Partage de mon épouse Patricia N°2
Récit érotique écrit par Osiris [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Partage de mon épouse Patricia N°2
Le retour dans le foyer de la femme infidèle.
Me voici de retour à la maison.
Alors, pas trop longs d’attendre l’arrivée du maître de maison.
Vous ne vous êtes pas ennuyé au moins.
Pas du tout, répondent en cœur les deux compères.
Nous avons passé notre temps à discuter me dit ma femme, en étant sûr d’elle.
Chose étonnante, c’est Simon qui me paraît le plus embarrassé, connaissant pourtant la vérité.
La fin de journée se passe sans problème comme si, rien ne, c’était passé.
Simon repart chez lui, et je reste seul avec mon épouse.
On va se coucher ? Me dit ma femme, je suis fatiguée.
Pas maintenant, reste là, j’ai des choses à te dire.
Ah, mais quoi donc ?
Et je commence ma discussion d’un ton ferme.
Pendant le repas, je me suis aperçu de ce qui s’est passé sous la table.
La tête de mon épouse se fige et elle bredouille, mais, mais ! Que c’est il passé ?
Ne te moque pas de moi, j’ai vu la main de Simon sur ton genou et sur tes cuisses, et je trouve que tu n’as pas réagi pour le rejeter.
C’est vrai, dit elle, mais j’avais peur d’une réaction violente de ta part.
J’ai essayé de le repousser à maintes reprises.
Rassure toi, nous avons eu une explication violente après ton départ et il ne sait rien passée après.
Je préfère que tu te taises, au lieu de raconter des salades, tu t’enfonces encore plus. Écoute bien la suite.
Comme j’avais un doute, en partant au feu. J’ai emmené avec moi l’ordinateur et j’ai mis en fonction toutes les caméras anti - intrusions de la maison. Ainsi, j’ai pu assister et entendre votre partie de jambes en l’air intégralement.
Je dois t’avouer que malgré mon dégoût, j’ai pris beaucoup de plaisir en regardant ma femme se faire culbuter par un autre.
Prise sur le fait, Patricia s’écroule et pleure comme une gamine.
Je te demande pardon, je ne sais pas ce qui m’a pris.
Eh bien, moi, je sais qui tu es. Tu n’es qu’une belle salope qui fait cocu son mari pendant qu’il sauve des vies.
Ses pleurs s’intensifient encore plus et je continue de lui parler.
Inutile de dire à Simon que je suis au courant.
Par contre, il faut que tu saches, que je suis son chef à la caserne, j’ai la possibilité de le muter dans une autre caserne pour faute. J’en trouverai une, s’il le faut. (Évidemment, c’est faux.)
Sur un ton que je veux volontairement hésitant, je dis, à moins, à moins ! Que ton comportement change du tout au tout avec moi.
Si tu aimes ton bel et jeune pompier, il faut être très gentille avec ton mari et m’obéir.
De toute façon, tu n’as pas le choix, sinon, il dégage.
Tu es une salope et je vais m’occuper de toi comme tel, puisque soi-disant, je suis trop gentil.
Va te coucher maintenant, mais dans la chambre du fond.
Je la regarde partir se coucher, la tête basse et toujours en sanglotant.
Demain soir, après le boulot, je m’occuperai de toi.
Le lendemain matin, je vois Simon et le tiens au courant de la situation. Il sait désormais que Patricia est au fait des caméras et de mon stratagème pour la rendre coupable et à ma merci.
Au passage, je le félicite pour sa prestation. Tu sais, lui dis-je. J'ai pris un énorme plaisir en vous regardant faire l’amour.
Il m'avoue, un peu embarrassé, que ma femme est une partenaire sexuelle agréable et me remercie pour cette opportunité.
Je lui expose mon nouveau projet machiavélique.
J’aimerais que ma femme se fasse prendre par deux hommes en même temps.
As-tu un de tes potes qui accepterait de le faire avec toi et surtout devant moi ?
Je resterai cette fois-ci à vous regarder dans la même pièce, ce qui va encore accentuer le mal-être de ma femme.
Simon est encore très surpris par cette proposition. Tu es le diable en personne, me confie-t-il, et commence à réfléchir dans ses connaissances.
Au bout d’un moment, je pense connaître quelqu’un qui a ce profil, me dit Simon.
Il est un peu plus vieux que moi, il s’entraîne avec moi dans la salle de sport. Il me parle souvent de ses aventures sexuelles à plusieurs. En plus, il est beau gosse, et il a une verge bien plus grosse que la normale.
Eh bien, je suis d’accord, propose lui, et tu m’appelles pour me donner son avis. Si cela fonctionne, je vous donnerai un rendez-vous à la maison.
Première relation sexuelle de Patricia imposée par son mari.
Le soir venu, Patricia rentre du boulot, pratiquement au même moment que moi.
Sans lui laisser le temps de se poser, je lui demande de venir me voir, directement dans notre chambre.
Patricia, c’est maintenant l’heure de payer ta trahison.
Nous allons refaire ensemble une répétition de ta belle prestation d’hier avec ton beau pompier, mais avec quelques nuances.
Avant de commencer, j’ai un cadeau pour toi. Je lui donne un petit colis pour qu’elle l’ouvre.
Avec stupeur, elle découvre un plug anal de belle taille avec, en plus, un petit tube de lubrifiant intime.
Tu es contente, ma belle ?
Elle ne répond pas et me regarde dépiter.
Allez, mets toi à poil et donne moi aussi ta culotte. Je la renifle et je sens une odeur forte. Eh bien, tu as dû pas mal marcher aujourd’hui.
Tu sais ce qu’il te reste à faire, assieds toi sur le bord du lit et taille moi une pipe jusqu’au bout, comme hier avec ton amant.
Sans broncher, Patricia baissa la fermeture de la braguette et le caleçon.
Mon sexe sort d’un coup, il est déjà en érection.
Elle ouvre sa bouche et laisse le gland rentrer dans le fourreau chaux et humide.
La bouche commence des allers et retours sur le pieu qui se durcit encore plus.
La langue s'enroule et tourne autour du gland. Du liquide clair s’en échappe.
Je sens que je ne fais pas tenir longtemps, je découvre en Patricia une pompeuse qui a du talent.
Au bout de dix minutes, je me rends.
Par saccades, je remplis la bouche de ma belle avec ma liqueur encore tiède en émettant des cris rauques. La bouche m’aspire et me vide jusqu’à la dernière goutte.
Puis, sans effort apparent, mon épouse avale tout. Lorsqu’elle a terminé. D’un revers de la main, elle s’essuie le coin de ses lèvres.
Son visage ne trahit aucune émotion, ni de joie, ni de dégoût.
Je lui dis d’un ton sec, maintenant, allonge toi sur le ventre.
