Partage de mon épouse Patricia .N°3
Récit érotique écrit par Osiris [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Partage de mon épouse Patricia .N°3
Formation de Jacques par un homme.
On frappe à la porte et c’est Paul qui arrive vers 18 H.
Rentre, Patricia n’est pas arrivée.
Je lui tends une poignée de main, il me regarde dans les yeux, refuse cette main tendue à ma grande surprise et m’enlace pour me donner un simple baiser sur la bouche.
Je lui propose l’apéritif, nous prenons du whisky.
Nous sommes assis côte à côte sur le divan.
Après quelques gorgés de ce fabuleux breuvage de 15 ans d'âge, il me prend délicatement mon verre et le pose sur la petite table du salon.
Paul se tourne vers moi et met sa bouche sur la mienne.
Il m'a exprimé : "Tu as l'air très tendu, Jacques, ne soit pas inquiet, je serai très délicat », comme avec ta femme dimanche dernier et ne soit pas confus, deux hommes ont parfaitement le droit de faire l’amour ensemble.
Ensuite, je sens sa langue pénétrer dans ma bouche et s'enrouler lentement autour de la mienne.
C'est exactement quand Patricia rentre de son travail que nous sommes pris en flagrant délit dans cette attitude.
Et bien, dit elle, en souriant, quand la chatte n’est pas là, les souris dansent.
Bonsoir les hommes, elle s’approche et nous distribue un tendre bisous, toujours sur la bouche.
Serre moi une coupe, je vais me changer.
Mon épouse revient peu de temps après.
Paul et moi-même sommes stupéfaits.
Elle nous arrive en petite culotte, les seins nus, sous un voile de tulle transparent, avec de fines chaussures avec des talons mi-long.
Surpris, les garçons ! Nous dit-elle. Moi, je suis prête.
Et toujours en souriant, tiens, Jacques, je te le prête, tu en auras sûrement besoin en déposant le plug que je lui ai offert sur la table ainsi qu’un flacon de gel lubrifiant.
Elle s’assoit à côté de Paul et commence à boire sa coupe.
Paul pose son verre et se lève.
Jacques, est-ce que tu souhaites atteindre l'extase avant que je ne m'introduise en toi ?
Je veux bien, dit Jacques.
Paul se dévêtit complètement et déshabilla juste après Jacques.
Puisque je suis en spectatrice ou plus exactement en voyeuse, c’est moi, Patricia qui raconte la suite de cette histoire.
Paul enlace mon mari entre ses bras, il le couvre de doux baisers. De ma place, je vois nettement les queues se redressées et je ne peux que constaté, la grande différence de taille des deux sexes.
Tout en l’embrassant sur la bouche, avec ses deux mains, il écarte ses deux fesses et commence un petit massage de son petit trou encore fermé.
Jacques émet des petits couinements.
Allonge toi sur le ventre, là, sur le divan.
Si elle le veut, compte tenu du fait que le plug appartient à ta femme, c'est elle qui aura le privilège de te le mettre en place, bien au fond de ta chaude cavité.
Donne moi du gel, Patricia. Paul en verse quelques gouttes sur l’anus de mon mari.
Puis, il commence à introduire un doigt, puis deux et cherche ainsi à élargir le petit cratère en les tournant à l’intérieur.
Je n’en reviens pas, Jacques geint bruyamment, pas de douleur, mais de plaisir.
Je remarque que ses fesses vont au-devant de ces deux profanateurs.
Est-ce que tu aimes, demande Paul à Jacques ?
Oui, continu, c’est doux.
Paul fait durer le plaisir, il est prêt maintenant, dit-il à Patricia.
Mets toi sur le côté et présente nous ton petit cul, tend le bien.
Patricia, pénètre le avec ton plug. Rajoute du gel et pousse le doucement, tout en tournant.
Sous les ordres de Paul, je m’exécute en engageant la pointe de l’objet.
Paul se décale, s’accroupit et prend dans sa bouche la queue de Jacques.
Il la suce, l'aspire en creusant ses joues comme une véritable sucette. Mon époux bande très dur.
Moi, de mon côté, j’enfonce de plus en plus le dilatateur jusqu’à la butée.
Heureusement, que la maison est bien isolée phonétiquement.
