Partage de mon épouse Patricia.

- Par l'auteur HDS Osiris -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Partage de mon épouse Patricia. Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Partage de mon épouse Patricia.
Nous sommes un couple marié depuis 20 ans. Mon épouse a 45 ans et moi 48. Mon prénom, c’est Jacques.

Je ne suis pas encore trop mal physiquement, mais je commence à avoir un petit bidon.

Patricia, elle, est encore désirable. Elle est assez grande, 1,70 m, ses seins sont fermes, pas très gros, mais avec une jolie forme, bref, comme on le dit maintenant, c’est une très jolie mature.

La partie du corps que je trouve la plus belle chez ma femme, eh bien, ce sont ses fesses rebondies.

Dans la vie, je suis informaticien et en plus, je suis pompier volontaire dans une petite caserne.

Patricia est vendeuse dans une boutique de fringues de luxe.

Alors, vous allez me dire, qu’est-ce qui ne va pas ?

Eh bien, ce qui ne va pas, c’est notre libido. Il n'y a pas eu le moindre contact entre nous depuis au moins un an, pas même un câlin. Lorsque je lui propose, elle botte en touche.

Je pense que ma façon de lui faire l’amour ne lui convient plus. Je ne crois pas qu’elle a des aventures ou un amant.

Par contre, je suis sûr qu’elle se masturbe, j’ai entendu des plaintes dans la salle de bain à plusieurs reprises.

J’ai donc décidé de lui tendre un piège sans rien lui dire.

Je veux absolument savoir pourquoi elle ne baise plus. Peut-être qu’elle n’aime plus les hommes.

J’ai demandé à l’un de mes jeunes collègues pompiers, Simon, en qui, j’ai toute confiance, de venir un dimanche midi pour manger et de rester aussi l’après-midi. Bien sûr, il me répond oui avec plaisir. Ma femme et lui ne se connaissent pas.

Par contre, j'ai une demande très particulière à te demander, Simon.

Ah bon, mais quelle est cette demande ?

Si tu es d’accord, je te propose de draguer ma femme ce même jour et probablement même de lui faire l’amour.
Mais tu dérailles complètement, mon pauvre Jacques, pourquoi une telle demande ?

Je lui explique la situation, pas de rapport depuis une année, ses refus systématiques lorsque je lui demande. Pour l’amadouer et pour le décider, je lui montre une photo de Patricia en vacances au bord de mer, en maillot de bain une pièce.

Il me dit, c’est une très belle femme, elle a beaucoup de charme.


Tu es sûr, qu’elle ne va pas voir ailleurs ? Me dit-il.

Je ne crois pas.
Toujours est-il, qu’il refuse et se sauve en arrêtant la conversation.
Je reste là, dépité dans la cour de la caserne.
J’abandonne cette idée saugrenue dans ma tête.
Au bout d’une semaine, je reçois un coup de fil de Simon.

Sans me dire bonjour, j’entends Simon me dire, je suis d’accord, j’accepte ta proposition. Je vais faire l’amour à ta femme.
Quelle surprise. Je te remercie beaucoup. Il faut que l’on se rencontre pour établir un plan.

Deux jours après, je suis avec lui et l’on commence à se mettre au point.
Il me demande ses préférences sexuelles.

Tu sais, ce n’est pas une grande amoureuse, du moins, pas avec moi.
Elle aime les caresses sur ses seins, des petits bisous dans le cou, mais ce qu’elle adore, c’est une main qui remonte à l’intérieur de ses cuisses jusqu’à son sexe et en général, toutes les caresses douces.
Par contre, elle n’aime pas trop rendre la pareille. Elle n’aime pas sucer, pas question, non plus de sodomie. J’ai voulu un jour essayer et je me suis fait traité de sale vicieux.
Je te propose de la draguer devant moi à table, mais en cachette très discrètement.
Par exemple, fait lui du pied, commence à poser une main sur un genou.

Devant moi, je suis sûr qu’elle ne va pas oser une réaction violente.
Moi, je partirai dehors faire le barbecue pour te laisser le champ libre.

Vers la fin du repas, je vais recevoir un appel pompier et je serai obligé de partir. Toi, c’est ton jour de repos, tu ne peux donc pas venir.
De cette façon, tu resteras seul avec elle et tu en profiteras pour l’aborder.
J’ai aussi, dans pratiquement toutes les pièces, de petites caméras qui sont là, pour éviter les vols.
Mon ordinateur portable me permet de les enclencher à distance, tout en pouvant observer et écouter ce qui se passe.