Donne moi ton cadeau, que je l’inaugure.
Tu veux faire quoi avec cet engin ? Me dit-elle.
Je lui réponds du tac au tac.
Je vais simplement te l’enfoncer dans ton petit cul, ma chérie. Tu devras le garder pendant que je ferai l'amour.
Non, mais ça ne va pas, c’est bien trop gros, je ne veux pas. Dit-elle.
Tout en l’écoutant, j’étale consciencieusement le lubrifiant sur le plug.
Pense à ton pompier qui risque d’être muté. Tu ne pourras plus le voir.
Tu es un véritable salaud, Jacques. Vaincue, elle ne dit plus rien et se positionne sur le ventre.
Écarte tes fesses, mieux que ça. Je réalise que c’est la première fois en 20 ans que je vois, si distinctement, l’anus de ma femme.
C’est bien, lui dis-je, je présente le plug devant l’anneau récalcitrant et pousse lentement l’engin qui pénètre lentement le cul de mon épouse.
Je le tourne en poussant de plus en plus. L’anus se détend et s’ouvre petit à petit. Patricia émet des sons stridents.
En fin de compte, le plug est en place et le petit œillet sert à son maximum l’engin.
Une fois en place, il ne peut plus sortir de ce fourreau qui le comprime.
Retourne toi, maintenant, Patricia, offre moi ton abricot.
Ma femme se retourne, écarte les jambes et je la pénètre sans précaution, jusqu’à la garde de mon pénis.
Elle gueule sans retenue, probablement d’inconfort. Je constate que sa fente est sèche et manque de sécrétions.
Je fais l'amour avec elle du mieux que je peux, mais il n'y a pas de réponse.
Elle ne jouit pas et ne prend pas de plaisir.
Moi, j’ai du mal à faire coulisser mon sexe dans sa gaine inhospitalière.
Ses reins ne bougent pas, elle attend le châtiment et c’est tout.
Je cesse mes mouvements de va-et-vient et lui déclare : "C'est terminé, j'arrête.
Qu’est-ce qui ne va pas entre nous ?
Je ne sais pas, je n’éprouve aucun plaisir avec toi, c’est comme ça, depuis le début, me dit elle.
Je lui retire doucement le plug de son cul et je lui dis d’aller se coucher, on en reparlera demain.
Patricia s'en va se mettre au lit, et je vais en faire autant, profondément découragé par cette situation.
Le lendemain, je lui avoue que j’ai vu Simon et que je lui tout dit au niveau des caméras.
Je lui ai proposé âpres, de coucher avec toi de nouveau, s’il voulait que j’oublie tout. Il est d’accord et il ne cache pas son impatience.
Deux jours après, Simon m’appelle et me dit que son pote est d’accord.
Je décide d’en parler à Patricia.
Simon viendra ce week-end avec un de ses amis, ils vont te faire l’amour devant moi. Je resterai dans la pièce pour vous regarder. Ils sont consentants tous les deux.
Comment ça, me dit-elle. Je ne suis pas une pute. Je lui réponds, je sais. Sache que je prends énormément de plaisir à te voir prendre ton pied.
Tu pourras prendre ton plaisir devant moi, je ne t’en tiendrai pas rigueur, puisqu’avec moi, cela ne fonctionne pas ou plus. Je t’offre jouissances et orgasmes à profusion, à la simple condition que ça soit devant moi.
Réfléchis et donne moi ta réponse demain matin. C’est toi qui décides.
Si tu refuses, on arrête là.
Le lendemain matin, Patricia me donne sa réponse très gênée et embarrassée.
Tu me promets, me dit-elle, que tu ne vas rien faire à Simon ?
Je réponds, je te le jure.
Je te trouve de plus en plus bizarre, mais je suis d’accord pour te faire cocu devant toi.
Je ne comprends plus ton comportement.
Début des hostilités
Le dimanche suivant, les deux hommes arrivent ensemble à l’heure de l’apéritif.
Les présentations se font.
Bonjour, je m’appelle Paul. Je suis un ami de Simon.
Paul, moi, je suis Jacques et je te présente mon épouse, Patricia.
On peut se tutoyer si cela ne te gêne pas. Pas de problème, me répond Paul.
Simon, je ne te présente pas ma femme. Tu la connais probablement plus que moi, enfin dans certains domaines. Je remarque que Patricia baisse la tête et rougit.
Devant les coupes de Champagne et l’alcool aidant, la conversation va bon train. Compte tenu du fait que tout le monde sait pourquoi nous sommes réunis, la discussion se concentre sur le sexe.
Les trois hommes sont à l’aise. Ma femme, pas du tout.
Paul nous confirme sa sexualité à plusieurs. Ce sont des petits groupes, généralement de quatre à six personnes.
Je prends la parole et demande à Paul. Cela ne te gêne pas que le mari regarde ? Il me répond que cela arrive souvent. Cette pratique s’appelle le candaulisme.
Surprise pour tout le monde, Simon notamment, Paul nous apprend qu’il est bisexuel.
Rassure toi, dit-il à Simon, tu n’es pas mon genre. Ouf, dit le jeune pompier.
Tout le monde rigole.
Je profite de ce moment pour leur montrer le plug que j’ai acheté pour Patricia.
Excellent, dit Paul, nous pourrons l’utiliser, si tu le souhaites, Patricia.
Patricia, dit Jacques, tu peux te rapprocher de Simon, si tu en as envie.
Elle ne se fait pas prier.
Elle a mis la même robe que l’autre jour. Je n’ai pas vu, ses dessous.
Simon me regarde, je comprends qu’il me demande ma permission pour commencer les hostilités.
D’un petit signe de la tête, il comprend que ma réponse est positive.
Alors, il prend délicatement la tête de mon épouse qui se laisse faire et approche sa bouche de la sienne.
La langue du jeune pompier force les lèvres et s’y engouffre avec délicatesse. Ma femme répond avec fougue et, devant Paul et moi-même, ils s’embrassent avec passion.
Les deux compères se lèvent et Simon commence à déshabiller mon épouse.
Rapidement, la robe tombe sur le sol, le soutien-gorge en dentelle de couleur jaune suit le même chemin.
Il ne reste plus qu’une petite culotte qui cache à peine la petite toison de poils bruns.
Patricia le prend par la main et l’emmène dans la chambre.
Paul me regarde et me dit qu’il est temps de suivre le mouvement. Tout en se déshabillant, il m’avoue :« Je dois te dire, Jacques, que ta femme est tout simplement magnifique et qu'elle dégage une grande sensualité. » Je suis fier du compliment.
On se déshabille tous les deux et nous allons dans la chambre assister aux ébats du couple.
