Partie fine pour les notaires – série Les talons rouges (épisode 13)

- Par l'auteur HDS VIEULOU -
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Récit libertin : Partie fine pour les notaires – série Les talons rouges (épisode 13) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-11-2013 dans la catégorie Plus on est
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Partie fine pour les notaires – série Les talons rouges (épisode 13)
Partie fine pour les notaires – série Les talons rouges (épisode 13)

Agathe a fait une croisière en Méditerranée avec Gilles, le notaire de la famille et son épouse Virginie. Agathe, Gaëlle et Jacques ont entrepris de dépraver Gilles notaire de la famille et Virginie son épouse plantureuse en les initiant au Strip Poker..

Pourtant, Virginie n'est pas au bout de ses surprises. En effet, lorsqu'elle reprend conscience, elle découvre avec stupéfaction que l'aristocrate Agathe se trouve à présent au-dessus d'elle, et que, s'étant harnachée d'une fausse verge, elle l'a introduite dans la fente libérée par Jacques et qu'elle la gouine, tout en lui suçant un téton. Mais son étonnement est à son comble lorsqu'elle s'aperçoit que Gilles, son époux, copule à présent avec la comtesse Gaëlle de Santesteban, nue, elle aussi, n'ayant gardé que ses bas fumés et son porte-jarretelles. Cette orgueilleuse femme mûre qui possède un corps de jeune fille avec des petits seins en poire qu'elle compare avec envie en pensant aux siens bien trop lourds, c'est insensé pense-t-elle. C'est à ce moment que la queue du beau Jacques heurte ses lèvres, et que dans un réflexe fortuit, elle ouvre sa bouche et laisse la verge coïter jusqu'au fond de sa gorge. L'olisbos de silicone qui lui défonce le ventre, les succions sur ses mamelons qu'Agathe titille et mordille à tour de rôle et le bâton de chair qu'elle pompe par son comportement involontaire, font que Virginie se laisse aller dans ce débordement de dépravations sexuelles qu'elle a jusqu'ici méconnu, n'éprouvant plus que la voluptueuse jouissance de son corps et de ses pensées devenues lubriques. C'est la première fois qu'une femme approche d'aussi près le corps de Virginie, celle-ci ressent un trouble l'envahir en sentant le pubis féminin s'emboîter dans le sien alors que les lèvres qui suçotent ses gros tétons, agissent avec une habileté diabolique. À ce moment, elle reçoit les décharges successives de foutre dans son gosier, déglutissant malgré elle et manquant s'étouffer sous la violence de la liqueur éjectée par le gland violacé. Elle pleure de son indignité et du sperme étranger qu'elle avale à son corps défendant, mais soudain, des lèvres et une langue viennent boire et lécher le trop-plein de semence que sa bouche recrache, et, ouvrant les yeux, elle découvre ébahi, que c'est Agathe qui, allongée sur elle, vient ainsi à son secours. Éperdue de reconnaissance envers cette femme enfin compréhensive, elle se laisse aller à répondre aux baisers saphiques de la belle aristocrate, devenant en un instant une adepte de Lesbos. Par un dépassement de soi qui l'étonne, Virginie enlace la quadragénaire affriolante, lui caressant elle aussi ses seins plantureux, osant empoigner ses fesses charnues pour l'attirer encore plus dans elle, faisant ainsi pénétrer plus profondément la fausse-verge dans sa matrice, et se frottant sans vergogne pubis contre pubis, excitant ainsi leurs clitoris à toutes les deux. Elle ose répondre avec sa langue à celle qui fouille sa bouche, prenant un voluptueux plaisir à ce baiser féminin si doux et passionné.