Je serai dans ma voiture dans le petit-bois à environ 500 mètres d’ici.

Voilà mon plan, qu’en penses tu ? Je te laisse complètement libre de décider ce que vous voulez faire ensemble, pour autant qu'elle y consente volontairement et sans être forcée.

Le jeune pompier propose une drague assez ferme, avec une certaine dose d’autorité. J'envisage d'employer le vouvoiement dans notre conversation.

Simon a répliqué : "C'est certainement une demande plutôt insolite, mais je suis quand même partant.
Jacques, tu es vraiment sûr ? Et si, elle participe, tu fais quoi ? Tu vas peut-être devenir cocu et en plus en direct. Es-tu vraiment prêt de voir de telles scènes ?
Je ne sais pas, répond le mari. Je ne suis pas jaloux.




Le rendez-vous arrive.


Le fameux dimanche arrive, Patricia est bien sûr au courant de l’invitation de mon collègue.

Simon est un jeune pompier de 35 ans. Son apparence est assez séduisante, il est brun et a une musculature développée. Il va trois fois par semaine faire de la musculation. Il n’est pas marié, mais il a de nombreuses aventures.

L’uniforme l’aide aussi énormément et lui facilite les contacts avec la gente féminine.

Après les présentations, je place Simon juste à côté de Patricia. Et moi, je suis en face de ma femme.

Patricia avait mis pour l’occasion, une belle robe assez courte, juste au-dessus du genou, cintré à la taille par une ceinture.

Je suppose que la culotte, généralement un tanga et son soutien-gorge sont aussi affriolant avec une bonne dose de dentelle.

Pendant l’apéritif, Simon lui glissa gentiment des compliments sur le charme de sa tenue.

Il commença de s’approcher d’elle, suffisamment pour que les deux genoux se frôlent.

Je la vois s’écarter un peu avec de la gêne dans les expressions de son visage.

Elle fait très attention à ce que je ne remarque pas son petit manège.

Simon insiste, et les deux genoux puis les cuisses se touchent en permanence.

Elle ne peut plus reculer. Il y a le pied de la table qui la bloque sur sa droite.

Je prends la parole et dis. Bon, je sors pour m’occuper du barbecue. Patricia, tu peux rester avec Simon, je n’en ai pas pour longtemps. Simon sert toi, ainsi que Patricia, elle adore le Champagne.

J’en profite pour sortir, ils sont seuls, tous les deux.

Ils se parlent et je me demande ce qu’ils se disent. Le visage de ma femme est dur.

Je vois la main de Simon qui se pose sur le genou gauche de ma femme. Elle la retire immédiatement.

C’est à ce moment que je décide de rentrer.

Alors, les amoureux, cela se passe bien ?

Le champagne est encore assez frais.

Patricia, me dévisage par rapport à mes paroles.

Les conversations reprennent et sans attendre, Simon repose doucement sa main. Bien sûr, je fais celui qui ne remarque rien. De toute façon, cela se passe sous la table.

Ma femme ne bouge pas, je suppose que cette main remonte minutieusement et lentement sur ses cuisses.
Mon épouse sert ses cuisses autant qu’elle le peut.

Simon le sait bien. C’est une caresse que ma femme apprécie.

Je constate un changement sur le visage de Patricia. Ses yeux deviennent hagards. Sa bouche s’entrouvre un peu et laisse apparaître un petit bout de langue.

Au bout d’un moment, j’entends au-dessous de la table un léger bruissement de tissus, c’est sans doute sa robe qui frotte sur la chaise.

Il me semble que ma femme est sur le point de céder et d'écarter les cuisses pour rendre plus aisé l'accès de l'intruse.

À cet instant, l'époux méprisable que je suis fait une demande.

Ça va, ma chérie, tu ne dis plus rien, tu fais une drôle de tête.

Tu n’es pas souffrante au moins ?

Eh, non, tout va bien, j’ai juste un peu trop bu.
Comme prévu, le bip des pompiers retentit. J’appelle la caserne qui me dit de partir dans les plus brefs délais. Bien sûr, cette alarme est fausse.

Désolé, mais je dois vous quitter, j’en ai pour deux ou trois heures. C’est un début d’incendie.

Simon, tu peux rester là, tu es en congé. Ce soir, nous terminerons les restes de la grosse côte de bœuf. Qu’en penses tu, Patricia ?