On rentre dans la pièce et l’on découvre Patricia les jambes grandes ouvertes avec son amant du moment qui lui dévore son sexe à pleine bouche. Mon épouse gémit et lance des plaintes lancinantes.
Je m’assis sur le fauteuil qui est dans la chambre et Paul rentre dans l’arène.
Il s’adresse à bas mots à l’oreille de Simon pour lui dire : « Ne la fais pas jouir maintenant, attends la suite. »
Moi, tranquillement installé dans le fauteuil, je regarde la scène. Mon sexe commence à bander.
C’est Paul qui prend la direction des opérations.
Il demande à Patricia de se mettre sur le ventre et lui dit, ne bouge pas, je vais utiliser le plug que Jacques t’a offert. Tu es d’accord ? Ma femme accepte.
Simon, écarte lui ses fesses, ce sera plus facile.
Paul prend le plug préalablement huilé et lui rentre doucement en le tournant plusieurs fois de gauche à droite dans son petit cratère presque vierge. Mon épouse miaule comme une petite chatte.
Au bout de cinq minutes, il est complètement absorbé jusqu’à la butée, il ne peut plus partir ni sortir.
Retourne toi, Patricia, Simon pénètre là et fait jouir cette dame, je m’occupe du haut.
Le jeune pompier se positionne entre les jambes de mon épouse et la pilonne avec de grands coups de reins. Paul embrasse ma femme puis lui aspire les tétons. Sa main droite descend jusqu’à sa fourche et masturbe son petit bouton qui est maintenant entièrement sorti de sa gaine.
De ma place, dans mon fauteuil, je peux apercevoir la figue absolument dilatée avec son liquide lubrifiant qui s’en échappe en grande quantité.
Impossible de résister plus longtemps devant un tel spectacle, je me masturbe avec force.
Soudain, je vois le corps de ma femme se tendre comme un arc, sa respiration s’accélère, ses cris se font plus importants et plus forts, ses jambes tremblent, puis, dans un grand gémissement, elle se rend. Un orgasme la terrasse sur le lit.
Simon la suit presque immédiatement et le signale par un terrible grognement.
Moi, ma verge tressaute, se comprime et se libère d’une grande quantité de liquide visqueux. Je souffle comme un animal à l’agonie.
Paul, quant à lui, ne jouit pas. Il regarde la scène en souriant.
Après un court moment de repos, je me lève pour aller chercher quatre coupes et je leur sers du Champagne.
Alors ? Ma chérie, que penses tu de mon idée ?
Je n’en suis pas encore certaine que c’est une bonne idée pour notre couple, mais j’ai énormément apprécié. Je t’aime pour m’autoriser à vivre une telle expérience.
À notre rencontre réussie, leur dis-je.
Patricia a toujours le plug dans son corps.
Première double pénétration de Patricia.
Au bout d’un moment, Paul reprend la situation en main.
Il dit à ma femme. Patricia, voilà ce qui va se passer. Simon et moi, allons te prendre en même temps.
Ton plaisir sera décuplé d’avoir dans ton corps la queue de deux hommes.
Acceptes tu cette proposition ?
Je veux bien essayer, mais j’ai peur d’avoir mal. Dit-elle.
N’aie pas peur, nous allons le faire avec une extrême douceur.
Montre moi tes fesses que je te retire le plug. Reste dans cette position.
L’anus de ma belle reste ouvert, il est distendu et prêt à recevoir son profanateur.
Simon, dit Paul. Vient lui remplir son petit trou de gel, puis rentre un, puis deux doigts et masse lui l’intérieur de son cul lentement, mais profondément.
Simon s’exécute, Patricia recommence à émettre des petits gémissements langoureux.
Je remarque que le comportement de ma femme est très différent lorsqu’elle est avec moi.
Sa beauté naturelle brille de mille feux sur son visage.
Moi, je joue toujours le rôle de voyeur de plus en plus excité. Ma queue ne débande plus et c’est bien la première fois que cela m’arrive.
Patricia, dit Paul, c’est Simon qui va te voler en primeur ta petite pastille, il a une bite plus fine que la mienne. Sois confiante, nous ne sommes pas des brutes. Tu ne vas pas le regretter.
Paul s’allonge sur le dos et dit à mon épouse : « Allez, viens, ma belle pouliche, chevaucher ton bel étalon. »
Patricia tourne la tête et me regarde en souriant, tout en s’abaissant sur le pieu extrêmement dur et gros.
Je découvre en Paul, le rigolo de service, que pour lui, ce n’est qu’un jeu. Il a l’habitude de ses joutes à plusieurs. Pour moi, Simon et Patricia, c’est différent.
Je vois le sexe de Patricia s’ouvrir et se déformer. Elle grimace légèrement au fur et à mesure que le cylindre pénètre dans ses chairs détendues et consentantes. Heureusement, sa source coule comme une fontaine et facilite la pénétration.
La tige est maintenant complètement dans ses chairs. Patricia respire bruyamment et de plus en plus vite. Elle pose ses deux mains à plat sur la poitrine de Paul et commence des mouvements de haut en bas de son bassin. En le comprimant, sa vulve coulisse facilement autour du sexe de Paul.
Paul lui demande d’arrêter au plus vite, car il est proche de l’orgasme et ne veut pas jouir de suite.
Il demande à Simon de venir derrière Patricia.
Paul attire Patricia vers lui en la serrant contre sa poitrine, ne sois pas effrayé, il l'embrasse avec tendresse et écarte gentiment ses fesses avec ses mains.
En voyant le moment arrivé, Jacques se lève de sa chaise et se positionne juste devant le visage de sa femme, son sexe étant toujours à l'horizontale.
Simon se positionne et pose son gland sur l’anus de Patricia. D’une petite poussée, la verge s’introduit lentement dans le conduit anal. Mon épouse laisse échapper un soupir langoureux.
La verge pénètre sur toute sa longueur, elle est prisonnière de la gaine voluptueuse qui l’enveloppe et la comprime.
Paul lâche les fesses et entoure avec ses bras, les reins de sa compagne, Simon, quant à lui, pose ses mains sur les hanches de ma femme et commence un va-et-vient d’une extrême lenteur dans le conduit.
Paul le suit en se basant sur la pénétration du jeune homme.
L’un des hommes sort et l’autre rentre et vice-versa.
Mon épouse donne de la voix, et entonne une complainte déchirante. De façon sporadique, on parvient à saisir des bribes de phrases, comme "c'est trop bon, ne vous arrêtez pas".
Moi, qui suis en face de son visage, je constate les changements sur les traits de son visage qui se crispent. Sa bouche s’ouvre en grand comme pour aspirer de l’air.
Ce manège dure depuis une quinzaine de minutes.
Je ne peux plus attendre et je glisse ma verge dans la bouche de ma femme qui me suce d'une manière confuse.