Jacques pousse des gémissements interminables et passionnés, semblant traduire une tristesse extrême, mais ce sont en fait des manifestations de jouissance.
Soudain, je vois l’anus de Jacques se comprimer par saccades sur l’objet qu’il a dans le fondement.
Au même moment, un cri déchirant sort de sa bouche.
Paul, quant à lui, aspire la liqueur de son pote jusqu’au tarissement de la source, puis l’avale entièrement sans autre forme de procès.
Vraiment, mon cher, tu n'as jamais réagi comme ça avec moi auparavant. Dit Patricia.
C’est très bien, les garçons, mais moi, après un tel feu d’artifice, je reste sur ma faim.
Jetez un coup d’œil à ma culotte, elle est tout imprégnée et humide par mon plaisir.
Paul regarde Jacques et, par son regard, lui demande s’il peut me rendre service.
La réponse de mon mari se veut des plus convaincantes.
Je pense que madame Patricia a besoin d’une petite toilette de chat avec une langue pointue et râpeuse, dit Jacques.
Tu peux lui rendre ce service, Paul.
Bien sûr, c’est avec plaisir.
Paul vient à ma rencontre et retire le petit barrage de tissu que je portais, vous n'en avez plus besoin.
Il remet ma petite culotte à mon mari, qui le renifle immédiatement et qui complimente mon odeur naturelle.
Paul m’assoit sur le canapé, écarte mes jambes et se positionne à genoux entre elles.
Madame, avec l’accord de votre mari, c’est l’heure de votre toilette intime.
À l’aide de ses deux pouces, il m’écarte mes grandes lèvres dégoulinantes.
Je constate, madame, que votre source coule énormément.
Assise, je distingue le regard réjoui de mon conjoint.
Il me semble que sa virilité est de retour, il est de nouveau excité.
Paul dépose sa langue dans ma fente avec subtilité, la faisant onduler entre mes lèvres pour recueillir les perles de mon excitation.
Ma vulve s’ouvre de plus en plus.
Il fait glisser sa langue sur tous les contours externes de mon intimité. Il débusque mon bouton, tourne autour et se focalise pour finir sur cette excroissance.
C'est maintenant mon tour de geindre et de miauler.
À l'arrivée de ce torrent de plaisir, la langue de Paul n'a pas interrompu son mouvement. J'ai ressenti une multitude de petites décharges électriques qui ont traversé tout mon corps.
Très vite, mes cuisses ont commencé à trembler, pour finalement laisser place à un orgasme extatique qui m'a submergé.
Paul me dévisage et me confie : "Je suis convaincu que madame est maintenant toute propre".
Je vais m'occuper de votre mari qui s'impatiente.
Jacques se fait sodomiser pour la première foi par un sexe d’homme.
C’est Paul qui enlève avec précaution le sextoy de l’anus de Jacques.
Les deux hommes se dirigent vers la chambre qu’ils connaissent déjà.
Je me suis jointe à eux et j'ai pris place dans le fauteuil, entièrement nue. Je suis excitée à l'idée d'assister à ce charmant spectacle.
Paul positionne Jacques sur le dos et se couche à ses côtés. Il le couvre de baisers et explore chaque centimètre de sa peau avec ses mains, en insistant sur sa poitrine, son ventre et finalement sur son sexe, qui ne reste pas insensible.
Sans l'aide de ses mains, Paul entoure uniquement le gland de sa victime avec sa bouche, le faisant glisser tendrement en le titillant avec sa langue.
Des gémissements empreints de sensualité s'échappent de la bouche de mon mari.
Je constate des frissons sur l'ensemble de sa peau.
Moi, confortablement installée, je suis dans un état d’extrême excitation.
Ma vulve est humide et mon liquide commence à imbiber la chaise.
J'attends avec impatience le moment extraordinaire où je verrai l'anneau de mon mari s'ouvrir lentement et se soumettre à la pression écrasante de la formidable perche de Paul.
Le moment tant attendu est enfin arrivé.
Es tu prêt pour recevoir mon sexe dans ton corps, demande Paul ?
Je suis prêt à m'abandonner, prends moi comme tu le souhaites, je suis impatient de te sentir au fond de moi, encule moi, réponds Jacques.