Après une certaine hésitation et prise au piège, elle ne peut répondre que par oui, très embarrassée.

Eh bien, dit Simon, en souriant, si Patricia est d’accord, je suis disponible.

Je vous appelle tout à l’heure pour vous signaler que je rentre.

À tout à l’heure.

Je prends mon portable et je monte dans ma voiture pour me rendre dans le petit-bois, 500 m plus loin.

Je me gare et utilise l’ordinateur.

J'active le dispositif de surveillance et j'obtiens les vidéos avec audio de toutes les caméras de la maison.

Je vois ma femme et Simon qui sont toujours dans la salle, assis autour de la table.

Je suis perplexe, mon épouse aurait dû se lever et lui donner une gifle en plein visage. Mais, non, elle reste à sa place.

Simon commence à lui parler d'une voix apaisante.

Dès que je vous ai vu, Patricia, je n’ai eu qu’une envie, c’est de vous faire l’amour comme un fou.

Je vous trouve extrêmement attirante et séduisante.

J'aimerais admirer les trésors cachés sous cette superbe robe.

Mais vous êtes fou, dit-elle, je suis mariée avec Jacques, votre ami. Ce n’est pas possible et je suis plus âgée que vous.

Le jeune homme lui répond que Jacques ne sera pas au courant et que, contrairement à ce qu'on pourrait penser, l'âge n'est pas du tout un obstacle.

Avez-vous déjà trompé votre mari ?

Bien sûr que non, répond elle.

Donc, il vous fait bien l’amour et cela vous satisfait.

Euh, non plus, c’est toujours la même chose avec lui. Je m’ennuie terriblement. Il est trop gentil et trop prévisible.

Vous vous masturbez ?

Après un long silence, elle répond, cela ne vous regarde pas.
Simon insiste et repose la question. Après une longue pause, ma femme finit par répondre, d'une manière qui laisse clairement transparaître son malaise, oui, c'est plutôt fréquent.

Pendant la conversation, la main de Simon continue sa progression jusqu’à prendre contact avec le fin tissu de sa culotte.

Mon épouse, surprise, réagit par un sursaut sur sa chaise et lance un oh ! Patricia tente de lui retenir sa main avec force et conviction.

Laissez vous faire, madame.

Il entoure Patricia avec son bras droit et attire sa bouche pour lui donner un doux baiser.

La bouche de Simon descend à la base du cou et lui donne une multitude de tendres baisers.

Je perçois mon collègue lui suggérer d'écarter ses cuisses, tandis que sa main se prépare à investir son intimité.

Ma femme capitule et ne se défend plus, au contraire, je la vois ouvrir ses jambes.

Les doigts écartent le fin tissu et glissent de haut en bas sur toute la fente qui est déjà trempée et dégoulinante.

Patricia saisit brusquement ses bras et émit d'abord un gémissement à un rythme lent, qui devint de plus en plus rapide et fort.

C'est en étant assis dans ma voiture que j'arrive à la conclusion que la source du dysfonctionnement, c'est moi.

Ce spectacle me fait bander terriblement.

Mais en même temps, je suis dégoûté et déçu.


Simon arrête les caresses et lui dit, je ne vais pas vous faire jouir tout de suite, nous avons le temps.

Et là, surprise, j’entends ma femme dire : continuez, dit-elle, c’est trop bon.

Simon ne l’écoute pas et stop les caresses.


Levez vous et baissez votre culotte. Je veux voir votre chatte.

Patricia exécute l'ordre, se relevant en glissant ses mains sous sa robe pour enlever sa culotte jusqu'à ses chevilles, adoptant cette attitude devant Simon qui demeure assis.

C’est une très belle culotte blanche à base de dentelle qui laisse une bonne partie des fesses découvertes.

Soulevez votre robe maintenant pour que je puisse voir votre trésor.

Une magnifique chatte apparaît avec une touffe parfaitement taillée.
Les lèvres sont ouvertes et gonflées par le désir. Un liquide visqueux s’en échappe.

Il tend deux doigts et la pénètre facilement sur toute la longueur de ses phalanges.

Je vois et j’entends ma femme qui lance un véritable cri de stupeur et de bien-être.

Pour éviter de tomber, elle s’accroche sur les épaules de Simon.


Connaissez vous le goût de votre sexe, Patricia ? Elle fait non d’un signe de tête.