C’est à ce moment que les deux mâles décident d’accélérer le coït.
Le ventre de Simon cogne violemment les fesses de ma belle et Paul lime de plus en plus vite son vagin.
C’en est trop pour la pouliche qui, dans un spasme, relâche ma verge pour mieux respirer et surtout crier son plaisir. Je me sens totalement abandonné, frustré, sans mon plaisir que j’attendais.
Son corps est pris de terribles tremblements. Son vagin et son cul se contractent par saccades et compriment avec force les deux bites qui la transpercent.
Paul et Simon éjaculent simultanément dans les deux orifices dilatés.
Patricia et Simon restent sur le lit s’embrassent et se caressent. Paul se met debout et vient à côté de moi.
Continuez tous les deux, les amoureux, en s’adressant à ma femme et au pompier.
Je m'assure du bien-être de Jacques, qui est malheureux et isolé.
Reste debout, Jacques. Je me place derrière toi, me dit Paul.
Je sens sa poitrine contre mon dos et sa verge qui recommence à bander contre mes fesses.
Je n’ai guère le temps de réfléchir et de réagir, que sa main droite s’empare de ma colonne de chair en semi-érection. Ne bouge pas, Jacques, laisse moi faire.
Simon et Patricia sont devant nous, ma belle est à quatre pattes, le torse plus bas que ses fesses.
Le jeune pompier la besogne dans son petit conduit qu’il vient de quitter il y a peu de temps.
Il ne la maintient que par les hanches.
Patricia regarde le manège de Paul et me sourit comme pour m'approuver.
Regarde ta femme comme elle est belle lorsqu'elle se fait sodomiser par un autre homme, me dit Paul.
Vois, les expressions de son visage qui vacillent entre douleurs et plaisir.
Écoute sa respiration qui s’affole et s’emballe.
C'est elle-même qui va au-devant du sexe qui la pénètre. Elle apprécie le contact de cette bitte qui coulisse lentement dans son fondement. Je suis sûr qu’elle ressent des petites contractions répétées qui irradient tout son ventre et son intimité.
Pendant ces belles paroles, Paul me masturbe avec douceur. Il me décalotte pour recueillir quelques gouttes de ma liqueur lubrifiante sur le bout de l’index de sa main droite.
Je le sens légèrement s’écarter de mon dos et lentement, son index humecté de mon liquide
pré séminal tourne autour de mon anus et le pénètre doucement.
Il le fait coulisser tout en accélérant le mouvement de sa main sur ma tige tendue à l’extrême.
Sa bouche se colle à mon oreille pour me dire tout bas, tu vois, Jacques, ton cul est en osmose avec celui de ton épouse.
Devant mon épouse et Simon, je geins et pousse des grognements de plus en plus intenses.
Les deux amants s'interrompent pour mieux me regarder.
Ne pouvant me retenir plus longtemps, ma verge se cabre, je sens mon anus se contracter plusieurs fois sur le doigt de Paul, j’éjacule en projetant plusieurs filets de sperme onctueux qui finissent sur le sol.
Ma femme se retire de son emprise, se lève et vient me rejoindre. Tout en souriant, elle me prend le visage entre ses mains et m’embrase en pénétrant mes lèvres avec sa langue.
Puis, me contourne et fait de même avec Paul.
Je te félicite, Paul, dit-elle. Quel spectacle ! Je pense que Jacques a énormément apprécié, n’est-ce pas mon chéri ?
Avant de se séparer, tout le monde prend individuellement une douche.
Je vais dans la cuisine ouvrir une nouvelle bouteille de Champagne, Paul vient me rejoindre, en laissant dans le salon Patricia et Simon qui attendent.
Doucement, il me parle et me dit : « J’aimerais que l’on se rencontre cette semaine tous les deux, seul. »
Mais pourquoi ? Lui dis-je.
Tu as dû remarquer mes attentes et mes envies tout à l’heure, lorsque ma verge dure était en contact avec tes fesses.
Jacques, j’ai envie de te faire l’amour doucement, diaboliquement.
Je suis parfaitement conscient que cela te perturbe, mais ne me donne pas ta réponse tout de suite, réfléchis et appelle moi.
Voici mon numéro de téléphone.
J'ai été ravi et surpris par cette requête. Nous avons rejoint ensemble le salon, où nous terminons la journée avec de nouvelles coupes de Champagne.
Je me retrouve seul avec Patricia. Je lui demande ce qu’elle pense de cette journée ?
Elle me répond que c’est une merveilleuse journée et me remercie pour lui permettre de vivre de tels moments.
J’ai particulièrement apprécié le moment où Paul et Simon m’ont pris ensemble. J'ai découvert une satisfaction inattendue dans la pratique de la sodomie, et le fait que deux sexes glissent l'un après l'autre dans mes deux orifices m'a paru incroyablement merveilleux.
J'ai ressenti une sensation de plénitude et de tension extrême.
Ton orgasme était magnifique à regarder et contagieux.
Je ne crois pas que tu as pu en être capable avec un homme.
Rien que d’y penser, je suis encore terriblement excité.
Patricia s’approche et s’assoit près de moi, m’embrase profondément, me prend la main et la pose sur son sexe. Constate toi-même mon trouble.
Mes doigts trouvent une chatte encore toute humide, glissante.
Je ne pense même pas à la caresser, perdu dans mes pensées lubriques.
Quel changement dans son comportement avec moi. Je ne regrette pas mon stratagème organisé avec Simon.
Je décide de lui raconter ce qui s’est passé dans la cuisine avec Paul.
Patricia m'écoute avec beaucoup d'attention, tout en affichant un petit sourire et une expression de grande surprise.
Tu comptes faire quoi, me demande mon épouse.
Je ne sais pas, lui dis-je.
En as-tu envie ?
Je lui ai fait savoir que j'avais l'envie de m'engager dans cette aventure, mais que j'en ressens de la gêne rien qu'en y songeant.
Par conséquent, dans ce contexte, ne retiens pas tes élans et oublie toute forme de gêne. Il n'y a aucune raison d'avoir honte lorsque l'on s'engage dans une activité sexuelle avec une personne du même sexe, me dit elle.
Tu vas prendre beaucoup de plaisir en te faisant sodomiser, je peux te le garantir. L’anus est une zone très sensible et érogène. J’ai pu, moi-même, m’en apercevoir à mon insu.
Par contre, me dit-elle, j’ai une faveur à te demander.
J'aimerais être là et éventuellement contribuer, si tu n'y vois pas d'inconvénient.
J’hésite beaucoup, mais je lui réponds que je suis d’accord.
Le lendemain, j’appelle Paul pour lui dire qu’il peut venir à la maison jeudi en fin de journée, mais que Patricia veut être présente.
