Partie à trois
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-08-2012 dans la catégorie Plus on est
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Partie à trois
Enfin j’ai joui. Non pas que j’ai décidé d’arrêter mes baise, mais pour une
raison plus prosaïque.J’ai une énorme envie d’aller faire pipi. Comme il
est de mise dans ce genre de nuit, personne ne ferme les portes des
toilettes: chacun peu regarder l’autre se soulager; J’ai baissé la
l’abatant, le dernier utilisateur devait être un homme.
Je suis à peine assise que déjà mon urine s’écoule. J’en suis à la moitié à
peu près quand je vois approcher de moi une belle bite Qui appartient à un
corps fort agréable à voir:
- Tu en as pour longtemps, sinon ouvre ta bouche que je te pisse dedans.
- Tu peux me piser dans la bouche, j’aime ça.
Il ne se le fait pas répéter, j’ouvre bien ma bouche, il y pose
délicatement sa bite en commençant à pisser. Son liquide chaud est bon
comme peut l’ être l’urine masculine.
Je me régale d’autre chose, de sa bite dans la bouche, pourtant j’en ai
sucé déjà quatre depuis le début de la soirée, pas la sienne en tout cas,
je m’en souviendrais.
Je suis assise, les jambes ouverte, sans doute un réflexe du à sa présence:
je porte ma main sur ma chatte encore humide de ma cyprine et ma pissade.
Je sens le désir de jouir encore présent en moi.
Je m’essuie rapidement avec du PQ et je me masturbe devant un type que je
ne connais pas du tout qui a sa queue dans ma bouche. Ma langue oublie
d’avaler, je le lèche maintenant: il commence à grossir. Je commence à
aspirer et le reste de son urine et sa bite gonflée. Ma langue se régale
de lécher tout son gland. J’ai les mains libres pour me peloter. Mes seins
sont durs, mon bouton bande bien, sa queue est aussi bien dure. Je sais que
s’il me baisait maintenant il me l’enfoncerais sans soucis.
Ma bouche est formidable : elle le fait bander dur. Placé comme nous sommes
je déploie toutes mes armes si la langue lèchce largement le gland, une
main ne s’occupe que ce ses couilles qui remontent bizarrement, enfin je
cherche avec l’autre main son petit trou: il n’est pas si petit que ça.
- Oui, j’aime me faire enculer, entre au moins deux doigts.
Pourquoi pas après tout. Je remets un peu de cyprine sur mes doigts de la
main gauche. Je procède lentement puisque j’entre d’abord un, puis deux et
enfin le troisième doigts. Je sens son cul autour de ma main. J’en ai
oublié ma masturbation.
Je sens son plaisir monter rapidement. Je crois être la première femme à
l’enculer comme il aime. Je fais vite, très vite pour le faire jouir. Je
reçois dans la bouche le fruit de mon action. Son sperme est un des
meilleurs que j’ai déjà gouté. Je le fait aller dans toute ma bouche avant
de l’avaler doucement.
- Si je t’avais donné mon cul, tu serais entré ?
- J’encule rarement les filles. Je préfère un bon gros cul d’homme.
- Tu as joui avec moi, je n’ai pas joui pour t’enculer. Tu ne veux pas me
lécher le con.
- Oui, lève toi que je penne ta place.
Il s’assoit sur le siège, je suis avec mon con, juste à la bonne hauteur.
Excitée, je vais me faire sucer par un homo. Dès le début je sens que je
suis sa première, il est maladroit. Pourtant il prend vite de l’assurance
quand il trouve les endroits adéquats. J’ai bien écarté les cuisses, à tel
point que son naturel revient au galop, il passe des doigts pour me
caresser le cul.
Il peut oublier de me sucer tellement il me caresse bien l’anus. Je sais
que s’il me la mettait à cet endroit je jouirais comme une dingue. Il entre
lentement deux doigts dans le cul. Je vais jouir de belle manière.Et bien
non, je ne jouis pas : je sens des mains prendre mes seins brusquement. Je
tourne la tête pour revoir une figure connue : nous venons de baiser
ensemble une bonne partie de la nuit : elle est délicatement faite. Bien
sur si elle me caresse les seins, elle colle les siens contre mon dos et
ainsi que je pubis contre mes fesses.
