Partage risqué

- Par l'auteur HDS Queuedusexe -
Auteur homme.
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Récit libertin : Partage risqué Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Partage risqué
Je m’appelle Marc, j’ai 27 ans et je suis encore célibataire.
J’ai la chance d’avoir un travail qui me passionne et qui paye bien. J’ai un bon groupe d’amis, en couples ou célibataires avec qui on sort beaucoup.
Certains commencent à avoir envie d’avoir des enfants donc je sais bien que nos sorties vont en pâtir d’ici peu mais pour l’instant on profite.
Je fais aussi beaucoup de sport. Je fais du karaté depuis longtemps déjà et en complément, j’aime aller transpirer régulièrement à la salle sport sur les tapis de course ou sur quelques engins de torture.
Sans vouloir paraître trop prétentieux, j’ai un corps que les femmes apprécient énormément. J’aime draguer, faire des conquêtes et passer de très bons moments avec les filles que je réussis à emmener dans mon lit.
Je soupçonne une ou 2 filles avec qui j’ai couché d’avoir eu un petit ami ou un fiancé sans me l’avoir dit mais sinon, je ne cherche jamais à séduire une fille si je sais qu’elle est en couple.
J’avais 2 ou 3 copines un peu délurées et qui passaient régulièrement la nuit chez moi quand elles en avaient envie. On passait toujours du bon temps.
Il y a 4 ans, je me suis d’amitié avec un mec rencontré à la salle de sport. Il était drôle et très sympa, 2 ans de plus que moi. Je lui donnais aussi des conseils car il était là pour se remettre en forme après avoir pris du poids les dernières années.
Sa femme était apparemment douée pour faire de bons petits plats et son boulot très sédentaire ne l’aidaient pas à ne pas prendre de poids.
Adam s’amusait beaucoup à me voir me faire draguer et flirter avec les filles de la salle de sport. Il n’était pas rare que j’ai leur numéro. Lui, avait rencontré l’amour de sa vie très rapidement. Il n’avait pas connu beaucoup la vie ne célibataire et n’avait jamais rencontré un succès phénoménal non plus.
Un jour, on a pris un café après notre séance de sport.
- Marc, j’étais dans la petit pièce à côté de la fontaine à eau tout à eau tout à l’heure. Il y avait 2 filles qui discutaient… Je crois que pour ta prochaine séance, une jolie fille va, comme par hasard, se servir de la machine à côté de toi.
- Qu’est-ce qui te fait dire ça ?
- Elles discutaient de toi. L’une disait qu’elle te trouvait canon et l’autre a fini par lui avouer avoir couché avec toi il y a quelques temps. Elle lui a dit que tu lui avais fait passer la meilleure nuit de sa vie !
- Ah bon ?
- Oui, et que la seule raison pour laquelle elle n’avait pas tenter de continuer avec toi, c’est qu’à ce moment-là, elle est tombée amoureuse de son fiancé actuel. Elle a aussi dit qu’elle savait qu’elle n’était pas la seule à t’avoir trouvé très bon au lit ! Je comprends que tu aies du succès si elles se passent le mot comme ça !
- En tous cas, c’est agréable à entendre
- Bon, mais à part ça, tu leur fais quoi pour les rendre folles de toi comme ça ?
- Rien de particulier…
- Allez, dis-moi !
- Ben tu sais, je me suis aperçu très vite que mon corps leur plaît… Mais c’est clair que ça ne suffit pas. J’aime plus que tout donner du plaisir. Tous les préliminaires me plaisent et je cherche toujours à leur faire ressentir à quel point elles sont désirables.
- J’aime faire ça avec ma femme aussi mais ce n’est pas pour ça que ma femme me donne l’impression de passer des moments aussi forts que cette fille les décrivait.
- …..
Là, j’ai un peu hésité. C’était vraiment devenu mon meilleur ami au fil du temps et je ne voulais pas le blesser.
- Marc, allez ! Dis-moi, j’aimerais bien en faire profiter ma femme.
- Ecoutes, je ne veux surtout pas paraître vantard ou prétentieux… Disons que je suis plutôt gâté par la nature.
- Oh
J’avais vu Adam sortir de la douche une fois vraiment par inadvertance. Son pénis n’était pas vraiment impressionnant. Je sais que parfois ça ne veut rien dire mais j’étais quand même quasiment sûr qu’Adam était en dessous de la moyenne à ce niveau-là.
- J’ai souvent droit à quelques commentaires de la part des filles qui couchent avec moi. Disons que ça ajoute à leur excitation du moment et qu’elles me sentent bien en elle.
- D’accord… Alors là, je dois avouer qu’en effet à ce niveau-là, je ne vais pas pouvoir faire grand-chose pour ma femme.
On en est resté à peu près là et on n’a jamais vraiment reparlé de ça mais au fur et à mesure que notre amitié grandissait, on parlait de mes conquêtes ou des bons moments qu’il passait avec son épouse.
4 ou 5 mois après avoir fait sa connaissance, je suis allé manger un soir chez Adam. Je n’avais jamais rencontré Lucie, sa femme.
Une chose au moins était telle que je l’imaginais. Elle était aussi gentille et avenante qu’Adam. Par contre, je m’étais fait l’idée d’une femme jolie à sa façon, peut-être un peu forte, aimant la cuisine.
Je suis tombé des nues. Lucie était une femme avec un charme incroyable. Elle était brune avec des cheveux assez longs, des yeux d’un bleu très clair. Elle était fine et il était clair qu’elle s’entretenait.
Lucie était assez grande, pas loin d’1.70m. Elle portait ce soir-là une jolie robe d’été qui mettait en valeur de superbes jambes et son décolleté était plein de promesse.
Je me suis aussitôt dit qu’Adam était un grand chanceux.
On a pris un petit apéro et on est passé à table. Lucie était une maîtresse de maison exemplaire et ils formaient un couple vraiment super. J’ai pu apprécier les talents culinaires de Lucie également.
J’ai passé une super soirée et on a beaucoup rigolé. J’ai tout fait pour ne pas détailler trop Lucie du regard mais je la trouvais vraiment jolie.
Je suis parti vers 23h00 mais à peine 200m plus loin, mon Bluetooth s’est activé.
- Marc, j’ai oublié de te demander… Est-ce que ça te dirais d’aller au match samedi ? J’ai eu une place par mon boulot mais je ne peux pas y aller.
- Ah oui, pourquoi pas. C’est gentil.
- Bon , je te l’apporte demain quand on se voit à la salle.
- Ca me va ! A demain
- A demain.
Adam n’a pas raccroché tout de suite et j’allais couper la connexion mais j’ai entendu mon prénom
- Alors, j’avais raison non ? Marc est sympa.
- Oui, j’avoue qu’on a passé une bonne soirée et j’ai l’impression que lui aussi.
- Oui, c’était cool… Et je n’avais pas menti non plus sur son physique hein ? Je suis sûr que tu l’as trouvé pas mal !
- C’est sûr que ça ne gâche rien mon chéri. C’est vrai qu’il est pas mal.
- En tous cas, il a beaucoup de succès auprès des filles.
- J’avoue que ça ne m’étonne pas. Ce qui est plus étonnant, c’est qu’il soit célibataire.
- Je crois que sa vie lui plaît comme ça pour l’instant et il s’amuse beaucoup sexuellement.
- Tant mieux pour lui.
Après, ils ont dû s’éloigner du téléphone car je n’entendais plus rien. J’ai coupé la connexion.
On s’est revu souvent. J’ai eu une copine pendant presque 1 an et même si on savait tous les deux qu’on ne finirait pas notre vie ensemble, on s’entendait bien. Elle est repartie finir une thèse au Brésil et ça a mis fin naturellement à notre relation.