Paul accepte ma proposition avec enthousiasme.
Me voici de retour à la maison.
Alors, pas trop longs d’attendre l’arrivée du maître de maison.
Vous ne vous êtes pas ennuyé au moins.
Pas du tout, répondent en cœur les deux compères.
Nous avons passé notre temps à discuter me dit ma femme, en étant sûr d’elle.
Chose étonnante, c’est Simon qui me paraît le plus embarrassé, connaissant pourtant la vérité.
La fin de journée se passe sans problème comme si, rien ne, c’était passé.
Simon repart chez lui, et je reste seul avec mon épouse.
On va se coucher ? Me dit ma femme, je suis fatiguée.
Pas maintenant, reste là, j’ai des choses à te dire.
Ah, mais quoi donc ?
Et je commence ma discussion d’un ton ferme.
Pendant le repas, je me suis aperçu de ce qui s’est passé sous la table.
La tête de mon épouse se fige et elle bredouille, mais, mais ! Que c’est il passé ?
Ne te moque pas de moi, j’ai vu la main de Simon sur ton genou et sur tes cuisses, et je trouve que tu n’as pas réagi pour le rejeter.
C’est vrai, dit elle, mais j’avais peur d’une réaction violente de ta part.
J’ai essayé de le repousser à maintes reprises.
Rassure toi, nous avons eu une explication violente après ton départ et il ne sait rien passée après.
Je préfère que tu te taises, au lieu de raconter des salades, tu t’enfonces encore plus. Écoute bien la suite.
Comme j’avais un doute, en partant au feu. J’ai emmené avec moi l’ordinateur et j’ai mis en fonction toutes les caméras anti - intrusions de la maison. Ainsi, j’ai pu assister et entendre votre partie de jambes en l’air intégralement.
Je dois t’avouer que malgré mon dégoût, j’ai pris beaucoup de plaisir en regardant ma femme se faire culbuter par un autre.
Prise sur le fait, Patricia s’écroule et pleure comme une gamine.
Je te demande pardon, je ne sais pas ce qui m’a pris.
Eh bien, moi, je sais qui tu es. Tu n’es qu’une belle salope qui fait cocu son mari pendant qu’il sauve des vies.
Ses pleurs s’intensifient encore plus et je continue de lui parler.
Inutile de dire à Simon que je suis au courant.
Par contre, il faut que tu saches, que je suis son chef à la caserne, j’ai la possibilité de le muter dans une autre caserne pour faute. J’en trouverai une, s’il le faut. (Évidemment, c’est faux.)
Sur un ton que je veux volontairement hésitant, je dis, à moins, à moins ! Que ton comportement change du tout au tout avec moi.
Si tu aimes ton bel et jeune pompier, il faut être très gentille avec ton mari et m’obéir.
De toute façon, tu n’as pas le choix, sinon, il dégage.
Tu es une salope et je vais m’occuper de toi comme tel, puisque soi-disant, je suis trop gentil.
Va te coucher maintenant, mais dans la chambre du fond.
Je la regarde partir se coucher, la tête basse et toujours en sanglotant.
Demain soir, après le boulot, je m’occuperai de toi.
Le lendemain matin, je vois Simon et le tiens au courant de la situation. Il sait désormais que Patricia est au fait des caméras et de mon stratagème pour la rendre coupable et à ma merci.
Au passage, je le félicite pour sa prestation. Tu sais, lui dis-je. J'ai pris un énorme plaisir en vous regardant faire l’amour.
Il m'avoue, un peu embarrassé, que ma femme est une partenaire sexuelle agréable et me remercie pour cette opportunité.
Je lui expose mon nouveau projet machiavélique.
J’aimerais que ma femme se fasse prendre par deux hommes en même temps.
As-tu un de tes potes qui accepterait de le faire avec toi et surtout devant moi ?
Je resterai cette fois-ci à vous regarder dans la même pièce, ce qui va encore accentuer le mal-être de ma femme.
Simon est encore très surpris par cette proposition. Tu es le diable en personne, me confie-t-il, et commence à réfléchir dans ses connaissances.
Au bout d’un moment, je pense connaître quelqu’un qui a ce profil, me dit Simon.
Il est un peu plus vieux que moi, il s’entraîne avec moi dans la salle de sport. Il me parle souvent de ses aventures sexuelles à plusieurs. En plus, il est beau gosse, et il a une verge bien plus grosse que la normale.
Eh bien, je suis d’accord, propose lui, et tu m’appelles pour me donner son avis. Si cela fonctionne, je vous donnerai un rendez-vous à la maison.
Première relation sexuelle de Patricia imposée par son mari.
Le soir venu, Patricia rentre du boulot, pratiquement au même moment que moi.
Sans lui laisser le temps de se poser, je lui demande de venir me voir, directement dans notre chambre.
Patricia, c’est maintenant l’heure de payer ta trahison.
Nous allons refaire ensemble une répétition de ta belle prestation d’hier avec ton beau pompier, mais avec quelques nuances.
Avant de commencer, j’ai un cadeau pour toi. Je lui donne un petit colis pour qu’elle l’ouvre.
Avec stupeur, elle découvre un plug anal de belle taille avec, en plus, un petit tube de lubrifiant intime.
Tu es contente, ma belle ?
Elle ne répond pas et me regarde dépiter.
Allez, mets toi à poil et donne moi aussi ta culotte. Je la renifle et je sens une odeur forte. Eh bien, tu as dû pas mal marcher aujourd’hui.
Tu sais ce qu’il te reste à faire, assieds toi sur le bord du lit et taille moi une pipe jusqu’au bout, comme hier avec ton amant.
Sans broncher, Patricia baissa la fermeture de la braguette et le caleçon.
Mon sexe sort d’un coup, il est déjà en érection.
Elle ouvre sa bouche et laisse le gland rentrer dans le fourreau chaux et humide.
La bouche commence des allers et retours sur le pieu qui se durcit encore plus.
La langue s'enroule et tourne autour du gland. Du liquide clair s’en échappe.
Je sens que je ne fais pas tenir longtemps, je découvre en Patricia une pompeuse qui a du talent.
Au bout de dix minutes, je me rends.
Par saccades, je remplis la bouche de ma belle avec ma liqueur encore tiède en émettant des cris rauques. La bouche m’aspire et me vide jusqu’à la dernière goutte.
Puis, sans effort apparent, mon épouse avale tout. Lorsqu’elle a terminé. D’un revers de la main, elle s’essuie le coin de ses lèvres.
Son visage ne trahit aucune émotion, ni de joie, ni de dégoût.
Je lui dis d’un ton sec, maintenant, allonge toi sur le ventre.
Donne moi ton cadeau, que je l’inaugure.
