante, tu me plais », posant ma main sur l’une de ses cuisses, je luis dis « je m’absente quelques minutes pour aller aux toilettes, à mon retour je veux que tu sois à genoux entrain de bien faire durcir sa queue avec ta bouche ».
A mon retour, « P » était comme à ma demande, à genoux, penchée en avant en train de sucer la queue bien large et bien grande de notre hôte assis confortablement dans un fauteuil de salon.
Je soulevai sa jupe pris ses fesses bien en mains, donna une bonne petite fessée en lui disant « c’est bien, tu es une bonne pute, fais la bien durcir dans ta bouche de salope, plus elle sera dure plus sa queue te défoncera ton cul à bites, montre-moi que tu aimes cela »
Elle avait un string noir, mis un plug comme je lui avais demandé pour bien préparer son cul. Car elle raffolait de se faire prendre le cul et sa jouissance était exponentielle par rapport à son plaisir vaginal.
Je glissai quelques doigts dans sa chatte qui était trempée, ce contexte l’excitait véritablement, elle aimait être une pute et que des queues soient là pour elle, pour la ruiner.
Ma queue était bien dure, j’écartai son string et sans rien lui demander j’enfonçai d’un coup ma queue bien à fond dans sa chatte.
Lui disant : « tu vois la bonne pute que tu es, tu vois comment tu nous fais bander, quel effet tu nous fais. Tu vois dans l’état ou tu nous mets. Tu sais que l’on va devoir te baiser, te défoncer se servir de toi comme vide couilles car tu vas bien nous vider, tu n’es qu’une pute et j’aime ça » Je lui prenais son cul bien en mains.
J’étais tellement excité que ma queue était dure, j’allais bien à fond dans sa chatte trempée, elle qui avait cette grosse queue bien plus grosse que la mienne enfoncée tout au fond de sa bouche. J’avais devant moi une vision, une jolie petite brune 1m 69, un cul en 36/38, des seins 85B, elle avait un corps magnifique, délicieusement proportionné. A genoux sur un tapis, penchée en avant sur le fauteuil où notre hôte était bien installé, la jupe relevée, la bouche pleine, en train de se faire remplir de part et d’autre, une vraie pute, ma Pute que j’allais faire maintenant tourner.
Je me faisais du bien dans sa chatte et ne manquait pas de lui dire. Tous ses trous méritaient de se faire remplir tellement que la baiser était…….
« Arrête de le sucer, montre lui maintenant le cul à bites que tu as. Viens te mettre sur le canapé les genoux sur l’assise et les coudes sur le dossier et enlève ton string. C’est bien, cambre toi bien montre lui le bon cul que tu as. Montre lui que tu es venue pour le vider. Montre lui que tu n’attends que cela qu’il te remplisse. Montre lui, la bonne pute que tu es »
Elle s’exécute, je voyais le niveau d’excitation sur son visage, je sentais qu’elle était impatiente de se prendre sa queue.
Je fis le tour du canapé, elle était face à moi. Elle me regardait, excitée, elle n’en pouvait plus. Je la regardais intensément, je caressai son clito avec quelques doigts, il était bien gonflé. Je l’embrassai avec tant d’excitation, d’amour, de fougue….
Avec mes deux mains, je saisis ses fesses et les écarta offrant à notre hôte une vue sur ce cul à bites qui l’excita encore plus.
Je lui glissai dans le creux de l’oreille : « Sa queue est vraiment grosse, elle est énorme, elle va te faire du bien, elle va bien te ruiner comme tu le mérites. Montre-moi la bonne pute que tu es, montre-moi que ton cul peut encaisser de telles queues et surtout que tu aimes cela. »
Je dis à notre hôte : « fais toi du bien mais surtout ruine la bien car elle aime cela, elle est venu pour ça. Sers toi d’elle pour te soulager, te vider. Sers-toi de ces trous comme vide couilles. Va bien au fond je veux que tu lui éclates son cul à bites je ne lui prends pas assez et elle en est frustrée »
Après avoir mis une capote, il glissa sa queue tout doucement tellement celle-ci était grosse.
Je regardai fixement dans les yeux ma chère et tendre, oui je l’aimais et elle aussi. Elle aimait ce qu’elle vivait, être baisée comme une pute, être là pour être remplie. A chaque centimètre son visage, son regard se transformaient, elle devenait chienne, elle devenait centimètre après centimètres de plus en plus ma Pute. Celle que j’allais offrir pour son plus grand plaisir et le miens.