Un soir, Adam est venu chez moi. Il m’avait contacté car il voulait me parler sérieusement. On a pris un verre tranquillement en parlant de tout et de rien. Je sentais qu’il était assez nerveux alors j’essayais de détendre l’atmosphère et de lui laisser l’opportunité de me dire ce qu’il avait à me dire quand il serait prêt.
- Marc, je suis venu pour te parler d’une chose assez particulière… On s’entend très bien tous les 2 et depuis maintenant 5 ans qu’on se connaît, tu es devenu un vrai ami pour moi. Et d’ailleurs, Lucie pense la même chose.
- Je suis entièrement d’accord Adam. Je trouve notre amitié vraiment forte.
- Voilà, depuis maintenant 2 longues années, on veut faire un enfant. On a essayé pendant 1 an naturellement mais ça n’a pas marché alors on a fait des tests. Lucie n’a aucun problème. Tout va bien chez elle.
- Donc… Le problème vient de toi.
- Oui, les docteurs ne savent pas ce qui a causé ça ou même si c’était de naissance mais ce qui sûr c’est que je ne produis aucun spermatozoïde.
- Mince, je suis désolé pour toi… Mais il y a d’autre moyens. Vous pouvez peut-être adopter ?
- Oui, si on veut un 2ème enfant. Mais il y a une chose très importante à prendre en compte. Lucie veut être enceinte et je la comprends et la supporte à 100%. C’est une chose qu’elle souhaite vivre depuis qu’elle est en âge de comprendre ce genre de choses.
- J’imagine que ça doit être important pour une femme oui.
- En effet. On s’est donc renseigné pour une fécondité avec un donneur anonyme… Mais ça ne nous convient pas. Ça ne me convient pas, ça c’est une certitude car même si je sais que ce sera notre façon de l’élever qui va compter le plus, savoir que le donneur est quelqu’un de bien est une nécessité pour moi et Lucie est complètement d’accord avec ça.
- Je n’aimerais pas être à votre place mon pote. Est-ce que ça cause des tensions dans votre couple parce que je n’ai rien remarqué du tout ?
- Non, aucune tension. Une certaine tristesse parfois… Et en ce moment précis, une grande nervosité…
- Tu as quelque chose à me demander, c’est ça ? Vous avez besoin d’aide financièrement pour quelque chose ?
- Non, financièrement, aucun souci. On est même plutôt à l’aise de ce côté-là. Mais oui, on a quelque chose à te demander. On voudrait que tu sois le donneur… Mais on ne sait pas quel est ton état d’esprit par rapport à ça puisqu’on n’en a jamais parlé. Est-ce que tu crois que tu serais capable de nous faire ce cadeau là en sachant qu’après, l’enfant sera à moi et Lucie ? Tu peux prendre tout le temps que tu veux pour réfléchir.
- La réponse est OUI, je n’ai même pas besoin de réfléchir. Je serais ravi de faire ça pour vous. Je t’avoue même que ça me touche énormément que vous pensiez à moi.
- Tu sais, Lucie a longtemps hésité à venir te demander ça avec moi mais elle ne voulait pas que tu sois influencé par sa présence.
Adam avait un sourire énorme sur son visage. Il semblait vraiment heureux de ma décision. Il est parti peu après donner la bonne nouvelle de vive voix à Lucie.
Lucie est partie en formation la semaine suivante et Adam est revenu me voir pour passer une soirée avec moi, à 2 jours du retour de Lucie.
- Adam, je sais que vous avez dû parler de mon accord pour donner mon sperme. Comment ça se passe maintenant ? Je dois aller dans un institut en particulier ? Je dois avouer que je ne sais vraiment pas comment ça marche.
- Hum… Heu… C’est un autre point à aborder. On a toujours parler de tout très ouvertement toi et moi. Et même de l’intimité de mon couple ou de tes exploits sexuels même si j’ai apprécié que tu ne me dises jamais de qui il s’agissait…
- Oui, c’est vrai.
- Je voudrais que tu réfléchisses à l’idée de… Le faire naturellement… Toi et Lucie…
- Attends ! tu n’es pas sérieux ? Je ne pourrais pas faire ça !
- Tu n’es pas attiré par Lucie ? Je croyais ?
- Ça n’est absolument pas la question. Lucie est une des femmes les plus belle, désirable et pleine de charme que je connaisse. Il m’est arrivé d’avoir une érection simplement en la voyant faire la vaisselle…
- Alors dis-moi ce qui te bloque.
- Je… Toi… Toi et elle !!! Vous êtes devenus mes meilleurs amis. Tu sais très bien que je ne couche pas avec les femmes en couple alors encore moins avec une femme mariée et encore moins si le couple c’est vous deux.
- Même si je te disais que ça ne me pose aucun problème ?
- Tu en es vraiment sûr ? Tu serais prêt à me laisser coucher avec Lucie ? Plusieurs fois je suppose… Jusqu’à ce qu’elle soit enceinte ?
- Oui… Pour notre bonheur futur… Et présent…
- Lucie et moi, on en a beaucoup parlé. Il y a plusieurs raisons qui nous poussent à te proposer ça. Je vais te les dire et après, tu prendras ta décision.
- D’accord.
- La première chose, c’est qu’on t’aime beaucoup tous les deux et qu’on a confiance en toi et en ta discrétion. On sait que tu ne vas pas ébruiter partout ce qui s’est passé.
- Votre confiance me touche mais
- Attends, je n’ai pas fini. Le processus pour l’insémination est long, vraiment long et il y a des formalités très importantes à remplir. On gagnerait un temps fou.
- Ça, je veux bien le croire. J’ai essayé de me renseigner un peu quand même et c’est vrai que les délais ont l’air longs.
- Oui. Il y a aussi que je pense que ce serait mieux si le bébé était conçu de façon naturelle, dans un moment de plaisir ou de tendresse minimum. C’est mon avis et bien que Lucie n’ait pas osé me le dire clairement, je la connais assez pour savoir que c’est ce qu’elle pense aussi.
- Tout ce que tu me dis là, je le comprends. Pas de problème. Les arguments sont bons. Mais là, tu n’as toujours pas abordé le problème qui me soucie le plus… Le fait que je fasse l’amour à la femme que tu aimes ne te pose pas de problème ?
- Non.
- Je ne suis pas le meilleur exemple des relations de couple mais je peux t’assurer que les périodes pendant lesquelles je suis dans une relation, la fidélité, c’est quelque chose de très important pour moi. C’est peut-être complètement macho ou ce que tu veux mais je n’accepterai pas que la femme avec laquelle je suis soit intime avec un autre.
- Je… C’est compliqué à expliquer Marc. C’est quelque chose que je n’ai jamais abordé avec toi… Je sais que je n’aurais aucun problème avec ça. C’est même quelque chose que je veux pour Lucie… et pour moi. Je comprends que ce soit incompréhensible pour toi, et pour la quasi-totalité des gens mais… Je suis incroyablement enthousiaste à cette idée, offrir à ma femme un bon moment. Je trouve que c’est une preuve d’amour.
- Par « enthousiaste », tu veux dire quoi ?
- Que j’aurais étais content que Lucie vive une expérience comme ça dans une autre situation, que pour moi, c’est un fantasme que j’ai depuis longtemps… Je ne vois pas le corps de Lucie comme ma propriété et je pense que le plaisir n’est pas obligé de se limiter au couple.
- Tu as déjà trompé Lucie ?
- Non ! Et il n’en est pas question. Je n’ai aucun besoin d’une autre femme. Je ne vois ça que dans le sens où c’est Lucie qui couche avec un autre homme.