Tu veux faire quoi avec cet engin ? Me dit-elle.
Je lui réponds du tac au tac.
Je vais simplement te l’enfoncer dans ton petit cul, ma chérie. Tu devras le garder pendant que je ferai l'amour.
Non, mais ça ne va pas, c’est bien trop gros, je ne veux pas. Dit-elle.
Tout en l’écoutant, j’étale consciencieusement le lubrifiant sur le plug.
Pense à ton pompier qui risque d’être muté. Tu ne pourras plus le voir.
Tu es un véritable salaud, Jacques. Vaincue, elle ne dit plus rien et se positionne sur le ventre.
Écarte tes fesses, mieux que ça. Je réalise que c’est la première fois en 20 ans que je vois, si distinctement, l’anus de ma femme.
C’est bien, lui dis-je, je présente le plug devant l’anneau récalcitrant et pousse lentement l’engin qui pénètre lentement le cul de mon épouse.
Je le tourne en poussant de plus en plus. L’anus se détend et s’ouvre petit à petit. Patricia émet des sons stridents.
En fin de compte, le plug est en place et le petit œillet sert à son maximum l’engin.
Une fois en place, il ne peut plus sortir de ce fourreau qui le comprime.
Retourne toi, maintenant, Patricia, offre moi ton abricot.
Ma femme se retourne, écarte les jambes et je la pénètre sans précaution, jusqu’à la garde de mon pénis.
Elle gueule sans retenue, probablement d’inconfort. Je constate que sa fente est sèche et manque de sécrétions.
Je fais l'amour avec elle du mieux que je peux, mais il n'y a pas de réponse.
Elle ne jouit pas et ne prend pas de plaisir.
Moi, j’ai du mal à faire coulisser mon sexe dans sa gaine inhospitalière.
Ses reins ne bougent pas, elle attend le châtiment et c’est tout.
Je cesse mes mouvements de va-et-vient et lui déclare : "C'est terminé, j'arrête.
Qu’est-ce qui ne va pas entre nous ?
Je ne sais pas, je n’éprouve aucun plaisir avec toi, c’est comme ça, depuis le début, me dit elle.
Je lui retire doucement le plug de son cul et je lui dis d’aller se coucher, on en reparlera demain.
Patricia s'en va se mettre au lit, et je vais en faire autant, profondément découragé par cette situation.
Le lendemain, je lui avoue que j’ai vu Simon et que je lui tout dit au niveau des caméras.
Je lui ai proposé âpres, de coucher avec toi de nouveau, s’il voulait que j’oublie tout. Il est d’accord et il ne cache pas son impatience.
Deux jours après, Simon m’appelle et me dit que son pote est d’accord.
Je décide d’en parler à Patricia.
Simon viendra ce week-end avec un de ses amis, ils vont te faire l’amour devant moi. Je resterai dans la pièce pour vous regarder. Ils sont consentants tous les deux.
Comment ça, me dit-elle. Je ne suis pas une pute. Je lui réponds, je sais. Sache que je prends énormément de plaisir à te voir prendre ton pied.
Tu pourras prendre ton plaisir devant moi, je ne t’en tiendrai pas rigueur, puisqu’avec moi, cela ne fonctionne pas ou plus. Je t’offre jouissances et orgasmes à profusion, à la simple condition que ça soit devant moi.
Réfléchis et donne moi ta réponse demain matin. C’est toi qui décides.
Si tu refuses, on arrête là.
Le lendemain matin, Patricia me donne sa réponse très gênée et embarrassée.
Tu me promets, me dit-elle, que tu ne vas rien faire à Simon ?
Je réponds, je te le jure.
Je te trouve de plus en plus bizarre, mais je suis d’accord pour te faire cocu devant toi.
Je ne comprends plus ton comportement.
Début des hostilités
Le dimanche suivant, les deux hommes arrivent ensemble à l’heure de l’apéritif.
Les présentations se font.
Bonjour, je m’appelle Paul. Je suis un ami de Simon.
Paul, moi, je suis Jacques et je te présente mon épouse, Patricia.
On peut se tutoyer si cela ne te gêne pas. Pas de problème, me répond Paul.
Simon, je ne te présente pas ma femme. Tu la connais probablement plus que moi, enfin dans certains domaines. Je remarque que Patricia baisse la tête et rougit.
Devant les coupes de Champagne et l’alcool aidant, la conversation va bon train. Compte tenu du fait que tout le monde sait pourquoi nous sommes réunis, la discussion se concentre sur le sexe.
Les trois hommes sont à l’aise. Ma femme, pas du tout.
Paul nous confirme sa sexualité à plusieurs. Ce sont des petits groupes, généralement de quatre à six personnes.
Je prends la parole et demande à Paul. Cela ne te gêne pas que le mari regarde ? Il me répond que cela arrive souvent. Cette pratique s’appelle le candaulisme.
Surprise pour tout le monde, Simon notamment, Paul nous apprend qu’il est bisexuel.
Rassure toi, dit-il à Simon, tu n’es pas mon genre. Ouf, dit le jeune pompier.
Tout le monde rigole.
Je profite de ce moment pour leur montrer le plug que j’ai acheté pour Patricia.
Excellent, dit Paul, nous pourrons l’utiliser, si tu le souhaites, Patricia.
Patricia, dit Jacques, tu peux te rapprocher de Simon, si tu en as envie.
Elle ne se fait pas prier.
Elle a mis la même robe que l’autre jour. Je n’ai pas vu, ses dessous.
Simon me regarde, je comprends qu’il me demande ma permission pour commencer les hostilités.
D’un petit signe de la tête, il comprend que ma réponse est positive.
Alors, il prend délicatement la tête de mon épouse qui se laisse faire et approche sa bouche de la sienne.
La langue du jeune pompier force les lèvres et s’y engouffre avec délicatesse. Ma femme répond avec fougue et, devant Paul et moi-même, ils s’embrassent avec passion.
Les deux compères se lèvent et Simon commence à déshabiller mon épouse.
Rapidement, la robe tombe sur le sol, le soutien-gorge en dentelle de couleur jaune suit le même chemin.
Il ne reste plus qu’une petite culotte qui cache à peine la petite toison de poils bruns.
Patricia le prend par la main et l’emmène dans la chambre.
Paul me regarde et me dit qu’il est temps de suivre le mouvement. Tout en se déshabillant, il m’avoue :« Je dois te dire, Jacques, que ta femme est tout simplement magnifique et qu'elle dégage une grande sensualité. » Je suis fier du compliment.
On se déshabille tous les deux et nous allons dans la chambre assister aux ébats du couple.
On rentre dans la pièce et l’on découvre Patricia les jambes grandes ouvertes avec son amant du moment qui lui dévore son sexe à pleine bouche. Mon épouse gémit et lance des plaintes lancinantes.