Je lui dis : « tu n’es qu’une pute regarde comme tu aimes cela te faire prendre devant moi. »
Elle me répondit « oui, je ne suis qu’une pute, et j’aime cela, j’en raffole, je veux qu’il me ruine ».
Je pris sa tête entre mes deux mains et glissa ma queue dans sa bouche. Je voyais cette queue qui s’acharnait dans son cul à bites. Son plaisir était si intense qu’elle ne pouvait se retenir en criant. A certains moments son corps tremblait tellement les orgasmes étaient intenses et profonds.
Je lui baisais la bouche en lui disant que ce n’était qu’une pute, elle jouit plusieurs fois et nous fit gicler en très peu de temps. Elle avala tout mon foutre et m’embrassa. Je l’aimais, je ne le savais pas encore à l’époque, mais elle a fait de moi l’homme que je suis aujourd’hui…
Notre relation s’était encore plus soudée, nous étions dans un autre monde de plaisir, de jouissance.
Notre excitation naissait de cette connexion cérébrale avec des mots crus, des insultes, des actes physiques ou je la baisais comme un objet, comme une pute. Elle était mon trou à bites, mon vide-couilles. Nous aimions cela et cela nous rendait fou.
Dans la plupart du temps le plaisir était distant, par cam ou téléphone. Celui-ci était régulier, car il est devenu un équilibre pour elle comme pour moi dans notre quotidien. Cela était devenu, un besoin, une nécessité, une drogue ? Nous avions besoin de jouir ensemble et ce régulièrement.
En plus de ces échanges quotidiens, nous organisions nos déplacements professionnels respectifs pour que l’on puisse se voir.
Une fois, nous étions sur Paris. Je tenais à ce qu’elle se fasse baiser devant moi. Qu’elle puisse se prendre une autre queue que la mienne, qu’elle me montre à quel point c’est une bonne pute et qu’elle aime cela.
Nous avions pour cela échanger sur un site libertin avec un homme qui résidait Paris et pouvait nous recevoir chez lui.
Le jour J, le rendez-vous était donné dans une brasserie parisienne, pour confirmer que le feeling physique était bien présent mais aussi cadrer le contexte.
Elle était stressée par cette nouvelle étape mais très excitée et rassurée de vivre cela avec moi.
Une fois, nos consommations prises, nous nous sommes dirigés vers son appartement.
A notre arrivée, notre hôte nous a accueillis dans son salon et est parti directement chercher quelque chose à boire et à grignoter dans la cuisine pour continuer la discussion entamée à la terrasse de la brasserie nous laissant seuls quelques minutes.
Assis l’un en face de l’autre, « P » et moi échangions des regards intenses. Je me leva, me rapprocha d’elle, l’embrassa, et lui dis dans le creux de l’oreille, « tu es très excitante, tu me plais », posant ma main sur l’une de ses cuisses, je luis dis « je m’absente quelques minutes pour aller aux toilettes, à mon retour je veux que tu sois à genoux entrain de bien faire durcir sa queue avec ta bouche ».
A mon retour, « P » était comme à ma demande, à genoux, penchée en avant en train de sucer la queue bien large et bien grande de notre hôte assis confortablement dans un fauteuil de salon.
Je soulevai sa jupe pris ses fesses bien en mains, donna une bonne petite fessée en lui disant « c’est bien, tu es une bonne pute, fais la bien durcir dans ta bouche de salope, plus elle sera dure plus sa queue te défoncera ton cul à bites, montre-moi que tu aimes cela »
Elle avait un string noir, mis un plug comme je lui avais demandé pour bien préparer son cul. Car elle raffolait de se faire prendre le cul et sa jouissance était exponentielle par rapport à son plaisir vaginal.
Je glissai quelques doigts dans sa chatte qui était trempée, ce contexte l’excitait véritablement, elle aimait être une pute et que des queues soient là pour elle, pour la ruiner.
Ma queue était bien dure, j’écartai son string et sans rien lui demander j’enfonçai d’un coup ma queue bien à fond dans sa chatte.