Je suis bien en sandwich entre un homo est une lesbienne nympho. En
baissant les yeux je vois que la bite de mon ami remnte joyeusement : il
bande pas mal. Je le veux dans le cul.
Ce qui m’étonne est qu’il accepte parfaitement de me sodomiser, moi un
vulgaire femme.
Je me tourne pour lui présenter mes fesses. Je m’assoie pratiquement sur
lui. Sa queue est bien bandée. J’espère que mon amante suivra le mouvement.
Je pensais me faire mettre moi-même alors que c’est lui qui dirige fort
bien sa queue. Il a pris de la cyprine sur mon con pour en tartiner mon
anus. Je sens qu’il commence à entrer facilement. A son souffle je sens
qu’il prend du plaisir à m’enculer. Mais là où j’en prend encore plus c’est
quand la bouche de ma copine est sur le clitoris.
C’est meilleur qu’une doubler pénétration.
Et cette bite qui va et vient dans mon cul….Elle me fait jouir drôlement
bien. Je crois que même sans la bouche de mon amie, je jouirai comme ça. Je
n’ai jamais été sodomisée aussi bien. Il la sort de temps en temps, comme
pour vérifier l’état de marche de sa queue. Quand il la remet, je serre les
dents de plaisir renouvelé. Moi aussi je participe à son plaisir puisque je
serre fréquemment les muscles de l’anus autour de sa pine.
Je ne sais même pas combien de fois il m’a fait jouir cet enfoiré. Fatiguée
d’être penchée ma lesbienne m’abandonne pour me tendre son bas ventre. A
son tour de jouir aussi.
Nous devons former un tableau extraordinaire : un homo qui encule une fille
normale qui lèche le con d’une autre fille. Je remarque qu’elle aussi se
branle, mais le cul: elle y enfonce un drôle de godemichet en verre strié.
Je ne peux que le deviné tellement elle se fait du bien. Je suis sure
qu’elle aussi devrait jouir rien qu’avec ce gode particulier.
Je la sens jouir sous ma langue, je jouis aussi en même temps quand je
reçois la bonne dose de sperme au fond de mon cul.
raison plus prosaïque.J’ai une énorme envie d’aller faire pipi. Comme il
est de mise dans ce genre de nuit, personne ne ferme les portes des
toilettes: chacun peu regarder l’autre se soulager; J’ai baissé la
l’abatant, le dernier utilisateur devait être un homme.
Je suis à peine assise que déjà mon urine s’écoule. J’en suis à la moitié à
peu près quand je vois approcher de moi une belle bite Qui appartient à un
corps fort agréable à voir:
- Tu en as pour longtemps, sinon ouvre ta bouche que je te pisse dedans.
- Tu peux me piser dans la bouche, j’aime ça.
Il ne se le fait pas répéter, j’ouvre bien ma bouche, il y pose
délicatement sa bite en commençant à pisser. Son liquide chaud est bon
comme peut l’ être l’urine masculine.
Je me régale d’autre chose, de sa bite dans la bouche, pourtant j’en ai
sucé déjà quatre depuis le début de la soirée, pas la sienne en tout cas,
je m’en souviendrais.
Je suis assise, les jambes ouverte, sans doute un réflexe du à sa présence:
je porte ma main sur ma chatte encore humide de ma cyprine et ma pissade.
Je sens le désir de jouir encore présent en moi.
Je m’essuie rapidement avec du PQ et je me masturbe devant un type que je
ne connais pas du tout qui a sa queue dans ma bouche. Ma langue oublie
d’avaler, je le lèche maintenant: il commence à grossir. Je commence à
aspirer et le reste de son urine et sa bite gonflée. Ma langue se régale
de lécher tout son gland. J’ai les mains libres pour me peloter. Mes seins
sont durs, mon bouton bande bien, sa queue est aussi bien dure. Je sais que
s’il me baisait maintenant il me l’enfoncerais sans soucis.
Ma bouche est formidable : elle le fait bander dur. Placé comme nous sommes
je déploie toutes mes armes si la langue lèchce largement le gland, une
main ne s’occupe que ce ses couilles qui remontent bizarrement, enfin je
cherche avec l’autre main son petit trou: il n’est pas si petit que ça.