- Est-ce que tu en as parlé avec Lucie ?
- Oui, bien sûr. On se dit ce genre de chose. Elle connaît mon fantasme depuis très longtemps. Je sais très bien qu’elle ne serait pas passée à l’acte dans un autre contexte… ou avec quelqu’un d’autre que toi.
- OK. J’ai vraiment besoin d’y réfléchir là.
Adam est parti peu après. J’ai peu dormi cette nuit-là. Je m’étais bien gardé de dire à Adam que depuis maintenant au moins 3 ans, je me disais que si Adam n’étais pas marié à Lucie, je me serais bien vu abandonner le célibat pour elle. Mes sentiments se rapprochait très fort de l’amour mais je savais que ce ne serait jamais possible.
Je suis allé sonner à la porte d’Adam le lendemain. Il m’a servi une bière.
- Adam, je n’ai pas arrêté de réfléchir depuis hier. Je dois avouer que je n’ai pas été très efficace aujourd’hui au boulot.
- Désolé de te torturer l’esprit comme ça mon pote !
- J’ai quelques questions… D’abord, il faut se mettre à ma place si tu veux bien. Lucie est une femme géniale, je l’adore. Drôle, intelligente, elle a tout pour elle.
- Un argument en plus pour moi !
- Eh ! Laisses moi finir.
- D’accord.
- Elle a beau être ta femme et donc, pour moi, une femme que je ne me suis jamais dit pouvoir tenter de séduire, j’ai eu envie d’elle depuis le premier jour où je l’ai connue. Elle est incroyablement belle. Je trouve son corps magnifique, tout son corps. J’aime sa candeur par moment, le charme naturel qu’elle dégage à d’autres moments.
- …
- Je crois que je peux affirmer qu’elle me trouve à son goût car je l’ai déjà vue me détailler du regard les quelques fois où je me suis retrouvé torse nu près d’elle.
- Oui, je suis d’accord, tu es à son goût, c’est une certitude.
- Adam, j’ai envie d’elle. Envie de lui faire l’amour, de profiter de son corps splendide… Mais aussi, de lui donner autant de plaisir que je pourrais. Je ne veux pas que tu me prennes pour un vantard ou un prétentieux Adam, mais… Je suis doué pour ça.
- Je sais… Ça fait partie des raisons pour lesquelles je pense que tu es le mieux placé.
- Adam, tu serais d’accord de savoir que j’aurais passé des heures à embrasser ta femme, à la lécher, à profiter de ses gros seins fermes et doux…
Je voyais Adam devenir plus rouge mais il n’était pas choqué par mes paroles. Je voulais le forcer à réagir.
- Est-ce que tu imagines qu’elle va sans doute vouloir me sucer ? Qu’elle va prendre ma grosse queue dans ses petites mains !
- ….
- Qu’elle va nous comparer ? En tant qu’homme… Ou en tant que mâle… L’un étant capable de mettre un bébé dans son ventre en la faisant crier de plaisir alors que l’autre ne pourra jamais ?
- OUI ! Elle va faire toutes ces choses. C’est sûr et je le sais parfaitement et je veux ça pour elle !
- Est-ce que tu as conscience qu’il est possible qu’elle atteigne un niveau de plaisir plus grand que quand vous faites l’amour ?
- Oui, j’en ai pleinement conscience. Tu es plus beau que moi, mieux monté, c’est sûr. Et alors ? Autant que l’homme qui mettra un bébé dans son ventre soit doué non ? Je sais qu’elle m’aime et qu’on aura une belle vie après avec ce bébé.
- ….. Tu as vraiment l’air sûr de toi !
- Oui ! Et quand je m’imagine la scène, je trouve ça très excitant.
- J’avais un peu prévu de ne pas arriver à te dissuader. J’ai par contre une requête à laquelle je ne dérogerai pas. Je ne sais pas comment vous voulez organiser ça mais une chose est sûre, tu ne seras pas présent.
- D’accord. Je n’aurais pas été contre mais Lucie pense comme toi.
- Tant mieux. Et je ne te parlerai jamais du temps passé avec Lucie. Entre vous, c’est différent. Vous voyez entre vous ce que vous souhaitez vous dire.
- On n’a pas encore parlé de ça mais je pense qu’elle ne me dira pas grand-chose non plus. Quoi qu’il en soit, tout me convient… Tant qu’à la fin, un bébé vient et qu’il a été fait dans les meilleures conditions qui soient.
- D’accord. Je voudrais d’abord avoir le même genre de discussion avec Lucie si tu n’y vois pas d’inconvénient.
- Tu as raison. Il y a une dernière chose que tu dois savoir. Je l’ai appris il y a seulement quelques jours. J’ai obtenu une promotion au boulot mais ça m’oblige à déménager à Marseille dans la succursale. Lucie s’était renseignée et n’aura aucun mal à trouver du travail là-bas donc, on sera amenés à démanger dans 3 ou 4 mois.
- Mince ! c’est triste, on se verra moins souvent.
- Oui, c’est triste. Mais si pour une raison ou pour une autre, un malaise naît de ce qui va se passer, l’éloignement sera peut-être plus facile.
On a changé de sujet. Je savais qu’il restait un jour de déplacement à Lucie. J’ai décidé de lui envoyer un texto.
- « Coucou Lucie. J’ai eu de longues discussions avec Adam sur un sujet très particulier comme tu dois le savoir. Est-ce que tu accepterais qu’on se voit tous les deux pour en parler. J’aimerais ton point de vue pour être sûr de ne pas me méprendre ? »
- « Bien sûr Marc. Je suis dispo samedi vers 14h. Je peux passer chez toi ? »
- « Oui, c’est parfait. A samedi »
Elle est arrivée à l’heure, visiblement un peu stressée.
- Lucie, je voudrais que tu me dises avec tes mots comment je peux vous aider, toi et Adam. Je ne veux pas te gêner, te mettre dans une situation embarrassante mais j’en ai besoin pour être sûr de ma décision. Je ne ferais jamais rien qui soit contre ta volonté.
- Merci Marc. C’est un peu gênant en effet mais ça va passer… D’abord, je veux que tu comprennes que je ressens le besoin d’être mère, de porter mon enfant. J’ai conscience que c’est égoïste quand on sait que Adam ne peut être le père biologique de mon enfant… C’est ma principale motivation. Après, un donneur anonyme, c’est tellement impersonnel pour faire un enfant. Ça revient à avoir en moi le sperme d’un inconnu. Je n’ai jamais été une fille à coucher avec un mec à la fin d’une soirée. J’ai besoin de plus de « connexion » avec la personne. Adam m’a convaincu sans problème que pour le bien du bébé, il faut qu’il soit fait dans un moment où je me sente bien avec l’homme qui me mettra enceinte. Ce n’est certainement pas très scientifique mais je suis d’accord avec lui.
- Tout ce que tu dis là Lucie, je le conçois parfaitement. Maintenant, ma préoccupation, c’est de savoir si tu es réellement d’accord pour que « je » sois le père biologique du bébé.
- Oui Marc, j’en suis sûr. Et pas parce que je n’ai pas d’autre choix. Je n’ai jamais agi en fonction de mon physique mais je sais bien que beaucoup d’hommes aimeraient pouvoir coucher avec moi. Je repousse suffisamment souvent les avances qu’on me fait pour le savoir… Non, tu n’es pas seulement celui qu’on veut comme père de notre enfant mais aussi celui que « je » veux.
- D’accord Lucie. C’était la seule chose que je voulais entendre. Maintenant, comment ça se passe. Est-ce que tu sais à l’avance quand sera le bon moment ?