Lui disant : « tu vois la bonne pute que tu es, tu vois comment tu nous fais bander, quel effet tu nous fais. Tu vois dans l’état ou tu nous mets. Tu sais que l’on va devoir te baiser, te défoncer se servir de toi comme vide couilles car tu vas bien nous vider, tu n’es qu’une pute et j’aime ça » Je lui prenais son cul bien en mains.
J’étais tellement excité que ma queue était dure, j’allais bien à fond dans sa chatte trempée, elle qui avait cette grosse queue bien plus grosse que la mienne enfoncée tout au fond de sa bouche. J’avais devant moi une vision, une jolie petite brune 1m 69, un cul en 36/38, des seins 85B, elle avait un corps magnifique, délicieusement proportionné. A genoux sur un tapis, penchée en avant sur le fauteuil où notre hôte était bien installé, la jupe relevée, la bouche pleine, en train de se faire remplir de part et d’autre, une vraie pute, ma Pute que j’allais faire maintenant tourner.
Je me faisais du bien dans sa chatte et ne manquait pas de lui dire. Tous ses trous méritaient de se faire remplir tellement que la baiser était…….
« Arrête de le sucer, montre lui maintenant le cul à bites que tu as. Viens te mettre sur le canapé les genoux sur l’assise et les coudes sur le dossier et enlève ton string. C’est bien, cambre toi bien montre lui le bon cul que tu as. Montre lui que tu es venue pour le vider. Montre lui que tu n’attends que cela qu’il te remplisse. Montre lui, la bonne pute que tu es »
Elle s’exécute, je voyais le niveau d’excitation sur son visage, je sentais qu’elle était impatiente de se prendre sa queue.
Je fis le tour du canapé, elle était face à moi. Elle me regardait, excitée, elle n’en pouvait plus. Je la regardais intensément, je caressai son clito avec quelques doigts, il était bien gonflé. Je l’embrassai avec tant d’excitation, d’amour, de fougue….
Avec mes deux mains, je saisis ses fesses et les écarta offrant à notre hôte une vue sur ce cul à bites qui l’excita encore plus.
Je lui glissai dans le creux de l’oreille : « Sa queue est vraiment grosse, elle est énorme, elle va te faire du bien, elle va bien te ruiner comme tu le mérites. Montre-moi la bonne pute que tu es, montre-moi que ton cul peut encaisser de telles queues et surtout que tu aimes cela. »
Je dis à notre hôte : « fais toi du bien mais surtout ruine la bien car elle aime cela, elle est venu pour ça. Sers toi d’elle pour te soulager, te vider. Sers-toi de ces trous comme vide couilles. Va bien au fond je veux que tu lui éclates son cul à bites je ne lui prends pas assez et elle en est frustrée »
Après avoir mis une capote, il glissa sa queue tout doucement tellement celle-ci était grosse.
Je regardai fixement dans les yeux ma chère et tendre, oui je l’aimais et elle aussi. Elle aimait ce qu’elle vivait, être baisée comme une pute, être là pour être remplie. A chaque centimètre son visage, son regard se transformaient, elle devenait chienne, elle devenait centimètre après centimètres de plus en plus ma Pute. Celle que j’allais offrir pour son plus grand plaisir et le miens.
Je lui dis : « tu n’es qu’une pute regarde comme tu aimes cela te faire prendre devant moi. »
Elle me répondit « oui, je ne suis qu’une pute, et j’aime cela, j’en raffole, je veux qu’il me ruine ».
Je pris sa tête entre mes deux mains et glissa ma queue dans sa bouche. Je voyais cette queue qui s’acharnait dans son cul à bites. Son plaisir était si intense qu’elle ne pouvait se retenir en criant. A certains moments son corps tremblait tellement les orgasmes étaient intenses et profonds.
Je lui baisais la bouche en lui disant que ce n’était qu’une pute, elle jouit plusieurs fois et nous fit gicler en très peu de temps. Elle avala tout mon foutre et m’embrassa. Je l’aimais, je ne le savais pas encore à l’époque, mais elle a fait de moi l’homme que je suis aujourd’hui…
Notre relation s’était encore plus soudée, nous étions dans un autre monde de plaisir, de jouissance.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Oui, très bon ça, des mots crus en veux tu en voilà. J'aurais juste un peu plus de dialogues de la part de Madame.
Bravo ! Attention aux conjugaisons ( je me leva…)
Mais le pitch est excitant
Mais le pitch est excitant
Magnifique complicité entre ces deux personnes! Ça donne envie.