Tourne toi et allonge toi sur le ventre, je vais te préparer.
Paul écarte les deux fesses de son partenaire et approche son visage de cette jolie pastille, un peu dilatée par le plug, pour commencer à titiller son petit trou avec sa langue.
Ce petit jeu dure une dizaine de minutes. Je constate que mon époux miaule comme un petit chat.
Je suis vraiment troublée.
Jacques, pourrait-il être un homosexuel qui refoule ses sentiments ?
Maintenant, étends toi sur le dos, les jambes levées et écartées. Paul s’agenouille devant lui et lui saisit les jambes au niveau des chevilles. Je vais te pénétrer en profondeur en réalisant un mouvement de va-et-vient constant pour ne pas te brusquer.
Cette position est propice à l’intimité et permet de se regarder dans les yeux, de voir le plaisir de l’autre ou encore de s’embrasser. Elle est mon choix privilégié pour une première pénétration anale.
Patricia, j'ai besoin de toi pour enduire mon sexe d'une bonne dose de lubrifiant, me demande Paul.
Je me lève de mon fauteuil et applique consciencieusement le gel sur la grosse tige tout en la masturbant.
Je rejoins ma place et regarde avec attention.
D'un ton autoritaire, il dit à Jacques d'ouvrir ses fesses et de s'offrir sans retenue. Ce que mon mari accomplit sans hésiter.
Paul prend alors en main son sceptre et le place précisément au centre du petit cratère.
Tandis qu'il maintient les jambes en l'air de son compagnon, il pousse délicatement son bassin et sans effort considérable, le gros pénis s'enfonce lentement et entièrement dans l'anus distendu.
Depuis ma position, je peux voir que les yeux de Jacques sont révulsés. Sa bouche est grande ouverte, émettant un gémissement mélancolique.
Est-ce que tu vas bien, Jacques ?
Oui, continu.
Je m'aperçois que le membre de mon mari est complètement flasque, il ne devient plus dur.
Paul se lance dans un ramonage délicat, s'extirpant presque complètement. Puis, s'enfonce à nouveau entièrement dans l'intimité qui s'offre à lui avec abandon.
Même si la queue du supplicié est constamment détendue, je note que du sperme s'écoule en permanence de son méat.
Paul, dans une attitude de conquérant, contemple le visage de son amant qui se défigure à la fois de douleur et de plaisir.
Les lamentations de Jacques sont de plus en plus manifestes et sonores.
Paul emploie le lubrifiant de mon époux pour enduire son membre et rendre la pénétration plus aisée. La sodomie perdure un long moment.
La scène étant trop torride, c'est à ce moment que je décide de me masturber avec frénésie comme une adolescente.
Il ne me faut que très peu de temps pour arriver à un orgasme sonore d'une intensité rare et le conclure.
C'est à ce moment que Paul accélère ses mouvements dans le conduit anal qui maintenant s'ouvre d'une façon impudique.
Il le malmène et j'entends son ventre cogné sur les cuisses et les fesses de mon conjoint.
Jacques hurle littéralement et tremble comme une feuille.
Des sons violents s'échappent de la bouche de ce visiteur autorisé, pendant que son corps se tord et qu'il éjacule une grande quantité de sperme dans le ventre de mon conjoint.
Paul s'étend sur le corps de son amant, et son membre sort de son fourreau brûlant et humide, puis il échange un baiser langoureux avec Jacques qui lui répond avec ferveur.
J'entends de manière très nette mon conjoint murmurer doucement à celui qui l'a initié à la sodomie : "Je t'aime, Paul. »
Moi aussi, réponds l’autre homme.
Quelle ne fut pas ma surprise d'entendre ces mots venant de la part de Jacques, surtout pour un autre homme.
Je suis vraiment heureuse pour lui, mais en réalité, ma fierté et ma jalousie en ont souffert.
Après ce torride moment et une bonne douche, Paul nous quitte. Je l'ai entendu dire à Jacques que, compte tenu de ce que tu m'as demandé, je l'appellerai sur ton portable demain, et je suis certain que c'est réalisable.
Maintenant, que Paul est parti, je demande à mon époux : « Qu'avais tu demandé à notre amant ? »
Tu verras, c'est une surprise rien que pour toi, petite coquine.