- Je… J’en ai parlé avec Adam. Est-ce que….
- Quoi ?
- Est-ce que le mois prochain… tu pourrais t’absenter 2 ou 3 jours du boulot ? Je pourrais venir les passer chez toi peut-être ?
- Adam est d’accord pour te laisser découcher pendant ces 3 jours.
- Oui, bien sûr. Il faut mettre toutes les chances de notre côté.
- Je vais prendre des jours oui. Pas de problème. Par contre, je suis contre le faire ici ou chez vous. Je ne sais pas comment ça va se passer mais imagine qu’on le fasse sur ce canapé.
Elle a rougi immédiatement.
- Est-ce que tu te vois vraiment prendre l’apéro avec Adam ici après ?
- Non, je n’y avais pas pensé. Tu as entièrement raison.
- Quand tu auras une idée de la date, envoies-moi un message. Je ferais le nécessaire. D’accord ?
- Oui, d’accord.
Le lendemain, j’avais une date, 25 jours plus tard pour 3 jours. J’ai réservé dans un hôtel qu’un client m’avait recommandé une fois. Il paraissait magnifique.
Au fur et à mesure que les jours passaient, j’étais de plus en plus impatient. J’avais continué à voir Adam comme si de rien n’était. On parlait de tout et de rien. A 3 jours de notre départ prévu, j’ai voulu m’assurer que tout allait bien entre nous.
- Adam, je veux savoir si tu as le moindre doute maintenant. Après, il sera trop tard.
- Ne t’inquiètes pas Marc. Je t’assure que tout va bien. En plus de faire un enfant à Lucie, tu vas contribuer à réaliser mon plus grand fantasme. Je sais que je vais passer 3 jours à imaginer ma femme jouir avec toi. C’est quelque chose que je ne peux pas expliquer mais ça m’excite à mort mon pote.
- Ok. Si tout est bon pour toi, ça me va.
On est parti le jeudi soir pour l’hôtel en question. Il était situé pas très loin de la plage en Vendée. J’avais réservé une chambre assez luxueuse avec un grand lit.
Arrivés là-bas, on s’est douchés chacun notre tour et on a dîné au restaurant de l’hôtel. C’était délicieux. Il y a eu une certaine tension érotique pendant le repas mais je crois que d’un commun accord, on avait décidé qu’il ne se passerait rien le premier soir donc on était assez détendus.
On a beaucoup rigolé en repensant à quelques anecdotes. Malgré qu’on se connaisse depuis 5 ans, on avait rarement été seuls tous les deux et ça nous permettait de mieux faire connaissance.
Je tentais de ne pas penser à la raison de notre présence dans ce bel hôtel mais ça ne m’empêchait pas de penser que Lucie était magnifique et que j’aurais voulu la prendre là, sur la table du restaurant. J’avais évité de me masturber pendant une semaine entière.
Une fois dans la chambre, je suis allé me brosser les dents et je suis revenu dans la chambre en enlevant mes vêtements sous le regard de Lucie qui m’observait en rougissant.
Puis elle est allée dans la salle de bain. J’ai malheureusement loupé l’effeuillage de Lucie. Je l’attendais, un peu redressé pour être sûr de bien la voir quand elle reviendrait.
Elle est revenue dans une nuisette magnifique. Elle mettait surtout en valeur sa taille fine et son ventre plat et s’évasait légèrement au niveau des hanches. Elle était très courte et je trouvais ses jambes fuselées et musclées juste ce qu’il faut. La nuisette n’était retenue que par 2 fines bretelles et la dentelle du haut de la lingerie était magnifique. Elle m’a regardée en rougissant, consciente que je la détaillais des pieds à la tête. Elle hésitait à venir vers le lit.
- Lucie, tu es… Magnifique.
- Merci Marc.
Je me suis levé et je suis allée vers elle. Cette fois, c’est elle qui m’a détaillé des pieds à la tête. J’ai passé ma main dans ses cheveux pour les faire passer derrière son oreille. Elle a presque bloqué sa respiration. J’ai pris sa main et je l’ai entraînée au lit. Elle a suivi, timide mais en même temps, j’étais complètement persuadé qu’elle en avait autant envie que moi.
Ma résolution d’attendre jusqu’au lendemain volait en éclat. J’avais avec moi une femme que j’adorais, belle comme un cœur, habillée de lingerie très sexy. J’avais envie d’elle depuis des années.
Elle s’est allongée sur le dos alors que je me tournais vers elle en appui sur un coude, très près d’elle.
- Lucie, je veux que tu saches que je n’aurais jamais rien tenté. J’ai beaucoup trop de respect pour toi, Adam, et votre couple. Mais là… Je peux t’avouer que j’ai envie de toi depuis la première fois où tu m’as accueilli chez toi dans une très belle petite robe d’été.
- Merci Marc. C’est gentil… Je peux moi aussi te dire que je t’ai toujours trouvé très séduisant. Dans d’autres circonstances, je n’aurais jamais couché avec toi… Mais ce n’est pas pour ça que je n’y ai jamais pensé.
Ma main libre a caressé sa joue pour maintenir sa tête vers moi alors que je déposais un baiser sur ses lèvres. Elle a poussé un petit soupir alors que ma main est passée sur son épaule et le long de son bras. Elle me regardait dans les yeux. J’ai été soulagé d’y lire du désir.
Doucement, mes doigts ont glissé sur sa cuisse, remontant jusqu’à la limite de sa nuisette.
- Ta nuisette est magnifique Lucie. Elle te va très bien.
Sa bouche était entrouverte, appelant les baisers mais cette fois, je voulais que ce soit elle.
Elle a baissé les yeux vers mon torse et sa main est venue caresser mes pectoraux. Elle aimait visiblement ce qu’elle voyait et sentait sous ses doigts.
Mes doigts remontaient de plus en plus loin sous la nuisette. Lucie respirait fort. Ses ongles ont frôlé mes abdos, faisant tressauter mon sexe déjà bien gonflé dans mon caleçon. Lucie le sentait forcément contre sa hanche.
- Mon dieu Marc ! Je pensais attendre demain mais si on continue comme ça, ça va être trop dur !
- On n’est pas obligé d’aller jusqu’au bout Lucie… Mais je suis obligé de découvrir ton corps. J’ai trop envie. Je veux pouvoir passer mes mains, mes lèvres, ma bouche sur ton corps entier
- OOOHHHH !
Je me suis redressé. Mon sexe déformait complètement mon caleçon et Lucie le regardait avec une envie évidente.
J’ai saisi le bas de sa nuisette pour lui enlever doucement, dénudant le haut ses cuisses, son sexe. Lucie a levé les fesses pour débloquer le tissu. J’arrêtais, caressais, embrassais. La cambrure de ses reins facilitait la remontée de sa nuisette sur son corps. Je pouvais maintenant déposer des baisers sur son ventre doux et plat.
- Tu peux m’arrêter quand tu veux Lucie
- Non ! Continues !
C’est elle qui a saisi sa nuisette pour la faire passer par-dessus sa tête, me dévoilant des seins superbes, naturellement fermes et dressés ver le ciel, dressés vers ma bouche surtout. Ma langue a commencé par lécher les globes parfaits avant de gober les tétons durs d’excitation.
Je me suis redressé, j’ai passé mes mains sur son corps entièrement dénudé, son cou, ses seins, ses côtes, puis son ventre et sa taille fine. Ensuite, ses cuisses entre lesquelles je m’étais glissé.
J’ai pris ses chevilles pour lever ses jambes, embrassant ses jolis pieds, ses mollets. Petit à petit, je me suis baissé pour embrasser ses cuisses, me rapprochant toujours de son sexe dont je sentais déjà l’odeur enivrante.