Il retire ses doigts et lui dit, ouvrez la bouche, sucez mes doigts. Elle s’exécute.

Vous aimez ? Pas trop, répondit elle, c’est surprenant.


Donnez moi votre culotte et emmenez moi dans votre chambre.

Simon prend la culotte et la porte à son nez.

Votre fente a un doux parfum d’amour, je suis convaincu d’en aimer aussi le goût d’ici peu.

Patricia est embarrassée et j’arrive à voir son visage qui rougit.

C’est vraiment une superbe technologie, ces caméras.


Décidément, ce jeune pompier est très doué, probablement un peu trop.

Dans ma voiture, je commence à regretter ce petit manège. Mais il est trop tard pour faire machine arrière.

Ma femme lui prend la main et les voilà partis dans notre chambre.

Je change d’objectif et j’obtiens une vision complète du lit et de ses abords proches.

Simon la prend dans ses bras et commence à la déshabiller.

Il lui retire sa robe en la soulevant délicatement, en lui déposant des baisers sur la peau au fur et à mesure.

Elle se retrouve en soutien-gorge qu’il dégrafe très rapidement.

Elle se tient complètement nue face à mon collègue, sans essayer de dissimuler son corps.

Vous êtes magnifique, Patricia.

Asseyez vous au bord du lit, pendant que je me déshabille.

Aimez vous les mots crus durant l’amour ?

Je ne sais pas trop, répond elle.

Jacques, vous a-t-il déjà approchée par-derrière en visant votre petit orifice ?

Il a essayé, mais je n’ai pas voulu.

Et pourquoi ?

Parce que j’ai peur d’avoir mal.


Assez vite, Simon se retrouve nu, lui aussi.

Le sexe de Simon est à l’horizontale, il est long et assez fin.

Patricia le regarde avec envie, mais n’ose pas le toucher.

C’est Simon qui lui dit de s’en saisir. Il lui a proposé de prendre son sexe dans sa bouche.

Sans sourciller, je la regarde ouvrir sa bouche et avaler le bout du pénis.

Tandis qu'elle le stimule de la main droite, Simon soupire doucement.

Dans ma voiture, je vois la scène et je n’en reviens pas, Patricia a l’air d’apprécier. Dire qu’avec moi, elle ne veut pas.

J’entends Simon lui dire.

Vous êtes très douée, je ne vais pas tenir longtemps.

Préparez vous, Patricia, je vais jouir de votre bouche. Elle ne se recule pas. Tout à coup, le jeune mâle se cambre, frissonne et pousse des cris, il déverse par à-coups sa liqueur chaude dans la bouche de ma bien-aimée.

Le visage de ma conjointe est radieux, témoignant de sa victoire et de son bonheur.

J’arrive à voir quelques gouttes de sperme sortir du coin de sa bouche. Elle a donc avalé la presque totalité de sa liqueur sans vomir.

Je suis dégoûté, en 20 ans de vie commune, je n’ai jamais eu le droit à une telle faveur.


C’est à votre tour, madame. Il la couche sur le lit et commence à l’embrasser profondément dans la bouche. Les deux langues se mélangent. Elle lui prend amoureusement la tête dans ses mains.

Puis Simon descend plus bas et ses lèvres se posent sur chaque sein. Il suce lentement les deux pointes de sein qui ne cessent de se durcir et de se dresser sans retenue.

Patricia glousse et gémit. De temps en temps, un petit cri aigu involontaire sort de bouche.

La bouche continue de descendre et trouve la toison de poils bruns.

La belle écarte les jambes, exhibant une jolie fente parfumée, déjà humide et accueillante.

Le garçon colle sa bouche, sort sa langue pointue, lèche le sillon sur toute sa longueur.

Des gémissements prolongés se font entendre.

Il prend son temps pour déguster le nectar qui s’en échappe.

Après plusieurs minutes de ce traitement, sa langue remonte de quelques centimètres et débusque le clitoris qui se croit à l’abri derrière son capuchon.

Loin d'être inactives, ses mains parcourent tendrement la peau nue de ma femme sur l'ensemble de son corps, en se concentrant surtout sur ses deux seins.

Simon persiste à faire tourner et retourner l'extrémité de sa langue autour du petit bouton qui dépasse, enflé et devenu écarlate.

Rapidement, le jeune pompier s’aperçoit que l’orgasme de la belle est imminent.

Les seins se gonflent, les mamelons se dressent et deviennent durs, arborant une teinte plus soutenue.