Je suis sûr que tu trouveras cela agréable.
On frappe à la porte et c’est Paul qui arrive vers 18 H.
Rentre, Patricia n’est pas arrivée.
Je lui tends une poignée de main, il me regarde dans les yeux, refuse cette main tendue à ma grande surprise et m’enlace pour me donner un simple baiser sur la bouche.
Je lui propose l’apéritif, nous prenons du whisky.
Nous sommes assis côte à côte sur le divan.
Après quelques gorgés de ce fabuleux breuvage de 15 ans d'âge, il me prend délicatement mon verre et le pose sur la petite table du salon.
Paul se tourne vers moi et met sa bouche sur la mienne.
Il m'a exprimé : "Tu as l'air très tendu, Jacques, ne soit pas inquiet, je serai très délicat », comme avec ta femme dimanche dernier et ne soit pas confus, deux hommes ont parfaitement le droit de faire l’amour ensemble.
Ensuite, je sens sa langue pénétrer dans ma bouche et s'enrouler lentement autour de la mienne.
C'est exactement quand Patricia rentre de son travail que nous sommes pris en flagrant délit dans cette attitude.
Et bien, dit elle, en souriant, quand la chatte n’est pas là, les souris dansent.
Bonsoir les hommes, elle s’approche et nous distribue un tendre bisous, toujours sur la bouche.
Serre moi une coupe, je vais me changer.
Mon épouse revient peu de temps après.
Paul et moi-même sommes stupéfaits.
Elle nous arrive en petite culotte, les seins nus, sous un voile de tulle transparent, avec de fines chaussures avec des talons mi-long.
Surpris, les garçons ! Nous dit-elle. Moi, je suis prête.
Et toujours en souriant, tiens, Jacques, je te le prête, tu en auras sûrement besoin en déposant le plug que je lui ai offert sur la table ainsi qu’un flacon de gel lubrifiant.
Elle s’assoit à côté de Paul et commence à boire sa coupe.
Paul pose son verre et se lève.
Jacques, est-ce que tu souhaites atteindre l'extase avant que je ne m'introduise en toi ?
Je veux bien, dit Jacques.
Paul se dévêtit complètement et déshabilla juste après Jacques.
Puisque je suis en spectatrice ou plus exactement en voyeuse, c’est moi, Patricia qui raconte la suite de cette histoire.
Paul enlace mon mari entre ses bras, il le couvre de doux baisers. De ma place, je vois nettement les queues se redressées et je ne peux que constaté, la grande différence de taille des deux sexes.
Tout en l’embrassant sur la bouche, avec ses deux mains, il écarte ses deux fesses et commence un petit massage de son petit trou encore fermé.
Jacques émet des petits couinements.
Allonge toi sur le ventre, là, sur le divan.
Si elle le veut, compte tenu du fait que le plug appartient à ta femme, c'est elle qui aura le privilège de te le mettre en place, bien au fond de ta chaude cavité.
Donne moi du gel, Patricia. Paul en verse quelques gouttes sur l’anus de mon mari.
Puis, il commence à introduire un doigt, puis deux et cherche ainsi à élargir le petit cratère en les tournant à l’intérieur.
Je n’en reviens pas, Jacques geint bruyamment, pas de douleur, mais de plaisir.
Je remarque que ses fesses vont au-devant de ces deux profanateurs.
Est-ce que tu aimes, demande Paul à Jacques ?
Oui, continu, c’est doux.
Paul fait durer le plaisir, il est prêt maintenant, dit-il à Patricia.
Mets toi sur le côté et présente nous ton petit cul, tend le bien.
Patricia, pénètre le avec ton plug. Rajoute du gel et pousse le doucement, tout en tournant.
Sous les ordres de Paul, je m’exécute en engageant la pointe de l’objet.
Paul se décale, s’accroupit et prend dans sa bouche la queue de Jacques.
Il la suce, l'aspire en creusant ses joues comme une véritable sucette. Mon époux bande très dur.
Moi, de mon côté, j’enfonce de plus en plus le dilatateur jusqu’à la butée.
Heureusement, que la maison est bien isolée phonétiquement.
Jacques pousse des gémissements interminables et passionnés, semblant traduire une tristesse extrême, mais ce sont en fait des manifestations de jouissance.