Lucie respirait fort, gémissait presque chaque fois que ma bouche approchait son sexe. J’adorais déjà sa chatte épilée avec juste un triangle de poils sur le pubis.
D’une main, elle a caressé mes cheveux.
- Mon dieu Marc ! J’ai honte mais j’ai tellement envie. S’il te plaît !
Je ne l’ai pas faite patienter plus que ça. J’ai posé ma bouche sur son sexe, ma langue venant directement laper le jus délicieux qui perlait déjà.
Lucie a poussé un petit gémissement alors que je sentais ses doigts se crisper dans mes cheveux.
Je me suis installé le mieux possible. D’une main, je pouvais caresser son corps et ses seins tout en continuant de la dévorer. J’étais patient, doux avec cette superbe femme qui se pâmait maintenant sous mes caresses. J’ai fait monter son orgasme lentement, la laissant plusieurs fois au bord de l’explosion.
J’ai inséré un doigt dans son vagin totalement trempé tout en léchant son clitoris. Lucie a joui très fort, ses jambes venant serrer ma tête entre ses cuisses, son bassin se soulevant du lit. J’ai aimé entendre sa voix exprimer son plaisir.
Quand j’ai arrêté, je me suis collé à elle, la prenant dans mes bras. Elle s’est mise à m’embrasser partout où elle pouvait, léchant même mes lèvres couvertes de son jus.
Elle est passée sur moi et c’était à mon tour de me faire dévorer. Elle s’est attardée longtemps sur mon torse et mes abdos, murmurant mon nom, qu’elle me trouvait fort, beau, qu’elle me voulait en elle. Elle a glissé les doigts sous l’élastique du caleçon et me l’a enlevé rapidement.
- OOOHH Mon dieu !!!! Tu es…. Gros !
- Oui ! Juste pour toi !
Je bandais aussi fort que possible. Comme dans mes rêves les plus fous, elle a saisi mon sexe dans ses mains fines, appliquant un mouvement de haut en bas, serrant fort la verge pour en apprécier l’épaisseur et la dureté.
Elle a commencé à embrasser mon sexe, à le prendre ne bouche mais je n’allais pas pouvoir tenir longtemps. J’étais bien trop excité.
- Lucie, j’ai envie de jouir mais je dois venir en toi dès que je peux non ?
- Il y a peu de chance ce soir mais…
- Mais on doit mettre toute les chances de notre côté.
- …
J’ai basculé Lucie sur le dos, mon gland juste à l’entrée de sa chatte.
- Il faut que mon sexe aille au plus profond pour y déposer le sperme.
- Oui… Mais doucement… Je n’ai pas l’habitude…
J’ai poussé un peu. Lucie était plus que prête à m’accueillir en elle. Son sexe était bouillant, trempé. Mon gland s’est frayé un passage, écartant les chairs intimes et sensibles. Lucie respirait fort, me regardait dans les yeux.
Je passe toujours un long moment sur les préliminaires car mon sexe fait 23cm, épais sur toute la longueur avec un gland sensiblement plus large. Il faut que ma partenaire soit bien préparée pour m’accueillir sans inconfort.
Lucie a commencé à exprimer fort son plaisir quand j’ai entré une bonne moitié de ma queue en elle. Je me doutais, pour avoir déjà vu le sexe d’Adam, que je devais commencer à explorer de nouveaux territoire en elle.
J’allais lentement, m’appliquant à coulisser en rythme. Lucie a commencé à bouger sous moi, n’arrêtant pas de dire « Oh Mon Dieu » doucement. J’ai senti mon plaisir venir alors que Lucie jouissait de plus en plus fort. Lucie m’a regardé dans les yeux à ce moment-là.
- OUI. MARC ! Lâches-toi ! OUI ! EN MOI ! OH MON DIEU OUIIII !!!!
- OOOOOHHHHHH LUCIE ! AAANNHHH !
J’ai joui comme j’avais rarement joui. C’était bon, c’était fort. Mon sperme inondait son vagin.
Je suis sorti d’elle lentement. On s’embrassait tendrement. J’ai vu une lueur inhabituelle dans les yeux de Lucie alors qu’elle plantait son regard dans le mien. Puis, elle s’est blottie contre moi sans bouger.
Lucie s’est endormie la tête sur mon épaule mais j’ai eu énormément de mal à trouver le sommeil.
Je me suis rendu compte à cet instant qu’en effet, rien ne serait plus pareil entre Adam et Lucie, et moi. Je n’arriverais pas à laisser de côté l’aspect émotionnel. Si depuis 5 ans, je n’avais toujours pas trouvé l’amour, c’est certainement parce que dans un coin de ma tête, je savais que je ne trouverais pas mieux que Lucie.
J’ai pris la décision de profiter de ce weekend à fond. De tout faire pour la mettre enceinte. Ensuite, je ferais ce qu’il faut en tant qu’ami mais est-ce que je pourrais supporter de la voir, heureuse avec mon ami Adam, je ne savais rien ?
Et ce regard de Lucie avant de s’endormir ? Est-ce que ce n’était pas plus que de l’amitié ?
Quand je me suis réveillé le lendemain, Lucie caressait mon torse. Elle m’a embrassé tendrement. Je bandais déjà à mon réveil. Sans un mot, elle est passée sur moi, a saisi mon sexe et a caressé sa chatte avec mon gland.
Elle s’est laissé descendre doucement. Ses tétons étaient durs comme du béton entre mes doigts, preuve qu’elle devait être excitée depuis un moment déjà. D’ailleurs son sexe mouillait déjà fortement. Ses mouvements de bassin étaient terribles. Elle était vraiment très sensuelle dans cette position, les seins comme des obus, le ventre creusé, les reins cambrés.
- Tu es si belle comme ça Lucie !
- Toi aussi tu es beau Marc ! OOHH ! Je te sens partout en moi ! SI…. OOOOHHHH ! Loin en moi.
Elle a bougé plus rapidement sur moi, exprimant de plus en plus fort son plaisir. Quand elle ne gémissait pas, elle m’embrassait, me mordait l’épaule, plantait ses ongles dans mes biceps ou mes pectoraux. Elle avait de plus en plus de mal à se maîtriser, à maîtriser ses mouvements.
Sa chatte était délicieusement serrée, faisant monter la pression dans mes testicules. Je sentais déjà les contractions de mon sexe. Lucie a joui fort sur moi et alors qu’elle se remettait à peine, ça a été mon tour.
Elle s’est ensuite affalée sur moi, essoufflée, un grand sourire sur les lèvres. On a pris une douche bien méritée et un bon petit déjeuner puis on est allé se balader un bon moment. On a discuté de tout et de rien et on a mangé dans un petit restaurant très sympa en bord de mer.
Je l’ai ensuite ramenée à l’hôtel pour une petite surprise. Je lui avais pris un rendez-vous au spa de l’hôtel pour une séance de soins qui allait durer pas loin de 3 heures avec tout ce qu’il fallait pour qu’une femme se sente chouchoutée, détendue…
Pendant ce temps, j’avais été faire un footing au bord de la plage.
Lucie m’a rejoint au bar de l’hôtel vers 18h00, dans une superbe petite robe noire. J’ai trouvé que Lucie dégageait un charme dingue. Elle était en même temps distinguée et sexy.
Je portais simplement une chemisette blanche et un jean mais quand elle s’est approchée et que je me suis levé pour l’embrasser doucement sur les lèvres, j’ai vu son regard passer brièvement sur mes biceps et mes pectoraux et rougir sensiblement.