Je m’assis sur le fauteuil qui est dans la chambre et Paul rentre dans l’arène.
Il s’adresse à bas mots à l’oreille de Simon pour lui dire : « Ne la fais pas jouir maintenant, attends la suite. »
Moi, tranquillement installé dans le fauteuil, je regarde la scène. Mon sexe commence à bander.
C’est Paul qui prend la direction des opérations.
Il demande à Patricia de se mettre sur le ventre et lui dit, ne bouge pas, je vais utiliser le plug que Jacques t’a offert. Tu es d’accord ? Ma femme accepte.
Simon, écarte lui ses fesses, ce sera plus facile.
Paul prend le plug préalablement huilé et lui rentre doucement en le tournant plusieurs fois de gauche à droite dans son petit cratère presque vierge. Mon épouse miaule comme une petite chatte.
Au bout de cinq minutes, il est complètement absorbé jusqu’à la butée, il ne peut plus partir ni sortir.
Retourne toi, Patricia, Simon pénètre là et fait jouir cette dame, je m’occupe du haut.
Le jeune pompier se positionne entre les jambes de mon épouse et la pilonne avec de grands coups de reins. Paul embrasse ma femme puis lui aspire les tétons. Sa main droite descend jusqu’à sa fourche et masturbe son petit bouton qui est maintenant entièrement sorti de sa gaine.
De ma place, dans mon fauteuil, je peux apercevoir la figue absolument dilatée avec son liquide lubrifiant qui s’en échappe en grande quantité.
Impossible de résister plus longtemps devant un tel spectacle, je me masturbe avec force.
Soudain, je vois le corps de ma femme se tendre comme un arc, sa respiration s’accélère, ses cris se font plus importants et plus forts, ses jambes tremblent, puis, dans un grand gémissement, elle se rend. Un orgasme la terrasse sur le lit.
Simon la suit presque immédiatement et le signale par un terrible grognement.
Moi, ma verge tressaute, se comprime et se libère d’une grande quantité de liquide visqueux. Je souffle comme un animal à l’agonie.
Paul, quant à lui, ne jouit pas. Il regarde la scène en souriant.
Après un court moment de repos, je me lève pour aller chercher quatre coupes et je leur sers du Champagne.
Alors ? Ma chérie, que penses tu de mon idée ?
Je n’en suis pas encore certaine que c’est une bonne idée pour notre couple, mais j’ai énormément apprécié. Je t’aime pour m’autoriser à vivre une telle expérience.
À notre rencontre réussie, leur dis-je.
Patricia a toujours le plug dans son corps.
Première double pénétration de Patricia.
Au bout d’un moment, Paul reprend la situation en main.
Il dit à ma femme. Patricia, voilà ce qui va se passer. Simon et moi, allons te prendre en même temps.
Ton plaisir sera décuplé d’avoir dans ton corps la queue de deux hommes.
Acceptes tu cette proposition ?
Je veux bien essayer, mais j’ai peur d’avoir mal. Dit-elle.
N’aie pas peur, nous allons le faire avec une extrême douceur.
Montre moi tes fesses que je te retire le plug. Reste dans cette position.
L’anus de ma belle reste ouvert, il est distendu et prêt à recevoir son profanateur.
Simon, dit Paul. Vient lui remplir son petit trou de gel, puis rentre un, puis deux doigts et masse lui l’intérieur de son cul lentement, mais profondément.
Simon s’exécute, Patricia recommence à émettre des petits gémissements langoureux.
Je remarque que le comportement de ma femme est très différent lorsqu’elle est avec moi.
Sa beauté naturelle brille de mille feux sur son visage.
Moi, je joue toujours le rôle de voyeur de plus en plus excité. Ma queue ne débande plus et c’est bien la première fois que cela m’arrive.
Patricia, dit Paul, c’est Simon qui va te voler en primeur ta petite pastille, il a une bite plus fine que la mienne. Sois confiante, nous ne sommes pas des brutes. Tu ne vas pas le regretter.
Paul s’allonge sur le dos et dit à mon épouse : « Allez, viens, ma belle pouliche, chevaucher ton bel étalon. »
Patricia tourne la tête et me regarde en souriant, tout en s’abaissant sur le pieu extrêmement dur et gros.
Je découvre en Paul, le rigolo de service, que pour lui, ce n’est qu’un jeu. Il a l’habitude de ses joutes à plusieurs. Pour moi, Simon et Patricia, c’est différent.
Je vois le sexe de Patricia s’ouvrir et se déformer. Elle grimace légèrement au fur et à mesure que le cylindre pénètre dans ses chairs détendues et consentantes. Heureusement, sa source coule comme une fontaine et facilite la pénétration.
La tige est maintenant complètement dans ses chairs. Patricia respire bruyamment et de plus en plus vite. Elle pose ses deux mains à plat sur la poitrine de Paul et commence des mouvements de haut en bas de son bassin. En le comprimant, sa vulve coulisse facilement autour du sexe de Paul.
Paul lui demande d’arrêter au plus vite, car il est proche de l’orgasme et ne veut pas jouir de suite.
Il demande à Simon de venir derrière Patricia.
Paul attire Patricia vers lui en la serrant contre sa poitrine, ne sois pas effrayé, il l'embrasse avec tendresse et écarte gentiment ses fesses avec ses mains.
En voyant le moment arrivé, Jacques se lève de sa chaise et se positionne juste devant le visage de sa femme, son sexe étant toujours à l'horizontale.
Simon se positionne et pose son gland sur l’anus de Patricia. D’une petite poussée, la verge s’introduit lentement dans le conduit anal. Mon épouse laisse échapper un soupir langoureux.
La verge pénètre sur toute sa longueur, elle est prisonnière de la gaine voluptueuse qui l’enveloppe et la comprime.
Paul lâche les fesses et entoure avec ses bras, les reins de sa compagne, Simon, quant à lui, pose ses mains sur les hanches de ma femme et commence un va-et-vient d’une extrême lenteur dans le conduit.
Paul le suit en se basant sur la pénétration du jeune homme.
L’un des hommes sort et l’autre rentre et vice-versa.
Mon épouse donne de la voix, et entonne une complainte déchirante. De façon sporadique, on parvient à saisir des bribes de phrases, comme "c'est trop bon, ne vous arrêtez pas".
Moi, qui suis en face de son visage, je constate les changements sur les traits de son visage qui se crispent. Sa bouche s’ouvre en grand comme pour aspirer de l’air.
Ce manège dure depuis une quinzaine de minutes.
Je ne peux plus attendre et je glisse ma verge dans la bouche de ma femme qui me suce d'une manière confuse.
C’est à ce moment que les deux mâles décident d’accélérer le coït.