Soudain, je vois l’anus de Jacques se comprimer par saccades sur l’objet qu’il a dans le fondement.
Au même moment, un cri déchirant sort de sa bouche.
Paul, quant à lui, aspire la liqueur de son pote jusqu’au tarissement de la source, puis l’avale entièrement sans autre forme de procès.
Vraiment, mon cher, tu n'as jamais réagi comme ça avec moi auparavant. Dit Patricia.
C’est très bien, les garçons, mais moi, après un tel feu d’artifice, je reste sur ma faim.
Jetez un coup d’œil à ma culotte, elle est tout imprégnée et humide par mon plaisir.
Paul regarde Jacques et, par son regard, lui demande s’il peut me rendre service.
La réponse de mon mari se veut des plus convaincantes.
Je pense que madame Patricia a besoin d’une petite toilette de chat avec une langue pointue et râpeuse, dit Jacques.
Tu peux lui rendre ce service, Paul.
Bien sûr, c’est avec plaisir.
Paul vient à ma rencontre et retire le petit barrage de tissu que je portais, vous n'en avez plus besoin.
Il remet ma petite culotte à mon mari, qui le renifle immédiatement et qui complimente mon odeur naturelle.
Paul m’assoit sur le canapé, écarte mes jambes et se positionne à genoux entre elles.
Madame, avec l’accord de votre mari, c’est l’heure de votre toilette intime.
À l’aide de ses deux pouces, il m’écarte mes grandes lèvres dégoulinantes.
Je constate, madame, que votre source coule énormément.
Assise, je distingue le regard réjoui de mon conjoint.
Il me semble que sa virilité est de retour, il est de nouveau excité.
Paul dépose sa langue dans ma fente avec subtilité, la faisant onduler entre mes lèvres pour recueillir les perles de mon excitation.
Ma vulve s’ouvre de plus en plus.
Il fait glisser sa langue sur tous les contours externes de mon intimité. Il débusque mon bouton, tourne autour et se focalise pour finir sur cette excroissance.
C'est maintenant mon tour de geindre et de miauler.
À l'arrivée de ce torrent de plaisir, la langue de Paul n'a pas interrompu son mouvement. J'ai ressenti une multitude de petites décharges électriques qui ont traversé tout mon corps.
Très vite, mes cuisses ont commencé à trembler, pour finalement laisser place à un orgasme extatique qui m'a submergé.
Paul me dévisage et me confie : "Je suis convaincu que madame est maintenant toute propre".
Je vais m'occuper de votre mari qui s'impatiente.
Jacques se fait sodomiser pour la première foi par un sexe d’homme.
C’est Paul qui enlève avec précaution le sextoy de l’anus de Jacques.
Les deux hommes se dirigent vers la chambre qu’ils connaissent déjà.
Je me suis jointe à eux et j'ai pris place dans le fauteuil, entièrement nue. Je suis excitée à l'idée d'assister à ce charmant spectacle.
Paul positionne Jacques sur le dos et se couche à ses côtés. Il le couvre de baisers et explore chaque centimètre de sa peau avec ses mains, en insistant sur sa poitrine, son ventre et finalement sur son sexe, qui ne reste pas insensible.
Sans l'aide de ses mains, Paul entoure uniquement le gland de sa victime avec sa bouche, le faisant glisser tendrement en le titillant avec sa langue.
Des gémissements empreints de sensualité s'échappent de la bouche de mon mari.
Je constate des frissons sur l'ensemble de sa peau.
Moi, confortablement installée, je suis dans un état d’extrême excitation.
Ma vulve est humide et mon liquide commence à imbiber la chaise.
J'attends avec impatience le moment extraordinaire où je verrai l'anneau de mon mari s'ouvrir lentement et se soumettre à la pression écrasante de la formidable perche de Paul.
Le moment tant attendu est enfin arrivé.
Es tu prêt pour recevoir mon sexe dans ton corps, demande Paul ?
Je suis prêt à m'abandonner, prends moi comme tu le souhaites, je suis impatient de te sentir au fond de moi, encule moi, réponds Jacques.
Tourne toi et allonge toi sur le ventre, je vais te préparer.