Elle a poussé un petit soupir quand ma main s’est attardée sur sa taille et le bas de son dos. Elle m’a remercié plusieurs fois pour le spa et m’a tout raconté en détail puis, elle est devenue un peu plus pensive.
- Qu’est-ce qu’il y a Lucie ?
- J’ai eu Adam au téléphone tout à l’heure.
- Est-ce qu’il va bien ? Il n’a pas changé d’avis sur tout ça quand même ?
- Non… Pas du tout… Au contraire même…
- C’est-à-dire ?
- Il est très enthousiaste !
- Il m’avait dit que c’était un de ses fantasmes et que tu étais au courant.
- Oui, ça fait très longtemps qu’il m’en parle. S’il n’y avait eu que lui a décider, ça fait longtemps que ça aurait été fait. Mais je n’ai jamais été tentée. La seule raison pour laquelle ça arrive, c’est pour les circonstances, et parce que c’est toi.
- Merci, ça me touche beaucoup… Alors Adam t’a posé des questions ? Tu lui dis vraiment tout ou bien tu caches certaines choses ?
- Je n’ai pas tout dit mais il est insistant et puis… on se dit tout avec Adam. Il ne faut pas de secrets. J’ai bien compris que ça l’excitait beaucoup tout ça !
- Tu lui as dit qu’on avait fait l’amour hier soir ?
- Oui !
- Et ce matin ? Que lui as-tu dit à propos de ce matin ?
- Qu’on avait remis ça. Qu’au réveil, tu bandais et que j’avais envie de toi.
- Il a bien réagi ?
- Oui… Même quand je lui ai dit que j’avais joui très fort… Marc, j’ai toujours pris du plaisir avec Adam, mais avec toi !!!! Je n’avais jamais connu ça.
- Tu devrais lui dire ça ! Je crois qu’il aimerait l’entendre de ta bouche. Ça fait partie de son fantasme je pense.
- Tu veux que je lui dise aussi que jamais je n’ai eu envie de lui comme j’ai envie de toi… Parce que je sais à quel point je vais me sentir bien, à quel point je vais jouir aussi.
- C’est à toi de voir… Est-ce que tu penses qu’il va aimer quand tu lui raconteras que je t’aurais prise en levrette, ma grosse queue bien au fond de sexe ? Est-ce que tu vas lui dire que tu criais mon nom et pas le sien ?
Lucie était rouge de honte et de désir. Notre discussion nous poussait à un niveau d’excitation incroyable.
Je me suis levé et j’ai tendu la main vers elle. Elle l’a prise et je l’ai entraînée dans notre chambre.
- Tu es diablement sexy comme ça mais je crois que j’ai quand même envie de t’enlever cette jolie petite robe.
J’ai fait glisser la fermeture et ensuite, les bretelles de la robe de ses épaules. Elle ne portait pas de soutien-gorge, la robe était retenue par ses beaux seins. J’ai encore baissé la robe et j’ai léché ses seins aux tétons sensibles. Lucie pressait mon visage dans sa poitrine.
Lucie m’a ensuite déshabillé des pieds à la tête et a fini de s’effeuiller, le faisant lentement et sensuellement devant moi. Chaque partie de mon corps a eu droit à ses caresses et ses baisers. Mon sexe était dur comme la pierre.
- Ton corps Marc ! Tu es parfait ! J’ai toujours eu envie de toi tu sais ?
- J’ai cru voir des regards parfois oui !
- Est-ce que tu me voyais regarder la bosse dans ton pantalon ?
- Non. Tu as su être discrète.
- Adam n’arrêtait pas de me dire que tu devais être 2 fois plus gros et long que lui. il m’incitait à regarder… il disait que j’aimerai ce que je verrai…
- Ah oui ?
- Oui… Il avait raison… J’aime… J’aime beaucoup !
Ses petites mains me branlaient doucement pendant que je caressais son corps. Lucie était vraiment splendide. J’ai passé mon majeur sur sa fente et Lucie était à nouveau prête à me recevoir. Presque une déception tellement je voulais la lécher encore et encore.
Je l’ai mise à genou, au bord du lit. Lucie était délicieusement cambrée, prête à m’accueillir. Elle me regardait en se mordant la lèvre inférieure. Mon gland frôlait ses grandes lèvres. J’ai poussé un peu mais au moment de pénétrer Lucie, je me suis reculé, entraînant une plainte de frustration de Lucie.
- Marc ! Viens en moi !
- Tu me veux tant que ça ?
- Oui !
- Tu veux ma grosse queue Lucie ?
- OUI !
- Tu dois la mériter tu sais ? Etre patiente ?
Une nouvelle plainte de frustration s’est échappée de ses lèvres.
Je me suis baissé, au pied du lit, et j’ai léché sa fente du clitoris jusqu’à l’anus. Lucie a poussé un grand cri de surprise, serrant ses fesses d’un coup. J’ai affermi ma prise sur ses hanches, la faisant cambrer à nouveau. J’ai léché sa chatte quelques instants… Puis sa rosette une nouvelle fois, en la maintenant en position cette fois. Un râle de plaisir est sorti de sa bouche et son corps entier a tremblé sous ma caresse insistante.
- OOOOHH MARC !!!! Tu…. Tu n’as pas le droit !!!
- Tu n’aimes pas ? Tu veux que j’arrête ?
- Non… Oui…. Je OOOHHH ! Je… Oh mon dieu ! C’est…. Bon !
Je suis revenu sur son petit bouton. Lucie bougeait sa croupe, gémissait.
- MARC ! PRENDS-MOI ! BAISES-MOI !
- C’est bien Lucie. Ça, c’est bien demandé !
J’ai pénétré sa chatte lentement, lui laissant le temps de s’adapter à ma grosseur, stoppant ma progression, puis reprenant mes mouvements.
- Oh Marc ! Si gros ! Mon dieu ! Je te sens bien mon amour ! OOOHHH !
J’allais toujours plus profond, toujours aussi lentement. Lucie soupirait fort, me regardait par-dessus son épaule, les yeux un peu fous.
- C’est fort Marc ! C’est BON ! OUIIIIII ! OUIIII !
- Tu l’aimes ma queue ?
- OUI ! Oh Bon sang tu vas loin !!!
Lucie a joui d’un coup, criant mon nom, criant sa jouissance, lançant son cul en arrière à la rencontre de mes coups de boutoirs. Elle était magnifique comme ça, les draps serrés dans ses points, la bouche grande ouverte, yeux fermés pour ressentir un maximum de choses. Je me clamais quelques instants, prenais le temps de l’embrasser, de la caresser, puis je la baisais à nouveau, l’entraînant à nouveau dans un orgasme puissant.
Je me suis vidé tout au fond d’elle en criant ma jouissance. On a mis un long moment à s’en remettre. Lucie tremblait du plaisir pris, pelotonnée contre moi, des larmes coulaient doucement de ses yeux sur ma poitrine.
Ce soir-là, on s’est fait livrer à manger dans la chambre. On a fait l’amour 4 autre fois cette nuit-là. A chaque fois, j’ai joui en elle. Un des moments les plus forts du weekend a été lorsque Adam a appelé et que Lucie a décroché au moment où elle s’empalait sur mon pieu, environ 2 heures avant le moment de notre départ prévu. Elle lui a décrit ce qui se passait, retenant un peu ses gémissements de plaisir. Adam était fou au bout du téléphone, fou d’excitation.
Pour moi, le retour à l’appartement a été très dur. Je savais que j’étais éperdument amoureux de Lucie mais qu’elle appartenait à un autre. Elle s’est beaucoup confiée à moi. Elle m’a dit qu’elle était amoureuse de son mari depuis toujours mais qu’elle m’aimait aussi, elle en était sûre mais son mariage serait toujours prioritaire.