Pendant ce temps, Gilles qui s'était retenu d'éjaculer dans la chatte d'Agathe se répand dans la vulve de Gaëlle qu'il a baisée avec toute sa vigueur pendant un très long moment. Mais, alors que le couple se défait, il contemple sa femme qui se gouine avec un enthousiasme incroyable avec la femme qu'il a honorée juste avant. Il n'en revient pas de la voir ainsi se livrer sans aucune retenue à une pratique homosexuelle, que pourtant, elle réprouvait plutôt dans leurs conversations antérieures. Virginie rencontre à ce moment le regard de son mari interrogateur. Elle rougit de confusion au spectacle qu'elle donne à son époux, ainsi qu'au beau Jacques et à l'altière comtesse, ne se souvenant plus, qu'eux aussi se conduisent de la même façon. Morte de honte, elle se met soudain à pleurer à chaudes larmes. À ce moment, Gilles, Jacques et Gaëlle viennent se joindre au couple lesbien, entourant et embrassant Virginie, la consolant en lui disant qu'ils ont tous pris du plaisir à leurs mélanges et qu'elle ne doit pas avoir de regrets. Son mari l'embrasse tendrement, séchant ses pleurs et la faisant tout de même, sourire. Elle se sent bien entre eux, alors que des mains multiples caressent son corps, allant de ses seins à ses fesses, de son mont de vénus à sa chatte où des doigts s'introduisent pendant que d'autres titillent son bourgeon clitodirien.

Elle est de nouveau en transe, cherchant son souffle et respirant puissamment, appréciant cette volupté qui déferle à nouveau en elle en acceptant ces amours multiples. En moins de rien, les deux aristocrates femelles se jettent sur leur proie, mangeant littéralement ses seins, puis, sans coup férir, Jacques l'enfile dans sa gaine vaginale sans se gêner devant Gilles qui embroche sa bouche avec sa queue qu'il agite au plus profond de sa gorge. Virginie l'avale aussitôt, le pompant avec énergie, voulant se libérer de sa culpabilité en faisant une fellation irréprochable à son époux, serrant ses lèvres sur le membre en érection, mordillant la chair jusqu'à l'éjaculation qui projette la semence du mâle jusqu'à son gosier. La verge en se retirant, barbouille son menton et ses yeux de son foutre épais et gluant, s'essuyant sur ses seins sans scrupule. Gaëlle et Agathe lèchent aussitôt le visage maculé et la poitrine de Véronique, puis, Gaëlle se mettant à califourchon au-dessus d'elle, vient poser son organe sexuel entrouvert devant les lèvres de la pauvre Virginie qui a le souffle coupé par cette vulve dont les nymphes palpitent devant ses yeux hébétés. Pourtant, alors que Gaëlle s'assoit presque sur son visage, ses lèvres entrent en contact avec la chair pulpeuse des organes génitaux, dont les effluves dégagent une odeur forte et épicée. Affolée, mais aussi par défi, elle ose sortir timidement sa langue qu'elle pointe sur le minuscule clitoris érigé de la comtesse qui se trémousse au-dessus d'elle. Virginie ne peut s'empêcher d'admirer l'étroite fente entourée d'un fin duvet blond, ainsi que l'échancrure entre les fesses et l'œillet rose de l'anus qui palpite en se contractant spasmodiquement. Cette situation la trouble plus qu'elle ne le voudrait, surtout que Jacques continue à coïter au fond de sa matrice et que deux mains féminines ayant écarté sa croupe, une langue s'y introduit, léchant sa raie jusqu'à l'anus, titillant sa rosette et la mouillant de salive.

Elle est éperdue de frayeur à la pensée que l'on puisse s'attaquer à son derrière qu'elle a toujours refusé à son époux, pourtant la bouche qui baise ainsi son petit endroit ne lui est pas désagréable, même lorsqu'un doigt fin à l'ongle long et acéré se faufile dans son rectum, lui arrachant un petit cri de surprise. Comme une bravade, elle décide d'en faire autant au cul de la comtesse qui se trémousse devant elle. À sa grande surprise, ayant salivé un de ses doigts, elle n'a aucune peine à s'enfoncer dans l'œillet orgueilleux qui s'ouvre comme une corolle, son doigt pénétrant facilement jusqu'au fond du rectum. Aussi, curieuse de l'effet que cela peut faire, elle enfonce un deuxième doigt dans le goulet étroit, n'obtenant qu'un soupir de contentement de Gaëlle qui lui souffle.