Paul écarte les deux fesses de son partenaire et approche son visage de cette jolie pastille, un peu dilatée par le plug, pour commencer à titiller son petit trou avec sa langue.
Ce petit jeu dure une dizaine de minutes. Je constate que mon époux miaule comme un petit chat.
Je suis vraiment troublée.
Jacques, pourrait-il être un homosexuel qui refoule ses sentiments ?
Maintenant, étends toi sur le dos, les jambes levées et écartées. Paul s’agenouille devant lui et lui saisit les jambes au niveau des chevilles. Je vais te pénétrer en profondeur en réalisant un mouvement de va-et-vient constant pour ne pas te brusquer.
Cette position est propice à l’intimité et permet de se regarder dans les yeux, de voir le plaisir de l’autre ou encore de s’embrasser. Elle est mon choix privilégié pour une première pénétration anale.
Patricia, j'ai besoin de toi pour enduire mon sexe d'une bonne dose de lubrifiant, me demande Paul.
Je me lève de mon fauteuil et applique consciencieusement le gel sur la grosse tige tout en la masturbant.
Je rejoins ma place et regarde avec attention.
D'un ton autoritaire, il dit à Jacques d'ouvrir ses fesses et de s'offrir sans retenue. Ce que mon mari accomplit sans hésiter.
Paul prend alors en main son sceptre et le place précisément au centre du petit cratère.
Tandis qu'il maintient les jambes en l'air de son compagnon, il pousse délicatement son bassin et sans effort considérable, le gros pénis s'enfonce lentement et entièrement dans l'anus distendu.
Depuis ma position, je peux voir que les yeux de Jacques sont révulsés. Sa bouche est grande ouverte, émettant un gémissement mélancolique.
Est-ce que tu vas bien, Jacques ?
Oui, continu.
Je m'aperçois que le membre de mon mari est complètement flasque, il ne devient plus dur.
Paul se lance dans un ramonage délicat, s'extirpant presque complètement. Puis, s'enfonce à nouveau entièrement dans l'intimité qui s'offre à lui avec abandon.
Même si la queue du supplicié est constamment détendue, je note que du sperme s'écoule en permanence de son méat.
Paul, dans une attitude de conquérant, contemple le visage de son amant qui se défigure à la fois de douleur et de plaisir.
Les lamentations de Jacques sont de plus en plus manifestes et sonores.
Paul emploie le lubrifiant de mon époux pour enduire son membre et rendre la pénétration plus aisée. La sodomie perdure un long moment.
La scène étant trop torride, c'est à ce moment que je décide de me masturber avec frénésie comme une adolescente.
Il ne me faut que très peu de temps pour arriver à un orgasme sonore d'une intensité rare et le conclure.
C'est à ce moment que Paul accélère ses mouvements dans le conduit anal qui maintenant s'ouvre d'une façon impudique.
Il le malmène et j'entends son ventre cogné sur les cuisses et les fesses de mon conjoint.
Jacques hurle littéralement et tremble comme une feuille.
Des sons violents s'échappent de la bouche de ce visiteur autorisé, pendant que son corps se tord et qu'il éjacule une grande quantité de sperme dans le ventre de mon conjoint.
Paul s'étend sur le corps de son amant, et son membre sort de son fourreau brûlant et humide, puis il échange un baiser langoureux avec Jacques qui lui répond avec ferveur.
J'entends de manière très nette mon conjoint murmurer doucement à celui qui l'a initié à la sodomie : "Je t'aime, Paul. »
Moi aussi, réponds l’autre homme.
Quelle ne fut pas ma surprise d'entendre ces mots venant de la part de Jacques, surtout pour un autre homme.
Je suis vraiment heureuse pour lui, mais en réalité, ma fierté et ma jalousie en ont souffert.
Après ce torride moment et une bonne douche, Paul nous quitte. Je l'ai entendu dire à Jacques que, compte tenu de ce que tu m'as demandé, je l'appellerai sur ton portable demain, et je suis certain que c'est réalisable.
Maintenant, que Paul est parti, je demande à mon époux : « Qu'avais tu demandé à notre amant ? »
Tu verras, c'est une surprise rien que pour toi, petite coquine.
Je suis sûr que tu trouveras cela agréable.
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récit très excitant!!