Tout a ensuite été très vite. Je n’ai revu qu’une fois Adam car son nouveau poste à l‘autre bout de la France commençait plus vite que prévu. Je pense que ça convenait à tout le monde et que Adam a précipité le départ. Le weekend passé avec Lucie avait cassé notre dynamique d’amitié. J’ai revu Lucie une fois également et elle m’a dit au revoir avec des larmes dans les yeux.
Lucie m’a appelé de Marseille 3 semaines plus tard. Elle était enceinte. J’étais ravie pour elle et Adam. Je n’avais qu’une seule envie pourtant, lui dire de laisser tomber son mari pour venir me retrouver. Mais je n’ai rien dit. J’ai cru entendre un sanglot quand elle a raccroché.
J’ai pris régulièrement des nouvelles de sa grossesse par texto. Les réponses d’Adam étaient toujours courtes, plutôt sèches. J’ai eu l’impression qu’Adam m’avait utilisé. Les textos envoyés à Lucie me revenaient avec le même type de réponse. J’étais déçu et Lucie me décevait surtout. J’ai finalement appris par une de leur connaissance qu’elle avait donné naissance à un petit garçon appelé Théo, et que tout le monde était en pleine forme.
C’est 6 mois plus tard que ma vie a basculé. J’étais chez moi, un vendredi soir, juste de retour du karaté et tout juste sorti de la douche quand on a frappé à ma porte.
C’était Lucie. Elle avait son bébé emmailloté contre son ventre, un sac à dos et 2 valises derrière elle. Elle me paraissait fatiguée.
- Lucie ?
- Bonjour Marc !
- Euh… Viens, viens, entres ! Ne reste pas là.
J’ai pris ses valises et je l’ai débarrassée de ses affaires. Visiblement, Théo avait faim et avait besoin d’être changé. Je lui ai dit de faire comme chez elle dans la cuisine et sans lui demander son avis j’ai pris Théo pour aller le changer. J’avais un neveu et une nièce par ma sœur et je m’étais déjà occupé d’eux bébés.
Nous n’avions pas encore parlé mais j’ai compris que Lucie dormirait ici ce soir. Ma sœur habitait à 300 mètres de chez moi, je l’ai appelée pour lui emprunter un lit parapluie et tout ce qu’il fallait avec.
Lucie ne m’a même pas vu installer tout ça pendant qu’elle donnait à manger à Théo.
A la fin de son repas, j’ai pris Théo dans mes bras en demandant à Lucie de me suivre. Elle a encore eu les larmes aux yeux en voyant la chambre que j’avais préparé à la hâte.
Théo était très fatigué et Lucie a réussi à l’endormir très vite.
J’ai alors préparé un repas simple et nourrissant pour tous les deux. Lucie n’avait fait que grignoter depuis la veille car elle avait passé son temps à préparer son départ de Marseille. Je bouillais de lui demander pourquoi elle était là dans un état de détresse évident.
On s’est ensuite installés avec un verre de vin dans le salon.
La situation avait évolué très vite après le weekend qu’on avait passé ensemble. La mutation avait été accélérée et ils avaient dû se préparer à partir en urgence. Lucie avait perçu tout de suite la sensation d’être tombée enceinte mais Adam lui avait dit d’attendre avant de me l’annoncer.
Ensuite, à peu près à la date où j’avais vu Adam pour la dernière fois, il avait dit à Lucie que je ne souhaitais plus aucun contact avec eux. Elle avait été très surprise et, une fois installés à Marseille, avait voulu m’appeler mais mon numéro ne fonctionnait plus.
Elle s’est aperçue bien plus tard que le numéro qu’elle avait dans son portable avait été modifié d’un chiffre, comme dans celui d’Adam et que mon bon numéro avait été bloqué directement auprès de l’opérateur. Quand je lui ai dit que j’avais envoyé des texto et essayé de les appeler, elle a supposé qu’il avait un moyen de voir mes messages et d’y répondre.
Leur relation de couple avait changé. Malgré le bébé qu’elle aimait déjà grandissant dans son ventre, elle en voulait à Adam de l’avoir « partagée » avec moi. Elle n’arrivait pas à accepter qu’il ait pris du plaisir à la savoir avec un autre. Une grande partie de la passion avait disparu entre eux.
De son côté, Adam semblait le plus heureux des hommes. Il préparait la venue du bébé, la chouchoutait. Seulement, elle ne sentait plus maintenant la passion qu’il éprouvait pour elle « avant »
C’est quand Théo est né qu’Adam a complètement changé. Le premier mois, Adam était aux petits soins pour le bébé mais de plus en plus, ses pleurs le dérangeaient. Puis, il a cessé de s’en occuper. Lucie était de plus en plus malheureuse. Elle était loin de sa famille, loin de moi…
Le pire était à venir.
Elle est allée faire une visite de contrôle chez son gynécologue. Quand elle est rentrée, elle n’a pas tout de suite remarqué que quelque chose clochait dans l’appartement.
Puis, elle a eu un appel de sa mère en lui demandant comment elle avait osé tromper Adam et faire un enfant avec un autre. Lucie était tellement sous le choc qu’elle n’a pas su quoi répondre ce qui a encore confirmé sa mère dans l’idée que c’était vrai. Puis, c’est sa sœur qui a appelé avec les mêmes questions. Lucie était complètement perdue. Elle n’avait pas voulu blâmer Adam qui avait lui-même suggéré l’idée. Elle a essayé d’appeler Adam mais tombait toujours sur messagerie.
Adam n’est pas rentré ce soir-là. Le lendemain, elle était en pleurs quand elle a vu qu’il avait vidé tous les comptes en banque. Elle n’avait plus aucune économie devant elle. Vers 18h00, un jeune de peut-être 17 ans s’était pointé à l’appart. Il a débité un message appris par cœur qu’Adam lui avait dit de dire.
« Je suis parti à l’étranger et j’ai fait en sorte que tu ne puisses pas me retrouver. Tu ne m’aimes plus. Tu es incapable d’oublier Marc. Tu vas payer pour ça. Je n’ai plus rien à faire d’un enfant qui n’est pas le mien. Ça fait plusieurs mois que je joue la comédie et je me suis assuré de te mettre à dos ta famille et surtout Marc. Adieu. Je vais bien rigoler en imaginant comment tu vas faire pour t’en sortir. »
Le jeune est parti en courant après avoir délivré le message. Il avait certainement été payé.
Elle était en pleur en me racontant tout ça. Sa famille la voyait totalement en tort et refusait de l’aider. Elle ne voyait pas ce qu’elle avait fait pour mériter sa haine. Dans un coin de ma tête, j’ai gardé en mémoire qu’Adam était persuadé qu’elle n’arrivait pas à m’oublier.
- Ecoutes Lucie, mon appartement est le tien pour aussi longtemps que tu le souhaiteras.
- Et pour Marseille ? Je fais comment. Il va réclamer le loyer et….
- Lucie, arrêtes ! on va arranger tout ça d’accord ?
- Mais comment ? Même ma famille refuse de me croire.
- Moi, je te crois. Moi, je te soutiendrais. Tu as été mon amante un weekend mais tu as été mon amie bien avant ça et tu es toujours mon amie.
- Merci.
- En dehors de ça… tu peux être sûre que Théo compte pour moi et que ça me faisait mal de ne pas être dans sa vie. J’ai accepté de vous le laisser à toi et Adam mais si tu veux bien reconsidérer la chose, je suis totalement prêt à prendre un rôle de père pour lui.