- Oui ! Ma chérie, continue, entre encore un doigt. Allez ! Vas-y ! Oui ! Pousse, encore ma chérie, tu sais, j'aime que l'on m'encule.

Virginie s'est à peine rendue compte qu'Agathe lui a, elle aussi, enfoncé un second doigt dans sa pastille, faisant aller et venir ses doigts dans le petit cul bien serré de la notairesse. Alors, celle-ci, perdant toute mesure, lèche et mordille les grandes et petites lèvres de la vulve qui sont à sa portée. Le vagin de Gaëlle bave maintenant de mouille alors que Virginie triture de temps à autre le clitoris, faisant pousser des petits cris à la femme mûre qui d'autre part reçoit quatre doigts de la plantureuse blonde dans son orifice anal complètement dilaté. Virginie est à présent complètement dépassée, elle laisse son corps répondre avec complaisance à toutes les sollicitations délicieuses et audacieuses qui assouvissent sa sensualité débordante. Jamais elle n'aurait pu imaginer se retrouver avec un autre homme en présence de son mari et avec deux autres femmes, tous les cinq nus et se livrant aux dangereuses perversions sexuelles qu'ils pratiquent depuis des heures.

Pourtant, son initiation ne fait que commencer. Alors que Jacques s’est à nouveau répandu en elle, rajoutant encore une fois du sperme, au fond de sa chatte déjà remplie, c'est son mari qui se dispose entre ses jambes largement écartées, elle s'apprête à le recevoir sa queue dans son con, mais, sentant le gland appuyer contre sa rosette, elle comprend dans l'instant qu'en fait, il veut la sodomiser, profitant d'Agathe qui lui prépare l'anus depuis déjà un certain temps. Elle veut se débattre, n'acceptant pas cette intromission qu'elle ne lui a jamais permise, mais Agathe et Jacques immobilisent ses bras et ses jambes, alors que Gaëlle maintient sa tête prisonnière entre ses cuisses. Elle proteste et supplie, en agonisant d'injures son mari et ses bourreaux, Gilles, pesant de tout son poids sur l'œillet contracté, dépucèle enfin le cul de son épouse qu'il convoite depuis leur mariage, qui date tout de même d'une quinzaine d'années. Ne tenant aucun compte des hurlements de sa femme, il fore le cul étroit, s'enfonçant progressivement jusqu'au fond du rectum devenu à présent marital. Puis, complaisamment, il s'immobilise quelque temps afin d'habituer l'anus sauvagement violenté à s'accommoder du membre intrus qui occupe grandement la gaine étroite.

Gaëlle et Agathe embrassent tendrement l'enculée encore néophyte, séchant ses pleurs avec leurs langues. Jacques caresse son clitoris et son vagin qu'il a pénétré de deux doigts. Les sens da la blonde notairesse se rappellent bientôt à elle, alors qu'étrangement le gros membre de son mari enfoncé dans son derrière ne lui fait plus vraiment mal et qu'un trouble sentiment l'envahit de se savoir possédée dans son trou mignon. Il est vrai que les caresses des trois autres y sont aussi pour quelque chose et que, lorsque Gilles fait aller et venir, d'abord très doucement, puis de plus en plus violemment sa queue dans son fondement, elle ne tarde pas à se projeter sur le membre qui s'enfonce et se retire d'elle, la douleur se mélangeant avec le plaisir voluptueux qu'elle éprouve de toutes parts. Lorsque Gilles, expulse violemment tout son foutre dans le cul de son épouse, celle-ci crie et pleure de joie et de douleur mélangées à cet acte sodomique qui était sa plus grande crainte. Ce qu'elle vient de subir avec une violence qui a surpassé tout ce qu'elle avait pu imaginer, à sa grande surprise, elle lui a révélé aussi son aptitude à des pratiques qu'elle avait toujours trouvées dépravantes et dégoûtantes.

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