- Oui, j’aime me faire enculer, entre au moins deux doigts.
Pourquoi pas après tout. Je remets un peu de cyprine sur mes doigts de la
main gauche. Je procède lentement puisque j’entre d’abord un, puis deux et
enfin le troisième doigts. Je sens son cul autour de ma main. J’en ai
oublié ma masturbation.
Je sens son plaisir monter rapidement. Je crois être la première femme à
l’enculer comme il aime. Je fais vite, très vite pour le faire jouir. Je
reçois dans la bouche le fruit de mon action. Son sperme est un des
meilleurs que j’ai déjà gouté. Je le fait aller dans toute ma bouche avant
de l’avaler doucement.
- Si je t’avais donné mon cul, tu serais entré ?
- J’encule rarement les filles. Je préfère un bon gros cul d’homme.
- Tu as joui avec moi, je n’ai pas joui pour t’enculer. Tu ne veux pas me
lécher le con.
- Oui, lève toi que je penne ta place.
Il s’assoit sur le siège, je suis avec mon con, juste à la bonne hauteur.
Excitée, je vais me faire sucer par un homo. Dès le début je sens que je
suis sa première, il est maladroit. Pourtant il prend vite de l’assurance
quand il trouve les endroits adéquats. J’ai bien écarté les cuisses, à tel
point que son naturel revient au galop, il passe des doigts pour me
caresser le cul.
Il peut oublier de me sucer tellement il me caresse bien l’anus. Je sais
que s’il me la mettait à cet endroit je jouirais comme une dingue. Il entre
lentement deux doigts dans le cul. Je vais jouir de belle manière.Et bien
non, je ne jouis pas : je sens des mains prendre mes seins brusquement. Je
tourne la tête pour revoir une figure connue : nous venons de baiser
ensemble une bonne partie de la nuit : elle est délicatement faite. Bien
sur si elle me caresse les seins, elle colle les siens contre mon dos et
ainsi que je pubis contre mes fesses.
Je suis bien en sandwich entre un homo est une lesbienne nympho. En
baissant les yeux je vois que la bite de mon ami remnte joyeusement : il
bande pas mal. Je le veux dans le cul.
Ce qui m’étonne est qu’il accepte parfaitement de me sodomiser, moi un
vulgaire femme.
Je me tourne pour lui présenter mes fesses. Je m’assoie pratiquement sur
lui. Sa queue est bien bandée. J’espère que mon amante suivra le mouvement.
Je pensais me faire mettre moi-même alors que c’est lui qui dirige fort
bien sa queue. Il a pris de la cyprine sur mon con pour en tartiner mon
anus. Je sens qu’il commence à entrer facilement. A son souffle je sens
qu’il prend du plaisir à m’enculer. Mais là où j’en prend encore plus c’est
quand la bouche de ma copine est sur le clitoris.
C’est meilleur qu’une doubler pénétration.
Et cette bite qui va et vient dans mon cul….Elle me fait jouir drôlement
bien. Je crois que même sans la bouche de mon amie, je jouirai comme ça. Je
n’ai jamais été sodomisée aussi bien. Il la sort de temps en temps, comme
pour vérifier l’état de marche de sa queue. Quand il la remet, je serre les
dents de plaisir renouvelé. Moi aussi je participe à son plaisir puisque je
serre fréquemment les muscles de l’anus autour de sa pine.
Je ne sais même pas combien de fois il m’a fait jouir cet enfoiré. Fatiguée
d’être penchée ma lesbienne m’abandonne pour me tendre son bas ventre. A
son tour de jouir aussi.
Nous devons former un tableau extraordinaire : un homo qui encule une fille
normale qui lèche le con d’une autre fille. Je remarque qu’elle aussi se
branle, mais le cul: elle y enfonce un drôle de godemichet en verre strié.
Je ne peux que le deviné tellement elle se fait du bien. Je suis sure
qu’elle aussi devrait jouir rien qu’avec ce gode particulier.
Je la sens jouir sous ma langue, je jouis aussi en même temps quand je
reçois la bonne dose de sperme au fond de mon cul.
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