Lucie est venue doucement dans mes bras et elle a pleuré longtemps contre moi, à bout moralement et physiquement. On a été se coucher, elle dans la chambre que j’avais préparé et moi dans la mienne.
J’ai très peu dormi, me faisant une liste des choses que je voulais faire ou soumettre à Lucie le lendemain.
Théo a sorti sa mère du lit à 7h30. J’étais prêt à aller au travail. J’avais des rendez-vous très importants toute la matinée. J’ai ordonné à Lucie de rester à l’appartement et de se reposer.
Pendant un an, j’avais bossé comme un dingue et j’avais un gros solde de congé. J’ai été voir mon patron en lui disant que j’avais une urgence familiale. J’ai posé 1 semaine tout en étant joignable.
Je suis rentré à 16h00 après avoir réglé quelques détails un peu urgents, mes collègues disant qu’ils feraient tout pour ne pas me déranger. Ils voyaient que j’étais vraiment soucieux.
Lucie jouait avec Théo. J’ai joué un peu avec eux, faisant rigoler Théo pour la première fois. Puis, il est parti faire une petite sieste.
- Marc, je ne sais pas quoi faire. Je suis désolée. Je suis complètement perdue. Tu es la seule personne à laquelle j’ai pensé mais j’ai l’impression de te prendre en otage là.
- Surtout ne t’inquiètes pas pour ça d’accord. Je suis plus que content de vous avoir ici, tous les deux.
- D’accord. Mais l’argent…
- L’argent n’est pas un souci. Je gagne bien ma vie et j’ai largement assez d’économies.
- Merci Marc.
- Tu sais quoi, on va y arriver tous les 2. Je suis persuadé qu’Adam n’aurait jamais cru que tu serais capable de venir me voir. On va régler les problèmes les uns après les autres et à la fin, tu seras bien plus heureuse que lui, j’en suis persuadé.
Ce soir-là, on a retrouvé des discussions qu’on aimait avoir. Il y a eu quelques rires, Théo était également une source de curiosité pour moi. Je voulais qu’il apprenne à me connaître.
J’ai senti Lucie beaucoup mieux le lendemain au réveil. J’ai commencé à lui dire ce que je pensais faire et elle a approuvé mon plan.
Je ne voulais pas mettre Lucie mal à l’aise mais j’avais besoin de mettre mes parents et ma sœur dans la confidence. Ils ont été en colère, stupéfaits, puis compréhensifs quand je leur ai dit que j’étais le papa d’un petit garçon et surtout, comment ça s’était passé. Finalement, mon père et ma sœur m’ont soutenu dans ce que je voulais faire, juste déçus de ne pas avoir su un truc comme ça avant.
Ma mère, elle, n’avait qu’une envie en tête, voir pour la première fois son petit-fils. Elle n’a porté aucun jugement, disant simplement qu’elle comprenait que certaine personnes fassent des choses exagérées pour réussir à connaître le bonheur d’être parents.
On a commencé par déposer une main courante auprès de la police pour l’abandon du domicile conjugal, puis une plainte pour vol en apportant les preuves de la disparition de l’argent des comptes conjoints.
Ensuite, on a appelé le propriétaire de l’appartement. Il n’a exigé qu’un mois en plus du mois en cours. Il savait qu’il réussirait à le louer. J’ai téléphoné à mes 3 meilleurs potes et à mon père. Ensemble, on a fait la route le weekend suivant et on a vidé l’appartement entièrement, jetant absolument tout ce qu’on pouvait trouver qui appartenait à Adam. Adam avait détruit des choses avant de partir, notamment toutes les photos. Il manquait vraiment une case à ce taré.
Ensuite, j’ai emmené Lucie faire les magasins. On a acheté quelques petites choses pour Théo mais on avait récupéré beaucoup de choses pour lui à Marseille. Par contre, on avait jeté presque tous les vêtements de Lucie qui avaient été aspergés avec on ne sait quel détergent.
Pendant les 4 semaines qui ont suivi, Lucie et moi nous sommes rapprochés. Je voyais les regards qu’elle me lançait. Elle retrouvait sa joie de vivre aussi. Elle était redevenue la femme pétillante, pleine de vie, pleine de charme qu’elle était avant. Elle avait repris contact avec son ancien employeur qui était ravi de son retour et elle allait retrouver un poste rapidement.
Ma mère est tombée raide dingue du petit Théo, tout comme mon père et ma sœur et le courant passait super bien avec Lucie.
Un soir, alors qu’on partait de chez mes parents après avoir mangé chez eux, mon père, qui ne s’immisce que très rarement dans la conversation m’a dit devant Lucie « Celle-là Marc, si tu la laisses partir, ce n’est pas la peine de revenir à la maison à part si tu veux manger » Il s’est tourné vers Lucie « Et toi ma petite, je sais pas ce que tu trouves à mon fils mais tu l’aimes autant qu’il t’aime alors foncez ! vous avez perdu assez de temps » Il nous a fermé la porte au nez avant qu’on ait pu dire quoi que ce soit. J’avais juste eu le temps de voir le visage horrifié de ma mère.

On est remonté en voiture sans parler et on est rentrés. Il y avait une certaine tension dans la voiture.
J’ai couché Théo qui dormait déjà bien. Il a à peine bougé quand je l’ai mis dans sa turbulette.
En sortant, Lucie m’attendait dans le salon.
- Est-ce que ton père à raison ?
- Oui, Je serais fou de te laisser partir… Une 2ème fois… Et oui, je t’aime. Je n’ai pas cessé de t’aimer depuis ce fameux weekend, peut-être même avant ça.
- Alors pourquoi tu ne m’as rien dit ? J’attends ça depuis longtemps
- J’avais peur que ce ne soit pas réciproque. J’ai souffert la dernière fois que tu es partie. Et puis il y a Théo. Je veux faire partie de sa vie et je préférais ne pas risquer qu’on ne soit pas au minimum amis… Et toi ? Pourquoi tu ne m’as rien dis ?
- Parce que je ne voulais pas que tu penses que je suis juste opportuniste, une profiteuse de ta générosité…
Je me suis rapproché d’elle et on s’est embrassé, vraiment longtemps. Nos mains redécouvraient le corps de l’autre. Nos lèvres ne se quittaient pas, nos langues s’entremêlaient. C’était bon et doux.
Je l’ai emmenée à ma chambre. On a fait l’amour avec une tendresse que je n’avais jamais connue. Lucie n’avait pas fait l’amour avec Adam depuis quelques mois avant la grossesse. Elle était serrée, humide et chaude, parfaite.
J’étouffais son plaisir avec mes baisers.
- Lucie, j’ai trop envie. Je vais jouir.
- En moi ! Viens en moi ! Je prends la pilule ! Je te veux en moi ! Fais-moi l’amour mon chéri !
Notre jouissance a été douce et intense. On est resté collés l’un à l’autre toute la nuit.
Apparemment ma mère a fait la tête à mon père toute la fin de soirée et toute la journée du lendemain, jusqu’à ce qu’elle vienne chez nous pour garder Théo comme c’était prévu et qu’elle nous voie en train de nous embrasser.
Ça fait maintenant plus d’un an qu’on est ensemble et je sais maintenant ce qu’est réellement le bonheur. Je me réveille tous les matins auprès d’une femme belle et aimante. C’est aussi une amante exceptionnelle. Théo ne devrait pas tarder à apprendre qu’il va être grand frère.
Finalement, les parents et la sœur de Lucie ont appris toute la vérité mais Lucie ne leur pardonne pas de l’avoir laissée tomber au moment le plus dur de sa vie.
Nous avons appris qu’Adam a fini en prison dans le pays où il s’était exilé. Je pense que le karma existe.

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