Le ventre de Simon cogne violemment les fesses de ma belle et Paul lime de plus en plus vite son vagin.
C’en est trop pour la pouliche qui, dans un spasme, relâche ma verge pour mieux respirer et surtout crier son plaisir. Je me sens totalement abandonné, frustré, sans mon plaisir que j’attendais.
Son corps est pris de terribles tremblements. Son vagin et son cul se contractent par saccades et compriment avec force les deux bites qui la transpercent.
Paul et Simon éjaculent simultanément dans les deux orifices dilatés.
Patricia et Simon restent sur le lit s’embrassent et se caressent. Paul se met debout et vient à côté de moi.
Continuez tous les deux, les amoureux, en s’adressant à ma femme et au pompier.
Je m'assure du bien-être de Jacques, qui est malheureux et isolé.
Reste debout, Jacques. Je me place derrière toi, me dit Paul.
Je sens sa poitrine contre mon dos et sa verge qui recommence à bander contre mes fesses.
Je n’ai guère le temps de réfléchir et de réagir, que sa main droite s’empare de ma colonne de chair en semi-érection. Ne bouge pas, Jacques, laisse moi faire.
Simon et Patricia sont devant nous, ma belle est à quatre pattes, le torse plus bas que ses fesses.
Le jeune pompier la besogne dans son petit conduit qu’il vient de quitter il y a peu de temps.
Il ne la maintient que par les hanches.
Patricia regarde le manège de Paul et me sourit comme pour m'approuver.
Regarde ta femme comme elle est belle lorsqu'elle se fait sodomiser par un autre homme, me dit Paul.
Vois, les expressions de son visage qui vacillent entre douleurs et plaisir.
Écoute sa respiration qui s’affole et s’emballe.
C'est elle-même qui va au-devant du sexe qui la pénètre. Elle apprécie le contact de cette bitte qui coulisse lentement dans son fondement. Je suis sûr qu’elle ressent des petites contractions répétées qui irradient tout son ventre et son intimité.
Pendant ces belles paroles, Paul me masturbe avec douceur. Il me décalotte pour recueillir quelques gouttes de ma liqueur lubrifiante sur le bout de l’index de sa main droite.
Je le sens légèrement s’écarter de mon dos et lentement, son index humecté de mon liquide
pré séminal tourne autour de mon anus et le pénètre doucement.
Il le fait coulisser tout en accélérant le mouvement de sa main sur ma tige tendue à l’extrême.
Sa bouche se colle à mon oreille pour me dire tout bas, tu vois, Jacques, ton cul est en osmose avec celui de ton épouse.
Devant mon épouse et Simon, je geins et pousse des grognements de plus en plus intenses.
Les deux amants s'interrompent pour mieux me regarder.
Ne pouvant me retenir plus longtemps, ma verge se cabre, je sens mon anus se contracter plusieurs fois sur le doigt de Paul, j’éjacule en projetant plusieurs filets de sperme onctueux qui finissent sur le sol.
Ma femme se retire de son emprise, se lève et vient me rejoindre. Tout en souriant, elle me prend le visage entre ses mains et m’embrase en pénétrant mes lèvres avec sa langue.
Puis, me contourne et fait de même avec Paul.
Je te félicite, Paul, dit-elle. Quel spectacle ! Je pense que Jacques a énormément apprécié, n’est-ce pas mon chéri ?
Avant de se séparer, tout le monde prend individuellement une douche.
Je vais dans la cuisine ouvrir une nouvelle bouteille de Champagne, Paul vient me rejoindre, en laissant dans le salon Patricia et Simon qui attendent.
Doucement, il me parle et me dit : « J’aimerais que l’on se rencontre cette semaine tous les deux, seul. »
Mais pourquoi ? Lui dis-je.
Tu as dû remarquer mes attentes et mes envies tout à l’heure, lorsque ma verge dure était en contact avec tes fesses.
Jacques, j’ai envie de te faire l’amour doucement, diaboliquement.
Je suis parfaitement conscient que cela te perturbe, mais ne me donne pas ta réponse tout de suite, réfléchis et appelle moi.
Voici mon numéro de téléphone.
J'ai été ravi et surpris par cette requête. Nous avons rejoint ensemble le salon, où nous terminons la journée avec de nouvelles coupes de Champagne.
Je me retrouve seul avec Patricia. Je lui demande ce qu’elle pense de cette journée ?
Elle me répond que c’est une merveilleuse journée et me remercie pour lui permettre de vivre de tels moments.
J’ai particulièrement apprécié le moment où Paul et Simon m’ont pris ensemble. J'ai découvert une satisfaction inattendue dans la pratique de la sodomie, et le fait que deux sexes glissent l'un après l'autre dans mes deux orifices m'a paru incroyablement merveilleux.
J'ai ressenti une sensation de plénitude et de tension extrême.
Ton orgasme était magnifique à regarder et contagieux.
Je ne crois pas que tu as pu en être capable avec un homme.
Rien que d’y penser, je suis encore terriblement excité.
Patricia s’approche et s’assoit près de moi, m’embrase profondément, me prend la main et la pose sur son sexe. Constate toi-même mon trouble.
Mes doigts trouvent une chatte encore toute humide, glissante.
Je ne pense même pas à la caresser, perdu dans mes pensées lubriques.
Quel changement dans son comportement avec moi. Je ne regrette pas mon stratagème organisé avec Simon.
Je décide de lui raconter ce qui s’est passé dans la cuisine avec Paul.
Patricia m'écoute avec beaucoup d'attention, tout en affichant un petit sourire et une expression de grande surprise.
Tu comptes faire quoi, me demande mon épouse.
Je ne sais pas, lui dis-je.
En as-tu envie ?
Je lui ai fait savoir que j'avais l'envie de m'engager dans cette aventure, mais que j'en ressens de la gêne rien qu'en y songeant.
Par conséquent, dans ce contexte, ne retiens pas tes élans et oublie toute forme de gêne. Il n'y a aucune raison d'avoir honte lorsque l'on s'engage dans une activité sexuelle avec une personne du même sexe, me dit elle.
Tu vas prendre beaucoup de plaisir en te faisant sodomiser, je peux te le garantir. L’anus est une zone très sensible et érogène. J’ai pu, moi-même, m’en apercevoir à mon insu.
Par contre, me dit-elle, j’ai une faveur à te demander.
J'aimerais être là et éventuellement contribuer, si tu n'y vois pas d'inconvénient.
J’hésite beaucoup, mais je lui réponds que je suis d’accord.
Le lendemain, j’appelle Paul pour lui dire qu’il peut venir à la maison jeudi en fin de journée, mais que Patricia veut être présente.
Paul accepte ma proposition avec enthousiasme.
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