Le pouls de la femme s'accélère et se renforce.
Il se focalise immédiatement sur le clitoris en érection.

Je vois ma femme qui s’arc-boute, son corps est pris de terribles tremblements. Elle gémit et crie comme une personne souffrante. Elle jouit comme jamais.

Je suis abasourdi par ce que je vois et ce que j’entends sur l’écran de mon ordinateur.


Les deux amants se reposent entrelacés sur le lit.

Ils se frôlent, se touchent, s’embrassent goulûment.


Je remarque avec stupeur qu’une main de ma femme s’empare de la queue de Simon.

Elle la branle doucement et obtient le résultat escompté.

La tige est à nouveau à son maximum de dureté. Le pompier bande comme un cerf.

Je vois ma femme se mettre sur le dos, elle écarte les jambes et attire Simon sur son corps.

Ébahi, je capte nettement Patricia chuchotée à l'oreille du beau jeune homme : "Prends moi maintenant, Simon.
Elle le tutoie pour la première fois.

Sans aucun effort, la tige turgescente pénètre et s’enfonce dans la chatte de la belle.

Simon effectue des mouvements répétitifs et prolongés dans le vagin de ma femme, tandis que le bassin de cette dernière répond à ses coups.

Il alterne régulièrement entre différents rythmes et profondeurs.

Les mains de la femme comblée se posent sur les fesses musclées, les malaxent, enfoncent ses ongles.

Simon commence à sentir des contractions rythmiques et voluptueuses autour de sa verge.

Une quantité impressionnante de cyprine s'écoule du sexe de ma femme.

La respiration s’accélère à nouveau.

C'en est trop, pour Simon et sa partenaire.

Dans un concert unanime de plaintes et de grognements, les deux amoureux succombent ensemble à un orgasme fulgurant, les laissant sans force et dans un léger état d'ivresse.

Les deux amants restent enlacés pendant un long moment.

C’est à ce moment que je décide de rentrer. J’appelle ma femme au téléphone comme convenu pour lui dire que je rentre dans 30 minutes. Ça leur laisse le temps de se rhabiller et d’effacer les traces de leur méfait consenti.

Pour finir notre conversation, elle me dit, à tout de suite mon chéri, dans une voix qui ne laisse rien paraître.

Je me demande, quel comportement, dois-je adopter en les retrouvant tout à l’heure. Je ne dois rien laisser paraître à mon épouse, mais je pense que cela sera difficile.

Et, si je lui avouais une vérité entièrement factice et inventée.

Je lui dirai que je me suis aperçu de ce qui s’est passé sous la table et donc, en partant au feu, j’ai emmené avec moi l’ordinateur pour déclencher toutes les caméras de la maison et ainsi, j’ai pu assister et entendre sa partie de jambes en l’air intégralement. Inutile de dire à Simon que je suis au courant.

Par contre, comme je suis son chef à la caserne, j’ai la possibilité de le muter dans une autre caserne pour faute.

À moins que le comportement de ma femme change du tout au tout avec moi.

Voilà la solution que je choisis de retenir.

Mais ça, c’est une autre histoire.

Les avis des lecteurs

Histoire excitante a souhait !

Histoire Libertine
Ce n’est pas valable la femme s’emmerde pendant 1 an sans se poser de questions.
Puis là paf elle nique sans capotes dans la chambre conjugale et embrasse sur la bouche.
Ce n’est pas du candaulisme elle a pris son mari pour 1 con dans les grandes largeurs.
Elle se plaint qu’il nique mal mais et elle fait des efforts non aucun vu qu’elle ne communique pas par contre avec l’amant elle ose tout c’est 1 poufiasse.

Le mari devrait l’attacher sur 1 chaise et lui montrait qu’il sait niquer lui aussi sauf qu’il prendrait 1 jeune de 25 ans ça ferait les pieds à sa femme.

Décidément entre les cocus content , les cocus soumis et les sans couilles rien ne change.

Un excellent texte candauliste. Vivement la suite!

Histoire Erotique
Belle histoire...
Cette femme redécouvre les plaisirs du sexe avec un homme plus jeune en ayant délaissé son mari...
Une sacrée coquine.

Histoire Erotique
Le candaulisme et ses risques...
Très belle histoire excitante en tout cas

Cyrille



Texte coquin : Partage de mon épouse Patricia.
Histoire sexe : Une rose rouge
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